Pajot, pas le choix

18/11 07:45
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Après avoir manqué l'immanquable hier à Pierre-Mauroy, Vincent Pajot livre son analyse de la première défaite de l'ère Sablé dans la dernière édition de la Pravda.

 

"Jouer en bloc ne suffit pas. Il faut savoir faire preuve de créativité et de ce petit plus pour obtenir un résultat. Or, nous n’avons pas été assez dangereux et fluides avec le ballon. Le départ d'Oscar Gacia a affecté les joueurs. C’est une déception pour lui, mais c’est sa décision et on n’a pas le choix."

Sablé prône l'union sacrée

17/11 22:10
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Défait ce soir pour sa première en tant qu'entraîneur des Verts, Julien Sablé a prôné l'union sacrée en conférence de presse d'après-match.

 

"Ma priorité durant deux jours a été de fédérer. Il a fallu préparer la rencontre en urgence. Je suis un compétiteur, je suis forcément déçu mais ça n'enlève pas mon enthousiasme et mon envie de travailler dès le retour dans le Forez. On a préparé ce match en trois jours, en donnant le meilleur de nous-mêmes. Je ne peux pas reprocher la débauche d'énergie. Nous sommes dans un moment de crise de confiance, il ne faut pas se désunir, on va travailler puisqu'il faut stopper l’hémorragie. Je suis de nature positive. Je ne condamnerai jamais un joueur. Vincent Pajot a commis une erreur technique, c'est le premier peiné. Mais on a aussi pris trois buts. Nous sommes dans un moment difficile, il faut assumer. Mon équipe vaut mieux que ce qu'elle a montré ce soir. J'ai vu mes joueurs en début de saison. Ils sont dans une crise de confiance. Nous avons un match important la semaine prochaine contre Strasbourg. Il faudra aller chercher la confiance en étant unis."

Jusqu'ici tout va bien

17/11 21:32
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Humiliés par les vilains le 5 novembre dernier, les Verts ont encore chuté ce soir sur le terrain de l'avant-dernier en match d'ouverture de la 13e journée.

 

La vidéo des buts de cette piètre rencontre :

 

Vendredi 13

17/11 21:08

 

Triste première sortie pour Julien Sablé, les Verts se sont inclinés 3 à 1 à Lille ce vendredi, en match d'ouverture de la 13e journée de L1. Le nouveau coach de l'equipe fanion de l'ASSE a été inépuisable sur le bord du terrain dans ses encouragements aux joueurs, qu'il a disposés selon ses propres mots dans un "4-4-2 sécurisant". Las, les Stéphanois ont concédé l'ouverture du score sur une tête de Pépé dès la 20e minute de jeu, malgré le retour dans la défense stéphanoise du capitaine Perrin. Juste avant la pause, Dabo aura permis à Bamba de marquer son cinquième pion de la saison - le quatrième sur pénalty - après avoir négocié avec "roublardise" un duel dans la surface.

 

Revenants sur le terrain un peu plus conquérants, les Verts n'ont pas réussi à convertir leur temps fort en but malgré une frappe de Diony (63'), qui venait de remplacer un Monnet-Paquet timoré. Finalement c'est Lille qui reprend l'avantage grâce à une superbe frappe de loin de Mendes (71'). Sur un caviar de Bamba, Pajot est tout prêt d'égaliser, mais loupe complètement sa frappe alors qu'il était seul aux 9 mètres (85'), et les Lillois ont ensuite corsé l'addition en inscrivant un troisième et dernier but par Ponce (89').

Tous derrière Juju ! (4)

17/11 19:00
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Sur son compte twitter, Bafé Gomis affiche à son tour son soutien à son ancien capitaine Juju en ponctuant son message d'un coeur vert.

 

"Tous mes encouragements à Julien Sablé pour sa première en tant que coach de l'ASSE. Je te souhaite le meilleur à toi et ton équipe."

Juju, Losc in translation (2)

17/11 17:55

Sablé et Lille, c'est un peu le tourbillon de la vie. Ils se sont connus, reconnus, trouvés et retrouvés, à de nombreuses reprises.
S'il n'a pas échappé à Poteaux-Carrés que le premier match professionnel de Juju avait eu lieu justement à Lille en mai 1998, il faut également se souvenir que le tout dernier match de Sablé sous le maillot de l'ASSE a également eu lieu... face à Lille !

C'était en mai 2007 et les Verts s'étaient imposés 2-1 grâce à un doublé de Moussilou (contre un but du futur Vert Kevin Mirallas).
Juju avait ensuite fait banquette pour les trois derniers matches de la saison avant de rejoindre Guy Roux à Lens durant l'intersaison.

Un signe de plus que la subite nomination de notre Sablé national la veille d'un match à Lille ressemble à un signe du destin 

 

Juju contredit Lubo

17/11 13:52
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Lubomir Moravcik évoque son avenir dans le nouveau bimestriel Journal du Sport.

 

"Devenir entraîneur des Verts un jour, est-ce envisageable ? La question avait déjà été évoquée quand Ivan Hasek était entraîneur. Mais il existait la problématique des entraîneurs étrangers et leurs diplômes. J'ai été malchanceux dans cette affaire. Pour avoir une chance d'entraîner Saint-Etienne, il faut de l'expérience. Je ne dis pas que je n'en ai pas. Je connais le football par coeur. Mais ma carte de visite reste faible. Si on me proposait un poste de ce type, on pourrait se dire : "mais qu'a fait Lubo depuis qu'il a arrêté de jouer au foot ?" J'ai entraîné pendant trois ou quatre ans, je me suis occupé pendant deux ans des U17 nationaux. Je suis actuellement entraîneur adjoint de Zvolen, en D2 slovaque. J'aurais plus de possibilités en tant qu'adjoint d'un entraîneur qui me connaitrait bien. Je pourrais donner des conseils. Malheureusement, pour un poste de numéro un, il y aura toujours cette notion de risque à mon égard. Je suis heureux de ma vie en Slovaquie. le seul endroit en dehors de mon pays où je pourrais vivre, c'est Saint-Etienne."

 

La récente promotion de Juju vient de prouver à Lubo que le manque d'expérience n'est pas toujours rédhibitoire...

Un Rocher à l'apéro

17/11 12:54

http://www.poteaux-carres.com/images/site/1464619348sable_monaco_r_2004-05_2.jpg

 

Vendredi 15 décembre à 20h45 : la 18è journée s'ouvrira donc sur la réception, dans le Chaudron, du champion en titre. Ainsi en a décidé la Ligue.

Tous derrière Juju ! (3)

17/11 11:16
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Promu entraîneur des Verts, Julien Sablé bénéficie de la confiance de deux des ses anciens défenseurs sur le site du quotidien gratuit 20 Minutes.

 

Fousseni Diawara : "Julien incarne parfaitement les valeurs de ce club. C’est peut-être venu un peu vite mais je ne m’inquiète pas pour son âge. Il va amener de la fraîcheur comme un jeune joueur peut le faire à ses débuts en pros. Il a le profil idéal et il a donné la moitié de sa vie à l’ASSE. Je le compare à Didier Deschamps, Claude Puel ou Antonio Conte car c’est un leader naturel. Joueur, il ne lâchait rien et il avait toujours le bon discours. C’était quasiment un second coach à l’époque au vu de sa capacité à fédérer. Les pros ont besoin de retrouver ses valeurs de don de soi. "

 

Hérita Ilunga : "Ça me réjouit de voir mon ancien capitaine à la tête de cette équipe. Pour moi, c’est une évidence de le retrouver là. Il a toujours eu une facilité de transmettre déconcertante. Tous ceux qui l’ont côtoyé savaient qu’il serait un jour entraîneur des pros à Saint-Etienne. C'est bien plus qu’un choix en intérim. Il est la personne qui peut rassembler tout l’environnement du club, notamment pour faire en sorte que les supporters soient un peu plus patients. Ce n’est pas quelqu’un qui roule des mécaniques. Il est très pragmatique et en tant que capitaine, il avait l’habitude de nous relever après les nombreux derbies qu’on a perdus à l’époque."

Tudor se réveille pour Pogba (2)

17/11 09:42
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L'entraîneur de Galatasaray Igor Tudor, qui s'intéressait déjà à Florentin Pogba l'été dernier, envisage toujours de faire venir le défenseur central stéphanois selon le media turc Günes. Reste à savoir si l'international guinéen, actuellement sous contrat avec l'ASSE jusqu'en 2018, rejoindra le leader Bafé Gomis.

Faro fait rire

17/11 09:01

Le dessinateur Faro se paie la tête des présidents stéphanois dans la dernière édition de la Pravda.

 

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Tous derrière Juju ! (2)

17/11 08:28
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Plusieurs anciens de la maison verte affichent leur confiance en Julien Sablé dans la dernière édition du Parisien. Extraits.

 

David Hellebuyck : "Julien, c’est le joueur avec lequel j’ai passé le plus de temps dans ma carrière. Il me faisait vibrer à chaque fois qu’il prenait la parole. Moi, j’étais un soldat, j’étais derrière lui.  Il me fait penser à des personnes comme Deschamps, c’est un peu le même style de personnage, il est capable de transcender ses coéquipiers. Je suis sûr qu’il sera capable d’en faire autant avec ses joueurs. C’est un super meneur. S’il a des gars qui le suivent, ça peut aller très haut. Qui mieux que lui peut être à cette place ? Personne."

 

Bernard David : "Pour moi, c’est l’homme idéal. Il a tout ce qu’il faut. C’est un passionné, compétent, il a le sang vert. Il aurait pu commencer plus tard, mais il faut saisir les opportunités.  C’est un exemple. Il est emblématique aux yeux des jeunes, il sait faire passer les messages, il a les valeurs de ce club populaire. C’est l’homme de la situation."

 

Elie Baup :  "On avait toujours des échanges dans la composition d’équipe. Il était curieux, il s’intéressait à tout, aux entraînements. Il était toujours en quête de réponse. Formateur, je savais qu’il le serait."

Sablé sans Mbappé regarde ses pieds

17/11 08:01
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Lors de sa première conférence de presse en tant qu'entraîneur stéphanois, Julien Sablé a affiché hier sa combativité, son humilité, sa lucidité et sa fierté. 

 

"J’ai toujours eu la vocation d’être entraîneur, j’ai entrepris cette reconversion depuis quatre ans que j’ai arrêté le football de haut niveau. Les choses se sont précipitées, je me mets au service du club. Il n’y avait pas à hésiter, de calculs à faire. Ça venait des tripes. Il y a des opportunités dans la vie et à partir du moment où cette demande était formulée par quelqu’un que j’aime, un club que j’aime, il n’y avait pas de questions à se poser. 

 

Je n’ai regardé ni le calendrier, ni mon téléphone, ni la télé, ni les journaux. Je regarde mes pieds et la seule chose qui m’intéresse, c’est Lille. J'ai un groupe avec des mecs qui ont envie de se battre pour ce club. On ne m'a pas donné d'objectifs en termes de points. On regarde nos pieds, pas le sommet de la montagne. Le sentiment qui domine après ma nomination, c'est la fierté. Je vais tout donner, on va tout donner avec mon staff et les joueurs.

 

Je n’ai que des bons mecs dans mon vestiaire. J’ai trouvé les gars très réceptifs, pas déstabilisés. J’ai pu m’entretenir avec les anciens, les leaders en priorité : Loïc Perrin et Stéphane Ruffier. Je ne vais pas lancer onze jeunes… On ne passe pas du terrain Aimé-Jacquet à celui de Geoffroy-Guichard comme ça. Sauf peut-être Mbappé, mais nous n’avons pas de Mbappé.

 

On va laver les têtes après la grande désillusion du derby. Il faut du temps pour mettre un projet de jeu en place. L’état d’esprit sera important. On ne va rien révolutionner pour l’instant. On a un bon groupe. Je connais la réalité du terrain. Je ne crois pas au choc psychologique mais je suis très enthousiaste, très excité à l’idée de débuter face à l’un des plus grands entraîneurs au monde. On va mettre un plan de jeu en place pour faire en sorte de sortir la tête haute."

Nanard sort du silence

17/11 07:25
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Etrangement mutique depuis le cauchemardesque derby de dimanche dernier, Bernard Caïazzo sort du silence aujourd'hui dans la Pravda. Nanard s'inquiète en effet pour le futur appel d'offres sur les droits de la Ligue 1 à la suite de l'annonce d'Altice, maison mère de SFR, du gel de ses investissements. 

 

"C’est sûr que ce n’est pas une bonne nouvelle que SFR décroche. On se demande d’ailleurs pourquoi ils décrochent autant quand on regarde les paramètres économiques fondamentaux. Baisser de 42 %, c’est quand même assez étonnant. On verra s’il s’agit d’une spéculation à la baisse, une opération organisée, ce qui est possible."

KTC n'est pas cassé

17/11 07:08
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S'il ne figure pas dans le groupe retenu par Juju pour museler les Dogues, Kévin Théophile-Catherine n'est pas blessé mais juste malade selon la Pravda du jour, qui confirme que Romain Hamouma, victime d'une déchirure à la cuisse gauche, ne jouera plus en 2017.

Bamba veut jouer la prolongation ? (4)

17/11 06:59
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Alors qu'ils pensaient parvenir à officialiser la prolongation de leur attaquant international Espoirs avant la reprise de la L1 ce soir, les dirigeants stéphanois attendent toujours de revoir ses trois représentants selon la dernière édition de la Pravda. Un nouveau, et dernier rendez-vous espèrent-ils, est fixé dans les deux prochaines semaines. Auteur de quatre buts cette saison (dont trois sur penalty), Jonathan Bamba (21 ans) sera libre fin juin.

Lacroix fait une croix sur les trois prochains matches

16/11 23:27
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Expulsé lors du cauchemardesque derby du 5 novembre pour avoir taclé le vilain Nabil Fekir, Leo Lacroix a écopé ce soir de quatre matches de suspension dont un avec sursis. Le numéro 4 de l'ASSE ratera donc non seulement le match à Lille mais également les deux rencontres suivantes, contre Strasbourg et à Bordeaux. La commission de discipline a par ailleurs infligé trois matches de suspension avec sursis et 500 euros ferme d'amende à Augustin Bangoura, l'attaquant guinéen des Verts ayant fait des paris sportifs sur les compétitions organisées par la Ligue qu'on adule.

Des Lillois loin d'être rois à Pierre-Mauroy

16/11 23:15
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Comptant deux fois moins de points que les Stéphanois, les avant-derniers lillois n'ont remporté que 3 de leurs 16 derniers matches à domicile en L1 (5 nuls, 8 défaites). Comme le souligne Opta, les Dogues restent même sur 5 matches sans succès sur leur terres dans l’élite (2 nuls, 3 revers), seuls Metz (7) et Angers (6) font pire. Bryan Dabo, qui fêtera très probablement à Pierre-Mauroy son 100e match dans l'élite, retrouvera un club qui lui réussit. Le numéro 7 de l'ASSE a en marqué 2 buts contre Lille en L1, sa proie préférée avec le GFC Ajaccio et Amiens.

Paga tacle la formation

16/11 20:41
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Dans la dernière édition du mensuel Le Foot, Laurent Paganelli tacle la formation stéphanoise.

 

"Dans les années 70, il n'était pas rare de voir neuf joueurs formés au club, plus Curkovic et Piazza, dans le onze de départ. S'il n'y en a qu'un ou deux cette saison, c'est que le travail n'est pas fait en amont ou que la relation avec les pros n'est pas bonne. Je dis ça avec beaucoup de respect pour les éducateurs en place mais la réalité est là, l'ASSE est à la traîne par rapport à Lyon par exemple. A Nice, Koziello n'a jamais fait partie des meilleurs de sa catégorie, pourtant il est l'un des meilleurs à son poste en Ligue 1. Pourquoi ? Parce que sa programmation a été intégrée à un vrai processus de formation qui incluait tous les autres qui arrivent chez les pros en même temps pour constituer une force collective avec tout ce qu'ils ont appris. On parle de collectif, là, pas d'individualités. A Sainté comme dans beaucoup d'autres clubs, on n'a peut-être pas insisté là-dessus, faisant trop la part belle au joueur qui allait pouvoir constituer une plus-value."

Sainté suit Batsuhayi ?

16/11 19:41
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Dans son dernier numéro paru aujourd'hui, Le Foot nous apprend que les dirigeants stéphanois sont en négociation avec Chelsea au sujet de Michy Batsuhayi. N'ayant disputé que 196 minutes cette saison en Premier League, l'athlétique attaquant de 24 ans souhaiterait se faire prêter pour avoir davantage de temps de jeu en vue d'accroître ses chances de participer à la Coupe du Monde en Russie avec les Diables Rouges. Pour rappel, l'ex-joueur de l'OM a marqué quatre buts contre les Verts. Auteur d'un doublé à GG le 22 février 2015 (match nul 2-2), il a de nouveau scoré dans le Chaudron le 22 novembre 2014 (0-2) avant d'arracher le nul au Vélodrome à la 94e suite à coup franc bêtement concédé par KTC. Le mensuel évoque en outre le possible prêt du flop Loïs Diony à Malaga, lanterne rouge de Liga malgré les efforts de Paul Baysse.

Juju en prend 19

16/11 18:17

 

Julien Sablé a convoqué un groupe de 19 joueurs pour le déplacement chez les caniches demain soir. On notera le retour de Dieu et Diony, les absences "prévues" d'Hamouma, Cabella, Gabriel Silva (blessés), de Lacroix et Hernani (suspendus) et celle plus surprenante de KTC.

 

Ruffier, Moulin, Maisonnial - Mbengue, Janko, Pogba, Perrin, Pierre-Gabriel - Pajot, Dabo, Diousse, Maiga, Selnaes, Rocha Santos, Souici - Diony, Bamba Monnet-Paquet, Söderlund.

 

Roro adoube Juju

16/11 14:32
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Lors d'une conférence de presse relayée par Activ Radio, France Bleu et Radio Scoop, Roro a expliqué à la mi-journée pourquoi il avait choisi de nommer Juju entraîneur des Verts suite au départ d'Oscar Garcia.

 

"Je n'avais pas anticipé le départ d'Oscar Garcia. On a travaillé dans l'urgence. Dès que j'ai senti qu'Oscar Garcia partait, je suis allé voir Julien Sablé et je lui ai demandé si je pouvais compter sur lui. En deux minutes il m'a dit oui. C'est un enfant du club, un rassembleur, un gros travailleur et un homme de valeur. Julien est l'entraîneur de l'ASSE ce n'est pas un intérim. J'ai eu la même réflexion qu'en 2009 avec Christophe Galtier. L'objectif est de redevenir attrayant dans le jeu. Je n'ai pas fixé d'objectif en termes de points ou de classement. Ce qui n'a pas marché avec Oscar Garcia, c'est qu'il n'avait peut être pas pris la dimension de l'ASSE et de son importance ici. Il a eu énormément de mal à relever la tête après le derby. Je ne me pose aucune question sur le fonctionnement du club. Vous racontez des bêtises. Il n'y a pas deux présidents. Il y a deux actionnaires, deux associés. Mais il y a un président, il s'appelle Roland Romeyer. Ça fonctionne partout pareil, à Casino par exemple. Je ne changerai pas une organisation qui marche depuis 2010 : on a remporté la Coupe de la Ligue, ont a fait quatre campagnes européennes, la situation financière est stable et saine. J'aime mon club et tout ce qui pourra le faire évoluer sera le bienvenu. Jérémie Janot a fait un choix, ce n'est pas l'ASSE. Ce n'est pas prévu qu'il revienne. Si Oscar Garcia m'avait dit qu'il l'avait appelé, j'aurai dit non. Je laisse les gens travailler dans leurs clubs. Il y a des choses que je ne peux pas dire, Oscar Garcia a demandé des choses, on lui a dit d'attendre le mercato d'hiver et il n'a pas voulu attendre."

Un peu court, Ju ?

16/11 13:07
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Intronisé par Roro qui voit en lui un nouveau Christophe Galtier, Julien Sablé n'a pas le même profil que Galette. Alors que ce dernier avait déjà un vécu de dix ans au sein d'un staff pro avant de prendre la tête des Verts, Juju n'a qu'une expérience assez courte et plutôt mitigée de coach, exclusivement chez les jeunes.

 

Pour rappel, il  a fait ses débuts de formateur en 2014-2015 comme co-entraîneur des U15 Elite avec le responsable de la préformation Philippe Guillemet, pressenti pour lui succéder à la direction du centre de formation. Alors qu'ils avaient terminé premiers les trois saisons précédentes, les petits Verts ont fini seulement troisièmes sur douze, derrière les deux autres clubs pros de leur groupe (l'ETG et les vilains).

 

La saison 2015-2016, l'ancien capitaine stéphanois a co-entraîné l'équipe réserve avec Bernard David, qui dirigeait alors le centre de formation. Si l'ASSE a terminé septième sur quatorze, elle n'a arraché son maintien en CFA2 qu'à la dernière journée grâce à une victoire contre la modeste équipe de Cournon, qui s'était imposée à l'aller à L'Etrat.

 

La saison dernière, Julien Sablé entraînait seul les U19, qui ont été éliminés de la Coupe Gambardella à domicile dès les 16es de finale face à Bastia. Alors qu'ils flirtaient avec la zone de relégation à mi-saison, les Verts ont terminé en trombe leur championnat, au point de finir sur la troisième marche du podium... à quatoze points du premier (Monaco) et avec l'antépénultième attaque !

 

On aura noté que l'entraîneur Juju a gagné chez les vilains avec les U15 comme avec les U19. On compte sur lui pour en faire de même avec les pros le 25 février prochain...

Furlan, maman !

16/11 11:19
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Entraîneur de Kévin Mayi, l'ancien défenseur des vilains Jean-Marc Furlan (Stade Brestois) s'est exprimé dans Le Télégramme avant de défier le FC Lorient de Fabien Lemoine (forfait pour blessure) samedi après-midi au Moustoir lors du choc breton de la 15e journée de L2.

 

"En Bretagne, je ressens que le football est une fête, un jeu. Je le ressens dans les clubs amateurs autour de nous. J’ai fait onze clubs, entre entraîneur et joueur, il y a des endroits, attention ! Nîmes - Montpellier ou Lyon - Saint-Etienne, que j’ai vécu, maman ! Ce n’est plus du tout la fête."

 

Piège de Christelle (2)

16/11 09:03
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Dans la dernière édition du Parisien, Jean-François Larios revient sur sa liaison fatale avec Christelle Platini et confirme qu'il s'est dopé comme Johnny Rep. Extraits.

 

"C’est l’histoire d’Adam et Eve, la faute originelle. Mais c’était un coup de foudre, une véritable histoire d’amour. On pensait qu’on était bien cachés mais cela s’est ébruité malheureusement… Avec lui, on ne s’adressait plus la parole. Pas même un bonjour. Mais on continuait à jouer ensemble. Quand on a un contrat, on ferme sa gueule. On était au milieu du championnat, il y avait la Coupe du monde qui arrivait… En janvier 1982, je vais voir le sélectionneur Michel Hidalgo pour lui expliquer la situation. Je lui propose que pour le bien de l’équipe, je vais prétexter une blessure et ne pas aller au Mondial. Il a refusé. Mais j’étais devenu tricard. C’est lui qui décidait qui joue ou pas en équipe de France. Je le savais, j’ai pris mes responsabilités. Cela aurait été différent si cela avait été un joueur lambda. Il y a des choses comme celles-là qui se sont passées dans d’autres clubs et ce n’est pas sorti. Une femme qui part avec le meilleur ami de son mari, cela arrive parfois dans la vie. Finalement, elle m’a dit au revoir au téléphone, elle a choisi de ne pas rester avec moi. J’ai dû l’accepter. Avec lui, nous nous sommes revus une seule fois en 2001 sur une plage de l’île Maurice. Je faisais un footing et lui sortait de l’eau. Il s’est juste pris la tête entre les mains en me voyant mais on n’a pas eu un mot.

(...)

Je ne me suis pas dopé à tous les matchs mais juste lors de grandes occasions pour être à l’égal des Hollandais ou des Allemands. Une fois, on prend une raclée à la maison face à Mönchengladbach. Moi j’avais pris du Captagon mais, eux, ils avaient vraiment autre chose, des cocktails qu’on ne connaissait pas. Ils étaient très en avance. Vous pensez que lorsque l’Ajax Amsterdam est trois fois champion d’Europe avec Cruyff et toute la clique, ils étaient clairs ? Johnny Rep me disait : "viens, on va prendre une petite pastille" en rigolant. Mais on ne se sentait pas coupables. On ne savait pas ce qu’on nous donnait. On parlait de vitamines. Mais ce n’était que des amphétamines. Après, on a inventé mieux que cela avec l’EPO, les hormones de croissance… Aujourd’hui, les joueurs ont des cadences folles mais sont mieux encadrés par des médecins, des diététiciens, des kinés, des coachs personnels et même des psys. Il n’y a plus les excès qu’on a connus. Ce serait impossible pour eux de vivre comme je l’ai fait."

Sangnier, l'évidence (2)

16/11 08:21
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Suite au départ d'Enrique Sanz, Sébastien Sangnier va selon Le Progrès monter avec les pros pour s'occuper aux côtés de Thierry Cotte de la préparation physique des pros. Agé de 38 ans et impliqué dans le partenariat avec Tefana (Tahiti), ce Picard pas surgelé est à l'ASSE depuis 10 ans.

Ravera ne quitte pas le navire

16/11 08:00
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Alors qu'Oscar Garcia et ses adjoints espagnols ont quitté le navire, Alain Ravera (52 ans) a pris du galon. Apprécié par Jérémie Janot et arrivé à l'ASSE en juillet dernier, ce technicien diplomé et expérimenté va jouer un rôle important auprès de Juju selon Fabrice Abriel, qui a connu le premier à Guingamp et le second à Nice.

 

"Ravera est un homme à poigne qui s’appuie beaucoup sur les stats et des entraînements basés sur des jeux" déclare l'ancien milieu des Merlus dans la Pravda du jour. "Avec sa culture de L2 (Valence, Guingamp, Gueugnon), il est capable d’aider Julien, qui a la réflexion tactique et le ressenti du haut niveau mais est encore jeune comme entraîneur."

 

Tous derrière Juju

16/11 07:36
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Alors que sa nomination au poste d'entraîneur de l'ASSE rend sceptique bon nombre de supporters et d'observateurs vu son inexpérience, Julien Sablé bénéficie dans la Pravda du soutien de deux ex-entraîneurs stéphanois et d'un ancien coéquipier qui l'avait pris sous son aile après le décès de sa mère, victime d'un accident de la route en quittant Geoffroy-Guichard en novembre 1998.

 

Robert Nouzaret : "Il a l’habit pour, confirme Robert Nouzaret, son entraîneur de 1998 à 2000. Jeune, c’était déjà quelqu’un sur qui on pouvait compter. Il a toutes les qualités pour devenir un bon entraîneur. C’était un homme de devoir, un bosseur et il est passé par la case éducateur."

 

Elie Baup : "C’était inscrit en lui. C’est un passionné qui a toujours été dans cette dimension de l’équipe, de l’observation du jeu, du travail et de ses partenaires, de la réflexion sur le comportement de l’équipe. Il avait un côté fédérateur, rassembleur."

 

Patrick Guillou : "On était au bord de descendre de L 2 en National, le club pouvait disparaître, et à dix sept ans, le gamin était lancé dans le grand bain. C’est un super mec, un type entier, une belle âme. Il a marqué l’histoire du club en étant performant, il en a porté le brassard avec fierté, il a transpiré, vécu les galères, les moments forts…"

 

Dans le quotidien sportif, Juju bénéficie également de la confiance du coach messin Frédéric Hantz, son ancien entraîneur bastiais.

 

"Julien était un joueur constamment dans l’analyse de sa performance, de celle des autres, du jeu, et qui observait l’adversaire. Il était déjà entraîneur. C’est une vocation pour lui. Il est fait pour ça parce qu’il a la qualité première : l’altruisme et la volonté d’aider, de faire progresser les autres. C’est un homme très généreux, très posé et très engagé en même temps, et je souhaite à l’AS Saint-Étienne, parce qu’il a ce club dans son cœur, que cette situation provisoire devienne définitive."

Pas de de quoi se Wantier

16/11 07:21
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Selon la dernière édition de la Pravda, David Wantier est menacé car ses recrues se trouvent aujourd'hui vilipendées, mais l'ancien agent de Romain Hamouma et Kévin Malcuit bénéficie d'un CDI. Le quotidien sportif nous apprend par ailleurs qu'Oscar Garcia voulait remplacer Fabrice Grange par Jérémie Janot. Intime de Galette et devenu proche de Stéphane Ruffier, l'actuel entraîneur des gardiens stéphanois est en fin de contrat et va partir à la fin de la saison d'après la Pravda.

Les hommes de l'ombre de Roro

16/11 06:57
La Pravda du jour explique que Roland Romeyer s'est entouré d'une garde rapprochée pour diriger le club.

 

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Jean-Marc Barsotti (52 ans, président de l’association)

Membre du conseil de surveillance de 2010 à 2017, cet entrepreneur a accédé à ce poste stratégique le 20 avril 2017. Cela permet à Romeyer de s’assurer du vote de l’association. Tous deux ont l’habitude de régler des affaires ensemble. Et depuis longtemps.

 

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Michel Saez (53 ans, directeur général des services)

Bénévole du club depuis 1995 avant de devenir président de l’association en 2011, cet ancien contrôleur de gestion pour un groupe américain a repris en octobre 2016 ce poste laissé vacant pendant un an et le départ de Stéphane Tessier. Outre sa réelle compétence dans le domaine financier, il présente l’avantage d’être un amoureux des Verts. Surtout, cet Espagnol, dont une grande partie de la famille vit en Catalogne, n’est pas carriériste. Contrairement à Tessier, il n’ambitionne pas de devenir à son tour, un jour, président. Il ne fait donc pas d’ombre à Romeyer. Signe de la confiance qu’il lui accorde, il lui a confié la gestion du départ d'Oscar Garcia.

 

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Gérard Fernandez (70 ans, responsable du recrutement au centre de formation)

Son omnipotence et sa proximité avec Romeyer, à qui il sert d’homme à tout faire, notamment en Afrique où il part régulièrement prospecter, font grincer des dents au club. Il représente, à tort ou à raison, l’idée d’un certain pouvoir de nuisance néfaste au club. Galtier l’avait d’ailleurs vite écarté de son poste d’adjoint des pros après sa prise de pouvoir.

 

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Philippe Lyonnet (51 ans, directeur de la communication)

Caïazzo voulait écarter, il y a encore peu, ce Stéphanois. Mais Romeyer s’y est opposé. Arrivé au club en 2007, parti en 2009, revenu en 2012, cet ancien rédacteur en chef adjoint de la rubrique football de L’Équipe l’aide dans sa communication, un domaine dans lequel Romeyer ne se sent pas toujours à l’aise. Au point que certains lui reprochent en interne de plus s’occuper de la communication de son président que de son club.

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