Un (lu)beau soutien !
17/04 22:27
La nouvelle jeunesse d'Ejnès
17/04 21:45
Gagné à son tour par la fièvre verte, le quotidien La Croix souligne dans sa dernière édition que l'ASSE et le Stade Rennais "ne partent pas à égalité sur la ligne de départ de la notoriété."
À son corps défendant, le Breton Patrick Braouezec, ancien maire de Saint-Denis et actuel président de la Fondation du football, le reconnaît : "Saint-Étienne c’est la petite Madeleine de Proust de tous les amoureux du football. Quarante ans après les exploits des Verts en Coupe d’Europe, elle a gardé tout son goût pour les gens de ma génération et celles qui ont suivi."
"Demandez à un gamin d’aujourd’hui si Bordeaux, Nantes ou Auxerre ont été un jour de grands clubs, il ne saura pas. Par contre, il sait forcément quelque chose des exploits des Stéphanois" constate Gérard Ejnès, directeur de France Football. "Qu’on le veuille ou non, Saint-Étienne est unique. Si Rennes gagne samedi soir, ce sera la fête en Bretagne et pour les Bretons de Paris. Mais si les Verts l’emportent, c’est toute la France qui s’enflammera."
Les U17 ont croqué les Crocos !
17/04 20:47
En match avancé de la 24ème et antépénultième journée du championnat U17, l'ASSE s'est imposée 4-1 à Nîmes en fin d'après-midi.
Sur une passe de Jonathan Bamba, Augustin Bangoura a ouvert le score dès la 7ème minute de jeu. Bien servi par ce dernier, Alexandre Assaf a marqué le but du break à la demi-heure de jeu. Lancé en profondeur par Nassim Mahhidine à la 57ème minute, Augustin Bangoura a réalisé le doublé avant de délivrer une passe décisive à Sofiane Hachani à l'entame du dernier quart d'heure. Entretemps, les Crocodiles ont marqué leur unique but sur penalty à la 84ème minute.
La compo : Guendouz - Pouyet (Pétrot, 30'), Mendy, Cabaton, Boumali - Dauphin, Assaf, Suljic (Mahhidine, 55')- Bamba, Gattier (Hachani, 74'), Bangoura.
Assurés de terminer devant Bastia, les Verts termineront à une première place significative de qualification pour les phases finales s'ils font au moins un match nul sur leurs deux derniers matches (ou si Nice n'arrive pas à gagner ses trois derniers matches).
La réaction de Gilles Rodriguez (co-entraineur avec Lionel Vaillant) : "C'est une belle victoire. C'est très intéressant. On est bien parti pour se qualifier pour les plays-offs mais tant que mathématiquement ce n'est pas fait, il faut rester prudent."
Néry à l'infirmerie
17/04 15:21
Touché au genou droit avec l'équipe réserve du VAFC samedi à Compiègne, Loris Néry va subir une arthroscopie pour déterminer l'état de son ménisque. Selon la Pravda, sa saison est d'ores et déjà terminée. C'était déjà le cas pour Anthony Le Tallec, qui sera opéré d'un tendon d'Achille ce jeudi.
Un vilain en moins
17/04 11:32
Touché aux ischio-jambiers lors de sa dernière prestation contre Toulouse, le vilain chanteur Alexandre Lacazette a annoncé aujourd'hui sur son compte twitter qu'il sera indisponible 3 semaines. Il ratera donc le derby programmé à Gerland le dimanche 28 avril à 14h00.
Apprendre à rebondir
17/04 11:18
- les Verts ont commencé la saison par une défaite à domicile 2-1 dans les arrêts de jeu contre une traditionnelle bête noire (qui en plus a un "L" pour initiale) : le match suivant fut un raté total, la défaite à Toulouse (peut-être la pire prestation de la saison) - avant d'enfin gagner contre Brest la semaine d'après.
- la défaite à domicile contre Sochaux est la seule qui n'a pas été suivie d'autre défaite dans un futur proche. Néanmoins, il fallut se contenter d'un nul lors de la rencontre qui l'a suivi (Montpellier).
- on arrive ensuite au derby aller, qui a inauguré un mois de décembre catastrophique (3 défaites, 1 nul).
C'est le moment d'innover, les gars.
Le retour d'Isma
17/04 09:35
Il y a un an, Abdel Bouhazama ne tarissait pas d'éloges pour ce "6 moderne", dont la progression naturelle a été largement ralentie par les coups durs. Opéré à l'épaule en fin de saison dernière, Diomandé s'est blessé dès son retour sur les terrains, lors du hold-up de Sochaux en septembre.
On espère que cette phase difficile est terminée pour de bon, et que Diomandé pourra contribuer à limiter les dégâts causés par la blessure de Clément. Bon retour Ismaël !
Lemoine s'est mis au vert
17/04 09:16
Dans la dernière édition du quotidien Ouest-France, Fabien Lemoine évoque ses mises au vert avant de s'envoler dès demain après-midi pour Paris en vue de la finale de la Coupe de la Ligue.
"La grosse première image, c’est le stade Geoffroy-Guichard. J’ai ressenti beaucoup de bonheur, car j’avais une grosse envie de démarrer dans ce stade. La ville, je l’ai découverte petit à petit, et même si elle n’est pas exceptionnelle, ce n’est pas grave. Vu tout ce qui se passe au club et autour du club, c’est suffisant. Si la ville n’avait fait que 10 000 habitants c’eut été pareil. Ma femme a eu plus de mal au début. Mes enfants sont en bas âge, donc ils ne comprennent pas trop. Mais ma femme a eu plus de mal à lâcher tout ce que l’on avait à Rennes. La ville, la famille, les amis, la maison que l’on venait de faire construire. Au début, l’intégration n’est pas facile. Et puis il faut attendre que les choses se mettent en place dans la vie quotidienne. On s’est dit au début : qu’est ce que l’on était bien à Rennes ! Depuis que tout est bien installé, notre période de vie rennaise s’estompe un peu. Au début on compare tout… On savait que l’on perdrait beaucoup en quittant Rennes, et on ne savait pas ce que l’on allait trouver. Maintenant ça fait un an et demi, et ça y’est je me sens Stéphanois.
(...)
Les veilles de match, le soir, on mange tous ensemble au centre d’entraînement. Mais on n’y dort pas. On rentre chez nous. Les mises au vert existent seulement pour les matchs à 14 h et 17 h à l’extérieur, et les matchs à 14 h à domicile. Pour les autres, on n’a pas de mise au vert. On vient le matin, du match c’est tout. On nous a demandé notre avis, en début de saison, et on a voté ça. Et franchement, ne pas avoir systématiquement de mise au vert, c’est top ! T’es chez toi, tranquille. Pour la demi-finale contre Lille, on est quand même parti trois jours au vert, à l’extérieur. Pour être un peu tranquille… On a un groupe de mecs consciencieux, matures, intelligents, ici les mecs ne font pas n’importe quoi. Quand le coach nous a posé la question c’était avant Brest, on était sur deux défaites consécutives, il aurait pu au contraire verrouiller l’affaire. Pas du tout, il a accepté le vote, nous a fait confiance. On a gagné 4-0 donc c’est sûr qu’après, il ne pouvait plus rien dire (Rires). Personnellement, les mises au vert systématiques je n’en pouvais plus. Parfois on jouait le dimanche soir sur Canal à 21 h. On s’entraînait le samedi après-midi, on allait à l’hôtel dans la soirée qui était longue. Et puis derrière, il y a toute la journée du dimanche, jusqu’au soir… C’est horrible. Tu bouffes de l’influx, et tu t’emmerdes. Là, on peut aussi passer la soirée ensemble, si on veut."
Des guignols à l'ASSE !
17/04 07:44
Il n'y pas que chez les vilains qu'on trouve des guignols, comme l'explique l'intendant des Verts Frédéric Emile dans la dernière édition du Progrès.
"J’ai préréservé l’hôtel le lendemain du quart de finale, sans en parler à personne. Je partais du principe qu’ainsi, nous serions prioritaires sur les autres équipes, si on allait en finale. Nous en avions parlé avec Christophe Galtier et quelques joueurs qui avaient déjà gagné la coupe et souhaitaient retourner dans cet hôtel. Après avoir éliminé Lille, on est monté à Paris avec Stéphane Tessier et pendant toute une journée, la Ligue nous a abreuvés d’informations pour nous expliquer que le match était organisé par les trois parties, l’ASSE, le Stade Rennais et la LFP. Il a fallu choisir l’horaire de l’entraînement de la veille, expliquer de quel matériel on avait besoin, ballons, chasubles, buts mobiles, plots, eau plate ou gazeuse, café, thé, fruits. Pour les mannequins à pointe familièrement appelés guignols parce qu’ils ne bougent pas, il faudra qu’on monte les nôtres. On va aussi se faire livrer une machine de cryothérapie pour la récupération parce qu’on joue trois jours après."
Fin de série
16/04 22:30
Alors qu'elle était toutes compétitions confondues la seule équipe invaincue des 5 grands championnats européens en 2013, l'ASSE s'est inclinée 2-1 ce soir à Geoffroy-Guichard contre sa bête noire lorientaise en quart de finale de Coupe de France. Malgré l'égalisation d'Aubame sur un centre de Renaud Cohade, Jérémy Aliadière a donné la victoire aux Merlus dans le temps additionnel.
La vidéo des buts : ASSE 1 - Lorient 2
Ils se lèvent tous pour Galette ! (2)
16/04 18:00
Le travail effectué par Christophe Galtier force l'admiration de trois anciens entraîneurs stéphanois, interviewés dans la dernière édition de France Football.
Robert Herbin : "Saint-Etienne réussit parce que Christophe Galtier s’est orienté vers la formation. Il a permis à des jeunes d’éclater. De Jean Snella jusqu’à lui, c’est la politique qui a toujours fonctionné dans ce club. Je souhaite que cela continue ainsi. Ses prédécesseurs s’étaient moins appuyés sur la formation. La plus-value apportée par Galtier, c’est la cohésion. Quand vous avez cinq, six ou sept joueurs qui ont été formés plus ou moins ensemble, vous gagnez des automatismes qui se répercutent au haut niveau. En fait, il y a deux façons de diriger le club. Celle du PSG – qui a les moyens- et une autre voie, qu’a choisi Saint-Etienne et qui est la bonne. J’en ai souvent parlé avec Roland Romeyer. Ça devient payant. J’espère que cette progression se poursuivra, même s’il faut s’attendre à des difficultés pour conserver certains joueurs. Galtier est un entraîneur exigeant et, comme il s’adresse à des éléments auxquels on a inculqué cette rigueur, ça se traduit par une excellente cohésion, des joueurs généreux dans l’effort et collectifs dans l’esprit."
Elie Baup : "La structure de travail avec le positionnement de Bernard Caïazzo, Roland Romeyer et Dominique Rocheteau est un équilibre fort qui permet à l’entraîneur de se concentrer sur le terrain. Une fois que l’on a dit ça, je trouve que Christophe suit un vrai fil conducteur, qu’il a su mettre en place en termes de modèle de jeu. L’une des grandes caractéristiques du jeu de Saint-Etienne, c’est le repositionnement et la transition défense-attaque, avec une grande vitesse de projection vers l’avant une fois le ballon récupéré. Il y a une vraie cohérence d’idées : comment on récupère ce ballon, comment on le ressort pour tout de suite mettre l’équipe adverse en difficulté. Christophe a su trouver la complémentarité entre les joueurs. Que ce soit Guilavogui, Clément ou Lemoine, chacun sait parfaitement ce qu’il doit faire. Ce harcèlement en situation haute ou basse et ces solutions dans la récupération immédiatement trouvées pour mettre l’adversaire en danger portent la marque de cet entraîneur."
Alain Perrin : "Tout entraîneur est entouré d’un effectif de joueurs auxquels il apporte sa patte. Il faut voir si Saint-Etienne serait là où il en est sans Aubameyang. C’est souvent un leader de jeu qui crée la dynamique qui vous fait gagner quelques matches et prendre confiance. Après, il faut aussi savoir faire vivre un groupe… Et ça, ça se voit surtout quand l’équipe tourne moins bien, par exemple lorsque Saint-Etienne a connu un passage à vide après sa victoire au Parc. Le travail de Christophe Galtier a été de remobiliser les énergies avec un discours fondateur. Il faut être capable de sortir d’une spirale négative, de surfer sur la confiance tout en restant les pieds sur terre. Ce parcours exceptionnel de Saint-Etienne n’est pas venu tout seul. C’est le vrai travail d’un staff. Car si l’ASSE en est là aujourd’hui, c’est qu’il y a une construction que Christophe et tous ceux qui sont autour de lui ont su faire avancer."
Tocards ou bobards ?
16/04 16:34
Après avoir laissé entendre qu'un départ en fin de saison n'était pas à exclure, Frédéric Antonetti a joué l'auto-flagellation et la résignation aujourd'hui en conférence de presse. Intox ?
"On est dans une situation difficile. Deux mois sans gagner, c’est très très long. On n’est pas dans les mêmes dispositions mentales que notre adversaire, qui est largement favori. Mais, sur un match, on a notre chance. À nous de la saisir si elle se présente. On est même les tocards de la finale. On n’est même pas outsiders, on est tocards, vu la situation. Tocards… Il n’y a qu’à lire les journaux. Il n’y a pas que moi qui le dit. Vous l’avez dit au bout de deux matches, moi j’ai attendu huit matches. Donc c’est qu’il y a quelque chose de vrai.
On est largués en Championnat. Mais le grand responsable c’est moi, car je dois trouver des solutions. On a 15 à 20% de chances de gagner samedi. On est 11 contre 11 sur le terrain, malgré que toute la France soit derrière les Verts, parce qu’il y a de la sympathie pour ce club, une réelle passion - j’en parle d’autant plus que j’ai travaillé dans ce club, donc je connais bien la maison. Vous allez voir un tsunami vert. Si nous on a une petite vague, eux ont un tsunami. Là-dessus on ne peut pas lutter."
Aubame dans la liste
16/04 15:56
La liste complète, qui sent fort la sardine :
Aymen Abdennour (Tunisie, Toulouse FC)
Kossi Agassa (Togo, Stade de Reims)
Pierre-Emerick Aubameyang (Gabon, Saint-Etienne)
André Ayew (Ghana, Olympique de Marseille)
Foued Kadir (Algérie, Valenciennes et Olympique de Marseille)
Wahbi Khazri (Tunisie, Bastia)
Saber Khelifa (Tunisie, Evian Thonon Gaillard)
Nicolas Nkoulou (Cameroun, Olympique de Marseille)
Jonathan Pitroipa (Burkina Faso, Stade Rennais)
Alaixys Romao (Togo, FC Lorient et Olympique de Marseille)
Alain Traoré (Burkina Faso, FC Lorient)
Pinault, simple sup !
16/04 13:57
"Eh m'sieur Hayek, t'as pas le 06 de Salma ?"...
Ce matin, François Henri Pinault, l'actionnaire du Stade Rennais est venu parler aux joueurs dans un vestiaire. Le site off Rennais revient sur cette visite impromptue et commentée par le mari du plus bel atout des Rouge et Noir : « Je n’avais prévenu personne, mais à la veille d’un match aussi important, je me devais de venir et parler directement aux joueurs et au staff. On est dans une période difficile en championnat. Je leur ai dit que c’était la plus belle équipe depuis les quinze dernières années. Les deux derniers mois n’ont pas été bons. C’est une chose, mais les cinq derniers le sont. On ne peut pas jeter le tout à la poubelle. Durant cinq mois, cette équipe a fait vibrer la ville, la région comme jamais aucune équipe ne l’a fait. J’étais au Parc des Princes. Le Stade Rennais a été capable de battre à 9 contre 11, l’une des meilleures équipes d’Europe. Ce n’est pas rien. Battre le champion de France Montpellier en demi-finale de coupe de la Ligue et faire descendre 30 000 personnes sur la pelouse ce n’est pas rien non plus. Cette équipe va gagner au Stade de France et je suis venu le leur dire. Il faut qu’elle ait confiance en elle. Elle a montré qu’elle avait un mental dans les grands moments. On va voir ce visage samedi prochain. »
Braquage au rêve Vert
16/04 13:16
Après le classique marché noir, les annonces faussement sympas (malheureusement très difficiles à empêcher...) ou les arnaques pures et simples par Internet, c'est carrément la vente de fausses places en direct qu'a tenté un individu peu recommandable, juste devant la gare Châteaucreux, avant de se faire épingler par la police !
Ils se lèvent tous pour Galette ! (1)
16/04 13:05
Mis à l'honneur dans la dernière édition de France Football, Christophe Galtier reçoit une floppée d'éloges.
Gérard Gili : "Quand je dirigeais le centre de formation de l’OM, il était un peu bouillant, mais il est rapidement devenu le taulier du centre. Quand il n’y avait plus personne, parfois il venait chez moi et on discutait « boutique ». Je crois qu’il a passé ses diplômes d’initiateur à seize ans. C’est un fédérateur qui dédramatise les relations avec les gens. Christophe est quelqu’un de fidèle, qui a toujours su rester à sa place. Comme joueur, il a respecté les consignes de l’entraîneur. Comme adjoint, celles du coach. C’est quelqu’un de très respectable. Mais il est encore en phase d’apprentissage et il ne doit plus s’offusquer des petites mesquineries de notre métier. Il y a des choses importantes et d’autres qui le sont moins. Il ne doit pas passer beaucoup de temps sur celles qui ne le sont pas. C’est son naturel qui lui permet de faire progresser les joueurs en les impliquant dans le travail avec du plaisir. Car c’est quelqu’un avec qui tu ne t’ennuies pas, qui aime parler et diriger."
Bernard Caïazzo : "C’est une éponge. Christophe n’a pas eu la culture de la compétition intellectuelle, mais il prend tout et il a une formidable intelligence car il retient toutes les leçons. Il enregistre et ne fait jamais la même erreur. Il tire les enseignements. Il mémorise énormément son vécu. Sa prise d’infos tous azimuts, ça ne traduit pas du tout un manque de confiance en soi. Cette prise de conseils à droite et à gauche auprès de gens qui connaissent le football, comme Jean-Pierre Bernès, est une qualité. Ce besoin de valider ce qu’il pense reste une force, car Christophe ne se paie pas de certitudes. Il ne vit pas dans le monde l’égo car il a été longtemps numéro 2. Sincèrement, des entraîneurs qui font bien travailler, j’en ai vu. Mais Christophe est celui qui fait le plus progresser les joueurs, individuellement et collectivement."
Eric Blahic : "Il est toujours à l’écoute, il va chercher l’info partout où elle est. Je l’ai vu à l’œuvre lors de notre stage Liverpool. Après, il en garde le souvenir et sait comment s’en servir. Il a un ressenti de groupe supérieur à beaucoup de personnes. Il a ce que j’appelle « le ressenti de vestiaire » ; il en a l’odeur, il a ce truc. Et ça se traduit dans son mode de management. Au DEPF, quand nous faisions des séances avec les 16 ans, je l’ai vu « faire la mayonnaise » dans leur groupe, le remettre en ordre, le relancer quand il avait un coup de moins bien."
Jean-Pierre Bernès : "Il travaille trop, il est trop imprégné là-dedans ! Avec l’expérience, il s’apercevra que, parfois, il faut couper. On n’en est que plus lucide. Il est au club du matin au soir, il n’arrête pas ! Il m’a bluffé, je ne pensais pas qu’il arriverait à ce niveau-là."
Alain Blachon : "Il est beau gosse et il le sait. C’est un séducteur et il s’en sert un peu."
Hérita, ça déchire !
16/04 12:03
Victime de sa troisième déchirure à la cuisse en deux mois, Hérita Ilunga est forfait pour la finale de la Coupe de la Ligue selon la dernière édition du quotidien Ouest-France.
Sainté, simply the best !
16/04 09:02
A l'issue de la 32ème journée, Sainté continue de truster les premières places aux divers classements annexes que publie la Ligue (qu'on adule).
Ainsi, malgré le tout petit match nul ramené de Valenciennes, l'ASSE reste n°1 en France au taux de frappes cadrées (42,3%) devant Nice et le PSG. Aubame reste n°1 au nombre de frappes cadrées (63) devant Ibrahimovic (62) mais il n'a pas vraiment profité de la suspension de ce dernier pour consolider son leadership. De son côté (gauche le plus souvent), Mollo est le centreur n°1 de France (tant au nombre de centres réalisés -302- qu'au nombre de centres réussis -79-).
Sainté, simply the best ? Confirmation plus qu'espérée entre ce soir et samedi soir.
Pour Anto, ça passe ou ça casse !
15/04 23:01
Lors d'un entretien diffusé ce soir par France 3 Bretagne, Frédéric Antonetti a laissé entendre qu'il quittera le Stade Rennais en fin de saison si Sainté remporte la Coupe de la Ligue samedi soir.
"Depuis le début de saison, les Verts sont meilleurs que nous. Mais sur un match tout est possible en football. Ils sont favoris logiques, ce n'est même pas de la politique. Ils sont invaincus depuis 2013. Ils ont réussi leurs trois derniers mois alors qu'on les a ratés. Je constate que Rennes est un bon club mais on ne donne pas satisfaction aux gens parce qu'on ne franchit pas un palier : une place de troisième en championnat, comme ça aurait pu être le cas en 2006 ou en 2011; gagner une coupe, comme ça aurait pu être le cas en 2009 ou l'an dernier quand on s'est fait éliminer par Quevilly; finir 5ème et européen la saison dernière alors qu'on finit sixième. Il y a plein de petites choses comme ça qui font que les gens ont beaucoup d'espoir mais sont déçus à la fin. Là, on a une nouvelle possibilité d'être au rendez-vous. On n'est pas favori donc on a rien à perdre, on a tout à gagner.
Je comprends très bien que parfois je puisse agacer. Je comprends que je puise avoir une étiquette vu mon comportement sur le banc. Cela fait partie de ma personnalité mais c'est 5% de ma personnalité. Les 95% restants n'intéressent personne, tant pis ! C'est un peu de ma faute. J'aurais aimé être calme sur le banc... j'ai un autre tempérament. Mais dans la vie je suis l'inverse ! C'est tout un pradoxe. Les Bretons sont attachants. Un peu distants au départ mais attachants. Comme les Corses, ils ont un peu soif de reconnaissance. Ils aiment bien qu'on parle bien de la Bretagne, qu'on parle bien des Bretons. En plus c'est une terre d'entrepreneurs. Je vois beaucoup de réussites individuelles. C'est une terre de travailleurs.
Je reste si on gagne la finale et je pars si on perd ? C'est un peu résumé mais c'est vrai qu'avec ce que j'ai vécu depuis trois ans, ces fins de saison difficiles, ne pas mettre en valeur tout ce qu'on a fait le long de la saison... C'est vrai que la fin de saison conditionnera la suite, c'est sûr. L'année dernière a été particulièrement difficile après notre élimination par Quevilly et la perte de la 5ème place à la dernière journée. Je sais qu'après, quand on on a un peu moins de crédit, c'est très difficile de remonter la pente, on l'a vu en début de saison. Franchement, je n'ai pas envie de revivre ça. Il y'a plein de paramètres qui rentreront en compte mais la finale en sera un important, bien sûr."
Galette chez Liza (2)
15/04 20:20
Christophe Galtier a comme prévu honoré l'invitation de Bixente Lizarazu ce soir sur RTL. Extraits.
"C’est une semaine très importante, sans doute la plus importante depuis que je suis responsable de l’équipe. Il ne faut pas se tromper d’objectif, mais il n’y aura pas dans ma tête l’envie de galvauder ce quart de finale face à Lorient parce que, derrière la finale contre Rennes, et j’espère qu’on va l’emporter, si on est encore en course dans les deux autres compétitions, ce sera extraordinaire. On tient à ramener le trophée. L’objectif initial c’était d’aller au Stade de France. Après est-ce que la priorité sera donnée à ce match-là ? Il faudra être performant sur les deux matchs. Dominique Rocheteau accompagnera Roland Romeyer sur la première étape du trajet à vélo menant à Paris. Après, j’ai souhaité qu’il reste auprès du sportif parce que l’on va avoir besoin de tout le monde. Ma doudoune fera partie de mes bagages. Sachez que s'il y a une victoire en Coupe de la Ligue, cette doudoune ira surement au musée des Verts.
On n’a pas les moyens financiers de mettre des millions dans les transferts. Je m’appuie sur la formation du club, avec laquelle je collabore tous les jours. On doit avoir cette identité là (...) S’il doit y avoir une marque de fabrique, je veux que mon équipe soit généreuse. Un club aujourd’hui comme Saint-Etienne, et il ne faut pas avoir peur de le dire, pour qu’il puisse vivre et se développer, il doit vendre. A nous de bien faire le travail en amont et de savoir dénicher les talents ailleurs, de sortir des talents chez nous pour qu’on soit toujours aussi bon sur le terrain. C’est là toute la difficulté. Rivaliser avec Paris, ça passera par du recrutement malin, intelligent. Je pense que sur une ou deux saisons vous pouvez rivaliser avec des structures comme le PSG. Mais sur la durée, vous êtes battu, j’en suis convaincu. Mon ambition, c'est redonner un statut à l'ASSE, stabiliser le club dans les championnats à venir, qu’il y ait une visibilité du club au niveau national mais aussi au niveau européen, le plus souvent possible dans les saisons à venir.
Brandao jouera en Coupe de France et je l’espère en finale de la Coupe de la Ligue. C’est un compétiteur hors pair, une locomotive. Etre suspendu lui a permis de bien se préparer. C’est un homme à trophée. Les Verts seront privés de trois joueurs importants... Alejandro Alonso - une grosse pensée pour lui, on sait qu’il est dans la douleur - Jérémy Clément et Max-Alain Gradel. Ils vont manquer ce grand rendez-vous, je sais qu’ils seront présents, deux seront au Stade, un sera sûrement devant son téléviseur. Bien évidemment que l’on aura, et que j’ai, une pensée pour eux. J’ose espérer que l’on va ramener ce trophée et qu’on pourra leur faire coucou avec..."
Galette assure ses arrières !
15/04 17:19
Trois absents notables dans le groupe communiqué par C.Galtier pour croquer du Merlu demain : Perrin, Brison et Clerc.
On aura donc droit à une défense new look, par exemple composée de gauche à droite de Ghoulam, Mignot, Sall et Zouma.
Les 18 :
MOULIN, RUFFIER
GHOULAM, MIGNOT, POLOMAT, SALL, ZOUMA
BODMER, COHADE, DIOMANDE, GUILAVOGUI, LEMOINE, NICOLITA
AUBAMEYANG, BRANDAO, HAMOUMA, MAYI, MOLLO
Hécatombe de Merlus
15/04 14:32
Gardiens :
Chaigneau, Lecomte
Défenseurs :
Ecuele Manga, Pedrinho, Bourillon, Baca, Gassama
Milieux :
Monnet-Paquet, Corgnet, Barthelmé, Autret, Coutadeur, Lemina
Attaquants :
Quercia, Aliadière, Giuly, Sunu, Robert
Soins / reprise :
Koutouan, Reale, Audard, Mareque, Mason, Le Lan, Touré, Lautoa, Koné, Jouffre, Abu, Traoré
Alerte aux Gazouillements !
15/04 13:13
Ca gazouille pas mal chez les Verts ! Mais pour combien de temps encore ? Selon Le Dauphiné Libéré, Christophe Galtier aurait demandé à ses joueurs de limiter leur utilisation du fameux réseau social Twitter, notamment pour ne pas commettre de gaffe en se montrant trop bavard :
« Je leur ai demandé de faire très attention à leur communication car on ne peut pas tout maîtriser. Ils ont le droit d’exister en tant qu’hommes, mais on peut prendre des phrases, les sortir de leur contexte et mal les interpréter. Les gens peuvent s’en servir pour créer une polémique et faire le buzz. (...) Il faut faire attention parce qu’on peut toujours rendre service à l’adversaire dans la préparation d’un match. On peut dire ‘untel a déclaré ceci’, on l’affiche sur le mur. Restons concentrés sur ce qu’on sait faire. »
Notons que Brandao, Guilavogui, Jessy Moulin et Aubameyang, entre autres, sont particulièrement actifs sur Twitter, postant régulièrement diverses photos de matches, du centre de vie de l'Etrat ou de leur cercle privé.
Ça roule pour Roro ! (3)
15/04 12:35
Les Verts au Stade 2 France (2)
15/04 12:21
En Vert et or...
15/04 12:18
Galette chez Liza
15/04 12:06
La semaine Bigoudène
15/04 11:05
En revanche, c'était dans l'autre sens : le 19/02, les Rennais venaient en prendre 4 à Geoffroy Guichard (après avoir plus que résisté pendant 50 minutes...) ; le 22/02, même tarif pour Lorient, qui réussit quand même à tromper Ruffier deux fois.
4-0 puis 4-2 : je sais pas vous, mais moi je prends tout de suite.
PS spécial Bretons : on sait, le pays Bigouden ne recouvre qu'une toute petite fraction de la Bretagne, et en plus, ni Lorient, ni Rennes ne s'y trouvent. Mais ça permet de faire une allitération en titre, alors, hein, bon, on va pas en faire une galette-saucisse.
Europe, the final countdown (6)
15/04 09:58
Les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître...
15/04 09:40
... le goût d'une demi-finale de Coupe de France. Notre dernière remonte en effet à 1993. L'ASSE après avoir fait chuter le futur champion d'Europe Marseille en 1/4 de finale (2-1 après prolongations) s'était inclinée sous le chaud soleil de Geoffroy contre le FC Nantes (0-1). A l'issue du 1/8ème de finale victorieux contre Lille (3-2) Galette avait déclaré avoir hâte "de continuer cette aventure qui devient de plus en plus intéressante". Même avec une équipe bis, la suite de l'aventure s'écrit demain, avec à la clé notre première demi-finale de la (vraie) Coupe depuis 20 ans. Ca vaut le coup de s'arracher non ?