
Veretout a progressé à Sainté
21/04 16:56
Comme il l'avait fait il y a deux semaines dans le même quotidien, Jordan Veretout a évoqué sa verte saison (2016-2017) aujourd'hui dans Le Corriere dello Sport. Extraits.
"A Saint-Etienne, j'ai renconté Christophe Galtier, un coach qui avec ses adjoints [ndp2 : Thierry Oleksiak et René Lobello, ndp2] m'a réellement fait progresser. Cette expérience chez les Verts a beaucoup compté pour moi."
Crédit photo : AFP
Dernis voulait faire taire les vilains en banlieue
21/04 14:08
Dans une interview accordée au site Allez Paillade, Geoffrey Dernis a fait une allusion aujourd'hui à ses vertes années.
"Je n’aime pas les débordements qu’il peut y avoir mais j’aime les matchs chauds. J’aime bien ce contexte de grosse rivalité, que ça chambre. C’est quand même le top de sentir à domicile, chez toi, un stade plein, qui te pousse et que tu donnes ton maximum. Quand j’étais avec Saint Etienne à Lyon, tu n’as envie que d’une chose, c’est de faire taire un stade tout entier."
Las, Passe-Partout fait partie des générations qui n'ont pas réussi à s'imposer à Gerland. Battu dans l'antre des vilains le 14 octobre 2006, il a quand même pris un point là-bas le 1er février 2009.
Wesley joue la prolongation
21/04 13:11
Déjà annoncée il y a dix jours par Mohamed Toubache-TER, la prolongation du contrat de Wesley Fofana jusqu'en 2024 vient d'être officialisée par l'ASSE. Claude Puel a déclaré être "très heureux d'inscrire Wesley Fofana dans le futur de l'AS Saint-Étienne" avant de rajouter que "Wesley doit devenir une pièce maîtresse de l'équipe". L'entraîneur des Verts a indiqué que le défenseur de 19 ans "a un énorme potentiel avec l'état d'esprit d'un compétiteur mais il faut qu'il progresse encore dans la régularité et la concentration."
Les Vertes privées de montée ? (10)
21/04 08:53

La FFF a publié ce week-end le procès-verbal de son fameux Comex de jeudi-dernier déterminant les règles pour arrêter les classements, notamment celui très sensible de la D2 féminine. Extraits.
"Dans le cas où es équipes n’ont pas toutes joué le même nombre de matchs, afin de rétablir l’équité sportive, la position au classement de chaque équipe sera déterminée par le quotient issu du rapport entre son nombre de points et son nombre de matchs (quotient arrondi à la deuxième décimale au maximum).
En cas d’égalité de points ou d’égalité de quotient dans une poule, le départage des équipes ex-aequo se fera selon les critères suivants (étant précisé que si le 1ercritère ne permet pas de départager toutes les équipes ex-aequo, il y a lieu de passer au critère suivant et ainsi de suite, tant que cela s’avère nécessaire) :
• 1er critère de départage : plus grand nombre de points obtenus dans les confrontations directes, à la stricte condition que toutes les équipes à départager se soient affrontées en matchs aller-retour
• 2ème critère de départage : meilleure différence de buts dans les confrontations directes, là aussi à la stricte condition que toutes les équipes à départager se soient affrontées en matchs aller-retour
• 3ème critère de départage : plus fort quotient issu du rapport entre le nombre de matchs à l’extérieur et le nombre total de matchs"
Pour rappel, les Havraises (2,50) affichent un meilleur quotient que les Vertes (2,46) mais ont joué un match de plus, les Amazones n'ayant pas pu jouer comme prévu à Yzeure. Les protégées de Jérôme Bonnet, qui ont nettement battu les Normandes (4-1) à Sainté, auraient dû jouer au stade Océane le 3 mai lors de l'avant-dernière journée.
Si l'ASSE a donc saisi le CNOSF, Le Progrès du jour souligne que le 3e critère de départage jouerait en défaveur des stéphanoises. Extraits.
"L’ASSE a joué sept matches sur quinze à l'extérieur (soit 46,67 %) et Le Havre huit sur seize (soit 50 %). Si l’on arrête le championnat à la journée 15, les Havraises monteraient aussi avec huit matchs joués hors de leurs bases sur les quinze (soit 53,33 %). Il semblerait donc que la seule possibilité pour les Stéphanoises de monter serait de jouer leur match en retard à Yzeure et de s’imposer, ou de le gagner sur tapis vert. Auxquels cas, c’est la différence de buts, à l’avantage des Vertes, qui prévaudrait."
Kastendeuch en remet une couche
21/04 08:05

Pas chaud pour reprendre le championnat comme il l'avait expliqué dans une tribune parue dans Le Monde d'hier, Sylvain Kastendeuch en remet une couche aujourd'hui dans Le Républicain Lorrain. Extraits.
"On leur propose un calendrier au rythme effréné, qui inclut une fin de championnat et des finales de Coupes, autrement dit un sprint final intense : le risque de blessure est évident. Des études indiquent un risque au bout du troisième match… Les joueurs sont confinés depuis le 15 mars et s’entraînent en n’ayant pas les conditions nécessaires au haut niveau : soins, prévention, mise à disposition d’aide médicale. Une étude de l’UNFP et de la FIFPro indique que 22 % des joueuses et 13 % des joueurs présentent des symptômes compatibles avec la dépression. 18 % des filles et 16 % des garçons font état d’anxiété. Pour que des sportifs de haut niveau répondent ainsi à un questionnaire en faisant état de leur faiblesse, c’est que c’est sérieux ! Or, on sait à quel point les jambes dépendent de la tête.
Comment les joueurs pourraient prendre des congés ou du repos, avec une fin de championnat en juillet et une reprise en août ? J’ai des doutes sur la capacité d’un joueur à pouvoir faire une saison et demie d’un coup ! Dans quel état seront-ils en automne ? En fait est-ce qu’on veut un demi-football bricolé à tout prix ou veut-on préparer une future belle saison 2020-1921 ? On n’a jamais été aussi proches des joueurs qu’en ce moment. Beaucoup nous disent : heureusement que vous êtes là. Les trois-quarts nous ont demandé d’être vigilants sur leur santé et une large majorité est d’accord pour que la saison s’achève."
La finale contre Paris diffusée aujourd'hui !
21/04 07:48

Diffusée samedi dernier sur les comptes Youtube, Twitter et Facebook du QSG, la finale de Coupe de France 1982 sera rediffusée ce mardi à 20h30 sur la chaîne de la Pravda (canal 21 de la TNT).
"On avait prévu de diffuser ce match avant la finale programmée initialement ce samedi 25 avril. C’est un match mythique qui a marqué son temps, avec Borelli qui embrasse la pelouse, l’envahissement du terrain…. Et puis c’est le dernier match en club de Michel Platini en France. C’est marquant pour tous les plus de 40 ans" souligne le directeur de la chaîne (Jérôme Saporito) dans Le Progrès du jour.
Trauco veut s'imposer à Sainté
21/04 07:31

Invité hier de l'émission "Tiempo Extra" diffusée sur la chaîne de télévision Golperu, Miguel Trauco a surtout parlé de la sélection péruvienne. Mais pas que ! Voici ce qu'a glané le potonaute osvaldopiazzolla en écoutant le numéro 13 des Verts :
"Miguel mentionne qu'il a reçu un email du club lui signifiant que son salaire avait été baissé de 30 ou 40 % dans le cadre du coronavirus (il dit qu'il est difficile pour lui de comprendre exactement parce que c'était en français)
Il parle des vidéos que le prépa physique de l'ASSE lui envoie comme programme mais qu'il préfère (avec son accord) le programme de la sélection péruvienne.
Trauco dit qu'il s'est maintenant adapté à l'ASSE à 80-90%, qu'il a comme objectif, une fois adapté, de devenir titulaire la saison prochaine, ce qu'il n'a pas vraiment réussi jusqu'ici (selon ses mots).
Questionné sur sa position préférentielle sur le terrrain, Trauco répond arrière latéral gauche mais que si on lui demande de jouer milieu offensif, il préfère être 10 (ce qui était son poste d'origine) que sur l'aile. Il mentionne aussi qu'il préfère faire une passe décisive que marquer un but."
Les stats contrastées des Verts sur corner
20/04 19:53
Selon des stats d'Opta relayées aujourd'hui par RMC, l'ASSE pointe à la 57e place au classement des buts marqués sur corner par les clubs des cinq grands championnats européens cette saison.
Sainté, qui n'a claqué que 3 pions sur coup de pied de coin comme dirait nos amis d'Outre-Quiévrain, est devancé en France par le QSG (8), Bordeaux, Montpellier et Nice (7), Nîmes (6), Lille (5), Marseille, Metz, Monaco et Toulouse. Ex aequo avec sept autres clubs de L1, les Verts devancent seulement les Dijonnais (2)... et les Vilains, lanterne rouge hexagonale (1). Cette saison, Saint-Etienne marque un but tous les 47 corners (contre 19 pour Montpellier et Nice). Les Verts n'ont claqué que 10,3% de leurs buts sur corner alors que ce pourcentage s'élève à 20,7% à Nîmes.
Malgré ces stats offensivement peu flatteuses en 2019-2020, l'ASSE est le 21e club européen au classement des buts marqués sur corner depuis 7 ans (47), juste derrière le Barça (48). On notera également que l'ASSE est solide sur les corners défensifs. Ayant craqué seulement deux fois cette saison dans ce domaine, Sainté n'est devancé que par un quatuor composé du Barça, des deux clubs sévillans... et du SCO d'Angers ! (1) L'ASSE n'a concédé que 4,4% de ses buts sur corner cette saison. Les adversaires des Verts ont besoin de 60 corners pour en convertir un !
A qui le dis-tu, Isabelle !
20/04 16:09

Seule femme à exerce en tant que médecin dans l'élite, la doc des Canaris Isabelle Salaün évoque aujourd'hui dans Ouest-France le triste match du 12 janvier dernier à GG.
"Je suis bien dans mon élément. C’est un boulot dans lequel je m’épanouis, où je peux concilier ma passion du foot et mon activité professionnelle. Je ne regrette pas du tout mon choix. Je suis très à l’aise dans ce milieu. Franchement, je m’éclate. J’étais très contente de pouvoir visiter les différents stades dont j’entendais parler ou que je voyais à la télé, notamment Geoffroy-Guichard. Malheureusement, le Chaudron, on y a joué à huis clos, ça a un peu gâché la fête."
La réserve reléguée ! (2)
20/04 15:56
Après avoir officialisé l'arrêt du championnat jeudi, la FFF a, par le biais du PV de son Comité Executif, entériné les modalités de classement, de montées et de descentes. Et confirmé que, pour les divisions nationales, toutes les descentes prévues initialement dans le réglement des compétitions auraient lieu. Condamnant la réserve des Verts à la N3.
Toutefois, la rédaction de Foot-national a calculé l'ordre de repêchage en N2 en cas de relégations administratives d'équipes maintenues sur le terrain. Si sa 15ème place l'empêche d'être aux tous premiers rangs de cette éventualité, l'équipe de Razik Nedder figure en 5ème position pour un hypothétique repéchage grâce à un quotient de points face aux équipes classées de la 10ème à la 14ème place (1.6) supérieur à ceux de Drancy, Endoume et Oissel.
Il faut néanmoins remonter à l'intersaison 2014 pour voir autant d'équipes repêchées. Lors de cet été, 6 équipes avaient été sauvées de la relégation du fait de circonstances exceptionnelles (4 équipes de National, dont Luzenac, avaient commencé la saison suivante au niveau régional).
Compan, Cris et chuchotements (2)
20/04 15:21

Lors d'une interview publiée avant-hier sur actufoot, Lilian Compan est revenu sur son dernier match de joueur vert avant d'évoquer plus brièvement son expérience d'entraîneur au centre de formation de l'ASSE (de 2015 à 2018). Extraits.
"Cris ? Ouais, non, c’est pas un souvenir exceptionnel… (rires) C’était un plaisir de jouer contre un défenseur contre lui qui est très difficile. Et comme j’étais un attaquant qui aimait le répondant, et bah lui en a donné beaucoup. Peut être un petit peu trop puisque à la fin, il m’a cassé la jambe. Bon, il n’a pas fait exprès, je le sais… Je marque sur l’action donc je ne lui en veux pas. Il a fait son travail ! On va dire qu’il m’a séché.
C'était lors d'un derby à Gerland, on perdait 3-0, on est revenu à 3-1. A dix minutes de la fin, on poussait, on poussait… Bon, Lyon était la grosse équipe de Lyon avec tous les joueurs que vous connaissez. L’OL était imbattable à ce moment-là. Je fais un bon contrôle, une bonne frappe pied gauche, et il arrive un petit peu en retard. Il met son pied d’appui sur mon pied au sol, j’ai mis tout mon corps pour frapper et mon tibia vient percuter son genou. Il ne l’a pas fait exprès, mais bon, mon tibia a cédé.
La saison 2014-2015, pourquoi j'ai entraîné en DHR à Cannes La Bocca ? Parce que tout simplement je devais partir à Saint-Etienne, mais il n’y avait pas de place, donc j’ai dû attendre un petit peu, tout simplement… Après cette saison, j'ai retrouvé les Verts à la formation. Au début tout était très bien, et puis ça s'est un peu désagrégé par rapport à certaines personnes. Je n'étais pas dans la même optique qu'eux, tout simplement. Je dérangeais peut-être, je ne ne veux pas polémiquer sur ça. C'était ma troisième année à Saint-Etienne, j'étais encore sous contrat et le Hyères FC est arrivé avec un projet sur trois ans, ça s'est fait assez naturellement, assez vite."
Des Verts de contact
20/04 14:41

Dans la dernière édition du Dauphiné Libéré, Jessy Moulin dit garder contact en cette période de confinement avec ses coéquipiers et le préparateur physique et indirectement avec son entraîneur. Extraits.
"Le confinement va durer encore et le but n’est pas de se cramer physiquement, de ne plus en pouvoir. Je fais en sorte de m’entretenir, d’avoir une, voire deux, grosses séances dans la semaine. Le reste, c’est de l’entretien, du gainage, de la musculation, avec ce que j’ai à la maison, mais il faudra avoir de l’énergie en réserve le jour où l’entraînement reprendra. Nous avons une application sur laquelle on doit rendre des comptes, dire ce que l’on fait dans la journée, l’activité que l’on a eue.
Des contacts avec Claude Puel ? Aucun. Je n’ai pas eu le coach au téléphone. J’ai simplement sa voix à travers les propos du préparateur physique qui nous retranscrit ce que le coach attend de nous. En revanche, tous les joueurs ont reçu un message de sa part dans lequel il nous expliquait justement ce qu’il attendait de nous durant cette période de confinement. entre nous un groupe sur WhatsApp sur lequel on discute régulièrement. Et on s’appelle au téléphone. Il faut que l’on reste en contact, c’est important."
Kastendeuch dans les pas de Roro
20/04 14:11

A l'instar de Roro, Sylvain Kastendeuch n'est pas favorable à la reprise du championnat. L'ancien défenseur stéphanois et actuel vice-président de l'UNFP (syndicat des joueurs) s'en explique dans une tribune parue dans la dernière édition du Monde. Extraits.
"Il est plus que jamais nécessaire de protéger les joueurs. Cela semble tellement évident qu’on l’oublie le plus souvent : sans les footballeurs, il n’y a pas de football ! Nous devons donc prendre soin d’eux et les préserver contre les risques auxquels ils sont exposés. L’analyse médicale menée par l’UNFP et la Fifpro alerte sur les risques physiques élevés en cas de matchs organisés tous les trois jours après une si longue période d’arrêt : fatigue accentuée et augmentation par six de l’incidence des blessures musculaires dès la fin du deuxième match, baisse de la performance ! Ces risques doivent-ils être pris ? Partout dans le monde, la pandémie du Covid-19 a entraîné l’arrêt des compétitions nationales et européennes, renvoyé les footballeurs à l’isolement et les a forcément éloignés des supporteurs. Quel sens les footballeurs pourront-ils donner à leur activité sur le terrain s’ils ne peuvent l’exercer en présence de supporteurs au plus près d’eux ? Dans les tribunes !
Dans ce contexte, au regard des menaces et des dangers qu’une éventuelle reprise pourrait générer, il est de la responsabilité de tous de considérer l’ensemble des possibilités pour que le jeu puisse reprendre dans les meilleures conditions possibles. L’urgence économique ne doit pas prendre le pas sur l’impératif de santé publique. Renonçons à une reprise du championnat dans ces conditions. Reprise qui serait précipitée et dangereuse. Rassemblons dès aujourd’hui les conditions d’une prochaine saison réussie et exemplaire de ce football que l’on aime tant. Acceptons l’idée d’une forme de destruction créatrice, engendrée par cette crise. Osons le grand pont, nous en sommes tous capables. Pour permettre à nos talents de continuer à briller, il me semble plus raisonnable, plus juste et plus vertueux de faire, aujourd’hui, le choix de la raison, pour que demain nous puissions à nouveau faire celui du cœur."
Josuha, Boudjellal et les Verts
20/04 13:52
Dans la dernière édition de Var-Matin, Josuha Guilavogui évoque la difficile gouvernance à l'ASSE en donnant son avis sur le Sporting Toulon.
"J’ai mon meilleur ami Alioun Fall et mon frère Morgan Guilavogui qui évoluent à Toulon et ça me fait très mal de les voir dans cette situation, derniers de National 1. J’ai connu moi aussi des saisons galères et ça change un homme. Mais le foot va très vite et à Toulon, il y a le potentiel pour faire mieux. Quand tu vois les supporters, c’est un truc de dingue. Il faudrait vraiment que le Sporting y arrive. Est-ce que c’est la faute du président Joye ? Je trouve qu’on oublie un peu vite à quel point il s’est investi. Et puis c’est facile de taper sur les doigts de quelqu’un, quand ça ne réussi pas. Après, s’ils descendent (en National 2), il va falloir partir sur quelque chose de neuf. Il va sans doute se remettre en question pour trouver le moyen de remonter. Mais il est sûr que les coups de poker comme celui que propose Mourad Boudjellal, il n’y en aura pas tous les jours. Il faut regarder son CV. Ce qu’il a fait avec le RCT, c’est incroyable. Peut-être vont-ils songer à une présidence partagée. Même si, comme on peut le voir à Saint-Etienne, deux présidents, ce n’est pas facile".
Maupay touché
20/04 13:13
Ayant claqué 8 pions en 28 matches de Premier League cette saison, l'ancien attaquant stéphanois Neal Maupay s'exprime dans la dernière édition de Nice-Matin. Extraits.
"Cela fait trois semaines que je suis confiné chez moi à Brighton avec ma copine. Ici en Angleterre, c’est moins restrictif qu’en France. Il y a moins d’amendes, les gens peuvent aller au parc. J’ai voulu faire un footing mais il y avait trop de monde, du coup je suis allé courir sur la route. Je suis moins focus sur les matches, sur mes objectifs, du coup je suis plus calme, plus ouvert à la maison, moins prise de tête, c’est un peu paradoxal.
Je n’ai aucune visibilité quant à une éventuelle reprise de la Premier League. C’est compliqué de ne pas avoir de date car on est vraiment dans l’inconnu. On s’entraîne chez nous, on a trois séances par semaine en visioconférence. Pour moi le foot est complètement secondaire en ce moment. Si ça ne tenait qu’à moi, la saison serait repoussée jusqu’en septembre, voire même annulée.
Il y a énormément de malades dans les hôpitaux donc penser au foot c’est inapproprié. Ils veulent que ça se joue à huis clos, faire des tests aux joueurs… Mais ne vaut-il pas mieux en faire à ceux qui en ont vraiment besoin ? Il faut que la vie reprenne son cours normal avant de rejouer au foot. On est là pour donner du plaisir aux gens, il me semble… On a effectué des dons pour les hôpitaux.
A Brighton, on a déjà accepté de réduire une partie de nos salaires pour aider les salariés du club. Cela me semble juste normal d’aider les autres. On tape sur les footeux car ils gagnent bien leur vie mais on est des gens normaux. Quand on peut aider, on aide. Voir des gens souffrir, des hôpitaux en manque de moyens, ça me touche. Je pense aux soignants, à tous ces gens exposés, comme ma mère infirmière à Cannes, qui aident et se mettent en danger."
Roro ne veut pas reprendre
20/04 13:01
"Roland Romeyer, droit dans ses bottes mais si seul... Face au trio Caïazzo-Thuilot-Puel, il serait le seul à militer pour la non reprise du championnat de France ! Il met en avant la santé de ses joueurs" nous apprend ce soir Mohamed Toubache-Ter sur son compte twitter.
L'effet salaires (6)
20/04 12:57
La Pravda à paraître ce lundi affirme que l'ASSE fait partie des gros clubs qui essayent de négocier une baisse des salaires de leurs joueurs. Extraits.
"À Lyon, Marseille, Monaco, Saint-Étienne, Bordeaux, et même au Paris-SG, les dirigeants ont engagé, en coulisses, des discussions pour réclamer à leurs joueurs des efforts ponctuels ou plus durables pour résister à la crise liée à la pandémie de Covid-19. Des efforts qui dépassent le cadre du chômage partiel ou de l'accord négocié avec l'UNFP, le syndicat des joueurs professionnels, qui prévoit un report des salaires des joueurs durant la suspension des compétitions, sans caractère obligatoire. La masse salariale peut parfois représenter une part colossale du budget dans ces clubs, et sans rentrée d'argent, les finances virent déjà dans le rouge écarlate pour certains d'entre eux.
Le président de Reims, Jean-Pierre Caillot, a été mandaté par ses collègues pour mener ces discussions avec l'UNFP dans le cadre du groupe de travail de la LFP sur le dialogue social. C'est désormais à Matignon que le dossier du foot français est arbitré. "Tout est gelé depuis bientôt quatorze jours, dans l'attente de cette réponse officielle, expliquait le président rémois. Cette période de l'année est toujours tendue au niveau de la trésorerie. Les clubs comme Reims ont déjà reçu une grande partie de leurs droits télé et n'ont donc pas forcément d'avance. D'autres clubs attendent les derniers versements des droits télé, conséquents pour eux, puisqu'ils concernent la notoriété et le classement final."
Pour régler les salaires des joueurs, les clubs ont trois options : contracter des prêts garantis par l'État, puiser dans leur trésorerie ou demander à leurs actionnaires de débloquer des fonds supplémentaires. Dans la plupart des cas, la première solution a été actionnée par les clubs. Le président marseillais aimerait profiter de ce contexte pour revoir les salaires des joueurs les mieux rémunérés de l'effectif sur la durée restante de leur contrat. Sur le groupe WhatsApp des joueurs de l'OM, où Dimitri Payet est particulièrement actif, une unité s'est dégagée. Steve Mandanda, Dimitri Payet et Florian Thauvin, trois des quatre plus gros salaires du club, sont parmi les plus réfractaires aux requêtes de la direction."
Les Vertes privées de montée ? (9)
20/04 12:53
Sur les réseaux sociaux, l'entraîneur des Vertes Jérôme Bonnet a expliqué ce dimanche pourquoi l'ASSE a saisi le CNOSF pour contester la décision de la FFF privant les Vertes d'une montée en D1.
"Dans ce contexte anxiogène et malheureux que nous traversons, il est important de rappeler que la FFF a pris la bonne décision d’arrêter les championnats en mettant au coeur de celle ci la santé de tous. Mais ce qui est inéquitable et injuste lorsque l’on se base sur le calcul du quotient, c’est qu’il augmente de manière linéaire au fur à mesure que le nombre de matches combiné à une victoire augmente . C’est mathématique et logique ...
Prenons le cas de deux équipes qui suivent la même courbe sur les 3 derniers matchs tel que l’ASSE l’a fait avec Le Havre
Voici le quotient :
40 pts pour 16 matchs joués =2.5
37 pts pour 15 matchs joués =2.46
34 pts pour 14 matchs joués = 2.42
31 pts pour 13 matchs joués = 2.38"
Et Sainté hérita d'Ilunga
19/04 16:48
Le quotidien Ouest-France nous a rappelé hier les conditions de l'arrivée de Hérita Ilunga à l'ASSE en 2003.
"Stagiaire au centre de formation du Stade Rennais, il est apprécié par Paul Le Guen mais est ignoré par Christian Gourcuff, l’année suivante. "J’avais 19 ans, j’étais un peu fougueux," reconnaît-il aujourd’hui. "Même s’il me restait un an de contrat, j’ai décidé de partir." Il prétexte un événement familial pour mettre le cap sur l’Espagne. Un essai de quelques jours à l’Espanyol Barcelone suffit pour séduire Paco Florès, l’entraîneur de l’époque. Mais lorsque l’on part, il y a toujours un lot d’incertitude. Une part d’inconnue. "En juillet, j’attendais tranquillement la date de la reprise. Et j’ai découvert à la télé que l’entraînement des pros avait repris sans moi." L’entraîneur Paco Flores avait été limogé à l’intersaison et son successeur ne comptait pas sur le Franco-congolais. "J’ai passé une saison entière en équipe réserve sans m’entraîner avec les pros et ce malgré un contrat de trois ans !"
Mais comme toujours dans la carrière d’Hérita Ilunga, sa bonne étoile va se remettre à briller. "Le déclic a été une sélection en espoirs avec le Congo. Mon père était militaire au Congo, mais les événements ont fait qu’il a dû s’exiler en France quand j'avais trois ans. Je n'avais jamais remis les pieds au Congo depuis notre départ. Ma mère m’a même accompagné au pays." Signe du destin, un joueur de la sélection A se blesse et Ilunga le remplace. Il joue et c’est là qu’un recruteur de Saint-Etienne, flaire le bon coup. Quelques semaines plus tard, il se retrouve dans le Forez à l’issue d’une période d’essai, il prend l’ascenseur avec l’entraîneur des Verts de l’époque. "Il m’a dit de choisir le jeu plutôt que l’argent car j’avais d’autres propositions. En m’affirmant qu’il allait me faire jouer." Cet entraîneur, c’était Frédéric Antonetti. "Il a fait ce qu’il avait dit." Ayant contribué au grand retour de l'ASSE dans l'élite, Hérita Ilunga aura joué quatre ans sous le maillot vert."
Ayant joué par la suite à Toulouse, West Ham, Doncaster, Rennes et Créteil, l'ancien latéral gauche des Verts a obtenu il y a six mois son diplôme universitaire de "Manager général de club sportif professionnel" délivré par le Centre de Droit et de l'Economie du Sport à Limoges. Faisant partie du board de l'Union des Footballeurs du Congo, Herita Ilunga (38 ans) est membre de la commission technique et développement de la Confédération Africaine de Football. Le compte twitter de cette dernière a posté le 8 avril dernier une vidéo où on le voit clamer son intention de "démonter" le covid-19.
🇨🇩 @Herita23 de la RD du Congo s’amuse en restant actif chez lui! 🕺#BeActive #HealthyAtHome pic.twitter.com/6Xy9qr1MAU
— CAF - FR (@caf_online_FR) April 8, 2020
Stéphane Moulin tacle les moulins à paroles
19/04 15:22
Stéphane Moulin glisse un petit tacle aux dirigeants bavards à la Nanard dans la dernière édition de La Nouvelle République.
"Ce que je lis me met en colère, certains s'épanchent, seulement guidés par leurs intérêts personnels. Je comprends, vu les enjeux économiques, qu'on se prépare à une reprise, mais il y a des limites ! Les scientifiques sont devant une page blanche et quelques uns se permettent d'échafauder des plans, de donner leur avis. Moi je préfère me taire, écouter les spécialistes. Question con : si je reprends à Strasbourg mi-juin je me déplace comment ? Je dors où ? Je mange où ? Les avions sont cloués au sol, les restaurants et les hôtels sont fermés jusqu'à nouvel ordre. Je veux bien tout envisager mais dans une situation sanitaire normalisée. On est devant une crise sans précédents, qui fait des morts, on doit respecter ça ! Plusieurs présidents ont affirmé qu'ils n'enverraient pas leurs joueurs sur les terrains en juin. Que le championnat devait s'arrêter là pour eux. Je suis d'accord avec eux sur le fond mais si la reprise est actée, on repart sans eux ? Pour une fois, ce ne sont pas les dirigeants du football qui vont décider. Laissons travailler les personnes compétentes pour trouver des solutions."
Jean-Mimi remercie Gigi mais lui en veut un peu
19/04 13:18
Invité hier du Grand Live d'Eric Dagrand dans une excellente émission en l'honneur d'Alain Giresse, Jean-Michel Larqué a remercié l'ancien Girondin pour 1982 avant de lui faire un petit reproche pour 1971.
"Dans la vie, il ne faut pas toujours se poser la question de savoir pourquoi entre certaines personnes ça marche et entre d’autres personnes ça ne marche pas. En 1985 du côté des Girondins de Bordeaux, il y avait des footballeurs mais aussi des hommes qui s’entendaient remarquablement bien. En 1976, à Saint-Etienne, il y avait des footballeurs et il y avait des hommes. Un Pied noir, Lopez, un Argentin, Piazza, un Yougoslave, Curko, un Ch’ti qui ne disait jamais un mot, Synaeghel, un Basque, etc. On s’entendait, ne me demandez pas pourquoi ! C’est comme ça, c’est la vie et c’est tant mieux qu’il y ait toujours des mystères dans ces rapports humains.
Moi mes vrais amis dans le football sont les Verts de 1976, toi ce sont les Girondins de 1985. Je ne l’ai jamais dit à Gigi, mais cette demi-finale France-Allemagne en 1982 à Séville… C’est grâce à lui que j’ai lancé ma vraie carrière de consultant. Quand je dis "en retrait à Gigi !" et que Didier lui glisse le ballon, si Gigi ne met pas le but du 3-1, ça passe à pertes et profits ! Sauf que Gigi a marqué et on a pris Larqué pour un génie ! Tout ça c’est grâce à toi Gigi et à personne d’autre !
J’en veux quand même un peu à Gigi. Quand il a débuté, nous étions un peu en difficulté à Saint-Etienne. On venait en effet d’aligner quatre titres de champions de France. Et on est venu gagner 2-1 à Bordeaux en début de saison [grâce à un doublé de Salif Keita, ndp2]. Mais en fin de saison les Girondins sont venus prendre leur revanche à Saint-Etienne en gagnant 3-2 [les Verts menaient pourtant 2-0 grâce à Salif Keita et Georges Bereta, ndp2]. Ce match nous a empêchés d’être champion de France pour la cinquième fois, on a été battu d’un point par l’OM."
On rappellera à Jean-Mimi que les Verts ont fini en fait cette saison 1970-1971 à quatre points des Phocéens.
Les Vertes privées de montée ? (8)
19/04 12:29
Dans un communiqué publié ce matin sur son site officiel, l'ASSE confirme avoir saisi le CNOSF pour contester la décision de la FFF privant les Vertes d'une montée en D1.
"Cette décision constitue en effet une violation de toute règle d'équité sportive" s'indigne le club. "L'ASSE se voit privée de l'accession en Division 1 pour 0,04 point alors qu'elle a dominé le championnat en restant invaincue (11 victoires et 4 nuls en 15 rencontres) et en battant largement Le Havre (4-1), seul club du groupe finalement promu parmi l'élite. La demande de conciliation auprès du CNOSF est une démarche préalable à une éventuelle saisine du tribunal administratif."
Pivot confiné mais toujours vert !
19/04 11:21

Resté un grand supporter des Verts, Bernard Pivot (84 ans) a expliqué ce matin sur Europe 1 comment il vit le confinement.
"Pendant les quinze ans et demi d'Apostrophe, j'étais confiné chez moi. Les seuls moments où je quittais mon appart', c'était le vendredi soir pour aller rejoindre le studio de télévision. Mais j'étais confiné volontairement, et là je suis confiné par obligation. J'étais confiné pour gagner ma vie, je suis confiné pour ne pas la perdre.
Les librairies sont fermées, les stades sont fermés. J'achète L'Equipe tous les matins. Ils ne nous parlent que des vieux de la vieille. Sur les chaînes sportives, on ne passe plus que des vieux matches, de la Coupe du Monde, de l'Euro.. J'ai même vu un vieux derby Saint-Etienne-Lyon !"
Loïc ne rattrapera pas Claude
19/04 10:43
Selon les stats de la Ligue qu'on adule, le capitaine des Verts est dans le top 10 des joueurs ayant disputé le plus de rencontres en L1 dans le même club depuis 50 ans. Mais à moins d'une miraculeuse "hiltonisation", Dieu (383 matches) ne rattrapera pas son actuel entraîneur (486).
1. Jean-Luc Ettori (AS Monaco) : 602 matchs
2. Jean-Paul Bertrand-Demanes (FC Nantes) : 531
3. Loïc Amisse (FC Nantes) : 503
4. Claude Puel (AS Monaco) : 486
5. Serge Chiesa (OL) : 475
6. Henri Michel (FC Nantes) 452
7. Eric Sikora (RC Lens) : 433
8. Philippe Hinschberger (FC Metz) : 430
9. Steve Mandanda (OM) : 423
10. Loïc Perrin (AS Saint-Etienne) : 383
C'est dur pour Jean-Guy !
19/04 10:07
Décidément, Jean-Guy Wallemme connaît bien des déboires depuis qu'il s'est reconverti entraîneur dans l'urgence lors de la triste saison 2000-2001 à l'ASSE ! Passé successivement par le Racing Paris, Rouen, Renaix, Roye, le Paris FC, Lens, Auxerre, le White Star Bruxelles, le RWMB Bruxelles, l'ASM Bel-Abbès, la JS Kabylie, l'ASO Chelef, le WAC Kenitra et Dieppe, l'ancien capitaine des Verts avait rejoint Chartres (N2) en 2018. Ayant fini à la troisième place lors de sa première saison en Eure-et-Loir, l'ex-acolyte de Rudi Garcia vient encore de rater de peu la montée. Il fait partie lui aussi des victimes des décisions prises par la FFF car son équipe termine à deux points du promu en National 1 (Saint-Brieuc), qu'il devait recevoir lors de la dernière journée...
"C’est une grosse déception par rapport au travail effectué depuis deux ans. Il y avait une volonté d’avancer, une dynamique… Je ne sais pas ce que le résultat aurait donné en allant au bout du championnat, mais force est de constater qu’on devait recevoir nos concurrents directs. J’aurais aimé que le terrain donne le verdict" se désole JGW dans L'Echo Républicain. "Je comprends que c’est une décision pas évidente à prendre, mais le N2 est un championnat semi-pro, et s’il y avait une possibilité de laisser jouer, il fallait le faire. On va tirer le bilan à tous les niveaux, faire un état des lieux. Le football est une économie, on en fait partie, et on sait qu’il risque d’y avoir des problématiques."
Son avenir est incertain si l'on se fie aux propos tenus dans le même quotidien régional par son président Gérard Soler. "Jean-Guy connaît le deal, il en a même parlé dans vos colonnes. Il avait une année supplémentaire dans son contrat en cas de montée. Malheureusement, il n’a pas pu aller au bout de la saison… On va se rencontrer, faire le bilan. Il est professionnel, il connaît les règles du jeu."
Bodmer oeuvre pour Evreux (2)
19/04 08:50

Il y a deux semaines, Paris-Normandie avait souligné la bonne action menée par Mathieu Bodmer pour sa ville natale Evreux. L'ancien milieu de terrain des Verts (16 matches en 2013) la détaille dans dernière édition du Parisien. Extraits.
"Les 37 sportifs et personnalités de la région sollicités ont commencé par effectuer un don. On a déjà dépassé les 35 000 € à ce jour. On attend encore deux ou trois virements en provenance de l'étranger. Un premier versement a ainsi pu être fait sur le compte de trois associations : le Secours populaire, Manches Retroussées et Solidarité Citoyenne. On a aussi envoyé de l'argent à des Ehpad pour qu'ils puissent acheter des blouses à des infirmières. La deuxième étape porte sur une cagnotte Leetchi ouverte jusqu'au 26 avril. Tout le monde peut encore faire un don de la somme qu'il souhaite
On gagne très bien notre vie et on a plus d'impact que la plupart des gens. Notre voix porte davantage. Peut-être que dans le foot, on n'est pas encore assez citoyens. Mais on a des idées pour le devenir. Vous savez, le sportif, le footballeur en particulier, n'est pas si égoïste qu'on veut bien le croire. La plupart des joueurs sont derrière des associations, des fondations… J'ai des parents qui travaillent dans le monde hospitalier. Ils enchaînent les gardes, sans jamais se plaindre, prennent des risques au quotidien.
Les débats sur la date de reprise des compétitions, ça me paraît secondaire et déplacé. Le monde n'a pas besoin du sport et plus particulièrement du football en ce moment, il a besoin de médecins et d'infirmières. Reprendre le championnat, ça ne me fait pas peur. Aujourd'hui, j'ai peur pour tous ces gens au front, engagés corps et âme dans cette guerre sanitaire. Eux sont dans le dur. Pas nous. Oui, on ne joue pas, oui on perd un peu d'argent, mais on n'est pas impacté par cette crise sanitaire. On vit un confinement plus que tranquille pour peu que notre famille ne soit pas touchée par le virus.
Je serais prêt à accepter une baisse de mon salaire en plus du chômage partiel sans aucun souci. Même en baissant de 50 % mon salaire, je gagnerai toujours plus que la plupart des gens. Mais à Amiens, le président Joannin ne le juge pas nécessaire pour l'instant. C'est un club que je respecte beaucoup. On est payé en temps et en heure, il n'y a jamais de problème. Donc si demain, il nous demande de faire un effort à ce sujet pour le soulager, c'est parce qu'il n'aura pas le choix. C'est juste un décalage de trésorerie pour simplifier la vie à tout le monde."
Cordonnier pour recruter des pointures (6)
19/04 08:18

Comme l'avait déjà indiqué RMC il y a huit jours, Le Progrès du jour souligne que la cellule de recrutement de l'ASSE ne compte plus que trois membres, arrivés au club en 2017 pour le premier et en 2018 pour les deux autres : Romain Barq, Anthony Gillot et Julien Cordonnier.
Le quotidien régional précise juste que ce dernier pilote la cellule mais n'a pas le statut de directeur donné à David Wantier jusqu'à sa mise à l'écart de février dernier.
"En donnant les pleins pouvoirs à Claude Puel sur le plan sportif, l’ASSE a adopté un nouveau mode de fonctionnement. Manager général du club, celui-ci entraîne mais pas seulement. Il est prévu aussi qu’il dirige le recrutement. Ses prédécesseurs avaient moins de latitude."
Puel veut reprendre
18/04 23:20
S'il affirme désormais sa volonté de rejouer et prétend qu'elle est partagée par tous ses confrères, Rudi Garcia leur avait initialement soumis l'idée de ne pas reprendre selon la Pravda à paraître demain. Le quotidien sportif assure que plusieurs coaches étaient d'ailleurs sur cette ligne comme Bernard Blaquart (Nîmes), Olivier Dall'Oglio (Brest) ou encore René Girard (Paris FC). Le journal ajoute que cette possibilité de ne pas reprendre à suscité des désaccords et un malaise. "Plusieurs entraîneurs, notamment étrangers, n'ont plus donné signe de vie dans le groupe. Claude Puel a quant à lui fait part de sa désapprobation à l'idée de ne pas rejouer."
Crédit photo : Icon Sport
Ce qu'en dit Rudi
18/04 22:52
Ex-entraîneur des Verts et actuel coach des vilains, Rudi Garcia s'exprime sur les problématiques du calendrier lors d'une interview à paraître ce dimanche dans la Pravda. Extraits.
"J'ai créé un groupe WhatsApp réunissant tous les coaches de L1 et de L2. On échange sur différents sujets. Raymond Domenech a demandé à pouvoir être ajouté au groupe. On a trouvé ça pertinent dans le sens où on pouvait se dire des choses entre nous, encore fallait-il qu'elles soient relayées dans les commissions des instances. On s'est aperçu que le calendrier prévisionnel de la Ligue [ndp2 : reprise le 17 juin, démarrage de la saison suivante le 23 août] nous ferait jouer tous les trois jours et là-dessus, nous, les coaches, sommes assez unanimes : après deux mois de confinement, jouer ce n'est pas envisageable, ce n'est pas raisonnable. On va au devant de blessures et de grosses fatigues. Et on ne pourrait pas donner de vacances aux joueurs, ou alors très peu, entre la fin de la saison 2019-2020 et le début de la saison 2020-2021. Cela ne nous convient pas. On le dit tous entre nous : ce qu'on vit en ce moment, c'est tout sauf des vacances.
On a tous envie de reprendre, il y a un consensus là-dessus, mais pas n'importe comment. On veut reprendre dans des bonnes qui nous permettraient de ne pas jouer tous les trois jours, en tout cas pas systématiquement, et qui nous permettraient de laisser au moins deux semaines de repos aux joueurs entre les deux saisons. Les cadences infernales vous envoient beaucoup de joueurs à l'infirmerie. Ce qui nous anime en priorité, nous, dans les discussions, c'est la santé. Celle des acteurs comme celle des supporters. Même si eux, malheureusement, on n'est pas près de les revoir. On s'est demandé si le football était fait pour être joué à huis clos. Et franchement, non. Mais bon, c'est un autre débat. On comprend aussi qu'il y ait des enjeux économiques, évidemment. Il faut attendre le 23 avril, l'UEFA doit donner à ce moment-là un avis un peu plus précis sur la reprise de ses compétitions."
Tuchel s'est remis aux Verts
18/04 19:29
En attendant de savoir quand il retrouvera les Verts en championnat (le 4 juillet ?) puis en finale de Coupe de France (fin juillet ?), Thomas Tuchel a récemment revu le match de son équipe contre Sainté, comme il l'a confié aujourd'hui sur le site officiel du QSG.
"On parle beaucoup entre nous avec le staff, on prépare des programmes individuels pour les joueurs, des recommandations. J’envoie des messages aux joueurs avec le programme et je prends des nouvelles mais pas trop. Je les laisse un peu tranquille. Je regarde beaucoup beIN Sports qui retransmet beaucoup de nos matches. Donc j’ai revu nos deux matches contre Marseille, les matches face à Dortmund, Saint-Etienne, Bordeaux… C’est bien pour regarder les matches tranquillement."