Au tour de Bajic (3)
18/10 13:37
Le 1er octobre dernier, Stefan Bajic, qui opère en U17 sous les ordres de Jean-Philippe Primard ou Razik Nedder,(sans oublier ses formateurs spécifiques que sont Jérémie Janot et Mickaël Dumas), avait honoré sa première sélection dans l'équipe de France U16, dirigée par Patrick Gonfalone.
Il a su convaincre son coach qui fait de nouveau appel à lui pour le Tournoi du Val de Marne qui se déroulera du 23 au 30 octobre et qui verra la France affronter la Russie (mardi 25 à Limeil-Brévannes), l'Angleterre (jeudi 27 à Boissy-Saint-Léger) et les Etats-Unis (samedi 27 au Plessis-Trévise).
Dans les convoqués on trouve 3 Toulousains, 1 petit vilain, le fils de Lilian Thuram et Franck Rivollier, un Troyen né à ...Saint-Etienne.
2017=2016
18/10 10:53
Après 2 matchs sans victoire, les Verts perdent l'avance qu'ils avaient pris par rapport à la saison précédente dans le Club par Club, la faute à une contre-performance face à un promu, chose rare à Sainté.
La suite de 6 matchs qui attend l'équipe dans les prochaines semaines sera importante. L'ASSE n'avait pris que 5 points sur ces confrontations l'an passé. L'occasion rêvée pour reprendre de l'avance avant d'entamer le sprint final de la première phase.
Varrault est vert (2)
18/10 07:46
Expulsé en fin de match pour avoir trop vertement contesté le péno égalisateur des Verts, le capitaine dijonnais Cédric Varrault plaide non coupable dans la Pravda du jour.
"Le temps que l'arbitre a mis à siffler, au moins cinq secondes, alors que nos adversaires ne réclamaient rien, m'a poussé à réagir ainsi. Il m'a mis un carton jaune, ce que je peux comprendre. Mais je ne pige pas pourquoi il m'a aussitôt brandi un carton rouge, alors qu'il ne me semble pas lui avoir reparlé. Dans les couloirs de Geoffroy-Guichard, Bryan Dabo et Jessy Moulin ont dû me retenir. J'ai entendu des mots provocateurs prononcés contre nous. Je n'ai aucun problème avec les joueurs, ni le staff des Verts, mais ce qu'a dit cette personne [ndp2 : Fabrice Grange, entraîneur des gardiens stéphanois] était déplacé. Il faut avoir un minimum de respect pour ses adversaires, surtout quand on sait qu'ils ont été frustrés par une décision contraire."
Nolan Roux au bout du bout
18/10 07:23
Après avoir marqué à la 93e minute contre Lille et égalisé à la 94e contre Anderlecht, Nolan Roux a arraché le nul à la 95e contre Dijon. Le roi du money-time stéphanois livre ses impressions dans Le Progrès du jour. Extraits.
"On a eu le mérite de ne pas abandonner, de ne pas abdiquer. À la manière de Loïc qui est dans la surface et obtient ce penalty. C’est devenu monnaie courante pour nous d’égaliser ou de l’emporter à la fin et c’est ce qui s’est produit à nouveau. On peut dire que c’est deux points de perdus mais égaliser à la fin comme ça, peu de monde s’y attendait. Un penalty, c’est une part de responsabilité à prendre. Depuis que je suis arrivé ici, lorsque je suis sur le terrain, je tire les penaltys. Il ne faut pas se défiler. Quand on est attaquant, il faut l’être jusqu’au bout."
Robby félicite Nolan et tacle Tannane
18/10 07:12
Dans la dernière édition du Progrès, Robert Herbin revient sur le piètre match nul des Verts contre Dijon. Extraits.
"En football, il est indispensable de mettre du rythme, c’était ma vision des choses, et cela nous a fait défaut tout au long du match. On était timorés. Il y a eu une accumulation d’approximations de la part de nos joueurs, de passes téléphonées. Jouer simple est le plus difficile. On se complique parfois l’existence, à l’image de Tannane qui a fait les choses à l’envers. Quant au penalty qui nous a été accordé, il est vraiment discutable. Il ne me paraît pas justifié mais c’est ainsi. Les arbitres ne sont pas en très grande forme actuellement ! Il faut féliciter Nolan Roux qui a tiré le penalty dans un climat pas facile. Il l’a frappé de manière idéale. Ce n’est pas si simple."
Saadi, le taureau zélé
18/10 07:00
Idriss Saadi, qui a conforté le week-end dernier son statut de meilleur buteur du championnat belge (8 pions en 10 journées), s'est confié dans une petite vidéo postée par l'un de ses fans, Sofian Messi27.
Valente plante
17/10 23:28
Ce n'est pas peu dire que les choses ne se passent pas très bien à l'ASF Andrézieux, club partenaire des Verts, et ses 5 anciens verts (Guillaud, Thalamy, Chapuis, Spano et Valente) pour leur découverte du CFA. Pourtant, le match d'hier sur le terrain de Jura Sud avait bien débuté avec un but dès la 16ème minute marqué par Adrien Valente, suite à une grossière erreur du gardien adverse. Las, les Andréziens en prendront 4 en seconde période et coincent à la 14ème et avant-dernière place de leur groupe.
Garande vise la passe de quatre
17/10 23:20
Sur les ondes de France Bleu, l'entraîneur caennais Patrice Garande a déclaré ce soir qu'il espérait battre dimanche son club de coeur pour la quatrième fois consécutive.
"Je pense que les Verts ont le potentiel, ils ont l'équipe, ils ont maintenant une bonne petite expérience à ce niveau-là. Je pense qu'ils vont passer les poules de l'Europa League. Qabala ? Il n'y a jamais de match facile. Les matches il faut les jouer. Il y a de la qualité en face, il faudra faire un gros match. Les matches européens ont toujours quelque chose en plus par rapport à ceux du championnat. Quand on analyse les forces en présence, Sainté a largement les moyens de battre cette équipe.
Je suis toujours en colère après notre défaite concédée à Montpellier alors qu'on a joué les vingt dernières minutes en supériorité numérique. Dans le pire des cas on doit revenir avec un point. On n'a pas le droit de prendre des buts comme ça. On n'a pas la constance et la régularité qu'on doit avoir dans un match, surtout à l'extérieur car à domicile on est plutôt pas mal hormis la claque parisienne.
A partir du moment où n'est pas capable de ramener quelque chose de l'extérieur, il faut impérativement gagner à la maison, jusqu'au moment où on trouvera cet équilibre qui nous permettra de faire la bascule et de gagner des points à l'extérieur. On est dans l'obligation de poursuivre sur notre lancée à domicile ce dimanche contre Saint-Etienne.
Contre cette équipe, il va falloir un peu travailler nos fins de match ! C'est avant tout une question d'état d'esprit. C'est ce qui m'impressionne dans cette équipe de Saint-Etienne, c'est justement ça. On connaît tous les pépins qu'ils ont eus, Christophe a dû bricoler des équipes. L'état d'esprit des joueurs stéphanois est fantastique, remarquable. Même quand ils ne sont pas très bien, comme hier par exemple, ça leur permet de prendre des points.
Vous me dites que Saint-Etienne n'est pas impressionnant car cette équipe s'est fait accrocher à domicile par le 17e de Ligue 1. Mais ça ne veut rien dire, cette présentation faite par la presse ne veut rien dire. Dijon est une belle équipe. J'ai vu le match, ils sont difficiles à jouer, c'est très compact, derrière il faut trouver des solutions, il ne faut pas se faire prendre en contre.
A chaque match il y a une problématique qu'il faut résoudre, c'est encore un petit peu tôt pour se fier au classement aujourd'hui. Les écarts ne sont pas si importants. Pour moi ça ne veut rien dire. Sur le contenu du match ce match nul est mérité car Saint-Etienne a toujours essayé. On peut toujours parler du pénalty mais dans la volonté de revenir, ce n'est pas illogique qu'ils soient revenus. C'est un point qui est important pour le groupe.
Je reste sur trois victoires de suite face aux Verts. Est-ce que j'ai la recette ? Je voudrais bien ! Mais on sait que contre Saint-Etienne, ce sont toujours des matches difficiles. Ce sont toujours des bons matches, il se passe toujours quelque chose. Il y a souvent des buts. J'espère que dimanche ce sera encore le cas et qu'on arrivera à les battre et qu'on gérera ces fameuses fins de match stéphanoises.
Ismaël Diomandé est en ce moment un petit mieux qu'il l'a été au début. Quand il est arrivé chez nous, il n'a pas eu de chance car il s'est blessé au bout du deuxième match. Il a été opéré de l'épaule. On va dire qu'il refait un petit peu surface. Moi je trouve que c'est un garçon qui a beaucoup, beaucoup de qualités. Je lui dis souvent : "tu es un drôle de bon joueur mais tu ne le sais pas, tu n'a pas conscience de tes qualités." On travaille en ce sens-là, on essaye de le libérer sur le plan mental et psychologique car je trouve qu'il a tout ce qu'il faut pour s'imposer dans un club de Ligue 1.
Sainté est mon club de cœur, on ne me le reproche pas. Chacun son parcours. On ne peut pas m'enlever ou je ne peux pas enlever ce que j'ai vécu dans ce club-là, que ce soit au centre de formation ou même plus jeune. J'étais cadet, j'ai côtoyé Thierry Oleksiak. J'ai ensuite joué en pro. J'ai été marqué par ce club. Je suis un Stéphanois d'adoption car je suis Lyonnais d'origine. Mais bon, quand j'étais gamin, Lyon ne valait pas Saint-Etienne.
J'ai découvert Geoffroy-Guichard, j'ai toujours eu un contact fabuleux avec ces supporters, j'ai adoré toutes les saisons où j'ai joué là-bas. Je ne vais pas renier Saint-Etienne parce que je suis dans un autre club. Je suis à Caen, je consacre chaque heure, chaque minute à ce club. Dimanche évidemment je ferai tout pour gagner. N'empêche que l'ASSE, c'est un club qui est à part. Pour moi il n'y a pas un autre club comme ça en France."
Houri enfonce Galette89
17/10 21:39
Co-entraîneur de l'US Lège Cap-Ferret, club partenaire de l'ASSE, le potonaute Galette89 (Jordan Galtier) vit un début de saison compliquée. Lanterne rouge du groupe H de CFA2, son équipe n'a pas gagné le moindre match, concédé deux nuls et perdu quatre matches dont le dernier ce week-end contre le FC Limoges de Samy Houri, auteur d'un doublé et d'une passe décisive (3-0). "J'ai marqué de la tête et cela ne m'arrive pas souvent" s'amuse l'ancien milieu offensif des Verts du haut de son 1m66 dans la dernière édition du Populaire.
Dijon disjoncte (2)
17/10 20:24
Dans Le Bien Public, le latéral dijonnais Quentin Bernard continue de nier sa faute sur Loïc Perrin qui a provoqué le penalty égalisateur des Verts hier à la 95e minute.
"Ce n’est pas pour me défendre, mais clairement, il n’y a rien. Même lui, il tombe et il ne demande rien du tout parce qu’il sait qu’il n’y a rien. À sa place, dans le dernier espoir, j’aurais peut-être fait pareil. C’est comme ça. J’ai revu les images, il tente le coup, il n’a rien à perdre. C’est frustrant car dans notre situation, onze points, ça aurait été un bon résultat, et mérité, car je pense qu’on a fait un meilleur match qu’eux."
Ali les Verts !
17/10 19:52
Ali Palabiyik a été désigné pour arbitrer le match de l'Europa League qui opposera l'ASSE à Qabala ce jeudi à 21h05 dans le Chaudron. Cet arbitre turc de 35 ans n'a officié que cinq fois en Coupe d'Europe, uniquement lors des tours préliminaires. Avant-hier, le natif d'Ankara a sorti pas moins de 6 cartons et 1 rouge lors du match nul et vierge entre Trabzonspor et l'Akhisar Beleyediyespor de l'ancien milieu de terrain stéphanois Landry Nguemo.
Jessy rempile
17/10 16:23
Le site officiel nous annonce que le numéro 30 stéphanois a prolongé son contrat jusqu'en 2020. Jessy Moulin, qui est arrivé au club à 13 ans, jouera son 3e match de la saison Jeudi contre Qabala.
Ça patine...
17/10 15:11
... mais ce n'est pas catastrophique. Si le contenu n'est pas exempt de tout reproche, et si l'on s'accordera aisément pour reconnaître que les Verts ont perdu 2 précieux points hier, le bilan comptable après neuf journées reste correct.
Par ordre antichronologique, depuis que Galette est aux commandes sur une saison complète :
16/17 : 13 pts
15/16 : 16 pts
14/15 : 14 pts
13/14 : 13 pts
12/13 : 12 pts
11/12 : 10 pts
10/11 : 17 pts
On remarquera même que les deux saisons qui sortent du lot à ce stade (2010/11 et 2015/16) sont finalement parmi les plus décevantes depuis le début de la décennie.
L'important, ça sera (vraiment) les 3 points
17/10 15:03
0-0 contre l'AEK Athènes, 0-0 contre le Beitar, 1-1 contre Anderlecht.
Invaincus en Coupe d'Europe cette saison (6 matchs, 2 victoires pour 4 nuls), les Verts n'ont en revanche toujours pas connu les joies du succès dans le Chaudron.
Jeudi soir, contre Qabala (21h5), pour le 114è match européen de notre histoire, le 30ème de Dieu, il serait plus que judicieux d'enfin finir la soirée victorieux.
Pas gagné, au vu des stats dans cette compétition depuis notre campagne 2008/09.
En 20 matchs dans le Chaudron, les Verts comptent 8 victoires, 10 nuls et 2 défaites.
Jeudi soir, à la 94ème ou pas, c'est 3 points sinon rien ... pour enfoncer quasi définitivement les Azéris (déja défaits par Anderlecht, 1-3 et Mayence, 2-3) avant le retour prévu le 3 novembre chez eux. Pour revenir à la lutte avec Anderlecht et Mayence (co-leaders du groupe avec 4pts).
Mainz alors ! (18)
17/10 14:26
Mainz n'aime pas les clean-sheets, avec un seul cette saison à leur compteur, mais ça ne les empêche pas de gagner. Pour preuve, hier après-midi, où nos futurs adversaires (le 24 novembre à GG) ont remporté leur derby contre Darmstadt en ne tardant pas à faire parler la poudre par Pablo de Blasis (photo) sur un service de l'ancien Grenat Gaëtan Bussmann. Peu avant l'heure de jeu, ils ont doublé la mise sur penalty obtenu et transformé par Malli, après un penalty manqué par leurs adversaires du jour, avant d'encaisser leur traditionnel but, comme contre les Verts, dans les derniers instant du matchs.
Avec ce résultat positif, ils remontent dans la première partie de tableau à la 7ème place, à seulement 2 points du Borussia Dortmund d'Aubameyang et à 6 points du leader Munichois.
Les Nuits mauves (12)
17/10 13:59
Les Mauves sont visiblement inspirés par les Verts. Comme le souligne le coach anderlechtois, le Sporting a "éprouvé beaucoup de difficultés. On a eu de la chance de ne pas encaisser de but à deux ou trois reprises". Ils ont pourtant trouvé les ressources pour inscrire le but de la victoire contre Lokeren à la 89' par l'inévitable Teodorczyk, sur un centre de l'international sénégalais Kara Mbodji (photo), 9 minutes seulement après l'exclusion du défenseur grec de Lokeren, Galitsios.
Au classement, les Mauves profitent de ce difficile succès pour chiper la tête du championnat à Zulte-Waregem, étrillé par La Gantoise et désormais un point derrière.
Aubame pour un doublé ?
17/10 11:35
Buteur ce week end (après avoir raté un pénalty), Pierre-Emerick Aubameyang est candidat à sa propre succession pour le titre de Meilleur Joueur Africain de l'année.
Vainqueur contesté de la dernière édition, PEA ne devrait cette année pas souffrir de la mauvaise foi de ses pairs, le mancunien Yaya Touré n'étant pas dans la liste des nominés. En cas de victoire, Aubame rejoindrait le clan des Didier Drogba, Nwankwo Kanu ou encore El Hadji Diouf, vainqueurs du trophée à deux reprises.
Néanmoins, la concurrence s'annonce sévère puisque si notre ancienne vedette fait partie des favoris, il devra récolter plus de voix notamment que le champion d'angleterre Riyad Mahrez ou le neo-liverpuldien Sadio Mané.
Réponse le 5 Janvier 2017.
Galtier va les recadrer
17/10 07:47
S'il a assumé la responsabilité de l'échec d'hier soir en conférence, Galette a aussi pointé la maladresse de ses joueurs : "Malheureusement, on a très peu cadré". Les stats d'Opta corroborent les dires de l'entraîneur stéphanois : les Verts n'ont cadré que 3 de leurs 17 tirs contre Dijon !
Dijon disjoncte
17/10 07:42
Dans la dernière édition de la Pravda, Quentin Bernard ose affirmer qu'il n'a pas touché Loïc Perrin !
"Il joue bien le coup. Il me passe devant, je l'accompagne et je ne le touche pas. Je pense que l'arbitre central va siffler six mètres et que c'est l'arbitre de touche qui a voulu relever le taux de spectacle en faisant cadeau d'un penalty. C'est frustrant."
Yavèpéno
17/10 07:26
Dans la dernière édition du Progrès, Loïc Perrin revient sur le péno égalisateur qu'il a provoqué hier dans le temps additionnel contre Dijon.
"Sur l'action du penalty, le défenseur me touche. Je prends l’avantage sur lui et il me bouscule juste ce qu’il faut pour me gêner dans la conduite du ballon. Je ne sais pas ce que ça a donné aux images mais ça a suffi pour me déséquilibrer. Mon but, ce n’était pas de simuler. Dijon est vraiment une belle équipe. Il n’y a pas beaucoup d’équipes qui ont joué de la sorte ici. Nous, dans le pressing, nous n’avons pas été très performants lors des vingt, vingt-cinq premières minutes. On a perdu pas mal de duels aussi.
Le début de match nous fait mal et après, il est toujours difficile de courir après un résultat. Il est dommage que nous n’ayons pas réussi à égaliser avant la mi-temps car nous avons eu de belles occasions. On a montré du caractère et on arrache le nul dans les derniers instants. Même si c’est sûr, qu’il fallait et qu’on aurait aimé faire mieux. Un match nul, c’est insuffisant car à domicile, face à un promu ou pas, il faut faire le plein. On voulait emballer le match mais on ne fait pas toujours ce que l’on veut."
Piatti se qualifie
17/10 07:07
Grâce à un doublé réalisé hier soir, portant à 17 son nombre de pions claqués cette saison, l'ancien milieu offensif stéphanois Ignacio Piatti a qualifié la nuit dernière l'Impact de Montréal pour les éliminatoires de la MLS.
Bafé rejoint Mevlut
16/10 23:23
Ayant devancé un Benoît Assou-Ekotto trop statique, Bafé Gomis a marqué en deux temps l'unique but de la victoire de l'OM contre le FC Metz ce soir au Vélodrome en match de clôture de la 9e journée. Ayant claqué 6 pions depuis le début de saison, l'avant-centre phocéen rejoint le Grenat Mevlut Erding à la 2e place du classement des buteurs ex aequo avec le Violet Martin Braithwaite et le vilain Alexandre Lacazette. Ce quator compte trois réalisations de moins que l'attaquant du QSG Edison Cavani.
Varrault est vert
16/10 22:04
Expulsé pour avoir contesté trop vertement le pénalty égalisateur des Verts, Cédric Varrault a confié sa réaction à Margot Dumont sur beIN Sport à l'issue de la rencontre.
"Perdre deux points comme ça à la dernière seconde, il y a de quoi être un peu énervé, avoir les boules. Même l'arbitre au niveau des explications était un peu dépassé, il ne savait pas. On ne comprends pas trop. Au début il ne siffle pas, et au bout de cinq secondes, il se met à courir vers le point de penalty. On a eu du mal à comprendre qui avait pris la décision. C'est frustrant. Il y a des décisions qui sont prises sur le terrain, on met des cartons jaunes, des cartons rouges. Mais l'arbitre, en prenant des décisons comme ça, est-ce qu'il pourra arbitrer le prochain match ? Après, c'est bien beau de parler de spectacle, de pelouse, du fait que les joueurs doivent être respectueux. Mais il y a des décisions qui sont prises qui influrencent le match à la fin.
Si je peux être convoqué à Paris, j'irai devant les hautes instances dire ce qu'on pense, nous les joueurs. Predre deux points comme ça, c'est rageant. On fait un métier où on s'arrache, on donne tout. Il y a de quoi s'enerver quand un arbitre influence comme ça un match. Au final, ceux qui sont punis sont toujours les joeuurs, ce ne sera pas l'arbitre. Peut-être que si je suis convoqué à Paris je pourrai dire en face à l'arbitre ce que je pense. Pour moi il n'y'a pas pénalty. Même les joueurs de Sainté, quand on revoit les images, personne ne réclame rien. OK, il y a des moments où les joueurs ont essayé d'influencer l'arbitre, mais sur cette action personne ne râle. Il prend la décison tout seul de prendre penalty, peut-être qu'il passera à vidéo gags."
Le mea culpa de Galette
16/10 21:31
En conférence de presse, Galette a pris sur lui le piteux match nul arraché par son équipe contre Dijon.
"Nous sommes très mal rentrés dans le match. Nous avons été absents dans les 30 premières minutes. Absents dans tout. Nous n'avons pas été justes, avec beaucoup de tirs mais peu de cadrés. Sur la totalité du match, nous aurions dû être meilleurs. Le premier responsable de ce match nul, c'est moi. Nous n'étions plus dans une équipe bricolée. Mes choix dans le onze de départ n'ont pas été les meilleurs. Je suis un peu en colère contre moi-même. Mais petite ou grosse faute dans la surface, il y a penalty. Je n'ai aucun d'état d'âme par rapport à cela. Loïc est déséquilibré, il ne peut pas finir son geste. Si l'arbitre a pris du temps, c'est qu'il a dû consulter son assistant. Pour un jeune arbitre comme lui, débuter à Geoffroy-Guichard n'est pas simple."
Un Sainté indigent sauve le nul contre Dijon
16/10 19:12
Le DFCO, qui n'avait pas pris le moindre point à l'extérieur depuis le début de saison, a failli en prendre trois d'un coup aux dépens d'un Sainté indigent lors des 35 premières minutes. Le promu dijonnais a logiquement ouvert le score à la 22e minute sur une tête de Pierre Lees Melou.
Dominateurs en seconde période mais approximatifs dans le jeu, les Verts ont réussi à arracher le point du nul à la 95e minute sur un pénalty obtenu par Loïc Perrin, contesté par Cédric Varrault (expulsé pour l'avoir trop vertement contesté) et transformé en force par Nolan Roux.
U19 : Pesqué le vaut bien
16/10 13:05
Vous avez pu suivre cette rencontre de la 9e journée du championnat des U19 nationaux en direct sur notre forum grâce aux potonautes thomas99 et Yacine, envoyés spéciaux à l'Etrat : au courage, les Verts se sont laborieusement imposés 1-0 à la mi-journée sur le terran synthétique Georges Bereta.
Collectivement à la peine et malmenés par de costauds Columérins jusqu'alors invaincus qui ont tiré sur le poteau de Hugo Contardo en début de seconde période, les Stéphanois ont marqué l'unique but de la rencontre sur leur seule occasion à la 79e minute. Baptiste Pesqué (photo) a délivré les Verts sur une passe de l'extérieur du pied de Cyril Martin-Pichon consécutive à une récupération de Charles Abi.
La compo : Contardo - Vogel, Halaimia, Martin Pichon, Gomis - Fortes da Luz (Etchebar, 60'), Fleury (Abi, 46'), A.Bangoura - Rahmani, Pesque, G.Bangoura (Allaigre, 88').
La réaction de Julien Sablé : "On a gagné plus que dans la douleur. Je suis content pour les joueurs, qui s'investissent au quotidien. Il y a des matches où on a fait match nul ou on a perdu alors qu'on aurait peut-être mérité de gagner. Aujourd'hui, Colomiers aurait mérité de ne pas repartir bredouille. Nos adversaires ont fait un bon match, il faut leur tirer un grand coup de chapeau. Franchement, ils auraient pu l'emporter. On a eu le caractère de ne pas lâcher. On a beaucoup souffert mais on a réussi à l'emporter sur la fin. Sur une très belle ouverture de Cyril, Baptiste a marqué un vrai but d'attaquant. A l'image de l'équipe, il ne lâche rien et est récompensé. Maintenant, il ne faut pas être aveuglé ou abruti par la victoire. Dans le contenu, il y a des choses à améliorer nettement. Ce match est très formateur. On n'a joué que contre des deuxième année. De notre côté, trois U17 ont fini le match et on avait aussi quelques première année. On confronte nos jeunes joueurs à la difficulté. En vue du haut niveau, on est dans le vrai."
U17 N : Sainté ne perd pas pied à Montpied
16/10 11:37
Le onze de départ immortalisé par JM Blanchard :
Zakaria Bengueddoudj, Idir Boutrif, Aimen Moueffek, William Saliba, Etienne Green -
Baptiste Gabard, Kelian Mersel, Morad Touit, Tyron Tormin, Mathis Mezaber, Rémi Chaigneau
Les U17 nationaux se sont imposés 2-1 à Clermont hier après-midi sur le terrain annexe synthétique de Montpied.
Les Verts ont ouvert le score dès la 6e minute sur un coup franc rentrant de Baptiste Gabard repoussé par le portier auvergnat mais repris par Aïmen Moueffek du pied gauche à huit mètres des buts. Dominateurs en première période, les Stéphanois n'ont pas été inquiété avant la mi-temps. Ils ont fait le break cinq minutes après leur retour des vestiaires. Parti du côté gauche, Zakaria Bengueddoudj est rentré à l'intérieur pour mettre un petit ballon entre deux à la surface pour Idir Boutrif, qui a enchaîné prise de balle pied gauche et frappe imparable sous la barre.
Plus saignants que les Verts en seconde période, les Clermontois ont logiquement réduit le score à l'entame du dernier quart d'heure. Profitant d'une erreur de marquage, leur avant-centre a amorti le ballon de la poitrine avant de trouver la lucarne d'Etienne Green. S'ils ont beaucoup souffert en fin de match, les protégés de JPP ont eu le mérite de résister jusqu'au bout pour prendre la tête du championnat devant les vilains, qui tenteront de la reprendre cet après-midi sur le terrain du Puy, autre club partenaire de l'ASSE et prochain adeversaire des Verts, le 23 octobre à Aimé-Jacquet.
La compo : Green - Mezaber, Saliba, Chaigneau, Touit - Moueffek, Gabard, Mersel - Bengueddoudj, Boutrif, Tormin (Grange, 69').
La réaction de Jean-Philippe Primard : "On a fait une bonne première mi-temps. Après avoir rapidement ouvert le score, on a eu la maîtrise. On a eu quelques situations de faire le break avant la pause et Clermont ne nous a pas mis en danger. Par contre après notre deuxième but on s'est un peu endormi en seconde période. On a beaucoup défendu. Clermont n'a pas eu d'occasion nette mais ils ont joué dans nos quarante mètres le dernier quart d'heure. On a fait parler notre solidarité pour tenir cette victoire. On n'a rien lâché mentalement pour garder le résultat. C'était le troisième match en six jours pour quatre de mes joueurs sélectionnés en Rhône-Alpes."
Galette a mangé son pain noir
16/10 10:09
"Lorsque l'infirmerie était pleine, le coach a su trouver les mots pour mobiliser les valides et les convaincre, parfois, de jouer à des postes inhabituels pou eux. Il n'a surtout pas insisté sur les blessés mais plutôt sur l'état d'esprit que devaient avoir ceux qui étaient aptes" déclare le revenant Cheikh M'Bengue dans la Pravda du jour. "On a su répondre présent à travers des valeurs de solidarité et d'abnégation. On espère avoir mangé notre pain noir."
Nanard a de l'espoir
16/10 09:58
Bernard Caïazzo s'exprime dans la Pravda du jour. Extraits.
"En dépit des nombreuses blessures, on a réussi à limiter la casse en inventant des schémas différents. C'était du bricolage mais ça donne de l'espoir pour la suite. Ce qui ne tue pas rend plus fort, ça a obligé tout le monde à se sublimer. Christophe sait que, lorsqu'on est dans une situation subie, ce n'est pas en se mettant la tête dans le trou qu'on va résoudre les problèmes. Il a fait face et a su transmettre sa force de caractère aux joueurs. Christophe a profité de la coupure pour s'interroger sur tout : la différence de surface entre l'hybride de Geoffroy-Guichard et nos terrains d'entraînement, les crampons, les étirements, la cryothérapie... Christophe a tiré tous les enseignements possibles en fonction de ce qu'il a vu. Il a aujourd'hui des informations qu'il n'avait pas avant."
Gagnaire a connu la galère
16/10 09:37
Le chef cuisinier Pierre Gagnaire, qui avait longuement parlé des Verts dans Le Monde du 30 avril dernier, évoque l'ASSE et sa faillite à Saint-Etienne lors d'un entretien paru hier dans le quotidien suisse Le Matin. Extraits.
"Je suis un cuisinier par obligation. Je crois que l’individu s’adapte à ce que la vie, l’environnement, la pression sociale lui imposent. J’ai repris l’affaire de mon père en 1977. J'ai dû trouver un sens à ce foutu métier que je n’aimais pas, le petit interstice dans lequel me glisser pour que je puisse faire quelque chose qui ait de l’allure. C’est devenu vraiment une façon de vivre, une façon de me relier au monde, d’exercer une espèce de sacerdoce qui va au-delà de l’assiette. La cuisine n'était pas ma vocation. Il y avait des choses qui me plaisaient comme tous les gamins, le cyclisme, le sport en général, le foot évidemment parce que je suis de Saint-Etienne.
La dernière fois que j'ai pleuré, c'était il y a deux ans, quand je suis revenu à Saint-Etienne pour la Fête du livre avec ma femme, Sylvie Le Bihan, invitée comme auteur. J’étais très content pour elle. Nous avons été reçus par le maire avec des mots vraiment touchants. Et là j’ai revu deux images : moi enfant sur les épaules de mon père sur la place de l’Hôtel-de-Ville pour voir le général de Gaulle. Et des années plus tard, de l’autre côté de la place, ma journée de travail terminée à me demander comment j’allais payer mon personnel le lendemain.
Je suis à la fois à l’aise et pas à l’aise avec l’argent. A l’aise parce que personne ne peut me reprocher de courir après l’argent. Le 11 mai 1996 j’ai tout perdu. Après avoir payé tous les artisans, j’ai fait le choix de me mettre en faillite personnelle. Pendant des années j’ai gagné 600 euros par mois. Aujourd’hui je gagne bien ma vie, je ne suis pas riche et je ne le serai jamais à cause de cette faillite. J’ai aussi divorcé deux fois, ça m’a coûté de l’argent. Mais j’ai toujours respecté les gens qui m’ont fait grandir, dont ces femmes."