Guendouz a écoeuré les Eperviers

14/10 22:00

Quatre jours après avoir écrasé le Togo 5-1 en Algérie, Alexis Guendouz (28 ans) a encore battu les Eperviers ce soir 1-0 au Togo grâce à un penalty marqué par Ramy Bensebaini à la 18e minute. Homme du match, le gardien formé à l'ASSE a réalisé 8 parades décisives, la dernière dans le temps additionnel. Grâce aux arrêts de l'ancien champion de France U17 stéphanois et actuel portier de Persepolis (Iran), les Fennecs ont décroché leur billet pour la CAN qui se déroulera au Maroc du 21 décembre 2025 au 18 janvier 2026.

 

Davitashvili perd contre l'Albanie

14/10 19:55

Entré en jeu à la 72e minute il y a 3 jours lors de la défaite 1-0 de la Géorgie contre l'Ukraine à Poznan (Pologne), Zuriko Davitashvili était titulaire ce soir à Tbilissi contre l'Albanie et a été remplacé à la 95e minute de cette rencontre de la Ligue des Nations. L'attaquant stéphanois s'est encore incliné 1-0 alors qu'il a eu une grosse occasion d'ouvrir le score dès la 11e minute au terme d'un raid solidaire ponctué par une frappe arrêtée Thomas Strakosha. Le gardien de l'AEK a encore remporté son duel face au numéro 22 des Verts dans le temps additionnel de la première période. Cueillie à frois deux minutes après la reprise, la sélection de Willy Sagnol et Adel Chedli n'a pas réussi à égaliser malgré les multiples corners plus ou moins bien tirés par le joueur de l'ASSE le plus décisif depuis le début de saison.

 

L'Aikipe de France U20 a encore battu le Maroc

14/10 19:27

Trois jours après avoir battu (4-3) les Lionceaux de l'Atlas à Clairefontaine, l'équipe de France U20 a remis ça aujourd'hui dans la même enceinte sur un score encore plus prolifique (5-4). Ayman Aiki, qui avait remplacé Senny Mayulu (PSG) à la 68e minute vendredi dernier lors de la première manche de cette confrontation franco-marocaine, est entré en jeu aujourd'hui à la 59e à la place du Havrais Steve Ngoura. Ce dernier a fait 3 apparitions en L1 cette saison comme l'ailier stéphanois. Pour rappel, le numéro 39 de l'ASSE est entré en jeu lors des 3 premières journées de la saison (défaites contre Monaco, Le Havre et Brest) mais n'a plus été convoqué depuis par Olivier Dall'Oglio.

Y a pas que le parcage qui est limité...

14/10 17:36

Selon France Bleu, malgré le courrier de la semaine dernière co-signé par l'ensemble des groupes de supporters stéphanois et sensois et adressé au Préfet de la Loire, ce dernier a décidé de limiter à 1200 le nombre de places du parcage visiteurs, contre 2000 demandées par les groupes des deux clubs. Pas de doute, en France, on reste les champions du monde de la mauvaise gestion des tribunes.

 

Un bilan équilibré avec Lissorgue

14/10 13:14

Pour la 4e fois de sa carrière, Romain Lissorgue arbitrera les Verts ce samedi à 19h00 dans le Chaudron pour le choc à guichets fermés contre le RC Lens.

La première fois, c'était déjà en L1 à GG, et les protégés de Pascal Dupraz avaient étés tenus en échec par Troyes malgré le pénalty transformé par Ryad Boudebouz.

La deuxième fois, les Verts avaient perdu 2-1 à Dijon lors du premier match de Laurent Batlles à la tête des Verts, malgré la réduction du score d'Ayman Aiki.

La troisième fois, les hommes de Lolo avaient battu 2-0 les Girondins de David Guion à Geoffroy-Guichard grâce à des buts d'Ibrahima Wadji et Yvann Maçon.

Pas de malaise pour Ben Old

14/10 10:00

De nouveau titulaire ce matin à Auckland contre la Malaisie en amical, après l'avoir été lors de la facile victoire contre Tahiti (3-0) vendredi, Ben Old s'est encore imposé, 4-0 cette fois.

Sorti à la 77ème minute alors que les All Whites menaient 3-0, Old, très actif n'a néanmoins pas scoré.

Back to the All Greens désormais !

Puel toujours fana de Fofana

14/10 07:01

Dans Le Dauphiné Libéré, Claude Puel encense à nouveau Wesley Fofana, actuellement dans le groupe de l'équipe de France qui va défier ce soir les Diables Rouges en Belgique.

"Wesley est un athlète hors pair. J'ai été convaincu par son potentiel énorme. Même si le vestiaire avait pu être refroidi par quelques étourderies, je lui ai donné du temps de jeu pour qu’il puisse s’aguerrir. Il devait encore progresser techniquement, mais il avait déjà cette puissance et cette vitesse qui en font un défenseur énorme. J'étais persuadé qu’il fallait construire l’équipe autour de ce jeune mais son transfert précoce et juteux à Leicester, qui était vital pour la santé financière de l'ASSE, ne m'en a pas laissé le temps.

J'ai pu constater son évolution positive en Premier League, notamment dans sa compréhension du poste au très haut niveau. Je me souviens de la paire qu'il formait avec William Saliba. Je me rappelle un de leurs premiers matches contre Monaco [ils avaient muselé Wissem Ben Yedder and co le 3 novembre 2019 dans le Chaudron, victoire 1-0 grâce à un but de Denis Bouanga, ndp2]. Ils avaient été énormes. Ce sont deux joueurs complémentaires. Wesley est plus dans l’intervention, dur sur l’homme. William est plus posé et fort tactiquement."

Mounier raccroche les crampons

13/10 22:46

Sans club depuis la résiliation de son contrat avec Kallithea (L2 grecque) en janvier, Anthony Mounier (37 ans) a annoncé aujourd'hui sur son compte instagram qu'il raccrochait les crampons.

"De mon petit village Etoile-sur-Rhone et l’US Véore, passant par l'OL qui m’a formé, m’a vu grandir et éclore au plus haut niveau, passant ensuite par Nice, Montpellier, Bologne, l'Atalanta, Panathinaikos, Panetolikos, Apollon Smyrnis et Kallithea, un grand MERCI !"a posté l'ancien vilain. Cet ingrat oublie étonnamment de remercier l'AS Saint-Etienne, qui lui a pourtant permis de devenir l'ancien Vert le plus fugace de l'histoire !

Pour rappel, le baiseur des Verts avait eté officiellement prêté avec option d'achat à Sainté par Bologne le 27 janvier 2017 et Christophe Galtier l'avait convoqué dans le groupe qui s'est imposé 3-0 le surlendemain à Toulouse grâce à un doublé de Nolan Roux et à un pion de Kévin Monnet-Paquet. Mais sous la pression des ultras stéphanois, le natif d'Aubenas n'avait pas fait ce déplacement dans la ville rose et avait rompu son contrat de prêt 3 jours après l'avoir signé malgré le soutien de Roro !

Les U15 glanent trois points à Roanne

13/10 22:30


Le buteur, Lounes El Omari, est arrivé de l'Etrat la Tour en 2020

Après le derby remporté de haute lutte contre les vilains, les U15 de Jean-Philippe Primard jouaient cet après-midi en terre roannaise le deuxième derby ligérien, le premier ayant été joué et gagné lors de la journée initiale à Andrézieux (0-4). Ils l'ont une nouvelle fois emporté, mais est-ce dû à la décompression suite au derby de la semaine dernière, toujours est-il que ce ne fut pas sans mal qu'ils se sont imposés sur le score de 1 à 0.

Les Verts ont réalisé une première mi-temps quelconque, se créant peu de situations dangereuses, alors que les Roannais se sont montrés dangereux à deux reprises.
Au retour des vestiaires, les Stéphanois se reprenaient et allaient ouvrir la marque à la 58ème minute : Léo Fayolle débordait côté droit et centrait pour Lounes El Omari lequel, de l'entrée de la surface plaçait une tête décroisée qui finissait au sol, dans le petit filet du deuxième poteau. Le score aurait pu être alourdi, une dizaine de minutes plus tard, à la 70ème, lorsque un centre en retrait de Kellian Bufferne était repris par Medine Rogui dont la frappe terminait sur le poteau. Faute de s'être mis à l'abri, les Stéphanois s'exposaient à un retour des Roannais qui se créaient deux belles occasions qu'ils ne convertissaient cependant pas. 
Grâce à cette victoire, les Verts se hissent à la deuxième place, à un point du leader Clermont.
Quant aux U14 de Romain Marée, ils l'ont largement emporté par 7 à 1.

La composition : Dubanchet - Fayolle, Dubien, Bufferne, Combier (Dagbo, 55ème) - Demassieux, Dagbo (Reynoudt, 40ème), Thibaudat (Rogui, 40ème) - Cuozzi (El Omari, 40ème), Gacem, Dani

La réaction de Jean-Philippe Primard"Nous n'avons pas fait un grand match. Les Roannais ne se sont pas contentés de nous attendre, ils sont venus nous chercher et ont joué leur jeu qui nous a bien gênés. Nous n'étions pas dans nos meilleures dispositions, pas dans notre jeu. Défensivement, nous avons été approximatifs. Techniquement, nous n'avons pas été bons. Nous avons raté notre première mi-temps sifflée sur le score de 0-0. Nous avons réagi après le repos, et nous nous sommes créés un peu plus de situations dangereuses et nous avons inscrit un joli but. Nous avons été moins mis en danger sauf lors des trois ou quatre dernières minutes, lorsque notre adversaire a poussé pour égaliser. Auparavant, nous aurions pu plier le match, suite à l'ouverture du score, mais le tir de notre attaquant terminait sur le poteau. Roanne a joué sa chance à fond, et, comme nous n'étions pas dans un bon jour, nous avons éprouvé toutes les difficultés à imposer notre jeu." 

Nicollin pense à Saint-Etienne

13/10 21:07

Président d'un MHSC actuellement avant-dernier et ayant réussi l'exploit d'encaisser après 7 journées 3 buts de plus que des Verts pourtant écrasés 4-0 à Brest et humiliés 8-0 à Nice, Laurent Nicollin a évoqué hier dans Midi Libre le déplacement des Pailladins à Sainté lors de la 12e journée (le week-end des 23 et 24 novembre). Extraits.

"On va reprendre avec un match important à la maison contre l'Olympique de Marseille, ce serait bien d'accrocher le futur champion de France. Si on peut lui prendre au moins un point, ce serait bien, mais ça va être compliqué. Il est certain qu'on va rentrer ensuite dans un championnat qui est un peu plus le nôtre, surtout qu'après on va à Saint-Etienne [entretemps les Pailladins recevront Le Havre, iront au Havre et recevront Brest, ndp2].

On joue le maintien, il faut prendre des points. On n'a pas été payés à Monaco mais on sent que depuis notre victoire contre Auxerre, il y a un léger mieux. Après, il nous manque beaucoup de monde, entre les suspendus, les blessés de dernière minute qui se rajoutent aux blessés longue durée. On aimerait, surtout le coach, avoir beaucoup plus de joueurs à disposition.

J'espère que pour Marseille, on va en récupérer quelques-uns. Ils ont montré contre Auxerre et à Monaco, même à Reims, que l'état d'esprit du début de saison a changé. J'espère que ça va continuer, c'est la discussion qu'on a eue avec les joueurs quand je les ai reçus en individuel. On va tout faire pour rester en Ligue 1.

On est optimistes, il faut toujours se battre, mais il faut être conscient que la situation est compliquée, comme elle l'est pour Angers, pour Saint-Etienne ou d'autres clubs. Là, c'est notre championnat, à nous de nous sortir de là. S'il fauut terminer 15e, on terminera 15e, il faut tout faire pour s'en sortir. A chacun de se donner beaucoup plus que ce qu'il sonne actuellement."

Dreyer prêt à revenir à Sainté en courant !

13/10 19:43

Libre depuis la résiliation à l'amiable de son contrat avec le Racing Club de Strasbourg il y a 5 semaines, Matthieu Dreyer va bientôt faire son retour à Sainté, comme il l'a expliqué dans un entretien accordé à Onze Mondial. Extraits.

"J’ai toujours envie de poursuivre ma carrière de football. Il faut désormais voir comment ça peut se profiler. À mon âge, sans se mentir, ce n’est pas non plus évident de retrouver des clubs. Ils sont forcément plus axés sur de jeunes joueurs avec du potentiel pour le futur. On va voir comment tout cela évolue. Je suis ouvert aux différentes propositions. Je suis capable d’amener mon expérience dans un groupe, mais pour cela, il faut que ça corresponde au projet d’un club.

Je suis en pleine forme, je m’entretiens comme jamais, je fais des trails ! J’ai fait une grosse course en Autriche à Salzbourg, un 42 kilomètres. Ensuite, j’ai fait le Trail Des Marcaires en Alsace, c’est 62 kilomètres. Là, je suis inscrit sur la Sainté-Lyon, ça me permettra de revenir à Saint-Étienne ! La faire avec un maillot de l’ASSE ? Je vais la courir, déjà, c’est pas mal. Je vais essayer de la finir et on pourra savourer un petit peu ! À Sainté, on avait Étienne Green et Gautier Larsonneur, ça se passait super bien. On avait 3 générations différentes à ce moment."

Les U17 prennent la tête !

13/10 19:06

Vainqueurs 2-1 contre Saint-Priest cet après-midi dans la banlieue de la banlieue, les U17 ont pris la tête du championnat, le Cavigal et les Aiglons s'étant neutralisés pendant ce temps-là lors du derby niçois.

Si les San-Priots ont ouvert le score à la 25e suite à une mauvaise protection balle stéphanoise, Aboubakar Traoré a égalisé 3 minutes plus tard d'un joli une-deux avec Daniel Epanya. La minute suivante, Brandon Nativoha a raté un penalty qu'il a lui-même obtenu. Chaque équipe a eu deux occasions de prendre l'avantage dans le dernier quart d'heure (Daniel Epanya et Noah Moulin côté stéphanois). Le prometteur milieu offensif Rayan Aït Amer (photo) a inscrit le but victorieux à la 79e minute d'une belle frappe sous la barre sur un centre en retrait de Noham Haini.

La compo : Colombet - Teillol, N. Mouton, Kasia Nkondo, Lengue (Lengi, 72'), - Charros, Nativoha, Traore (Mansouri, 62'), Aït Amer - Nativoha (Aini, 72'), Epanya, Moulin.

La réaction de David Le Moal :

"C'était un vrai bon match de jeunes, engagé, entre deux équipes qui ont proposé des choses, qui n'ont pas fermé le jeu. On a fait une première mi-temps plutôt maîtrisée, avec beaucoup de sorties de balle intéressantes. On leur a fait mal sur les transitions quand on a récupéré haut. La seconde période est difficile à lire, ça allait dans tous les sens. Il y a eu après la pause beaucoup de transitions, de box to box. On a été très généreux dans nos courses, dans le dépassement de soi. On a été intéressant à la transition, à la récupération on arrive à éliminer 4 ou 5 joueurs en une ou 2 passes. On a eu pas mas mal de situations offensives à 4 contre 4 qu'on n'a pas réussi à faire aboutir. Saint-Priest a eu aussi des situations dangereuses. Au final on est content que le match bascule de notre côté. On a bien géré notre avantage en fin de match.

Ce 5e succès de la saison, le 3e d'affilée, nous rend très contents car il a été obtenu avec la manière sur le terrain d'une belle équipe, à qui on prend la tête du classement. On a toujours essayé de proposer du jeu. J'ai aimé la concentration de nos joueurs, leurs efforts, leur discipline. Les garçons se sont dépassés, ils ont vraiment été exemplaires aujourd'hui. Je suis très heureux que l'investissement et la générosité des joueurs aient été récompensées. En plus d'apporter quelque chose footballistiquement, ils ont montré un super état d'esprit. En tant que formateur, on ne peut que s'en réjouir. C'est un match référence mais le football est une remise en question permanente. Il faudra afficher les mêmes qualités qu'aujourd'hui dimanche prochain à la maison contre Monaco."

Manufrance est devenue une start-up

13/10 17:28

Ouest-France a mis aujourd'hui à l'honneur Manufrance. Extraits.

"C’est une marque historique de Saint-Étienne qui revit aujourd’hui : Manufrance. Un nom connu de tous les Français passionnés de foot, associé à jamais à l’épopée des Verts de 1976, les footballeurs de l’ASSE. Manufrance était le sponsor maillot principal de l’équipe. À son apogée, la Manufacture française d’armes et cycles de Saint-Étienne a employé jusqu’à 4 000 personnes dans ses usines stéphanoises. Avant le déclin, brutal, à la fin des années 70 - début 80. Tandis que l’AS Saint-Étienne descendait en Deuxième division suite au scandale de la caisse noire survenu en 1982. Une époque douloureuse dont la ville de Saint-Étienne ne s’est jamais vraiment remise.

Les temps derniers pourtant, les choses vont mieux pour le club stéphanois comme pour Manufrance. Les Verts sont de retour en Ligue 1 et la marque verte renaît sur internet. En réalité, elle n’a jamais vraiment disparu. Rachetée en 1985 par un homme d’affaires stéphanois, Jacques Tavitian, Manufrance a traversé les époques, vécu des périodes difficiles marquées notamment par la fin de la vente par correspondance, la concurrence des produits chinois et l’avènement d’internet. Durant plus de 20 ans, dans sa boutique - entrepôt situé près de la place Jean-Jaurès à Saint-Étienne -, Jacques Tavitian a fait front, s’est démené pour maintenir Manufrance en vie.

Aujourd’hui, c’est sa fille Carole qui dirige l’entreprise, bien décidée à dépoussiérer une marque que son cher père disparu aimait tant. Tous les objets ou presque sont confectionnés par des sous-traitants de l’Hexagone. Carole Tavitian y tient plus que tout : "On a monté notre bureau d’études. On a des partenariats industriels avec des fournisseurs partout dans les régions. On choisit des PME qui ont un vrai savoir-faire mais n’ont pas le temps de faire du commerce, avec lesquelles on travaille sur des produits Manufrance, mais pas que."

Comme une évidence, Manufrance a aussi choisi de rééditer le célèbre maillot des Verts de 1976. "Il est fabriqué dans le nord de la France mais ce n’est pas l’officiel", précise Carole Tavitian qui mise beaucoup sur les objets traditionnels et le vintage. Liée éternellement à l’industrie du cycle, l’entreprise s’apprête à ressortir une collection de vêtements qui devrait plaire aux passionnés de vélo. "Aujourd’hui, dans notre catalogue en ligne, on a environ 500 articles référencés. On est petit, avec quatre personnes en interne, mais on grossit."

Si le Manufrance d’aujourd’hui (l’entreprise a réalisé 400 000 € de chiffre d’affaires en 2021) n’a plus rien de commun avec son illustre ancêtre, l’entreprise assure que sa "marque est en plein essor. On est devenu une start-up", sourit Carole Tavitian. Elle regrette toutefois d’avoir dû quitter Saint-Étienne - son magasin historique n’était plus adapté à sa nouvelle activité, et "on n’a pas réussi à trouver des locaux en périphérie", confie la dirigeante - pour s’installer à Saint-Cyprien dans la proche banlieue."

Zuriko vu par ses anciens coéquipiers de Bordeaux

13/10 17:03

90Football, qui avait révélé il y a 4 mois les contacts avancés entre Zuriko Davitashvili et l'ASSE, a interrogé plusieurs anciens coéquipiers girondins de l'actuel numéro 22 des Verts, impliqué dans 5 des 6 buts marqués par Sainté après 7 journées (2 passes décisives + un triplé).

Malcom Bokele : "La première image qui me vient quand on parle de Zuriko, c’est le but qu’il met contre Dijon. Il marque à la 88e minute. Il rentre sur son pied faible, il la met en lucarne. Il a marqué les esprits direct ! Il était super proche de Danylo Ignatenko. Malgré la barrière de la langue, il échangeait beaucoup avec tout le monde. Il a un style vestimentaire de fou. A 22 ou 23 ans, il s’habille comme un mec de 50 ans (rires). C’est un travailleur, toujours à arriver avant en salle, faire ses étirements, son petit gainage. Même après les séances, il reste sur le terrain pour travailler sa finition. La première année où il arrive à Bordeaux il aurait pu mettre plus de buts. Il a beaucoup progressé sur ça. Les occasions qu’il a pu se créer, il les a mises au fond."

Clément Michelin : "C’est le mec qui arrive à s’imposer sur le terrain sans parler à l’extérieur. Je pense qu’il a eu peut-être un petit peu de mal au début à s’ouvrir. La langue, ce n’est pas évident. Heureusement, il y avait 2-3 joueurs avec qui il pouvait plus parler. Il était très agréable à vivre tous les jours dans le vestiaire. Il ne posera aucun problème. Il a sa petite vie de famille à côté. C’est une belle personne, discrète, qui travaille dans son coin. J’ai cette image de lui arrivant tous les matins avant et bosser de son côté. Je travaillais beaucoup les coups de pied arrêtés avec Pedro Diaz. Et lui, il aimait bien arriver, en tirer un, mettre pleine lucarne et partir. C’était son truc. Il a un gros potentiel, il comprend le foot, il est intelligent, il a de grosses capacités athlétiques. Comment il élimine les joueurs, c’est ce qui m’a le plus impressionné chez lui. Il élimine qui il veut, quand il veut. Pour moi, ce qui manque à Zuriko, c’est de lâcher le ballon au bon moment."

Gaëtan Poussin : "Il a eu une période un peu difficile, ce qui est normal avec l’adaptation. Quand tu sors de ton pays, que tu découvres une nouvelle langue, ce n’est jamais facile. C’est quelqu’un de marrant, qui est encore jeune, qui est fougueux, qui aime bien rigoler avec les autres. Il prend des risques, même dans les zones basses avec le ballon. Parfois ça peut coûter des buts, ça nous en a coûté quelques uns."

Jacques Ekomié : "C’était impossible de le voir au repos. Je me rappelle, même un jour, un dimanche, je suis venu au club faire des soins et je l’ai vu, il était en train de travailler. Normalement, les joueurs à vocation offensive sont un peu plus foufous et libres, mais lui est vraiment très déterminé, il travaillé. Il n’en fait pas vraiment qu’un job, il profite. Ça se voit dans sa façon de jouer. Son père aussi est très passionné. Quand il venait au stade, il vivait le match comme s’il était sur le terrain. Il sait d’où il vient et il sait surtout où il veut aller. Ça se voyait qu’il visait vraiment le haut niveau."

Kita revient sur la victoire des Amazones à Nantes

13/10 14:07

Après avoir assisté à l'honorable défaite (0-1) de son équipe féminine contre le PSG hier soir à la Beaujoire, Waldemar Kita s'est confié à Presse-Océan. Extraits.

"Près de 17 000 spectateurs étaient présents à la Beaujoire pour voir nos filles contre Paris. J’avais raison quand, il y a 10 ans j’ai commencé la section féminine. Ce n’était pas du tout facile, on avait tout le monde contre nous. Même côté garçons, mais c’est normal. À un certain moment, il ne faut pas oublier qu’aujourd’hui la femme prend une place importante dans la vie économique, sportive ou politique, et aussi dans le football, ce qui est très bien.

Mais sincèrement, on n'a pas trop d'échanges sur les sections féminines de nos clubs avec les autres présidents de L1. Aujourd’hui, malheureusement, il faut reconnaître que le football féminin coûte de l’argent, qu’il devient exigeant. Des clubs veulent arrêter, nous, on est un peu nouveau dans cette élite, on va voir comment ça va se passer. En principe, quand je commence quelque chose, je n’arrête pas, je n’aime pas ça.

Le bilan sportif est plus que bon [les promues nantaises sont 6èmes sur 12 équipes avec 6 points pris en 4 journées, ndp2]. Et encore ce but face à Saint-Etienne était évitable... Il est très important qu’assez rapidement, on règle certains problèmes, des détails. En France, 5 ou 6 clubs sont constants en Première Ligue. Ceux-là savent déjà ce qui va et ce qui ne va pas. Je ne veux pas que les adversaires jouent sur la faiblesse de ces détails. Je suis convaincu que cela s’est passé ainsi contre Saint-Etienne."

 

Wesley vu par Razik

13/10 13:38

Fracture du péroné de la jambe gauche en août 2021, rupture du ligament croisé du genou droit en juillet 2023, blessure au ménisque du genou gauche en février dernier : Wesley Fofana (23 ans) a passé beaucoup de temps à l'infirmerie depuis qu'il a quitté le Forez pour l'Angleterre.

N'ayant joué à ce jour qu'un match en équipe de France (3-0 contre Gibraltar le 16 juin 2023), le défenseur des Blues caresse l'espoir de connaître sa 2e sélection demain soir à Bruxelles contre les Diables Rouges. En attendant, le natif de Marseille reçoit les éloges de son ancien entraîneur Razik Nedder dans Le Dauphiné Libéré. Extraits.

"Wesley a la dalle. Il est toujours revenu très vite, très fort et très haut. C’est quelqu’un qui, par son histoire personnelle et familiale, a une grande détermination pour réussir. Il avait un gros potentiel mais naviguait d’un poste à l’autre. Le deal, c’était de le fixer derrière car c’est là qu’il pouvait évoluer au très, très haut niveau. Et c’est dans cette position qu’il a remporté la Coupe Gambardella en 2019 en tenant parfois l’équipe à bout de bras durant la compétition.

Wesley a du caractère, c’est un écorché vif mais un bon fou. C’est quelqu’un de pétillant qui, en plus d’être un défenseur complet, va donner de l’énergie à l’équipe. Wesley a un rapport force-vitesse au-dessus de la moyenne. C’est un animal, il est injouable dans le duel. William a aussi des qualités dans le un contre un en défendant debout et rattrape des situations à la course. C’est un duo qui a de l’avenir."

Un duo "made in Sainté" qu'on a envie de revoir en équipe de France !

Lucky Lucas douche les Ecossais (2)

13/10 07:57

Le scout Nils a diffusé sur son compte une compilation de toutes les actions de Lucas Stassin avant-hier en Ecosse. Non seulement le supersub des Diablotins a réalisé un doublé victorieux, mais il s'est aussi distingué par ses déviations en une touche et ses décrochages. Pour rappel, l'atatquant stéphanois recevra la Hongrie après demain lors de la dernière journée des éliminatoires de l'Euro Espoirs.

 

Thiaw a éteint les Flammes

13/10 07:44

Ayant succédé à Aliou Cissé (limogé) dont il était l'adjoint, Pape Thiaw (43 ans) a étrenné avec succès ses nouvelles fonctions de sélectionneur des Lions de la Teranga. Vainqueur de la Coupe Gambardella avec l'ASSE en 1998 avant de jouer son unique match en pro sous le maillot vert (en L2 contre Sedan), l'ancien attaquant du FC Metz a écrasé avant-hier les Flammes du Malawi 4-0 lors des éliminatoires de la CAN 2025. L'ex-protégé de Gérard Fernandez tentera de récidiver après-demain contre la même sélection.

Boudebouz roi du penalty

13/10 07:01

Si la JSK a perdu 3-2 hier à Tizi Ouzou face au CS Constantine, Ryad Boudebouz (34 ans) a réalisé un doublé en tirant parfaitement deux penaltys lors de cette rencontre de la 4e journée de L1 algérienne.

 

S'il restera associé dans le Forez à son tir au but raté contre Auxerre lors d'un barrage de sinistre mémoire, le milieu offensif est un spécialiste des pénos. Avant de rejoindre l'ASSE, il n'avait subi qu'un seul échec (à la CAN 2013 contre la Côte d'Ivoire) en 23 tentatives. Sous le maillot vert, il en a raté 2 sur 4 en L1 : contre Nîmes dans le Chaudron en 2020 et à Strasbourg en 2021.

Lair ravi

13/10 06:38

La Nouvelle République revient sur la victoire (3-1) de Châteauroux (N1) contre la réserve de l'ASSE (N3) avant-hier à Gaston-Petit. Extraits.

"C’est une victoire qui ne rapporte aucun point et c’est bien dommage. Mais elle fait du bien dans les têtes. "C’est toujours bon de gagner", confie l’entraîneur Patrice Lair. "Ça redonne confiance aux joueurs et ça permet de retravailler tranquillement les jours qui suivent." Leur succès face aux réservistes des Verts, les Castelroussins l’ont construit en deuxième période.

Un premier but de Ferris N’Goma sur un centre d’Isaak Umbdenstock (1-0, 51e), un deuxième de Cervantes parti du côté droit pour repiquer au centre et placer une frappe du gauche (2-0, 59e) et un dernier sur un coup franc à 25 mètres d’Umbdenstock légèrement dévié par une tête adverse (3-0, 67e) ont donné un peu d’éclat à ce match d’entraînement, que seul un ballon en profondeur pour Yanis Lhery est venu légèrement ternir (3-1, 72e). 

"J’aurais préféré qu’on n’encaisse pas de but, mais j’ai quand même trouvé qu’on avait retrouvé de la solidité derrière et qu’offensivement, on avait fait de très bonnes choses", souligne Patrice Lair. "Avant les deux matchs rapprochés face au Mans et contre Versailles, on est incontestablement en progrès."

 

Spano a raccroché les crampons

12/10 22:29

Romain Spano, qui fêtera ses 30 ans à la fin du mois, a raccroché les crampons, comme le rapporte Le Dauphiné Libéré.

"Après 5 saisons au FC Annecy, dont il a été le meilleur buteur 3saisons consécutives en 2020, 2021 et 2022 , l'attaquant a mis un terme à sa carrière. D’abord victime d’une fracture d’une clavicule, puis surtout blessé à un genou lors des deux dernières saisons, il n’a pu disputer que 4 matches de Ligue 2 en deux ans dont une entrée en jeu mémorable à Guingamp en 2022 avec 1 but et 2 passes décisives en quelques minutes. L’attaquant formé entre Grenoble et Saint-Etienne a donc décidé de dire stop cet été."

Pour rappel, le natif d'Aubagne a porté le maillot vert pendant 3 saisons (de 2011 à 2014). La première, il a joué une finale de Coupe Gambardella perdue contre Nice. La dernière, il a fini meilleur buteur de l'équipe réserve (13 pions en CFA2) mais ne s'est pas vu proposer de contrat pro, comme il nous l'a rappelé il y a 3 ans. Après son départ de Sainté, Romain Spano aura joué successivement à Lens (en réserve), Andrézieux, Clermont, Bourg-en-Bresse et Annecy. Il nous a confié qu'il envisageait de se reconvertir dans le domaine médical.

Batlles a transformé son essai à Canal

12/10 21:57

Sans club depuis qu'il s'est fait virer de l'ASSE le 6 décembre dernier, Laurent Batlles (49 ans) a donné de ses nouvelles dans le dernier numéro de Dessous de Verts avant de s'exprimer une nouvelle fois sur la fin de son aventure stéphanois, comme il l'avait fait notamment en juin dernier lors de son long entretien au site Ma Ligue 2. Extraits.

"Ça va très bien. Ça a été un peu dur au départ car ce n’est jamais évident de lâcher un club, de lâcher ses joueurs, de lâcher son métier parce que malgré tout, le fait d’entraîner quotidiennement, c’est plaisant et ça prend beaucoup de temps. Après, on a un peu plus de temps pour soi. Je m’étais laissé un peu de temps de repos. Je joue beaucoup au paddle depuis un an. Maintenant j’ai repris un peu de travail, notamment consultant à Canal Plus en faisant quelques émissions. Il est vrai qu’au départ j’étais un peu à l’essai et là, sur le mois d’octobre, j’ai 3 dates à faire, avec 6 émissions donc ça commence à devenir un petit peu plus régulier. Et puis après je regarde beaucoup de matches, ça me demande aussi de me mettre à la page de beaucoup de choses, notamment la Ligue 1, la Ligue 2, La Ligue des Champions, l’Europa League. C’est super plaisant. S’il y a un poste d’entraîneur qui arrive, il faut connaître par cœur ce qu’il se passe en Ligue 1, en Ligue 2 voire à l’étranger même si je n’ai pas particulièrement envie d’aller à l‘étranger. C’est important de suivre notamment la Ligue 2, car on sait que la Ligue 1, c’est compliqué à avoir.  

À la sortie du match contre Guingamp, je savais très bien qu'après autant de défaites ce n'était plus possible. C'est normal, ça fait partie de notre métier. J'ai annoncé mon départ au groupe, tout le monde était dans le vestiaire, tous les joueurs sont venus, beaucoup pleuraient. Même moi avec le staff, on n’avait pas envie de lâcher tout le monde. Ça a été des moments assez compliqués. Après, j'ai eu beaucoup de messages de mes joueurs. Il y en oui, d'autres non parce que ceux que tu ne les faisais pas jouer ou moins jouer, ça fait partie du truc. Pour autant, je les ai tous accompagnés dans leur vie de tous les jours, à la fois sur le terrain et en dehors parce que tu crées des choses aussi avec leur famille. Il n'y avait pas de colère. La seule chose qui me dérangeait, c'est que je savais qu'à un moment donné, le fonctionnement allait payer. Je savais qu’il me fallait un peu de temps. On est cinquièmes quand je m'en vais [huitièmes en réalité, ndp2], je savais qu’il me fallait deux ou trois joueurs qui pouvaient me faire des différences parce que je savais que derrière on avait la capacité à être solides. La première année on était un peu moins solides, c’est pour ça donc c'est pour ça qu'on était allé chercher Batu, avec un peu plus de valeur athlétique. Je savais que des choses allaient marcher mais malheureusement quand ça ne marche pas au niveau des résultats, ça doit s'arrêter et ça fait partie du métier.

J’étais bien sûr devant mon poste de télévision lors du barrage. Je ne souhaitais qu'une chose, que ce club remonte. J'ai tout vécu dans ce club, j'ai travaillé à beaucoup de postes. Quand je suis parti à Troyes, je leur avais dit que je n'avais pas fini mon cursus à Saint-Étienne. Je leur avais dit, le but, c'est que je réussisse à Troyes pour peut-être un jour pouvoir réussir à Saint-Étienne. Le fait d’entraîner l’équipe une de Saint-Étienne, c’était quelque chose qui me faisait rêver et je l'ai fait. Avec des joies malgré tout car la première année quand on finit contre Valenciennes, on avait une équipe qui tenait vraiment la route pour prétendre pouvoir écraser la Ligue 2. Je le savais. Mais quand on perd Niels, Krasso, Kader Bamba et qu'il faut reconstruire quelque chose, ce n'est pas facile. J'étais devant le poste pour le barrage et j'étais très content que ça monte. Ces joueurs qui m'ont envoyé des messages, j'ai vécu des choses avec eux, notamment à Troyes, de très fortes. Je connais tout de Flo. Sa vie extra-sportive aussi. Il n'y a pas que le football dans la vie. On s’envoie des messages, c’est ancré jusqu'à la fin de nos jours."

U19 : Marignane s'est vite crashé à Aimé-Jacquet

12/10 18:47

Même s'ils étaient privés de Paul Eymard et Djylian N'Guessan (en équipe de France U17), de Nadir El Jamali (en équipe du Maroc U18) et de leur percutant ailier Helmi Ben Tiba (touché au mollet), les U19 se sont logiquement imposés cet après-midi contre Marignane Gignac, l'une des plus faibles équipes du championnat (4 points pris en 8 matches).

Dès la 3e minute de jeu, Ewan Hornech a ouvert le score sur un centre de Samy Achour. Le buteur est devenu passeur décisif 2 minutes plus tard, permettant à Hani Guerroudj de faire le break. Au mitan de cette première mi-temps, Fodé Camara a vu son penalty repoussé par le portier visiteur.

Mais c'est sur un nouveau péno réussi en deux temps par Issam Cheikh que les Verts ont corsé l'addition à la 37e. Les Bucco-rhodaniens ont réduit le score dans le temps additionnel (Farès Ben Rahem ayant lâché le marquage) mais le score n'a plus évolué après la pause alors que les Verts ont joué une grosse demi-heure en supériorité numérique.

Confortablement calée en milieu de classement, l'ASSE se retrouvera en haut du tableau si elle négocie au mieux ses deux matches en retard à la maison contre l'OM (le mercredi 23 octobre à 13h00) et à Ajaccio contre le Gazelec (le samedi 26 octobre à 15h30). Mais d'ici là, les Verts auront un délicat déplacement à Marseille (contre Air Bel, samedi prochain).

La compo : Derache - Ben Rahem, Camara, Boukadida, Hornech (Grillot, 46') - Gadegbeku, Tatuszka, Guerroudj - Achour (Meité, 64'), Cheikh, Yvars (Zerga, 46').

La réaction de Frédéric Dugand : "On a fait une excellente entame de match, notre première demi-heure a été très bonne. Les joueurs étaient impliqués, mettaient une grosse pression sur l'adversaire, beaucoup de rythme. Mais petit à petit, à 3-0, la match a baissé en intensité. On a fini la première période un peu moroses, avec ce but encaissé. A la mi-temps j'ai fait des changements car le but du jeu, c'était aussi de concerner tout le monde.

Mais notre seconde période a été fade. Nos intentions de jeu n'étaient plus vraiment justes, il y a eu de la maladresse technique. On n'a pas su exploiter notre supériorité numérique. J'ai trouvé que mes joueurs ont manqué de fraîcheur physique alors qu'il n'y avait pasun gros rythme. Je suis un peu déçu de ce second acte mais il n'y a pas de petite victoire, on prend volontiers ce succès.

Wesley veut rejouer avec William

12/10 17:26

En conférence de presse, Wesley Fofana a exprimé aujourd'hui son souhait de jouer sous le maillot bleu après l'avoir fait - pas assez longtemps hélas - sous le maillot vert.

"Je vais bien et je suis heureux de faire mon retour après les blessures. J'étais impatient de pouvoir rejouer et je suis ravi de retrouver le maillot des Bleus. En forme, en bonne santé et heureux. C'est le plus important. On a fait un bon début de saison avec Chelsea et à chaque match, je me sens mieux sur le terrain, avec des repères. J'espère que ça va continuer à aller de l'avant, que je vais rester en bonne santé pour jouer, faire ce que j'aime. Tous les rassemblements en équipe de France sont importants.

Jouer à droite ou à gauche en défense centrale, c'est un peu pareil pour moi, Même si en étant droitier, je me sens un peu plus à l'aise à droite. Mais si le sélectionneur fait appel à moi comme attaquant, pas de problème. Je reste à sa disposition. J'ai joué longtemps avec William. On a passé de longues années ensemble, à Saint-Étienne. Je suis content qu'il soit titulaire en équipe de France. Ça donne envie, et ça donne aussi envie de jouer avec lui. Si je suis en équipe de France, c'est pour devenir titulaire, pas pour rester sur le banc."

Allez Didier, aligne une charnière centrale made in Sainté lundi à Bruxelles contre les Diables Rouges !

Les U16 ont atomisé Lyon

12/10 16:01

En début d'après-midi, les U16 de Kevin De Jesus ont battu Lyon, pas les vilains qui dédaignent ce championnat régional, mais le FC Lyon, cet excellent club formateur par lequel sont passés Rémi Chaigneau, Hadrien Derkum, Adam Yousfi, Marvin Tshibuabua, Nathan Mouton. Après trois matchs nuls, les Verts ont enfin pris leur envol en s'imposant très largement sur le score de 7 à 0. 

La première mi-temps fut menée tambour battant et au repos le score était déjà de 5 à 0. C'est Samuel Fuleki qui a ouvert la marque à la 7ème minute, profitant d'une passe décisive de Mahé Royet. Deux minutes plus tard, à la 9ème, Léandre Bagelli servait Milan Toty qui doublait la mise. A la 18ème, Melvin Bijot convertissait un service de Samuel Fuleki, lequel, trois minutes plus tard, y allait de son doublé, bien servi par Ismaël Verhoeven.

Doublé que réalisait ensuite Melvin Bijot, à la 36ème, exploitant une passe décisive de Théo Jolivet. Doublé que réalisait lui aussi Milan Toty à la 58ème, avec encore une passe décisive de ce même Théo Jolivet. C'est Mathéis Piskor (photo) qui, trois minutes après son entrée en jeu, clôturait le score à la 63ème, signant ainsi de belle façon son retour après une longue blessure. 

La composition : Vial - Jolivet, NGindu, Bagelli, Marliac - Thouilleux (Kissoum U15, 60ème), Verhoeven (Tiambo U15, 60ème), Royet - S.Fuleki (Piskor, 60ème), Bijot, Toty

La réaction de Kevin De Jesus"Nous avons réalisé un match sérieux, cohérent du début à la fin. Nous avons allié efficacité offensive, avec des buts marqués par les attaquants, et une solidité défensive. Nous n'avons concédé que très peu d'occasions et au final aucun but. C'est un progrès par rapport à nos précédentes sorties. C'était donc un match intéressant, j'ai apprécié l'état d'esprit de l'équipe et suis plutôt satisfait de notre prestation d'aujourd'hui."

L'Aikipe de France U20 a battu le Maroc

12/10 15:57

L'équipe de France U20 a battu les Lionceaux de l'Atlas 4-3 hier à Clairefontaine, Ayman Aiki ayant remplacé Senny Mayulu (PSG) à la 68e minute de jeu alors que le score était de 3-3. Le Nantais Dehmaine Tabibou Assoumani, qui était entré en jeu en fin de match il y a 2 semaines lors du match nul des Verts à la Beaujoire, a inscrit le but victorieux des petits Bleus en fin de match. L'ailier stéphanois espère être titularisé par Bernard Diomède lors de la seconde manche de cette confrontation franco-marocaine programmée après-demain à 15h00.

One, two, three, viva Alexis !

12/10 13:42

Formé à l'ASSE (de 2009 à 2018), où il aura notamment été sacré champion de France U17 (en 2013) aux côtés de Léo Pétrot, l'actuel gardien de Persepolis (2e du championnat iranien) Alexis Guendouz (28 ans) a joué avant-hier pour la première fois de sa carrière avec les A de l'Algérie contre le Togo à Annaba (Algérie) lors des éliminatoires de la CAN 2025.

Les Fennecs ont écrasé 5-1 les Eperviers grâce au doublé de l'actuel vilain Saïd Benrahma (celui qui veut nous tuer dans un mois) et aux buts des ex-banlieusards Houssem Aouar et Amine Gouiri. S'il a concédé l'ouverture du score, l'ancien gardien numéro 3 des Verts s'est ensuite montré intraitable. Il retrouvera le Togo après-demain à Lomé.

 

Les images du naufrage des Amazones

12/10 12:17

Alors qu'elles avaient démarré leur saison par 3 succès étriqués, les Vertes ont sombré hier soir au stade Océane en ouverture de la 4e journée. Sur sa chaîne youtube, Première Ligue a publié aujourd'hui les images du naufrage des protégées de Laurent Mortel.

El Jamali tenu en échec par le Danemark

12/10 10:56

Titularisé hier par Nourredine Naybet (ancien capitaine emblématique des Lions de l’Atlas et nouveau sélectionneur de l'équipe de Maroc U18), le milieu offensif des U19 stéphanois Nadir El Jamali (17 ans) a été tenu en échec (1-1) par le Danemark au Complexe Mohammed VI de football. Pour rappel, une nouvelle confrontation entre ces deux sélections est programmée dans la même enceinte après-demain.

Kilt ou double

12/10 10:34

Dans La DH Les Sports +, le supersub diablotin Lucas Stassin revient sur son doublé victorieux d'hier soir avec les Espoirs belges en Ecosse.

"Si je dois remercier Mika Godts d'avoir déclaré forfait ? [non convoqué initialement, l'attaquant stéphanois a été rappelé en sélection suite à la blessure du joueur de l'Ajax, ndp2]. "Je ne le vois pas de cette façon. Ce ne sont que les lois du football. J'y suis habitué mais je suis content d'avoir été récompensé. Je suis en tout cas très content des deux buts et des trois points. Ce n'est pas seulement mon mérite, mais bien sûr aussi celui de l'entraîneur et de mes coéquipiers. Nous devons maintenant tout faire pour remporter le match contre la Hongrie mardi afin de terminer cette campagne sur une bonne note et nous verrons ensuite qui nous pourrons affronter lors des barrages."

 

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