Des vilains émoussés le 20 avril à GG ?

15/03 08:49

Jordan Veretout, qui s'était incliné 3-0 avec les Verts à Old Trafford le 16 février 2017 en 16e de finale aller de l'Europa League, retournera au "Théâtre des rêves" avec les vilains le 17 avril en quart de finale retour de la même compétition. Les banlieusards joueront donc le 20 avril à Geoffroy-Guichard leur 4e match en 10 jours. Aux Verts d'en profiter pour gagner un derby qu'ils n'ont plus remporté depuis le 6 octobre 2019 (1-0, but de Robert Beric) !

Chotard veut nous faire chuter

15/03 08:23

Le milieu de terrain montpelliérain Joris Chotard s'est exprimé hier en conférence de presse avant le match qui opposera les 2 relégables demain à la Mosson (coup d'envoi à 17h15).

"Ce match contre Saint-Etienne, il faut l’aborder à fond, même pas à 100 %, à 200 %. On sait très bien que c’est un match plus qu’important, on reste sur 6 défaites d’affilée, donc il faut à tout prix relever la tête contre un concurrent direct, parce qu’on sait très bien que si on vient à faire un mauvais résultat, ce sera très compliqué par la suite, donc on n’a pas le choix que de le prendre à fond.

On sait très bien que c’est un match important mais il ne faut pas se faire submerger par la pression négative. Il faut qu’on prenne la bonne pression pour faire un gros match. Il faut qu’on soit tous unis, on n’a pas le choix, il faut qu’on gomme ces petites erreurs défensives qu’on continue à faire et après il faut qu’on soit plus efficace offensivement.

Au début on sait très bien que les Verts aiment faire un bon pressing haut, qu’ils aiment avoir le ballon, donc à nous de ne pas se faire piéger en voulant relancer derrière et se faire "coincher" les ballons, et dans un premier temps on va aller chercher haut. Ensuite le plus important, ça va être l’envie, les duels, on le sait très bien que dans un match comme ça, ce n’est pas forcément les plus beaux matchs techniquement, mais dans les duels et dans l’envie on n’a pas le choix que d’être au-dessus d’eux.

Il faut prendre les matchs les uns après les autres, on a fait beaucoup de non-matchs et de mauvais matchs précédemment, donc sur ce genre de match on n’a pas le droit de se rater. On entend énormément de choses négatives à juste titre, et le plus grand plaisir qu’on aurait c’est de changer cette dynamique et de faire taire tout le monde. Il y a une grosse pression autour de ce match. C’est toujours un plus que d’avoir les supporters qui nous poussent à domicile. C’est tous ensemble qu’on va se sauver. Même si c’est nous qui jouons, ça aide énormément quand les supporters sont derrière nous."

 

Chez Aguilar le 6 avril

15/03 08:00

Lors de la 28e journée de L1, les Verts joueront chez les Sang et Or le dimanche 6 avril dès 15h00. Si Lens compte actuellement 16 points de plus que Sainté, les Ch'tis en ont pris moins à domicile que les Stéphanois (14 contre 17). Le club artésien a déjà perdu 6 matches cette saison à Bollaert, notamment les 2 derniers contre Strasbourg (0-2) et Le Havre (3-4). A l'ASSE de s'imposer pour la 18e fois de son histoire (la 16e en match officiel) dans l'antre de Ruben Aguilar !

Calodat, Abi et Baghdadi buteurs ce vendredi

14/03 22:04

La 25e journée de National 1 n'a pas souri aux joueurs prêtés par l'ASSE. Impliqué sur 2 buts encaissés par son équipe, le défenseur central de QRM Beres Owusu s'est incliné 4-1 à Marcel-Picot contre le leader nancéien. Ayant lui aussi joué tout le match, le piston gauche de Bourg-Péronnas Darling Bladi s'est incliné 1-0 sur le terrain du l'Aubagne FC de Setigui Karamoko et Esteban Mouton.

Au stade Robert-Diochon, Lucas Calodat a marqué le premier des 4 buts caladois contre le FC Rouen de Charles Abi, qui a marqué mine de rien son 4e but en 8 matches avec les Diables Rouges.

Auteur d'un doublé qui porte à 10 son nombre de pions claqués cette saison, le capitaine Samy Baghdadi n'a pas pu empêcher la défaite (4-2) du FC Versailles sur le terrain de Concarneau, Frédéric Injai ayant délivré une passe décisive sur le 3e but des Thoniers.

 

Stassin ni Diable ni Diablotin !

14/03 20:02

Lucas Stassin ne fait pas partie des 8 attaquants retenus par Rudi Garcia (De Ketelaere, Doku, Fofana, Lukaku, Lukebakio, Openda, Saelemaekers, Trossard) pour la double confrontation entre les Diables Rouges et l'Ukraine en Ligue des Nations. Plus surprenant, le jeune avant-centre stéphanois (20 ans) n'a pas été convoqué en équipe de Belgique Espoirs pour les matches amicaux que les Diablotins joueront en Espagne les 20 et 23 mars contre la Suède et Andorre. Nul doute que le numéro 32 des Verts se préserve pour marquer le 29 mars le but victorieux de l'ASSE contre le QSG, jusqu'ici invaincu en championnat !

Rembarre Delort !

14/03 19:29

S'il a déjà marqué 6 buts dans sa carrière contre les Verts (2 avec Caen la saison 2015-2016, 1 avec Montpellier la saison 2019-2020 et 3 avec Nice la saison 2021-2022), Andy Delort (33 ans) n'a pas trouvé le chemin des filets depuis son retour à Montpellier. Midi Libre met en exergue les difficultés du Sétois, pisté vainement par l'ASSE en janvier 2017, au printemps 2019 et l'été dernier. Extraits.

"L'attaquant court après sa meilleure forme et les signes positifs. 6 matches, autant de revers et toujours pas de but... Moins tonique, trop peu servi et bien esseulé aussi, l'ancien gamin bagarreur de la Pointe Courte se débat dans un rôle ingrat au sein de la plus mauvaise attaque de L1. Les départs d'Arnaud Nordin et Mousa Tamari on tari la source de ballons. Les aventures au Qatar (Umm Salal) et en Algérie (Mouloudia Alger) ont effrité le physique de l'homme aux mollets de buffle.

La façon dont il  n'est pas verni (la VAR l'a privé en quelques minutes contre Rennes d'une passe décisive et d'un but) en ferait cogiter plus d'un. "Ta gueule et marque" lui avait intimé une banderole des Ultras pailladins face à Lyon (1-4) il y a un mois à la Mosson. Delort, parti de Montpellier pour Nice en 2021, au moment où il évoluait avec le brassard et tout un MHSC à ses pieds, vit avec une plaie à vif. Contre Saint-Etienne, il pourrait un peu la cautériser. Et lancer enfin son épisode II."

La Butte Paillade appelle à la grillade

14/03 18:11

Principal groupe ultra du MHSC, la Butte Paillade a publié ce vendredi un appel à la mobilisation générale.

Les Magic Fans et les Green Angels menacés de dissolution ? (4)

14/03 17:57

De passage en banlieue ce vendredi, le Sinistre de l'Intérieur Bruno Retailleau a évoqué la possible dissolution des Magics Fans et des Green Angels dans un bref entretien accordé au Progrès

"C'est pour mettre fin aux hyper violents. Ce n'est pas normal de détourner, de prendre le sport comme prétexte à la violence. Ça pourrit le sport. Je pense à tous les bénévoles qui, tous les week-ends encadrent nos jeunes dans les associations sportives. Je veux dire aux Français que le sport, mais pas le sport en général, le foot professionnel mobilise un tiers des forces mobiles en France. Vous imaginez ? Y compris l'argent public. Il est exclu que cela puisse durer.

C'est la raison pour laquelle il faut être très dur, il faut être implacable. Nous entrons dans une procédure contradictoire, parce que c'est le droit. Et donc ces deux associations d'ultras devront répondre aux critiques et aux arguments que nous avons. Soit elles apportent des preuves, des réponses positives. Soit elles n'en sont pas capables et alors, bien entendu, nous engagerons cette dissolution."

 

JLG est très remonté

14/03 17:25

En conférence de presse à 48h du match Montpellier-Sainté, Jean Louis Gasset a donné un aperçu de sa causerie d'avant-match. Espérons que celle d'Horneland n'ait rien à lui envier...

"On y est. On est au pied du mur, c’est le match de la survie. La survie d’un club. Dimanche, c’est notre adversaire juste au-dessus de nous. Dimanche, balle de match !

Si tout le monde est solidaire, fait bien son travail, je ne vois pas pourquoi il y aurait un problème. Là, il faut montrer. A partir de maintenant, le championnat il commence. Il faut jouer le match de sa vie. On a l’avantage de jouer chez nous. Il vaut mieux qu’on joue chez nous qu’à Geoffroy Guichard, je vous le dis. On l’a vu au match aller. La pression de Geoffroy Guichard fait que Monsieur l’arbitre siffle 2 penalties pour nous et va voir le VAR et refuse les deux. Dans le dernier quart d’heure, alors qu’on poussait pour égaliser, ils obligent les gens à se dépasser. Ce match aller on mérite de le gagner 100 fois. J’aurais pas signé pour 1 point Mais la maladresse…

Les supporters sont comme nous, ils souffrent, ils sont malheureux. Mais il y a encore un espoir. Je veux qu’on joue l’espoir à 100%, tous ensemble, à la Mosson. Il faut faire voir le caractère, car la bougie est encore allumée. Tant qu’il y a l’espoir, on combat. On parle de pression, je connais un peu l’adversaire, je connais bien, je peux vous garantir qu’il y en a aussi de l’autre côté. On doit jouer avec de la folie. Il faut tout donner, jouer le match de sa vie. On va se lâcher. Il faut se jeter à fond dans la bagarre. Il faut juste un petit truc qui bascule, que la réussite soit avec nous, ce petit coup de pouce. C’est le moment, c’est le bon moment, c’est le grand moment. C’est une bonne équipe mais si on ne figure pas contre eux, on a rien à faire en Ligue 1."

L'infirmerie rit !

14/03 13:59

En conférence de presse ce midi, Eirik Horneland a précisé que son groupe était complet avant le déplacement capital chez les Poubelles Boys dimanche :

"Au moment où je parle, tout le monde est disponible pour ce déplacement. Ben Old et Ibrahima Wadji ont peut-être encore besoin d’une semaine de travail, mais ils ont gagné en volume et en confiance."

Si cela se confirme, ce serait donc la première fois de l'année qu'un coach stéphanois (ODO ou Horneland) n'a aucun blessé à déplorer. De là à y voir un signe....

Chardonnet privé de Chaudron ?

14/03 13:22

"Dimanche dernier contre Angers, Brendan Chardonnet a subi un pneumothorax et a eu quatre côtes cassées, dont une qui a perforé et a fait rentrer de l’air dans le poumon. Il a subi une intervention chirurgicale en milieu de semaine et pourrait être absent un bon moment", a déploré aujourd'hui Éric Roy en conférence de presse avant de recevoir le Stade de Reims ce dimanche. Joueur le plus utilisé de l’effectif du Stade Brestois cette saison (3 047 minutes), le capitaine des Ti Zefs ne sera probablement pas remis pour le déplacement de son équipe à Geoffroy programmé dans un mois.

Cardona comme à la maison à la Mosson

14/03 08:15

Midi Libre met aujourd'hui à l'honneur Irvin Cardona, qui aura pas mal de supporters à la Mosson ce dimanche. Extraits.

"Artisan de la montée de l'ASSE la saison dernière, il a retrouvé les Verts au dernier mercato d'hiver pour une nouvelle mission, maintien cette fois. Elle a pour l'instant accouché d'un doublé sur la pelouse d'Angers en 6 apparitions (4 titularisations). La prochaine est attendue dans l'Hérault, à quelques kilomètres de la cité nîmoise qui a vu naître le joueur, souvent annoncé chez les Crocos lorsqu'ils évoluaient en L2 puis en L1. "Ce n'était pas d'actualité. En plus, il y a toute la famille à Arles, Nîmes, Montpellier. Je ne voulais pas qu'il vienne avec tout le monde autour. Ce n'est pas une bonne chose" balaye le papa, Pascal.

"Irvin est né à Nîmes mais il n'y est même pas resté un jour. On est parti direct au Pontet où je jouais", sourit le paternel, lui-même ancien attaquant du club de la banlieue avignonnaise et... de NO. Deux saisons, de 1992 à 1994, lors desquelles il a côtoyé René Girard, Franck Luchesi, Jean-Claude Lemoult ou Gérard Bernardet, passés par Nîmes avant ou après avoir marqué Montpellier. Un point de chute que la famille Cardona a, elle aussi, rallié. De l'oncle de l'attaquant stéphanois, restaurateur près de la cité héraultaise, au petit frère Thimothy, ex-avant-centre de NO chez les jeunes et désormais à Vendargues où il tâte la balle entre 2 sets de DJ sous son nom de scène Cardon's, tous les chemins mènent à "Montpeul".

Passé aussi par Arles-Avignon, le papa est quant à lui resté proche de Jean-Louis Saez, actuel directeur sportif de la section féminine du MHSC, ou Ghislain Printant, adjoint de Jean-Louis Gasset. Comme il l'a déjà fait cette saison, il sera en tribune, dimanche à la Mosson. Avec une grande partie de la famille Cardona. D'ici, mais surtout derrière Irvin."

 

 

Tout roule pour l'avant-centre des Verts au coeur mauve !

14/03 07:42

Dans un entretien accordé au quotidien belge Le Soir, l'avant-centre des Verts rappelle son attachement aux Mauves. Extraits.

"J’avais besoin de quitter Anderlecht et mon confort. Ce fut pareil à Westerlo où j’avais aussi eu tendance à me relâcher car je marquais facilement. Le relâchement a toujours été mon péché mignon. Si je suis en danger du fait que j'ai mis 6 buts et fait 5 assists avec les Verts ? Beaucoup moins qu’avant. Aujourd’hui, je suis conscient que le danger du relâchement me guette quand tout roule. Dès que je le sens arriver, je tire la sonnette d’alarme.

Je ne me donnais pas toujours à fond aux entraînements chez les jeunes à Anderlecht, car je savais que je marquerais quand même le week-end. Mais cela a évolué avec le temps. Je suis désormais l’un de ceux qui courent le plus à chaque match. À Westerlo, j’ai aussi dû apprendre à jouer dos au but et à combiner, ce que j’ai encore amélioré à Saint-Etienne.

Si je nourris des regrets quand je vois que Dolberg est blessé et que Vazquez n’y arrive pas à Anderlecht ? J’y pense parfois, forcément. Mes 15 buts et mes 3 assists en 29 matches pour les RSCA Futures n’ont pas convaincu Fredberg et Riemer, que pouvais-je y faire ? Sous Renard et Hubert, j’aurais certainement joué mais le destin en a décidé autrement. C’est dommage car je me sentais vraiment chez moi à Anderlecht mais, d’un autre côté, tout cela m’a aidé à prendre mon indépendance. 

Anderlecht mérite une place au sommet en Belgique et un rôle important en Europe, ne fût-ce que quand on voit la qualité des jeunes à Neerpede. Le récent titre de champion des U15 coachés par mon papa m'inspire beaucoup de joie et de fierté. Pour le RSCA et pour ma famille. Mon coeur reste mauve. Un retour à Anderlecht, ça reste dans un coin de ma tête. Aujourd’hui, je pense que je suis devenu un peu trop cher mais, un jour, j’aimerais revenir au RSCA.

J’aime l’automobile. Je pratique un peu sur circuit et j’aimerais aussi acquérir un old-timer. Récemment, j’ai été amené à acheter ma première voiture car, en France, les clubs n’ont pas l’habitude de mettre des voitures à disposition des joueurs. Je rêvais d’une voiture belle et puissante mais papa fut difficile à convaincre. Il ne me laisse pas dépenser n’importe comment et se montre strict avec moi, comme l’était mon grand-père avec lui lorsqu’il était joueur. Du coup, j’ai dû me contenter de la beauté du véhicule. Pour les sensations, je dois encore attendre un peu."

Davitashvili joue aussi le maintien avec la Géorgie

14/03 07:22

Comme le rapporte l'agence de presse géorgienne GNG, Zuriko Davitashvili fait partie des 25 joueurs convoqués par Willy Sagnol pour affronter l'Arménie le 20 mars à Erevan et le 23 mars à Tbilissi. Le meilleur buteur des Verts, qui tentera de franchir ce barrage pour rester en Ligue B de la Ligue des Nations, retrouvera en sélection le vilain Georges Mikautadze (qualifié pour les quarts de finale de l'Europa League) et le Parisien Khvicha Kvaratskhelia (qualifié pour les quarts de finale de la Ligue des Champions). Le numéro 22 de l'ASSE, qui affrontera ce dernier le 29 mars dans le Chaudron lors de la 27e journée, va tout faire pour battre son ami.

Vamos Ayman !

13/03 23:41

S'il n'a joué que 107 minutes (hors temps additionnel) cette année avec Bastia sans se montrer décisif, Ayman Aiki fait partie des 22 joueurs convoqués ce jeudi par Bernard Diomède en équipe de France U20. L'attaquant sous contrat avec l'ASSE jusqu'en juin 2027 affrontera à Alicante le Japon (le jeudi 20 mars à 16h00) puis le Mexique (le lundi 24 mars à 11h00). Plusieurs 2006 surclassés joueront à ses côtés (le Parisien Senny Mayulu, le Monégasque Saïmon Bouabré et le Lorientais Eli Junior Kroupi) mais pas Mathis Amougou.

L'ancien numéro 37 des Verts a en effet été appelé en équipe de France U19 où il sera en Italie le doyen de la sélection de Jean-Luc Vannuchi au tour Elite de l'Euro contre l'Espagne (le 19 mars), la Lettonie (le 22 mars) et le paus hôte (le 25 mars). Depuis qu'il a quitté les Verts pour les Blues, le milieu de terrain a fait 7 bancs mais n'a joué que 7 minutes (hors temps additionnel), contre la faible équipe de Southampton le 25 février (4-0).

Joyeux anniversaire Luan !

13/03 21:35

Ayant fêté aujourd'hui ses 18 ans, Luan Gadegbeku fait partie des 22 joueurs sélectionnés ce jeudi par Landry Chauvin en équipe de France U18 pour le tournoi de Porto. Le milieu de terrain stéphanois, dont les récentes prestations en équipe réserve ont été saluées par Razik Nedder, affrontera successivement le pays hôte (le jeudi 20 mars à 18h00), l'Angleterre (le samedi 22 mars à 13h00) et la République Tchèque (le mardi 25 mars à 12h00).

Le missile d'Adil contre Argyle

13/03 21:03

D'une superbe frappe en pleine lucarne, Adil Aouchiche (22 ans) a marqué hier son premier but sous les couleurs de Portsmouth. Mais les Verts de Plymouth Argyle, pourtant lanterne rouge de Championship, se sont imposés 2-1 sur le terrain de l'ancien protégé de Claude Puel.

Leeds domine toujours ce championnat mais fait très peu appel à Josuha Guilavogui (34 ans). S'il est entré en jeu 13 fois, l'ancien milieu de terrain stéphanois n'a joué que 45 minutes (hors temps additionnel) depuis qu'il a traversé la Manche en octobre dernier !

Stassin ne pense pas qu'à sa gueule

13/03 19:08

Ayant marqué lors de 6 de ses 11 derniers matchs en L1 alors qu'il n'avait claqué aucun pion lors de ses 11 premières apparitions dans l'élite, Lucas Stassin, pré-sélectionné par Rudi Garcia chez les Diables Rouges, parlent évidemment des Verts dans la dernière édition du quotidien belge Le Soir. Extraits.

"Je n'ai pas ressenti la pression d'être la recrue la plus chère de l'histoire de l'ASSE au début car je surfais encore sur l’excitation de mon arrivée. Mais comme je ne marquais pas lors de mes premiers matches, les gens n’étaient pas satisfaits et les critiques n’ont pas tardé. Là, j’ai connu la période la plus compliquée de ma jeune carrière car je n’avais jamais connu cela à Anderlecht ou à Westerlo, où tout était en fait trop facile. J’ai déjà énormément appris à l’ASSE. Heureusement, quand le nouveau coach est arrivé, j’ai commencé à trouver le chemin des filets.

J’ai géré cette période de disette en partie avec papa. J’étais assez renfermé au début, je ne lui en parlais pas. J’ai la réputation de ne pas écouter et de ne pas montrer mes sentiments. Mais, en réalité, je réfléchissais beaucoup, seul chez moi le soir. Mes discussions avec Romain Hamouma, l’entraîneur des attaquants stéphanois, m’ont beaucoup aidé. Je m’étais promis, durant la trêve de Noël, de faire un gros deuxième tour et de bosser plus fort et plus intelligemment.

Mes premiers mois à Saint-Etienne, je travaillais à contre-sens. Je dépensais beaucoup d’énergie mais j’étais à ce point frustré par mes performances et par les résultats de l’équipe que c’était devenu contre-productif. Bosser intelligemment, ça ne veut pas dire forcément courir plus. Tout ce qui se passe autour du terrain, comme la nutrition, le repos et l’encadrement que vous mettez en place pour réussir, c’est au moins aussi important que les entraînements. J’ai pris contact avec Jean-François Lenvain, ex-responsable de la cellule sociale d’Anderlecht qui aide désormais énormément de sportifs de haut niveau sur le plan mental. 

Il est impensable pour moi, passez-moi l’expression, de ne penser qu’à ma gueule. Je suis venu à Saint-Etienne car ce club a une histoire et je sais ce qu’il représente pour ses supporters. J’ai toujours été fan d’Anderlecht et je détestais quand je voyais un joueur ne penser qu’à lui. Je ferai tout, jusqu’au dernier jour, pour que l’ASSE reste en Ligue 1. Il est clair que j’aspire enfin à un peu de stabilité. Mais tout ne dépend pas de moi. Si l’ASSE descend, les dirigeants seront peut-être contents de se séparer de mon contrat et de récupérer leur investissement. Il est trop tôt pour y penser… même si c’est évidemment compliqué de ne pas avoir tout cela à l’esprit.

Rudi Garcia connaît très bien le préparateur physique de Saint-Etienne. Il l’a longuement contacté, notamment pour savoir où j’en étais. Jouer pour la Belgique est évidemment un rêve, mais je sais aussi que les options sont nombreuses avec Lukaku et Openda qui sont incontournables ainsi que Benteke et Batshuayi qui pourraient revenir. Jouer avec De Bruyne ou De Ketelaere derrière soi est excitant mais si ce n’est pas pour cette fois-ci, je bosserai encore plus fort pour la suite."

Kader était le papa

13/03 14:48

Artisan de la remontée lors de la saison 1998-1999, Kader Ferhaoui est revenu sur son passage en Vert pour le site du MHSC :

"J’étais en fin de contrat à Montpellier et l’AS Saint-Étienne me proposait un challenge sur deux ans pour aider le club à remonter en D1. On avait senti dès le stage de préparation qu’il y avait quelque chose de très bien à faire avec cette équipe, entraînée par Robert Nouzaret. On partait de loin puisque le club avait failli descendre en National la saison précédente. En début de saison, il n’y avait pas grand monde au stade, puis, l’engouement est revenu petit à petit. Je me souviens même d’une fois où nous avions disputé 3 matchs consécutifs à domicile durant une même semaine avec un match de coupe au milieu et que nous avions fait une affluence de 3 fois 33000 personnes. Au final nous sommes remontés en D1 à l’issue d’une première saison où j’ai pris énormément de plaisir. On avait un super groupe, qui vivait très bien ensemble, et qui ressemblait d’ailleurs un peu à ce que j’avais vécu à Montpellier, même si j’ai été dans un rôle de ‘’papa’’, qui était forcément différent.

J'ai été désigné meilleur joueur de D2 à l'époque. C’était une grande fierté et une forme de reconnaissance parce que j’ai dû me battre pour avoir tout ce que j’ai eu. J’en étais très heureux.

Le foot à Saint-Etienne ? Il faut le vivre ! Ce serait peut-être un peu trop dur de dire qu’à Saint-Étienne il n’y a rien après le foot, mais disons que le ballon rond est au cœur de toutes les conversations. Si le football ne marche pas, la ville et le département sont ‘‘morts’’. Par contre, si ça marche, c’est fabuleux. Tout le monde suit, dehors les gens sont enragés… Ce qui est particulier aussi, c’est que ce club à des groupes de supporters partout en France et que, quand on se déplaçait, on retrouvait toujours 200 ou 300 supporters de Saint-Étienne qui vivaient dans les alentours et qui venaient supporter l’ASSE.

La saison du MHSC me peine beaucoup parce que j’ai l’impression que tout est contre nous : les blessures, la malchance, les poteaux… Je pense que c’est une année noire. Cela dit, il faut garder espoir et ne pas baisser les bras car il reste encore des matchs. Si tu fais un résultat contre Saint-Étienne ce dimanche, tout peut se passer. Le championnat n’est pas fini. Si tu arrives à accrocher les barrages, tout est possible."

 

Courbon interpelle Barsacq

13/03 14:30

Si nos dirigeants n’ont, comme le veut une trop longue tradition, pas trouvé le chemin des micros pour venir défendre les Green et Magic menacés de dissolution, le député de la Loire Pierrick Courbon a apporté hier, comme le sénateur Jean Pierre Rochette il y a 2 jours, son soutien aux groupes.

Lors d'une réunion à l'assemblée, il a ainsi interpellé la Ministre des Sports Marie Barsacq : « ces associations, vous le savez, jouent un rôle majeur dans l’organisation et l’encadrement d’animations dans les tribunes populaires. Le stade Geoffroy Guichard, le Chaudron ne se dissoudra pas. J’attire votre attention sur le fait que cette volonté purement politique relève typiquement de ce qui est une fausse bonne idée. Bien évidemment on ne peut que souscrire à la nécessité de lutter contre la violence dans et aux abords des stades, mais cette dissolution serait une très mauvaise réponse à un vrai enjeu. En terme de sécurité publique, la présence de cadres et d’interlocuteurs identifiés est jugée indispensable par les clubs et par les acteurs de la sécurité. La dissolution de ces associations dégraderait de façon évidente la capacité à réguler les conflits en tribunes et à juguler les comportements individuels répréhensibles. Je vous demande Madame la Ministre de bien vouloir entendre cette réalité. »

La réponse de la Minsitres est à moitié rassurante : « Le sujet est complexe, il n’est vraiment pas simple, mais aujourd’hui il faut en parler et c’est tout l’enjeu de ma rencontre la semaine dernière avec Bruno Retailleau. Nous avons largement évoqué ce sujet sous les différents angles que vous avez soulevés, et évidemment il faut à la fois sanctionner les actes qui sont délictueux et donc là il faut qualifier ces actes et sur le sujet de la dissolution il y a une enquête en cours et il y a effectivement certaines associations qui sont aujourd’hui source d’investigations du côté du Ministère de l’Intérieur. Il y aura une procédure contradictoire pour que les associations de supporters puissent répondre sur ces sujets là, mais nous avons bien insisté avec Monsieur Retailleau et nous en étions d’accord, que la solution la plus pertinente reste la sanction individuelle et donc du coup c’est la piste privilégiée. Pour autant, pour les actes passés, il peut y avoir la nécessité d’avoir des sanctions collectives, mais de façon marginale, l’objectif encore une fois, c’est vraiment la sanction individuelle. »

Senny'ra pas à Geoffroy

13/03 12:01

Utilisé à 13 reprises (5 titularisations) par Luis Enrique le jeune (18 ans) milieu de terrain du PSG, Senny Mayulu ne goûtera à la ferveur de Geoffroy.

Il sera en effet suspendu pour le Sainté-PSG du 29 mars (19h). De là à dire que les Parigots seront affaiblis...

Pas si mal avec Letexier

13/03 09:42

Si personne n'a oublié la réception du Havre en Ligue 2, soldée par un 0-6 et trois expulsions côté Vert, François Letexier n'est pourtant pas le prétendu chat noir de l'ASSE qui retrouvera l'homme en noir ce dimanche à Montpellier.

Depuis 2016, l'arbitre de 35 ans a croisé la route des Verts à 11 reprises en L1. Pour un bilan de 4 victoires, 4 nuls et 3 défaites. Il faut rajouter à ce bilan 2 victoires et 1 défaite en Coupe de France.

L'une de ces défaites s'est déroulée à la Mosson d'ailleurs, en 2017. A l'époque, les Stéphanois de Christophe Galtier s'étaient incliné 2 buts à 1 à Montpellier malgré l'ouverture du score de Kévin Monnet Paquet. L'arbitre de la rencontre s'était distingué en expulsant l'oublié Jorginho.

Henri-Point mal en point ?

13/03 07:04

Le Progrès du jour évoque l'état de la tribune préférée des mastres.

"De la corrosion sur la structure métallique de la tribune Henri-Point a été observée, sans que cela représente un danger. "Une étude est en cours pour voir ce que l’on peut faire", confirme Jean-Luc Degraix, vice-président de Saint-Étienne Métropole en charge des grands équipements sportifs "Il faut envisager ces travaux avant que ça ne soit problématique. Geoffroy-Guichard est un équipement qui nécessite d’être entretenu en permanence."

Kiki Kouyaté aurait dû être expulsé

13/03 06:51

Auteur d'un tacle sur Fernandez-Pardo sanctionné par Jérémie Pignard d'un carton jaune à Lille samedi dernier, aurait dû voir l'arbitre modifier sa décision et l'expulser selon la direction de l'arbitrage, qui a pointé avant-hier "l'annihilation d'une occasion de but manifeste". Pisté par l'ASSE il y a 5 ans, le défenseur central malien, opéré au genou l'automne dernier, devrait jouer ce dimanche à la Mosson son 10e match de L1 de la saison. L'ancien protégé de Laurent Batlles a déjà mangé 5 biscottes cette saison (il sera suspendu le 30 mars contre Auxerre). Il avait pris un carton rouge il y a 2 mois lors de la défaite à domicile de son équipe contre Angers. On l'invite à remettre ça dans 3 jours dans le même stade contre un autre promu lors du passoirico....

Et Geoffrey enflamma Geoffroy

12/03 22:52

Dans un entretien paru aujourd'hui sur le compte instagram du journaliste Timothé Crépin, Geoffrey Dernis est revenu des étoiles plein les yeux sur ses vertes années marquées par son fameux but victorieux contre l'OM le 6 octobre 2007.

"Il me restait un an de contrat au LOSC. Je discute avec Claude Puel, il me dit qu’il veut me prolonger. Mais à ce moment-là j’ai Saint-Etienne qui tape à ma porte. Moi j’ai 25 ou 26 ans, je n’ai connu que le LOSC mais je suis dans un confort. J’aurais pu rester dans mon club formateur mais j’avais envie de grandir. Saint-Etienne, on connaît la ferveur, on sait ce que ça représente. Ce n’est pas n’importe qui qui vient taper à ta porte. Quand je les écoute, ils veulent rebâtir un club pour jouer les Coupes d’Europe. Je me dis que c’est le moment pour moi de me mettre un challenge, de sortir de mon confort pour aller vivre cette ferveur et essayer d’accrocher quelque chose là-bas. J’en discute avec ma femme, je lui dis que j‘ai envie d’y aller et de prouver à moi-même que je peux réussir ailleurs. On prend la décision de partir comme ça pour 3 ans à Saint-Etienne. Et j’ai passé 3 années merveilleuses.

Le gros souvenir en vert, c’est mon but contre Marseille. Tout le monde m’en reparle chaque année (rires). Je fais partie des souvenirs de Saint-Etienne – Marseille. A ce moment-là, je suis un peu en conflit avec Laurent Roussey. Je suis écarté le match précédent. J’estime ne pas être dans mes torts, lui non plus donc on se fâche un petit peu. Pourtant, on s’aime fort, mais bon, ça fait partie du football. Il ne m’avait pas convoqué le match avant Marseille. Il me rappelle pour la réception de l’OM en me stipulant que je n’allais pas débuter le match. Il m’a dit : "écoute, je te mets sur le banc, t’as fait une bonne semaine, on verra ce qui va se passer pendant le match."

Je suis sur le banc, je rumine. Je n’ai qu’une envie, c’est de jouer. Le match est très beau, on faut un super match. Je pense qu’on doit mener au score mais même Marseille a eu plein d’occases. Le match en lui-même est très, très bien. Je rentre à une vingtaine de minutes de la fin. A ce moment-là, je me dis : "il faut que je sois dans tout ce qu’on fait les joueurs. Je les ai vus se défoncer, je ne peux pas faire moins." Marseille finit à 10, et arrivent les dernières secondes du match. Le ballon part en touche. Le réflexe que j’ai, c’est de lever les yeux pour regarder le chrono. Et je vois 92 :30, un truc comme ça. Je sais qu’il reste 30 secondes à jouer car il y a 3 minutes de temps additionnel.

Le ballon revient vers moi. Quand il arrive, j’ai encore en tête le fameux tableau d’affichage. Je me dis : "de toute façon, c’est la dernière occasion." Je revois l’action comme si c’était hier. Quand je contrôle le ballon, je vois Blaise Matuidi qui fait un appel sur ma gauche et qui emmène le défenseur. En fait par son appel il me laisse l’espace. Là, je me dis : "allez, tu sais quoi, c’est la dernière cartouche, j’arme, je mets tout ce que j’ai." Le ballon part super bien, ça fait barre rentrante. Je crois qu’elle entre à la 92:58 donc il restait à peine 2 secondes.

A partir de là, je pense que je n’ai jamais entendu un stade comme ça. A Geoffroy-Guichard, il y a eu un impact énorme, ça a fait un bruit monumental. J’en garde un souvenir extraordinaire. Ce qui est rigolo, c’est qu’aujourd’hui lorsque je croise des gens quand je suis sur Sainté, la première chose dont on me parle, c’est de ce but contre Marseille. J’ai été aimé, adoré des supporters stéphanois et notamment à Montpellier où il y en a beaucoup. Et j’ai été détesté par les supporters marseillais (rires).

Je resterai toujours marqué par la ferveur des supporters stéphanois. Le parcage visiteurs était toujours plein. Même dans les moments difficiles les supporters étaient toujours là. Parfois ils étaient… je ne vais pas dire virulents mais mécontents, à juste titre. Quand ton équipe n’a pas de résultat, t’as quand même le droit de montrer ton mécontentement. Mais ils n’ont jamais été méchants. Ils ont toujours été là.

La première fois que j’ai joué à Geoffroy-Guichard, j’étais avec Wasquehal, les Verts étaient en Ligue 2. Je ne pense pas qu’à cette époque Wasquehal était l’équipe qui attirait le plus de monde dans un stade, on ne va pas se mentir. Mais il y a 25 000 personnes. Je me dis : "waouh !"  On est Wasquehal, un tout petit club, ce n’est pas une affiche, et t’as 25 000 spectateurs. Tu te dis : "ah ouais, Saibt-Etienne, c’est quelque chose !"

Le tout premier entraînement que je fais avec Saint-Etienne, à L’Etrat, c’est juste un footing, il n’y a rien de particulier. Je vois qu’il y a au moins 1000 personnes autour du stade qui viennent voir l’entraînement, les nouveaux joueurs et nous souhaiter une bonne saison. Tu t’arrêtes pour prendre des autographes, pour parler avec les gens. Et j’apprends qu’il y a des gens qui viennent  3 ou 4 jours en vacances à Saint-Etienne car c’est des passionnés, juste pour venir voir des joueurs. Là je me dis : "ah ouais, là c’est costaud quand même !"

Le jour où on se qualifie pour l’Europe, on gagne 4-0 contre Monaco le dernier match à domicile, il fallait un faux pas du LOSC je crois qui avait perdu à Lorient. On finit 5èmes, on n’est pas non plus champions de France ni rien mais on se qualifie pour l’Europe, je crois que ça faisait 30 ans que Saint-Etienne l’attendait. Les gens étaient très heureux. Dans la semaine je vais manger dans un petit restau à côté de la maison où j’allais parfois manger des pâtes, des pizzas avec les filles. Je viens pour payer et le mec me dit :"non, non, vous ne payez pas, c’est la maison qui vous l’offre. Merci pour tout, merci pour cette saison, merci pour la Coupe d’Europe." Moi j’insiste, "je viens, je paye." Bon, je n’ai jamais pu payer, il n’a pas voulu (rires)

Quelques jours après je me balade dans la ville avec ma fille et ma femme. On passe devant une petite boutique de bijouterie fantaisie. La personne sort, vient, me demande une photo. Pareil, il ma dit : "Merci, bravo pour cette saison, c’est extraordinaire, on a une équipe de fous, on retrouve l’Europe, merci pour tout. Venez, prenez ce que vous voulez dans ma boutique pour Madame, une bague, une boucle d’oreille, c’est moi qui vous l’offre."J’ai refusé, j’ai pris quelque chose et cette fois j’ai réussi à payer (rires).

Les Stéphanois sont comme ça, ils n’oublient pas. Je suis lié d’amitié avec une personne à Saint-Etienne donc j’y vais régulièrement. Il vient sur Montpellier aussi. Quand je suis sur Saint-Etienne, je vais toujours le voir, on va toujours voir un petit match à Geoffroy. Les gens viennent te voir. Pas comme avant car j’ai moins de cheveux, je vieillis. Forcément, il faut essayer de remettre le contexte. Mais souvent les gens sont assez cools avec nous quand on y retourne."

 

Des balcons sans boisson

12/03 21:23

Le Progrès revient sur la réouverture des balcons annoncée par l'ASSE pour la réception du QSG. Extraits.

"C'est synonyme de 3 000 places supplémentaires en vente, soit près de 87 000 € de recettes billetterie en plus. "Il y a eu tout un travail des agents de la Métropole", avoue Jean-Luc Degraix, vice-président de Saint-Étienne Métropole en charge des grands équipements sportifs. "Des sièges ont été enlevés dans la tribune pour faciliter l’évacuation des spectateurs après le match." Ainsi, la nouvelle capacité commerciale de Geoffroy-Guichard n’est plus aux 42 000 places symboliques, mais s’établit désormais à 40 372 tickets, en enlevant certains sièges à visibilité réduite.

Cet aménagement pourrait être reconduit pour la réception de l’OL le week-end des 19 et 20 avril. Et plus si affinités, comme le sous-entend Jean-Luc Degraix. "On a une convention avec l’ASSE qui nous impose de faire un certain montant de travaux chaque année, si le club le demande. Si l’ASSE souhaite pérenniser l’installation, ce ne sera pas un problème."Pour cela, d’autres réflexions devront être menées puisqu’en l’état, aucune buvette ne sera accessible depuis les balcons des kops. La présence de "désoiffeurs" (vendeurs ambulants de boissons) est à l’étude."

 

Saint-Etienne, Coupes d'Europe !

12/03 19:44

Saint-Etienne Métropole a lancé hier une procédure adaptée ouverte pour trouver un fournisseur d'intrants afin d'entretenir la pelouse du stade Geoffroy Guichard. "Cette enceinte sportive accueille les compétitions officielles du Championnat de France de Ligue 1, de la Coupe de France et des Coupes d'Europe" peut-on lire dans le règlement de la consultation. "L'objectif est de permettre un approvisionnement régulier et adapté en produits nécessaires à la préservation de la qualité du gazon, afin d'assurer des conditions de jeu optimales pour les différentes compétitions et événements organisés sur le site."

Les candidats, qui ont jusqu'au 11 avril pour soumissionner, devront satisfaire aux exigences fixées dans le cahier des clauses techniques particulières. "Les critères recherchés dans notre infrastructure, sont principalement le rendu visuel et la résistance au piétinement. Déjà très prolifique sur les terrains de sport, la présence de pâturin annuel pose des problèmes esthétiques et de tenue à l’arrachement. On remarque par ailleurs la présence élevée de trèfles, Plantin ou encore la plante communément appelée pissenlit. Les semences doivent être sélectionnées, exemptes de toutes adventices."

Mortel prend la porte

12/03 13:30

Un mois et demi après avoir été mis à pied, l'ancien entraîneur des Vertes Laurent Mortel s'est fait virer officiellement viré par l'ASSE ce mercredi. "Les joueuses resteront encadrées par Marc-Antoine Brihat jusqu’à la fin de la saison" précise le club. Eliminées sur le fil en demi-finale de Coupe de France par le QSG le week-end derniers, les Amazones n'ont pris qu'un tout petit point en championnat depuis le début de l'année (à la maison, contre les promues nantaises). Grâce ) leur début de saison canon (3 victoires lors des 3 premières journées), elles comptent 8 points d'avance sur le premier relégable (Strasbourg). Les Vertes sont attendues à la Mosson ce dimanche dès 13h30 pour défier les Louloutes de Montpellier avant d'acueillir les vilaines dans le Chaudron le samedi 22 mars à 21h00.

Rochette tacle Retailleau

12/03 10:41

Né en 1982, Pierre Jean Rochette est transporteur (sa société d'autocars est partenaire de l'ASSE) et sénateur de la Loire. Jeune sénateur pourrait-on ajouter tant son âge tranche avec celui de ses condisciples.

Il ne se démarque pas que par son âge, mais également par sa connaissance du mouvement ultra et la justesse de ses propos quand Ici Saint-Etienne l’a interrogé sur une éventuelle dissolution des Magic et des Green :

« Il n'y a pas que les ultra-stéphanois qui sont visés, et je pense là-dessus que le ministère de l'Intérieur fait une erreur totale. Si on consulte les Français pour leur demander quels sont leurs problèmes, quelles sont leurs craintes liées à la sécurité du quotidien, jamais les groupes ultra sortiront en tête. Jamais ils demanderont la dissolution des groupes, notamment de Magic Fans et de Green Angels à Saint-Etienne. C'est un faux débat. J'ai peur qu'on cherche une image sans connaître véritablement le sujet. Vous pouvez dissoudre, ça fera un effet d'annonce qui ne réglera aucun problème au fond. La première fois que j'ai mis les pieds dans le kop nord chez les Magic Fans à Saint-Etienne, je devais avoir 14 ans. Depuis, je les ai, soit transportés dans mes autocars, soit je suis allé au stade avec eux. Je ne veux pas faire d'angélisme, je sais qu'il y a des éléments qui débordent et qui parfois n'ont pas leur place au stade. Mais dissoudre un groupe entier qui aujourd'hui contribue à la ferveur que nous avons dans le stade, c'est participer à la mort d'un club. Donc, qu'on aille vers des solutions plus pratiques !  Qu'on mette en place un permis à point pour les groupes de supporters. On a aujourd'hui, avec les moyens techniques, les capacités d'identifier les gens qu'on ne souhaite plus voir dans le stade. Mais qu'on de faire payer tout un collectif qui travaille pour mettre de l'ambiance dans un stade, pour faire des tifos qui marquent les esprits, qui marquent l'identité de notre département et d'un club parce qu'on n'arrive pas à régler le sujet concernant quelques individus qui se comptent sur les doigts d'une main. Je crois simplement qu'il y a en ce moment une volonté de faire beaucoup d'affichage en termes de sécurité. On ne va pas au fond des choses. Moi je suis pour la discussion parce que demain si on les dissout, est-ce qu'au match suivant les personnes qu'on ne veut plus voir dans le stade ne pourront plus entrer ? Absolument pas. Le groupe sera dissous, mais tout le monde pourra continuer à venir au stade. Donc c'est un faux problème. Et c'est une fausse solution, surtout. Moi, je les connais, les gens qui sont dans ces groupes. Il y a des gens qui ont des très gros niveaux. On peut leur parler, ce ne sont pas des idiots. Je suis pour la discussion, je suis pour qu'on pose les choses de manière très claire sur la table, en disant "voilà où nous en sommes, voilà où nous allons", mais faire peser cette épée de Damoclès au-dessus des groupes pour aller vers des dissolutions qui ne régleront aucun problème, c'est vraiment la fausse bonne idée. Sur le sujet des fumigènes, aujourd'hui, on peut l'encadrer. Moi, j'ai parlé avec les ultras, ils sont d'accord pour l'encadrer. C'est-à-dire qu'on ait des cages à fumigènes. Je peux vous dire qu'il faut avoir vécu des matchs à Monaco ou même au Paris Saint-Germain pour comprendre la différence et la chance qu'on a à Saint-Etienne d'avoir ces deux groupes. »

Sylla sera là ?

12/03 07:43

Selon la dernière édition de Midi Libre, le latéral gauche Issiaga Sylla fera son retour dans le groupe pailladin qui accueillera les Verts ce dimanche à 17h15. Le Guinéen, titulaire au match aller à Geoffroy-Guichard, était indisponible depuis 7 semaines suite à une blessure aux adducteurs contractée lors de la victoire des Montpelliérains à Toulouse.

S'étant blessé au quadriceps à la veille du déplacement à Lille, le latéral droit Enzo Tchato ne sera pas rétabli pour ce passoirico d'après le quotidien régional. Reste à savoir si Jean-Louis Gasset alignera Falaye Sacko pour suppléer le Camerounais. Quatre mois après sa dernière titularisation, l'ancien défenseur malien des Verts a beaucoup souffert face aux Dogues dimanche dernier avant de céder sa place à la 85e minute.

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