Le Progrès revient aujourd'hui sur l'entraînement d'avant-hier.

"Lors d’une séance rythmée, terminée par une opposition engagée, Loïc Perrin était présent du début à la fin. Il ne manquait que Romain Hamouma, ménagé, et Hernani qui, victime d’une gastro la veille, s’est contenté de courir. M’Bengue a quitté prématurément ses partenaires peu avant la fin de la séance par simple mesure de sécurité. Il a ressenti une gêne après avoir reçu un coup la veille."

Auteur d'un court-métrage avec Mevlut Erding présenté au Nikon Film festival l'année passée, le cinéaste amateur Yasin Celik remet ça cette année à Geoffroy Guichard et à l'Etrat, comme le rapporte konbini.com. En guest stars : Pogba, Moulin, Janko et KTC, qu'on découvre très doué en langue des signes française (LSF) !

Buteur à 4 reprises en 10 titularisations en Ligue 1 depuis son arrivée à Toulouse, le petit poulet d'Abidjan débarquera dimanche en bonne forme à GG.
Auteur hier d'une passe décisive et victime d'une faute qui aurait pu valoir au Téfécé un pénal, Max Gradel a été le plus dangereux des Toulousains, défaits hier 2-4 à Rennes en Coupe de la Ligue.
Comme contre Nice en Coupe de France, il a obtenu la meilleure note de son équipe décernée par la Dépêche du Midi.

Rien de très rassurant quand on connait l'actuelle fébrilité de notre défense....

La Pravda revient cematin sur la signature de Baysse à Bordeaux jusqu'en 2021. Le directeur sportif de Malaga, Mario Husillos explique qu'il ne pouvait pas retenir celui qui avait donné pleinement satisfaction en cette première partie de saison : "Il est venu nous dire que lui et sa famille étaient très contents ici. Mais il nous a dit aussi que s'il y avait un seul club en France qui le tentait pour un retour, c'était les Girondins de Bordeaux."
Le DG de Nice, Julien Fournier qui n'avait pas pu conserver son joueur l'été dernier tresse des lauriers à Baysse et explique pourquoi il n'avait pas pu le prolonger : "C'est un joueur de caractère, une personne adorable. On le présente souvent comme un guerrier, mais c'est réducteur. Il est dur dans les duels, c'est vrai, mais c'est aussi un joueur super intelligent. Il ne faut pas attendre de lui qu'il soit le sauveur mais il peut donner un peu d'entrain aux Bordelais par son comportement. C'est un vrai leader. Il a fait pour Bordeaus les efforts qu'il n'était pas prêt à faire chez nous. C'est la vie du foot et je ne pense pas qu'il soit parti de Nice aigri. Il peut revenir chez lui fièrement."

Selon la Pravda, notre ex défenseur central signe à Bordeaux pour 1M€ plus 500 000€ de bonus.

France Bleu nous apprend ce matin qu'à l'invitation de Roland Romeyer, les groupes de supporters (tous assimilés à des Ultras dans cet article...) étaient attendus à l'Etrat mardi soir pour une rencontre confidentielle.

France Bleu croit savoir que seuls les Green Angels et les USS étaient présents, et qu'il a été question de la gouvernance du club (retrait de Romeyer et arrivée de Paquet, accompagné d'une réputation sulfureuse sur la question de la répression des supporters) ainsi que du recrutement.

Espérons qu'il s'agisse d'un premier pas vers une normalisation des rapports entre club et groupes, en attendant la manifestation de dimanche...

Dans Le Progrès du jour, le comédien Kad Merad avoue qu'il supporte l'OM même s'il ne reste pas insensible aux Verts.

"Je suis beaucoup allé à Geoffroy-Guichard la saison dernière mais je n’ai pas pu cette année. L’ASSE est un peu dans mes veines parce que mon père est “Vert”. C’est lui qui m’a conduit pour la première fois à Geoffroy-Guichard et m’a fait écouter la chanson de Monty. J’ai aussi suivi l’épopée. C’est vrai que l’ASSE n’a pas les moyens que peuvent avoir maintenant Lyon, Paris ou Marseille. Aujourd’hui, je supporte l’OM parce que j’habite à Marseille, ma deuxième ville de cœur. Tant pis si on me traite de “footix” mais, quand je regarde Saint-Étienne, j’ai un pincement au cœur. Ça reste ma Madeleine de Proust."

Le Progrès du jour évoque la possible venue d'un coéquipier d'Aubame.

"Pour le poste de défenseur central, un Serbe pourrait en cacher un autre. Après le transfert avorté de Mitrovic, l’ASSE suit désormais la piste menant à Neven Subotic (29 ans). Le défenseur central de Dortmund fait bien partie de la short list dressée par les recruteurs stéphanois. Homme de base des grandes années du Borussia de Jürgen Klopp avec lequel il remporta deux fois la Bundesliga et disputa une finale de Ligue des Champions, sa réputation n’est plus à faire.

En fin de contrat en juin, la seule incertitude concerne son état de forme… et ses envies, sachant qu’il serait aussi très tenté par l’Angleterre. Blessé au genou la saison dernière, il a raté toute la phase aller avant d’être prêté à Cologne où il disputa 12 rencontres. Cette saison, il n’a joué que 5 matchs avec le Dortmund d’Aubameyang, la plupart en toute fin d’année. Il était notamment titulaire lors de la défaite à Bernabeu contre le Real, le 6 décembre."

La Pravda du jour revient sur l'arrivée de Yann M'Vila à Saint-Etienne. Extraits.

"Un accord contractuel a déjà été trouvé avec l’international français jusqu’en juin 2020 et celui-ci a même eu l’occasion de visiter hier le centre d’entraînement de L’Étrat. Mais un paramètre de taille reste encore à régler avant de voir les deux parties se lier. Encore sous contrat pour deux saisons et demie avec le Rubin Kazan (où il était arrivé en 2013), l’ancien Rennais n’a pas touché ses quatre derniers mois de salaires. Il a donc porté l’affaire devant la FIFA et il espère désormais être libéré de son engagement avec le club russe pour ensuite s’engager avec les Verts. En plus de l’avocat du club, M’Vila a d’ailleurs engagé son propre avocat pour faire valoir ses droits le plus rapidement possible. Il peut, tout comme l’ASSE, nourrir de solides espoirs quant à une issue positive dans ce dossier. Peut-être même en ce milieu de semaine. Si l'on tient compte des engagements non respectés par le Rubin Kazan, la FIFA pourrait ainsi rapidement délivrer un certificat international de transfert provisoire à Yann M’vila avant de laisser sa chambre de résolution des litiges se prononcer plus tard et plus en profondeur sur le conflit qui oppose les deux parties.

Convaincu de rejoindre l’ASSE par Jean-Louis Gasset, qu’i lavait connu en équipe de France à l’époque où l’actuel entraîneur stéphanois était l’adjoint du sélectionneur Laurent Blanc, le milieu axial est, en tout cas, pressé d’ouvrir cet éventuel nouveau chapitre de sa carrière. Outre son envie de revenir en France, l’international (22sélections, 1but) nourrirait l’espoir de profiter de son retour en Ligue1 pour réapparaître dans la catégorie des joueurs pouvant postuler à une place avec les Bleus pour la Coupe du monde 2018. «Yann M’vila est un joueur que j’adore, s'était enthousiasmé Gasset, dimanche, après la victoire face à Nîmes. Je n’ai pas à avoir de nouvelles positives ou non le concernant. Si, un jour, je l’ai face à moi avec un maillot vert, je serai content!» Le technicien stéphanois doit désormais attendre la décision de la FIFA pour que la scène se produise."

Le Progrès confirme ce soir que Yann M’Vila était aujourd'hui à Saint-Etienne pour rencontrer les dirigeants stéphanois.

"Passé par Rennes, l’Inter de Milan, Sunderland et le Rubin Kazan, il n’attend plus que la décision de la FIFA qui doit trancher le litige qui l’oppose à son dernier club, le Rubin Kazan (il n’a pas touché ses quatre derniers mois de salaire). La décision de l’instance internationale devrait intervenir jeudi. Une fois le feu vert obtenu, Yann M’Vila (27 ans), devrait être la première recrue du mercato de l'ASSE."

Le site de la Pravda nous apprend que Yann M'Vila est déjà là. Reste à savoir quand il pourra signer...

"Yann M'Vila est arrivé ce mercredi dans le Forez où il s'est déjà mis d'accord avec les Verts autour d'un contrat de deux saisons et demie. Ce dernier n'est toutefois pas encore prêt à être paraphé. L'ancien Rennais est en effet en litige avec le club russe du Rubin Kazan où il s'est sous contrat jusqu'en juin 2020 et qui ne lui a pas versé ses quatre derniers salaires. M'Vila a donc porté l'affaire devant la Fifa et il peut nourrir le solide espoir d'être libéré de son contrat. Reste à savoir quand l'institution internationale va statuer sur sa situation et donc ouvrir la porte à sa signature à l'ASSE."

Grâce au joli but marqué ce soir par l'ancien réserviste stéphanois Nabil El Zhar (31 ans) sur le terrain de Villarreal, Leganés s'est qualifié pour les quarts de finale de la Coupe du Roi.

Vous avez raté l'intervention de Bryan Dabo ce soir sur RMC ? On vous l'a retranscrite !

"Notre première moitié de saison a été très compliquée. Pas l’entame mais après le départ, ça a été compliqué de relever la tête, d’enchaîner les matches après les défaites. On a tous profité de nos familles, de nos proches pendant les vacances et on est revenu avec un très bon stage sous les ordres de Jean-Louis et de Ghislain Printant. Ils connaissent très bien le football par leur passé. Jean-Louis Gasset a eu une grosse expérience avec Laurent Blanc. Ghislain Printant était à la formation à Montpellier et ensuite il est parti à Bastia. Ce sont des connaisseurs du football. Ils amènent un peu de fraicheur, c’est normal.

C’est comme si on était en opération commando. Ils ont besoin d’hommes et de joueurs qui connaissent un peu la Ligue 1. C’est ce qui a été transmis tout le long du stage : retrouver confiance en nos qualités et surtout psychologiquement, car enchaîner autant de défaites, ça marque plus les esprits que le corps. On a fait un début de saison très correct, même bon. Il n’y avait rien à dire, on prenait les points. Parfois il n’y avait pas la manière mais on prenait les points, on faisait la différence. Le derby a marqué les esprits car il y a eu une lourde défaite. A partir de là, c’est le déclic qui a fait qu’on a perdu, beaucoup, beaucoup, beaucoup de points, ce qui a fait qu’on s’est enfoncé dans le classement.

Franchement j’ai aimé travailler avec Oscar Garcia, c’était très, très, très bien. Honnêtement, moi je ne fais pas de langue de bois, son départ, nous les joueurs, on n’y est pour rien. Souvent dans les clubs, les départs des coaches, on ne sait pas ce qu’il se passe. C’est lui, ce qu’il veut faire, la direction, tout ça… Nous on est tributaire de ça. On comprenait ce qu’il voulait faire. Nous on adhérait complètement au projet. Ça s’est vu car ça s’est traduit par des victoires et des matches nuls. C’était quelqu’un de très compétitif. C’était surtout axé sur la récupération de balle et la projection rapide vers l’avant, un peu comme le faisait l’Atlético. En début d’année on était axé sur ça, c’était notre propriété, nos caractéristiques. Mais après, on s’est complètement décomposé. C’est plus psychologique qu’un problème de qualités. Ce n’est pas la grosse tête de dire ça mais on n’est pas à notre place aujourd’hui.

Est-ce que c’était une erreur de mettre Julien Sablé à la place d’Oscar Garcia ? (Rires) C’est une question compliquée que vous me posez. Déjà, moi, je ne suis pas propriétaire de l’ASSE, je ne suis pas actionnaire, je ne suis pas décisionnaire donc je ne peux pas me permettre de juger la nomination de Julien Sablé, ce serait un manque de respect total. Par contre, je peux dire que c’était une situation très, très compliquée pour lui. Il a pris une équipe qui n’avait pas la tête dans le sac mais qui était dans une situation très compliquée. C’est son premier challenge. Ce n’est pas à moi de le juger et je n’avais pas envie de le faire, ma seule préoccupation, c’était de me dire qu’on était dans le même bateau.

Il m’a écarté car quand je suis arrivé à l’entraînement, je n’étais pas titulaire. Moi je suis un compétiteur, je ne me suis pas trop bien entraîné. Il m’a pris entre quatre yeux, il m’a dit qu’il ne me prenait pas dans le groupe. J’ai lu que « Dabo avait été écarté pour cause de comportement ». Y’a eu un pataquès alors que c’était absolument faux. D’ailleurs le match d’après il m’a mis titulaire. C’était un choix sportif que les gens n’ont pas compris car à cette période de l’année je faisais partie des cadres du groupe. J’avais fait beaucoup de matches, de bons matches avec Oscar Garcia et lui il est arrivé et a pris cette décision forte. Moi je l’ai compris, le lendemain on s’est expliqué. Je lui ai dit : « écoute, je suis un homme, j’apprécie que tu me dises les choses en face et à partir d’aujourd’hui je suis remotivé à 150%."

Je n’ai pas eu la crainte qu’on me colle cette étiquette de joueur à problèmes. Mon père a l’habitude de me dire « le mensonge il prend l’ascenseur, la vérité elle prend les escaliers. » Avec Christophe Galtier, c’était sportif. Je n’ai pas parlé, je n’ai rien dit, on ne m’a pas vu dans les médias. J’ai fermé ma bouche, j’ai mangé mon pair noir et je suis revenu plus déterminé que jamais cette année. J’ai fait un bon début de saison. Avec Julien Sablé, pareil, l’épisode était juste sportif. Le problème, c’est les gens, quand ils ne savent pas, ils aiment bien spéculer. Franchement, si on devait s’étendre sur toutes ces polémiques, on n’en sortirait plus. Ça ne m’intéresse pas, les gens parlent pour rien."

Victorieuses 6-1 de Clermont (R1, 3ème division) ce week-end en Coupe de France, les Vertes ont connu leurs adversaires en 1/16ème de finale cet après-midi. Elles se déplaceront chez l'Olympique de Valence, également pensionnaire de R1 et 6ème de son groupe. Précisons pour l’anecdote que les Valentinoises avaient battus la réserve stéphanoise 4-1 en début de saison.

Le match se déroulera le dimanche 28 janvier.

La criminalisation des supporters n'en finit pas. Si les interdictions de déplacements sont désormais monnais courante en Ligue 1, la préfécture du Rhône et son nouveau patron ont décidé de faire plus fort, en interdisant les supporters stéphanois de déplacement à Lyon pour le derby de Gambardella.

En cause ? Un match prévu le dimanche 14 janvier décalé le samedi 13, jour sans match pour l'équipe fanion et qui a laissé penser aux autorités un déplacement massif (et nécessairement dangereux...) des ultras stéphanois.

Le club a fait appel de la décision de la FFF de décaler le match au samedi.

A Troyes, on s'efforce de positiver après le tirage de Coupe de France, mais ça ne respire pas la joie. L'Est Eclair et le site officiel nous rapportent ainsi les propos du président, du coach et du gardien n°2 (titulaire en coupe) aubois :

Daniel Masoni (Président) : "On a la chance de jouer à la maison. Pour la récupération, c’est mieux."

JL Garcia (coach) : "Ça nous promet beaucoup de matches rapprochés contre des clubs de Ligue 1, mais ça va permettre de concerner un maximum de mes joueurs. Pour ceux qui jouent moins, ce ne sera pas un match au rabais où ils ont tout à perdre. Là, au contraire, ils auront tout à gagner. C’est un beau tirage plus qu’un bon tirage."

Erwyn Zélazny (gardien n°2, titulaire en Coupe) : "D’abord, comme on ne décide jamais de qui sera notre adversaire, on accepte le tirage. Comme nous l’a dit le coach ce matin, ce n’est pas plus facile d’aller jouer une CFA à l’extérieur. Ce sera une belle affiche entre deux équipes de Ligue 1, et qui se jouera chez nous. On connait Saint-Etienne qu’on a battu en championnat, mais le contexte sera complètement différent."

Dans un communiqué publié ce matin sur son site, le club précise que, contrairement à ce que laissait entendre l'article du jour de la pravda, " Michel Saez conserve bien évidemment toutes ses prérogatives de Directeur général adjoint en charge des services administratifs et Dominique Rocheteau, celles de Directeur sportif."

Il faut donc en déduire que sur le papier, le bourreau de travail qu'est supposé être Paquet ne rognera que sur le périmètre de Roro.

Selon la dernière édition du Progrès, Loïc Perrin et Kévin Monnet-Paquet ont participé à l’intégralité de l’entraînement collectif d'hier après-midi. Florentin Pogba, que certaines rumeurs envoient en Turquie à Galatasaray, était là aussi. "Il n’y a rien de sérieux pour l’instant" assure le quotidien régional.

Les Violets auront trois jours de récupération de moins que les Verts pour préparer le match de la 20e journée qui aura lieu dans le Chaudron ce dimanche à 15h00. A égalité de points avec le barragiste lillois, avec une longueur de retard sur l'ASSE et une d'avance sur le premier relégable (Angers), le TFC ne compte pas pour autant faire l'impasse sur le quart de finale qui l'opposera ce soir à Rennes au Roazhon Park.

"La Coupe de la Ligue a deux avantages. D’abord, Toulouse a empoché 700 000 € et quelque. Ensuite, s’il y avait ce trophée dans la vitrine du club, au quatrième étage, personne ne s’en plaindrait. Cela fait soixante ans que le TFC n’a pas fait une finale de Coupe. Soit on considère que le club n’a pas de chance, soit on se dit qu’il n’y a pas de hasard. J'ai envoyé 30 000 Savoyards au Stade de France. J’aimerais revivre ce moment très sympa avec les Toulousains" déclare Pascal Dupraz dans la Pravda du jour.

La Pravda du jour revient sur la nomination de Frédéric Paquet au poste de Directeur Génnéral de l'ASSE. Extraits.

"Après avoir quitté Lille en 2015, au bout de quatorze années au club, l’ancien président de la Fédération française de football américain, passé par le rugby (Stade Français, Colomiers), était parti monter un projet autour du golf aux États-Unis. Le revoilà plongé dans la Ligue 1. Avant de prendre sa décision, Romeyer a consulté du monde et notamment Seydoux. L’ancien propriétaire du LOSC a vanté les qualités du personnage, décrit à son époque nordiste comme un bongestionnaire, doté d’une grande capacité d’analyse, d’un esprit très cartésien et d’une force de travail énorme.

Bernard Caïazzo, l’autre coactionnaire, le connaît pour l’avoir fréquenté aux réunions des instances, où il n’hésitait pas, parfois, à s’opposer à Jean-Michel Aulas, le patron de l’OL. C’est son passé de joueur de foot américain peut-être : Paquet n’a pas peur de l’affrontement. Ses méthodes parfois brutales et ses coups de gueule contre les salariés, les journalistes, les joueurs également, n’ont pas laissé que des bons souvenirs à Lille. Dans le Nord, il avait fait le ménage autour de lui pour devenir le véritable patron opérationnel après avoir grimpé tous les échelons (directeur du marketing, directeur des opérations et responsable de la sécurité, directeur général de l’association, directeur du développement…).

Avec le temps, il s’était fait pas mal d’ennemis. Si Claude Puel l’avait sorti du vestiaire, Rudi Garcia entretenait avec lui une relation privilégiée, mais elle s’était vraiment gâtée sur la fin. Paquet s’était aussi fâché à mort avec son ami Xavier Thuilot, dont il avait pris la place en 2009, ou avec Mickaël Landreau, l’ancien gardien aujourd’hui entraîneur de Lorient. À Saint-Étienne, il arrive dans un rôle qu’il connaît et proposé d’abord à Alain Roche. Mais l’ancien Parisien se sentait plus l’âme d’un directeur sportif, un poste occupé aujourd’hui par Dominique Rocheteau, que d’un DG."

Dans la dernière édition du Midi Libre, le jeune latéral nîmois Olivier Boscagli revient sur son expulsion dès la 12e minute du 32e de finale d'avant-hier.

"C'est dur. Sur le tacle, je ne le touche pas, il m'évite et se jette par terre. C'est un tacle plus impressionnant que dangereux. Trois minutes avant Téji (Savanier) se fait découper et l'arbitre ne siffle pas..."

Mikaël Lesage sera au sifflet ce dimanche à 15h00 pour le match de la 20e journée qui opposera les Verts aux Violets dans le Chaudron. Le Normand de 42 ans a déjà arbitré deux fois Saint-Etienne cette saison : le 25 octobre à Stasbourg (élimination en Coupe de la Ligue) et le 28 novembre à Bordeaux (défaite 3-0).

A la recherche d'un nouveau club après avoir résilié son contrat avec Kayserispor, Landry Nguemo a évoqué son passage en vert aujourd'hui sur SFR Sport.

"La plus belle ambiance en France ? Oh, Saint-Etienne ! Franchement, ce que j'ai vécu là-bas, c'est magnifique ! J’ai vécu six mois à Saint-Etienne très enrichissants."

Bakary Sako, qui avait eu la malchance de voir dix de ses tirs repoussés par les montants lors de sa troisième et dernière saison en vert, a égalisé avec l'aide du poteau hier soir à Brighton.

Malgré son 5e pion claqué cette saison toutes compétitions confondues, l'ancien ailier gauche stéphanois s'est incliné 2-1 avec Crystal Palace lors de ce match de Cup.

Le site officiel vient d'annoncer la nomination de Frédéric Paquet au poste de Directeur Général de l'AS Saint Etienne.

Celui qui a été DG du LOSC de 2004 à 2015, après avoir été président de la Fédération Française de Football Américain, prendra ses fonctions le 19 janvier prochain, ce qui permettra à Roland Romeyer de ne plus assurer la direction exécutive du club.

La position de Nanard et Roro : 

"Frédéric Paquet s’est imposé comme le meilleur choix parmi les nombreuses candidatures que nous avons étudiées. Il a une excellente connaissance du football professionnel, une grande expérience dans la gestion d’un club et une vraie culture internationale. Nous sommes convaincus que Frédéric Paquet saura impulser le nouvel élan dont l’AS Saint-Etienne a besoin pour continuer à progresser dans la durée. Depuis 2004 et son retour en Ligue 1, le club s’est développé en restant fidèle à ses valeurs.  La conquête d’un trophée et les quatre participations consécutives à l’UEFA Europe League ont été obtenues sans jamais menacer l’équilibre financier de l’ASSE. Aujourd’hui, la nomination de Frédéric Paquet marque une étape importante dans la phase de transformation que nous estimons indispensable pour l’avenir du club, lequel passe aussi par l’arrivée d’un investisseur puissant."

Ce n'est pas tous les jours qu'un ancien stéphanois a les honneurs de Paris Match... et il faut que ce soit pour une histoire de racisme : Blaise Matuidi est en effet au coeur de l'actualité pour des injures racistes reçues en plein match à Cagliari le week-end dernier. L'histoire a pris tellement d'ampleur que la Ministre des Sports et la directrice générale de l'UNESCO lui ont apporté leur soutien !

Titulaire à la Juve, Matuidi a marqué deux buts cette saison, les deux en décembre (ici et là).

A 33 ans, Guirane N'Daw, l'homme ramené à Sainté par Perrin pour 39 matchs en Ligue 1 guère mémorables pointe depuis plus d'un an au chômage après un passage raté à Lens. Il ne désespère pourtant pas comme il l'a expliqué à l'auto-proclamée bible du foot, France Football : 
"Franchement, je ne me prends pas la tête, il faut positiver. J'aime mon métier et je continue d'y croire. Mais cela ne m'empêche pas de vivre. Je n'ai plus de nouvelles de mon ancien agent. On m'a juste proposé un truc à Andorre, mais ça ne s'est pas fait. Depuis, j'attends. Je m'entretiens depuis des mois, je suis inscrit dans une salle et je bosse deux fois par jour. Simplement, je ne touche pas beaucoup le ballon. L'été dernier, j'avais fait le stage UNFP et j'avais eu des contacts qui n'ont pas abouti. En France, si un club de L2 ou de National a des soucis au milieu ou dans l'axe, je suis prêt à dépanner pour les six mois à venir. Qu'ils sachent que je ne lâche pas. Je me dis que j'ai quand même fait des choses dans le football français, j'ai une bonne réputation. Donc, je me tiens prêt à toute éventualité"

A Ruffier et Soderlund, il faut désormais ajouter la suspension d'Ole Selnaes pour le match à Metz. Hernani quant à lui, rejoint le groupe des sursitaires (constitué également de Janko, RPG et Dabo) qui pourraient être privés d'andouillettes en Coupe de France.

Merci au potonaute ozzy pour son habituelle mise à jour du tableau des cartons :

.... le tableau complet des suspensions (depuis le début de saison) .... ici

quelques petites explications:
- en jaune avec un J, les cartons qui comptent toujours dans la période de 10 rencontres de compétition officielle pour une éventuelle suspension
- en jaune seulement, les cartons qui ne comptent plus
- en gris avec un S, la journée où le joueur purge sa suspension
- le S+ correspond à un match ferme assorti d'un match avec sursis
- en pointillé, les journées où le joueur est sous la menace d'une suspension en cas de carton jaune
- en gris, la journée où le joueur serait suspendu en cas de carton jaune lors du prochain match
- les joueurs libellés en rouge sont insuffisamment prêts ou indisponibles pour blessure

Bryan Dabo revient sur la victoire des Verts contre les Crocos dans la dernière édition du Progrès. Extraits.

"On est content pour nos supporters qui commençaient à se montrer hostiles envers nous, pour les dirigeants, pour tout le monde. On va savourer sans s’enflammer. Cette victoire, c’est un tout, le travail de toute une équipe, on a tous fait beaucoup d’efforts, on les a usés. En première période, on a eu la maîtrise technique mais sans jamais être dangereux, c’est vrai. À la mi-temps, le coach nous a demandé de rester sereins, de ne pas s’affoler. C’est quelqu’un qui a beaucoup d’expérience, qui sait gérer ces situations. On savait que le temps allait jouer pour nous, à onze contre dix, et c’est ce qui s’est passé. En championnat, c’est compliqué. À nous d’aller chercher des points qui comptablement pourraient compter double."

Relayant des propos de l'Ange Vert, Le Progrès du jour évoque le mercato.

"La cellule de recrutement de l’ASSE a relancé d’autres pistes pour dénicher un défenseur central, qui reste la priorité du recrutement stéphanois. Rendu encore plus prudent par l’affaire Mitrovic, Dominique Rocheteau nous a assuré hier soir qu’il n’y avait « pas d’avancée » sur ce dossier ni sur celui concernant M’Vila, toujours en attente d’une lettre de la FIFA, validant sa rupture de contrat avec le Rubin Kazan. Le dossier de l’attaquant venant en 3e  position. « Mais je suis plein d’espoirs » a-t-il conclu."

La Pravda du jour nous apprend que l'ASSE a creusé en vain la piste menant à l'ancien Bleuet Georges-Kévin Nkoudou (22 ans), apparu seulement à trois reprises cette saisons avec les Spurs.

"À défaut d'avoir obtenu jusque-là des signatures, il faut reconnaître à Saint-Étienne une forte capacité de mobilisation pour ce mercato hivernal. En quête d'un ailier, le club du Forez faisait, dans la discrétion, une cour assidue depuis plusieurs semaines à Georges-Kévin Nkoudou. Dans ce dossier, activé parallèlement à celui de l'international de Wolfsburg Paul-Georges Ntep, la cellule de recrutement de l'ASSE s'était donné les moyens en multipliant les échanges, mais se savait en position d'outsider. L'ancien Marseillais, transféré à Tottenham pour 12 millions d'euros à l'été 2016, disposait, outre celle de l'ASSE, de plusieurs propositions parmi lesquelles la Fiorentina, le Betis Séville ou Malaga. L'OGC Nice avait également établi une liste de trois noms d'ailiers où figurait l'ex-Nantais. Nkoudou a choisi de rester en Angleterre. Courtisé également par West Bromwich, il devrait s'engager, sous forme d'un prêt de six mois, dans les prochaines heures à Burnley, équipe surprise de Premier League cette saison (7e, 34 points)."