Le capitaine des Violets savoure sa victoire contre les Verts
17/12 19:55
Dans La Dépêche du Midi, le capitaine toulousain Vincent Sierro revient sur la victoire du TFC contre l'ASSE.
"Ça fait toujours plaisir de gagner au Stadium. Surtout vu le scénario car c’est la première fois que le TFC l’emporte cette saison après avoir été mené. Cela montre le caractère du groupe. La dynamique dans laquelle on est, la confiance en nos qualités. Lorsque les Verts ont ouvert le score, on n’a pas douté. On est parvenu à recoller au score de suite. Après, on sentait qu’on avait ce petit quelque chose pour passer l’épaule devant et, au final, gagner la rencontre.
Nos derniers succès sont construits avec tranquillité. On ne cherche pas à jouer à tout prix quand ce n’est pas possible. On s’adapte à la partie, à ses besoins, à son scénario. Face à Saint-Etienne, on a eu beaucoup moins la possession que ce à quoi on s’attendait. Cependant, on a concédé très peu d’occasions. On agit en conséquence. On est l’équipe qui concède le moins d’expected goals derrière le Paris Saint-Germain, va veut dire quelque chose.
Après notre victoire contre les Verts, le coach a dit qu’on s’était offert le droit de rêver. On aimerait tous retrouver l’Europe. Les supporters ne demandent que ça, nous les joueurs autant. La condition, c’est d’être performants sur l’intégralité de la saison. Il n’y a pas de secret. On aime jouer, se trouver dans les petits espaces comme dans la profondeur. Petit-périmètre et verticalité, on a les deux cordes à notre arc.
Le but n’est pas d’avoir le ballon pour avoir le ballon, mais bien de créer du danger. Notre coach est tellement fort en tactique, il regarde plein de matches, il te parle de plein de joueurs. Et puis il y a son adjoint Jordan Galtier qui filme l’entraînement, en dissèque des petites séquences et on bosse dessus. Ça te fait progresser. Sur notre liste pour le Père Noël, je vais inscrire un ticket européen. Ce serait pas mal, non ?"
C'est encore Marseille, bébé !
17/12 16:52
Dimanche, les garçons auront fort à faire pour aller décrocher un ticket pour les 1/16è de finale de la Coupe contre Marseille.
Pour les filles, pas de souci, elles rentrent directement en 1/16è de finale de la Coupe de France, et le tirage leur a aussi offert la réception de Marseille. Mission sur le papier moins compliquée pour les Amazones, puisque Marseille pointe à la 4ème place de D2, à 5pts du leader lensois.
L'occasion pour Cindy Caputo et ses coéquipières de martyriser de nouveau le club qui fut notre rival n°1 lors de la montée il y a 2 saisons.
Aleksic buteur contre Rizespor
17/12 15:11
Danijel Aleksic avait suscité plein d'espoirs à son arrivée dans le Forez à l'été 2011. 2 saisons et demie plus tard, le jeune serbe avait pourtant quitté Saint-Etienne avec seulement 58 minutes disputés avec les pros, pour 33 matchs et 10 buts avec la réserve.
l'attaquant de 33 ans s'est rattrapé depuis, réussissant d'abord dans le championnat helvétique (Saint-Gall), puis s'imposant ensuite pendant 6 saisons en Turquie (Basaksehir).
Recruté cet été par Konayaspor (Turquie), il a marqué ce week-end son 3ème pion en 16 rencontres, le but de l''égalisation face à Rizespor (1-1). C'est son 4ème but de la saison toutes compétitions confondues. (vidéo à partir de la 5ème minute)
ODO remercié
17/12 10:00
Après avoir été écarté de l'équipe première dans un tweet aussi lapidaire que manquant de classe, l'ASSE annonce avoir trouvé un accord pour le départ d'Olivier Dall'Oglio ainsi que de son adjoint Grégory Pérès.
Le coach a ainsi reçu les remerciements qu'il méritait pour sa montée en L1, et a pu - chose rare - s'exprimer sur son parcours en Vert :
"L'entraîneur, ainsi que son adjoint Gregory Pérès, quittent l'ASSE avec l’empreinte de la montée, à laquelle ils resteront à jamais associés. L'ASSE tient à remercier Olivier et Grégory pour leur professionnalisme et leur engagement tout au long de leur parcours à l'ASSE.
Ivan Gazidis, Président de l'ASSE : « Nous tenons à remercier Olivier Dall'Oglio pour tout ce qu'il a apporté à l'AS Saint-Étienne, et en particulier pour le rôle central qu'il a joué dans la remontée du club en Ligue 1. Avec l'ensemble du Peuple Vert, supporters, salariés et joueurs, nous garderons en mémoire ce succès qui a marqué le club, ainsi que les qualités humaines d'Olivier. Nous lui souhaitons, ainsi qu'à Grégory Pérès, le meilleur pour la suite de leur carrière. »
Olivier Dall'Oglio : « Je tenais à exprimer ma sincère gratitude pour l'accueil chaleureux reçu depuis mon arrivée avec mon adjoint Grégory Pérès, de la part des dirigeants, de l'ensemble des salariés et des supporters stéphanois. Je suis très heureux et chanceux d’avoir vécu une intense année dans ce club mythique, avec une incroyable montée, riche en émotions, en partage, en joie… Je n’oublierai jamais cette intense énergie dégagée par le Peuple Vert dans ce bouillant Chaudron, mais aussi partout dans le pays. À l’ensemble des personnes qui m’ont témoigné leur attention, leur affection, leur soutien, faute de pouvoir leur répondre individuellement, je leur dis du fond du cœur "Infiniment Merci", FIER D'ÊTRE VERT ! »
Neyou fait (ya)mal au Barça
17/12 09:50
Titulaire pour la 12ème fois dimanche à l’occasion de la 17ème journée de Liga, Yvan Neyou a frappé un grand coup avec Leganes, en allant s’imposer sur la pelouse du Barça, 1-0.
La performance de Neyou a été très commentée en Espagne suite à un tacle sur Yamal qui a occasionné une blessure à la cheville de ce dernier.
Au point que notre ex-milieu, vivement attaqué sur les réseaux par les supporters du Barça, a dû se justifier après le match : "Le tacle sur Lamine Yamal ? Je ne vais pas le laisser marquer un but".
A l’issue de cette victoire, l'ancien milieu de terrai camerounais des Verts remonte à la 15ème place, 4 points devant l'antépénultième et premier relégable, l’Espanyol Barcelone d'Irvin Cardona.
Le promu Leganés s'est donc imposé sur le terrain du leader pour la première fois de la saison à l'extérieur après 8 tentatives infructueuses. Aux promus stéphanois d'en faire de même au Parc le 12 janvier prochain !
Hognon pour relancer Valenciennes
17/12 08:12
Neuf mois après s'être fait virer du GF38 (actuellement 12e de L2), l'ancien défenseur central stéphanois Vincent Hognon (50 ans) s'est engagé hier avec le VAFC (présentement 12e de National 1). L'ex-entraîneur du FC Metz retournera en Moselle dès ce dimanche pour étrenner ses nouvelles fonctions en 32e de finale de Coupe de France sur le terrain de Thionville (10e de son groupe en National 2).
Laurey viré
17/12 07:43
"Le FC Martigues informe que son entraîneur principal, Thierry Laurey, a été suspendu de ses fonctions" a annoncé hier le club promu en L2, actuellement lanterne rouge à 6 points de l'antépénultième et barragiste caennais. Agé de 60 ans, l'ancien joueur des Verts et ex-recruteur stéphanois s'était engagé avec le club provençal le 2 juillet. Ecrasé 4-0 le week-end dernier dans sa ville natale, il n'aura pris que 9 points en 16 matches cette saison (2 victoires, 3 nuls, 11 défaites). Pour rappel, il était en balance avec Olivier Dall'Oglio pour succéder à Laurent Batlles à l'ASSE il y a an mais Gérard Fernandez avait mis son véto.
On jouait bien à Saint-Etienne
17/12 07:19
En présence de plusieurs anciens internationaux algériens, un hommage a été rendu à Rachid Mekhloufi mercredi dernier à la Grande Mosquée de Paris. Lors de cette soirée, une interview de l'ancien meneur de jeu stéphanois a été diffusée. Extraits.
"Il y avait un Israélite qui était à Sétif et qui avait un petit journal, Le petit Sétifien. Deux feuilles… Il avait un frère qui était vers Saint-Etienne, à Roche-la-Molière. Il était un peu recruteur de l’AS Saint-Etienne. Il lui a écrit un mot en disant « voilà, j’ai un jeune à Satif qui est formidable, etc., etc. » Le bonhomme est allé voir Saint-Etienne et Saint-Etienne m’a envoyé un billet d’avion. Il y avait 3 frères : un journaliste, soi-disant, un instituteur et un qui était en France. C’est l’instituteur qui m’a matraqué. C’est terrible, ça. C’est cet instituteur qui me giflait, enfin, qui giflait tout le monde, bien sûr. C’est lui qui m’a dégoûté de l’école. C’est son frère qui m’a repéré. C’était la famille Setboun. Saint-Etienne m’envoie un billet, j’arrive à Lyon. Monsieur Garonnaire m’attendait à l’aéroport et on a pris le train.
Finalement, je suis allé directement au stade. Je me rappellerai toujours, c’était une journée de soleil magnifique. C’était le 4 août 1954. Au stade je trouve un bonhomme qui était l’entraîneur. Jean Snella. Heureux, d’une gentillesse extraordinaire. Dans la continuité du Français sympa, sans problème. Il m’a dit : « écoute, allez, on y va sur le terrain, on va te donner l’équipement, tout ça ». C’était un jeudi. C’est incroyable ça, je m’en souviens comme si c’était hier. On va à l’entraînement, on s’amuse, on a tout de suite vu que j’avais des qualités. Le dimanche, on joue un match amical de préparation. C’était contre Grenoble ou Limoges. Grenoble je crois. On gagne 6-2 et je marque 3 buts.
C’est à partir de là que ma carrière a été lancée, c’est à partir de là que je dis que j’ai eu de la chance d’être tombé sur un Monsieur comme ça, qui avait les mêmes principes de jeu que moi. Disons plutôt que j’avais les mêmes principes que lui. Imaginez une seconde que je sois tombé sur un entraîneur défensif et qui veut jouer physiquement. Je n’aurais pas fait cette carrière, j’aurais peut-être été éliminé car j’étais frêle, etc. Mais lui, il a décelé les qualités techniques, de vitesse, etc. Il m’a fait jouer dans ce sens. Bien sûr, il a fallu attendre 2 mois parce que Sétif n’avait pas envoyé l’autorisation de jouer. J’ai fait mon premier match à Nice. Regardez l’intelligence de ce Monsieur. Il ne m’a pas fait débuter à Saint-Etienne, il m’a fait débuter à l’extérieur. Il s’est dit : si je le fais démarrer à Saint-Etienne et qu’il joue mal, le public…
Le public est un public connaisseur. Il a tout de suite senti qu’il y avait quelque chose chez ce gamin de 18 ans, une patte. Bien sûr, j’ai un bon contact avec tout le public. Bien sûr, deux ans après, on est champion de France. En 1956-1957. Entretemps, Monsieur Snella avait bouleversé complètement l’équipe. Quand je suis arrivé, il y avait une équipe de gens âgés, qui avaient 30 ans et plus. Lui a décelé une jeunesse qui était en réserve amateur. Il a intégré tous ces joueurs : Ferrier, Tylinski, Peyroche, Goujon. Tous ces garçons qui étaient de ma même catégorie, il nous a mis dans le bain et un an après on était champions de France.
C’est là où l’école stéphanoise a démarré, avec cette assise technique, ce fond de jeu, cette joie de jouer. C’était la première chose que Jean Snella nous inculquait : « un joueur de football qui n’a pas de joie de jouer, il vaut mieux qu’il aille à l’usine. » J’étais très heureux, d’autant plus qu’un an après, il y a la sélection, l’équipe de France, le titre de champion du monde militaire en Argentine, etc.
J’ai quitté clandestinement la France alors que je venais de passer 4 années merveilleuses à Saint-Etienne. J’avais comme entraîneur un Monsieur qui était magnifique, j’avais des partenaires qui étaient d’une correction extraordinaire. Et puis on jouait bien au football. C’est ça qui est important pour moi. On jouait bien à Saint-Etienne. Mais c’est peut-être mon côté de Sétif qui a réagi, quand à 8 ans j’avais vu des mitrailleuses en train de tirer sur des gens. C’est possible que ce soit ça qui m’ait décidé à passer le pas.
Je ne l’ai pas dit à l’entraîneur. Je vous ferai passer l’interview que j’ai faite à un internaute de Saint-Etienne [entretien paru en 2007 sur notre site et republié le mois dernier, ndp2] , je disais que je ne l’ai dit à personne à Saint-Etienne, même pas à mon frère qui était là-bas. Et ensuite, pendant 4 ans, j’ai complètement occulté Saint-Etienne. Je ne voulais pas que mes amis de Saint-Etienne soient embêtés, d’autant plus que mon frère était avec moi à Saint-Etienne. Il a été tarabusté par les flics. Il était préparateur en pharmacie, il a été matraqué. Je ne voulais pas que des Messieurs de Saint-Etienne comme Jean Snella, Roger Rocher, etc. puissent être embêtés. J’ai préféré faire le black-out total."
Comolli et Wantier condamnés
16/12 22:22
Ex-directeur sportif de l'ASSE (du 1er juillet 2004 au 31 août 2005 et du 9 novembre 2008 au 4 octobre 2010), l'actuel président du TFC Damien Comolli a été condamné ce lundi par le tribunal correctionnel de Marseille à une amende de 30 000 euros et un an d’inéligibilité pour avoir eu recours à un faux agent, John Valovic-Galtier (fils adoptif de Christophe Galtier), qui a contribué au recrutement du potonaute Galette89 (Jordan Galtier) au poste d'entraîneur adjoint du TFC.
Ancien responsable du recrutement de l'ASSE (de 2015 à 2020) officiant depuis 2 ans à l'AJ Auxerre, David Wantier, qualifié par le procureur d'"agent de façade" et de "prête-nom" a quant à lui été condamné à trois mois de prison avec sursis, à trois ans d'inélégibilité et à une amende de 5 000 euros. Resté proche de Loïc Perrin dont il a été longtemps l'agent, David Venditelli a été condamné à un an de prison avec sursis, 200 000 euros d'amende et une inéligibilité de cinq ans.
Hérita vote Zoumana
16/12 21:24
"Quel plaisir de retrouver à Marrakech mon ex-coéquipier et frère, Papus ! À Saint-Étienne, nous avons partagé bien plus que le terrain, des souvenirs forts et inoubliables" a posté hier Hérita Ilunga sur son compte X. "Son parcours d’entraîneur, sa vision moderne et son expertise font de lui un profil parfait pour un projet ambitieux. Exactement ce dont l’ASSE aurait besoin ! Bon courage et à bientôt coach" a ajouté l'ex-latéral gauche des Verts et actuel président de l’Union des Footballeurs du Congo.
Un nouvel Eirik à l'ASSE ? (2)
16/12 20:37
La Pravda confirme ce soir la piste révélée hier par Foot Mercato menant à Eirik Horneland, qui a défendu les couelurs de Brann Bergen à l'instar de l'ancien milieu de terrain stéphanois Eirik Birkelund. Extraits.
"Horneland intéresserait plusieurs franchises de la Major League Soccer (MLS), le Championnat nord-américain, un club de République tchèque et l'AS Saint-Étienne. Élu entraîneur de l'année 2022 dans son pays, il aurait déjà rencontré le board stéphanois. Cela accréditerait la thèse selon laquelle le limogeage de Dall'Oglio de son poste d'entraîneur des Verts samedi ne résulte pas de la défaite à Toulouse mais de la volonté d'un changement radical de cap programmé par ses nouveaux dirigeants.
Selon une indiscrétion venue de Norvège, les négociations avanceraient assez vite. Un cap décisif quant à sa possible venue chez les Verts pourrait être franchi jeudi. Horneland n'a, jamais entraîné à l'étranger mais il possède des atouts : son 4-3-3, soit le même système de jeu préférentiel que Dall'Oglio, a fait ses preuves dans son pays. Il a réussi dans le club de Bergen, deuxième ville de Norvège mais première en termes de passion pour le football.
Horneland a notamment eu Hassan El-Fakiri (47 ans) comme adjoint. Cet ancien international norvégien d'origine marocaine (8 sélections) connaît déjà le Championnat de France pour y avoir joué avec Monaco (2000-2005). Celui-ci parle français. Ce qui n'est pas (encore) le cas de Horneland."
Le grand respect d'Idriss pour Gomis
16/12 07:40
Installé dans le Var où il vient de finir sa carrière en Régional 2 à Saint-Tropez, Idriss Ech Chergui (39 ans) rend hommage dans Monaco-Matin au jeune retraité Bafé Gomis, son ancien coéquipier de la très belle génération des 1985 (avec Loïc Perrin, Carl Medjani et Samy Houri).
"Au centre de formation, c'était un peu la guerre au meilleur buteur. Je me suis pas mal servi de Bafé parce que c'était un super joueur d'appui. On est tous fiers de sa carrière, il a beaucoup travaillé pour en arriver là. J'ai un grand respect pour lui car il ne change pas avec le temps : il est respectueux et essaie de faire plaisir aux gens."
Bentayg décisif contre Enyimba
16/12 07:22
S'il n'a pas pris part hier au succès de Zamalek, Mahmoud Bentayg a été passeur décisif (du genou !) une semaine plus tôt en Coupe de la Confédération lors du match nul 2-2 des Chevaliers Blancs sur le terrain d'Enyimba (Nigéria).
Zamalek 🇪🇬 take the lead!
— Pan-Africa Football (@PanAfricaFooty) December 8, 2024
The defending #CAFCC champions are ahead in Nigeria with a strike from Seifeddine Jaziri. The Tunisian scored after a direct sequence.
Enyimba 🇳🇬 0-1 Zamalek 🇪🇬 through 35 minutes.#Zamalek #ZamalekSC #MostTitledIn20C #TotalEnergiesCAFCC pic.twitter.com/rOi2MKH3GJ
Le latéral marocain prêté avec option d'achat par l'ASSE a encore 3 matches de championnat égyptien au programme pour finir l'année 2024 : contre Ceramica Cleopatra le 19 décembre, El Geish le 24 et Al Ittihad le 29.
Batubinsika est le moins bon des meilleurs
16/12 07:07
La Pravda a actualisé aujourd'hui son classement des meilleurs joueurs par équipe depuis le début de saison de L1.
1. Cherki (vilains) : 6,50
2. Ben Seghir (Monaco) : 6,23
3. Dembélé (Paris) : 6,22
4. Guessand (Nice), Rulli (Marseille) : 6,07
6. Chevalier (Lille) : 6
7. Traoré (Auxerre) : 5,92
8. Kusanov (Lens) : 5,91
9. Blas (Rennes), Simon (Nantes) : 5,71
11. Agbadou (Reims) : 5,64
12. Touré (Le Havre) : 5,62
13. Santos (Strasbourg) : 5,57
14. Restes (Toulouse) : 5,47
15. Del Castillo (Brest),Fofana (Angers) : 5,40
17. Nzingoula (Montpellier) : 4,89
18. Batubinsika (Saint-Etienne) : 4,79
Le club ne souhaite pas changer de cap ?
15/12 21:27
Dans la dernière édition du Dauphiné Libéré, le journaliste Clément Goutelle revient sur le limogeage d'Olivier Dall'Oglio. Extraits.
"Du côté du club, plus que les résultats, on évoque un désaccord de fond, notamment sur les joueurs à cibler pour le mercato. Avec 13 points, le club stéphanois est encore dans la course pour le maintien. Ivan Gazidis, président de l’ASSE, reprocherait davantage la forme. Car l’objectif donné par la direction est multiple : maintenir le club tout en développant les joueurs et en donnant une identité de jeu à l’équipe. Malgré une première partie de saison qui ressemble à un avertissement, le club ne compte pas changer de cap. "Le maintien doit passer par le développement de l’effectif", nous explique-t-on en interne.
Le club devrait se montrer actif au mercato hivernal sans changer pour autant ses cibles principales : des jeunes joueurs à développer. Un joueur d’expérience n’est pas à exclure mais ce ne serait pas la piste prioritaire. Le coach ne doit pas forcément connaître la Ligue 1 mais davantage répondre aux trois axes cités précédemment. Wilfried Nancy, coach qui a mené le Columbus Crew au titre de MLS aux États-Unis, sera-t-il celui-ci ? Rien de sûr car le club de l’Ohio ne lâchera pas facilement son entraîneur sous contrat jusqu’en décembre 2026."
Comolli vise l'excellence en permanence
15/12 21:09
Bien plus performant en tant que président du TFC qui ne l'était en tant que directeur sportif de l'ASSE, Son Excellence Damien Comolli était l'invité de l'émission Dimanche en Politique - Midi Pyrénées sur France 3 Occitanie au surlendemain de la victoire de la renversante victoire des Violets contre les Verts. Extraits.
"Il y a une fierté occitane. Le chant "Se Canta" est entonné plusieurs fois : avant le match mais aussi pendant le match car il est repris de façon régulière par nos supporters, y compris à l’extérieur. C’est un symbole fort. C’est un marquer qui unit nos supporters, notre communauté avec nos joueurs dès le coup d’envoi. Quand on est arrivé il y a 4 ans, on a essayé de réancrer le club dans la cité de Toulouse. Le Stadium est sur une île, c’est le seul club en Europe qui a un stade sur une île. Il est relayé bien évidemment via des ponts au reste de la ville.
Symboliquement, les ponts étaient par terre. Il n’y avait plus de relations entre la ville et le club. On a cherché à reconstruire ces ponts, ça passe par cet ancrage local. On a le plus jeune public de France, la moyenne d’âge de nos spectateurs est de 34 ans. On a un public qui se féminise de plus en plus. Une famille se retrouve autour de valeurs, d’un endroit, d’une maison. Notre maison, c’est le Stadium. Cette maison, on l’anime avec notre authenticité. On veut redevenir le grand club d’Occitanie. Ça passe par le Se Canto et tout l’habillage qu’il y a autour du stade.
On a gagné rapidement quand on est arrivé. Ça ne s’improvise pas, sinon je serais payé pour rien… On a programmé le fait de gagner, mais il y a toujours une part de hasard. Le fait qu’on ait gagné vite et qu’on ait bien communiqué avec nos supporters, avec notre communauté, avec nos sponsors, avec les médias, qu’on ait une identité forte sur le terrain symbolisée notamment par nos pitchouns... Tout ça fait qu’on a recréé ce lien. On a une des meilleures ambiances de France. Notre public n’est pas violent, il n’insulte pas, ni l’arbitre ni les adversaires.
Quand on vient au Stadium, on vient pour passer une très bonne après-midi. Avant qu’on arrive, les gens arrivaient au Stadium en moyenne 25 minutes avant le match. Maintenant isl arrivent 65 minutes avant le match. Il y a plein d’activités à faire sur le parvis du stade. On investit énormément de temps et d’argent dans ces aspect-là : « venez nous voir, vous allez être divertis au Stadium, dans les tribunes et sur le terrain. »
Avant de remporter la Coupe de France, on a été champions de France de Ligue 2. Quand je suis arrivé à Toulouse, on m’avait dit : "Ici, il n’y a pas de passion, le club n’est pas populaire, les Toulousains n’aiment pas leur club, ce n’est pas une ville de foot." Mais la saison de la montée, on a fait des matches à guichets fermés en L2. J’ai ressenti de la passion, j’ai rencontré des gens passionnés. Le jour où on a présenté la Coupe de France place du Capitole, on a ressenti de l’amour et de la passion. On a quelque chose entre les mains qui est extraordinaire, énorme.
Je ne sais pas ci c’est la méthode Comolli mais on a une obsession, qui est celle de progresser. On a cette obsession du progrès et de la performance. L’excellence, c’est un mot qu’on utilise en permanence. Chaque fin de saison, on se réunit au club et on dit : « que faire pour faire mieux ? » Tous les ans on essaye de faire mieux et pour l’instant, tous les ans on a fait mieux. Gagner la Coupe de France tous les ans, ça ne va pas être facile mais tous les ans on monte au classement petit à petit, on grapille.
Quand on est arrivé, la première chose que j’ai dite, c’est "la 4ème ville de France ne peut pas être en L2." A aucun moment je n’ai dit qu’on allait remonter d’ici 2 ou 3 ans. J’ai dit qu’on devait être en Ligue 1, qu’il n’y avait pas d’autre solution. La même année, alors qu’on était en L2, j’ai dit aux joueurs qu’il fallait amener le club en Coupe d’Europe. Je ne savais pas qu’on allait y arriver si vite que ça. Mais la bientôt 3e ville en France – on va passer devant Lyon – avec la dynamique économique et démographique incroyable dans cette commune, ne peut pas ne pas être en Europe. On doit représenter la ville et la région dans les compétitions européennes.
On n’a pas honte d’être ambitieux, on veut retourner en Coupe d’Europe, bien évidemment. J’ai eu de la chance, pendant toute ma carrière, dans tous les clubs où je suis passé, j’ai joué la Coupe d’Europe : à Tottenham, à Liverpool, à Arsenal, à Fenerbahce, à Saint-Etienne. On met Toulouse sur la carte du monde. La saison passée, quand on était en Coupe d’Europe, ce sont 220 pays qui retransmettent. Dans 220 pays on a parlé de Toulouse, de son équipe de foot, de la ville et de l’Occitanie.
On est bientôt la 3e ville de France mais on est la 14e en termes d’infrastructures, en termes de grandeur de stade. Ça place le "problème." On a le plus grand club de rugby du monde dans laville et on a un club de football extrêmement ambitieux qui en quelques années a gagné 2 trophées et s’est retrouvé en Coupe d’Europe et veut y retourner. Il faut se projeter en 2050. Que veut-on faire de notre club, de notre ville, de notre stade en 2050. On a beaucoup de supporters, on a 20% d’abonnés qui viennent en dehors de la Haute-Garonne.
Avec le maire et le président du Stade Toulousain, on discute ce qu’on peut faire de ce stade. Est-ce qu’on l’agrandir, le transformer, en faire un centre de spectacle, de conventions, de séminaires. Idéalement il faudrait un stade couvert. Il faut penser grand. Toulouse est une métropole internationale, elle a sa place sur la carte su sport mondial. On a été très actif sur le mercato d’été, on va être très calme sur le mercato d’hiver. On veut retourner en Coupe d’Europe, il y a différents moyens de le faire : finir dans les 7 premiers ou gagner la Coupe de France. Je ne sais pas comment on va le faire mais on veut le faire."
Un nouvel Eirik à l'ASSE ?
15/12 19:28
Après avoir compté 18 mois dans ses rangs le milieu de terrain norvégien Eirik Birkelund (30 ans), qui avait débarqué en janvier 2013 en provenance de Brann Bergen, l'ASSE pense selon Foot Mercato à un autre Eirik (Horneland), lui aussi norvégien, qui vient de quitter... Brann Bergen. Extraits.
"La direction stéphanoise travaille pour dénicher le successeur d'Olivier Dall'Oglio. Plusieurs profils sont à l’étude (Wilfried Nancy plait à Saint-Etienne, mais le dossier très compliqué), dont celui d’Habib Beye mais aussi d’Eirik Horneland. Ces derniers jours, il a quitté Brann (son contrat expire officiellement le 31 décembre), club où il officiait comme entraîneur depuis août 2021, et avec qui il avait notamment terminé à la 2e place du championnat norvégien en 2023 et 2024 et participé aux barrages de C4. Ce dernier, qui a révélé il y a quelques jours qu’il voulait coacher à l’étranger, avait aussi connu auparavant des expériences à la tête des sélections norvégienne U18 et U19, puis dans des clubs comme Haugesund et Rosenborg."
Eirik Horneland a en effet été entraîneur adjoint d'un certain Alexander Söderlund à Haugesund avant de retrouver l'ancien avant-centre stéphanois à Rosenborg en tant qu'entraîneur numéro 1.
Gambardella : Les Verts éliminés d’entrée
15/12 19:15
Nadir El Jamali, unique buteur du jour
Les Stéphanois, coachés par Frédéric Dugand, se déplaçaient à Annecy ce dimanche pour leur entrée en Coupe Gambardella, compétition réservée aux U18, rappelons-le.
Comme l’an passé face à Nancy, les jeunes Verts se sont fait sortir par un adversaire évoluant en R1, au terme d’une séance de tirs au but (2-3) fatale aux Verts. (1-1 à la fin du match)
Les Verts entamaient pourtant de bonne façon cette rencontre, avec l’ouverture du score au 1er quart d’heure, Nadir El Jamali se retrouvant à la conclusion d’une passe de Medhy Lutin Zidee (Annecy 0 ASSE 1, 15ème). Ce même Medhy Lutin Zidee, habituel titulaire avec les U17 de David Le Moal obtenait ensuite un pénalty, malheureusement repoussé par le portier annecien. Au lieu de mener par 2 buts d’écarts à la pause, c’est sur un score de parité qu’intervenait la pause, Annecy profitant d’un cafouillage dans la surface verte pour égaliser. (Annecy 1 ASSE 1, Mi-tps)
Face à un bloc bas annécien en seconde période, les Stéphanois ne vont pas trouver la faille et c’est sur une séance de tirs au but que va se jouer la qualification. Beaucoup de regrets pour les jeunes Verts qui vont voir à 2 reprises l’adversaire manquer leur frappe, mais vont faire pire en échouant à 3 reprises sur cet exercice !
Place à la trêve maintenant pour les jeunes, avant de retrouver le chemin des championnats nationaux en Janvier où les U17 caracolent en tête de leur groupe, quand les U19 restent à portée du podium.
But : El Jamali
La composition : Derache – Grillot, Boukadida, Dodote, Camara – Tatuszka (Zerga 70ème), Eymard, El Jamali- Ben Tiba, Moulin (Aini 76ème), Lutin Zidee (Guerroudj 70ème)
La réaction de Frédéric Dugand : "Beaucoup de déception. On réalise une bonne première période où on doit rentrer à la pause avec 2 ou 3 buts d’avance. En seconde mi-temps on n’a pas su mettre suffisamment en danger un adversaire nous attendant en bloc bas. Il aurait fallu un supplément d’âme, gagner plus de duels et avoir un état d’esprit plus « coupe ». C’est dommage, aux joueurs de retenir de cette élimination."
La réserve s'impose chez le leader (2)
15/12 15:20
Dans sa dernière édition, Le Dauphiné Libéré revient sur la belle victoire de la réserve stéphanoise décrochée hier sur le terrain du leader berjallien. Extraits.
"À 10 jours de Noël, le FC Bourgoin-Jallieu a tenu le rôle de celui qui distribue facilement les cadeaux. Les hommes de Freddy Morel ont été surpris par une jeune réserve de Saint-Étienne, joueuse et technique, décisive dans les deux mi-temps. Disposés dans leur habituel 3-4-1-2, les joueurs du FCBJ ont été gênés par le losange stéphanois. Les Verts se retrouvaient souvent en supériorité numérique dans l’entrejeu et profitaient aussi d’une légère apathie des Nord-Isérois, comme entamés physiquement.
Freddy Morel, coach du FCBJ : «"Nous sommes déçus de notre première mi-temps. En deuxième, on a plutôt bien géré parce qu’on a défendu vingt mètres plus haut. On a eu beaucoup de déchet technique, on fait des erreurs individuelles. On donne trois buts à l’adversaire, qui a bien su exploiter les espaces qu’on lui a laissés. C’est frustrant."
Pierre Kohser, attaquant du FCBJ : "On est très déçus. On était sur une bonne série. C’est un match qu’on doit gagner, qu’on doit avoir en main. On l’a laissé échapper et on a su revenir. Le match s’est emballé, c’était pile ou face et ça n’a pas tourné en notre faveur cette fois."
Alors qu'ils étaient antépénultièmes donc relégables au coup d'envoi de cette rencontre de la 11e journée de N3, les protégés de Razik Nedder ont quitté la zone rouge. S'ils occupent désormais la 9e place grâce à la défaite de Chassieu Décines et du nul d'Espaly à Chambéry, les Verts vont encore devoir batailler pour le maintien car ils ne comptent qu'un point de plus que le premier relégable. L'ASSE bouclera la phase aller par la réception de la lanterne rouge Hauts Lyonnais (le dimanche 12 janvier) et par un déplacement à Chamalières (7e).
Stinat au sifflet pour le dernier match de l'année
15/12 14:49
Jérémy Stinat sera au sifflet dimanche prochain dès 14h45 dans le Chaudron pour le 32e de finale de Coupe de France entre l'ASSE et l'OM, dont les supporters ont encore été interdits de déplacement par un arrêté du préfet de la Loire signé le 11 décembre. Le natif de Chartres, qui fête aujourd'hui ses 46 ans, porte davantage chance aux Phocéens (5 victoires, 2 nuls, 1 défaite) qu'aux Verts (3 victoires, 1 nul, 2 défaites), notamment en Coupe de France.
C'est en effet lui qui officiait le 11 février 2021 à Auguste-Bonal quand le Sainté de Claude Puel s'était fait éliminer dès les 32èmes de finale par le FC Sochaux de Papou Paye suite à une grosse boulette de Pape Abou Cissé. C'est également lui qui au même stade de compétition avait validé le 7 janvier 2023 les deux buts de la qualification de Marseille à Francis Turcan aux dépens du Hyères FC d'Idriss Ech Chergui.
Owusu retrouve le sourire
15/12 14:17
Huit jours après sa terrible bourde qui avait entraîné la défaite de QRM contre Rouen lors du premier derby de l'histoire en championnat entre les deux clubs rivaux, Beres Owusu s'est imposé 2-1 hier devant Concarneau à l'occasion de sa 9e titularisation en National 1 dans un stade Robert Diochon 11 fois moins rempli que le 6 décembre (700 spectateurs contre 7 800).
Cette fois le défenseur central stéphanois n'a pas commis de boulette. Compant désormais 5 points d'avance sur le premier relégable (Villefranche), son équipe jouera la semaine prochaine à Challans (Vendée) contre Saint-Philbert de Grand-Lieu (N3), qui a éliminé le Pau FC au tour précédent.
L'autre joueur prêté par l'ASSE sans option d'achat dans un club de National (Darling Bladi à Bourg-Péronnas) n'a pas pris part à la victoire de son équipe contre un FC Versailles qui enchaîne les défaites sous les ordres de l'ex-vilain Jordan Gonzalez alors qu'il performait lors de l'intérim assuré par un Jérémy Clément redevenu adjoint.
Maurice Bouquet reste fan de Brest
15/12 09:19
S'il évoque ses vertes années aujourd'hui dans Ouest-France, c'est surtout du Stade Brestois dont parle avec enthousiasme l'ancien milieu de terrain Maurice Bouquet. Extraits.
"J’ai été entraîneur et directeur technique du Blois Foot 41 (N2). Ensuite je suis parti trois ans à Chartres pour mettre en place une politique de jeunes, mais qui ne correspondait pas à ce que j’attendais. Je suis donc revenu sur Blois et, comme j’étais libre, mon président m’a proposé de venir à ses côtés en tant que conseiller. Afin de continuer à œuvrer pour faire fonctionner au mieux notre club. Aujourd’hui, j’occupe aussi une place au conseil d’administration.
Brest, c’est le club qui m’a permis de faire une carrière, d’éclore dans le milieu professionnel. Ce n’est pas donné à tout le monde et ça reste marqué à vie. On en garde automatiquement un très grand souvenir. Les Brestois m’ont accepté parce que j’avais des valeurs footballistiques qui correspondaient à la mentalité bretonne. Tout au long de mon passage à Brest, ça a été une communion entre eux et moi. J’ai toujours eu leur soutien et, au fil des années, j’ai vraiment eu l’impression d’être devenu un Breton.
Je compensais certaines qualités que je n’avais sans doute pas par cette envie qui me donnait un enthousiasme, une volonté sur le terrain. Être tout le temps un gagneur, ne jamais rien lâcher… C’est une période où cela fonctionnait très bien à Brest, parce qu’on était dans les vraies valeurs du foot. On se surpassait, on se remettait en question à chaque match. Disons que de par mon attitude sur le terrain j’avais acquis une identité de leader. Tout naturellement, les coaches que j’ai connus m’ont confié le brassard.
En 1991, avec la liquidation judiciaire du Brest Armorique, mon aventure finistérienne a pris fin et j'ai signé à Saint-Etienne. J’ai découvert un club d’une autre dimension, avec un côté moins "amateur", des structures plus professionnelles. Et, comme François Yvinec à Brest, à nouveau un grand président, André Laurent. J’ai eu des relations humaines très fortes avec eux. Et à Saint-Étienne, j’ai eu la chance de jouer avec des Joseph-Antoine Bell, Lubomir Moravcik, Sylvain Kastendeuch ou encore Gérald Passi, qui est devenu un très grand ami.
Le Stade Brestois, c’est le club que je suis tous les week-ends. On ne peut pas y avoir passé autant d’années sans être profondément marqué. J’ai vécu l’aventure de l’année dernière. Ce qui me dérangeait un peu, c’est que l’on remettait en cause le fait qu’ils se qualifient en Ligue des champions, alors qu’ils l’avaient totalement mérité. Ce sont eux qui l’ont fait, qui ont eu les résultats pour. Certains ont voulu minimiser cela. Aujourd’hui je suis très heureux de ce qu’ils réalisent en Ligue des champions.
Dans le football, il n’y a pas que la valeur argent qui compte, il y a aussi la valeur collective, l’envie de faire des efforts les uns pour les autres, la sueur. À Brest, je vois des joueurs qui progressent individuellement, mais pour un collectif. Selon moi, ils représentent ces valeurs qui se perdent, et ils sont peut-être en train de les remettre au goût du jour. Je suis persuadé que c’est comme ça que le football pourra enfin rallumer des étoiles dans les yeux des enfants. Les Brestois font honneur au football français et affichent des valeurs insoupçonnées."
Seuls Rudi et Juju ont fait pire qu'ODO
15/12 08:55
Stats d'Opta à l'appui, la Pravda du jour met en exergue le piètre bilan d'Olivier Dall'Oglio en tant qu'entraîneur stéphanois en Ligue 1.
U15 : les Sanpriods n'ont pas fait de cadeaux
14/12 22:22
Léo Fayolle, auteur de l'égalisation
Pour le dernier match aller, les U15 de Jean-Philippe Primard recevaient leurs homologues de l'AS Saint-Priest, un club dont la qualité de la formation est largement reconnue. Restant sur trois victoires consécutives, les Verts ont été stoppés dans leur élan et ont concédé le nul (1-1), un nul qui leur permet de revenir toutefois à un point du leader clermontois, largement battu à Valence, là-même où les Stéphanois s'étaient imposés il y a deux semaines. Le premier match retour, après la trêve hivernale, permettra de régler cette rivalité régionale puisqu'ils mettra aux prises Auvergnats et Foréziens.
Après une bonne entame, sur une action un peu anodine, Haris Tiambo, en voulant dégager un ballon de sa surface, éfleurait légèrement le ballon de la main. L'arbitre sifflait un penalty que Léopold Dubanchet arrêtait. C'était la 26ème minute. Trois minutes plus tard, suite à un cafouillage dans la surface des Verts, pas suffisamment agressifs, un Sanpriod parvenait à ouvrir la marque. (ASSE - AS St-Priest : 0-1, 29ème). St-Priest prenait alors le jeu à son compte, profitant de l'effet psychologique. Les Verts étaient trop loin au marquage et n'arrivaient pas à ressortir les ballons.
Après le repos, les Verts réagissaient, mais le jeu restait brouillon, sans maîtrise, sans jeu combiné, avec trop d'actions individuelles. Les attaques fusaient certes de part et d'autre, mais elles n'étaient pas concluantes. A la 70ème minute, sur une attaque de St-Priest dans la profondeur, Milan Dubien, un peu court, détournait, de la tête, sur la transversale de Léopold Dubanchet. C'était le tournant du match, car, quelques minutes plus tard, sur un coup de pied arrêté, le gardien sanpriod relâchait le ballon sur une magnifique reprise stéphanoise et Léo Fayolle, en embuscade à cinq mètres du but, parvenait à égaliser. (ASSE - St-Priest : 1-1, 79ème). Dans le temps additionnel, les Verts auraient même pu l'emporter, se créant quelques occasions, mais au bout du compte, ce match nul peut être considéré comme logique.
Désormais, après encore une semaine d'entraînement, les U15 seront en vacances jusqu'au 6 janvier. Trois matchs amicaux devraient meubler la reprise avant le début des matchs retour à Clermont le 8 février.
La composition : Dubanchet - Fayolle, Dubien, Tiambo, Bufferne - Dagbo, Hadj Mebarek (Demassieux, 40ème), Kissoum - Combier (Rogui, 40ème), El Omari (Cuozzi, 72ème), Cuozzi (Reynoudt, 55ème).
La réaction de Jean-Philippe Primard : "En gros, c'est un résultat assez logique. Nous avons fait vingt-cinq premières minutes de qualité dans le jeu. Nous n'étions pas mis en danger. Il nous manquait seulement les occasions de but. Le match a basculé peu avant la demi-heure lorsque St-Priest a ouvert la marque peu après un penalty stoppé par notre gardien. Jusqu'au repos, ce sont nos adversaires qui ont eu la mainmise sur la rencontre. En seconde période, notre jeu a manqué de liant, de collectif, même si nous sommes créés quelques occasions. Malgré tout, St-Priest est passé tout près du break, et nous avons trouvé les ressources pour égaliser en fin de match. Notre adversaire n'a pas volé son match nul, mais j'estime que nous avons fait un match décevant, en terme de performance individuelle et collective."
La réserve s'impose chez le leader !
14/12 21:22
Vous avez pu suivre la rencontre en direct sur notre forum et sur notre compte X (ex-twitter) grâce au potonaute Grand Rub, présent à Pierre-Rajon : l'équipe réserve s'est imposée 3-2 sur le terrain du leader berjallien ce soir.
Sur un excellent service de Kévin Pedro, Djylian N'Guessan a ouvert le score à la 27e minute. Trois minutes après la reprise, Igor Miladinovic a inscrit le but du break sur un penalty obtenu par Ayman Aiki. Les Berjalliens ont réduit le score dans la foulée avant d'égaliser à la 61e. Mais Igor Miladinovic a redonné un avantage définitif aux Stéphanois à l'entame du dernier quart d'heure. Grâce à ce succès, les Verts sortent de la zone rouge !
La compo : Touré - Pédro, Kinunga, Ndiaye, Makhloufi - Sahraoui (c), Gadegbeku, Fall, Miladinovic (J.Mouton, 78')- Aiki (Lhery, 60'), N'Guessan (Agesilas, 60').
La réaction de Razik Nedder :
ODO viré
14/12 18:54
S'il aura permis aux Verts de retrouver leur place dans l'élite, ODO n'aura pas survécu à sa 10e défaite de la saison en 15 matches, comme l'atteste ce communiqué lapidaire publié ce soir par le site officiel de l'ASSE.
"L’AS Saint-Étienne a déchargé Olivier Dall’Oglio de ses fonctions d’entraineur de l’équipe professionnelle à compter de ce jour. Jusqu’à nouvel ordre, l’encadrement de l’équipe professionnelle sera assuré par Laurent Huard, Directeur du Centre de Formation de l’ASSE."
Pour rappel, le natif de Fougères avait déjà assuré l'intérim après le limogeage de Laurent Batlles la saison passée, le temps d'un match de Coupe de France perdu à la maison contre le Nîmes Olympique.
Tanenbaum au Hall of Fame
14/12 18:27
Comme le rapporte 3DownNation, Larry Tanenbaum a été nommé cette semaine au Canadian Business Hall of Fame.
"Tanenbaum détient une participation de 20 % dans MLSE, qui possède les Argonauts de Toronto, les Maple Leafs de Toronto, les Raptors de Toronto, le Toronto FC, les Marlies de Toronto de l’AHL, les Raptors 905 de la NBA G League et le Toronto FC II de la MLS NEXT Pro League. Les Argonauts ont remporté trois Coupes Grey depuis que le natif de Toronto a pris une part de propriété de l’équipe, dont une le mois dernier au BC Place Stadium de Vancouver.
L’homme de 79 ans, qui est également président et chef de la direction de Kilmer Van Nostrand Co. Ltd., recevra cet honneur aux côtés de Ryan Beedie, président de Beedie en Colombie-Britannique, de Jacynthe Côté, présidente du conseil d’administration de la Banque Royale du Canada et ancienne présidente du conseil d’administration d’Hydro-Québec, et de Pierre Lassonde, président émérite de Franco-Nevada Corp.
Ces Canadiens seront officiellement intronisés lors de la cérémonie d’intronisation du Canadian Business Hall of Fame qui aura lieu au Palais des congrès de Toronto le 22 mai 2025."
Si tout se passe bien, le propriétaire de l'ASSE sera dès le surlendemain au Stade de France pour voir les Verts soulever la 7e Coupe de France de leur histoire. Mais cela passe déjà par une victoire contre l'OM dans 8 jours dans le Chaudron en 32e de finale.
1 point sur 24 à l'extérieur...
14/12 17:46
Depuis le début de saison, l'ASSE n'a pris qu'un petit point (à Nantes) en huit déplacements. Selon Opta, c’est son plus faible total hors de ses bases à ce stade d’une saison, à égalité avec 1946-1947 et 1990-1991.
Comme ceux d'Ignace Tax, les protégés de Christian Sarramagna avaient bouclé leur saison avec 6 de plus que les premiers relégués. On souhaite aux hommes d'Olivier Dall'Oglio de décrocher à leur tour un maintien serein.
Un grand défi attend la réserve
14/12 13:25
Entraîneur d'une équipe réserve actuellement antépénultième (comme l'équipe une), Razik Nedder s'est brièvement confié au Progrès avant de défier Joris Mendy et ses coéquipiers ce samedi à 18h00 en Isère lors de la 11e journée de National 3.
"Bourgoin est un gros morceau de ce championnat qui, en plus, a l’habitude de performer face aux réserves. Il a mis 3 buts à Lyon, 6 à Clermont, donc on sait qu’un gros défi nous attend chez le leader. Pour autant, on reste sur 4 matchs sans défaite et on doit surfer sur cette dynamique. Vu ce que l’on a proposé sur la phase aller, je trouve le classement un peu sévère. On a 3 points minimum à aller chercher sur la fin de la phase aller, on a 3 matchs pour cela avant de faire les comptes de la mi-saison."
Le Berjallien Mehdi Moujetzky évoque la réception des jeunes Verts dans la dernière édition du Dauphiné Libéré.
"On reste sur 5 matches, 5 victoires. On est en pleine confiance avant d’affronter Saint-Étienne, on a retrouvé notre place de leader. On aborde ce match prudemment, c’est une équipe de centre de formation, à tout moment on peut être surpris même s’ils restent sur des mauvais résultats. On a une motivation en plus parce qu’on peut être champion d’automne. On peut terminer en beauté devant nos supporters.
Le match contre Martigues du week-end prochain ? Il n’y a pas beaucoup de joueurs dans l’équipe qui ont déjà fait un 32e de finale de Coupe de France. On sait que c’est historique pour le club. Se frotter à une Ligue 2, c’est toujours excitant. Mais comme nous l’a dit le président, l’objectif principal c’est le championnat et on a un match face à Saint-Étienne qu’il faudra gagner avant de parler de Martigues."
Annecy veut croire en l'exploit en Gambardella
14/12 11:52
Ancien acolyte d'Anthony Briançon dans la charnière centrale du Nîmes Olympique et actuel entraîneur des U18 du FC Annecy, l'ex-international nigérien Hervé Lybohy s'est confié au Dauphiné Libéré avant d'accueillir les protégés de Frédéric Dugand ce dimanche à 14h30 en 64e de finale de Coupe Gambardella. Extraits.
"J'ai joué en Ligue 1 sans jamais passer par un centre de formation lors de ma carrière. Ce parcours atypique me sert tous les jours pour faire prendre conscience à mes joueurs de l’exigence du haut niveau. Parfois ils ne se rendent pas compte de la difficulté que c’est. C’est une exigence au quotidien. On peut être dur tout en étant proche de ses joueurs. Je me vois un peu dans les entraîneurs que j’ai eus qui étaient comme ça. Notre objectif est d’abord de sécuriser le maintien dans un championnat avec des hauts et des bas [Annecy n'est que 8e sur 13 dans son groupe de Régional 1, ndp2]. Mais le tirage au sort de la Gambardella a boosté le groupe. Pour certains, c’est la dernière fois qu’ils jouent cette compétition donc ils ont envie de donner une bonne image et d’aller loin. Saint-Etienne, c’est un gros morceau mais on va mettre toutes les chances de notre côté pour essayer de se qualifier."