
Bafé joue la prolongation
25/07 16:31
Né un jour plus tôt que Loïc Perrin, Bafé Gomis n'est pas sur le point de raccrocher les crampons ! A bientôt 35 ans (le 6 août), l'ancien attaquant stéphanois a officiellement prolongé hier de deux saisons son contrat avec Al-Hilal (Arabie Saoudite).
Comolli adoube Garande et défend Soucasse
25/07 14:54

Nouveau président du TFC, l'ex-directeur sportif de l'ASSE Damien Comolli évoque le cas de trois autres anciens de la maison verte dans La Dépêche du Midi. Extraits.
"J'ai choisi Patrice Garande d'abord parce qu’il a l’expérience de plusieurs montées, qu’il a conquises de manière assez brillante. Il a maintenu Caen pendant plusieurs années en Ligue 1. Et puis, Patrice a lancé beaucoup de jeunes. C’est l’entraîneur qui nous a montré le plus de détermination et de leadership. Nous avons immédiatement pensé que c’était la meilleure personne pour donner un nouveau souffle à l’équipe. Max Gradel a un accord avec le club pour partir et je le respecterai, mais, à date, je ne suis vraiment pas sûr qu’il ait envie de nous quitter.
Depuis que je suis arrivé, j’ai trouvé en Jean-François Soucasse un dirigeant très compétent, extrêmement loyal envers le club, très professionnel, qui m’a ouvert beaucoup de portes et qui continue de m’aider tous les jours. Des arrivées dans le club ont été actées, mais cela ne signifie pas qu’il y aura des départs en contrepartie. Nous sommes encore dans une sorte d’audit du club. S’il doit y avoir des changements, il y en aura, mais en ce qui concerne Jean-François, il est là et je suis content qu’il soit là."
Loïc président ?
25/07 14:43
Au lendemain de la finale de la Coupe de France, Nanard s'est confié à But !
"Le fait marquant du match, ce n’est pas la défaite, c’est comment ça se termine pour Loïc. C’est cruel. La sanction est extrêmement dure, car c’est un mec formidable. Il a fait toute sa carrière à l’ASSE quand certains changent de club pour quelques euros de plus. J’ai beaucoup d’estime pour Mbappé, je souhaite au PSG de remporter la Ligue des champions. Cela valoriserait notre performance mais dans un monde d’argent, je considère que Perrin est un exemple pour tous. Il est anachronique, poursuit-il. Nous lui réserverons l’hommage qu’il mérite. Et le plus grand des hommages, c’est de l’aider à devenir un grand dirigeant de l’ASSE. Et pourquoi pas un jour son président ? Il en a les capacités, les valeurs humaines. Il faut le former pendant le temps nécessaire. Roland Romeyer a cette envie-là lui aussi, Claude Puel également. Ils partagent les mêmes valeurs."
Le scapularico le 1er août à GG
25/07 13:51

Selon Sud-Ouest, l'ASSE affrontera les Girondins de Bordeaux le samedi 1er août à 18h00 dans le Chaudron.
Sainté a eu du Ney
25/07 13:19

"Je ne le connais pas trop mais ça se voit qu'il est porté vers l'avant et qu'il est plus dans la technique. On l'appelle le Ney et il n'aime pas trop ça" s'était amusé Denis Bouanga dans Le Progrès d'hier avant la finale de Coupe de France.
Entré en jeu dès le retour des vestiaires à la place de Mahdi Camara, Yvan Neyou s'est retrouvé nez à nez avec Neymar. Et il a confirmé sur le terrain tout le bien qu'Anthony Correia, Allan Saint-Maximin et Manu Pires nous avaient dit de lui.
Bien sûr, ses débuts réussis sous le maillot vert demandent confirmation, mais on se dit que Sainté a eu du nez en allant dénicher ce milieu de terrain qui évoluait cette saison dans l'anonymat de la troisième division portugaise !
Yvan Neyou Vs Paris Saint-Germain
— Acsess Comps (@_acsess) July 25, 2020
45 minutes played
27/27 passes
3/3 long balls
1/1 shot on target
4/5 dribbles
1 interception
2 tackles won
1 clearancepic.twitter.com/cPocvxT7lR
Fofana au four et au (jessy) moulin !
25/07 11:33

Comme l'atteste cette compilation de LSComps, Wesley Fofana a réalisé un match de très haut niveau hier au Stade de France lors de son 26e match sous le maillot vert en équipe première. Nul doute que Didier Deschamps, présent dans l'enceinte dionysienne, a apprécié la prestation d'un garçon qui n'a jamais joué le moindre avec les jeunes en équipe de France.
Wesley Fofana vs. PSG
— ً (@LSComps) July 25, 2020
19 years old.pic.twitter.com/tfYs8jToL1
Perdriau fier de nos Verts
25/07 11:18

Présent hier soir au Stade de France, le maire de Saint-Etienne Gaël Perdriau a livré sa réaction en début de matinée sur sa page facebook.
"Les Verts ont fait un très bon match hier soir au Stade de France face au PSG en finale de la Coupe de France. Ils ont fait la fierté de notre maillot en réalisant un excellent match avec des occasions, un poteau (s’il avait été carré peut être ....), une belle construction de jeu, de magnifiques arrêts de Jessy Moulin...
Ce match est annonciateur d’une belle saison avec de nombreux jeunes et déjà une entente de jeux qui a permis de tenir tête au monstre parisien. La sortie du capitaine Loïc Perrin est sévère, il joue le ballon sans autre intention, et vient modifier le cours du match. Une pensée pour lui très affecté hier soir par cette décision.
Le Stade de France sonnait creux hier soir et je regrette cette absence de supporters alors que les présents étaient concentrés sur quelques rangées. Je ne comprends pas la logique ...
Cette soirée fut également l’occasion d’échanger longuement avec le Président de la République sur des sujets d’actualité, avec ma collègue parisienne Anne Hidalgo, avec Arnaud Péricard le maire de Saint-Germain-en-Laye et sa première adjointe Sylvie Habert-Dupuis (qui a grandi à Saint-Just-Saint-Rambert), notre chef étoilé préféré Pierre Gagnaire, mais aussi Pascal Parent, président de la Ligue Aura, Thierry Delolme, président du district de la Loire, avec lesquels nous avons parlé des clubs locaux et de futures animations sportives, Dominique Rocheteau ou encore Jean-Marc Barsotti, président de l’association ASSE, avec lequel nous attendons le résultat du tribunal administratif le 12 août pour la montée en L1 de notre équipe féminine verte.
On peut être fiers de nos Verts qui ont bien assuré hier soir. C’était d’ailleurs le message de Claude Puel lors du debrief, où il a félicité ses joueurs, qualifiant ce match révélateur de très belles qualités individuelles et collectives annonciatrices d’une belle nouvelle saison."
Très faible affluence, forte audience
25/07 09:38
Seulement 2 805 spectateurs ont assisté hier soir au Stade de France à la finale de Coupe de France. Mais cette rencontre a été un succès d'audience.
Selon Médiamétrie, 4 870 000 téléspectateurs ont suivi sur France 2 la belle prestation des Verts contre le QSG, soit une part de marché de 26,3%.
Comme le souligne ozap, c'est mieux que la finale de la saison dernière entre Rennes et Paris (4 600 000 téléspectateurs, 24,8% de part de marché).
Tuchel, tu chouines
25/07 09:14

Thomas Tuchel a critiqué les Verts et l'arbitrage hier à l'issue de la finale de Coupe de France.
"Ça fait trois matches qu'on joue contre Saint-Étienne, et trois cartons rouges pour eux dans la première demi-heure, pas à la fin quand ils sont fatigués ! Je ne veux pas savoir ce qu'ils se disent dans le vestiaire avant le match... Je suis surpris qu'on joue un match comme ça. Ça a commencé avec Ney, ça a continué avec Kylian. Et après ils ont encore mis un coup à Leo. C'est horrible et je ne peux pas comprendre. L'arbitre n'a pas assez protégé les joueurs."
Déçu du résultat, heureux du contenu
25/07 08:47
Claude Puel a livré son analyse de la finale de Coupe de France hier soir en conférence de presse.
"Je voudrais féliciter mes joueurs. Je suis fier du match qu'ils ont réalisé. En étant très professionnels, appliqués, à l'écoute et investis, ils se sont donnés les moyens de faire un bon, voire un très bon match. On avait pris des options, et je pense que c'étaient les bonnes... jusqu'à la demi-heure. Jusqu'à l'expulsion, on a été entreprenant, on les a beaucoup gênés dans la relance, on a récupéré des ballons, on a eu de la maîtrise derrière, des qualités techniques, des occasions...
Ils nous font mal sur leur première incursion et ils marquent. Sinon, c'était très intéressant. En deuxième période, c'était un autre match, mais on a su s'adapter et on a fait un front uni, en essayant d'être propre dès la récupération en tentant de toujours porter le danger. Ce qu'on a quand même réussi à faire. Je trouve qu'on a fait un match très clair. Qu'il s'agisse des titulaires ou de ceux qui sont entrés en cours de jeu, tout le monde a apporté sa pierre à l'édifice de fort belle manière. J'ai dit dans le vestiaire que ce match peut être annonciateur de bonnes choses pour la saison à venir. Je suis très heureux du contenu de notre match.
On était bien dans les têtes, dans notre football et physiquement. On avait du répondant. C'était intéressant et la déception est à la hauteur de l'investissement et de la qualité qu'ils ont montrés. C'était un engagement sain. Je regrette la blessure de Mbappé, j'espère qu'elle est légère, mais il n'y avait aucune intention de faire mal de la part de Loïc. Je voudrais féliciter Jessy. C'est un gardien qui a montré ses qualités, et il les a toujours eues. Il n'est pas simplement aimé par ses coéquipiers parce que c'est un ambianceur de vestiaire, mais par ses compétences, ses qualités, et je suis très heureux qu'il les montre dans une finale."
On a joué comme des guerriers
25/07 08:29
Le Figaro a recueilli la réaction de Timothée Kolodziejczak à l'issue de la finale de Coupe de France.
"On est forcément déçu. On a voulu garder la tête haute à la fin du match parce qu'on a montré notre vrai visage. On a démontré qu'on pouvait jouer au ballon, on a été présent dans les duels. On a fait un vrai match de guerrier, toute l'équipe. Il faudra avoir cette mentalité pendant toute la saison. Trop agressifs ? Non, on a voulu être présent dans les duels. Face à ce genre d'équipe, il faut être présent. Après, quand on joue, on s'expose un peu et on est obligé de faire quelques fautes. Mais je ne trouve pas qu'on a été trop dur. On a joué comme des guerriers, comme des hommes.
Il faudra continuer comme ça toute la saison. C'est notre jeu de jouer vers l'avant, haut et de ressortir proprement. On veut jouer comme ça toute la saison et on a l'équipe pour le faire. L'expulsion de Loïc Perrin, le tournant ? On s'est mobilisé, on ne s'est pas éparpillé et on est resté concentré. On l'avait déjà vécu la saison dernière, deux fois, contre le PSG, et je pense qu'on l'a très bien géré. A onze contre onze, ça aurait été mieux pour nous, on aurait pu leur faire encore plus mal. Le tournant ? Non, parce que ça ne s'est pas trop vu quand on était à dix..."
Les Vertes privées de montée ? (23)
25/07 08:14

"Privées de montée, les féminines de l’ASSE seront enfin fixées sur leur sort le 12 août" nous apprend Le Progrès du jour. "Le tribunal administratif de Lyon se prononcera sur le référé suspensif déposé par le club stéphanois empêchant la reprise des championnats de D1 ou de D2. À l’issue de cette dernière procédure, l’ASSE devrait en rester là."
Capi, c'est fini ? (2)
25/07 08:05
Au micro de France 2, Jessy Moulin a clairement laissé entendre que Loïc Perrin avait joué hier le dernier match de sa carrière.
"Personne ne pourra lui en vouloir pour son expulsion. Quand on voit sa carrière, il est exemplaire dans tous les domaines, c'était un leader toute sa carrière par ses qualités sur le terrain. C'est un vrai Stéphanois qui nous quitte et ça fait beaucoup de peine de savoir qu'il ne sera plus assis à côté de nous dans les vestiaires. C’est une sortie qui ne reflète pas du tout sa carrière, ni l’homme qu’il est. Depuis tant d’années il a tout donné au club, à ses coéquipiers. J'espère qu'il restera proche de nous. Il sait que l'équipe l'aime très fort et que personne ne lui en voudra car il est irréprochable en tout."
En conférence de presse, Claude Puel n'a pas officialisé la fin de carrière de "Capi".
"Nous ferons le point ensemble. S’il y a une décision à annoncer, il le fera lui-même. Pour le moment il n’a pas annoncé qu’il arrêtait. La décision lui appartient et je lui ai dit. J’ai un énorme respect pour ce joueur, par rapport à tout ce qu’il a apporté dans sa carrière. Il décidera lui-même de son avenir, joueur ou dirigeant."
C'est l'histoire d'un poteau...
25/07 00:58
Dans la Pravda de ce samedi, Jérémy Clément revient sur la défaite des Verts en finale de Coupe de France. Extraits.
"Je ne peux pas m'empêcher d'avoir une pensée particulière pour mon ami Loïc. Ça fait mal au coeur, car c'est vraiment quelqu'un de bien et on avait tous envie qu'il connaisse une meilleure fin. Ça n'enlève rien à sa carrière, comme la sortie de Zinédine Zidane en finale de la Coupe du monde 2006 n'avait rien enlevé à sa carrière, pour rester dans un rapprochement historique positif. J'aurais aimé que les Stéphanois gagnent. Loïc qui soulève la Coupe, ça aurait été beau. Mon coeur penchait pour Saint-Etienne, parce que j'ai encore des amis qui jouaient, comme Loïc, Romain ou Jessy.
Un match ça se joue à rien, là c'est l'histoire d'un poteau. La première occasion est pour Saint-Etienne et si Bouanga marque, ça change un peu la donne. La finale aurait été différente. Les Verts ont souffert en fin de première période mais ils ont bien fini. Ils le doivent aussi à une grosse performance de Jessy, qui les a maintenus à un but d'écart avant la pause. Saint-Étienne a fait un vrai match, je ne sais pas si c'est parce que Saint-Étienne a été très bon ou si le niveau du PSG a été moins bon qu'attendu. J'ai trouvé Paris solide en défense mais un peu en dedans."
Frustrant mais encourageant !
24/07 23:53
Auteurs d'un très bon match, les Verts ont concédé une courte et frustrante défaite ce soir en finale de Coupe de France.
Sauvés par le poteau à la 5e minute sur un tir de Denis Bouanga, les Parisiens ont marqué l'unique but de la rencontre à la 14e sur un tir de Kylian Mbappé repoussé par Jessy Moulin et repris en force et par Neymar.
Combatifs, solidaire et entreprenants, les Verts ont été réduits à dix dès la demi-heure de jeu suite à l'expulsion de leur capitaine Loïc Perrin, auteur d'un tacle en retard sur Kylian Mbappé, contraint de céder sa place pour blessure à la cheville.
Malgré leur infériorité numérique, les protégés de Claude Puel ont produit du jeu et mis en danger les Parisiens à l'image d'un épatant Yvan Neyou, Wesley Fofana ayant encore été impérial derrière, à l'instar de Jessy Moulin dans les cages.
Le vendredi 21 août au Vélodrome
24/07 18:15
Annoncé initialement le dimanche 23 août, le choc de la première journée de L1 qui opposera l'OM à l'ASSE au Vélodrome a été avancé au vendredi 21 août à 19h00 et sera diffusé sur Téléfoot selon le site de la Ligue qu'on adule.
Ronny chez Francky
24/07 17:58
Remis de l'agression dont il a été victime lundi soir, Ronaël Pierre-Gabriel s'exprime dans la dernière édition du quotidien Ouest-France. Extrait.
"J'ai quitté Saint-Eienne pour Monaco il y a deux ans. Je savais que ça allait être compliqué, mais je ne regrette pas. J’ai beaucoup appris là-bas avec des grands joueurs comme Falcao et autres. Ma saison à Mayence a été compliquée. Je n’ai pas fait beaucoup de matchs, j’ai eu du mal à m’adapter à la langue, la culture, leur football. Alors je voulais revenir en France retrouver un championnat que je connais très bien. J'ai 22 ans quand même, je vois un Brest comme un tournant dans ma jeune carrière."
Dieu soit loué ! (2)
24/07 17:12
Après avoir eu droit à une première salve de compliments il y a trois jours dans France Foootball, Loïc Perrin en reçoit une deuxième aujourd'hui dans Le Monde à quelques heures du très probable dernier match de sa carrière. Extraits.
Jean-Pascal Mignot : "C’est un peu dommage pour Lolo de finir devant 5 000 personnes et sans les supporteurs de Saint-Etienne alors que le club attend ça depuis 1982. Joueur dévoué, mec intelligent, belle gueule, bon mari, gentil… Je ne lui vois pas beaucoup de défauts. Il a été milieu axial, milieu sur un côté, latéral droit avant de passer en charnière centrale. On l’aurait mis avant-centre qu’il aurait été bon aussi. Il aime sa ville, sa région, le revendique. Il a même monté une marque de vêtements et bijoux qui s’appelle 42."
Jonathan Brison : "Je ne sais pas si vous allez réussir à faire dire du mal de lui. Il ne parlait pas tout le temps, n’aboyait pas. Quand il parlait, tout le monde l’écoutait. Si Loïc Perrin a continué à se faire des cheveux blancs pour son club, c’est beaucoup par amour, mais aussi parce que son niveau a accompagné celui des Verts. Dans le football d’aujourd’hui, si on est trop bon on est vendu. Et si on ne l’est pas assez, on n’est pas conservé."
Alain Blachon : "Les supporteurs aiment les gars du coin qui vont au charbon. Ils se sont reconnus avec Loïc. On avait besoin de lui sur le terrain et toute la saison. Or, Loïc était souvent blessé. En défense centrale, on a pensé qu’il pouvait davantage ménager son corps. Je ne pense pas qu’il veuille devenir entraîneur, mais il peut continuer à incarner, comme dirigeant, cet état d’esprit qu’il a défendu comme joueur. J’espère que les dirigeants lui offriront cette opportunité."
Atteignez Athènes !
24/07 16:34
Si les Verts créent l'exploit ce soir face au QSG, ils seront qualifiés pour la phase des groupes de l'Europa League et connaîtront leurs adversaires européens lors d'un tirage au sort programmé le 2 octobre à Athènes. Les plus optimistes des optimistes stéphanois auront noté que la finale de la compétition se déroulera à Gdansk le 26 mai 2021.
Mulsanne va le mater à la téloche
24/07 15:53

Ancien entraîneur de Denis Bouanga la saison 2013-2014 à Mulsanne-Téloché, Grégory Bernard explique à Fance Bleu Maine que tout ce club amateur regroupant deux petites communes de l'aggomération mancelle supportera ce soir l'ASSE.
"On voyait que Denis avait des qualités. Il a mûri chez nous, il a pris confiance et conscience de ses qualités. Mais de là à devenir professionnel et l'un des meilleurs joueurs de Saint-Etienne, non ! Le fossé pour moi était trop grand ... il nous a fait mentir. C'est génial, et c'est une belle fierté pour tout le club et les éducateurs". On va regarder le match ce soir dans un bar du Mans. On va suivre attentivement Denis ... en plus il va jouer en vert, comme à Mulsanne, donc bien sûr qu'on est tous derrière Denis Bouanga et les Verts ! Ce sera un match compliqué pour les Verts ... mais on a toujours le droit de rêver !"
Intarissable sur son ancien attaquant, il s'est également confié à Ouest-France.
"Il a dû claquer une trentaine de pions et a largement contribué à notre excellent parcours en Coupe de France. Jusqu’à se prendre à rêver d’une accession en N3, avant d’être devancé par Le Mans FC au goal-average particulier… J’ai l’impression que cette saison à Mulsanne a été comme un déclic. Il a tapé dans l’œil de Franck Haize qui entraînait l’US Changé avant de s’occuper de la réserve de Lorient. Pourtant, au début, il souhaitait d’abord prendre son frère, Didier. Sur mes conseils, il a finalement pris les deux. Denis a connu un parcours atypique, rares sont les histoires de joueurs qui passent de la DH pour finir en Ligue 1 !"
52 ans après André Fefeu, originaire de Saint-Mars-d’Outillé et vainqueur de la Coupe de France avec l’ASSE contre Bordeaux en 1968, le Manceau Denis Bouanga rêve d'entrer dans l'histoire des Verts et de la Sarthe.
Vachoux de nouveau Ch'ti
24/07 12:57
Passé par Lens et Orléans, récemment mis à l'essai par Dunkerque (promu en Ligue 2), l'ancien Stéphanois Jérémy Vachoux (26 ans) s'est engagé avec l'ancien club d'Yvann Maçon.
Villas-Boas attend les Verts
24/07 11:50

S'il ne voit pas les Verts rejouer le top 6 dès cette saison, l'entraîneur de l'OM les attend de pied ferme au Vélodrome, comme il l'explique dans La Provence.
"Il n’y a pas de raison que l’on connaisse une baisse de forme. J’attendrai Lyon et Monaco à un autre niveau. Pour moi, Lyon ne va pas laisser passer une autre chance, même si ça dépendra aussi de leur qualification en coupe d’Europe. Ce sont des équipes qui luttent pour le podium. Si on met Lyon et Monaco dans cette lutte avec nous, mais aussi Lille et Rennes, on sera beaucoup d’équipes pour seulement deux places. Cet aspect-là est dangereux, mais si on fait bien les choses dans le mercato, on sera capable de rivaliser pour ces deux positions.
Je suis très pragmatique avec la présaison. Les résultats ne m’intéressent pas du tout. Le gros objectif est de gagner le premier match. L’année dernière, on a fini avec trois victoires d’affilée contre Bordeaux, Saint-Étienne et Washington, puis on perd à la maison contre Naples et Reims. A cause du diffuseur et de la marque OM, on aura un début de championnat plutôt agressif. Ce n’est pas trop normal. Mon objectif est de battre Saint-Étienne, essayer de donner des minutes de jeu aux joueurs, de travailler des systèmes alternatifs. On n’a pas trop de changements. On va maintenir le 4-3-3 qui a bien fonctionné la saison passée."
Dieu est resté fidèle
24/07 10:46
Comme le rappelle son agent David Venditelli dans la dernière édition du Monde, Loïc Perrin a failli quitter l'ASSE en 2010 et en 2015.
"Il y avait un accord entre Monaco et Saint-Etienne. Mais Roland Romeyer a dit au dernier moment qu’il ne pouvait pas laisser partir un enfant de la maison. Romeyer aime répéter qu’il a empêché Loïc de jouer en Ligue 2. A quoi je lui réponds que Monaco ne serait jamais descendu avec lui.
(...)
On était d’accord avec Arsenal, mais Saint-Etienne n’a pas voulu le laisser partir. C’était plus une déception que Monaco, mais Loïc a trop d’amour pour le club pour chercher à forcer la décision et a compris la position des dirigeants. Sans manquer de respect à l'ASSE, il aurait peut-être eu quelques sélections s’il avait joué pour un club plus important."
Honorat assume son choix
24/07 10:24
Dans la dernière édition du quotidien Ouest-France, Franck Honorat explique pourquoi il a quitté les Verts pour le Finistère avant d'évoquer sa future association avec Ronaël Pierre-Gabriel. Extraits.
"Avec Brest, j’ai tout de suite senti qu’on était sur la même longueur d’ondes. Ils ont fait énormément d’efforts pour pouvoir m’avoir, et j’ai senti que j’étais désiré dans ce club plus que d’autres. J’avais aussi envie de retrouver ce que j’avais perdu en partant de Clermont, un club familial dans lequel je suis heureux. C’est important pour moi de me sentir bien également en dehors du terrain. Si je suis bien dans cette ville avec mes amis, ma femme… Je sais que je vais être performant sur le terrain. Le meilleur reste à venir, ça va être une belle aventure.
A Sainté, ça a été un peu compliqué en début de saison. Mon début de préparation a été moyen et j’ai eu deux grosses blessures, dont une fracture de la mâchoire avec commotion cérébrale qui m’a un peu freiné. Quand le coach Puel est arrivé, j’ai commencé à jouer, mais je savais que ça allait être plus compliqué pour moi cette saison au niveau du temps de jeu. C’est pour ça que j’ai fait ce choix de carrière. Je suis encore jeune, mais le foot va très vite. La saison dernière, j’ai fait 19 matches en tout, dont 12 en championnat. Je sais qu’il faut que je les confirme, et j’ai les capacités pour cela.
Mon vrai poste, c’est ailier droit. Mais pour dépanner, je peux jouer plus bas. J'ai appris pas mal de choses sur le plan défensif auprès de joueurs expérimentés comme Mathieu Debuchy, Loïc Perrin, Yann M’Vila. Quand on a des joueurs puissants et rapides comme Rony, j’aime bien qu’on puisse se dédoubler pour pouvoir fixer à deux le défenseur et être en supériorité numérique, plutôt que de tenter un exploit individuel. C’est ce qui fait la différence. Après, je pourrai aussi l’aider défensivement dans des prises à deux. On va en discuter ensemble."
Didier Bouanga fier de son grand frère (2)
24/07 10:00

Fraîchement recruté par Saumur après avoir joué deux saisons à La Flèche, Didier Bouanga s'est confié à Ouest-France avant de supporter son grand frère ce soir au Stade de France.
"Denis est très concentré en vue de la finale. Il veut montrer à Saint-Etienne qu’il veut rester… Franchement, ça va être chaud contre Paris. En amical, ils viennent de passer quelques cartons ! Mais sur un match tout reste possible. J’espère vraiment que Saint-Etienne va ramener la Coupe de France. Je sais que pas mal de grands clubs s’intéressent à Denis. Je le vois marquer contre Paris."
En attendant Godard
24/07 09:35

Dans sa dernière édition, Le Télégramme explique comment le diffuseur a dû s'adapter pour retransmettre la finale de Coupe de France dont le coup d'envoi sera donné ce soir à 21h10. Extraits.
"Fred Godard, le réalisateur de la soirée pour France 2, planche activement depuis des jours pour éviter que ça sonne creux pendant le direct. Pas question pour autant de limiter les moyens techniques, une finale se réussit aussi dans le car régie. "On aura 22 caméras, autant d’opérateurs et huit ralentis", détaille le réalisateur. Dans l’impossibilité d’être présent à la sortie des vestiaires et dans le tunnel en raison de la distanciation sociale, il lui a fallu trouver une solution. "C’est quand même important d’avoir ces images donc on a installé deux caméras qu’on fixe sur un pied ou au plafond et après il y a une télécommande avec un joystick à distance et l’opérateur peut pianoter, zoomer. C’est un vrai coût mais on se devait de le faire."
À défaut d’offrir des images de ferveur, des émotions sur les visages des supporters, la tension et l’attention aussi, Fred Godard va davantage fixer le jeu. "Ça va manquer terriblement. Alors pour les gens comme moi qui aiment le foot, on aime voir le jeu et, après, si on a le temps, il y a le ralenti qui a amené l’action donc on va travailler plus dans le détail des ralentis. J’ai décidé de changer certaines positions de caméras pour éviter ce vide dans les fonds de gros plans, notamment dans les ralentis. C’est comme pour la photo, on a changé certains filtres pour avoir un flou sur les gros plans, plutôt que la profondeur."
Son gros challenge sera aussi au niveau du son. "Si on laisse le son qu’on arrive à capter, on va tout entendre et ça va être terrible. On va donc utiliser des micros directionnels et axer le son plus vers le centre du terrain. Mais au lieu de le prendre à 100 %, je ne vais en prendre que 30 %. Ces 30 %, je vais les mélanger avec les 30 % du commentaire. Et dessus je vais mettre une nappe, c’est-à-dire du son avec une ambiance de supporters, mais très faible."
Le public manque à Cédric
24/07 09:11

Dans un joli papier à lire intégralement ici, France Info relaye les propos de notre osvaldo !
"Cette finale, j'hésite même à la regarder". On ne peut pas douter de l'amour de Cédric pour l'AS Saint-Etienne, opposé en finale de la Coupe de France au PSG, vendredi 24 juillet. Môme, dans les Ardennes, il ne se séparait jamais de son maillot vert avec le gros sponsor KB Jardin. Quelques années plus tard, le samedi soir dans les boums, c'est tout juste s'il consentait à ôter son Walkman pour les slows. Forcément, ses protégés en décousaient sur le rectangle vert et le seul moyen de les suivre hors du stade, c'était la radio.
Aujourd'hui installé en Nouvelle-Aquitaine, il enquille les kilomètres et les factures de péage pour assouvir sa passion. Mais pas cette fois. La reprise du foot professionnel en France se fait sans lui, dans un Stade de France désert, avec en théorie 5 000 spectateurs et 75 000 sièges vides, normes sanitaires obligent. Le club stéphanois a même renoncé à commercialiser ses tickets, devant la fronde de ses supporters. C'est donc ça, le foot du "monde d'après" ?
(...)
"J'ai vécu dans le Kop Nord des choses inégalables, insiste Cédric, l'un des cofondateurs du site Poteaux Carrés. Tu entres en communion avec des mecs avec lesquels tu te serais peut-être pris le bec dans d'autres circonstances. L'année où on est remontés en L1, on devait battre Châteauroux à la dernière journée pour être champions. On joue la 85e. Dans l'autre match, Caen s'est imposé et nous dépasse virtuellement. Arrive le plus bel embrasement de tribune que j'aie jamais connu, quand le défenseur Damien Bridonneau marque d'une reprise de volée le but du titre. Pour moi, la plus grande contribution d'un public à la victoire de son équipe. Tu ne peux pas revivre ça avec seulement 5 000 personnes dans le stade."
Cote et match
24/07 08:25

Vice-président de l'USS, Georges Cote évoque l'absence du peuple vert ce soir au Stade de France dans un article de La Croix intitulé "Les supporters stéphanois ont le blues."
"Une finale ? À peine un match. Si on gagne, pas de remise de la coupe, pas de défilé des joueurs. C’est comme si ce match n’existait pas. En temps normal, la fête battrait son plein, les commerçants décompteraient les jours, on attendrait fébrilement le coup d’envoi. Quel gâchis ! De tels matchs marquent à vie les plus jeunes, et renouvellent les générations de supporteurs."
Bouanga parti pour rester ?
24/07 08:03
Denis Bouanga évoque la finale de Coupe de France et son avenir dans la dernière édition du Progrès. Extraits.
"Putain, je vais faire une finale de Coupe de France… C’est magique ! J’ai toujours eu envie de faire une finale, ça va être ma première au stade de France. Que ce soit à huis clos ou avec nos supporters, on va donner le maximum, même si c’est vrai que c’est chiant sans eux. Il faudra s’y faire et essayer de la gagner. On y croit, Rennes l'a bien fait l'an dernier. Je n'ai pas marqué lors de la préparation, je préfère marquer en finale qu'en amical (rires).
Peut-être que mes conseillers ont eu des contacts mais moi je suis concentré sur ma préparation. Pour l’instant, je me sens stéphanois. Je suis toujours sous contrat, je me sens bien ici, il y a mes amis, ma famille. On m’a envoyé à Rennes et ce n’est pas moi qui y suis allé [le club breton a recruté l'ancien vilain Martin Terrier, ndp2]. J’ai une finale à jouer et j’ai vu que le 23 août, on débutait le championnat à Marseille. Je me concentre sur ça."
Un Ange passe dans Le Parisien
24/07 07:55

Le Parisien publie aujourd'hui une interview de Dominique Rocheteau. Extraits.
"Cette finale de Coupe de France est la meilleure affiche pour redémarrer mais je trouve ça très frustrant de voir une finale quasiment sans public. La différence d'identité va être effacée par ce match à huis clos. Un club populaire qui va jouer sans public, ce sera un gros manque, même si le PSG a aussi un public qui le suit partout. En 2013, quand on a joué la finale de la Coupe de la Ligue, le spectacle des supporters stéphanois était fabuleux. Là, ce seront deux clubs, avec une grande histoire, mais dans un match qui manquera de saveur. C'est frustrant et regrettable.
On est un peu dans l'inconnu. Il y a plus de suspense, même si le grand favori est le PSG. Dans les championnats qui ont repris, certaines équipes se sont révélées, comme Manchester United, et d'autres ont plongé. Saint-Etienne a dû se préparer spécialement à cette finale, alors que le PSG a d'autres objectifs plus tard. Sur le talent et la valeur de chaque joueur, le PSG est supérieur, mais la préparation, l'aspect mental et l'engagement physique vont aussi jouer.
Je n'avais pas le sentiment que les Stéphanois pourraient m'en vouloir d'avoir égalisé en prolongation lors de la finale de 1982 mais ça a été un peu le cas. L'ASSE et le PSG, ce sont mes deux clubs, mais quand les gens viennent me voir, je suis l'Ange Vert, je représente Saint-Etienne. Ils zappent pas mal le PSG. Quand je vais à Paris, on m'en parle davantage, mais en province, c'est Saint-Etienne. Alors que j'ai quand même passé 7 ans à Paris et que j'y ai marqué 100 buts."