Le cul monstre de Nouzaret

26/04 23:36
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Dans un intéressant entretien paru sur le site Actufoot, Robert Nouzaret revient sur son inoubliable passage à Saint-Etienne. Extraits.

 

"Quand j'ai entraîné Lyon, j’ai tenté une expérience, j’étais un des premiers à jouer avec trois éléments dans l’axe et deux dans les couloirs. Ce jour-là, j’en ai pris 7 contre Sochaux à Gerland. Cela m’a refroidi. Et puis, je suis parti en Afrique, je me suis dit que c’était une autre mentalité, d’autres joueurs. J'ai joué avec l’état d’esprit africain, le jeu vers l’avant, en faisant la part belle aux attaquants. Quand je suis rentré en France, à Saint-Etienne, je suis parti dans le même état d’esprit, en 4-4-2. C’était la première fois que je pouvais adapter ma philosophie au recrutement qu’on m’a fait. Ca marchait, on jouait bien, on marquait. A ce moment, je ne m’occupais que de mon équipe, même si je m’adaptais en cours de match. Il y avait de la musique dans le vestiaire. Je voulais redonner le goût du jeu, en disant que ça ne sert à rien de stresser, si on travaille bien toute la semaine.

 

Quand j’ai commencé ma carrière d'entraîneur, j’avais des principes basés sur l’aspect défensif car j’ai connu ça toute ma vie de joueur. C’était une frustration que je vivais bien, car elle correspondait bien à mes qualités et mes défauts. J’étais un bourrin, j’avais du courage, de l’abnégation, je ne m’arrêtais jamais. Le marquage individuel m’allait comme un gant. Au final, quand je suis devenu entraineur, je regardais plus la défense que l’attaque. Puis j’ai changé, après avoir connu d’autres cultures. C’est l’Afrique avec son jeu offensif, qui m’a apporté ça. On joue pour gagner, pas pour ne pas perdre.

 

Pour être bon entraîneur, il faut choisir son équipe ou ses joueurs. Je suis surpris quand un dirigeant recrute un joueur. L’entraîneur doit choisir ses joueurs. Il doit respecter le budget. C’est quelque chose que j’avais toujours en tête. L’aspect financier permet au club de vivre plus ou moins longtemps. Mais si vous ne choisissez pas vos joueurs, vous mourrez avec les idées des autres, et c’est la pire des frustrations. On ne réussit pas avec les idées des autres. Un entraîneur est comme un chef d’entreprise. Il faut qu’on donne tout ce qu’il faut pour réussir. C’est comme pour les staffs. Il faut les choisir.

 

Je n’ai pas fait une grande carrière d’entraîneur. Mais j’ai fait monter une équipe en D1, j’ai fait une finale de coupe. J’avais du potentiel. Mais je n’étais pas un grand joueur. Des Zidane, il n’y en a pas tous les matins, c’est une exception. Ca aide, car il a une autorité naturelle et que son expérience lui permet d’utiliser son expérience. Quand un joueur a disputé des Coupes du monde ou des Coupes d’Europe, c’est peut-être plus facile pour gérer des mecs, mais il peut avoir besoin d’un staff pour faire des séances adaptées. C’est la complémentarité qui est importante dans le foot. Et la meilleure fois où je l’ai réussie, c’est à Saint Etienne. Avec Gérard Soler, j’ai eu un cul monstre de trouver des joueurs adaptés au système."

Roro, dernier des Mohicans

26/04 22:24
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Roland Romeyer est à l'honneur dans un article à paraître demain dans la Pravda. Extraits.

 

"La décision de nommer un directeur général avait été annoncée dès le 15 décembre – sans qu'il en soit prévenu – par Bernard Caïazzo le jour d'une lourde défaite contre Monaco. "Cela m'avait surpris car je ne pensais pas qu'il allait cracher le morceau lors de cette fameuse conférence de presse", confirme le président des Verts. A part ce vendredi soir à la Mosson, Romeyer n'effectue plus les déplacements depuis celui à Metz, ni les mises au vert. Il suit désormais les matches à la télévision ou au stade Geoffroy-Guichard. Ça ne me manque pas car c'est moins fatigant et stressant. Je suis heureux et fier que Frédéric, qui est comme mon fils, se trouve désormais au volant et moi sur la banquette arrière, même pas à côté de lui."

 

Toujours président d'un directoire également composé de Dominique Rocheteau et désormais de Frédéric Paquet, il continue à valider les grandes décisions car elles engagent son argent. Le défenseur Neven Subotic a ainsi appris à sa descente d'avion que Romeyer avait réduit son contrat de deux ans et demi à un an et demi, le 25 janvier. Mais il ne décide plus de tout au quotidien. "Le club était géré en bon père de famille mais c'est dépassé", reconnaît-il. "Depuis 2010, l'ASSE est passée à deux cent cinquante payes par mois, avec le rachat du centre de formation, du bar-hôtel-restaurant Le Chaudron Vert, l'ouverture du musée... Je n'ai pas peur de le dire : je suis le dernier des Mohicans."

 

Alors que Caïazzo préfèrerait l'arrivée d'un «investisseur puissant et de qualité» capable d'injecter 20 M€, lui a compris que la seule solution passait par une vente. "Un type t'achète ta voiture et tu lui dis : “Je garde les clés” ? Non. On va la lui démarrer et il va partir avec. C'est dur mais c'est la vie. Un jour, elle s'arrête." En vertu du pacte d'associés, l'un ne peut toutefois pas vendre sans l'accord de l'autre. Bernard Caïazzo a signé l'été dernier un contrat d'exclusivité avec la banque Lazard, pour rechercher des investisseurs et/ou des repreneurs. Le cabinet Deloitte et le cabinet d'avocats Kuperfils sont aussi concernés. "J'ai dirigé 16 entreprises et je sais qu'une passation de pouvoir ne se fait pas en claquant des doigts", tempère Romeyer.

L'ASSE susciterait l'intérêt de "beaucoup d'investisseurs"  (dixit Romeyer), issus de trois continents, dont un fonds de pension américain. Jérôme de Bontin, homme d'affaires franco-américain et éphémère président de l'AS Monaco (10 avril 2008-27 février 2009), se trouve à la tête de ce repreneur potentiel. Si une clause de confidentialité l'empêche de confirmer cette information, Romeyer se veut "optimiste quant à une vente le plus rapidement possible". En fin de saison, ce serait le mieux."

Nordin veut continuer à marquer

26/04 14:28

nordin

 

 

Quelques jours après avoir inscrit son premier doublé en pro, Arnaud Nordin se confie sur le site officiel de l'ASNL :

"J’ai eu un peu de mal en début de saison. Je donnais tout, mais ça ne fonctionnait pas. J’avais peut-être besoin d’un peu de temps pour m’adapter à ce nouveau club. Ce n’était pas évident non plus dans une saison aussi compliquée. J’ai continué à travailler et suis très content aujourd’hui d’avoir marqué mes premiers buts avec Nancy."

 

A propos de son jeune âge (seulement 19 ans) :

"Certains l’ont peut-être oublié. Je suis arrivé comme une recrue alors que j’ai seulement l’âge de sortir du centre de formation. J’essaie de tout donner sans prêter attention à cela. On avait de toute façon bien parlé avec le club de ce que l’on attendait chacun l’un de l’autre.

L’insouciance, ça paye souvent, mais ce ne sera pas suffisant pour sauver la place de l’ASNL en Ligue 2."

 

Il revient aussi sur ses 2 buts du week-end :

"En arrivant au club, le coach nous a demandé d’être spontanés, de tenter des choses et de terminer nos actions. Il y a quelques semaines, je n’aurais sûrement pas osé ce dribble et plutôt essayé quelque chose de plus habituel. Pourtant, percuter avec ma vitesse était la meilleure solution et je suis prêt à le retenter si l’occasion se présente.

Un but à la Messi ? Non, lui, c’est une autre catégorie (rires). C’est un joli but, mais avec quand même un peu de chance puisque je bénéficie de deux contres favorables.

C'est important pour un attanquant d'être décisif. On est souvent regardé par rapport à nos statistiques. C’est ce qui détermine aussi si on a réussi une bonne ou une mauvaise saison. J’espère donc continuer à en marquer d’autres. Je me sens davantage buteur que passeur mais prends aussi du plaisir à donner un bon ballon à un coéquipier."

"Le prochain match face à Tours est décisif et il faut absolument le gagner ! Nos supporters seront un atout précieux lors de nos deux derniers matchs à la maison. On va s’en sortir tous ensemble !"

 

 

 

Roro veut garder Gasset (2)

26/04 07:49
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Pour fêter le 5e anniversaire du premier Défi Cœur-Vert, organisé lors de la finale de la Coupe de la Ligue 2013, Roland Romeyer et un peloton de cyclistes verts se sont élancés mercredi du Puy-en-Velay. Roro en a profité pour se confier à L'Eveil de la Haute-Loire.

 

"Mathématiquement, c'est possible de se qualifier en Ligue Europa. Cela fait maintenant onze matches sans défaite, on y croit, en espérant que sur les 4 derniers matches on en gagne au moins 3. Tous les rencontres seront difficiles, on l'a vu contre Troyes qui joue le maintien. Je ne m'appelle pas Didier Deschamps, je m'appelle Roland Romeyer. Mais si j'étais sélectionneur de l'équipe de France, je prendrais Mathieu Debuchy pour plusieurs raisons : c'est un joueur exceptionnel, c'est un vrai pro et en plus c'est un leader qui tire l'équipe vers le haut. Il a les qualités physiques, tactiques et humaines requises.

 

Quand j'ai téléphoné à Jean-Louis Gasset pour qu'il vienne à Saint-Etienne, il m'a dit que le challenge l'intéressait, mais qu'il fallait aussi qu'il demande à Laurent Blanc. Le lendemain il m'a téléphoné pour me dire qu'il avait vu Laurent et qu'il venait à Saint-Etienne, mais qu'il souhaitait un bon de sortie au mois de juin s'il trouvait une équipe. Jean-Louis Gasset a signé pour deux ans, ce qui était obligatoire pour valider son contrat à la Ligue. Il est donc là jusqu'au 30 juin 2019, mais s'il nous demande de partir à la fin du championnat, je n'ai qu'une parole et on le laissera libre. Notre objectif est de continuer avec lui, on compte sur lui et pour l'instant on n'est pas dans l'idée de rechercher quelqu'un d'autre. Actuellement, on est très satisfait de ce qu'il se passe dans le club, avec des qualités de jeu que l'on avait pas vues depuis peut-être plus de deux ans et une ambiance extraordinaire."

C'est le Printant ! (6)

26/04 07:32
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Ghislain Printant s'est brièvement confié au Midi Libre avant de faire son retour à la Mosson demain en match d'ouverture de la 35e journée de L1.

 

"Jean-Louis a choisi un petit appartement au centre de l’Étrat, à trois minutes du club. Comme je n’ai pas trouvé d’appartement meublé, j’ai opté pour le centre de formation. Avec Jean-Louis, on ne vit que football. On mange à 19h pétantes à la cafétéria du club et à 19h15, on rentre chacun chez soi. Crois-moi, j’en visionne des matchs de foot ! Je n’ai que ça à faire, car je n’aime pas sortir et puis de toute façon, à Saint-Etienne, il n’y a rien à faire. Les rares endroits où les supporters de l’ASSE ont une chance de me croiser avec Jean-Louis restent les allées de la grande surface située tout près du centre d’entraînement. On y va tous les deux et c’est moi qui pousse le chariot. Et comme on se dispute sur la marque des brioches ou du pain d’épice, les gens nous prennent pour un vieux couple. Je suis persuadé que certains se posent des questions. Si on reste à Saint-Etienne, il faudra peut-être changer de grande surface... Là, on est démasqué !"

Gasset parti pour rester ? (4)

26/04 07:14
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Dans la dernière édition du Midi Libre, Jean-Louis Gasset parle de ses retrouvailles avec Montpellier et de son avenir. Extraits.

 

"On va encore vivre des émotions terribles. Louis, c'est l'homme qui a créé le club avec mon père. C'est un oncle pour moi. À la maison, j'ai la photo d'Olivier et Laurent, minots, qui se cachent dans la robe de mariée de ma femme. Dans les tribunes, il y aura ma mère, mes enfants, mes petits-enfants... Tout ça pour un match très important, presque capital face à un club que j'adore. On appelle ça la beauté de notre métier, mais là, ça fait pas mal pour une seule soirée.

Rien ne me prédestinait à venir un jour à Saint-Etienne, dans un club qui a éclairé mes soirées de jeunesse, à l'époque où le foot à la télé, c'était les Verts et rien d'autre. Mais lorsque Roland Romeyer m'a appelé, je n'ai pas hésité. Je m'ennuyais un peu. Mes journées s'achevaient à 8h45 lorsque j'avais déposé mes petits-enfants à l'école. J'allais au cimetière voir mon épouse, mon père et puis basta. Alors, comme ma famille allait bien, qu'elle était parvenue à s'organiser sans l'être cher, j'ai accepté. En plus, ils n'étaient pas loin.

 

Il n'a jamais été question au départ de devenir numéro un.Le mal était profond. Le 0-5 dans le derby face à Lyon avait fait des ravages. Même les cadres étaient au fond du seau, traumatisés. Julien a tout tenté, mais nos résultats n'étaient pas bons. Même jouer à Geoffroy-Guichard leur faisait peur. Il a fallu prendre une décision. J'ai posé des conditions indispensables : la venue de Ghislain Printant en qui j'ai une totale confiance et le recrutement de quatre joueurs plus Beric. J'ai appelé des garçons d'expérience que j'avais connus en sélection, qui avaient besoin de se relancer.

 

On a fait des pactes, gagnant-gagnant. Ça a marché, l'objectif de sauver le club est atteint et les supporters sont à nouveau heureux. C'est l'essentiel, mais on a eu de la chance, forcément. Debuchy, on l'a recruté le 31 janvier, tu entends le 31 janvier ! Et quand je vois ce qu'il amène, aussi bien défensivement qu'offensivement, je me dis qu'on a vraiment eu de la chance. Mais j'espère que les dirigeants sauront tirer les conclusions de tout ça pour préparer l'avenir.

Un avenir avec Gasset ? Franchement,  je n'en sais rien. J'ai un contrat d'un an et demi mais, comme à Montpellier, j'ai la promesse de pouvoir arrêter en fin de saison. Des choses vont se passer. Avec quels joueurs va se construire l'équipe ? Pour quelles ambitions ? Ici, il ne faut pas tricher avec les supporters. Les Verts, c'est leur vie. Je les ai vus en colère un soir de défaite et je ne veux plus vivre ça. Pourtant, ce sont des gens bien. Mais surtout, il ne faut jamais leur mentir ! Si je reste, il faudra des garanties, essayer de conserver certains joueurs. Le club peut-il faire ça financièrement ? Et puis, il y a Laurent... S'il m'appelle, est-ce que je le suivrai ? C'est possible, oui, peut-être. Avec Lolo, on s'appelle peu, mais lorsqu'il le fera, c'est que ce sera sûr. Là, on avisera. On a pris rendez-vous avec le club pour début mai. D'ici là, il y a quatre finales à jouer.

Revenir un jour à Montpellier, pourquoi pas ? Lorsque je regarde la photo de mon père avec Louis, je me dis qu'on pourrait reformer un jour le duo Nicollin-Gasset. L'an dernier, j'étais là parce que c'était la famille, qu'il y avait danger et malgré ma fatigue et ma douleur, j'ai pris du plaisir. Pourtant, ça n'a pas été simple. Le recrutement hivernal était fait et constitué de très jeunes joueurs. Il a fallu démarrer une saison au 1er février. Mais on y est arrivé, tous ensemble. Et j'en suis fier, très fier même."

Happy Abi !

25/04 22:34
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L'ASSE nous apprend que l'international U18 Charles Abi a signé aujourd'hui son premier contrat pro d'une durée de trois ans. Arrivé au club en juillet 2015 en provenance de Clermont-Ferrand, l'athlétique attaquant a joué 5 matches cette saison en National 3, dont 3 en tant que titulaire. Ce gaucher capable de jouer en pointe ou sur une aile a claqué 6 pions cette saison en championnat des U19 nationaux. Il s'est également illustré en marquant le deuxième but de la belle victoire des Verts chez les vilains en Coupe Gambardella.

Cabella en septembre ?

25/04 13:47




Rémi Cabella a été on ne peut plus clair sur ses envies en conférence de presse, nous rapporte France Bleu Saint-Etienne : "Si Sainté veut m'avoir la saison prochaine, je dis oui !".

 

On sait bien que ce n'est jamais aussi simple, mais s'il fallait encore une preuve qu'il fait bon jouer à l'ASSE en ce moment...

Kies, qui est-ce ?

25/04 13:36
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Responsable de la préformation à Saint-Priest, Yanice Charcosset nous présente le très prometteur milieu offensif Kenzo Kies, qui s'est engagé avec les Verts après avoir porté le maillot des vilains.

 

"Kenzo était à l’OL la saison passée, il a quitté ce club au dernier moment suite à un désaccord entre les responsables lyonnais et ses parents. Même si on avait déjà bouclé notre effectif pour cette saison, on l’a accueilli chez nous car on savait que c’était un très bon joueur. Il a joué avec nous en équipe une des U13 et de temps en temps en U14. Kenzo est un garçon qui a beaucoup d’énergie, il court beaucoup sur un terrain. Il est très bon techniquement, très à l’aise avec le ballon. C’est un joueur hargneux qui fait montre de beaucoup de combativité. Kenzo est un garçon qui ne fait pas de bruit, il est assez réservé, mais c’est un joueur qui tape à l’œil. Ce n’est pas étonnant qu’il ait rebondi tout de suite dans un club pro. Kenzo a été très sollicité, a fait beaucoup d’essais, notamment à Monaco, Nice, Nantes et Lille.

 

Il a un gabarit assez frêle, il est très fin. Ce n’est pas quelqu’un de grand, athlétique, rugueux. Mais au vu de ce qu’il a montré chez nous, ce n’est pas quelqu’un qui se fait bouger facilement dans les duels. C’est clairement un joueur qui a du potentiel, très intéressant. C’est un milieu de terrain plutôt offensif. Kenzo est un garçon habile techniquement qui sent le jeu. Il lève la tête et a un vrai talent pour distribuer, faire jouer les autres. Il sait aussi éliminer, dribbler, percuter. Kenzo prend beaucoup d’initiatives. Je pense qu’il est largement perfectible devant le but. Il est plus à l’aise pour faire marquer les autres que pour marquer lui-même."

Dieu, que c'est long !

25/04 13:02

 

En conférence de presse ce midi, Jean-Louis Gasset est revenu sur la victoire contre Troyes et le prochain déplacement à Montpellier, qui se fera sans notre capitaine :
"Mon côté devin ? J'ai des sensations que j'essaie de transmettre aux joueurs. Il faut toujours que l'entraîneur y croit. Contre Troyes, je n'avais qu'une envie : qu'on attaque cette tribune verte en face de nous pour retourner la situation et l'emporter. On a une équipe joueuse, parfois un peu folle, et je ne veux surtout pas la brider. La deuxième mi-temps face à Troyes est une sorte de référence. On a un effectif où chacun amène son pourcentage à la réussite globale et on le fait tourner. On ne condamne personne après un match.
Loïc Perrin et Vincent Pajot sont forfaits pour la rencontre. Il ne sont pas loin d'un retour mais je préfère ne pas prendre de risque. Ronaël Pierre Gabriel a repris avec le groupe.
C'est un match très particulier. Le centre d'entraînement de Montpellier porte le nom de mon père. A l'arrivée au stade, je ne verrai pas Louis Nicollin. Ce sera un peu bizarre. Le contexte sera émouvant mais on est compétiteur. La Mosson est un stade difficile pour les adversaires. Les gros du championnat n'y ont pas gagné. Ce sera compliqué mais on va essayer. Il va y avoir de l'impact, Montpellier va tenter de mettre du rythme car ils jouent un concurrent direct et qu'ils sont obligés de gagner. Je pense qu'ils vont jouer avec de l'envie, du cœur. On va jouer pour gagner. Avec un point, on n'avance pas. Contre eux, il ne faut pas se faire prendre en contre. Il faut jouer intelligemment."

 

Garcia ne digère pas (2)

25/04 10:08
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Après avoir mis en cause l'arbitrage, l'entraîneur troyen Jean-Louis Garcia répond dans L'Est Eclair aux supporters qui lui reprochent d'avoir remplacé son buteur Niane par Obiang lors du dernier jeanlouisco.

 

"Ce n'est pas du tout un choix défensif puisque je replace Grandsir comme attaquant de pointe. Je garde donc le même dispositif. Sam Grandsir revient en forme, et à ce moment-là du match, je sais qu’il peut leur faire mal par sa vitesse. Adama Niane venait de produire de gros efforts défensifs depuis une heure, il était moins explosif. D’ailleurs, il a été pris de vomissements à la mi-temps tellement il a tout donné. Ce changement, c’est pour aller chercher un deuxième but et faire le break, malheureusement, Saint-Étienne égalise trois minutes après, sur un coup de pied arrêté qui n’a rien à voir avec ce changement. Quant au choix d’Obiang, c’était pour contrer Debuchy dans le couloir. Il est lui aussi en forme, et l’a prouvé en entrant en jeu. Le problème, c’est qu’on ne s’est pas mis à l’abri…"

Gasset parti pour rester ? (3)

25/04 07:34
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Comme le rapporte France Bleu, de nombreux supporters stéphanois ont demandé au coach des Verts de rester à l'ASSE hier après-midi lors d'une séance de dédicaces à l'Hôtel de Ville de Sainté.

 

L'entraîneur de l'ASSE, Jean-Louis Gasset, est en bout de table. Il est le dernier à signer le poster officiel du club. Et les supporters aussi ont un message pour lui : "il faut rester Monsieur Gasset", sont-ils plusieurs à lancer. Franck explique même en avoir parlé au directeur sportif des Verts, lui aussi présent à cette séance de dédicaces : "Rocheteau m'a dit qu'ils étaient prêts à le garder et que je n'avais qu'à demander au principal intéressé", raconte le supporter. Il ajoute : "Je suis donc allé voir le coach, et il m'a dit : "si Rocheteau l'a dit, ben pourquoi pas".

 

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Entre ici Salif Keita ! (2)

25/04 07:22
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Selon Le Progrès du jour, Roro a lancé l'idée que le terrain de l'Etivallière où évoluent les Vertes soit baptisé Salif Keita. Le quotidien régional précise que la ville de Saint-Etienne devrait donner son feu vert. Pour rappel, le mythique attaquant malien de l'ASSE a déjà un stade à son nom à Cergy-Pontoise depuis septembre 2009.

Simples et abordables

25/04 07:05
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Accompagné de tous ses coéquipiers hier pour ue séance de dédicaces hier après-midi à l'Hôtel de Ville de Sainté, Loïc Perrin a brièvement livré ses impressions au Progrès. Extraits.

 

"Il y a pire quand même comme obligation. Le principal c’est de faire plaisir aux gens. Ils ont le sourire, c’est que ça leur plaît. On essaie de le faire dès que l’on peut. Il est rare que toute l’équipe soit ensemble. Les supporters sont venus nombreux, c’est bon signe. Ils ont toujours un mot sympa. Vu la dynamique actuelle, l’ambiance est très détendue. On se rend compte encore une fois que beaucoup de gens nous suivent. Il suffit de voir l’ambiance extraordinaire qu’il y avait au stade ce week-end. On a des joueurs qui sont simples, abordables. Il faut garder ça. C’est la mentalité de Saint-Etienne. Quand j'étais petit, je me faisais prendre en photo avec les joueurs à la fin de l’entraînement. Je me souviens qu’il y avait Maurice Bouquet, Lubomir Moravcik, Jean-Pierre Cyprien et Etienne Mendy."

Le kop sud écope d'un nouveau huis clos

24/04 23:55
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N'ayant pas apprécié les nombreux fumis allumés par les Green Angels lors de la réception du QSG, la commission de discipline a décidé ce soir de fermer la tribune basse Snella pour la réception de Bordeaux programmée le dimanche 6 mai à 15h00 lors de l'antépénultième journée.

Allan rejoint Jo

24/04 22:12
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Impliqué avant-hier sur l'unique but de la victoire des Aiglons contre Montpellier, Allan Saint-Maximin a rejoint son ancien coéquipier Jonathan Bamba mais aussi Kylian Mbappe et Thomas Lemar à la 6e place du classement des passeurs de L1 (7 offandes). Ce joli quator n'est devancé que par Neymar (13), Payet (12), Dossevi (10), Thauvin (10) et le vilain Depay (8).

 

Emotion à la Mosson

24/04 19:49
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"L'hommage à Louis Nicollin va ajouter de l'émotion à une soirée qui n'en manque déjà pas. En plus, généralement, les équipes qui reçoivent trouvent dans ce genre d'évènement un surplus de motivation qui les rend meilleurs" déclare Jean-Louis Gasset dans une interview à paraître après-demain dans Le Midi Libre.

Un combat de coq en stock ?

24/04 19:39
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Avec la bénédiction de leur équipementier Le Coq Sportif, l'ASSE et la Fiorentina sont selon le site Goal en discussions pour organiser un match de gala à GG avant le début de la saison 2018/2019. L'occasion de revoir dans le Chaudron Valentin Eysseric, Jordan Veretout et Bryan Dabo ?

GG préfère les Troyens aux Parisiens !

24/04 18:48
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Comme le souligne le potonaute statisticien sam42, Sainté a décroché avant-hier sa 700ème victoire à domicile en L1/D1.

Les adversaires qu'on a battus le plus souvent :

1- Metz : 36 fois
2- Sochaux : 34
3- Marseille : 31
4- Lille : 29
5- Bordeaux et Nice : 28
7- Rennes : 27
8- Vilains, Lens et Monaco : 26


Les meilleurs taux de victoires (pour les clubs avec plus de 5 matchs) :

1- Troyes : 86,67% (13 victoires/15 matchs)
2- Guingamp : 85,71%
3- Ajaccio et Brest : 81,82%
5- Montpellier, Rouen, Toulon et Valenciennes : 80%

Les pires taux de victoires (pour les clubs avec plus de 5 matchs) :

1- Paris SG : 27,03%
2- Stade Français : 27,27%
3- Racing Club de Paris : 36,36%
4- Nantes : 42,86%
5- Auxerre : 45,83%

Ici c'est la panade !

24/04 18:33
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Le MHSC, qui reçoit l'ASSE ce vendredi soir en match d'ouverture de la 35e journée, n'a gagné que 5 matches à la Mosson cette saison. Seuls les relégables Lille (4) et Metz (3) ont remporté moins de rencontres dans leur antre. 13e équipe à domicile, le club héraultais a gagné seulement 4 matches à la maison, son dernier succès domestique remontant au 3 février dernier (2-1 contre Angers).

Subotic aquatique (2)

24/04 18:10
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Trois semaines après la Pravda, c'est au tour du quotidien suisse Le Temps de saluer l'engagement humanitaire du numéro 28 des Verts. Extraits.

 

"Neven Subotic joue aujourd’hui chez les Verts de Saint-Etienne, «club qui n’est pas superficiel», dont il loue l’authenticité, l’engouement et la fidélité des supporters. Il se raconte qu’il était payé 300 000 euros par mois au Borussia et a accepté un salaire réduit de moitié à Saint-Etienne. Il se raconte aussi que l’Olympique de Marseille voudrait le transférer cet été.

 

Altruiste, esprit fin et très discret, le natif de Banja Luka (Bosnie) est un personnage à part dans le monde du football. Pas de bolide entre les mains, pas de coupe iroquoise et sur son fil d’actualité Instagram rien d’ostentatoire mais des infos sur la Neven Subotic Stiftung. Il a créé en 2012 à Dortmund une fondation dont le but est de fournir l’accès à l’eau potable aux populations les plus démunies d’Ethiopie. Un engagement qu’il ne tient pas à distance mais sur place, dans la province du Tigré.

 

Quand lors des trêves dans la saison, beaucoup de footballeurs professionnels se ruent dans les hôtels de luxe et sur les lointains bords de mer, Neven se rend dans le deuxième pays d’Afrique par sa population et l’un des plus pauvres au monde en dépit d’un taux de croissance que jalousent les pays voisins. Il résume: «Notre action est dirigée vers une zone rurale où les enfants marchent deux à trois heures par jour pour remplir leurs bidons d’une eau le plus souvent boueuse. Ensuite ils doivent encore marcher longtemps pour se rendre à l’école.»

 

Neven poursuit: «Notre action est d’installer des sources d’eau potable à quinze minutes de marche maximum pour que les enfants se rendent ensuite en classe. On construit aussi des arrivées d’eau dans les écoles et des latrines.» Une action menée avec une association éthiopienne «parce que s’appuyer sur les compétences locales est fondamental, nous les aidons, un jour ils pourront gérer par eux-mêmes le programme.»

 

Après avoir joué, ado, pour un club de Floride et l’équipe nationale américaine U17, il est recruté par la FCV Mayence. Il y fait la connaissance d’un jeune entraîneur plein d’avenir, Jürgen Klopp qui l’emmènera ensuite à Dortmund. Il y découvre aussi une forme de misère et d’abandon dans un orphelinat qui jouxte le club. «Cet orphelinat m’a marqué. A ma façon, j’ai voulu apporter quelque chose à ces enfants repliés, presque autistes. Il ne s’agissait pas de s’apitoyer et se morfondre avec eux mais de les élever, d’utiliser ce qu’ils avaient de meilleur en eux.» Avec sa notoriété grandissante et le nombre croissant de donateurs potentiels croisés, Neven Subotic décide alors de s’impliquer en Afrique. Il aurait pu choisir une œuvre caritative en Allemagne ou en Serbie mais a préféré aller là «où les gens ne disposent pas des conditions de vie les plus élémentaires.»

 

Un responsable de la communication de l’ASSE précise: «Neven retourne souvent à Dortmund pour s’occuper de sa fondation, de l’administratif et de la levée de fonds. C’est un type étonnant, autonome, bosseur. Il répare lui-même son ordinateur et il prend des leçons particulières pour parler le français, les cours dispensés par le club ne lui suffisent pas.» Dès juin, il repart trois semaines en Ethiopie observer l’évolution des programmes et tourner des images «parce qu’il faut témoigner». Il a une fiancée mais pas d’enfants. Clin d’œil en nous quittant: «Mes gosses sont là-bas.»"

 

Avant-hier zéro, vendredi héros dans l'Hérault ?

24/04 07:14
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En conférence de presse, Jean-Louis Gasset a maintenu avant-hier sa confiance à Paul-Georges Ntep, seul flop du mercato hivernal stéphanois.

 

"Je pensais que c’était le match pour décoller. Il était dans la mauvaise mi-temps mais n’est pas condamné. Il reste quatre matches et j’espère encore. Il est content parce que l’équipe a gagné. J’aime bien que l’humeur des joueurs dépende du résultat. “J’ai fait un bon match, un mauvais match”, je m’en fous. Moi je veux que l’équipe gagne et le match d’après, c’est peut-être lui qui nous fera gagner."

Debuchy retient les points

24/04 07:07
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Meilleur joueur de L1, Mathieu Debuchy a encore marqué des points suite à sa combative prestation contre Troyes. A l'issue de la victoire d'avant-hier, le latéral droit des Verts s'est confié au Progrès. Extraits.

 

"Mon choc à la tête ? Ça va. On a pris 3 points et j’en ai pris 4 ! (rires) C’est un duel, cela fait partie du jeu. De temps en temps, on a perdu des ballons et les Troyens nous ont posé quelques soucis sur des contres. Il fallait être vigilant. Sur l'occasion d'Obiang, je tacle au bon moment lorsqu’il frappe et cela suffit pour prendre la balle. 

 

Dans le sprint final, on retient les points. On savait que nos concurrents directs se rencontraient. Ce match, il fallait le gagner. Surtout à domicile. Dans le vestiaire, à la pause, on a été assez calme. On est resté serein. On maîtrisait le match. On se créait des occasions.

 

Comme on a confiance en nous, on savait que ça allait finir par passer, qu’on allait avoir les opportunités. Les remplaçants, notamment Robert, ont fait la différence. Contre Strasbourg, il a eu un match délicat. Je suis content pour lui, pour Romain aussi. Ils nous ont fait énormément de bien. C’est intéressant pour la suite.

 

L'Europe, on a envie d’y être, de continuer sur notre lancée. On revient de tellement loin qu’on veut savourer chaque moment. On fera les comptes à la fin mais on va se battre pour cette place. Les matchs seront disputés, les équipes ont besoin de points mais on se doit d’être ambitieux, de regarder vers le haut."

Robert félicite Robert

24/04 06:47
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Dans la dernière édition du Progrès, le Sphinx revient sur la victoire des Verts contre Troyes. Extraits.

 

"Robert Beric est opportuniste, il sait exploiter les occasions. Il a besoin de recevoir de bons ballons et quand il n’en a pas ou qu’il n’est pas en réussite, on le sent malheureux sur le terrain. Avec son gabarit, c’est un avant-centre qui en impose. De par son placement, il aime aussi se faire oublier, notamment sur les coups de pied arrêtés. Sur le 1er but, il pousse le défenseur. Mais comme il l’a fait très discrètement, l’arbitre ne s’en est pas aperçu. Le buteur est essentiel dans une équipe. C’est toujours lui qui permet de décanter une situation. Les Verts sont 6es , c’est très bien. La 5e  place est jouable. Mais c’est maintenant que cela devient difficile. On peut toujours améliorer ce qui peut être déterminant, à savoir la conviction, l’enthousiasme, la rigueur. Le match contre Montpellier, vendredi, sera certainement plus délicat que celui face à Troyes. Sur leur terrain, les Montpelliérains sont costauds, ça "mailloche". Il faudra que la détermination soit totale."

Les U17N gardent la main

23/04 23:54

 

On avait pu craindre, après le nul concédé contre Montceau, que les U17 Nationaux de Razik Nedder, désormais 2èmes du groupe C, derrière les vilains, n'aient plus leur destin entre leurs mains.

Rappelons que le premier des 6 groupes et les deux meilleurs seconds sont qualifiés pour les quarts de finale du championnat de France. Pour déterminer les meilleurs seconds, on prend en compte leurs résultats dans un mini-championat regroupant les équipes classées jusqu'au rang 6, soit 10 matchs.

Alors qu'il ne reste qu'une journée à disputer, les choses sont désormais plus claires.

 

Groupe A : le 2ème devrait être le RC Lens : il compte 6 victoires, 4 défaites, soit 18 points pour 10 matchs, que le 6ème soit Lille ou Feignies.

Le SM Caen, qui peut briguer la 2ème place compte 4 victoires, 3 nuls, 3 défaites, soit 15 points pour 10 matchs si Lille est 6ème, et 4 victoires, 4 nuls, 2 défaites, soit 16 points pour 10 matchs si Feignies est 6ème.

 

Groupe B : le 2ème sera l'ESTAC Troyes : il compte 6 victoires, 2 nuls et 2 défaites, soit 20 points pour 10 matchs si Torcy est 6ème et 4 victoires, 2 nuls et 3 défaites, soit 14 points pour 9 matchs si Drancy (partenaire de l'ASSE) est 6ème, Troyes recevant Drancy pour le dernier match. Dans le cas de figure les Troyens auront au maximum 17 points. Mais ce cas n'est pas envisageable, car si Troyes bat Drancy, c'est Torcy qui terminera 6ème, donc retour à la 1ère hypothèse !

Dans ce groupe, l'AS Nancy est 3ème à 3 points de Troyes, mais a été battue 2 fois par les Troyens.

 

Groupe C : l'ASSE compte 5 victoires, 3 nuls et 1 défaite, soit 18 points pour 9 matchs, que le 6ème soit Annecy ou Clermont. Une victoire pour le dernier match à Valence permettra à l'ASSE de compter 21 points pour 10 matchs. Est-il envisageable de voir dans ce cas, l'ASSE dépasser des vilains battus par le FC Lyon ?

 

Groupe D : l'AS Monaco sera 2ème et compte 4 victoires, 3 nuls et 3 défaites, soit 15 points pour 10 matchs.

 

Groupe E : le FC Nantes sera 2ème, mais les 5ème et 6ème sont très incertains (3 équipes à 41 points : Niort, Tours et Châteauroux). En misant sur une victoire de Nantes face à Châteauroux lors du dernier match, les Nantais auront 6 victoires, 2 nuls et 2 défaites, soit 20 points pour 10 matchs, quel que soit le classement de Niort, Tours et Châteauroux puisque les Canaris ne comptent que des victoires contre ces équipes. 

 

Groupe F : le Stade Rennais  sera 2ème. Il compte 6 victoires, 1 nul et 2 défaites, soit 19 points pour 9 matchs. Les Bretons peuvent donc arriver à 22 points, mais leur dernier match sera chez le leader lavallois.

 

Conclusion : Une victoire des Verts à Valence leur permettra de se classer indubitablement dans les 2 meilleurs seconds et d'accéder aux quarts.

 

 

Beric dans l'équipe type (2)

23/04 22:50
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A l'instar de la Pravda, France Football à paraître demain met le sauveur slovène des Verts dans le onze type très phocéen de la 34e journée de L1 :

Areola - Martins Fereira, Rami, Rolando, Moubandjé - Didot - Thauvin, Payet, Ocampos - Mitroglou, Beric.

Le Dauphiné débarque en Forez

23/04 22:43

 

L'ASSE s'active sur le recrutement : si le vivier francilien est une cible recherchée, la prospection sur le bassin régional est intense. C'est ainsi que quatre jeunes Dauphinois ont donné leur accord pour revêtir le maillot vert.

Louis Pama (2005), attaquant, de l'AC Seyssinet, club où est passé Eros Mongelli, arrivera en juillet 2019.

Kyrian Mera (2004), attaquant du FC Echirolles, club où est passé Stéphane Hernandez, Yanis Zarzour (2004) défenseur central, et Béni Seda Mfukumoko (2004), attaquant ou milieu offensif, venant tous deux de Grenoble Foot 38, club partenaire, où sont passés Yoric Ravet et Ruben Aguilar, arriveront, quant à eux, dès cet été 2018, pour intégrer l'équipe U15.

 

 

Aouacheria ne lâche rien (8)

23/04 22:12
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Double finaliste malheureux de la Coupe Gambardella avec l'ASSE (en 2011 et en 2012), Bilel Aouacheria (24 ans) a marqué hier le premier but de la victoire de Moreirense contre Rio Ave. C'est le 5e pion claqué cette saison par l'ancien protégé d'Abdel Bouhazama, le 3e en Liga Sagres (L1 portugaise). 

 

Léonard, c'est bonnard ?

23/04 21:40
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Thomas Léonard sera au sifflet ce vendredi soir à Montpellier pour le match d'ouverture de la 35e journée de L1 qui opposera le MHSC à l'ASSE. Promu cette saison dans l'élite, le Messin de 36 ans a arbitré les Verts le 3 février dernier à Amiens. Sainté, qui avait perdu ses 6 précédents matches à l'extérieur, s'était alors imposé 2-0 au Stade de la Licorne grâce à des buts de Mathieu Debuchy et Rémy Cabella. On r'met ça à la Mosson ?

Comme un film de série noire

23/04 20:15
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Dans la Pravda d'hier, Jean-Louis Gasset a évoqué son retour à Montpellier programmé ce vendredi en match d'ouverture de la 35e journée de L1.

 

"Montpellier, c'est mon club, c'est chez moi. Mon père l'a créé avec Louis Nicollin. Lui, c'est mon oncle. Je revois ses deux fils à mon mariage, deux bouts de chou dans la robe de ma femme. J'ai gardé la photo à la maison. Et je vais y revenir comme adversaire, dans un match à enjeu, avec ma mère dans les tribunes, le soir d'un hommage à Louis Nicollin... Je nous revois encore dans son avion privé, partant assister à la finale de la Coupe Gambardella, alors que je venais de lui annoncer que j'arrêtais. Après leur victoire, les petits sont venus dans notre carré VIP du Stade de France lui chanter : “La Paillade est là !” Il était heureux, mais fatigué. En retournant à l'aéroport du Bourget, nous avions dû nous arrêter trois ou quatre fois sur la route... Je sauve le club et il s'en va. Ce match sera pour moi comme un film de série noire. On va retomber dans l'émotion. Mais c'est la vie et c'est la beauté de ce métier."

 

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