Gambor ne nous rejoindra pas !

06/05 13:20

Selon Macky Diong, Hugo Gambor, passé par le club de Blois et actuel défenseur central à Orléans qui évolue avec l'équipe réserve (N3), va s'engager avec le Paris FC alors qu'un contrat de 3 ans lui était proposé pour évoluer sous les ordres de Razik Nedder. 

"Comme l’attaquant de Toulon Morgan Guilavogui, Hugo Gambor, défenseur central de l’US Orléans (réserve N3), international français U18, ne rejoindra pas l’ASSE mais le Paris FC (L2). Un contrat de 3 ans lui était proposé pour intégrer la réserve stéphanoise dans un premier temps."

Des Verts libres

06/05 09:23

L'UNFP publie sur son site la liste des joueurs libres de tout contrat en cette fin de saison 2019-2020. On y trouve bon nombre de Verts, actuels ou anciens. Poteaux Carrés vous en dresse la liste, en précisant qu'elle n'est sûrement pas exhaustive dans la mesure où elle ne comprend que les joueurs adhérents de l'UNFP (Union Nationale des Footballeurs professionnels) : 

Anciens Verts libres : Josué Albert (Clermont), Renaud Cohade (Metz), Benjamin Corgnet (Strasbourg), Arsène Elogo (Grenoble), Killian Le Roy (Chambly), Makan Macalou (Quevilly Rouen US), Kevin Mayi (Brest), Loris Nery (Nancy), Pape Abdou Paye (Sochaux), Nolan Roux (Nîmes), Stephen Vincent (Le Mans), Samy Baghdadi (Grasse), Clément Cabaton (Villefranche FC), Kamel Chergui (Le Puy), Jérémy Clément (Bourgoin Jallieu), Pierrick Cros (Bastia Borgo), Cyril Martin Pichon (Bourgoin Jallieu),  

Actuels Verts libresYohan Cabaye, Léo Lacroix, Loïc Perrin, Alexandre Valbon, Théo Vermot.

A noter que Jérémy Clément a été inclus dans la liste alors qu'il a annoncé mettre fin à sa carrière de joueur avant d'être promu entraîneur de Bourgoin-Jallieu (N3). 

Morgan de retour à l'ASSE ? (2)

06/05 09:12

Alors que Manu Lonjon évoquait un retour de Morgan Guilavogui à l'ASSE, Loic Tanzi (journaliste RMC Sport) indique que l'attaquant de 22 ans doit s'engager pour trois ans avec le Paris FC.

"Morgan Guilavogui doit s’engager trois ans avec le Paris FC dans les prochains jours. L’attaquant évoluait à Toulon."

On a eu Chicharo, on aura Aouchiche ? (2)

06/05 08:25
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Après La Pravda (le 11 avril dernier), c'est au tour du Parisien d'évoquer aujourd'hui la piste menant au très prometteur Adil Aouachiche. Extraits.

"Celui-là, c'est bien simple, tout le monde le veut", nous a glissé un technicien en poste sur un banc de L1. Outre des clubs étrangers, Lille, Rennes, Bordeaux ou encore Saint-Etienne ont affiché leur intérêt pour le jeune milieu offensif de 17 ans, en fin de contrat dans quelques semaines au PSG. Avec sept passes décisives et un but au compteur, le gamin de Mitry-Mory (77) a été élu deuxième meilleur joueur du Mondial U17 l'hiver dernier derrière le Brésilien champion du monde Gabriel Veron. Il aurait notamment tapé dans l'oeil de Claude Puel. Réputé pour donner sa chance aux jeunes.

Un scénario qui pourrait toutefois être compliqué à réaliser pour le technicien des Verts. Alors que l'intérêt grandit autour de lui, l'envie du jeune milieu parisien de poursuivre son aventure au sein de son club formateur n'a, elle, pas faibli. Si la période de confinement a gelé la progression du dossier, les discussions entamées avec la direction auraient néanmoins rassuré le joueur quant à l'espace qui pourrait lui être accordé dans le projet sportif à l'avenir. Et si rien n'est pour l'heure entendu, les conditions restant encore à définir, les bases d'un contrat longue durée (3 ans + 2) auraient, elles, déjà été posées."

Trauco tranquille

06/05 08:09
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Miguel Trauco s'est confié hier sur la chaîne péruvienne Radio Ovacion. Extraits.

"Je vis le confinement tranquillement, je m'ennuie un peu mais Dieu merci, je suis en bonne santé. Je fais des exercices à la maison, je ne suis pas allé faire du jogging dans la rue, malgré le fait qu'en France on puisse courir six kilomètres. On nous a dit que la finale de Coupe de France contre Paris devrait se jouer en août car ça donne un billet pour la Ligue Europa.

J'ai parlé à Benavente (FC Nantes) pendant cette crise sanitaire, il a eu la chance de pouvoir aller rapidement en Espagne. Il m'a dit qu'il avait un ami qui a un jet privé, mais je ne suis pas millionnaire comme Neymar. De Saint-Etienne à Paris ça m'aurait coûté 6 000 euros, pour Lima je ne péfère même pas y penser.

Mon entraîneur a dit que nous reprendrons l'entraînement courant juillet. Nous devons faire notre travail à domicile, pour être proche des conditions optimales. Officiellement je suis en vacances enfermé dans ma maison".

Laval et les Verts

06/05 07:47
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Entraîneur du Stade Lavallois (National 1), Olivier Frapolli cite les Verts dans la dernière édition mayennaise du quotidien Ouest-France.

"Quand on aura la date de reprise du championnat, on pourra commencer une préparation plus longue que d’habitude, peut-être de huit/neuf semaines, avec une coupure entre les deux. C’est le modèle qui a été choisi par Saint-Etienne, par exemple. On ferait une première phase de reprise en douceur, avec tous les tests physiques et physiologiques, et ensuite, après une petite coupure, redémarrer une vraie préparation.

Le plus important pour moi, dans l’histoire, c’est la reprise des matches devant nos supporters. Parce que franchement, jouer dans un stade vide… ça n’a pas de sens. Démarrer une saison, ou même finir l’année à huis clos, pour moi ce serait le plus terrible. Le but du football est d’apporter des émotions, de les partager. Il ne vaut qu’à travers les supporters, les spectateurs, c’est ce qui donne son essence même."

Nanard est un meneur

06/05 07:25
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Bernard Caïazzo s'exprime dans la dernière édition du Progrès. Extraits.

"Depuis l’arrivée de Claude Puel et de Xavier Thuilot, j’ai pris la décision de prendre encore plus de hauteur et de ne jamais intervenir sur le sujet ASSE. Avec Roland ils sont trois, c'est bien suffisant, il faut éviter la cacophonie. Je fais confiance au directoire. Ma passion pour le football et mes responsabilités au sein du syndicat Première Ligue me conduisent à être l’un des meneurs de la bataille au plan national.

Je ne me suis pas du tout intéressé au sujet du classement. Chacun voyait son petit intérêt. Du style "Comme je suis 5e ou 6e , que va-t-il se passer si la Coupe ne se joue pas ?" Il y a une forme d’indécence. Je suis persuadé qu’on aurait terminé la saison en boulet de canon. Claude Puel disait que les joueurs étaient hyper motivés. Je n’ai jamais eu peur de ce qui pouvait se passer. On serait sans doute entré dans la première partie de tableau. Mais on s’en fiche de tout ça.

Je ne sais pas si on rejouera en 2020 avec du public. Jouer la finale de Coupe de France à huis clos ? Personne n’a envie de jouer. Imaginons la finale de la Coupe de la Ligue en 2013 sans spectateurs, ça fait froid dans le dos. Un spectacle de sport sans public, c’est quelque chose de dévastateur. Le sport, c’est de l’émotion. Où sont les émotions, le plaisir s’il n’y a pas de communion avec le public ?"

Un nouveau Karamoko à l'ASSE ?

06/05 00:01
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Sur son compte twitter, Macky Diong a annoncé ce soir qu'une première recrue devrait débarquer pour renforcer la réserve de l'ASSE fraîchement reléguée en National 3 : le défenseur central gaucher Setigui Karamoko (20 ans), qui a joué 13 matches de N3 et 2 matches de N1 cette saison à Béziers, dont l'équipe première risque fort d'être reléguée en National 2 du fait de son antépénultième place.

Boro veut garder Harold

05/05 16:06
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"Nous ne savons pas comment les choses vont se passer, mais j'aimerais que Moukoudi signe et reste chez nous, je suis un grand fan" a déclaré avant-hier l'entraineur de Middlesbrough Jonathan Woodgate dans le Yorkshire Post. Pour rappel, l'international camerounais des Verts sous contrat avec l'ASSE jusqu'en 2023 a été prêté sans option d'achat à Boro lors du dernier mercato hivernal. Il a joué 7 matches avec l'actuel 19e de Championship (L2 anglaise).

Patrick Revelli évoque les Shadoks

05/05 11:37
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Dans la dernière édition de France Football, Patrick Revelli évoque les séances d'entraînement concoctées par le Sphinx.

"Robert Herbin a révolutionné et professionnalisé le foot français. Avant lui, on se déplaçait en train pour aller à Monaco par exemple. Départ le matin, retour au petit matin. Quand il est arrivé, on s'est mis à prendre l'avion. On rentrait tôt dans la nuit. Le décrassage du lendemain matin, qui était facultatif, est devenu obligatoire. Et on est monté en régime à l'entraînement. Les séances avaient toute une spécificité, comme le jeu de tête ou les tirs au but. Celle du mardi, qu'Osvaldo craignait tout particulièrement, était d'une intensité extrême. Il y en avait une autre, de musculation, qu'on appelait la séance des Shadoks, parce qu'on pompait sans arrêt. La muscu, c'est lui qui l'a amenée, comme la professionnalisation du staff médical. La veille du match, on travaillait sur la vivacité. Roby te préparait toute la semaine pour que tu aies tout en main sur le terrain."

Allan n'avait pas le mode d'emploi

05/05 10:14
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Dans la dernière édition de France Football, Allan Saint Maximin évoque ses débuts professionnels à l'ASSE.

"Quand j’ai débuté chez les pros, j’ai cru que c’était comme chez les jeunes, on arrivait pour jouer en se faisant plaisir. Comme je faisais beaucoup de différences, mes entraîneurs ne m’ont pas vraiment parlé de ce qu’il fallait que je fasse par ailleurs pour réussir chez les pros, l’exigence et l’éthique de travail qu’il faut avoir pour s’imposer. Et puis quand tu arrives en pro, certains anciens ne veulent pas perdre leur place, il y a un peu de "politique" aussi, bref c’est tout un environnement à assimiler, réussir à se faire accepter, à se faire comprendre. Moi je suis arrivé sans le mode d’emploi. J’ai été direct chez les pros et "hop, débrouille-toi !"

Je suis arrivé avec l’état d’esprit de dribbler, de faire mal à mon défenseur, peut-être même de l’humilier un peu, bref de jouer mon jeu de toujours qui m’avais permis d’arriver là où j’en étais. Sauf que chez les pros, ça a été pris pour de l’arrogance, un manque de respect. Il y avait donc un gros décalage que j’ai mis du temps à comprendre. J’ai ma part de responsabilité, forcément, mais je regrette quand même que l’on ne m’ait pas assez parlé et fait comprendre pourquoi certains anciens pouvaient mal prendre ma façon de joueur. Sans prétention, je suis conscient que peu de joueurs au monde arrivent à dribbler comme je le fais."

Une sorte de Gainsbourg du football

05/05 08:27
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Actuel adjoint de Claude Puel, Jacky Bonnevay se souvient dans France Football de Robert Herbin, qui l'a entraîné deux saisons au Red Star (de 1991 à 1993).

"Le Herbin que j'ai connu avait un peu pris ses distances par rapport au foot mais il avait gardé ses principes. Il demandait à Safet Susic, qui ne défendait pas assez à son goût, de venir tacler. Et il était calme, précis dans ce qu'il voulait, plein d'humilité aussi. Jamais je ne l'ai entendu évoquer ce qu'il avait vécu. Avant les matches, il débarquait dans le vestiaire en peignoir pour faire ses mots croisés. C'était un mec à part, une sorte de Gainsbourg du football."

 

Doudou rend hommage à Roby

05/05 07:52
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Gérard Janvion rend hommage à Robert Herbin dans la dernière édition de Frances Antilles. Extraits.

"Il m’a proposé un contrat de non sollicitation de 2 ans, la première en tant qu’amateur, la seconde en stagiaire pro, j’ai signé avec la permission de ma mère. Valenciennes m’avait déjà contacté mais j’ai choisi Saint-Étienne par rapport à des joueurs comme Carnus, Bosquier, Keita, Herbin, de plus ma sœur y habitait. En 1972, Robert Herbin arrête sa carrière de joueur en 1972 et devient manager des pros. Lorsque j’arrive, j’apprends qu’il y a aussi le Guadeloupéen Pinson ainsi que le Guyanais Lugier. Il me donne mon paquetage et me dit que je débuterai la saison avec les professionnels.

Robert Herbin m’a toujours fait confiance, même dans les moments les plus pénibles, il m’a soutenu et m’a aidé. Pierre Garonnaise aussi avait une grande confiance en moi. J’ai passé de merveilleux moments avec Herbin et j’ai connu la gloire avec lui. Tout était basé sur le physique, notre système était simplement le 4-3-3 avec bien sûr un marquage individuel et une super condition physique. Je me souviens même que Guy Drut s’était joint à nous pour une séance et qu’après celle-ci, il nous avait traités de dingues voire même de fous car tout champion de haut niveau qu’il est, il en avait bavé.

Robert Herbin avait décidé de démarrer avec des jeunes qui venaient de remporter soit la Gambardella, soit le titre de champions avec la CFA. Il y avait une concurrence énorme mais tout le monde acceptait cela, tout le monde acceptait d’être remplaçant, c’était cela la méthode Herbin. Il y avait un bâtisseur, Roger Rocher le président, un recruteur Pierre Garonnaire, des joueurs et surtout un public qui nous soutenait. L’ASSE était en avance de 10 ans sur les autres clubs."

Un seigneur incinéré

05/05 07:35
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Comme le rapporte la dernière édition du Progrès, les obsèques de Robert Herbin ont eu lieu hier après-midi dans la plus stricte intimité, en respect des règles liées à la pandémie de Covid-19. "De la race des seigneurs" dixit Gilbert Gress, le Sphinx a été incinéré à Sainté.

Puel devance Herbin !

05/05 00:36
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En cumulant les matches joués et les matches dirigés dans toute l'histoire de la D1/L1, l'actuel entraîneur des Verts arrive en tête devant le Sphinx, comme le souligne la dernière édition de France Football.

1. Claude Puel : 1085 : (488 comme joueur, 597 comme entraîneur)

2. Robert Herbin : 909 (382 comme joueur, 527 comme entraîneur)

3. Antoine Redin : 857 (305 comme joueur, 552 comme entraîneur)

4. Joël Muller : 831 (254 comme joueur, 577 comme entraîneur)

5. Rolland Courbis : 816 (303 comme joueur, 513 comme entraîneur)

Sainté prêt à emprunter (2)

05/05 00:21
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Dans sa dernière édition, la Pravda explique que les emprunts vont permettre à l'ASSE de soulager ses problèmes de trésorerie. Extraits.

"Alors qu'ils avaient budgété une 8e place pour finir à l'équilibre, les Verts ont terminé la saison à la 17e. Le manque à gagner s'élèverait à 15 millions d'euros. Pour combler le trou et pallier leur problème de trésorerie, leurs dirigeants ont multiplié les initiatives. La première a consisté, à l'image de la LFP, à contracter un prêt garanti par l'État (PGE) d'un an, permettant de couvrir jusqu'à trois mois de chiffre d'affaires (CA). Le dossier a été monté et il aurait été bouclé, jeudi dernier.

Cet emprunt ne pouvant pas dépasser 25 % de son CA, l'ASSE peut donc prétendre à un prêt jusqu'à hauteur de 23,5 M€. Pour l'instant, le club n'a pas ouvert l'intégralité de cette ligne de crédit. Un pool de banquiers locaux avait déjà sauvé le club lorsqu'il s'était retrouvé avec un trou de 14,5 M€ et en cessation de paiements, en février 2010. Cette fois, il a accepté de prolonger son autorisation de découvert de 8 M€ au-delà de la date butoir du 30 avril. Cela offre ainsi à l'ASSE de bénéficier encore d'une marge de manoeuvre au niveau de l'utilisation du PGE."

L'effet salaires (8)

05/05 00:08
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La Pravda de ce mardi évoque la problématique des salaires de l'ASSE.

"Le club a demandé aux joueurs d'accepter de fractionner le versement de leur salaire d'avril jusqu'à la fin de saison. Au départ, ne sachant plus à quelle date elle interviendrait, certains ont refusé. L'arrêt définitif du championnat été acté depuis, ils auraient majoritairement accepté que l'intégralité leur soit payée par tranches, jusqu'au 30 juin, date habituelle d'une fin de saison. Les fiches de paye ont été clôturées ce lundi soir. Le club espérait qu'aucun joueur ne revienne sur son accord verbal ou tacite. Surtout les gros salaires. Saint-Etienne compte pour cela sur l'image désastreuse qu'un joueur donnerait de lui si son nom venait à fuiter. Les Verts devraient ensuite passer au chômage partiel en mai. Cela permettra au club d'économiser les charges patronales et sociales. Au regard du montant de la masse salariale, ce n'est pas rien."

Avant, Boudebouz jouait au foot

04/05 23:43
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Ryad Boudebouz explique qu'il a du modérer sa tendance à dribbler dans France Football à paraître demain.

"Le dribble, on a l'impression de naître avec. On ne le travaille pas, on l'a, c'est tout. Je n'étais pas grand, pas épais, mais j'allais jouer avec mon grand frère et ses amis, tous bien plus costauds que moi. C'est là que tu travailles l'anticipation, les feintes, le dribble, sinon, comme tu es petit, tu ne peux pas exister. Pendant un bon moment, à mes débuts, je ne comprenais pas trop qu'on m'engueule parce que je dribblais trop. Cela marchait depuis mon plus jeune âge, et là, je me faisais gronder. J'ai mis un peu de temps à comprendre qu'avant, je jouais au foot, et que désormais, je pratiquais le haut niveau, avec les ajustements qui vont avec."

Un nouveau Jérôme dans les buts ?

04/05 22:49
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Après Alonzo (de 1997 à 2001), un nouveau Jérôme va-t-il garder les cages stéphanoises ? Selon la dernière édition de La Voix du Nord, Prior (24 ans) souhaite jouer dans l'élite la saison prochaine et serait en contact avec l'ASSE et des clubs anglais. Formé à Bordeaux où il a joué 42 matches en 4 ans en équipe première, le Toulonnais a fait une saison pleine cette saison (30 matches) avec le VAFC sous la houlette d'un certain Jérémie Janot.

Voilà ce que l'ancien chouchou du Chaudron disait de lui il y a deux mois à la radio girondine ARL (propos retranscrits par le site girondins4ever).

"Franchement, il réalise une top saison Je savais qu’il pouvait faire ça. Le coach Guégan connait bien Ulrich Ramé et Ulrich avait été dithyrambique sur Jérôme. Mais là vraiment où il me bluffe, c’est sur son jeu au pied. Honnêtement, c’est un gardien moderne. Dans les phases offensives, pour moi, c’est un onzième joueur. Après dans les phases défensives, à chaque fois qu’il y a eu un arrêt à faire, il l’a fait. Donc je suis très, très content. En plus, c’est un caractère c’est vrai, mais il est demandeur, il est travailleur. C’est quelqu’un qui se remet en question, qui est très exigeant."

C'était le Cruyff français !

04/05 22:07
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Christophe Galtier rend un très bel hommage à Robert Herbin dans la dernière édition de France Football. Extraits.

"Le mercredi soir, on prenait vite fait notre repas en famille pour ne pas louper le match de Coupe d'Europe des Verts. je n'avais que dix ans. Roby a scandé notre jeunesse, a rythmé nos soirées pour les rendre inoubliables. C'était notre Johan Cruyff français, c'était le football total, beaucoup d'engagement, de détermination. C'est un coach qui a révolutionné le jeu mais aussi l'entraînement, avec beaucoup de travail athlétique. Son héritage fut le jeu total.

Les Verts, c'était le Sphinx. Alors, quand on est arrivés, j'ai dit à Alain Perrin : "La première personne que tu dois faire revenir au camp d'entraînement, c'est Robert Herbin !". Il y était interdit ! Je trouvais inconcevable qu'habitant à 500 mètres, un Robert Herbin ne puisse pas se balader, saluer, discuter. C'est une belle revanche, même un peu tard, que le centre ait été rebaptisé Robert-Herbin.

J'ai vécu des repas homériques avec lui, entouré d'Ivan Curkovic et d'Aimé Jacquet. L'histoire du football français, quoi... Avec moi, il a toujours été franc, direct, toujours respectueux. J'ai ressenti un énorme décalage entre l'image qu'il renvoyait et celui qu'il était. Chaque fois que je l'ai vu, il était disponible dans l'échange, le conseil, l'analyse, la discussion. A l'opposé du sphinx froid que je voyais quand j'étais jeune, il était plein d'humanité."

Fofana forte tête

04/05 21:43
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Comme l'a relevé le statisticien potonaute sam42, Wesley Fofana a remporté 70,59% de ses duels aériens cette saison de L1. Seuls trois défenseurs centraux ont fait mieux : le Girondin Pablo (73,87%), le Dijonnais Aguerd (72,88%) et le Marseillais Caleta Car (72,60%). Si Harold Moukoudi est 9e (66,04%), Loïc Perrin n'est que 44e (53,57%).

 

Crédit photo : Daniel Meyer, AFP

De la race des seigneurs

04/05 21:24
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Gilbert Gress, qui avait déjà rendu hommage à Robert Herbin le 28 avril dernier sur le site de So Foot, remet ça demain dans France Football. Extraits.

"Il était humble et modeste. Il faisait partie de la race des seigneurs. Je ne l'ai jamais entendu dire du mal d'un collègue. C'était un modèle à la fois par son humilité, sa simplicité et les résultats qu'il obtenait. Il analysait vite et bien le jeu de l'adversaire. Le football qu'il faisait jouer à son équipe se voulait moderne, solide, spectaculaire. Son Saint-Etienne de l'époque était une machine. En France, à l'époque, on appréciait davantage l'élégance d'un joueur qui faisait un petit pont que le travail de harcèlement d'un Bereta ou d'un Revelli. Herbin a changé la mentalité du football français. Il a relevé son niveau pour en faire un football qui gagnait. Roby, c'était la beauté dans l'efficacité. Pour moi il y avait onze vedettes à Saint-Etienne. Et ces onze vedettes, c'est lui qui les avait faites."

Aussi fort que Beckenbauer !

04/05 20:57
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Coco Suaudeau rend un bel hommage à Roby dans l'autoproclamée "bible du football."

"Quel joueur extraordinaire ! Il avait une formidable vision du jeu, il était en permanence dans l'anticipation. Demi défensif ou défenseur central, il taclait peu car il devançait toujours ses adversaires. Franchement, il était du calibre de Franz Beckenbauer. Aussi fort ! Je n'exagère pas. Roby avait même un meilleur jeu de tête que lui. Sa détente était exceptionnelle. Pour son malheur, il a joué dans les années 1960, la pire période de l'équipe de France. S'il était né 15 ans plus ou tard, on en aurait parlé autant que de Michel Platini, sans aucun doute. Il aurait été une grande vedette internationale. Il fallait le voir créer le surnombre balle au pied. Sa technique était simple, sans fioritures, tout en relâchement. Et quelle prestance, quel port de tête !"

Quand Roro taclait le Sphinx

04/05 20:41
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France Football à paraître demain nous rappelle que le Sphinx s'était vu interdire le centre d'entraînement qui portera bientôt son nom.

"En novembre 2008, l'ASSE, entraînée alors par Laurent Roussey, décide de blacklister Robert Herbin, aux chroniques parfois rudes dans Le Progrès. Roland Romeyer se justifie alors dans FF : "On lui offre deux places permanentes à Geoffroy-Guichard. Il a touché deux fois un petit pactole quand il est parti du club. S'il avait quelque chose à reprocher à Laurent Roussey, j'aurais préféré quil le lui dise en face au lieu de le casser dans ses chroniques. Et puis Roby critique parce qu'il a fait de grandes choses à Saint-Etienne, mais qu'a-t-il fait ailleurs ?"

Dijon et pigeons

04/05 19:27
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"Dijon a payé 25 000 euros pour recruter Loïs Diony qui était à Mont-de-Marsan et ils l’ont revendu 8 millions d’euros à Saint-Etienne" rappelle Christophe Hutteau dans la dernière édition de Var-Matin. Pour rappel, ce dernier n'est plus l'agent du décevant numéro 9 des Verts (0,14 but par match), qu'il avait traité d'"idiot bête" en octobre 2017.

Morgan de retour à l'ASSE ?

04/05 18:15

Via son compte Twitter, Manu Lonjon a évoqué des discussions entre Morgan Guilavogui (22 ans) et l'ASSE. Ce jeune attaquant, évoluant depuis plusieurs saisons au Sporting Club de Toulon (bon dernier de National 1) est le petit frère de Josuha. Pour rappel, il a déjà porté le maillot vert la saison 2013-2014 en U17 nationaux. Il n'avait fait alors que quatre petites apparitions sous la houlette du binôme Lionel Vaillant - Gilles Rodriguez.

"Morgan Guilavogui, attaquant du Sporting Toulon Var, en discussions avec l’ASSE. Lorient également intéressé."

Guy encense Roby (2)

04/05 14:35
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Guy Roux, qui avait déjà rendu hommage au Sphinx le 28 avril dans L'Yonne Républicaine, a remis ça avant-hier sur Europe 1.

"J’ai connu Robert Herbin il y a très longtemps, quand il est rentré d’Algérie et qu’il était devenu titulaire. Je l’ai vu aussi être blessé en Angleterre lors de la Coupe du monde 1966 et après je suis devenu son confrère car nous sommes devenus tous les deux entraîneurs. J’ai regardé comment il travaillait, comment Saint-Etienne travaillait. Les Verts avaient déjà eu avant lui des entraîneurs extraordinaires, Jean Snella et Albert Batteux.

Robert Herbin a été leur joueur, il en a tiré la quintessence et a lui-même amené ses idées personnelles. Il faisait le mardi une séance d’entraînement physique extrêmement difficile sans ballon. Aujourd’hui, on dit qu’on a fait des progrès, mais il n’y a plus un seul club qui fait des séances sans ballon. On dit que ça va mieux. C’est pas vrai ! Avec le ballon on ne peut pas mesurer, malgré les GPS, etc. Herbin était le seul à faire ça de façon systématique le mardi.  

Il avait chaque semaine des séances à quatre contre quatre ou à cinq contre cinq uniquement à la tête. Quand on joue uniquement en l’air et qu’on veut conquérir le ballon, il faut avoir dans le placard un certain nombre d’arcades sourcilières. Ça ne fait rien, les joueurs jouaient avec des arcades sourcilières recousues. Il n’y a plus d’entraîneurs qui font des séances uniquement avec des ballons aériens. Il le faisait et Saint-Etienne qui avait pour l’essentiel des joueurs français c’est-à-dire pas très grands gagnait beaucoup de duels dans le jeu aérien et pouvait battre des Anglais, des Ecossais ou des Ukrainiens."

Sainté garde la main sur Kenny

04/05 09:30
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L'Est Républicain évoque aujourd'hui le cas de Kenny Rocha Santos (20 ans), qui a joué 30 matches toutes compétitions confondues cette saison avec l'ASNL dont 22 en tant que titulaire.

"Contrairement à ses copains Vagner et Gueye, Rocha n’a pas officiellement fait l’objet d’un prêt par l’AS Saint-Etienne l’été dernier pour une histoire de règlement à respecter concernant les joueurs prêtés mais c’est tout comme : les Verts gardent la main pour le faire revenir dans leur effectif s’ils le souhaitent. Il s’en passe des choses, en coulisses, c’est la vie du foot..."

Reste à savoir si le milieu de terrain capverdien entre dans les plans de Claude Puel...

Palencia encense Boudebouz et Kolo

04/05 08:38
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Comme le rapporte Estadio Deportivo, Sergi Palencia a parlé hier des deux anciens Sévillans de l'actuel effectif stéphanois sur la radio andalouse Canal Sur Radio.

"J'ai regardé le dernier derby sévillan avec Timothée Kolodziejczak et Ryad Boudebouz, chacun supportait son ancien club, c'était drôle de voir ce match avec eux. Ryad a un talent fou, c'est incroyable ce qu'il démontre à l'entraînement. Tu peux avoir une totale confiance en lui, faire de lui le "patron" de l'équipe. Peut-être qu'il ne l'a pas ressenti ou qu'il lui a fallu un certain temps pour s'adapter, mais il a un talent indéniable. J'aime jouer avec lui et le voir s'entraîner tous les jours. Quant à Kolo, quand tu vois la mentalité qu'il a, comment il travaille, comment il joue, comment il voit le foot, ce n'est pas étonnant qu'il ait gagné deux fois l'Europa League avec le FC Séville."

Romain Thomas évoque la finale

04/05 07:58
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Défenseur du SCO, Romain Thomas donne son avis sur la finale de Coupe de France dans la Pravda.

"J'ai appris que le président de Saint-Etienne trouvait aberrant de jouer la finale de la Coupe de France à huis clos, début août. En tant que joueur de foot, jouer un match à huis clos ça ne fait pas rêver, des finales encore moins. Ayant joué une finale de Coupe de France avec Angers contre le PSG il y a trois ans, je sais comment l'ambiance peut être extraordinaire dans un Stade de France rempli.

Comme il y a de fortes chances qu'on débute la saison prochaine à huis clos, ça ne me choquerait pas trop que les finales de Coupes se jouent également à huis clos, même si ça fera bizarre de jouer devant des tribunes vides. Mais je trouverais dommage que les compétitions ne se terminent pas. Et puis, il y a un enjeu sportif important, ça peut permettre à Saint-Étienne et à Lyon d'être européens."

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