
Isma aide
16/04 19:37
Ayant joué 19 matches cette saison sous le maillot de Rizespor (antépénultième de L1 turque), Ismaël Diomandé se mobilise contre le coronavirus. Comme le souligne photos à l'appui le site ivoirien Mondial Sport, l'ancien milieu défensif des Verts a fait la semaine dernière des dons de produits alimentaires et domestiques destinés à ses compatriotes dans le besoin à Yopougon (Abidjan).
Balmont craint pour sa der chez les Verts
16/04 17:15
Vilain milieu dijonnais dont le mythique tir au but du 15 janvier 2013 décoché sous le maillot du LOSC restera à jamais gravé dans les les mémoires stéphanoises, Florent Balmont a évoqué aujourd'hui sur RMC la très incertaine fin de saison de L1.
"J’arrête quoiqu’il arrive en fin de saison. C’était prévu. On ne sait pas ce qui peut se passer. La santé est ce qu’il y a de plus important. Si ça doit s’arrêter, ça s’arrêtera. J’aurai profité au maximum. Je n’aurai aucun regret. Si ça s’arrête ? Une fin de carrière comme ça, avec autant d’années… On ne l’imagine même pas. J’avais pointé le dernier match. C’est contre Saint-Etienne. Je n’ai pas beaucoup d’amis là-bas en tant que Lyonnais."
Les Vertes privées de montée ?
16/04 16:53
Le comité exécutif de la FFF ayant décidé d'arrêter définitivement le championnat de D2 féminine et d'appliquer la même règle aux filles qu'aux réservistes stéphanois relégués en National 3 (quotient nombre de points obtenus / nombre de matches joués), les Vertes (2,467) finissent juste derrière les Havraises (2,500) et ne pourront donc pas retrouver l'élite, seules les premières des deux groupes étant promues.
Cruel pour les protégées de Jérôme Bonnet, qui avaient nettement battu les Normandes le 8 décembre dernier (4-1), et qui comptaient un match en retard à Yzeure, lequel ne se joueradonc jamais... Seule équipe invaincue, meilleure défense du championnat (9 but concédés) et deuxième attaque (36 pions claqués), l'ASSE regrettera longtemps les points précieux lâchés cet hiver sur le terrain des antépénultièmes niçoises puis à domicile contre les bonnes dernières dionysiennes...
Ricky positive
16/04 16:02
L'ancien attaquant stéphanois du FC Bâle Ricky Van Wolfswinkel (31 ans) s'est confié dimanche dernier au quotidien suisse Blick. Extraits.
"Je garde le sourire car je vais bien même si j'aurai connu une saison éprouvante. Lors des éliminatoires de la Ligue des Champions, j'ai eu le 7 août contre Lask une commotion. Les examens ont révélé un anévrisme cérébral, je savais que je serais indisponible au moins six mois. Certains avaient même évoqué une fin de saison pour moi mais j'ai quand même pu rejouer le 8 février contre le FC Zurich. J'ai même fait une tête et je n'ai senti aucune douleur. Mais par la suite les médecins ont découvert que le sang s'écoulait moins vite dans une artère de mon cerveau. Du coup j'au dû faire une pause de quatre semaines, je n'étais pas autorisé à faire des têtes ou des duels.
J'étais à nouveau opérationnel mais le championnat a été suspendu à cause du coronavirus. C'est dommage mais la situation est peut-être plus facile à vivre pour moi que pour les autres joueurs. Avec ce qui m'est arrivé, je sais déjà ce que ça signifie de ne pas pouvoir jouer pendant longtemps. Je m'occupe de mon fils Djoy et de ma fille Lovée. C'est prenant mais c'est également merveilleux. Le football, c'est accessoire dans le contexte actuel. J'espère pouvoir rejouer pour le FC Bâle. J'y crois, je suis une personne positive. Le club m'a très bien soutenu ces derniers mois. Je suis en fin de contrat en juin mais ça ne me préoccupe pas, on vit une période difficile pour tout le monde."
Crédit photo : Jeff Pachoud, AFP
La réserve reléguée !
16/04 14:25

Comme on le redoutait il y a trois jours, la réserve va bien descendre en National 3, le comité exécutif de la FFF ayant officiellement décidé aujourd'hui de mettre un terme à la saison de National 2 en fixant le classement selon le quotient nombre de points obtenus/nombre de matchs joués.
Avant-dernière, l'équipe de Razik Nedder n'a pris que 18 points en 21 matches. Battu 11 fois et ayant concédé le nul à 6 reprises, les Verts n'auront gagné que 4 matches cette saison, plombés par une attaque atone (19 pions claqués) et une défense perméable (32 buts encaissés).
Roby ne comptait pas sur Bobby
16/04 14:08

Dans sa dernière édition, L'Est Républicain retrace brièvement la carrière d'un joueur qui n'aura pas laissé des souvenirs impérissables à l'ASSE. Extraits.
"Robert Jacques a porté le maillot de l'ASNL durant 3 saisons, de 1982 à 1985. Originaire de Guadeloupe et formé à l'INF Vichy, il avait débuté sa carrière professionnelle à Valenciennes où il resta durant 6 saisons. C'est Aldo Platini qui était allé chercher cet ailier de débordement capable de jouer sur les deux côtés. Malgré une première saison rendue compliquée par des problèmes familiaux, il a marqué de son empreinte son passage à l'ASNL avec 27 buts en 95 matches de D1.
Il a même signé la meilleure saison de sa carrière en 1984-1985 avec onze buts à son crédit. Ce qui lui a valu de rejoindre la saison suivante le Paris SG avec lequel il a remporté le titre de champion de France en 1986. Celui qu'on surnommait "Bobby" sur les terrains a ensuite terminé sa carrière à Saint-Etienne où Robert Herbin ne lui fit guère confiance. Il raccrocha les crampons en 1988 à l'âge de 31 ans."
S'il a joué 18 matches lors de sa première saison stéphanoise (1986-1987) sous la houlette de Henryk Kasperczak, cet ancien attaquant aujourd'hui âgé de 63 ans n'aura fait que 4 apparitions lors de la seconde sous les ordres du Sphinx.
Khazri king du free-kick !
16/04 12:38
Ex-aequo avec l'ancien joueur danois d'Evian Daniel Wass et du vilain milieu rennais Clément Grenier, Wahbi Khazri est le joueur de l'élite qui marqué le plus de coups francs (8) dans l'élite française depuis dix ans comme le souligne aujourd'hui le site ligue1.com.
Pour rappel, c'est de la sorte que le numéro 10 des Verts a marqué le 30 novembre 2018 contre Nantes et le 12 janvier 2019 à Guingamp.
Viens, on s'arrange !
16/04 12:04
Canal + et Bein ayant suspendu le paiement des droits TV en attendant une hypothétique reprise des matchs, certains dirigeants, dont l'inarrêtable Bozzo, se font depuis un mois des noeuds au cerveau et multiplient les interventions à base de "la santé est plus importante" et "il faut à tout prix finir la saison"...
Les gros clubs sont les plus affolés, car la part du gâteau non encore versée concerne notamment le critère "notoriété" qui est celui qui les concerne plus directement que les "petits" clubs. Ainsi, le QSG (16M), Marseille (14M), les Vilains (12M), Sainté (9,5M), Monaco (8M) ou Bordeaux (7M) sont dans la panade.
Selon le Parisien du jour, les groupes de travail de la Ligue qu'on adule ont planché sur le sujet pour compenser ce manque à gagner : « en cas de droits télé non acquis au titre de 2019-2020 (entre 0 et 218 M€), une compensation pourrait être actée sur une quote-part équivalente des droits de la saison 2020-2021, pour garantir à 100 % des clubs 100 % des droits télé de la saison 2019-2020 ».
Plus précisément, il serait proposé de verser en priorité les premières échéances de la saison prochaine (notamment la première traite de 133,3 millions de Mediapro, payable le 5 août) à ceux qui sont aujourd’hui défavorisés par le non paiement par Canal et Bein.
Beaucoup de joueurs doutent énormément
16/04 08:49

Ancien défenseur des Verts et actuel vice-président de l'UNFP, Sylvain Kastendeuch se montre très prudent dans Le Parisien quant à une possible reprise de la Ligue 1.
"Depuis l’annonce du Président de la République, nous réfléchissons à plusieurs scénarios. Nous pesons le pour et le contre. Cela mérite encore des consultations sur la poursuite ou non du championnat. Il y a aussi une grosse réflexion interne au syndicat, nos avis sont partagés. Il y a une vraie possibilité que notre syndicat recommande de ne pas rejouer cette saison.
Il n’y a qu’une préoccupation : la santé des différents acteurs. Les joueurs, les staffs, les encadrants, tous. J'ai discuté avec deux coachs emblématiques de Ligue 1. Ils s'inquiètent de savoir comment la reprise va s'articuler physiquement après le confinement. La reprise pourrait s’accompagner d’une hécatombe de blessures. Il existe des inquiétudes sur la préparation nécessaire pour être prêt à jouer puis à enchaîner sur la saison d’après.
Beaucoup de joueurs doutent énormément. C'est un enchaînement terrible. Les joueurs ont le droit de se reposer. Ce n'est pas du tout le cas actuellement. Ils s'entraînent, ce n'est pas une période de congés. On ne peut pas imaginer qu’on renverrait les acteurs du football passer du temps ensemble sans avoir pris toutes les garanties. On veut toutes les assurances et les précautions pour protéger nos joueurs. Ce virus est très méchant et on ne le connaît pas bien."
Rummenigge remue le couteau dans la plaie
16/04 08:21
Président du Bayern Munich, Karl-Heinz Rummenigge évoque un douloureux souvenir pour les Verts dans la dernière édition du Corriere della Sera.
"Mon moment magique de footballeur ? A vingt ans, quand j'ai remporté avec beaucoup de chance la Coupe d'Europe des clubs champions contre Saint-Etienne. J'étais tellement fier quand j'ai soulevé le trophée !"
Matuidi est guéri
16/04 07:54
Blaise Matuidi, qui avait contracté le coronavirus il y a un mois, est guéri. Comme l'a annoncé hier le site officiel de la Juventus de Turin, l'ancien milieu de terrain stéphanois a subi deux tests qui se sont révélés et peut donc sortir de quarantaine.
Bonneau a dit non (2)
16/04 07:43

La Pravda du jour évoque les personnes susceptibles de succéder à Florian Maurice à la tête de la cellule de recrutement des vilains, l'ancien attaquant banlieusard étant en partance pour Rennes. Extraits.
"Présenté en favori, l'ancien milieu Bruno Cheyrou, actuel directeur sportif de la section féminine du PSG, présente des atouts. Mais d'autres profils sont étudiés, dont celui du Strasbourgeois Loïc Désiré. Le nom de l'ancien défenseur lyonnais Patrick Müller, qui travaille actuellement à l'UEFA, circule autour du club.
Ancien éducateur puis recruteur historique de l'Olympique Lyonnais, Gérard Bonneau aurait également été évoqué en interne mais sans être contacté. Actuel directeur de la cellule de recrutement du Servette de Genève, il a récemment décliné les avances de l'AS Saint-Étienne, en raison notamment de son attachement à l'OL."
La grosse crainte de Compan
15/04 22:10

Entraîneur du Hyères FC (N2), l'ancien attaquant et ex-entraîneur des U19 de l'ASSE Lilian Compan a exprimé une grosse crainte lors d'une interview accordée à Chronos.
"J'ai écouté le discours du Président de la République. Il a dit que le confinement dure jusqu'au 11 mai. Mais est-ce qu'on peut s'entraîner ? Ce n'est pas bien clair à mon sens son histoire. Le 12 mai, est-ce qu'on peut retourner sur les terrains avec les gestes barrières, sans vraiment de contact ? Je n'ai aucune réponse aujourd'hui, j'en aurai sûrement dans les semaines qui vont arriver. Aujourd'hui, clairement, moi j'ai une grosse crainte. C'est de dire à mes joueurs "reprenez l'entraînement", que l'un d'entre nous ait le virus, qu'on se le donne, et que l'un de nos parents décède..."
Fekir l'a fait jouir
15/04 17:01
Comme le rapporte madeinfoot, Bruno Genesio est revenu hier sur OLTV sur le très vilain derby du 5 novembre 2017.
"C'est un souvenir extraordinaire. Gagner un derby avec un record de buts est extraordinaire. La célébration du but de Nabil ? En direct, je trouvais ça un petit peu déplacé. Je me suis tout de suite dit que le match allait être arrêté et qu’on aurait pu mettre un ou deux buts encore. Avec le recul, cette image reste dans ma tête, c’est un très très bon souvenir. Cela me restera jusqu’à la fin. Ce geste pouvait passer pour un chambrage mais ça ne l’était pas. C’est indescriptible ce qu’il a ressenti avec ce cinquième but. Nabil Fekir n’est pas le genre de joueurs à chambrer."
Tronqué... et très con ?
15/04 15:46
Le Sainté-Nantes (0-2) d'il y a trois mois est à ce jour le dernier match à huis clos de L1. Il ne sera très probablement pas le dernier de la saison. Entraîneur des Canaris, Christian Gourcuff s'en désole dans la dernière édition du Télégramme et regrette que le financier prime sur le sportif. Extraits.
"L’option qui me semblait la plus avantageuse, d’un point de vue sportif, était de suspendre la saison en cours puis de reprendre à l’automne. Ça aurait donné la possibilité de commencer un nouveau championnat en février en se calquant sur l’année civile. Mais les aspects économiques sont la préoccupation majeure des dirigeants : il faut récupérer les droits télé. Une reprise en juin, avec des matchs tous les trois jours ? Il ne faut pas se faire d’illusion, ça va être un championnat tronqué. La coupure, les conditions de celle-ci, les matchs tous les trois jours…
Beaucoup de choses ne sont pas réglées, notamment en ce qui concerne les déplacements : les avions, les hôtels qui ne seront pas ouverts… Comment fera-t-on ? Sans oublier les huis clos, qui, pour moi, dans le football, sont une aberration. Et puis il y a les groupes ultras qui ne sont pas d’accord et peuvent menacer de se rassembler aussi. Ça montre bien que ce sont les aspects économiques qui décident. La seule façon d’avoir des certitudes était de reprendre à l’automne, une fois que tout serait rentré dans l’ordre. Et si ce n’était pas le cas, le foot n’aurait de toute façon plus de sens."
Le beau geste de Trauco
15/04 14:45
Comme l'a rapporté la nuit dernière le journaliste Jean-Pierre Maravi sur son compte twitter, Miguel Trauco a offert 100 paniers garnis qui seront distribués aux plus nécessiteux de ses compatriotes avec l'aide de la police nationale du Pérou.
Dyon dit attention à la préparation !
15/04 14:15
Ancien préparateur physique des Verts (à l'époque de Frédéric Antonetti), Nicolas Dyon souligne aujourd'hui dans Ouest-France l'importance de la préparation qui précèdera la probable reprise de la L1. Extraits.
"Le contexte est vraiment très différent du trêve estivale, il est psycho-physique. Pour un joueur, être éloigné de ses coéquipiers, perdre ses repères sur une période aussi longue… c’est assez perturbant mentalement. Ils n’ont pas l’habitude de ça. Au début du confinement, c’est sympa parce que l’on continue à faire un peu d’activité, mais sur la durée, s’entretenir c’est un peu plus délicat. Et il y a un aspect que l’on ne maîtrise pas, c’est l’aspect mental de ce confinement. Ça tape sur le système, et ça peut avoir un impact direct sur le physiologique. C’est important de rappeler que c’est le cerveau qui décide de tout.
Les clubs ont livré aux joueurs du matériel à domicile. Des vélos sur home-trainer, des rameurs… soit des outils très intéressants pour faire du cardio, mais aussi des élastiques, des haltères qui sont très bien pour faire du renforcement musculaire. J’en connais certains qui m’ont dit qu’ils avaient, pendant cette période, plus travaillé physiquement qu’avant. La seule chose qui peut-être inquiétante, ce sont les types d’effort en termes de dimension, de durée… Tous les efforts tenant à l’explosivité… ça, à moins d’avoir un grand jardin, c’est impossible à travailler. Et ça peut s’avérer dommageable car ces muscles-là, les ischio jambiers et les fessiers, lors de la reprise, n’auront pas été sollicités pendant un moment.
Les joueurs auront quatre à cinq semaines de phase de reprise qui permettront aux préparateurs physiques des clubs de les re-solliciter. Le danger est là. Cela peut entraîner des blessures à moyen terme qui ne se remettent pas comme ça en 5 jours. il va falloir être prudent sur la sollicitation de ces muscles explosifs, qui sont aussi les plus sollicités dans les matchs. D’autant que l’explosivité et la vitesse sont les deux qualités qui font la différence en compétition. J’appelle ça les situations d’urgence, offensives et défensives. Un autre critère ennuyeux dans ce contexte de reprise, c’est la chaleur qu’il fera peut-être en juin et en juillet.
Les entraîneurs vont-ils pouvoir remettre en place leur jeu de pressing ? Parce que ce style de jeu demande beaucoup d’efforts. Je me dis que l’aspect tactique va être encore plus important que d’habitude. Et, au final, est-ce que cette situation ne sera pas davantage aux équipes qui jouent bien au ballon, qui développent un jeu de possession ? La situation actuelle va bénéficier aux joueurs qui étaient sous le coup d’une longue blessure. Ils devraient revenir même avec un mental encore plus positif, en espérant à nouveau être décisif pour leur équipe."
On compte sur Zaydou Youssouf pour assurer le maintien et sur Kévin Monnet-Paquet pour inscrire le but victorieux en finale de Coupe de France !
Oscar au secours de son hosto
15/04 13:13
Ancien entraîneur de l'ASSE (17e de Ligue 1) et actuel coach du Celta Vigo (17e de Liga), Oscar Garcia a fait un don à l'hôpital de sa ville natale Sabadell (province de Barcelone). Sur son compte twitter, il a invité la semaine dernière tout le monde à aider les soignants dans leur lutte contre le Covid 19.
Toda ayuda es importante. Tú también puedes aportar âž¡ï¸âž¡ï¸âž¡ï¸â¦@parctauliâ© https://t.co/Cv0IrKQLwM pic.twitter.com/kp4qosW1Ql
— Òscar García Junyent (@oscargarciaj) April 9, 2020
Puel s'est appuyé sur Recordier
15/04 09:34
Comme le souligne la dernière édition de Nice-Matin, l'actuel entraîneur des Verts s'est appuyé sur l'ancien milieu de terrain de l'ASSE Serge Recordier pour réussir ses recrutements chez les Aiglons.
"Acheté 800 000 euros, vendu 12 M€, Jean-Michaël Seri incarne parfaitement le savoir-faire de l'OGC Nice de Claude Puel sur le mercato. Il fallait aller le chercher ce joueur à Paços de Ferreira en 2015. Serge Recordier s'est déplacé pour le voir lors d'un match à Porto. Lille et Monaco sont arrivés trop tard sur ce dossier.
De bonnes affaires, le Gym a aussi pris l'habitude d'en faire en L2. Claude Puel s'appuie particulièrement sur l'antichambre de l'élite française pour recruter sans grands moyens durant son mandat de quatre ans. Le coach s'appuie sur l'expertise de Serge Recordier, avec qui il a partagé huit ans à l'AS Monaco dans les années 80.
Alassane Plea (2014, prêté à Auxerre par l'OL), Maxime Le Marchand (2015, Le Havre), Rémi Walter (2016, Nancy), Arnaud Souquet (2016, Dijon) Arnaud Lusamba (2016, Nancy), Adrien Tameze (2017, Valenciennes) n'avaient jamais joué en Ligue 1. Ils ont disputé la Ligue Europa, voire un barrage de Ligue des Champions, sous le maillot de l'OGC Nice. Christophe Hérelle, lui, était suivi depuis sa première saison en L2, lorsqu'il évoluait en 2015 à Créteil.
Sur chaque match supervisé, le recruteur du Gym doit établir un rapport sur chacun des joueurs pour Claude Puel. Un travail minutieux, éprouvant. Le coach est à chaque bout de la chaîne dans ce fonctionnement. En amont, il donne ses critères par poste, les profils recherchés. Les recruteurs exposent leurs trouvailles, il tranche.
"C'est un combat parfois" avoue Serge Recordier. "Les entraîneurs voient davantage les défauts quand nous, on se fie à un potentiel. Il faut convaincre sur les aspects sportifs, débattre." Et effectuer parfois des ajustements. Plutôt sceptique au premier abord sur le dossier Plea, Claude Puel tirera la quintessence de l'ailier lyonnais en le replaçant en pointe.
"Ce n'est pas l'argent qui fait le succès du recrutement, c'est la qualité des hommes aux bons postes. Avec le bon entraîneur, qui crée l'osmose" appuie l'agent de Seri. "La chance qu'on a eue, c'est que Nice jouait au football. Puel voulait du jeu, Mika était à l'aise. Il n'aurait pas eu la même trajectoire partout."
Ce Janot, quel talon !
15/04 08:44
Il y a trois jours, Jérémie Janot est revenu pour Football Total sur sa passe décisive à la Beaujoire qui avait permis aux Verts d'arracher le nul dans le temps additionnel le 11 novembre 2006.
"En fait, heureusement que ça marche parce que j'ai Ivan Hasek qui m'interdit de monter. Moi je fais semblant de ne pas le regarder. Je me dis "j'espère qu'il va se passer quelque chose et qu'on ne va pas en prendre un troisième, sinon je suis mort !". Il y a un petit cafouillage, je fais une talonnade. Moi je pense avoir perdu le ballon mais il y a Vincent Hognon qui surgit et qui marque. Après dans les interviews je disais "ouais, ouais, je l'ai fait exprès", bien sûr, mais j'avais la goutte qui tombait."
Des joueurs ont peur de reprendre
15/04 00:16
Ancien défenseur des Verts et actuel vice-président de l'UNFP, Sylvain Kastendeuch se confie dans la Pravda de ce mercredi.
"Nous recevons chaque jour des témoignages qui traduisent l'inquiétude voire la peur des joueurs. Ils voient dans la presse que des scénarios de reprise se profilent et ils sont très inquiets pour eux et pour leurs familles. Ce mardi matin, l'un d'eux, très énervé, m'a dit qu'il avait peur qu'on les prenne pour des cobayes et qu'on prenne des risques inconsidérés avec eux. Un autre m'a dit qu'il préférait sacrifier sa carrière que mettre en danger sa santé et celle de ses proches. Je les ai rassurés en leur disant que la santé était la priorité des instances dirigeantes. En tant que représentants des joueurs, nous sommes ouverts à tout, mais c'est clair que nous serons intraitables et très exigeants concernant leur sécurité et leur santé."
Nous on joue au football et on n'a pas de frontières
14/04 23:36
Arborant fièrement le logo de l'ASSE sur son sweat et sur la fourgonnette qu'il conduit pour aller bosser en Allemagne, le jeune et sympathique président de la section des associés supporters "Moselle au coeur vert" Guillaume Tritz (26 ans) est passé au 20 heures de TF1 ce mardi soir dans un reportage sur les frontaliers diffusé à la 18e minute du journal.
A l'instar de sa cousine Marie et de son père Jérôme, il avait déjà été mis à l'honneur le juin 2018 dans Le Républicain Lorrain. "Quand j'ai eu mon permis à 18 ans, mon premier souhait était d'aller au stade Geoffroy-Guichard. On l'a fait. L'ambiance est exceptionnelle ! Heining-lès-Bouzonville - Sainté, ça fait 1 110 km aller-retour. En moyenne on faisait sept déplacements dans l'année, maintenant qu'on est abonnés on en fera plus" déclarait à l'époque cet amateur de pêche.
Bouanga redoute les huis clos
14/04 20:38

Meilleur buteur des Verts cette saison (12 pions en 35 matches), Denis Bouanga redoute de devoir reprendre la compétition sans public, comme l'atteste le tweet qu'il a publié ce soir.
Reprendre la @Ligue1Conforama sans notre public 😩ðŸ˜
— BouangaDenis (@BouangaDenis) April 14, 2020
S’il vous plaît pas de huis-clos ! 🤞ðŸ¾
Plein en virtuel, vide en réel ? (2)
14/04 19:20

Alors que la finale de Coupe de France risque fort de se jouer à huis clos, la finale virtuelle de l'ASSE contre le Covid-19 a fait déborder le Stade de France ! Le club a en effet annoncé en ce début de soirée avoir récolté plus de 88 000 euros.
A jamais les premiers
14/04 17:59
Dans une longue et intéressante interview accordée au potonaute SP42 et publiée sur le très bon site Soccer Populaire, Jean-Marie Lanoë rappelle que l'ASSE est le premier club français à avoir un musée et affirme que c'est le seul. Comme tout le monde et nul ne l'en blâmera, le Grand Reporter à France Football a oublié que les vilains ont également le leur ! On est (soccer) populaire ou on ne l'est pas...
"Le foot n’est pas culturel en France contrairement à l’Angleterre, l’Espagne, l’Italie ou l’Allemagne. En France, le foot est comparable au théâtre, les gens viennent au stade pour voir du beau jeu, mais ne sont pas tant supporter que ça, sauf traditionnellement à Marseille, Lens, à Sainté ou Paris.
Mais il n’y a aucune culture, aucun souvenir. Le passé en France n’a aucune importance et il n’y a qu’un seul musée dédié au foot, à Saint-Etienne. Basile Boli est en train de mettre ça en place à Marseille. Denis Law, Ballon d’Or 1967, quand il se baladait dans les rues en Angleterre, il provoquait un attroupement. En France, Raymond Kopa se baladait dans les années 80 en toute tranquillité.
La France est un peuple et un pays trop cérébral, avec un mauvais rapport au corps. Il n’y a pas de club d’importance culturelle qui ait l’équivalent du Barca, du Real ou du Bayern. Les clubs anglais, je n’en parle même pas. C’est quand même incroyable qu’il y ait autant de clubs londoniens et qu’à Paris tu n’en aies qu’un. C’est la preuve par A+B du manque d’intérêt quelque part pour le football."
Des Aiglons se sont envolés grâce à Puel
14/04 17:16
L'actuel entraîneur des Verts a contribué à l'envol de nombreux Aiglons lors de son passage au Gym (2012-2016), comme l'a rappelé hier Nice-Matin. Extraits.
"Il est plusieurs fois venu voir jouer les U15, les U17, les U19 avant de s'engager" raconte Alain Wathelet, directeur de la préformation à l'époque. "Il appréciait la qualité de jeu, la volonté de repartir de l'arrière". "Il manquait des étages à le fusée" image Puel. Malgré les contats non renouvelés (Sablé, Clerc, Hellebuyck) et les ventes (Mounier à Montpellier), le club est soumis à l'interdiction de recruter à titre onéreux. Puel mise sur des profils techniques libres (Kolodziejczak, Bauthéac) ou prêtés (Eysseric). Pas sur des recrues aguerries aux joutes du maintien. "D'abord parce que vous n'êtes pas sûr de vous maintenir. Et ensuite parce que vous êtes sûr en revanche de ne pas pouvoir faire progresser le club" insiste l'actuel coach des Verts, huit ans plus tard. "Il a remis la maîtrise technique au coeur des séances d'entraînement" rend hommage Alexandre Dellal, le préparateur physique.
Des entraîneurs auraient voulu un nom en attaque pour se rassurer, pas Claude" observe Serge Recordier, alors responsable de la cellule de recrutement. "Il a choisi Cvitanich en visionnant quelques images sous le maillot de Pachuca. Pour sa gestuelle, sa technique des deux pieds. "Visionnaire" selon son ancien adjoint Mengual, "Claude n'est jamais affecté par la blessure d'un titulaire. Il ne cogite pas, mettre un jeune c'est normal." Il ne subit pas, ne réfléchit jamais en fonction du résultat" insiste Julien Fournier. L'été 2015, Jordan Amavi est transféré pour 12 M€ à Aston Villa. "Un ancien attaquant qui n'était même pas titulaire lors du parcours en Gambardella" rappel Alain Wathelet. "Claude participait à toutes les réunions du centre, il connaissait les gamins. Il avait appelé Manu Pirès, le directeur du centre, pour lui proposer de le replacer en latéral gauche."
"Claude m'a fait suivre pendant un mois et demi tous les entraînements des jeunes, des U17 à la N2" détaille Serge Recordier. "Il voulait un rapport sur chaque joueur. Il nous a fait avancer quand on voit le nombre de joueurs formés chez nous qui évoluent aujourd'hui ailleurs. Tout ça n'existait pas à l'OGC Nice." "J'ai lancé 22 jeunes joueurs à l'OGC Nice, seulement deux ont posé problème. Parce qu'il y avait filiation, on parlera toujours de pistonnés. Les autres ont pu progressers ans épée de Damoclès au-dessus de la tête." L'été 2015, le coach a ajouté Vincent Koziello dans son collectif. "Il avait repéré son intelligence, sa faculté à couvrir les deux surfaces" se souvient Wathelet. "Dans un 4-4-2 en losange magnifique, Claude a parfaitement su gérer et utiliser le talent de Ben Arfa" ajoute Guy Mengual.
Peu importe si Jean-Michaël Seri s'affirme en pure révélation dès sa première saison, son coach le recadre devant tout le groupe lorsqu'il évoque son rêve d'évoluer un jour au Barça dans un entretien à L'Equipe. "Il a maintenu son groupe sous pression toute la saison, veillé à ce qu'aucun joueur ne sorte du cadre" avance Franklin Mala, l'agent du milieu ivoirien. "C'est ce qui a permis l'adaptation rapide de Mika et l'épanouissement de tout le collectif."
Khazri ne lâche pas l'affaire pour Cahuzac
14/04 14:35

Yannick Cahuzac met l'actuel numéro 10 des Verts dans son "onze parfait" concocté pour France Football. "Quelqu'un qui sort du Sporting club de Bastia. Un joueur qui a fait étape par étape. Il a encore de belles années devant lui. C'est un bosseur, un joueur de talent" explique le miloeu de terrain lensois.
Subotic romantique
14/04 11:29
Auteur d'une saison très correcte (19 matches, 1 pion) avec le promu Union Berlin (actuellement 11e de Bundesliga), l'ancien défenseur stéphanois Neven Subotic s'est confié la semaine dernière à la chaîne Deutsche Welle. Extraits.
"Malgré la grave crise sanitaire, sociale et économique que nous traversons tous, je suis dans une situation de luxe. Je ne fais pas partie des groupes à risques, je n'ai pas à m'inquiéter des pertes économiques et heureusement j'ai un réfrigérateur plein. J'ai conscience que c'est un luxe parce que ce n'est pas le cas pour des millions de personnes en Allemagne.
Je commence mes journées par du fitness, si je ne bougeais pas il me manquerait quelque chose. Après je m'occupe de ma fondation. Nous avons dû nous adapter à la situation et développer des plans pour les collaborateurs. De plus, nous sommes bien sûr en contact étroit avec nos partenaires en Éthiopie. Il y a actuellement une trentaine de cas officiels de Covid-19 qui ont été confirmés. En conséquence, mes journées sont principalement axées sur du travail sans rapport avec le sport.
Les huis clos ? En tant que footballeur, je suis fondamentalement très motivé et compétiteur, je veux gagner les matchs. Voilà pourquoi je joue au football. Mais je pense que nous verrons très rapidement que le football vit principalement des supporters. Ce qui rend le football spécial, c'est la culture des supporters. Leur regrettable absence aura un impact sur le jeu.
Les clubs sont des entreprises et poursuivent principalement des objectifs financiers. Tout le système est basé là-dessus, je n'en suis pas fan. Je suis un romantique. Il y a tellement d'argent dans le football, beaucoup de gens en profitent. Des mesures vont être prises suite à la crise sanitaire mais ce qui m'inquiète, c'est qu'on reviendra ensuite à la situation où on vendra des joueurs pour des centaines de millions. Le foot est tellement lucratif...
La situation actuelle doit nous encourager à faire preuve de davantage de solidarité. Si un joueur ne voit que son intérêt, refuse toute baisse de salaire et veut toucher le maximum, ce n'est pas solidaire. S'il va voir son employeur et accepte de renoncer à une partie de son salaire, c'est solidaire. Mais les clubs doivent également faire des efforts et être solidaires, ne pas regarder que leurs propres intérêts."
Genghini, plus Bleu que Vert
14/04 09:55

Ancien milieu de terrain des Bleus, Bernard Genghini évoque sans s'attarder son unique saison sous le maillot vert (10 pions en 41 matches en 1982-1983) dans la dernière édition de Nice-Matin. Extraits.
"La disparition de Michel Hidalgo m'a bien sûr beaucoup affecté. Il était un peu précurseur, il aimait le football offensif. Il aimait les beaux joueurs, la technique. Il aimait voir du jeu, c'était son plaisir... et le nôtre aussi ! J'ai connu une belle et invraisemblable épopée avec Sochaux. Je me souviens notamment de notre exploit sous la neige contre l'Eintracht Francfort grâce à un doublé de Patrick Revelli. A Saint-Etienne ça ne s'est pas très bien passé mais j'ai retrouvé un football qui correspondait mieux à mes qualités en Principauté. J'étais entouré de gros joueurs et de jeunes comme Amoros, Bellone, Bravo, Puel..."
Youssouf roi du dribble
14/04 09:16
Optus Sport a dévoilé aujourd'hui une stat surprenante : Zaydou Youssouf est le meilleur joueur de L1 au pourcentage de dribbles réussis cette saison (85,7%). Dans les cinq grands championnats européens, seul l'attaquant de Sheffield United Billy Sharp fait mieux (86,7%) !