Les Amazones éliminent les sardines
12/01 16:48
Quatre jours après avoir été corrigées par les Rémoises à Salif-Keita en championnat, les Amazones ont éliminé les Sardines de la Coupe de France ce dimanche après-midi dans la même enceinte.
Logiquement dominatrices face à une équipe phocéenne évoluant en D2, les Vertes ont concédé l'ouverture du score à la 43e minute. Mais la capitaine stéphanoise Solène Champagnac a égalisé d'un lob à l'heure de jeu. A la 76e, Amandine Pierre-Louis a inscrit le but victorieux d'une puissante frappe.
La compo : Templier - Belkhiter, Mayi Kith, Martinez, Bogi - Champagnac, Bataillard, Cambot - Pierre-Louis, Caputo, Lamontagne.
Qualifiées en 8e de finale, les protégées de Laurent Mortel connaîtront leurs adversaires dès demain et les affronteront dans 2 semaines.
Horneland cherche à comprendre
12/01 10:54
Avant de défier le QSG, Eirik Horneland s'est confié au quotidien norvégien Verdens Gang. Extraits.
"Mon arrivée à l'AS Saint-Etienne ? Il s'agit probablement du plus gros transfert d'entraîneur à l'échelle norvégienne, si l'on ignore Ole Gunnar Solskjær, non ? Vous en voyez d'autres ? J'ai passé Noël en famille ici en France. Maintenant, je suis seul ici, et j'en suis content. Il y a du travail tôt le matin jusque tard dans la soirée. J'ai déjà passé des heures extrêmement nombreuses avec les dirigeants. Je dois comprendre le club, comprendre ce qui s'est passé avant et essayer d'intégrer le club dans le futur.
Je ne pense pas que ne pas parler français soit un énorme défi. Ça l'était un peu au début, parce qu'à l'époque ils étaient un peu sceptiques quant à mon anglais. Je parlais un peu trop vite, j'ai donc ajusté le rythme de mon anglais. Finalement, de nombreuses images vidéo sont introduites et nous obtenons également une langue commune en anglais. Je commence progressivement à apprendre quelques mots français également.
Le football est un langage assez universel : c'est une question de langage corporel, de passion et d'intensité. Les gens peuvent comprendre ça. C'est beaucoup une question d'intensité et de mettre les gens sur leurs gardes. Il s’agit probablement pour eux d’une façon légèrement nouvelle de s’entraîner par rapport à ce qu’ils faisaient auparavant.
Je pense que c'est probablement un avantage d'avoir un langage corporel à 80% dès le départ. Et je pense que les gens finissent par être convaincus que je veux le meilleur d’eux-mêmes. Je peux crier fort, mais j’ai toujours un côté humain où je me soucie vraiment des gens avec qui je travaille.
Ma communication aux médias français doit être un message clair, bon et bien ancré. Je pense que c'est important, car c'est un immense pays de football avec de grosses personnalités, il y en a certainement beaucoup dans les médias. La langue contient aussi beaucoup d'émotions, donc se faire comprendre est une partie importante de ma tâche. Je bénéficie d'une interprète qui traduit mes propos en français.
Je dois comprendre la différence entre la culture norvégienne et française. Il y a là des nuances, et en fait des différences bien plus importantes que je ne le pensais. C'est un vestiaire plus multiculturel qu'à Brann, où il y avait un groupe très scandinave et ancré localement avec un Suédois et quelques Danois. Ici, les gens ont des provenances légèrement différentes, et c'est intéressant en termes d'apprentissage sur les gens. Vous devez savoir d’où ils viennent et quel type d’expérience ils ont afin de les diriger efficacement.
Il faut d'abord bien connaître les gens et les comprendre. Vous devez comprendre ce qui les motive, ce qui les retient, comment ils pensent et essayer de trouver comment les diriger de la meilleure façon possible. Il s’agit de comprendre leur état d’esprit, car il n’est pas nécessaire qu’il soit exactement identique au mien.
Mais je suis impitoyable là-bas. Nous devons nous appuyer sur l'état d'esprit auquel nous croyons, sur le style de jeu auquel nous croyons et sur la façon dont nous dirigeons les gens. Je pense qu'il est tout à fait possible de s'installer en France, après on verra si c'est possible ou si je me trompe complètement.
Il faut comprendre la culture et adapter la communication pour faire passer le message. Mais ne pas être soi-même est aussi un piège. Vous devez être très fidèle à vous-même. Je suis très conscient qu'ici, ce sera Eirik Horneland pleinement et complètement. Si ça ne marche pas, ça ne marche pas.
L'impatience des supporters liée au classement de ce grand club ? Je n'y pense pas beaucoup. Les résultats sont un peu inférieurs aux miens, nous ne pouvons rien y faire. La seule chose que je peux faire est de créer du développement aux niveaux individuel et collectif. Nous pouvons tous travailler dur.
Nous pouvons tous adopter un langage corporel clair et offensif. Des transitions claires et des réactions claires dans le jeu. Ensuite, la qualité et le timing viendront lentement mais sûrement. Mais nous devons être acharnés sur les choses simples du football. C'est la chose la plus simple à réaliser.
L'intensité et l'énergie qui sont dans le stade sont ce que vous voulez redonner sous la forme d'une équipe de football qui fait preuve d'une grande agressivité, qui est agile dans ses combinaisons et qui crée beaucoup de choses dans la surface de réparation adverse. J'espère que nous y parviendrons.
C'est étape par étape. Pour en faire une équipe de football avec un timing raisonnable offensivement et défensivement, cela prend six mois. Ensuite, nous devons essayer de gagner suffisamment de matches de football pour que les gens voient qu'il y a une évolution ici.
C'était important de démarrer par une victoire contre Reims. Maintenant, nous allons jouer contre le PSG, ce qui est une tâche difficile pour une équipe de bas de tableau de Ligue 1. C'est bien d'avoir pris trois points avant ce match. Nous pouvons simplement aller à Paris et utiliser ce match pour développer l'équipe.
On a beaucoup souligné que Hassan El-Fakiri connaissait la langue française, mais ce n'est pas pour cela qu'il est à mes côtés. C'est parce que c'est un footballeur très talentueux. Il est ambitieux et intègre. En même temps, il a un très bon sens du jeu et c'est un bon entraîneur de football. C'est évidemment un bon point de départ qu'il ait joué pour Monaco et qu'il connaisse le championnat. Je suis très heureux qu'il soit avec nous.
J'avais déjà travaillé avec Andrea Loberto à Haugesund et à Brann. Il est très minutieux, analytique et possède beaucoup d'expérience. Hassan et Andre se complètent. Les deux ont des côtés qui compensent mes défauts."
Baky fait gagner Bobigny
12/01 09:32
Dans le match au sommet du groupe C de National 2, le leader Bobigny s'est imposé 2-0 hier sur le terrain de son dauphin Fleury-Mérogis. Auteur de son premier but sous ses nouvelles couleurs, Bakary Sako (36 ans) a ouvert le score à la demi-heure de jeu.
Aubame encense Dembélé
12/01 09:00
Auteur du second but de la dernière victoire de l'ASSE contre le QSG (le 3 novembre 2012), Pierre-Emerick Aubameyang encense dans la Pravda du jour son ancien coéquipier (à Dortmund puis au Barça) Ousmane Dembélé, qui reçoit ce soir les Verts en clôture de la phase aller du championnat de Ligue 1.
"C'est l'un des meilleurs joueurs avec qui j'ai joué. Mais quand il joue à droite, ce n'est pas l'un des meilleurs : c'est le meilleur avec qui j'ai joué. C'est normal, aujourd'hui, de demander à des joueurs offensifs d'être efficaces, peu importe qu'on joue dans l'axe ou sur les côtés. Plein de joueurs l'ont fait. On peut prendre l'exemple de Cristiano Ronaldo, Lionel Messi, Mohamed Salah... moi-même j'ai joué sur tous les fronts. Ousmane en est capable, il sait marquer, centrer... il sait tout faire."
Le parcage du Parc sera plein
12/01 08:39
"Ils seront 850 supporters stéphanois (capacité maximale autorisée) à se rendre dans la capitale ce dimanche soir et à garnir le parcage visiteur du Parc des Princes. C’est la première fois que les supporters stéphanois sont autorisés à s’y rendre depuis le 14 septembre 2018 (4-0)" souligne aujourd'hui Le Progrès. "Ils avaient été privés, à l’époque, d’interdictions par la LFP (2020, 2022) ainsi que par les huis clos imposés par la pandémie entre-temps (2021). Ce sera la neuvième fois, en autant de déplacements, que le parcage stéphanois affiche complet cette saison."
Horneland, un choix mûrement réfléchi
12/01 08:21
Dans un portrait largement inspiré de ce potin et de cette interview, la Pravda met aujourd'hui à l'honneur l'actuel entraîneur des Verts. Extraits.
"King Eirik" semble là pour longtemps. Après lui avoir offert un premier contrat jusqu’au 30 juin 2027, Ivan Gazidis, président de l’AS Saint-Étienne, confirme : "Il s’agit d’un choix à long terme." Et mûrement réfléchi. Les membres du board de Kilmer Sports Ventures, nouveaux propriétaires de l’ASSE depuis le 3 juin, se seraient accordés sur son nom après une quarantaine d’heures de réunion. Deux jours de négociations à Londres ont ensuite conclu l’union. C’est ainsi que Horneland est devenu, à 49 ans, l’un des très rares Norvégiens à entraîner un club dans le top 5 des Championnats européens. Avant lui, seuls les Norvégiens Stale Solbakken (FC Cologne, 2011 - avr. 2012) puis Wolverhampton (mai 2012 - janv. 2013) et Ole Gunnar Solskjaer (Manchester United, déc. 2018 - nov. 2021) ont entraîné un club du top 5 européen."
Mahdi se paye les vilains (2)
11/01 22:58
Principal artisan de la belle victoire 2-1 des Brestois contre les vilains (un but et une passe décisive), l'ancien capitaine stéphanois Mahdi Camara a commenté en zone mixte du Stade Francis Le Blé la célébration de son pion. "J'ai un petit peu chambré les Lyonnais. C'est bon enfant. J'ai été formé à Saint-Etienne, c'est un club qui me tient à coeur. C'est bon enfant, c'est un petit geste pour eux. Je pense qu'ils ont apprécié, qu'ils ont compris le message."
Eric Roy a encensé l'ancien milieu de terrain des Verts à l'issue de la rencontre. "Il aurait pu faire le match parfait s'il avait converti en but son rush à pleine vitesse bloqué in extremis par Mata. Mais outre son but et sa passe décisive, il est le joueur qui a remporté le plus de duels. Si je pouvais avoir une dizaine de Mahdi dans l’effectif, ce serait bien. Il est évident qu’il est amené à continuer sa progression, et qu’il intégrera forcément des effectifs dans de grands clubs, assez prochainement."
Le quotidien sportif comme les quotidiens régionaux suiveurs des Ti-Zefs ont logiquement élu homme du match le joueur formé à l'ASSE en lui décernant la même note (8/10).
Les commentaires de la Pravda : "Il est certainement le Brestois le plus régulier de la saison, quand certains de ses coéquipiers ont de grosses baisses de forme. Bien sûr qu'il a dû bosser, notamment sur la latéralité, mais ses projections ont fait exploser l'animation défensive de l'OL. À la conclusion du premier mouvement brestois (8e), sa talonnade géniale offre le deuxième but à Ajorque (25e). Il provoque aussi deux cartons jaunes lyonnais (57e, 90e + 2)."
Les commentaires de Ouest-France : "L’ancien Stéphanois a été un poison pour l’OL en première période. Très dynamique, il est à l’affût dans la surface pour croiser sa frappe après un bel arrêt de Perri (8’). Son troisième but en championnat, célébré avec un petit chambrage au parcage lyonnais. Il est ensuite passeur décisif après une talonnade magnifique pour Ajorque (25’). Nouveau rush solitaire mais son tir est dévié (62’). Il mène encore un contre dans le temps additionnel. Un très gros match !"
Las commentaires du Télégramme : "Brillant de sang-froid dans un angle fermé pour ouvrir le score (8'), il délivre une talonnade géniale à Ajorque pour le 2-0 (25'). Son rush plein de volonté, stoppé par Mata, symbolise à lui seul la débauche d'énergie déployée par l'ancien Stéphanois."
Ruffier a inspiré Guendouz
11/01 22:16
Dans un intéressant entretien accordé à Dessous de Verts, l'ex-champion de France U17 stéphanois (en 2013) et actuel gardien du Persépolis FC (Iran) et de l'équipe d'Algérie Alexis Guendouz dit s'être inspiré de Stéphane Ruffier, dernier portier de l'ASSE à avoir battu le QSG (au Parc des Princes le 3 novembre 2012).
"Des modèles chez les gardiens ? Celui qui m’a le plus marqué, c’est Stéphane Ruffier. J’étais au centre de formation et après je l’ai côtoyé en pro. On s’est entraîné plusieurs années ensemble. C’est celui qui m’a le plus marqué, c’est celui en lequel je me suis le plus reconnu et avec qui j’ai voulu le plus apprendre, prendre de lui. Il était vraiment fort. Quand j’étais plus jeune, il y avait Jérémie Janot. Jé, c’était Jérémie… C’étaient des déguisements, un foot plus spectaculaire. Mais Stéphane est le gardien dont je me suis le plus inspiré. C’est celui que j’ai le plus regardé pour progresser.
Ce qui m’a le plus marqué chez Steph, c’est qu’il arrivait à procurer une crainte à l’adversaire. On pouvait tout de suite voir que lorsque que l’attaquant fixait Steph, il allait se poser un tas de questions avant de tirer. Souvent, ça allait permettre à Steph d’avoir un temps d’avance et à l’attaquant de ne pas faire le geste parfait, de telle sorte que Steph puisse sortir la balle. Il arrivait à générer cette crainte. L’adversaire se disait : « putain, où est-ce que je vais mettre le ballon, est-ce que je fais une touche de plus, est-ce que je dribble ? »
Quand j’ai pu remarquer ça chez lui, je me suis dit qu’en fait c’est important ce jeu psychologique visant à s’imposer sur le terrain. Steph prenait de la place, c’était un gardien qui ne bougeait pas. Quand il arrive face à toi, il attend, il attend, il attend… et au dernier moment il anticipe ! On pouvait voir qu’il partait souvent du bon côté ou même qu’il attirait la balle. Steph arrivait à voir que l’attaquant doutait devant lui. C’est la qualité de Steph qui m’a le plus impressionné, que j’ai voulu apprendre.
Cette sérénité dans le but, imposer cette chose-là, créer un problème à l’attaquant, ne pas lui donner de solution. Ça lui réussissait ! Au centre, j’avais hérité du surnom de mini-Ruf’. (sourires) Moi je l’ai très bien pris car c’était un modèle. On m’appelait un peu comme ça car j’ai un peu sa carrure, je suis grand et un peu imposant. J’étais arrivé une ou deux fois à l’entraînement, je m’étais rasé la tête. Même dans mon comportement, un peu solitaire, un peu grincheux. Tout ça fait qu’on m’a donné ce surnom-là.
Après, j’ai découvert Steph en tant qu’homme, en m’entraînant avec lui, en jouant avec lui. C’était une super personne. Moi ce que j’ai apprécié, c’était d’abord le joueur. Donc me comparer avec un des top gardiens français et peut-être même mondiaux à ce moment-là, c’était avec grand plaisir !"
Cardona a joué contre Neyou
11/01 20:59
Irvin Cardona, dont le retour à l'ASSE est en phase de finalisation selon Mohamed Toubache-Ter, est entré en jeu ce début de soirée à la 79e lors du match nul (1-1) de l'Espanyol à Barcelone contre le CD Leganés d'Yvan Neyou, qui a tiré sur le poteau à la 72e avant d'être remplacé à la 85e. Alors que les locaux avaient l'occasion de revenir à hauteur de leurs adversaires du jour, ils restent antépénultièmes donc relégables (la 18e place est synonyme de relégation directe en Liga).
Mahdi se paye les vilains
11/01 18:57
Comptant désormais 6 points d'avance sur les Verts, le Stade Brestois a battu les banlieusards 2-1 ce samedi à Francis Le Blé grâce à un énorme Mahdi Camara. Après avoir ouvert le score et fêté son but en invitant de la main les supporters des vilains à se taire, l'ex-capitaine stéphanois a fait une passe décisive d'une remarquable talonnade sur le but du break inscrit par Ludovic Ajorque. Jordan Veretout a réduit le score juste avant la mi-temps.
Tabanou a vécu un truc de ouf à Sainté !
11/01 18:40
Franck Tabanou évoque ses vertes années dans un entretien accordé à la Pravda. Extraits.
"Christophe Galtier à Saint-Étienne m'a fait grandir. J'ai appris un nouveau poste avec lui. Après le départ de Benoît Trémoulinas, Galette m'a proposé de descendre comme latéral. Mais il ne m'a jamais interdit de monter du moment que je revenais défendre. J'ai adoré les deux postes. Sa porte était ouverte, autant pour parler de jeu que si mon gamin était malade. Il était à l'écoute de tout le monde. Ç'a été une chance de l'avoir, il m'a énormément aidé. Le moment le plus fort de ma carrière ? Une fois, j'ai vécu un truc de ouf. Ça faisait 20 ans que Saint-Étienne n'avait pas gagné le derby au stade Geoffroy-Guichard face à l'OL. Et on a gagné 3-0. Le Chaudron tremblait. C'était du délire total, je n'ai jamais ressenti ça ailleurs."
Les 20 pour Paris
11/01 18:16
Le groupe des 20 joueurs appelés à confirmer la bonne impression laissée face à Reims le week-end dernier (3-1) en allant chercher l'exploit demain à Paris, en clôture de la 17ème journée de L1 est sorti.
Comme évoqué en conférence de presse hier par le coach Eirik Horneland, Aîmen Moueffek, malade, est absent. Au milieu de terrain, Lamine Fomba, absent de la première liste des 20 face à Reims, avant d'être rappelé suite au désiitement de dernière minute de Zuriko Davistashvili, est présent, contrairement à Florian Tardieu, pourtant entré en fin de match face aux Champenois. Mathis Amougou (14 matchs), absent lors des 2 dernières rencontres, retrouve sa place dans le groupe après sa blessure.
En défense, on note le retour de Yunis Abdelhamid, suspendu face à Reims, au détriment du jeune Kevin Pedro, laissé à la disposition de la réserve, qui accueillera Hauts-Lyonnais demain à 15h.
En attaque, notre meilleur buteur (5 buts), le Géorgien Zuriko Davistashvili sera du déplacement, tout comme le très jeune néo pro, Djylian N'Guessan, qui enchaine une seconde convocation d'affilée.
Souhaitons que la magie norvégienne continue à opérer demain au Parc !
Des Princes sans Marqui
11/01 13:29
Luis Enrique a annoncé à la mi-journée que son capitaine Marquinhos, touché aux adducteurs, ne pourra pas jouer demain soir au Parc des Princes contre l'ASSE. Aux Verts de profiter de l'absence de "Marqui", joueur de l'histoire ayant remporté le plus de titre (31) avec le club parisien, pour décrocher leur premier succès à l'extérieur de la saison !
Les Nantais ne savent pas gérer
11/01 12:30
Comme face aux Verts le 29 septembre dernier, les Nantais ont concédé le nul 2-2 hier à la Beaujoire alors qu'ils menaient 2-0. Ouest-France a recueilli la réaction d'Antoine Kombouaré, entraîneur de Canaris passés provisoirement devant Sainté (à la différence de buts) et attendus dans 8 jours dans le Chaudron. Extraits.
"Si ça m'inquiète que le FC Nantes ait perdu 14 points après avoir mené cette saison ? Les points qu’on a perdus en début de saison étaient inquiétants. Mais là, c'était Monaco en face. Si on fait ce genre de bévues face à des adversaires de notre niveau, c’est plus embêtant. On n’est jamais à l’abri quand vous avez tant de talent en face. On peut être déçu mais on peut aussi perdre le match. Il faut se rendre à l’évidence. C’est un bon point de pris.
Quand tu mènes 2-0, tu ne dois plus continuer à aller de l’avant, porté par le public. Il aurait fallu mettre le bloc plus bas, les attendre, réduire les espaces, récupérer plus facilement des ballons pour pouvoir contrer les Monégasques. Sur le premier but qu’on encaisse, on est partis à l’abordage. Il y a beaucoup trop d’espace dans la défense. Quand vous commettez des erreurs tactiques, ça ouvre des brèches.
L'erreur d'Anthony Lopes sur l'égalisation ? Vous vous plantez parfois même si vous êtes très bon. Antho, ce qu’il montre depuis deux matches, c’est très intéressant. Sur la sortie où il se loupe, on peut aussi défendre. Si ton défenseur est au marquage, gagne son duel aérien, tu peux aussi ne pas encaisser de but. C’est plus que positif autant en termes de performance que de leadership. Il donne confiance. Il apporte beaucoup."
Un match spécial pour Blanchard
11/01 11:18
Dans la dernière édition de La Provence, l'ancienne capitaine des Amazones et actuelle défenseure de l'OM (4e de Seconde Ligue) Ninon Blanchard (26 ans) évoque son imminent retour à Salif-Keita programmé ce dimanche à 14h30 en 16e de finale de Coupe de France.
"Certaines des mes coéquipières marseillaises ont râlé en voyant le tirage car il va faire froid. Ça sera un match spécial pour moi. Cela faisait 11 ans que j'étais là-bas, je n'avais jamais forcément pensé à partir mais dans une carrière, il faut parfois aller ailleurs et trouver un autre projet pour évoluer. Le club avait besoin de passer une étape et c'était le meilleur moment pour partir, avec un maintien en D1 en poche. La séparation s'est faite naturellement.
J'ai été très bien accueillie par tout le monde à Marseille, on m'a tout de suite mis à l'aise comme si j'habitais ici depuis très longtemps. C'était la première fois que je partais de chez moi, il y a toujours un peu d'appréhension mais cela n'a pas duré. Le cadre et la vie en général sont plutôt agréables, donc ça aide pour l'intégration."
Larqué revient sur son échec parisien
11/01 10:42
Dans la dernière édition du Parisien, Jean-Michel Larqué revient sur son piètre passage au PSG. Extraits.
"On me parle rarement de cette période. En même temps, si je ne regrette pas cette aventure, c'est loin d'être une grande réussite... A Saint-Etienne, j'avais l'impression d'avoir fait mon temps. Et j'étais plein d'illusions sur moi-même. Professeur d'éducation physique de formation et footballeur reconnu, j'étais certain de devenir un grand coach. Je croyais que j'étais fait pour ce métier. Rapidement, j'ai compris que j'avais fait fausse route. Il me manquait presque tout : la patience, la tolérance et le self-control. Avec tout cela, je ne prenais aucun plaisir dans ce que je faisais. En fait, j'étais heureux à l'entraînement, je m'entendais bien avec les joueurs mais il me manquait de la maturité.
Je me suis retrouvé sur la pelouse suite à la grave blessure de Jacques Laposte lors d'un match contre Nice. On n'avait pas de vraie solution pour le remplacer alors j'y suis allé. Mais si je dois être honnête, là non plus, je n'étais pas la bonne solution. C'était vraiment avec des soubresauts. Et pas que des beaux... Cette saison 1977-1978 est un échec dont j'endosse 80% de la responsabilité. La saison suivante, je suis redevenu un simple joueur. Mais je suis allé voir Francis Borelli pour lui dire que je n'avais plus la flamme pour jouer. J'ai fait une 3e année comme manager général. Mon passage au PSG a été une galère qui a facilité ma reconversion. J'étais fait pour commenter, pas pour diriger."
Dommage que Jean-Mimi l'ait oublié lors de son peu glorieux retour à l'ASSE en 1993...
Owusu dépasse Bladi
11/01 10:01
Titularisé en N1 pour la 10e fois de la saison, Beres Owusu a été impérial hier contre Samy Baghdadi. Vainqueur 1-0 contre le Versailles devant seulement 200 spectateurs à Chambly, QRM remonte à la 7e place et passe à la différence de buts devant Bourg-Péronnas, tenu en en échec par les Caladois. On aura noté que Darling Bladi était encore absent et n'a plus joué en match officiel depuis 5 semaines.
Pendant ce temps-là, le Paris 13 Atletico de Germain Sanou et Kenny Rocha Santos (titulaires) a tenu en échec (1-1) le VAFC de Vincent Hognon à Valenciennes. L'US Orléans de Jimmy Giraudon a battu 2-1 l'Aubagne FC d'Esteban Mouton et Setigui Karamoko. Toujours privé de Cazim Suljic, le leader nancéien s'est imposé 2-1 à Nîmes contre Brahim Doukansy.
Mené de 2 buts à la pause à Diochon, le FC Rouen d'Ahmad Allée a arraché le nul contre Le Mans FC d'un Lucas Calodat toujours privé de son coéquipier Nathan Dekoké (blessé). Le DFCO de Rayan Souici (titulaire), Jules Meyer (entré en jeu) et Lenny Montfort (resté sur le banc) a écrasé 4-0 la lanterne rouge castelroussine de Tyrone Tormin. Nassim Ouammou a permis à Sochaux d'arracher le nul à Bonal contre Boulogne, son coéquipier Marie-Gaël Mukanya ayant fait la première apparition de sa carrière en N1.
🦁🎥 Une égalisation dans les derniers instants et un premier but en Jaune et Bleu pour Nassim Ouammou !#FCSMUSBCO pic.twitter.com/EDYFbLIiOY
— FC Sochaux-Montbéliard (@FCSM_officiel) January 10, 2025
Cissé trop brouillon a pris le bouillon
11/01 09:11
Sous contrat avec l'ASSE jusqu'en 2026 et prêté cette saison sans option d'achat au FC Annecy, Karim Cissé a vécu une soirée difficile hier lors de la 18e journée de Ligue 2. Titurisé aux côtés de Vincent Pajot, le natif de Conakry a été balayé à domicile (1-4) par l'En Avant Guingamp d'Alpha Sissoko. L'attaquant guinéen de 20 ans récolte la plus mauvaise note de son équipe (3/10) dans Le Dauphiné Libéré.
"Il a beaucoup tenté mais il a surtout beaucoup glissé et été trop brouillon. L’ailier prêté par Saint-Étienne, 3e meilleur dribbleur du FCA, vivait sa 3e titularisation de suite toutes compétitions confondues mais c’est toujours quand il entre en jeu qu’il se montre le plus impactant pour le moment. Il a été remplacé dès la 53e minute par Larose, auteur d’une belle entrée et qui a délivré sa deuxième passe décisive de suite en sortant du banc."
Suite à son match nul 1-1 à Pau, Dunkerque est revenu à hauteur du leader lorientais, qui reçoit ce soir les Grenats. Alors que Luis Castro avait toujours titularisé Maxence Rivera en 2024, l'ancien attaquant stéphanois est entré en jeu comme à Guingamp 6 jours plus tôt. Son ancien entraîneur Laurent Batlles vit un bon début d'année 2025. Malgré l'absence de Henri Saivet, le Clermont Foot, vainqueur 1-0 le week-end précédent à Caen, s'est imposé sur le même score à Gueugnon contre Martigues.
Reconduit dans la défense à 3 du Red Star où il avait brillé le 3 janvier lors de la victoire des Audoniens à Rodez, Dylan Durivaux a fait un bon match nul sur le terrain du Stade Lavallois.
N'est pas attaquant qui veut
11/01 08:29
Alors que les avant-centres de l'élite n'ont marqué que 29% des buts cette saison en L1 (taux le plus bas des 10 dernières années), Bafé Gomis rappelle dans la Pravda l'importance du numéro 9.
"Gonçalo Ramos a un temps de jeu réduit au PSG, mais il arrive toujours à marquer ces buts que seuls les attaquants peuvent marquer. On le voit à l’entraînement, dans les matches, un attaquant qui a le sens du but, ça maintient une équipe. Aujourd’hui, on parle de Sain-Étienne, du Havre ou de Montpellier, qui sont en difficulté : ces équipes, si elles ont un vrai 9, augmentent les chances de se maintenir.
C’est très difficile de former de purs attaquants, c’est pour ça qu’ils sont très demandés à
chaque mercato. Le prix excessif fait qu’on essaie de donner cette responsabilité à plusieurs
joueurs qui se partagent le front de l’attaque, pour marquer un total qu’un attaquant aurait pu mettre. Ça met moins de pression sur les épaules de certains parce que n’est pas attaquant qui veut.
Je pense qu’en Ligue 1 il y a la place pour un vrai numéro 9, capable de piquer premier poteau, marquer, créer des espaces, un attaquant à 20 buts par saison. Je n’aimerais pas voir le football sans avant-centre : on prend du plaisir en voyant des beaux buts, spontanés, c’est ça qui fait rêver les enfants. Sans dénigrer les autres postes, on voit ce que génèrent les grands attaquants."
On a eu Zidane, on aura Zeidane ?
11/01 08:06
Après avoir eu dans ses rangs Driss Zidane (le neveu de Zinédine avait joué 9 matches avec la réserve de l'ASSE la saison 2015-2016), l'ASSE s'intéresse à l'ailier Zeidane Inoussa selon la dernière édition du Progrès.
"Sur le plan offensif, les Verts sont toujours en quête d’un joueur de couloir. Celui-ci pourrait être Zeidane Inoussa pour lequel des discussions ont eu lieu il y a quelques semaines. Ce Suédois de 22 ans appartient au BK Hacken où il a signé 6 buts et 3 passes décisives en 22 matchs l’an dernier."
Postformé au Stade de Malherbe de Caen où il aura fait 7 apparitions en Ligue 2, ce natif de Stockholm est retourné dans son pays natal en 2023 après des expériences mitigées en Espagne (à Murcie puis à Valence). International Espoirs, sa valeur est estimée à 3 M€ par Transfermarkt.
On a eu Roby, on aura Rabby ?
11/01 07:41
"Les décideurs stéphanois continuent d’étudier les profils notamment au milieu de terrain. C’est d’ailleurs le cas du Strasbourgeois actuellement en prêt à Montpellier, Rabby Nzingoula" indique aujourd'hui Le Progrès. "Âgé de 19 ans, il serait dans le viseur de plusieurs clubs du championnat. Toutefois, la faisabilité de l’opération ne semble pas si évidente, puisqu’il faudrait également trouver un arrangement avec le club pailladin."
Buteur à Louis-II le 28 septembre dernier, le natif de Lille a déjà mangé 6 biscottes en 12 matches de L1 joués cette saison (dont 9 en titulaire) avec la lanterne rouge. C'est grâce à son dégagement raté que Benjamin Bouchouari avait marqué l'unique but de la victoire des Verts contre les Pailladins lors de la 12e journée.
Les Verts redeviennent barragistes
10/01 21:06
En match d'ouverture de la dernière journée de la phase aller du championnat de Ligue 1, Nantes a été tenu en échec à la Beaujoire par Monaco alors que les Canaris menaient 2-0. Les visiteurs ont égalisé grâce à une belle boulette du vilain Anthony Lopes, qui serait bien inspiré de remettre ça dans 9 jours dans le Chaudron. Suite à ce match nul, les Verts redeviennent provisoirement barragistes à cause de leur très mauvaise différence de buts (-20).
Irvin, il revient ?
10/01 20:35
Sur son compte X (ex-twitter), Mohamed Toubache-Ter a annoncé ce soir le très probable retour d'Irvin Cardona à l'ASSE dès ce mercato hivernal : "Le board stéphanois est sur le point de finaliser le retour d’Irvin Cardona à Saint-Étienne !! Sauf retournement de situation, le deal devrait se concrétiser".
Auteur de 10 buts en 22 matches officiels sous le maillot vert, l'attaquant de 27 ans peine à s'imposer à l'Espanyol Barcelone, actuellement relégable, qu'il a rejoint il y a 5 mois pile-poil. Le natif de Nîmes n'a marqué qu'un but et délivré qu'une passe décisive en 15 matches de Liga dont seulement 5 en tant que titulaire.
Aouacheria ne lâche rien (21)
10/01 19:39
Evoluant depuis 3 mois et demi à Al Najma dans l'anonymat de la L2 saoudienne, Bilel Aouacheria (30 ans) avait ouvert son compteur buts sous son nouveau maillot vert le 2 décembre dernier contre le Jeddah SC. Le natif de Sainté, double finaliste malheureux de la Coupe Gambardella (en 2011 et 2012), a de nouveau trouvé le chemin des filets en début de semaine dans le temps additionnel contre Abha.
400 supporters nantais acceptés à GG
10/01 19:01
Dans un arrêté pondu hier et publié aujourd'hui, Alexandre Rochatte a limité à 400 le nombre de supporters nantais autorisés à se rendre à GG le 19 janvier pour le match qui opposera les Verts aux Canaris. Le préfet de la Loire motive en grande partie cette mesure de restriction touchant les visiteurs... en fustigeant le comportement des ultras stéphanois, notamment les MF ! Extraits.
"Le 10 janvier 2016, malgré un arrêté préfectoral interdisant le déplacement des supporters stéphanois, un supporter nantais s'est fait agresser après le match, accusant une dizaine d'ultras stéphanois d'en être les auteurs. Dans le même temps, une fresque murale représentant la Brigade Loire a été taguée avec des inscriptions du groupe de supporters stéphanois Magic Fans.
Les comportements des supporters ultra stéphanois sont souvent imprévisibles, et peuvent évoluer pendant et après un match. Cette rencontre est ainsi susceptible de générer des troubles à l'ordre public, en particulier de la part des supporters stéphanois. Ls supporters stéphanois ont montré à plusieurs reprises qu'ils étaient en capacité de se positionner sur le trajet des bus des supporters visiteurs afin de tenter une attaque.
Le 28 janvier 2023, des ultras stéphanois s'étaient scindés en plusieurs groupes et avaient ramassé des pierres pour les lancer sur les supporters sochaliens. Le 22 avril 2023, des ultras du groupe Magic Fans étaient détectés sur le trajet des supporters messins, grimés et armés de projectiles. Le 13 septembre 2024, le convoi des supporters lillois a été attaqués après le match par une trentaine de Magic Fans qui ont lancé divers projectiles."
Eirik l'intense !
10/01 17:56
En conférence de presse avant le déplacement à Paris, Eirik Horneland a confirmé son mantra (le Dieu intensité), partagé sa vision sur quelques joueurs, et son peu d'intérêt pour le mercato d'hiver :
"Les joueurs se sont bien reposés après Reims. Ils ont fait une bonne semaine d’entraînement, je suis content. Les 30 premières minutes contre Reims étaient bonnes, en terme de possession et d’agressivité, d’intensité et de récupération. On était au niveau d’intensité qu’on souhaite avoir. Après notre niveau a baissé progressivement sur les 60 minutes suivantes, on a manqué de contrôle sur le reste du match. Il faut arriver à étendre à 1h puis à 90 minutes ces 30 minutes. On cherche à construire le style de jeu à la stéphanoise.
On veut que nos remplaçants fassent des différences physiquement et techniquement. Ca a été le cas contre Reims, par exemple avec Igor, qui n’est pas grand, mais qui fait la déviation de la tête sur le 3ème but.
On est content du développement des joueurs compte tenu du fait qu’on n’avait eu que 5 ou 6 jours d’entraînement. Ils m’ont impressionné, y compris en terme d’attitude. Ils ont pris conscience qu’ils ont du potentiel.
Contre Paris, on veut attaquer la rencontre avec la même intensité, le même état d’esprit, et on verra combien de temps on peut maintenir cette intensité. On les respecte, mais on n’a pas peur. On veut se servir de ce match pour développer les joueurs. Je pense plus à la manière qu’au résultat final. On va voir si on est capable à la fois de souffrir, mais aussi de développer notre football.
Yunis Abdelhamid est de retour, c’est un grand leader, il a une très bonne attitude, il aide l’équipe. C’est un très bon joueur, un leader, dans le futur ce sera un très bon entraîneur au vu de sa connaissance du foot. Il est très positif, il aime s’entraîner, il prend soin de son corps.
J’attends beaucoup de Pierre Ekwah. C’est un bon passeur, capable de donner le bon rythme à l’équipe. Il a fait un très bon match contre Reims, mais il peut encore aller plus haut. Il a compris son rôle. Ce qu’il a fait contre Reims, il doit aussi le faire à l’extérieur.
Djylian N’Guessan est un joueur fantastique. Le foot est naturel pour lui. La façon de toucher le ballon, de conclure. C’est un mec très humble, mais méchant dans les 16 mètres. Il est jeune, il y a encore plus à attendre de lui. Je suis très content de voir les jeunes du centre de formation s’entraîner avec nous. Le centre de formation a un rôle à jouer dans l’équipe première.
Lucas Stassin a fait un match fantastique. Il a beaucoup donné à l’équipe, il était bien connecté à ses équipiers. Il a eu un gros volume de jeu. Passe décisive, finition, il y avait tout. Mais il peut encore progresser.
J’ai beaucoup de joueurs à l’entraînement. Ma priorité est de développer ce groupe. Pour le reste, je laisse Loïc Perrin faire. Il peut bien sûr y avoir quelques ajustements, mais c’est toujours plus simple de recruter l’été que l’hiver.
L’énergie que donne le public stéphanois doit se ressentir sur le terrain. On doit connecter ces deux énergies. Nous devons refléter les valeurs de cette ville, la solidarité, la capacité à travailler dur. On doit avoir l’ambition de rendre les supporters fiers. On doit s’entraîner comme on veut jouer. L’intensité est primordiale. Mettre de l’intensité est facile, mettre de la qualité dans cette intensité est l’objectif."
Lille sans son Stassin contre les Verts
10/01 15:56
Dans moins d’un mois, le week-end du 2 février, l’ASSE se rendra chez les caniches, à Lille.
D’ici là, les Verts auront disputé 3 matchs de championnat, sur la pelouse du QSG, contre Nantes et à Auxerre.
Pour les Lillois, le programme sera nettement plus copieux, puisqu’ils ont 6 matchs à jouer avant les Verts : ce soir à Auxerre, puis à Marseille en Coupe le 14, face à Nice le 17, à Liverpool le 21, à Strasbourg le 25, et face au Feyenoord le 29.
Dans tous les cas, ils seront privés de leur jeune (19 ans) et talentueux ailier belge Matias Fernandez Pardo (acheté cet été 10M€ et titulaire 5 fois lors des 6 derniers matchs de championnat) blessé à la cheville le week-end dernier et absent pour 6 semaines.
Elsner revient sur défaite chez les Verts
10/01 15:11
En conférence presse, l'entraîneur rémois Luka Elsner est revenu hier sur la logique défaite des ses protégés chez les Verts.
"C’est légitime quand on fait une prestation comme celle-ci d’avoir un petit abattement momentané. Il me semble important que tout le monde soit à son maximum, ce qui n’a pas été le cas à Saint-Etienne, ni le staff, ni les joueurs. Il faut qu’on soit dans une idée d’entraide maximale, de solidarité maximale. On doit montrer du caractère, de la résilience, et relever la tête, jouer avec plus d’assurance et d’intensité, ce qui nous a manqué à Geoffroy-Guichard.
Il était facile de prendre conscience de la pauvreté de notre match à Sainté. Là-bas on a eu des problèmes tactiques qu’on n’a pas su résoudre et qui nous ont peut-être mis dans un manque de confiance. Il est évident qu’on doit travailler dessus. On doit aussi avoir un niveau de personnalité et d’intensité bien plus haut. On veut retrouver notre honneur qui a été un peu perdu à Saint-Etienne."
Moueffek, toux fout l'camp !
10/01 14:07
Revenu contre Reims où il a disputé le dernier quart d’heure après avoir été absent tout décembre, Aïmen Moueffek n’a plus été titulaire depuis près de trois mois (dernière titularisation le 19 octobre face à Lens).
En conférence de presse ce midi, Eirik Horneland a hélas expliqué que notre bison serait absent au Parc dimanche, victime d’une vilaine toux et malade. Le compteur de sa saison compliquée reste bloqué à 5 titularisations, le 5ème total seulement des milieux de terrain derrière Ekwah (13 titularisations), Mouton, Amougou, Bouchouari (8 titularisations chacun).
Dimanche, outre Moueffek, Wadji, Maçon, Monconduit et Aïki ne seront pas de la partie.
Aubame buteur en Coupe des Champions
10/01 12:41
En quart de finale de la Coupe des Champions, Pierre-Emerick Aubameyang a marqué il y a 3 jours le premier des 3 buts de la victoire d'Al Quadisya (Qatar) contre Al Taawoun (Arabie Saoudite).