Soins/entraînement : ALEKSIC, BRISON, CLEMENT, COULIBALY, GRADEL, LAUDRUP

Suspendus : HAMOUMA, LEMOINE

Dans une interview parue aujourd'hui dans Sud-Ouest, le président du Pau FC (CFA) annonce l'arrivée de l'ancien défenseur stéphanois Alain Merchadier.

"Il va venir avec nous, la saison prochaine. Il aura un rôle de directeur sportif, mais aussi de responsable pour développer la formation. Alain Merchadier va venir s’installer à Pau. Son arrivée est très importante pour nous parce qu’il a beaucoup d’expérience. Après sa carrière de joueur à Saint-Étienne, il a occupé de nombreux postes entraîneur, directeur sportif, recruteur. C’est aussi important pour nous, dans le relationnel, avec les autres clubs, avec les instances du foot. Samedi, il était à la finale de la Coupe de la Ligue, avec les anciens Verts et il a retrouvé Jean-Michel Larqué qui lui a dit : « Je suis au District, tous les mercredis, tu passeras me voir."

Décisif en Coupe de la Ligue, Stéphane Ruffier évoque son avenir dans un entretien publié aujourd'hui dans la Pravda et relayé par le site Planète ASM.

Jouerez-vous ce soir le premier de vos six derniers matchs avec les Verts ?
Je ne pense pas à mon avenir mais à tous ces bons moments que nous sommes en train de vivre. On a le temps de voir.

Vous êtes-vous déjà mis d'accord avec Monaco ?
C'est ce qui se dit et raconte... Moi, je ne me suis jamais exprimé sur le sujet. Avant de parler d'avenir (il est sous contrat jusqu'en 2015), j'ai une fin de saison à préparer. Ce n'est pas fini. On veut terminer le plus haut possible en L1.

Histoire de quitter Saint-Étienne l'esprit tranquille en juin ?
Cet engouement autour des Verts donne envie de rester et de s'installer ici. Après, le foot est fait d'envies et de départs. S'installer longtemps dans un club, ça arrive aussi. C'est le cas de Loïc Perrin. Mais il est de Saint-Étienne. Certains joueurs évoluent dans deux ou trois clubs dans leur carrière. D'autres en font plus. C'est comme ça.

Le potonaute Galette89 (Jordan Galtier) raconte aujourd'hui dans Le Dauphiné Libéré comment il a vécu la finale de la Coupe de la Ligue.

"J’étais très stressé avant le but de Brandao. Dès lors, j’étais un peu plus serein car Saint-Etienne était bien en place alors que Rennes éprouvait les pires difficultés et ne parvenait pas à se montrer dangereux. Mais je dois avouer que le dernier quart d’heure a été très long. À partir de l’ouverture du score de Brandao, j’ai senti que la victoire ne pouvait pas nous échapper. Après les protocoles d’usage, nous avons pu rejoindre mon père pour partager un moment de convivialité en famille. J’en ai profité pour m’asseoir sur le banc de touche et essayer d’imaginer comment on pouvait vivre la finale en tant qu’entraîneur.

Je suis fier de mon père. Au-delà du trophée, mon père véhicule une image qui me satisfait et qui récompense le travail qu’il a fourni depuis plusieurs années. Aujourd’hui encore, j’ai du mal à réaliser la portée de cette victoire avec un club aussi mythique et prestigieux que celui de l’ASSE. Au moment de rejoindre mon hôtel en RER, un supporter m’a demandé si je n’étais pas le fils de Galtier et je n’ai pas pu me dérober. Et tout s’est bien fini puisque les supporters présents n’ont pas cessé de chanter même dans le RER.”

Dans la dernière édition du Journal de Saône-et-Loire, on apprend que les gendarmes du peloton motorisé de Charnay-lès-Mâcon ont effectué un contrôle d'alcoolémie qui s’est révélé plutôt insolite dans la nuit de samedi à dimanche. Un Stéphanois âgé de 24 ans qui rentrait de la finale de la Coupe de la Ligue a été contrôlé avec un taux de 1,20 gramme d'alcool par litre de sang alors qu’il circulait sur la voie de gauche de l’A6 à Mâcon. L’automobiliste a appelé sa sœur à la rescousse pour venir le récupérer à Mâcon depuis Saint-Étienne. Mais la jeune femme est arrivée à la gendarmerie au volant d’une voiture en étant également en état d’ébriété : le dépistage indiquait un taux de 1,84 gramme d'alcool !

Vous avez gagné des titres avec Lyon vous venez d’en gagner un avec l’ASSE. Il y a un peu plus de piment, notamment au niveau de l’attente.

Forcément. Lorsque Lyon a gagné son premier titre, c’était quelque chose également. À Saint-Etienne, il y a un engouement extraordinaire dans la ville, dans la région, mais également dans toute la France. Nous avions apprécié toute cette ferveur en demi-finale. On gagne la finale. C’est extraordinaire. Quand on voit Dominique les larmes aux yeux, cela fait très plaisir. Nous sommes fiers de ce succès, nous allons rester dans l’histoire de l’ASSE.

Cet extrait anodin d'une interview de François Clerc parue hier dans Le Progrès a déplu à Louis Nicollin, qui a traité le latéral droit des Verts de "mange-foule" et de "mange-merde" (sic) à l'antenne de Radio Scoop. Le club a décidé de ne pas laisser passer ce dérapage du multirécidiviste Loulou : "L’ASSE condamne vivement les insultes proférées par Louis Nicollin à l’encontre de François Clerc. Ces propos inacceptables sont indignes d’un président de club. L’ASSE souhaite que le Conseil national de l’éthique soit saisi et sanctionne le dirigeant de Montpellier pour cette agression verbale".

Dans la dernière édition du Progrès, Jonathan Brison revient sur le magnifique week-end des Verts avant de se projeter sur la fin de championnat. Extraits.

"C’est fantastique. On s’attendait à quelque chose de vraiment bien, pour notre retour à Saint-Etienne, mais franchement je ne m’attendais pas à ça. C’était énorme. Un grand moment à vivre. J’ai d’ailleurs essayé de prendre un maximum d’images. Toute la ville était dehors, dimanche après-midi. J’en ai eu des frissons. C’est vraiment un week-end parfait. Sur le terrain, c’était super, on a gagné. Et puis toute cette ferveur dans les tribunes. La fête entre nous qui était top...

Je ne ressens pas de fatigue générale dans le groupe. On est préparé pour enchaîner les matchs. Je pars du principe qu’avec l’euphorie, ça peut passer. Le football, c’est beaucoup dans la tête. Jouer libéré, c’est ce qu’il y a de mieux pour un footballeur. Notre saison est d’ores et déja réussie. On est assuré de faire la Coupe d’Europe. Il n’y a pas à se poser de questions ou se mettre une pression inutile. Jouons notre jeu et on verra ce qui se passera. La Coupe de la Ligue ne doit pas être une finalité. On est des compétiteurs ambitieux. Si on peut accrocher la troisième place, ou mieux, on ne se gênera pas. La saison est déjà belle. On peut la rendre très belle. La Ligue des Champions, ce serait fantastique."

Comme lors du mythique 100ème derby, la Divette de Montmartre était en fête samedi soir. A la fin d'un reportage diffusé par France 3, on voit plusieurs potonautes danser comme Féfé dans le meilleur bar vert de la capitale.

Entré en jeu hier soir à la 72ème minute, Emmanuel Rivière a marqué d'un plat du pied droit le quatrième et dernier but de l'écrasante victoire de Monaco contre Clermont. C'est le troisième pion claqué cette année par Manu en dix apparitions sous le maillot monégasque.

Sous contrat avec l'ASSE jusqu'en juin 2014, Yoric Ravet a marqué 3 buts et délivré deux passes décisives en 25 matches avec le SCO dont 15 titularisations. Quatrième à deux points du podium, l'ancien Grenoblois s'est confié hier dans Ouest-France. Extraits.

"Ça fait trois matches que j'enchaîne. Au fil des rencontres, je me sens mieux. Je travaille aussi à l'entraînement pour être bien. Cette fin de saison est excitante à jouer, il faut tout lâcher, tout arracher.  Ce sera serré jusqu'à la 38^e journée, on est préparé à ça. Il reste cinq matches, ce sont cinq finales. A nous de tout faire pour avoir le même bilan comptable contre ces cinq équipes qu'à aller.

J'ai très bien commencé la saison. Après, j'ai eu cette petite blessure qui m'a coupé dans mon élan. Je ne me suis peut-être aussi pas assez remis en question, il faut le reconnaître. Je sortais d'une saison blanche, je savais que j'aurais un coup de mou. J'ai beaucoup travaillé avec le staff pour retrouver mon niveau de début de saison. Et sur ces dernières semaines, ça paie.

Je me suis peut-être laissé aller sur le plan défensif. Je sais que si défensivement je suis bon, je le serai aussi offensivement. C'est un peu un tout. Ce côté défensif, je l'ai beaucoup travaillé ces dernières semaines. Les contre-efforts, je les fais beaucoup plus facilement. Je ne vais pas dire que défendre est ce que je préfère mais je prends plus de plaisir à aider l'équipe à récupérer le ballon.

J'ai toujours eu cette part d'insouciance. J'ai une bonne frappe, autant s'en servir. Après, il y a plus ou moins de réussite. Parfois, ça peut partir 6 mètres au dessus, comme ça peut surprendre le gardien. Je pense que c'est quelque chose qu'il faut garder car il y a un effet de surprise.

Je ne sais pas du tout où je serai a saison prochaine. Je suis concentré sur la fin de saison car on peut réaliser quelque chose de grand. On verra mon cas personnel ensuite. On n'en a pas trop parlé pour l'heure. Comme je l'ai toujours dit au coach et à Olivier Pickeu, si on a cette chance de monter, moi je me sens bien ici. Après, ce n'est pas moi qui déciderai au final. En cette fin de saison, il ne faut pas se prendre la tête non plus. Personnellement, il faut que je montre de quoi je suis capable mais surtout que j'aide l'équipe à gagner les cinq matches à venir."

Comme souvent, le Sphinx salue dans la dernière édition du Progrès la performance du capitaine stéphanois lors de la finale de la coupe de la Ligue.

"L’ASSE a fait preuve de rigueur, de solidarité et je ne l’ai jamais sentie véritablement en danger. C’est tout à l’honneur des joueurs et notamment de l’influence que peut avoir Loïc Perrin. Il se positionne toujours par rapport au placement de ses partenaires. Il est le véritable patron de la défense. Il en faut un et c’est essentiel pour le bon équilibre de l’équipe. Ce n’était pas un match d’un très haut niveau mais il y a eu de la qualité. Si le collectif fut la clé, trois joueurs ont été déterminants. Perrin donc, Ruffier - je trouve que l’on n’insiste pas suffisamment sur sa parade déterminante en tout début de match - et Brandao par son efficacité, son sens du placement. Il se retrouve toujours là où il faut, sans se faire remarquer."

A la peine lors des trois premières journées du championnat suédois, Lasse Nilsson vient de claquer deux pions en cinq jours. En renard des surfaces, l'ancien attaquant stéphanois a marqué jeudi le but égalisateur sur le terrain de Kalmar. Ce soir, "Fifi Brindacier" a marqué sur penalty le premier but de la victoire d'Elfsborg contre Djurgardens.

Longtemps lanterne rouge, l'ASNL est sortie de la zone de relégation ce week-end, pour le plus grand bonheur de son président. Dans la Pravda du jour, Jacques Rousselot salue le boulot d'un ancien Vert avant de faire un clin d'œil au président du directoire de l'ASSE.

"A la trêve, pour moi on était en L2 à 98%. L'équipe est repartie grâce à Patrick Gabriel et Vincent Hognon, son adjoint. Ce duo réalise un travail exceptionnel. Jamais personne n'est parvenu à se sauver en France avec seulement 11 points à la trêve. En cas de maintien, j'ai prévu un petit challenge avec les collaborateurs. Nancy-La Schlucht, cent trente kilomètres avec arrivée au sommet du col. Et j'inviterai mon ami Roland Romeyer !"

Malgré le penalty égalisateur de Matt Moussilou (son 6ème pion de la saison), Lausanne Sport s'est incliné 3-1 à domicile ce week-end face aux Verts de Saint-Gall lors de la 28ème journée du championnat suisse. Ayant perdu un match sur deux, la formation entraînée par Laurent Roussey est toujours antépénultième.

On l'a déjà vu et revu, mais on ne s'en lasse pas. Grâce à la soeur de la célèbre potonaute fofie, nous pouvons même revoir le but de Brandao depuis les tribunes, avec action complète, joie derrière et qualité d'image correcte. Y a pas de mal à se faire du bien !

Stade de France, samedi 20 avril 2013.

Merci au potonaute Briko pour la photo.

Christian Sarramagna en a pleuré. Présent au Stade de France samedi comme bon nombre de ses anciens coéquipiers stéphanois, le mythique ailier gauche de l'épopée des Verts revient avec émotion sur une soirée qui restera longtemps gravée dans les mémoires.

"On n'a pas vécu un grand match mais un grand moment. D'un point de vue émotionnel, c'était excessivement fort, avec la France entière ou presque derrière nous. Tous ces supporters qui ne voulaient plus quitter le Stade de France au coup de sifflet final. C'était beau, mais beau ! On a assisté à une communion entre un club et ses supporters, peut-être encore plus forte qu'à notre époque. Cela montre que les grands clubs ne meurent jamais. Les dirigeants actuels ont réussi à reconstruire dans l'ombre et la sérénité. Cela va-t-il durer ? Je l'espère. Cette victoire peut faire sauter le blocage qu'il y avait par rapport à l'épopée verte et permettre au club de continuer à grandir."

Amène, Lemoine n'est pas un ermite mais un cénobite. Après la communion avec le peuple vert et la profession de foi en Saint-Etienne, l'heure est à la confirmation en championnat selon Fabien, interviewé dans Le Progrès du jour. Extraits.

"On a écrit notre petite histoire à nous. Elle n’est pas aussi grande que celle de l’épopée. Mais le club se reconstruit. Et c’est un immense plaisir de jouer dans une équipe qui est en train de rebâtir quelque chose. Ce n’est qu’une petite ligne au palmarès de l’ASSE mais j’espère bien qu’on va en écrire d’autres. On a joué avec notre coeur, pour nous mais aussi pour les supporters, pour tout ce qu’ils nous apportent. Les voir heureux, ça nous fait très plaisir.

Samedi soir, j’en ai vraiment profité au max. J’ai pris énormément de plaisir.  La communion avec le public a été incroyable. On était dans l’obligation de leur rendre ce qu’ils nous donnent. Ce ne fut pas notre meilleur match de la saison mais on a fait le match qu’il fallait en étant très solide. Toute l’équipe a joué de manière intelligente. Après l’ouverture du score, on a plutôt bien maîtrisé. Et on a respecté les valeurs du club. On a été des guerriers sur le terrain. Des chiens fous. 

Jouer l’Europa League la saison prochaine, ça aussi c’est grandiose. Les travaux du stade seront encore plus avancés. Il y aura de beaux matchs à Geoffroy-Guichard. Doucement, Saint-Etienne est en train de grandir. Et on a tous envie de participer à son évolution. En championnat, le groupe a envie d’aller le plus haut possible.

Cette Coupe n’enlève rien à notre ambition. On donnera le maximum pour faire honneur à notre maillot. Nous sommes toujours invaincus en 2013 en championnat. Il faut continuer de faire beaucoup d’efforts, dès mercredi, pour battre Ajaccio. Après, il y aura cinq grosses finales aussi. La fin de saison est très intéressante. Et on sera plus libéré que si on avait perdu samedi soir."

D'après Le Parisien, Rudi Garcia a annoncé qu'il honorerait jusqu'au terme (2014) son contrat avec Lille.  Toujours rayon ex-Verts sur le banc, Frédéric Antonetti et Montanier, un temps pressentis à Montpellier, ne rejoindront pas l'Hérault puisque le champion de France en titre a jeté son dévolu sur Jean Fernandez.

Akim Orinel a marqué vendredi soir sur penalty l'unique but de la victoire de Châteauroux contre les Chamois Niortais. C'est le quatrième pion claqué cette saison par l'ancien réserviste de l'ASSE.