
De l'eau dans le gaz entre Nanard et Roro
14/12 07:20

La Pravda du jour évoque des tensions entre Nanard et Roro. Extraits.
"Roland Romeyer règne tout seul depuis le directoire, interdisant notamment à Bernard Caïazzo, à la tête du conseil de surveillance, de parler désormais au nom du club. Bonjour l’ambiance... Etonnant de la part d’un homme d’ordinaire prolixe, le silence actuel de Bernard Caïazzo en dit long sur son désarroi. Après avoir quitté le stade Geoffroy-Guichard à dix minutes de la fin du derby le 5 novembre dernier, afin de pouvoir remonter dans son jet privé à temps, on ne l’a plus revu dans le Forez. Au club depuis le 18 décembre 2003, élu 17e président des Verts le 4juin 2004, il le gère depuis 2010 de loin, à la tête du conseil de surveillance, et souvent de l’étranger, d’où il est rentré pour venir assister au match à Marseille dimanche. L'interventionnisme de Roland Romeyer a eu raison de la patience d’Oscar Garcia. Il est vrai que, depuis le départ de Stéphane Tessier de son poste de directeur général des services, le 8 septembre 2015, il régente tout. Sans réel contre-pouvoir en interne. Ce pouvoir absolu aurait déjà lassé Christophe Galtier, qui a quitté le navire stéphanois en juin. Depuis,il tangue autant que son président. C’est pourtant lui qui a remis les Verts à flot depuis 2010, date à laquelle il arepris la gestion du club au quotidien. Mais après avoir tant donné, il apparaît fatigué et usé."
Dall'asse
14/12 00:06
Désunis, verts et pitoyaaables ! C'est ce qui ressort du papier paru ce jeudi dans la Pravda. Extraits.
"Les Verts viennent de concéder leur plus lourde défaite de l'histoire des derbies face à Lyon, en ce dimanche 5 novembre, et le successeur de Christophe Galtier au poste d'entraîneur se retrouve muré dans son silence. Seul Roland Romeyer, le président du directoire, erre dans les couloirs. Dans la semaine, il avait pourtant convoqué Garcia pour lui faire comprendre, en présence de Rocheteau, qu'il devait aligner des joueurs habitués au derby. En réponse, l'Espagnol n'a titularisé aucune des sept recrues. Il va mettre une semaine pour leur porter le dernier uppercut, l'annonce de sa décision de quitter son poste car il n'avait jamais vu un club aussi "désorganisé". L'effectif se révèle plus faible que ce qu'il croyait. Et il ne supporte plus l'interventionnisme incessant de Romeyer, qu'il considère comme une ingérence dans sa sphère de compétences.
Oscar Garcia avait demandé à ses dirigeants de purger le précédent staff. Il s'est donc contenté de réduire l'influence des "survivants" de l'ère Galtier : César Arghirudis, Thierry Cotte et Fabrice Grange, redevenu simple entraîneur des gardiens alors qu'il dépassait ce rôle avec son ami Galtier.La veille de la venue de Rennes, lors d'une séance vidéo, une altercation a opposé Fabrice Grange à Baptiste Saez, détaché par le service communication du club pour servir d'interprète à Oscar Garcia. Ce dernier n'a pas apprécié que Grange s'en soit pris, en son absence et devant tous les joueurs, à son petit protégé, par ailleurs neveu de Michel Saez, le directeur général des services de l'ASSE. Grange n'a compris pourquoi il n'a pas été consulté sur le choix du gardien pour le seizième de finale de Coupe de la Ligue à Strasbourg, Garcia a préféré demander son avis à Ruffier. Qui a joué alors que la veille, l'Espagnol avait pourtant fait l'éloge de Jessy Moulin.
Caïazzo a déjà déclenché la contre-attaque. En accord avec Romeyer, il a contacté Galtier. Un jour après, Galtier confirme au téléphone à Rocheteau qu'il ne reviendra pas. Très, trop compliqué, son retour aurait fait de l'ombre à beaucoup de monde en interne. Après s'être arrêté sur quelques noms d'entraîneurs libres tels Frédéric Antonetti et Christian Gourcuff, Romeyer a trouvé LA solution : la promotion interne. Exhorté par Gérard Fernandez, l'omnipotent responsable du recrutement au niveau de la formation, il va faire de Julien Sablé le nouveau Galtier. Rocheteau passe toutefois son lundi 13 novembre, jour de reprise avec deux entraînements, à essayer de convaincre Oscar Garcia de rester au moins jusqu'au mercato d'hiver. Le refus de Romeyer d'accéder à sa demande de s'entourer de Jérémie Janot a conforté un peu plus Garcia dans sa décision de partir. Furieux d'avoir vu Janot partir à Auxerre dans l'été pour s'occuper des gardiens professionnels, Romeyer se serait opposé au retour de celui qui reste le président de l'amicale des anciens Verts.
La présentation officielle de Julien Sablé, qui s'est déroulée après qu'Oscar Garcia est passé saluer les joueurs, se termine par une prise de bec entre Philippe Lyonnet, le directeur de la communication, et deux journalistes télé. Puis avec Éric Blondel. Le team manager se voit accusé d'être la "taupe" des Verts. Hervé Revelli, lui, a déjà été convoqué dans le bureau de Saez. Il est coupable d'avoir parlé de la cellule de recrutement lors d'une réunion avec des supporters. Puisque Blondel n'est finalement pas la taupe, c'est forcément Lionel Potillon, ou Kévin Monnet-Paquet, ou, pourquoi pas, tel autre. Déjà agacés d'apprendre que leur smartphone professionnel est surveillé, d'autres salariés consultent un avocat au sujet d'une clause de confidentialité que le club veut leur faire signer. Au lieu de proclamer l'union sacrée, cette chasse aux sorcières distille le poison de la suspicion et des divisions en interne.
Convoqué dans le bureau présidentiel avec Perrin, Ruffier dit tout haut à Romeyer ce qu'il pense du niveau réel de l'effectif. Perrin se contente d'opiner de la tête. Le vendredi 17 novembre, Sablé perd son premier match d'entraîneur de L1, à Lille. Au retour, Alain Ravera, promu numéro 2, dit à Romeyer qu'il a une offre de Lens. Se sentant trahi, ce dernier le prend très mal. Ravera, qui a demandé aux dirigeants des Verts un contrat de trois ans à 25 000 € par mois, est aussitôt "dispensé d'activité". Il revient à l'entraînement au lendemain de la deuxième défaite en trois matches de l'ère Sablé. Pour se voir de nouveau "dispensé d'activité" jusqu'à la fin de l'année. Car Jean-Louis Gasset l'a déjà remplacé, sitôt après le revers à Lille. Gasset, c'est l'idée de Caïazzo. Sablé va, sans Gasset mais avec les joueurs, rencontrer les ex-Green Angels au stade Geoffroy-Guichard. Puis, contrarié d'avoir vu Bryan Dabo lui saboter les mises en place, il le sort du groupe la veille du match contre Strasbourg."
Sans gêne, Veretout sort Gênes
13/12 22:36

Grâce à deux penalties de Jordan Veretout, la Fiorentina a battu la Sampdoria 3-2 ce soir en huitième de finale de Coupe d'Italie.
Saliba bat l'Italie
13/12 20:18

L'équipe de France U17 a battu l'Italie 2-1 cet après-midi à Clairefontaine. Titulaire, le défenseur central des U19 de l'ASSE William Saliba a inscrit le but victorieux grâce à un corner tiré par un autre Stéphanois, l'ailier Tyrone Tormin, entré en jeu un quart d'heure auparavant. Alors que le gardien Stefan Bajic est resté sur le banc, le goleador Bilal Benkhedim (18 pions cette saison en championnat des U17 nationaux), a dû déclarer forfait pour ce match amical en raison d'une gêne musculaire.
Ca s'en va et ça revient
13/12 10:20
Si donc, après Marseille, Pogba, Selnaes (blessés) et RPG (suspendu) se sont ajoutés à la liste des absents (Dabo et Lacroix suspendus, Hamouma et Perrin blessés) pour le match de vendredi soir (20h45) contre Monaco, Sablé pourra, selon le Progrès, récupérer 3 joueurs : Cabella, Silva, et Diousse.
Difficile d'imaginer que ce sera suffisant pour malmener un Monaco bien serein hier soir en Coupe de la Ligue contre Caen (2-0).
Bamba veut jouer la prolongation ? (6)
13/12 08:31

Comme prévu, les dirigeants de l’ASSE et les représentants de Jonathan Bamba se sont rencontrés hier. Selon la dernière édition du Progrès, "rien n’a été décidé, ni dans un sens ni dans l’autre. Les deux parties ont seulement prévu de se revoir d’ici la fin de l’année. Il reste 15 jours. C’est le signe, au moins, que les ponts ne sont pas rompus. On discute encore, on négocie toujours sans aucune garantie sur l’issue du dossier."
Galette n'a pas oublié Kurt
13/12 07:31

Sur SFR Sport 1, Christophe Galtier s'est remémoré avant-hier les vertes années de Kurt Zouma.
"Je n'ai que des bons souvenirs avec Kurt. Le plus important, c'est d'avoir pris la décision de le titulariser en finale de la Coupe de la Ligue alors que tout le monde pensait que ça allait être Moustapha Bayal. J'avais opté pour Kurt par rapport à des choix très précis pour ce match-là. C'était un jeune de 18 ans, c'était un risque important que je prenais, mais je savais qu'il allait répondre présent dans ce match-là car c'était quelqu'un qui supportait très bien la pression à son jeune âge. C'était un très bon garçon, un très bon professionnel. Le deuxième souvenir que j'ai avec Kurt, c'est quand il est venu faire son premier entraînement avec moi. Je crois qu'il n'avait pas encore 16 ans. Stéphane Tessier, le directeur de l'époque dont j'étais très proche et avec qui je collaborais, m'avait fait remonter l'information que certains cadres défenseurs d'un certains âge avaient dit "hou la la, ceui-là quand il va avoir l'âge de jouer et qu'il va démarrer, on va cirer le banc."
France Football souligne aujourd'hui que l'ancien défenseur central stéphanois fait aujourd'hui partie de la pire défenseur d'Angleterre, Stoke City ayant encaissé 35 buts en 16 journées. Prêté par Chelsea, le joueur de 23 ans fait néanmoins partie des défenseurs ayant le plus gagnés de duels aériens (76%) et ayant le meilleur ratio de tacles réussis (82%) en Premier League. A titre de comparaison c'est mieux qu'Otamendi (64% de duels aériens gagnés, 72% de tacles réussis) et Smalling (68% de duels aériens gagnés, 72% de tacles réussis), qui évoluent dans les deux meilleures défenses du Championnat. Difficile en ce sens de contredire les propos élogieux de son capitaine Ryan Shawcross, qui le qualifiait en novembre dernier de "défenseur ultime".
Un Max de pénos
13/12 07:06
Comme samedi dernier contre Caen, Max Gradel a marqué hier soir sur péno le premier but de la victoire de Toulouse contre Bordeaux hier en Coupe de la Ligue.
Alors qu'il avait raté son pénalty à Dijon le 15 novembre dernier, le petit Poulet d'Abidjan a retrouvé son efficacité stéphanoise dans cet exercice. Pour rappel, il n'a manqué que deux péno sur les dix qu'il a tirés sous le maillot vert (le 17 mai 2014 contre Ajaccio et le 1er novembre 2014 à Lille).
Baky est renversant
12/12 23:35

Lanterne rouge au coup d'envoi de son match contre Watford, Crystal Palace est sorti de la zone de relégation ce soir. Menés par les Hornets dès la 3e minute de jeu, les Eagles ont en effet égalisé à la 89e grâce à Bakary Sako (qui n'avait plus marqué en Premier League depuis août 2015 !) avant d'arracher la victoire à la 92e.
Galtier ne regrette rien
12/12 23:10
Galette assume son départ de l'ASSE, comme il l'a expliqué hier soir sur SFR Sports 1.
"Je ne regrette pas d'avoir quitté Saint-Etienne il y a six mois. C'était le moment. Il le fallait, pour moi premièrement, et deuxièmement pour le club, pour passer à autre chose. L'ASSE n'a pas tout fait pour me retenir, mais le club n'avait rien à faire car ma décision était... Je n'avais pas changé d'avis. Les deux présidents n'ont pas essayé de me convaincre de rester. Je n'ai pas eu de proposition de prolongation. Mais il n'y avait pas lieu de chercher à me convaincre, le 22 mars tout était clair dans ma tête. je me suis exprimé, j'ai échangé avec mes dirigeants."
Roro et Perdriau jouent la prolongation
12/12 22:40

Saint-Etienne Métropole et l'ASSE ont pondu un communiqué commun relayé par Radio Scoop à l'issue de la réunion de ce matin à l'Hôtel de Ville.
"Nous nous félicitons de cette réunion constructive où nous avons pu aborder tous les sujets et avancer sur de nombreux dossiers" expliquent Roland Romeyer et Gaël Perdriau avant de poursuivre : "Il a été, entre autres, convenu de prolonger la convention actuelle, liant l'ASSE à Saint-Etienne Métropole jusqu'au 30 juin 2018 afin de finaliser les éléments constitutifs de la future convention qui prendrait effet le 1er juillet de la même année."
Une nouvelle communication commune, sous la forme d'une conférence de presse, est d'ores et déjà programmée le jeudi 8 février.
Selnaes pas risible ?
12/12 18:31
Ou déprimant ? Ou pathétique ? Le Progrès nous apprend qu'Ole Selnaes a copié ses camarades de jeu : blessé au mollet dimanche soir à Marseille il devrait être forfait pour les deux dernières déf.. euh les deux derniers matchs de l'année.
Jardim préfère les Verts à la coupe
12/12 17:49
Hier en conférence de presse, Jardim n’a pas fait mystère de ses intentions pour le 1/8ème de finale de Coupe de la Ligue que son club joue ce soir à Louis II contre Caen : «J’aimerais rester dans une dynamique positive comme la deuxième mi-temps contre Troyes. L’objectif est la deuxième place en championnat et d’aller le plus loin dans les coupes. Bien sûr, je vais faire des changements, parce que vendredi, il y a un autre match pour la Ligue 1. En six jours, nous jouons trois matchs. Je peux changer cinq ou six joueurs par rapport à ceux qui ont joué le dernier match. Certains jeunes ont besoin de temps de jeu. Ils ont besoin de montrer les qualités qu’ils ont et ce pourquoi le club les a recrutés. C’est avec ces joueurs-là que nous avons l’objectif de nous qualifier.»
Subasic et Jemerson ne sont pas dans le groupe.
Une passoire dans le Chaudron
12/12 07:46

Les Verts ont encaissé au moins un but lors de leurs sept derniers matches de L1 à domicile. Le potonaute sam42 nous rappelle que c'est l'une des pires séries de l'histoire du club.
Les pires séries :
11 matchs : en 1959/60 avec Vernier (le 1er match avec Snella la saison précédente)
10 matchs : en 1957/58 (+premier match saison suivante) avec Snella et en 2006/07 avec Hasek (+premier match saison suivante avec Roussey)
9 matchs : en 1945/46 avec Tax et à cheval sur les saisons 59/60 et 60/61 avec Vernier
8 matchs : en 1952/53 avec Snella et en 1971/72 avec Batteux
Hagards selon Paga
12/12 07:29

Dans la dernière édition du Progrès, Laurent Paganelli évoque la très mauvaise passe actuelle des Stéphanois. Extraits.
"J’ai discuté avec les joueurs. On sent qu’ils attendent de la part du staff ou des dirigeants que quelque chose se crée. Et le staff attend que les joueurs se remobilisent, qu’ils aient un comportement exemplaire, différent de ce que l’on a vu à Marseille. Il n’y a pas de communion entre les deux. Il y a comme un décrochage. Il va falloir trouver des solutions collectives. Aujourd’hui, les joueurs ne comprennent pas. Ce n’est pas de la mauvaise volonté. Ils n’ont tout simplement pas une réponse technique, tactique.
C’est aux entraîneurs de mettre les joueurs devant leurs responsabilités, de leur proposer des solutions. C’est ce qui permettra de retrouver une équipe, un équilibre. En ce moment, c’est l’abandon total de la part de tout le monde. Dimanche, les joueurs auraient pu se défoncer comme des malades. Cela n’a pas été le cas. Ça veut donc dire qu’il n’y a même pas de révolte. Ce qui m'a le plus marqué au bord du terrain, c'est que personne ne parle à personne. Or, la communication est un principe de base.
Julien commence par le plus dur. Derrière lui, il y a Jean-Louis, un connaisseur. Il est compétent mais il ne veut pas, non plus, bousculer les choses. On se rend compte que même eux sont dans une phase d’apprentissage. À l’inverse, si tu prends, par exemple, un Antonetti, tu es sûr que le mec va bousculer tout le monde. Là, tu as l’impression que tu es en bas de l’échelle et qu’il va falloir remonter les barreaux un par un. Cela fait peur. il va falloir une grosse solidarité. La force de Saint-Étienne, ça a toujours été cela."
Les bêtises s'accumulent
12/12 07:02

Le Sphinx revient dans Le Progrès du jour sur la défaite des Verts à Marseille. Extraits.
"Il y a encore eu trop de négligences. Les bêtises s’accumulent. Comment se fait-il qu’on ne surveille pas plus Valère Germain ? Il est tout seul sur le corner qui amène le premier but. On manque de lucidité, de cohésion. À quoi peuvent bien rêver les joueurs pendant le match ? Au Vélodrome, il n’y avait pas de marquage. Résultat, les Marseillais se sont promenés. Dans le football, il y a des exigences à avoir sinon on passe à la casserole. On est fragile, c’est inquiétant. Il faut tout reprendre de zéro, bien préciser les rôles de chacun et insister aussi sur la maîtrise technique. Les joueurs sont empruntés, il y a toujours un contrôle qui ne fonctionne pas. Bamba m’a agacé. C’est un joueur qui a du talent mais malheureusement, il ne sait pas l’utiliser. Il faudrait le conseiller, le responsabiliser. Il peut marquer des buts, réaliser des dribbles magnifiques mais il ne peut pas mettre de l’ordre dans l’équipe."
Galette tacle Oscar
11/12 23:34

Invité sur le plateau de "Breaking Foot" ce lundi sur SFR Sport 1, Christophe Galtier a glissé un joli tacle à son successeur.
"Quand on va chercher un entraîneur étranger, on prend un risque. Le risque de l'adaptation, le risque de venir avec un certain nombre de personnes. Cela peut poser un problème en interne, entre un staff étranger et un staff stéphanois. Il y a eu beaucoup de candidats, ils sont allés chercher Oscar Garcia. Cela semblait être un bon choix au départ. On lui a collé l’étiquette de l’entraîneur barcelonais. Mais à la sortie, il n’a pas eu les résultats escomptés. Ce que je peux regretter sur un plan personnel, c’est la première fois que je m’exprime sur ça, c’est de lâcher aussi vite l’affaire. Ça démontre quelque part un manque de force mentale."
KMP nouvelle tête de Turc ? (2)
11/12 21:48

L'entraîneur de Bursaspor (Turquie), qui avait déjà essayé d'attirer le numéro 22 de l'ASSE en août dernier, est revenu à la charge selon RMC. "Les deux hommes ont échangé plusieurs fois au téléphone ces dernières semaines. Paul Le Guen espère récupérer le joueur dès cet hiver. Kévin Monnet-Paquet, en fin de contrat en juin prochain, a terminé la saison dernière très éprouvé, et les difficultés de Saint-Etienne en ce début de saison n'arrangent pas la situation. L’ancien Lorientais qui a disputé 11 matchs cette saison souhaite changer d’air."
Amaury l'arbitre ! (5)
11/12 21:31
Amaury Delerue sera au sifflet ce vendredi à 20h45 pour le match d'ouverture de la 18e journée de L1 qui opposera l'ASSE au champion en titre monégasque. La dernière fois que cet agrégé d'EPS est venu dans le Chaudron, Stéphane Ruffier en a pris cinq...
On n'aura pas droit à une nouvelle part de Galette
11/12 20:31

Ayant assisté à la nouvelle déroute des Verts hier au Vélodrome, Christophe Galtier a écarté ce soir sur RMC l'hypothèse d'un come-back avant de prôner l'inversion de la hiérarchie sur le banc des pros et de tacler la formation. Vous avez raté son intervention ? On vous l'a retranscrite !
"Duga, du me demandes si je serais prêt à retourner à Sainté pour sauver le club ? On ne peut pas répondre à cette question aussi simplement. Déjà, un, je suis malheureux de voir l’équipe comme ça. C’est le premier match de Saint-Etienne que je revois comme ça, des tribunes. Je suis évidemment très malheureux de voir l’équipe s’exprimer de cette manière-là. Je suis malheureux pour les gens que j’ai côtoyés pendant huit ans au club. Après, il faut dans ces moments-là avoir beaucoup de calme et prendre beaucoup de recul avant de prendre des décisions. Peut-être que le départ d’Oscar Garcia voulu par Oscar Garcia a précipité les choses et qu’on est allé très vite. Il fallait évidemment réagir mais on a peut-être réagi un peu trop vite. A partir du moment où il y a eu la nomination de Julien, qui est un enfant du club, qui connaît très bien le club, qui était à la formation, il n’y a pas de problème de ce côté-là, il y a eu après le problème du diplôme, qui a engendré la venue de Jean-Louis. Le problème ne sera résolu que si les rôles sont inversés. Ce montage est-il bien monté, est-il dans le bon ordre, c’est la question que tout le monde peut se poser.
Retourner à l’ASSE si on fait appel à moi ? Je crois que j’ai fait mon temps. Je pense qu’il faut laisser maintenant faire les choses à d’autres personnes. C’est une situation difficile, je suis attentivement l’actualité du club. Si on m’appelle pour me demander des conseils ou un avis, je réponds avec le plus d’honnêteté possible, sachant que je ne vis pas 24 heures sur 24 avec le staff et les joueurs. Mais je ne crois pas un que soit dans l’intention du club de me rappeler, et deuxième même s’il devait me rappeler, si moi j’ai pris la décision d’arrêter à un an du terme de mon contrat, c’est qu’il y avait des raisons, je ne peux pas dire six mois après que je veux revenir. Je suis quand même surpris de ce qui se passe au club mais Duga, tu ne peux pas dire que le club manque de professionnalisme. Ce n’est pas vrai. Après, c’est aussi l’histoire d’un club où l’entraîneur est resté pendant sept ou huit ans. Cela me fait un penser à Lorient quand Christian Gourcuff est parti. Derrière c’est difficile, la succession est compliquée. Là, ça s’est compliqué d’une manière incroyable avec le départ d’un entraîneur qu’ils sont allés chercher. C’est les raisons du départ qu’il faut aller chercher.
Que cette saison soit difficile, tout le monde s’y attendait. Il y a eu quatorze départs et sept arrivées. Déjà, rien que ça, c’est compliqué. Pour moi aussi c’était compliqué, à partir du moment où l’exigence imposée par la direction était d’être européens. Evidemment que c’était compliqué. Peut-être que là aussi il faut redéfinir les objectifs. A un certain moment, on te demande… Parce que l’histoire du club fait qu’on te demande d’être européen, de jouer les premiers rôles. Paris étant à part, on est à la lutte avec Monaco, Lyon Marseille et d’autres équipes comme Bordeaux, Lille qui arrive en force et Nice qui est là aussi… On te demande d’être devant ces équipes-là ou de te battre avec ces équipes-là mais vraiment pas avec les mêmes moyens. Quand je parle de moyens, ce n’est pas ce qui se passe sur le terrain, c’est comment tu prépares ta saison et quels joueurs tu vas aller dénicher. C’est les moyens qu’il faut mettre à la disposition des gens pour aller dénicher les talents et les futurs talents, les jeunes talents à l’image d’autres clubs, et les moyens à la formation.
J’ai lu dernièrement quelques petits messages comme quoi derrière Galtier ça allait être difficile parce qu’il n’y a pas eu de travail de fait. Faux ! Il y a eu beaucoup de travail de fait si ce n’est que des jeunes sont venus chez nous, ont joué, ont été vendus à des prix très élevés. Il y a eu beaucoup d’internationaux, il y a des joueurs dans des clubs de Champions League. Kurt Zouma, Faouzi Ghoulam, Josuha Guilavogui, Aubameyang même s’il n’a pas été formé au club. Derrière, que se passe-t-il ? Quand on n’a pas les moyens financiers de nos concurrents, il faut aller travailler sur la formation et la post-formation. Et l’histoire du club fait que, ces dernières années, il y a différents directeurs de centre de formation qui sont passés par le club et qui n’ont pas réussi. Est-ce que c’est dû au fait qu’ils n’étaient pas bons ? Je ne le crois pas. Je pense qu’il y a un réel problème à la formation, d’organisation.
Le recrutement de Söderlund ? On était dans l'urgence, au lendemain d'un derby, le dernier à Gerland, où malheureusement Robert Beric a été blessé et s'est fait les croisés. On était dans l'urgence car on était dans toutes les compétitions en jeu. Il fallait trouver un attaquant avec des moyens financiers limités. L'entraîneur, quand il joue tous les trois jours, il a un travail important. Il a une pression énorme. Si en plus c'est à lui de faire des propositions pour recruter des joueurs... L'entraîneur il est là pour entraîner, préparer. Le plus bel exemple, ça a été Monaco avec Leo Jardim, un entraîneur que j'apprécie beaucoup. Il ne connaissait pas du tout le championnat, on lui a dit "que cherches-tu comme profil de joueur ? Tu cherches ça ? On va te les amener." Regardez ce qui s'est passé en trois ou quatre ans dans ce club..."
Huit à la suite
11/12 19:38

L'ASSE vient d'enchainer son huitième match de L1 sans succès. Comme nous le rappelle le potonaute sam42, il faut remonter à la saison 2010/2011 pour retrouver une série d'au moins huit matchs consécutifs de L1 sans victoire (neuf matchs au total).
Les pires séries :
13 matchs sans victoire : en 1988/89 avec Herbin
12 matchs sans victoire : en 1995/96 avec Baup puis Bossis puis Bathenay
11 matchs sans victoire : à cheval sur les saisons 1994/95 et 1995/96 avec Baup
9 matchs sans victoire : en 2010/11 avec Galtier
Vous n'avez pas les bases
11/12 19:21

Au micro de Laurent Paganelli, Cheikh Mbengue a livré sa réaction dès le coup de sifflet final hier soir au Vélodrome. Simple, basique et lucide.
"Dans la situation dans laquelle on est, c’est dur, il faut s’accrocher. Il reste encore deux matchs avant la trêve, il faut prendre des points et revenir après la trêve avec le maximum de confiance, parce que là on peut voir que c’est très dur pour nous. La solution elle viendra de nous, avec le staff. Quand c’est dur, il faut revenir aux bases et là les bases on ne les a pas. Les supporters attendent de nous que l’on mouille le maillot, même si on perdra des matchs. Mais il faut perdre les matchs avec l’honneur et la fierté."
"Direction démission" !
11/12 17:44
C'est la banderole explicite que les Magic Fans ont déployée aujourd'hui à l'Etrat.
Par ailleurs, Radio Scoop nous apprend qu'un comité d'accueil d'une trentaine de supporters attendait les joueurs et le staff la nuit dernière à l'aéroport d'Andrézieux-Bouthéon. Les échanges ont paraît-il été très tendus en particulier avec Loïs Diony et Roland Romeyer.
Pas de doute l'hiver est bien installé à Sainté.
Les martyrs de la grand-messe
11/12 16:50
L'affiche du dimanche soir est un rendez-vous majeur du week-end footballistique français et force est de constater que ce n'est pas vraiment l'occasion pour les Verts de se mettre en valeur. Le potonaute AzAtHoTh nous apprend en effet que les 3 dernières saisons ont donné lieu à 14 rencontres à cet horaire pour un bilan famélique de 2 victoires et 1 nul, contre 11 défaites, et une sympathique différence de buts de -31 (6 buts marqués, 37 encaissés).
Marvin à Clairefontaine
11/12 14:23
Le jeune défenseur central Marvin Tshibuabua, qui évolue habituellement avec les U17 Verts fait partie des 22 appelés en Équipe de France U16 par Jean-Claude Giuntini pour affronter la Russie lors d'une double confrontation les 19 et 21 décembre.
Sablé ensablé
11/12 08:10

Avec deux petits points pris lors de ses cinq premiers matches de championnat, Julien Sablé présente le pire bilan de l'histoire de l'ASSE, ex-aequo avec celui qui l'avait lancé chez les pros, Pierre Repellini. Merci au potonaute sam42 pour ce triste rappel statistique !
Nombre de points pris par les entraineurs lors de leur 5 premiers matchs en championnat avec l'ASSE (victoires à 3pts)
11 points : Batteux (D1), Herbin (D1)
10 points : Locke (D2), Duckworth (D2), Toshack (D1), Antonetti (D2), Hasek (L1), Garcia (L1)
9 points : Rivers (D2), Vago (D2), Tax (D1 avec entrainé avant pendant la guerre)
8 points : Snella (D1), Santini (D1), Baup (D1), Mankovski (D2)
7 points : Wicart (D1), Sarramagna (D1), Nouzaret (D1)
6 points : Perrin (L1)
5 points : Vernier (D1), Guerin (D1), Briet (D1), Djorkaeff (D1), Bathenay (D1), Roussey (L1), Galtier (L1)
4 points : Philippe (D1), Kasperczak (D2), Wallemme-Garcia (D1)
3 points : Michel (D2)
2 points : Repellini (D2), Sablé (L1)
Un grand Ruffier
11/12 08:02

"On est tombé sur un grand Ruffier" a déclaré Rudi Garcia hier soir en conférence de presse. "Nous aurions dû marquer d'autres buts mais Ruffier a fait de beaux arrêts" a abondé Maxime Lopez en zone mixte.
La dernière édition de La Provence tient également à saluer la performance du pauvre gardien stéphanois, une nouvelle fois abandonné par sa défense.
"Soyons clairs : sans un gardien de la classe de Stéphane Ruffier, l’AS Saint-Étienne aurait pris une correction et aurait été déjà largement menée à la pause. Et cela souligne aussi le mérite du club stéphanois quand il a recruté Ruffier pour pas très cher. Car non seulement, ce n’est pas la première fois qu’il accomplit des exploits, mais en plus de son envergure, son art de boucher les angles doit parfois conduire les attaquants à forcer leurs tirs, à trop vouloir les éloigner de lui. Et ainsi, les poteaux sont ses alliés. Entre le capitaine des Verts et ses montants, ce sont bien cinq buts supplémentaires que l’OM n’a pas marqués et qui n’auraient pas paru usurpés au tableau d’affichage. En première période, il a d’abord repoussé un coup franc de Payet, à rebonds, tiré depuis le bord de touche. Il a ensuite effectué deux sauvetages sur des reprises de la tête, signées Payet puis Germain. En seconde, il a vu son poteau droit repousser une nouvelle tête smashée de Germain, puis le gauche renvoyer un tir fracassant de Thauvin et il s’est opposé à un tir de ce dernier et une percée d’Ocampos. Ajoutons-y un coup de tête de Germain et un coup franc de Payet qui ont frôlé les poteaux et on comprendra que 3-0, ce n’est pas cher payé."
Printant dès l'hiver ?
11/12 07:42
"Un toilettage du staff technique n’est pas à exclure cet hiver" selon la Pravda du jour. "Le nom de Ghislain Printant (56 ans), libre après avoir déjà secondé Jean-Louis Gasset dans son opération maintien à Montpellier la saison passée, est murmuré" ajoute le quotidien sportif.
Le natif de Montpellier, qui avait côtoyé Julien Sablé à Bastia, était à Hampden Park le 12 mai 1976, et n'a jamais caché qu'il rêvait encore des Verts. "Si un jour je me retrouvais entraîneur de l’ASSE, ça serait merveilleux. Après, ce n’est pas dans mes plans, il faut vivre au jour le jour" déclarait l'ancien gardien de but il y a deux ans dans But ! "Mais si ça devait se présenter, je pense que mes parents, qui malheureusement ne sont plus là, seraient doublement heureux pour moi parce que je serais à la tête de mon club de cœur de ma jeunesse."
Beric in, Söderlund out ?
11/12 07:18
Interrogé par Canal+ avant le nouveau naufrage d'hier soir, Roro a indiqué que le club se monterait "très réactif" lors du mercato hivernal. Selon la Pravda du jour, "il est déjà acquis que Robert Beric (prêté à Anderlecht) reviendra et qu’Alexander Söderlund retournera à Rosenborg." Alors que le Slovène n'a joué que 38 minutes chez les Mauves, le Norvégien n'a pas claqué le moindre pion cette saison en 408 minutes. Le quotidien sportif affirme qu'"au moins trois renforts devraient arriver. Leur profil serait déjà arrêté : il pourrait s’agir d’internationaux en quête d’exposition médiatique en vue de la Coupe du monde. Reste à savoir si les dirigeants stéphanois pourront fournir l’effort financier nécessaire afin d’attirer des joueurs de cette catégorie."
Le club est en danger, ça ne peut plus durer !
10/12 23:25
Très agacé par la défaite de ses protégés à Marseille, Julien Sablé n'est resté que quelques secondes en conférence de presse, le temps de faire la déclaration suivante.
"Je ne peux pas accepter ce que je viens de voir ce soir. Je n'ai jamais rendu les armes, je suis un compétiteur. Ce que j'ai vu là, ça ne peut pas durer. Le club est, à l'instant où on parle, en danger. Nous n'avons pas vocation à jouer le maintien. Bonne soirée."