Sainté calcule encore Kakuta ?

26/04 23:05
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Selon la Pravda à paraître lundi, Saint-Etienne s'est penché sur les conditions de sortie de l'international congolais Gaël Kakuta (28 ans), actuellement sous contrat avec Amiens jusqu'en 2022. Pour rappel, Galette avait essayé vainement de recruter en 2015 puis en 2017 ce milieu offensif qui a claqué 2 pions et délivré 5 passes décisives cette saison. Le quotidien sportif précise que le Racing Club de Strasbourg a également pris des renseignements sur un joueur qui avait brillé lors du spectaculaire 4-4 des Picards contre le QSG.

Moulin parti pour rester numéro un ?

26/04 22:49
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La Pravda à paraître demain évoque la problématique des gardiens à l'ASSE. Extraits.

"A 33 ans (34 en septembre), et à un an de son lucratif contrat (2,8 M€ par saison), Stéphane Ruffier se retrouve dans une impasse. Avec un choix à faire : rester et ne pas céder un centime à son club, ou partir pour trouver un contrat sur les trois ou quatre prochaines saisons ? Il indique à l'envi en privé qu'il honorera son contrat stéphanois jusqu'au dernier euro et qu'il n'a pas l'intention de faire preuve de mollesse face à ses dirigeants.

Puel, lui, a déjà une idée assez précise de sa gestion des gardiens pour la saison prochaine. Son souhait est de maintenir Jessy Moulin en tant que numéro un. Gardien de la campagne victorieuse en Coupe Gambardella en 2019, Stefan Bajic pourrait être prêté pour gagner du temps de jeu. Si Ruffier partait, un numéro deux expérimenté serait recherché. Ruffier n'a jamais caché son attrait pour la Série A."

Batlles prend les choses comme elles viennent

26/04 16:45
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Quatrième de L2 à trois points du leader lorientais et actuellement confiné en famille près de Sainté, l'entraîneur troyen Laurent Batlles s'est confié aujourd'hui dans La Provence. Extraits.

"Je ne voulais pas aller trop vite en besogne. Un club de Ligue 2 qui joue un rôle important chaque année dans ce championnat, c’est pour moi une très bonne expérience. Oui, c’est le bon compromis. En tant que joueur, c’est comme ça aussi que j’ai conçu ma carrière, en montant les échelons petit à petit. Il faut avoir beaucoup d’humilité dans ce milieu pour pouvoir avancer. Je suis bien. Est-ce que je pourrai aller plus haut ? Je ne sais pas. Est-ce que je resterai à ce niveau ? Je ne sais pas. Je prends les choses comme elles viennent.

Chaque entraîneur, dans le bon sens et dans le mauvais sens, vous apporte quelque chose. Dans les moments fastes, vous vous dites que c’est un super technicien parce qu’il vous fait jouer. Il y a eu des moments difficiles dans ma carrière, à Marseille ou à Toulouse, avec des entraîneurs avec qui ça s’est moins bien passé ; mais c’est là aussi que vous tirez le plus d’enseignements. Vous ne voulez pas faire vivre à vos joueurs ce que certaines personnes vous ont fait vivre dans votre carrière. Tout ça permet d’avancer, de réfléchir. J’ai vécu de grands moments, notamment au tout début avec Alain Giresse, qui était peut-être l’entraîneur qui me correspondait le plus de par mon jeu. Mais je me suis épanoui dans beaucoup de clubs, comme à Marseille avec José Anigo.

Je suis parti trop tôt de Marseille, sans doute pour un peu d’ego surdimensionné. Je n’ai pas accepté plus ou moins, après une année où j’avais été l’un des meilleurs buteurs et passeurs, d’être un peu mis de côté par Jean Fernandez. Je pense que j’ai fait une erreur en partant, j’aurais dû m’accrocher pour gagner ma place. J’ai choisi la solution de facilité. Même si on dit toujours que c’est dur, qu’il y a de la pression, les joueurs aiment avoir cette pression pour avancer. C’était mon cas. Dans ce club, vous vivez des choses que vous ne vivez pas ailleurs. Autant dans les bons que dans les mauvais moments. Tout s’est toujours bien passé. C’est très très fort de jouer pour l'OM."

Clément fait rimer Sainté et fierté

26/04 14:49
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Décidément très présent médiatiquement depuis le début du printemps, le nouvel entraîneur berjallien Jérémy Clément a derechef évoqué ses vertes années aujourd'hui sur le site de So Foot.

"Le club sortait d'une période compliquée, et avec Christophe Galtier, nous avons réussi à le réinstaller en haut du classement. Que ce soit l'ambiance, le groupe, mes performances, j'ai tout donné pour les Verts et j'ai adoré faire partie de cette belle ère du club pendant six ans. Même si j'étais blessé pour la finale de la Coupe de la Ligue 2013, ce fut un incroyable moment. On joue pour rendre heureuse une ville et offrir aux supporters le premier titre depuis 32 ans, pour leur première au Stade de France, c'est une immense fierté. À Geoffroy, c'était souvent le feu et je me rappellerai toujours l'ovation du stade à mon retour de blessure. C'était très fort. En matière d'ambiances, j'ai été servi. J'ai eu la chance de jouer avec des joueurs magnifiques pendant ma carrière : Juninho était énorme, Pauleta exceptionnel et Loïc Perrin un défenseur incroyable. Mais en matière de talent pur, celui qui m'a le plus impressionné est Hatem Ben Arfa. Il était hallucinant."

En attendant la finale...

26/04 14:05
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... Jolan42 nous fait revivre en images le parcours des Verts cette saison dans cette compétition. A voir et à revoir, comme tous les excellents clips produits par ce fidèle potonaute !

 

On aurait bonne mine...

26/04 10:11
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Ancien défenseur des Verts et actuel coprésident de l'UNFP (Union Nationale des Footballeurs professionnels), Sylvain Kastendeuch s'est exprimé hier dans Nice-Matin. Extraits.

"Avec Junior Sambia, nous avons ici un premier cas d’un jeune footballeur, en pleine force de l’âge qui se retrouve en difficulté. Ça conforte les inquiétudes et les questions que l’on peut se poser par rapport à cette maladie et par rapport à la suite. Vous imaginez un peu si l’on forçait une reprise des compétitions et que l’on se retrouvait avec une seconde vague qui viendrait du football ? On aurait bonne mine. Parce que je rappelle qu’un match à huis clos, c’est au minimum une centaine de personnes qui se regroupent....

Que l’on regarde plus loin que le simple objectif d’une reprise à court terme, ayons une vision sur du long terme ! En imaginant une fin de saison à l’arrache, avec un enchaînement sur la prochaine qui sera, en plus, suivie d’un Euro, vous imaginez la casse? On a fait un sondage et 75 % des joueurs craignent une blessure en cas de rythme effréné dès la reprise. Dans leur grande majorité, les médecins sont d’ailleurs dubitatifs sur la capacité des joueurs à faire des entraînements collectifs. Et je ne parle même pas de matches.

Ceux qui veulent absolument que ça reprenne seront les premiers à râler quand on sera face à une hécatombe à l’automne ou à l’hiver prochain. Les joueurs se sont félicités de l’accord salarial dont on s’est occupé pour eux. Il y a une grande confiance entre eux et nous. Maintenant, il faut aussi un syndicalisme moderne et je m’étonne que nous ne soyons pas conviés aux réunions de la Ligue. On ne peut pas être qu’en réaction pour venir résoudre les problèmes des salaires de mars et d’avril. On doit construire ensemble le football de demain. Il faut avoir cette ambition."

Papy aide la Croix-Rouge

26/04 09:42

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Capitaine d'un FC Lorient actuellement leader de L2 avec un point d'avance sur le RC Lens, Fabien Lemoine a troqué il y a trois jours son maillot des Merlus pour la chasuble des secouristes de la Croix-Rouge. Comme l'atteste cette vidéo du Télégramme, l'ancien milieu de terrain stéphanois a participé à la livraison de produits de première nécessité et de médicaments à plusieurs personnes isolées à Lorient.

Planté a lâché à Sainté

26/04 09:12
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Actuellement entraîneur des gardiens à Chambly (L2), Vincent Planté a évoqué son passage à Sainté hier lors de l'émission 100% Ligue 1.

"J'ai quitté Caen pour Saint-Etienne en 2009. J'avais reçu deux offres à l'époque. Moi je n'avais jamais demandé à quitter le club, il me restait un an de contrat à Caen. Malheureusement dans les transferts on n'est pas maître de son destin. Moi j'avais proposé au président un contrat plus long mais avec un coût financier moindre pour rester au club. Mais nous on est de la marchandise pendant le mercato, on est des bouts de viande. On n'a pas trop notre mot à dire sauf quand on est un très grand joueur. Ceci étant le Stade Malherbe m'a tellement donné qu'aujourd'hui je n'ai aucun regret.

Je n'ai aucun regret non plus avec ce qui s'est passé derrière à Saint-Etienne car ça a été une super expérience pour moi en tant qu'homme surtout. J'ai beaucoup appris, beaucoup grandi là-bas. C'est vrai que Jérémie Janot avait de très bonnes bases et avait construit quelque chose d'énorme à Saint-Etienne. La hiérarchie est faite pour être bousculée. Maintenant, je ne vais pas dire que je n'ai pas réussi mais je pense que ça aurait pu se passer autrement. Le destin en a décidé autrement, je suis passé à autre chose. J'ai continué mon petit bout de carrière et je suis très fier de ce que j'ai fait.

Est-ce que la concurrence a été saine à l'ASSE ou est-ce qu'on m'a compliqué la tâche ? Je vais être honnête, on m'a compliqué la tâche. Après, moi, j'ai sûrement lâché aussi inconsciemment quand j'ai vu que ça devenait impossible. J'ai sûrement lâché, ça a peut-être été là mon tort. Oui, on m'a compliqué la tâche. Jérémie a fait ce qu'il devait faire sur le terrain. Il le faisait bien. Cela se joue sur des détails, que ce soit sur le terrain, en-dehors, les comportements qu'on peut avoir avec le staff technique et les supporters, tout ça rentre en compte. A un moment donné c'est moi qui ai lâché, pas les autres."

De tout coeur avec toi Roby ! (4)

26/04 07:47
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Dans la dernière édition du Progrès, Roland Romeyer affiche son soutien à Robert Herbin.

"Durant toute sa vie, Robert Herbin a mené beaucoup de combats, celui qu’il mène aujourd’hui est difficile. Je lui apporte tout mon soutien. On a beaucoup de reconnaissance pour Roby. On en a eu des grands entraîneurs mais Herbin, c’est le plus grand. Celui qui a eu le plus gros palmarès. Il a gagné neuf titres de champion de France sur les dix que compte le club. C’est grâce à lui si on a l’étoile sur le maillot.

Roby a été un guide pour tous les entraîneurs. Il était précurseur dans sa manière de coacher. J’en ai souvent parlé avec les anciens. Physiquement, aucune équipe n’était à la hauteur de l’ASSE. C’est ce qui faisait notre force. Les gars avaient un gros moteur. Avec lui, ça ne rigolait pas. Robert Herbin a marqué l’histoire du club. Si l’ASSE est mythique, c’est à lui qu’on le doit."

Le quotidien régional confirme que l'état de santé du Sphinx est très préoccupant : "Outre des problèmes cardiaques et pulmonaires non liés à l’épidémie de covid-19, les examens complémentaires ont décelé un état général très inquiétant qui n’inciterait pas à l’optimisme selon ses proches."

Berthod, idiot ! (3)

25/04 23:52
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Dans la Pravda de ce dimanche, le banlieusard Jérémy Berthod revient sur le vilain dérapage qu'il avait commis sur Beurk TV en commentant le derby du 5 février 2017 à GG (victoire des Verts 2-0, buts de Kévin Monnet-Paquet et Romain Hamouma).

"J'ai adoré mon expérience de consultant à OL TV. Je parlais de mon club, je revenais aux sources. Mes commentaires au sujet de Lemoine ? Je n'ai pas été correct mais les réactions ont été très dures. Ça m'a fait mal, on m'a catalogué alors que je ne suis pas violent."

Janot et Guillou se chérissent et surenchérissent

25/04 22:33
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La Pravda à paraître demain publie un papier sur le chambrage auquel se livrent deux anciens chouchous du Chaudron sur twitter par vidéos interposées. Extraits.

Jérémie Janot : "Un jour, j'ai chambré Pat sur Twitter en publiant une petite vidéo montrant un mec loupant un centre du pied gauche. Dessous, j'ai écrit : "tiens, Pat Guillou est en grande forme". Cela ne pouvait pas rester impuni. Twitter nous offre le bon réseau social. Son public se prête à nos punchlines. Normal, on est des "d'jeuns" ! Comme les gens filment de plus en plus leurs gadins et situations cocasses, j'ai trouvé plusieurs sites sur YouTube. Je dispose même de deux ou trois mines d'or... Mais on ne se dévoile pas nos sources. Je télécharge les vidéos, je les coupe, les monte et les classe dans un dossier "Pat Guillou". Le truc, c'est de trouver la private joke qui va avec. Puis, je les publie. Rien n'est scénarisé, tout est spontané. Donc, ça marche. On veille à ne pas tomber dans une surenchère débile. Pour ses 50 ans, je me suis fait plaisir... Mais, nous connaissant, aucun des deux ne va lâcher l'affaire. Il faudra attendre que Twitter s'arrête.

Patrick Guillou : "Depuis fin 2017, c'est de la surenchère permanente. On se chambre, comme on avait l'habitude de le faire dans le vestiaire de Geoffroy-Guichard. Malgré notre écart d'âge, on a fait les mêmes bêtise. On les assume et on en rigole aujourd'hui, en prenant beaucoup de recul. On a envie de s'amuser et de faire rire, à commencer par nous-mêmes, sans méchanceté et avec autodérision. Il s'agit d'une thérapie par l'humour, teintée d'un brin de nostalgie de nos années de footballeur, à laquelle Twitter se prête. Après notre pastiche du jeu de France 2 les Z'amours à l'occasion de la journée mondiale contre l'homophobie, les censeurs et la bien-pensance de Twitter ont été d'une virulence incroyable et d'une violence sans nom. Notre chambrage se veut bienveillant, sans message politique ni d'engagement. Mais des gens prennent notre quatrième degré au premier. Cela montre combien l'humour est un numéro d'équilibriste."

Une année de Vicqtoires !

25/04 21:50
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C'est hier soir que la montée en championnat Régional 3 de L'US Vicq sur Gartempe a été validée par la Ligue de Nouvelle-Aquitaine. Ce club est très cher au Directeur du Centre de formation de l'ASSE, Philippe Guillemet, qui a y fait ses premiers pas de footballeur avant de partir à Chatellerault puis à Laval où il a effectué la majeure partie de sa carrière professionnelle. C'est un exploit pour un village de 650 habitants d'arriver à l'échelon régional pour la première fois de son histoire, une histoire vieille de 50 ans dignement fêtée l'automne dernier.

A noter que lorsque le championnat a été arrêté, l'US Vicq n'avait joué que 10 matchs sur les 22 prévus, de nombreuses rencontres ayant été  reportées pour terrain impraticable, et elle n'avait pas encore subi la moindre défaite (7 victoires et 3 nuls).  

De tout coeur avec toi Roby ! (3)

25/04 21:02
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Le Parisien, qui indique ce soir que Robert Herbin est "entre la vie et la mort", a recueilli brièvement la réaction de Laurent Paganelli.

"C'était mon père quand j'étais joueur, il est mon entraîneur pour la vie. Il compte beaucoup, beaucoup : on aimait les mêmes choses : Brassens, Brel, la grande musique. Je lui donne tout mon amour"

Sainté gravé à vie en Rémy

25/04 19:56
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Remis de sa grave blessure au genou survenue le 21 août dernier avec Krasnodar contre l'Olympiakos, Rémy Cabella a répondu hier à quelques questions de supporters stéphanois lors d'un live instagram où il a encore affiché son sourire Ultra Brite ainsi que ses tatouages sur son torse nu.

"Mon meilleur souvenir à Sainté ? Mon premier but ! En mois de quarante secondes, c'était incroyable ! Je savais que j'étais déjà à la maison. Voir ce Chaudron, c'était incroyable ! Je remercie les supporters stéphanois du fond du coeur.

Assane Diousse ? L'une de mes plus belles rencontres dans le foot. Je me suis régalé avec lui. C'est la joie de vivre incroyable. C'est ce que j'aime, quelqu'un qui ne se prend pas la tête. Il me manque énormément.

Loïc Perrin ? Capi, c'est l'un des joueurs les plus gentils que j'ai connus de toute ma carrière. Vraiment ! Il représente énormément la ville de Sainté, et je l'en félicite. C'est vraiment une personne adorable. Je n'ai aucune pensée négative sur lui, il ne s'énerve jamais.

Sainté ? Cela restera gravé en moi à vie. Je n'oublierai jamais ce qu'ils ont fait pour moi, que ce soit le club, les supporters... Je les ai dans le coeur à vie. Je ne les remercierai jamais assez car j'ai connu des émotions incroyables. Merci vraiment !

Jean-Louis Gasset ? Je me souviens quand il disait "passez le ballon à la technique". C'était moi la technique ! (rires) Jean-Louis pour moi c'est un grand homme, je ne peux dire que ça ! Merci Jean-Louis pour tout, vraiment !

Romain Hamouma ? Mon Rom, ça c'est mon ange gardien. Rom je suis tous les soirs avec lui en jeu vidéo sur l'ordi. Tous les soirs, tous les soirs ! On ne se lâche pas ! Du sang, du sang, Roms !

William Saliba ? Il est très fort. Willo, il mérite tout ce qui lui arrive. Je lui souhaite encore le meilleur pour la suite de sa carrière. Et j'espère qu'un jour je lui remettrai un petit pont.

Jessy Moulin ? C'est impossible de marquer. A l'entraînement je vais mettre contre lui juste pour marquer. Lui il voulait être avec moi pour gagner. Il me manque mon Jess !

Stéphane Ruffier ? Ma Ruff', il fait partie des meilleurs gardiens français de ces dernières années. Si Sainté en est là, c'est aussi grâce à lui. Enormément. Je suis triste de ce qui lui arrive et j'espère que ça va s'arranger.

Mon association avec Denis Bouanga ? J'imagine, j'imagine. Je pense qu'on aurait fait des ravages. Denis, déjà tout seul il fait une saison magnifique, incroyable. Si Sainté en est là, c'est grâce à lui. J'aurais kiffé jouer avec lui et il le sait.

Ghislain Printant ? Je l'ai connu, j'avais 14 ans donc pendant toute ma formation. Il a été une personne très chère pour moi, il a été très important. Franchement, j'aurais tellement aimé que ça marche à Sainté pour lui car il le mérite.

Mathieu Debuchy ? Debuch' c'est un guerrier. Si t'as besoin d'un joueur dans ton équipe tu prends Debuch'. Tu sais que tu peux aller à la guerre avec lui. Et ne dehors de ça c'est aussi un très grand bosseur. Il a une très grande carrière.

Le plus grand chambreur à Sainté ? Je chambre beaucoup aussi mais le plus c'est Wahbi. Il est incroyable ! Tu passes une heure avec Wahbi, il a déjà chambré toute la planète.

Est-ce que Yann M'Vila marquait à l'entraînement ? De temps en temps ça lui arrivait. Quand il marquait, tout le monde le savait, il courait autour du stade et tout. Je n'imagine même pas son premier but à Sainté. Soyez prêts, attention ! Il en est capable. Une petite ouverture du pied, là..."

No doubt, don't speak !

25/04 16:58
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Pas de doute, Emmanuel Demont ne parlera pas ce soir au Stade de France. Alors qu'il aurait dû officier avec son homologue du QSG sur la pelouse dyonisienne, le speaker officiel de l'ASSE restera sagement à la maison comme nous tous. Privé de micro par ce putain de virus, le joueur de cornemuse a rédigé aujourd'hui un message sur compte facebook.

"Ce 25 avril aurait dû être jour de bonheur et de partage de tout un peuple. Les meilleurs supporters de France devaient envahir un stade à la hauteur de leur ferveur. Ce devait être pour moi l’aboutissement de ma carrière.... Grosse pensée pour les supporters, staffs et joueurs qui auraient dû vivre pour certains leur première finale. Mais la vie et la santé de tous restent le plus important dans ces moments. Merci à tous ceux qui prennent soin de nous."

En attendant la septième...

25/04 15:38
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... Coupe de France que les Verts auraient pu soulever dès ce soir si ce sale virus n'avait pas repoussé l'échéance au moins de quelques semaines, Eurosport nous propose de revivre en images les six finales remportées par les Verts.

Broissart, bonhomme picard... et stéphanois !

25/04 15:14
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S'il a fini sa carrière de joueur chez les vilains où il a hélas (à l'instigation d'Aimé Jacquet) contribué à faire progresser la formation banlieusarde, l'ancien milieu de terrain José Broissart (73 ans) retient avant tout ses vertes années, comme il l'a expliqué dans l'hebdomadaire Le Bonhomme Picard.

"Je suis né à Ravenel (Oise). J'ai joué minime là-bas et très rapidement je suis allé à Beauvais. J'ai joué en CFA alors que j'étais cadet. Ensuite j'ai rejoint le Racing Club de Paris, qui évoluait en deuxième division. Deux ans plus tard j'ai été à Sedan, où j'ai fait mes débuts en première division. Je suis ensuite parti à Saint-Etienne, le meilleur club français. J'ai joué un peu plus de quatre ans là-bas, de 1969 à 1973, avant de rejoindre Bastia. C'est à l'Olympique Lyonnais que j'ai fini ma carrière à 32 ans. J'ai été le directeur du centre de formation de l'OL de 1979 à 2002. De 2002 à 2006, j'ai dirigé le centre de formation de l'AS Monaco.

Dans ma carrière, j'ai connu des joueurs marquants surtout à Saint-Etienne : Robert Herbin, Aimé Jacquet, Jean-Michel Larqué, les frères Revelli et bien d'autres... Mon plus beau souvenir, c'est l'une des plus victoires de l'A.S. Saint-Etienne, contre le Bayern Munich qui était le club phare en Europe. Nous avions perdu 2-0 à l'aller en Allemagne mais on a remporté le match retour 3-0 à Saint-Etienne. Ce fut le départ de la grande épopée européenne de l'ASSE. Bien sûr mon passage à Saint-Etienne, le fait d'avoir porté ce mythique maillot vert mais aussi celui de l'équipe de France, ça reste dans un coin de ma tête."

Dijon prêt à hériter d'Ilunga ?

25/04 10:32

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A la recherche d'un nouveau directeur sportif, le DFCO est en contact avec Hérita Ilunga selon RMC. Ayant obtenu il y a six mois son diplôme universitaire de "Manager général de club sportif professionnel" délivré par le Centre de Droit et de l'Economie du Sport à Limoges, l'ancien latéral gauche des Verts est actuellement membre de la commission technique et développement de la Confédération Africaine de Football.

Nanard fantasme ?

25/04 10:20
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Le quotidien Ouest-France évoque aujourd'hui la problématique du salary-cap prôné par Nanard.

"Bernard Caiazzo propose de plafonner les salaires de l’équipe en accordant, sur le modèle américain, des exceptions pour "trois à quatre joueurs". En 2010, pour sauver un club au bord de la faillite, les Verts avaient déjà tenté d’installer un salaire maximal de 90 000 € mensuels, avec 40 % de revenus supplémentaires grâce à des primes. Cela a explosé au fil des ans, sous la pression de la concurrence. Même dans la ligue américaine de foot (MLS), le système pose aujourd’hui question. Wayne Rooney a récemment plaidé pour que les franchises se calent sur le modèle européen, affirmant que le salary cap freinait leur développement. Sans harmonisation entre les 55 fédérations européennes, les économistes n’y croient pas. "En l’état, c’est un fantasme", tranche Vincent Chaudel, de l’Observatoire du sport business. "Cela suppose de l’accompagner par une politique fiscale commune entre les États", ajoute Loïc Ravenel, du CIES. "Il faut aligner les dépenses sur les recettes, comme le préconise le Fairplay financier, répond Vincent Chaudel. Mais qui va pouvoir imposer cette régulation ?"

 

Le joli geste des Verts de Margeride

25/04 09:27
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Comme la rapporte la dernière édition lozérienne du Midi Libre photo à l'appui, les Verts de Margeride (association de supporters de l'ASSE) ont acheté des chocolats et des viennoiseries chez les commerçants locaux pour les offrir au personnel soignant et aux résidents de l'EHPAD Nostr’oustaou de Grandrieu.

Quand Merlebach allait au charbon face au champion (2)

25/04 08:55
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Ancien joueur du SO Merlebach, François Michalski revient aujourd'hui dans Le Républicain Lorrain sur le 32e de finale de Coupe de France que son club a failli gagner au Parc des Princes en janvier 1958 face aux champions en titre stéphanois, vainqueurs 5-3 après prolongation.

"En 1967, alors que je faisais l’école des Mines à Saint-Etienne, j'ai signé une licence amateur chez les Verts. Je me suis retrouvé devant Jean Snella, l’entraîneur des pros, déjà en poste en 1958. Je lui ai indiqué que je venais de Freyming. Puis j'ai prononcé le nom "Merlebach". Les yeux de Jean Snella se sont écarquillés. Il m’a confié avoir eu la frousse de sa vie jusqu’à l’égalisation in extremis de son équipe. Il avait été sidéré par la technique des joueurs, le jeu du SOM et surtout par la personnalité de l’entraîneur Henri Hiltl. C'était un ancien pro autrichien, naturalisé français. Il a fait partie de la Wunderteam autrichienne, une des meilleures sélections d’avant-guerre. Nous l’appelions papa Hiltl car il était non seulement un remarquable entraîneur mais également un éducateur exceptionnel pour tous les jeunes des cités minières de Freyming et Merlebach."

Lopez revient sur sa der en vert

25/04 08:29
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Dans Le Progrès du jour, Christian Lopez revient sur son dernier match sous le maillot vert, perdu aux tirs au but en finale de Coupe de France contre le PSG le 15 mai 1982. Extraits.

"C'est à la fois un bon et un mauvais souvenir. Pour moi qui étais capitaine, j’aurais bien aimé soulever la coupe une dernière fois. Là, c’est moi qui fais perdre le match. Au moment de désigner le sixième tireur stéphanois, tous mes potes avaient la tête baissée. Pourtant, il y avait des tireurs, Janvion qui les réussissait tout le temps à l’entraînement, Nogues, Rep… J’y suis allé mais j’étais agacé et donc pas concentré. D’ailleurs, je le tire mal, je ne prends pas assez d’angles. Sur l'égalisation de Dominique Rocheteau en toute fin de prolongation, Doudou est pratiquement à ma hauteur sur le centre en retrait alors que je bouche le premier poteau. Je crois que c’est lui qui devait prendre Dominique qui est tout seul avec deux autres Parisiens."

L'actuel manager général de l’ES Cannet-Rocheville (Alpes-Maritimes) cite par ailleurs les joueurs qui l'ont le plus marqué lors de ses 14 années sous le maillot vert.

"Salif Keita avait tout. C’était un félin, il savait tout faire même s’il ne fallait pas lui demander de revenir défendre (rires). Hervé Revelli, dans les 16 mètres, c’était un buteur extraordinaire. Je pourrais citer aussi Michel Platini ou encore Jean-Michel Larqué. Avec eux on n’était pas emmerdé quand on ne savait pas quoi faire du ballon. L’année du dernier titre en 1981, c’est Platoche qui nous a tirés vers le haut. Johnny Rep, quand il jouait à 50 % il était très bon."

Nanard évoque la finale

25/04 07:56
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Dans la dernière édition du Progrès, Bernard Caïazzo évoque la finale de Coupe de France, que Noël Le Graët souhaiterait programmer le 13 ou le 20 juin.

"C’est la Fédération qui décide, nous n’avons pas à donner notre avis. Nous, on aurait préféré jouer plus tard avec nos supporters. Mais même au mois d’août, nous n’aurons, paraît-il, pas de supporters dans les stades. Donc, on sera bien obligé de jouer selon les directives de la FFF. Si la finale ne se joue pas, cela voudra dire que le championnat ne se termine pas. L’OL risquerait alors de prendre la place en Europa League si le classement était arrêté à la fin de la 27e journée. Mais on n’a pas le droit de se plaindre. Je pense aux personnes âgées dans les maisons de retraite qui ne peuvent pas voir la famille."

Mythe et ermite

25/04 07:47
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Peiné par l'aggravation de l'état de santé de Robert Herbin (hospitalisé depuis plusieurs jours au CHU de Saint-Etienne), Christian Lopez évoque aujourd'hui dans Le Parisien le côté solitaire du mythique ancien entraîneur des Verts.

"La dernière fois que je l'ai vu, c'était en 2016 pour commémorer les 40 ans de la finale de la Coupe d'Europe. Dans la ville, il y avait eu une semaine de festivités. Une semaine où on ne s'est pas quittés. Mais Roby, on ne l'a vu qu'une fois lors d'un déjeuner ! Il avait l'air pourtant content d'être avec nous. Et pourtant, le lendemain, il était déjà enfermé dans sa maison. Chaque année, j'organise en septembre une compétition de golf à Saint-Etienne avec les anciens Verts. Herbin n'est jamais venu une seule fois alors qu'il est évidemment invité. Mais lui, il a toujours préféré sa musique classique et ses chiens au reste. C'est un ermite. J'espère qu'il va s'en sortir."

Dominique, tu nous a trahis !

24/04 23:52
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Dans la Pravda de ce samedi, Dominique Rocheteau revient sur la dernière finale de Coupe de France entre l'ASSE et le PSG avant d'évoquer la prochaine. Extraits.

"En 1982, Saint-Etienne était le gros club, la grosse équipe de l'époque avec ses stars comme Michel Platini et Johnny Rep. Les Verts jouissaient d'une autre aura que le PSG et son côté un peu fantasque. On avait beau jouer chez nous, on était loin d'être favoris. Cette finale, on l'a gagne d'un rien. Autant contre le Dynamo Kiev je marque le troisième but alors qu'il reste sept minutes à jouer dans la prolongation, autant là j'égalise vraiment à la dernière seconde. Les Stéphanois me disent encore aujourd'hui : "Dominique, tu nous a trahis." C'est dingue de constater combien cette finale et ce but ont marqué les gens. Si ce ne fut pas un grand match, il a été hyper spectaculaire. Ce fut aussi le dernier de Michel avec un club français.

A la fin du match, j'étais content mais il n'y a pas eu d'effusion de joie de ma part. J'avais participé au tour d'honneur après notre qualification contre Nantes. Là, je rentre au vestiaire. C'est Saint-Etienne et plein de copains en face. Donc c'est différent. Il n'y a vraiment pas d'animosité entre les deux équipes. D'ailleurs, un pont est en train de se mettre en place entre l'ASSE et le PSG. Jean-Michel Larqué et Dominique Bathenay l'ont emprunté avant moi. Il y aura Gérard Janvion et bien d'autres après. J'aurais préféré joué ce match de gala contre un autre club. C'est sûr, les Stéphanois peuvent m'en vouloir. Cela a vraiment été un match particulier pour moi.

Remporter une Coupe de France, il n'y a rien de plus beau. C'est mieux qu'un titre de champion qui se gagne sur la durée. A l'époque, on ne le fêtait pas comme aujourd'hui. Comme une finale se joue sur un match, en termes d'émotions et d'intensité, c'est fabuleux. On joue au foot pour vivre ces moments-là. J'ai ressenti de nouveau ça lors de la finale de la Coupe de la Ligue contre Rennes. Même en tant que dirigeant de l'ASSE, je suis passé par toutes les émotions. Parce que perdre une finale, c'est le pire. Tu arrives au bout et tu échoues. C'est terrible. J'ai connu avec le PSG contre Monaco en 1985, nous avions eu l'impression d'être passés à côté de ce match.

La finale de 1982 marque un tournant dans l'histoire des deux clubs. Elle a offert le premier titre à Paris. Ce match est important pour son histoire car, par son biais, le PSG a acquis un certain public. Saint-Etienne, lui, a dû attendre plus de trente ans pour en disputer une. Mais pour moi, c'est plus le départ de Michel que l'affaire de la caisse noire qui a engendré le déclin des Verts. Qui je supporterai la prochaine finale ? (Rires) Aujourd'hui, je suis encore stéphanois même si j'aime beaucoup le PSG, bien sûr. Je viens de repasser dix ans à Saint-Etienne. Ce que je souhaite de tout coeur, c'est qu'on joue cette finale avec tous les supporters au Stade de France, afin qu'on puisse vivre plein d'émotions tous ensemble."

Roro contre une finale à huis clos

24/04 23:14
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Roland Romeyer évoque la crise sanitaire et la finale de Coupe de France dans la Pravda à paraître ce samedi. Extraits.

"Ma fille Cécile est cardiologue au CHU de la ville [où Robert Herbin est hospitalisé depuis mardi selon le quotidien sportif, ndp2]. Elle est en première ligne et ce qu'elle me raconte, ça me rend triste et malheureux. Bien sûr, on y a pensé à cette date du 25 avril qui aurait dû être celle de la finale de Coupe de France. Mais sincèrement, on pense davantage à cette crise. Ce qui nous fait vivre, c'est la santé, c'est donc elle qui doit prévaloir.

Il n'y a pas d'urgence à jouer cette finale. L'urgence, c'est la santé. Il ne faudrait pas disputer cette finale n'importe quand et sans public. Car pour moi cela n'aurait également pas de sens de la jouer à huis clos. Notre image est étroitement liée à une ferveur populaire qui prend aux tripes et je crois que je préfèrerais qu'elle ne se joue pas si la présence des supporters n'est pas possible.

Il est hors de question de prendre des risques et les seuls que je veux écouter, ce sont les médecins. On serait super heureux si ce match pouvait avoir lieu car cela signifierait, avant tout, que nous avons fait un grand pas dans la lutte contre le Covid-19."

 

Crédit photo : France TV

Nanard soulagé, Canal + et beIN vont payer !

24/04 22:52
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"La Ligue et ses diffuseurs Canal+ et beIN Sports ont annoncé aujourd'hui un accord pour le versement des droits TV des matches de L1 et de L2 déjà disputés, qu'ils refusaient de payer jusque-là. C'est très bien. J'étais persuadé qu'on allait le trouver" se réjouit Bernard Caïazzo sur le site de l'AFP. "Canal+ a tout intérêt que le foot français se porte bien, et beIN aussi. Cet accord démontre que de bonnes choses peuvent arriver quand tout le monde tire dans le bon sens."

 

Crédit photo : L'Essor

De tour coeur avec toi Roby ! (2)

24/04 20:51
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Le Parisien confirme ce soir que l'état de santé de Robert Herbin, hospitalisé depuis plusieurs en raison de problèmes cardiaques et d'une grosse fatigue, est très préoccupant. Extraits.

"Robert Herbin vit en ermite depuis de nombreuses années sur les hauteurs de Saint-Etienne avec la seule compagnie de son chien. Inquiets de ne pas voir de signes de vie de sa part depuis plusieurs jours, ses voisins ont appelé les gendarmes. Ces derniers l'ont découvert nu et incapable de se mouvoir dans sa salle de bains. Le CHU de Saint-Etienne, malgré la crise du coronavirus, a pu lui trouver un lit. Les résultats de ses examens révèlent un état physique inquiétant. À l'évidence, les abus d'alcool et de tabac qui escortent sa vie depuis des décennies ont causé des dégâts irréversibles. Il a aussi parfois des pertes de mémoire passagères.

Robert Herbin a voulu quitter le CHU de Saint-Etienne à son réveil. Les médecins s'y sont opposés. Ivan Curkovic, le gardien stéphanois des années de gloire, n'est pas surpris. "Disons que pour sa santé, Robert a choisi un mode de vie compliqué, lâche-t-il. Je lui souhaite de se rétablir mais je crois que ce sera difficile. À Saint-Etienne, Herbin a été quelqu'un d'exceptionnel. Mais ensuite, il s'est éloigné de tout le monde. Ce n'est pas de l'aigreur car, coach, il était déjà un peu distant. Les mots, ce n'était pas son truc. À force de moins parler, il s'est éloigné tout en restant à Saint-Etienne."

L'ASSE cultive sa RSE

24/04 19:55
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Responsable de la communication de l'ASSE, Philippe Lyonnet a expliqué il y a trois jours sur Ecofoot que le club veut développer sa RSE (responsabilité sociétale des entreprises). Extraits.

"L’ASSE est un club challenger. Nous n’avons pas la prétention de rivaliser avec les locomotives du football européen. Que cela soit dans le domaine sportif ou extra-sportif. Nous ne pouvons pas mener des projets de l’envergure des mastodontes du football européen. Mais on essaie de compenser nos moyens moindres par des idées originales et qui collent à notre ADN. L’opération « Stade de France » contre le Covid-19 s’inscrit parfaitement dans cette démarche. Des réflexions sont actuellement menées au sein de la direction concernant le repositionnement de notre association ASSE Cœur-Vert. Notre objectif est de fortement enrichir notre politique sociétale au cours des prochains mois tout en conservant une certaine cohérence dans nos actions.

L’une de nos sources d’inspiration provient des Etats-Unis. Lors de notre séjour à Washington l’été dernier, nous avons rencontré les équipes de DC Scores, la fondation de la franchise de MLS de DC United. Nous avons alors pu constater à quel point les fondations et associations d’intérêt général occupent une place centrale dans la vie des franchises américaines ! Par exemple, à l’Audi Field, DC Scores dispose d’emplacements de visibilité comparables à ceux des principaux sponsors de DC United ! Et la fondation a également ses propres espaces réceptifs où elle peut recevoir des associations partenaires ou des philanthropes durant les rencontres de MLS.

Même si la philanthropie est moins développée en France que dans la culture anglo-saxonne, nous souhaitons à l’ASSE emprunter cet axe de développement. Nous sommes convaincus depuis longtemps à l’ASSE que la RSE doit devenir un élément central dans la politique de développement d’un club de football. Et cette vision prend encore plus de sens aujourd’hui. C’est naturel pour un club comme l’ASSE de jouer un rôle social sur son territoire. C’est inscrit dans l’histoire du club. Historiquement, l’ASSE servait de divertissement à la classe ouvrière de notre ville. La connexion a toujours été très forte entre le club et son territoire.

ASSE Cœur-Vert doit devenir à terme un véritable partenaire de l’ASSE, au même titre qu’AESIO ou Alain Afflelou. Grâce à la visibilité mise à disposition par son club, DC Scores possède aujourd’hui d’importants moyens pour entreprendre d’ambitieuses opérations dans le domaine de l’éducation à Washington. On doit progressivement adopter une approche similaire à l’ASSE pour accroître les marges de manœuvre d’ASSE Cœur-Vert. ASSE Cœur-Vert pourrait devenir la porte d’entrée des nouveaux partenaires du club. Ce n’est pas toujours évident pour un sponsor de faire accepter en interne un investissement conséquent pour parrainer un club. Associer une dimension sociétale donne alors de la légitimité et du sens à un partenariat. C’est indéniable !

Dans un futur proche, nous souhaitons nous investir dans de nouveaux projets qui peuvent parfois sortir du cadre strictement caritatif. Par exemple, nous aimerions prochainement accompagner certains talents de notre territoire qui ont besoin d’un coup de pouce pour pouvoir s’exprimer pleinement dans leur domaine de prédilection. Notre territoire regorge de talents dans les domaines du sport, de la culture, des sciences… Mais, parfois, ils ne peuvent aller au bout de leurs idées, faute de moyens financiers par exemple. A nous d’identifier ces talents et de les accompagner dans leur projet."

De tout coeur avec toi Roby !

24/04 19:23
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Jean-Michel Larqué a annoncé ce soir sur RMC que son ancien entraîneur Robert Herbin (81 ans) est actuellement mal en point et hospitalisé. Très fatigué, le Sphinx a un problème cardiaque mais pas le Covid-19 nous a précisé un membre de son entourage. Nous lui souhaitons un prompt rétablissement !

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