A 21 pour mater les Vilains

04/11 19:51

Oscar Garcia a convoqué un groupe de 21 joueurs pour le derby de demain. On notera que, si Cabella n'est donc pas de retour, c'est en revanche le cas de Ronaël Pierre-Gabriel.

 

Ruffier, Moulin, Guendouz

Théophile-Catherine, Lacroix, Pogba, Pierre-Gabriel, Gabriel Silva, Janko, M'Bengue

Selnæs, Dabo, Pajot, Maïga, Hernani, Diousse, Kenny Rocha Santos

Søderlund, Hamouma, Bamba, Monnet-Paquet

Bafé en tenue de Gala (8)

04/11 09:47
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Grâce à un doublé et une passe décisive de Bafé Gomis, le leader Galatasaray a écrasé 5-1 l'avant-dernier Genclerbirligi hier en match d'ouverture de la 11e journée du championnat turc. Fort de ses 11 pions, l'ancien attaquant stéphanois rejoint le Macédonien Adis Jahovic (Göztepe) en tête du classement des buteurs.

 

Faites vivre l'enfer à Ferland !

04/11 09:26
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Dans les pages rhodaniennes du Progrès, plusieurs vilains livrent leurs impressions avant de jouer leur premier derby contre Sainté.

 

"Je suis pressé de connaître ça, on m’en a parlé dès que je suis arrivé" avoue Tanguy Ndombele. "On va là-bas pour remporter les trois points, pas pour faire un nul. J’en entends parler au vestiaire, on me dit qu’il y a de l’ambiance, de l’impact sur le terrain aussi, j’ai envie de le vivre" déclare Ferland Mendy (photo). "Je ne connais pas ce derby, mais on y va pour poursuivre notre série de performances et de victoires. On a commencé à parler de ce match dans le vestiaire jeudi soir, on est prêt. J’espère qu’on va le gagner, j’en ai beaucoup joué avec Santos et Besiktas, mais chaque derby a son histoire et est différent" assure Marcelo Guedes.  "Quand j’étais petit, je n’avais droit que de regarder la première mi-temps à la télé, on ne pouvait pas gratter plus. Après, j’ai eu le droit de regarder les deux, mais cette fois, j’espère jouer, c’était un rêve d’enfant" se réjouait Houssem Aouar.

Le président des vilains aime Dieu

04/11 09:04
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Blessé au pied, Jean-Michel Aulas ne sera pas à Geoffroy-Guichard demain soir. Mais le président des vilains est présent médiatiquement, comme l'atteste son entretien paru dans Le Progrès du jour. Extraits.

 

"C'est le premier derby que je vais rater. Sur nos 23 derbys à Geoffroy-Guichard, il y a eu 5 défaites. Les trois de suite que nous avons subies, nous ont fait très mal. Certaines étaient prévisibles, d’autres pas du tout. Nos amis stéphanois sont en train de conditionner tout un peuple et leurs joueurs pour poursuivre cette série, mais nous allons y aller avec une volonté clairement affichée. Si on a le bonheur de gagner, cela fera 12 victoires en 24 derbys, soit 50 % de victoires à Geoffroy-Guichard. Une victoire nous donnerait plus d’ambition mais un mauvais résultat ne remettrait pas en cause les valeurs du club et du groupe. On sera à l’extérieur, perdre un derby à la maison est beaucoup plus dur. Aujourd’hui, on joue la Ligue Europa, pas l’ASSE.

 

Bernard Caiazzo travaille beaucoup auprès du syndicat Première ligue. J’espère d’ailleurs qu’il écoute mes conseils. Roland, j’ai appris à l’apprécier au fil des années. Il arrive, dans un contexte pas facile, à bien faire son job. On a des amis communs qui font que nos relations sont apaisées. Gérard Houllier connaît bien Oscar Garcia. Il l’a découvert lorsqu’il était directeur sportif du football chez Red Bull. Il nous en avait parlé mais il ne correspondait pas à ce que nous cherchions à l’époque. Le joueur de l’ASSE que j'aurais aimé recruter ? Loïc Perrin correspond le plus aux valeurs de l’OL. Il est toujours extrêmement performant et il a la tête sur les épaules. C’est un garçon qui croit en son club et que j’apprécie."

Le coeur chaud et la tête froide

04/11 08:47
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Oscar Garcia a expliqué hier en conférence de presse comment il abordait son premier derby avec Sainté.

 

"Sur un match, tout est possible, on peut gagner. Les Lyonnais ont l’habitude de jouer tous les trois ou quatre jours avec l’Europe et beaucoup d’internationaux. Mais un derby, c’est différent. Tu peux avoir confiance et le perdre. Avec notre cœur, on peut compenser la qualité technique. Pas la peine d’insister sur la motivation. Tout le monde en parle. Pas seulement cette semaine, mais toutes les semaines. Les gens me disent "Il faut gagner" et nous allons aborder le match comme de vrais Stéphanois, mais avec lucidité. Il faudra être très concentré sur chaque action parce que chaque ballon peut être décisif. Tu peux perdre mais tout le monde sera fier de l’équipe. Ce sera peut-être un joueur qui fera la causerie, mais il ne le sait pas encore. On doit avoir le cœur chaud et la tête froide. Si on est tout chaud ou tout froid, la performance ne sera pas bonne. Les supporters sont au top. Ils ne peuvent pas être mieux. Les joueurs, le staff, les dirigeants, le club peuvent progresser. Eux non. Ils sont déjà au top."

Jérémy et Papy lanceront le derby

04/11 08:29
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Selon Le Dauphiné Libéré, Fabien Lemoine (FC Lorient) et Jérémy Clément (ASNL) donneront le coup d'envoi du 115e derby de l'histoire ce dimanche soir à Geoffroy-Guichard. "On est partis tous les deux cet été dans des circonstances un peu particulières, sans vraiment dire au revoir. Alors le club a voulu nous rendre hommage. C’est un geste très sympa qui me fait bien plaisir" déclare l'actuel milieu nancéien.

Etrangers mais pas au derby

04/11 08:18
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La Pravda a recueilli les impressions d'anciens joueurs étrangers ayant vécu le derby. Extraits.

 

John Sivebaek : "Quand tu arrives de l’étranger, tu n’as pas la même histoire que si tu es né dans la ville. Mais on m’a tout de suite parlé de cette guerre entre les supporters stéphanois et ceux de Lyon. Même si notre bus avait été caillassé à Liverpool et qu’on nous avait tiré des fumigènes dessus, le derby est tout aussi important à gagner qu’un Man U-Man City ou un Man U-Liverpool."

 

Bjorn Kvarme : "Tout le monde te parlait de ce match spécial, avec une atmosphère particulière. C’était aussi chaud qu’en Angleterre, du même niveau que le derby du Merseyside entre Liverpool et Everton que je venais de disputer pendant deux ans avec les Reds."

 

Cris : "Quand Bernard Lacombe m'a recruté, il m'a dit : "Si tu viens à Lyon, il y a un match particulier qu’il faut gagner, c’est contre Saint-Étienne." C’est même la première chose qu’il m’a dite ! J’ai fait des matches avec Cruzeiro ou les Corinthians devant 80 000 personnes et c’est aussi tendu, aussi chaud. Je suis invaincu contre Saint-Etienne car j'étais blessé lors du 100e derby. C’est tellement différent des autres matches, les attitudes, les discours, la concentration..."

 

Mahamadou Diarra : "Bernard Lacombe ne voulait même pas qu’on s’habille en vert. Je lui disais que le drapeau malien commence par du vert, mais il me répondait que ce n’était pas le même vert !  En général, tous les dirigeants venaient à l’hôtel, Bernard, Aulas et même Gérard Collomb. Et avec les supporters, c’était chaud. Deux jours avant, il y avait les fumigènes, les gens à l’entraînement… Un Real-Barça, c’était pareil comme pression. Quand je suis arrivé à Madrid, au moment de signer, on m’a bien dit qu’il y avait deux matches beaucoup plus importants que les autres. Quand on gagnait certains matches importants, raconte Diarra, je disais à Bernard, je vais t’inviter à manger à Saint-Étienne. Il paraît que Paul Bocuse va ouvrir un restau là-bas. Il me répondait : “Ça, jamais !” D’ailleurs, deux jours après mon arrivée, il m’avait invité à manger et m’avait prévenu que les Stéphanois, c’était pas son truc."

Mounier, le baiseur baisé (5)

04/11 08:02
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Evoluant désormais sous le maillot vert... de Panathinaïkos, l'ancien vilain Anthony Mounier revient aujourd'hui dans la Pravda sur son passage éclair à l'ASSE.

 

"Face aux menaces de certains supporterss, que je n’ai jamais reçues directement, les dirigeants stéphanois m’avaient proposé de dormir à L’Étrat, sous protection vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Ce n’était pas une vie acceptable. Je m'épanouis en Grèce, un pays de foot qui m’a agréablement surpris, avec des supporters fanatiques. Ce dimanche soir, je vivrai sagement le derby à distance, sur le plateau du Canal Football Club, avec un regret et une pointe de tristesse. Saint-Étienne aurait pu m’apporter et inversement. Cette histoire a blessé ma famille. Y jouer aurait constitué un clin d’œil à papa, supporter des Verts. J’ai quand même la chance de porter un maillot vert aujourd’hui. Mais ce n’est pas en Ligue 1 et ne comptez pas sur moi pour vous donner un vainqueur dans ce derby. Il va y avoir match nul. Comme ça, tout le monde sera content..."

Bamba veut jouer la prolongation (3)

04/11 07:44
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La Pravda du jour nous apprend quen Jonathan Bamba devrait prolonger de trois ans son contrat avec l'ASSE, probablement avant le déplacement à Lille. Extraits.

 

"Accompagné de Dominique Rocheteau et David Wantier, Roland Romeyer s'est rendu en personne à Paris, mardi, pour rencontrer les agents du joueur avenue de la Grande-Armée, à deux pas de l'Arc de triomphe, dans les bureaux de Bernard Caïazzo (absent car en déplacement aux Etats-Unis). Les deux parties se sont quittées en parvenant à trouver un consensus sur la base d'une prolongation de trois ans, l'actuel contrat de Jonathan Bamba arrivant à son terme le 30 juin prochain.

 

Un nouvel échéancier a également été arrêté. Il prévoit un nouveau rendez-vous, à Saint-Étienne cette fois-ci, pour finaliser le volet financier du dossier. Il devrait se tenir durant la trêve internationale, au retour des trois représentants de Bamba du Mali, où ils sont partis ouvrir une académie de football. Suivant le calendrier établi, l'officialisation de la prolongation de l'international Espoirs français est espérée avant le déplacement de Saint-Étienne à Lille, le vendredi 17 novembre.

 

Après avoir passé son offre de 35 000 € à 55 000 € brut mensuels, l'ASSE a encore revu sa proposition à la hausse. Le futur salaire de Bamba se trouverait assorti d'un système de primes fixes et variables, notamment au nombre de matches disputés dans la saison. Les représentants du joueur, qui perçoit actuellement 18 000 € brut par mois (primes de talent comprises), auraient de leur côté revu leurs prétentions à la baisse (130 000 € la première année, puis 140 000 et 150 000 € les deux années suivantes, hors primes). Les deux parties n'ont jamais été aussi proches de tomber d'accord."

Maïga va bouffer du Lion !

03/11 19:32
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Habib Maïga a été appelé pour la première fois chez les A de Côte d'Ivoire pour le match décisif contre le le Maroc (privé d'Oussama Tannane, forfait pour blessure) programmé le samedi 11 novembre à Abidjan. Emmenés par le revenant Max Gradel, les Eléphants devront impérativement gagner pour décrocher leur billet pour la Coupe du Monde, sinon les Lions de l'Atlas iront en Russie l'été prochain...

Le stade du Ray

03/11 19:08
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Dans une entretien accordé à la Pravda, Raymond Domenech encense GG avant de redevenir vilain.

 

"Allez les Verts ! Quand on est un vrai Lyonnais, on a le droit d'être lucide. On a le droit de dire qu'il y a des bonnes choses à Saint-Etienne. Rien que la chanson, c'est quelque chose d'extraordinaire. C'est une faute de français monumentale "qui c'est les plus forts". Mais il m'est arrivé quand j'étais joueur dans le couloir de la chanter tellement l'ambiance du stade était prenante. Je me suis retrouvé avec un pote, on s'est dit : "Mais t'es con !" Pour moi, le stade est extraordinaire. C'est un stade qui résonne, c'est vraiment un stade à l'anglaise. Un stade fait pour le football. Quand on est dedans, on est pris par l'ambiance. On dit que les supporters verts sont plus chauds que les autres. Non, ils ont un stade qui leur permet d'avoir cette ambiance. Moi j'adore aller voir les matches à Saint-Etienne, parce que oui, il y a quelque chose de plus.

 

Un joueur que j'ai admiré à Saint-Etienne, c'est Georges Bereta. Georges était extraordinaire, c'est un vrai Polonais, dur, un mec de la mine, qui a cette qualité : plus on tape dessus, plus il réagit. Pour moi il correspondait tout à fait à cette image de Saint-Etienne. Il y avait cette culture de la mine, du travail. C'est aussi un des bons côtés de Saint-Etienne, c'est une vraie culture de l'effort. Aujourd'hui, il n'y a pas un joueur stéphanois que j'admire. Je ne connais pas un Stéphanois. A la limite, on a l'impression qu'ils se ressemblent tous. C'est même peut-être le problème de Saint-Etienne, il n'y a pas de joueur majeur. Il y a Ruffier, c'est vrai, que je connais. Après, les autres, j'ai beau chercher... je ne vois pas !

 

Il n'y a pas de belle victoire de Saint-Etienne contre Lyon, ça a toujours été du vol. C'était manifeste, en permanence. Une belle victoire stéphanoise contre Lyon, ça n'existe pas. Un bon restaurant à Saint-Etienne ? A Lyon oui. Ce que Saint-Etienne a de mieux que Lyon aujourd'hui ? Rien ! Rien. A un  moment ils avaient un stade. Maintenant ils n'ont plus rien. Le stade, on est largement au-dessus. Nous on est passé dans la dimension du futur, eux ils sont restés dans l'époque..."

Loïs dans les 10

03/11 17:46

Football - Ligue 1 - Oscar Garcia, l'entraîneur de Saint-Étienne, avec Loïs Diony, l'attaquant arrivé de Dijon durant l'intersaison.  (A. Martin/L'Equipe)

 

La Pravda a créé son Flop 10, classement des 10 attaquants ayant totalement raté leur début de saison de Ligue 1.

Sans surprise, on retrouve notre numéro 9 Loïs Diony en 1ère place de ce triste classement, avec ses 0 but et 0 passe décisive depuis le début de la saison (les pénaltys provoqués ne sont pas pris en compte)

 

Un classement peu glorieux qui met également en lumière deux anciens Verts : Allan Saint Maximin est en 2e position, lui qui a rejoint Nice à l'intersaison et n'a simplement fait qu'une passe décisive.

 

En 10e position, notre ancien numéro 9 Nolan Roux, qui lui a bien mieux réussi son début de saison que les deux autres, avec 3 buts marqués. Mais le penalty manqué (retiré alors qu'il l'avait inscrit à sa première tentative) à Nantes et son non-match en banlieue lui valent les honneurs du classement. 

 

A noter que notre ancienne piste de recrutement Andy Delort est également "à l'honneur."

Il en a chié, Fréchet !

03/11 17:28
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Dans un entretien accordé à l'AFP et mis en ligne sur le site de France Télévisions, Joël Fréchet revient sur son premier match en pro où il était au marquage de Michel Platini. L'actuel entraîneur des U16 banlieusards évoque également le derby d'après-demain soir.

 

"Je garde un très bon souvenir de mon premier derby. Fleury Di Nallo, alors directeur sportif de l'OL, me téléphone alors que j'étais en stage à Valence avec la sélection régionale cadets. Il me dit de rentrer tout de suite sur Lyon pour le derby. Je pensais qu'il parlait de la réserve. Les deux demi-défensifs, Jean-Louis Desvignes et Laurent Fournier, étaient indisponibles. J'étais arrivé à l'OL un an auparavant, à 14 ans. Di Nallo a dit à l'entraîneur, Jean-Pierre Destrumelle, que j'étais prêt physiquement. Dès le premier entraînement avec les pros, j'ai été pris sous l'aile du capitaine, Serge Chiesa. Nous étions bien classés et Saint-Étienne, champion en titre, n'était, en revanche, pas trop bien. Il y avait 40 000 spectateurs et nous avons perdu 4-0. Après dix minutes, il y avait déjà 2-0. Platini avait marqué le 2e but. C'était un Monsieur. A la fin, il m'a dit : "Continue comme ça, tu feras carrière mais ne tire pas trop sur les shorts". C'est vrai que je m'étais un peu accroché. Mais j'étais fier qu'il vienne me parler.

 

 

Chaque saison, ce sont les deux matches à gagner. Les jeunes des deux clubs se retrouvent dans les sélections nationales. Il y a de la rivalité, l'envie de gagner. Il y a du respect notamment chez les entraîneurs. Mais parfois, ça dérape. Ce n'est pas la guerre mais un bon combat même si en U17, il nous est arrivé d'avoir recours au service de sécurité en raison de la présence d'ultras en tribune. S'il y a de la haine, ce n'est pas bien. Je ne comprends pas les critiques envers Bruno Genesio. J'en suis un ardent défenseur, notamment si l'on veut inculquer certaines valeurs avec des jeunes qui sortent de l'Académie. Je trouve aberrant que l'on remette en cause un entraîneur qui a des résultats.Je suis curieux face à la nouvelle équipe de Saint-Étienne. Comment nos joueurs vont-ils agir et réagir ? Je revois tous les buts importants que nous avons pu marquer à Geoffroy-Guichard dans les années fastes mais la tendance s'est un peu inversée depuis quelques années. J'ai de l'espoir mais c'est très incertain."

Léo le barragiste

03/11 17:01
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Léo Lacroix a été rappelé en sélection suisse pour affronter l'Irlande du Nord lors des barrages de la Coupe du Monde 2018. Accompagné de Gelson Fernandes (10e de Bundesliga avec l'Eintracht Francfort), le défenseur central stéphanois affrontera donc les Verts à Belfast le jeudi 9 novembre à 20h45 puis à Bâle le dimanche 12 novembre à 18h00. Reste à savoir si le numéro 4 de l'ASSE, qui était resté quatre fois sur le banc de la Nati la saison passée, fera enfin ses débuts internationaux.

Ruffier a parlé

03/11 15:16
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Pas besoin de parler, les chiffres le font pour lui. Mis à l'honneur par le site de la LFP, Stéphane Ruffier est présenté comme "le boss du derby" Extraits.

 

"C’est fort d’une première partie de saison inspirée (5 cleans sheets en 11 journées, 75% de tirs arrêtés) que Stéphane Ruffier s’apprête à disputer son 12e derby. Avec les Verts, il a débuté par trois défaites, dont deux dans le Chaudron en 2012. Pour déguster une première victoire contre les Lyonnais, il a en revanche dû patienter jusqu’à son 6e derby, le 108e du nom, en mars 2014 (1-2). Huit mois plus tard, le portier vert remportait un premier derby cette fois devant ses supporters dans le Chaudron (3-0). Un choc lors duquel Stéphane Ruffier avait sorti deux grandes parades, d’abord en intervenant devant Nabil Fekir en première période, puis sur une intervention face à Alexandre Lacazette à la dernière minute, après avoir été secondé par son poteau sur un tir de Clinton Njié.

 

La saison suivante, Stéphane Ruffier a encore joué les premiers rôles dans le deuxième succès de rang de l’ASSE à Geoffroy-Guichard contre l’OL. Il a réalisé une superbe parade main droite sur un tir de Rachid Ghezzal le prenant à contre-pieds en première période, avant de briller en allant chercher un coup franc bien ajusté de Clément Grenier en seconde. Forfait l’an dernier, Stéphane Ruffier reste donc sur deux clean sheets contre l’OL dans le Chaudron. Son bilan à domicile contre l’OL est du coup positif avec 40% de victoires, avec seulement 4 buts concédés en 5 matchs. Il n’a plus pris de but depuis 180 minutes face aux Lyonnais et enregistre 76% d’arrêts dans les confrontations à Geoffroy-Guichard. Une série toujours en cours, alors qu’aucun joueur de l’OL de l’effectif présent dimanche n’a encore inscrit un but dans un derby."

 

Désigné pour s'exprimer en conférence de presse à la mi-journée du fait du forfait sur blessure de son habituel capitaine Loïc Perrin, Stéphane Ruffier a donné son avis sur le derby. Extraits.

 

"Ce n'est pas un besoin que j'ai de parler dans les médias. Ça fait partie de mon caractère. Parler, c'est toujours facile. C'est bien, ça lance un derby. Mais la vérité, c'est dimanche soir. C'est une grande fierté de porter le brassard chez nous. En tant que joueur, c'est toujours une fierté de pouvoir jouer un derby. C'est un match à part. C'est le match que tout le monde regarde. Tu gardes des souvenirs quand tu le gagnes, la joie que cela te procure et que tu procures surtout aux gens. C'est un match qui marque les gens.

 

Dans un derby, il n'y a pas de favori. Tout le groupe est conscient de l'importance du derby. Les jeunes formés ici, qui l'ont joué, comme les étrangers. La vérité, elle est sur le terrain. Un derby, il ne faut pas en parler. Il faut le gagner. Et ce n'est pas forcément la meilleure équipe qui le remporte. C'est surtout une question de motivation, de détermination et d'envie. Après, il ne faut pas que ça tourne à la catastrophe comme la blessure de Robert Beric à Lyon. Ne vous inquiétez pas : nous serons motivés."

Saint-Louis se confie en attendant Papy

03/11 14:08
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5e de L2 avec le Paris FC, Dylan Saint-Louis reçoit le FC Lorient (4e) de Fabien Lemoine. En attendant ses retrouvailles avec Papy, l'international congolais a évoqué ses vertes années dans un entretien paru hier sur le site officiel du club parisien. Extraits.

 

"Je suis arrivé à Saint-Etienne à l’âge de onze ans et j’ai évolué dans toutes les catégories avant de signer pro en mai 2015. J’ai été prêté ensuite à Evian où lors de mon premier match j’ai notamment inscrit mon premier but contre… le Paris FC. Je n’ai pas trop joué car je me suis blessé cinq ou six matchs après, du coup je suis rentré à Saint-Etienne. J’ai disputé ensuite quelques matchs avec St-Etienne en championnat et en Europa League et puis j’ai rejoint Laval en prêt pendant un an. Là-bas c’était compliqué car on a eu trois coachs la même année. J’ai réalisé un gros début de saison et inscrit 5 ou 6 buts en 8 matchs. Après, Marco Simone est arrivé, je n’aimais pas trop sa méthode, on a eu quelques accrochages, donc du coup j’étais un peu écarté du groupe.

 

J’ai eu des appels de clubs anglais pendant que j’étais à Laval qui m’assuraient de me prendre et de faire une offre à Sainté. Moi qui ai toujours voulu aller là-bas, j’avais déjà fermé la porte à mon club et je ne voulais même pas parler de prolongation. Elle était envisageable, du moment où le coach était toujours Christophe Galtier. Après quand j’ai entendu qu’il y allait avoir un changement de coach, franchement je me suis dit que c’était limite impossible que je reprenne avec le groupe. Franchement, avec les offres que j’avais, c’était même mieux pour moi de partir de Saint-Etienne. Quand je repense à la situation de Jonathan Bamba qui était dans la même situation que moi il y a quelques temps, je me dis qu’il s’en est bien sorti parce qu’il a eu l’occasion de faire un prêt en L1.

 

J’avais refusé plusieurs clubs du haut de tableau, même si on y est aussi maintenant. Du coup le Paris FC est venu à moi et le projet m’a intéressé, j’ai discuté avec les dirigeants et je me suis lancé. Après, je n’ai pas pu faire la préparation avec les pros car j’étais en conflit avec Saint-Etienne donc j’avais repris avec la réserve. J’étais bien mais pas non plus à fond car le niveau n’est pas le même qu’en Ligue 2. Il me fallait encore trois semaines dans les jambes. Je veux m’imposer comme un joueur important de l’équipe. On va jouer contre une équipe de Lorient qui joue un peu comme nous car ils aiment bien ressortir le ballon et ne dégagent pratiquement jamais."

Roro tacle les anciens

03/11 13:47

 

À l'approche du derby, Roro cause sur le site officiel. Au menu les résultats, le recrutement, la politique de formation, le derby bien sûr, et un commentaire sur les sorties acerbes de certains anciens. Extraits choisis :

 

"Nous comptons 18 points, soit un de plus que la saison dernière. Nous sommes donc dans nos temps de passage habituels alors que nous vivons une phase de transition. L’effectif a été totalement modifié. Nous avons enregistré 14 départs et 7 arrivées. Ce sont des choix réfléchis. (...) L’ASSE a construit un projet avec une nouvelle organisation sportive, pilotée par Dominique Rocheteau. (...) Les résultats et la qualité du jeu ne peuvent pas s’obtenir en un claquement de doigts. (...) Mais, même si nous pouvons regretter certains points perdus, notamment à domicile, je suis confiant compte tenu de ce que je vois chaque jour au centre d’entraînement. Le travail paie toujours. "

 

"Nous ne pouvons pas juger les recrues après trois mois de compétition. J’ai toujours en tête les difficultés rencontrées par Pierre-Emerick Aubameyang et Max-Alain Gradel lors de leur arrivée au club. (...) Nos recrues ont besoin de temps."

 

"Aujourd’hui, il y a deux leviers pour améliorer la compétitive d’un club : l’exploitation du stade et l’apport de capitaux. Pour l’instant, l’ASSE subit le handicap de ne pas gérer son stade contrairement à certains de ses concurrents car nous sommes locataires de Geoffroy-Guichard seulement le temps du match. (...) Accueillir un nouvel investisseur constitue un autre objectif. Nous avons mandaté la Banque Lazard pour rechercher des investisseurs. (...) Nous espérons aboutir dans les prochains mois. 

 

"Je reçois aussi beaucoup de messages d’encouragement de grands anciens comme Ivan Curkovic, Aimé Jacquet ou Rachid Mekloufi. Eux ont été des leaders sur le terrain puis sont devenus dirigeants. Ils connaissent la difficulté de manager une institution comme l’ASSE. (...) Le football des années 60 et 70, celui qui m’a fait vibrer comme supporter, ne peut être comparé au football d’aujourd’hui. Tout a changé : le jeu et l’économie du football.  Dominique Rocheteau est le premier à le dire. (...) Depuis 2010, l’ASSE a trouvé une stabilité financière et sportive qui lui a permis de remporter un trophée et de participer quatre fois de suite à l’Europe League. (...) Ceux qui critiquent ont-ils ou savent-ils gérer une entreprise ? (...) Les anciens sont des exemples, des références. La parole de quelques anciens, un peu aigris, ne reflète pas le sentiment général."

 

"L’ASSE doit être capable de former une partie de l’ossature de l’équipe professionnelle. Le centre de formation a pris un nouvel élan sous l’impulsion de Julien Sablé, notre nouveau directeur, et des anciens joueurs dont l’expérience et l’exemplarité contribuent à la progression de nos jeunes."

 

"Je suis déjà heureux que ce match puisse se dérouler avec les supporters des deux camps. Les supporters lyonnais seront même plus nombreux que la saison dernière. (...) L’OL part naturellement favori avec sa puissance financière. Nous devrons livrer un grand match d’hommes. Les derniers derbys à Geoffroy-Guichard, nous les avons gagnés avec un état d’esprit, des valeurs de combativité et de courage qu’il faudra encore faire valoir ce dimanche."

 

Dadoune, ronronne !

03/11 13:41
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L'attaquant berjallien Ottman Dadoune évoque sur actufoot le match au sommet de National 3 qui opposera les deux leaders ce samedi à 18h00 sur le terrain Aimé Jacquet du centre d'entraînement de l'Etrat.

 

"On sait qu’on va être attendus là-bas, on doit confirmer tous les week-end. On ne peut plus se cacher, on va à Saint-Étienne pour faire un résultat. On ne se met pas de pression et on ne se voit pas plus beau qu’un autre. Vu nos bons résultats, on sera l’équipe à abattre. Le coach et nous les joueurs, sommes des compétiteurs, on va évidemment essayer de rester invaincus le plus longtemps possible. On a encaissé que trois buts cette saison. On a une défense costaud, elle nous fait vraiment du bien de par sa solidité. Devant, on pêche un petit peu dans les derniers choix. Des fois on doit frapper mais on donne le ballon, et inversement. Je suis de près l’OL, mais, même sans ça, la motivation y est pour ce week-end ! On va jouer une réserve professionnelle, composée de très bons jeunes, peut-être même des pros ! C’est le genre de match idéal pour comparer les niveaux, c’est aussi là qu’on voit de quoi on est capable. Il faut hausser son niveau pour gagner ces rencontres."

 

Unique et magnifique avec le public

03/11 10:40
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Sur Activ Radio, Jessy Moulin a évoqué ce matin le derby.

 

"On en parle souvent et même longtemps avant. Le coach, lui, essaie de ne pas mettre la pression, il sait ce qu’un derby représente pour l’AS Saint-Etienne. On s’est préparé en conséquence. Les anciens, au vestiaire depuis plusieurs années, briefent les nouveaux, c’est notre boulot. On a regardé des vidéos et l’on sait que ce ne sera pas un match comme les autres. Un derby est presque indescriptible, unique. Les sensations sont magnifiques surtout avec le public toujours extraordinaire. Le fait d’y participer est toujours une grande fierté. Je serai aux premières loges pour motiver mes coéquipiers.  J'ai disputé des derbys avec les jeunes, c’est un degré en-dessous car le public n’est pas le même. Mais de part et d’autres des équipes, la fierté de la région est en jeu. La culture derby commence au centre de formation."

Privez Aouar d'une victoire !

03/11 10:22
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Le vilain Houssem Aouar (19 ans) évoque le derby sur le site de 20 Minutes.

 

"Le derby, ça représente beaucoup de victoires chez les jeunes ! Déjà dans ces catégories, les supporters se déplaçaient. Mais là, c’est le vrai derby que je regardais à la télévision quand j’étais petit. Ça va être fort émotionnellement. On ne va pas se cacher, on y pense depuis le début de la semaine. En tant que lyonnais, on le sait, c’est le match de l’année. On se prépare surtout mentalement pour être présents car ce sera un combat avant tout."

Faites taire Fékir !

03/11 09:42
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Comme le rapporte le journaliste de RMC Tristan Molineri sur son compte twitter, Nabil Fékir a lancé une petite pique hier soir au sortir de sa victoire contre les Toffees de Kévin Mirallas (resté sur le banc). "Saint-Etienne ? Il n'y a pas grand chose à faire là-bas !" a déclaré le vilain avant d'ajouter sur OL TV : "Dimanche, ce sera mon premier derby en tant que capitaine. Ce sera un plaisir, mais l'important sera de le gagner" 

Tousart, banlieusard revanchard

03/11 09:12
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Dans Le Figaro, le vilain milieu de terrain Lucas Tousard évoque le derby d'après-demain.

 

"Ça fait du bien de battre Everton. On avait à cœur de bien préparer le derby. On a remporté nos cinq derniers matches mais il ne faut surtout pas s’enflammer. C’est vrai qu’on sort d’une série de bonnes performances mais comme le coach l’a récemment expliqué, l’équilibre reste fragile. On va tenter de passer la sixième à Saint-Etienne pour atteindre la trêve avec le sourire. Ce derby nous permettrait de basculer du bon côté. Si on enchaîne à Saint-Etienne, on peut réussir le parcours parfait entre les deux trêves internationales. Ça fait du bien dans les têtes. On aborde le déplacement à Saint-Etienne avec beaucoup de confiance mais aussi avec beaucoup d’humilité. On sait tous que l'OL reste sur trois défaites à Geoffroy-Guichard. On a à cœur de stopper cette mauvaise série. On veut bien faire les choses pour le club, pour les supporters mais aussi pour nous-mêmes."

Kinés les plus forts ?

03/11 08:38
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Evidemment c'est le Vert ! Dans sa dernière édition rhodanienne, Le Progrès revient sur les petites phrases prononcées à l'occasion du derby. Extraits.

 

"On voit que Saint-Etienne est la patrie du vélo : ses joueurs possèdent des changements de vitesse, que nous n’avons pas encore », avoua Monsieur Fontanilles, le dirigeant lyonnais, le 26 octobre 1956 après une défaite 1-3 de ses couleurs.

(...)

Au petit jeu des provocations, la barre a été toujours été assez haute. Ainsi, le lendemain d’une élimination lyonnaise en Coupe de la Ligue aux tirs au but à Laval le 12 février 1994, le kiné lyonnais reçut un message de son homologue stéphanois : « Laval élimine Lyon en Coupe. Un tour c’est bien ! À bientôt ». On était parti de loin, le derby étant prévu le 5 avril 1994 (il y aura 3-0 pour Saint-Etienne).

(...)

Le 11 février 2011, avant le 101e derby à Geoffroy-Guichard, Bernard Lacombe revint laconiquement sur le 100e derby perdu à Gerland par l’OL. Lyon avait tapé trois fois les poteaux, et Dimitri Payet transformé un coup franc qu’il avait obtenu. « À l’aller Payet, il est marchand de parapluie, et il pleut tous les jours ! »."

Magic causerie

03/11 08:23
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Dans Le Progrès du jour, l'entraîneur d'Andrézieux Romain Revelli nous rappelle que Galette s'était appuyé sur les supporters pour préparer un match contre les vilains.

 

"Une année, Christophe avait autorisé quatre membres des Magic Fans à venir dans le vestiaire. C’était deux jours avant le match. Il y avait pas mal de nouveaux joueurs dont Romain Hamouma. Les gars on fait une sorte de causerie aux joueurs en livrant leurs sentiments, leurs attentes. Les ultras leur ont transmis leur ADN des Verts. C’était un grand moment sur le plan émotionnel, comme lorsque nous partions de L’Étrat, escortés par tous ces supporters et que sur le parcours vers Lyon, il y avait des messages d’encouragement au-dessus de chaque pont sous lequel nous passions. Si tu n’es pas motivé avec ça…"

Clerc derrière les Verts

03/11 08:05
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Ex-vilain et ancien Vert, le défenseur du Gazelec Ajaccio François Clerc s'est brièvement confié à But! avant le derby qui clôturera la 12e journée de L1 ce dimanche soir à Geoffroy-Guichard. Extraits.

 

"J’ai encore des copains qui jouent à Saint-Étienne alors que ce n’est plus le cas à Lyon donc je serai plus derrière les Verts. J’étais content pour “Sainté” l’an passé quand ils avaient gagné le derby à Geoffroy-Guichard en réalisant un super match. Après, ce sont deux clubs que j’apprécie et qui ont marqué ma carrière. J’ai surtout envie de voir un bon match. Quand j’ai débuté au centre de formation à Lyon, on accordait une grande importance aux derbys. Après, quand j’ai commencé à les jouer en professionnel, l’OL dominait tellement le championnat qu’on trouvait moins de piment et de piquant à ce derby. Par contre, quand je suis arrivé à Saint-Étienne, la différence de niveau était beaucoup moins grande. Quelque part, ça a ramené l’esprit derby, avec ses polémiques, ses petites phrases… Des choses qu’on ne voyait plus il y a une dizaine d’années. La culture derby, je l’ai vraiment ressentie du côté de Saint-Étienne."

Cabella pas là hélas (2)

03/11 07:49
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Confirmant le forfait du numéro 10 des Verts pour le derby d'après-demain, la Pravda du jour fait le point sur l'infirmerie stéphanoise.

 

"Victime d’une fracture du quatrième orteil du pied droit contre Montpellier, Rémy Cabella a effectué un essai, hier. Il s’est révélé infructueux. La douleur demeure trop vive. Il a du mal à prendre un appui et à frapper dans le ballon. L’attaquant prêté par Marseille sera donc forfait pour la venue de Lyon, dimanche. Son retour à la compétition est espéré à Lille, le vendredi 17 novembre, après la trêve internationale. Il en est de même pour Loïc Perrin, touché au mollet droit à Troyes. Le capitaine et défenseur central stéphanois a repris la course hier, en compagnie de Loïs Diony (déchirure au mollet gauche). Ce dernier devrait, lui, être encore trop juste à Lille. La seule bonne nouvelle concerne Ronaël Pierre-Gabriel. Définitivement remis de sa lésion au mollet droit, le latéral droit des Verts postulera pour une place dans le groupe, et même dans le onze de départ, contre Lyon."

Le LOSC privé de son guerrier Edgar Ié

02/11 21:58
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A l'instar de notre Brésilien Hernani, le Portugais Edgar Ié sera suspendu pour le match qui opposera les Dogues aux Verts le vendredi 17 novembre à 19h00 en match d'ouverture de la 13e journée de L1. Comme le numéro 20 des Verts, le défenseur lillois a mangé une biscotte fatale la semaine dernière après avoir vu rouge. Le natif de Bissau passé par le Sporting Portugal et le Barça avait joué intégralement tous les matches du LOSC depuis le début de saison.

Compan, Cris et chuchotements

02/11 21:23
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Sur Radio Scoop, l'entraîneur des U19 stéphanois Lilian Compan revient sur son plus douloureux souvenir de derby.

 

"Je me suis cassé la jambe en réduisant le score à Lyon. On m'a posé une fois la question de savoir, si c'était à refaire, est-ce que je frapperais et laisserais ma jambe pour ne pas que Cris me la casse. C'était mon dernier match, mo dernier but avec l'ASSE. Je le referais sans hésiter. J'ai joué pas mal de derbys en France. C'est un derby à part, le plus gros en France. Plus le match approche, plus la pression monte. Pour ma part, ce sont de très grands souvenirs sportifs mais un peu difficiles. Quand je les ai joués, on les a perdus. Et puis j'ai terminé avec un but marqué et une jambe cassée à Gerland."

 

Comme si c'était le match de la dernière chance

02/11 18:44
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Romain Revelli, qui a gagné chez les vilains avec Andrézieux le 15 octobre dernier, espère que les Verts taperont les banlieusards dimanche soir à Geoffroy-Guichard. L'ancien adjoint de Galette sera le premier supporter de l'ASSE, comme il l'explique dans Le Progrès.

 

"Avec Christophe, les premières saisons, on a eu du mal à gagner des derbys parce qu’on n’était pas assez présents. La préparation mentale d’un tel match, c’est un truc de fou. Il faut l’appréhender comme une finale, comme si c’était le match de la dernière chance. On a gagné deux fois là-bas et puis il y a eu aussi cette victoire 3-0 à Geoffroy-Guichard. Là, la tendance s’est vraiment inversée. Nous avions des joueurs d’expérience et eux pas mal de jeunes. Je me souviens de Tolisso pleurant sur la pelouse, à la fin. Je suis à fond derrière les Verts. Je ne peux pas imaginer que le nouveau staff ne va le préparer comme il se doit. Mais un derby, c’est l’affaire de tout un club. Du jardinier au président, en passant par les joueurs et les supporters. Quand on a compris ça…"

Maiso contre les Lionceaux

02/11 17:21
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Ancienne doublure de Jérémie Janot chez les Verts et nouveau sélectionneur de l'équipe de France U20, Philippe Montanier a retenu Anthony Maisonnial pour une double confrontation amicale avec les Lionceaux de l'Atlas au stade Ben Ahmed El Abdi d'El Jadida de Mazghan (Maroc), les 8 et 11 novembre.

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