
Ouammou, waouh !
15/10 11:46

Toujours leader de National 1 après 10 journées, Rodez a réussi à préserver son invincibilité avant-hier soir face à Boulogne en remontant un handicap de deux buts. Comme le week-end dernier en Coupe de France, l'ancien milieu de terrain stéphanois Nassim Ouammou a marqué sur un joli coup franc du gauche.
Djouahra football
15/10 10:34
Auteur d'un but de trois passes décisives cette saison avec les U19, le milieu offensif des Verts Naïs Djouahra s'est confié à Foot Mercato. Extraits.
« Le foot c’est toute ma vie. C’est plus qu’une passion.Tous les jours, je me lève puis je vais à l’entraînement. Quand il y a des matches, je les regarde. Parfois, je joue aux jeux vidéo et c’est encore du foot. C’est tout le temps du foot. Le foot, c’est une histoire de famille. C’est venu grâce à mes parents et à mon grand frère Yanis. Il a été joueur puis coach. Donc à force d’aller près des terrains, de regarder les matches, je me suis lancé. J’ai fait mes débuts à l’âge de 6 ans. C’était à Ruy-Montceau, à côté de Bourgoin-Jallieu. Puis j’ai rejoint justement Bourgoin. J’y ai passé 5 ou 6 ans avant d’être recruté par Saint-Étienne en U14. On m'a remarqué lors d’un tournoi de futsal. À la fin du tournoi, un recruteur est venu me parler et m’a demandé de venir faire des essais. J’en ai effectué un premier, puis un second et ils m’ont demandé de signer.
L’ASSE est un club avec beaucoup de valeurs. C’est très familial. Quand j’y suis allé, c’était un critère important pour moi. On est très bien accueilli, on fait tout pour qu’on s’y sente bien. Le centre de formation a un bon niveau. Il y a de bons joueurs là-bas. Ça permet de nous faire évoluer. Ma pré-saison et ma saison se sont bien passées. J’en suis à trois buts. Tout va bien. Je veux essayer de continuer à marquer et être décisif. Je veux gravir les échelons et viser le plus haut possible. Rejoindre l'équipe professionnelle, c’est un rêve bien sûr. J’aimerais y arriver avant la fin de la saison si c’est possible. Mais il y a encore du travail. En tout cas, je veux rester dans le monde du foot. J’aimerais passer des diplômes d’entraîneur car mon frère l’a fait. Mon grand frère m’a entraîné quand j’étais en U11. Aujourd’hui, il veille encore sur moi."
Piège de Christelle
15/10 09:46

Dans le nouveau bimestriel Journal du Sport, Jean-François Larios revient sur ses vertes années, marquées notamment par sa liaison dangereuse et fatale avec Christelle Platini. Extraits.
"C’est à Saint-Etienne que j’ai été formé, par Robert Philippe et le père de Thierry Oleksiak. On était arrivés à trois de la Jeanne d’Arc du Béarn avec Dominique Vésir et Patrick Soubis. C’est le père de Jean-Michel Larqué qui m’avait aiguillé sur Saint-Etienne et le passage de Pierre Garonnaire avait fini par me convaincre. Je pouvais aller à Bordeaux ou à Nantes mais j’ai choisi les Verts parce qu’il y avait Jean-Michel qui venait du même club.
J’étais quand même un bon joueur de foot, non ? A l’ASSE, j’ai marqué pas mal de buts et offert encore davantage de passes décisives, même si on ne les comptabilisait pas à ce moment-là. On évoluait dans un état d’esprit totalement différent, avec des valeurs autres, un vrai amour du maillot, ce qui impactait forcément sur nos choix de carrière. J’ai su après coup que plusieurs grands clubs européens me voulaient.
Au hasard d’une rencontre avec un dirigeant madrilène, j’ai appris que le Real était prêt à mettre sept millions de francs pour me recruter en 1981, ce qui était beaucoup à l’époque. Le président Rocher s’est bien gardé de m’en parler. Je lui en ai voulu toute ma vie ! Quand je pense à ce qu’il m’a fait, ce qu’il m’a caché… Au final, et avant de savoir tout ça, je me suis engueulé avec lui et j’ai racheté mon contrat en 1983 pour gagner ma liberté.
Je ne peux pas oublier notre qualification en Coupe d’Europe face au PSV Eindhoven après avoir perdu 2-0 chez eux. On gagne 6-0 chez nous après avoir marqué trois buts dans les cinq premières minutes. Et c’est moi qui mets le premier… Franchement, tous les matches sous le maillot vert ont été un vrai plaisir pour moi, que ce soit en Coupe d’Europe ou contre Valenciennes. J’abordais le foot comme un jeu, pour m’éclater.
Mes ennuis avec Platini ont évidemment impacté ma carrière. Je suis resté deux ans avec sa femme Christelle, forcément que ça a joué… En trois ans, j’ai été appelé 17 fois en équipe de France, j’avais été élu meilleur joueur de l’année en France en 1980. J’étais parti pour vivre une cinquantaine de sélections mais du jour au lendemain, tout s’est arrêté… Les circonstances de la vie en ont voulu autrement. Je n’ai pas de regrets.
Cette histoire a longtemps été taboue dans le milieu. Je l’évoque aujourd’hui publiquement parce que j’ai décidé de tout dire dans un livre qui sortira en novembre prochain. Je n’en connais pas encore le titre, et les avocats se penchent encore dessus, mais ce sera l’occasion de dire ma vérité. Sans aigreur ni regret.
Je suis toujours ce que fait l’ASSE. Je ne suis pas revenu à Geoffroy-Guichard depuis longtemps, mais lorsque j’étais agent de joueurs, j’y venais régulièrement. Je rencontrais Roland Romeyer ou Bernard Caïazzo sur Paris. Cette saison, ils réalisent un très bon début de championnat. J’espère que le nouveau coach leur permettra de franchir un palier. Pour le moment, on sent qu’il stabilise l’équipe, il semble faire du bon boulot.
Si les Verts finissent dans les quatre premiers, on oubliera vite la période Galtier, même si tout le monde s’est accordé pour dire qu’il avait fait du bien au club. Les anciennes générations n’oublient pas la grande époque des Verts, et les nouvelles espèrent que l’ASSE pourra redevenir un grand club. Et je pense qu’un jour ce sera le cas, que financièrement il pourra rivaliser avec les meilleurs. Il faut être patient.
A soixante et un ans, je ne suis plus en activité. Même si je continue de bosser un peu, je suis à la retraite et me soigne. Je me suis fait opérer trois fois en un an et demi, j’ai failli être amputé à cause des effets de la cigarette. Je dois me reposer et accepter de vivre sous médicaments. En plus je viens de perdre ma mère récemment donc j’ai besoin de repos."
Niakhaté a craqué
15/10 08:39
Dans Le Républicain Lorrain, le défenseur messin Moussa Niakhaté revient sur la victoire des Verts contre les Grenats.
"En première mi-temps, on a été costaud, on sentait qu’il ne pouvait rien nous arriver. On a respecté les consignes du coach à la lettre. Après la pause, les choses se sont compliquées. Je pense que l’entraîneur de Saint-Etienne a dû pousser une soufflante. Les Stéphanois étaient beaucoup plus déterminés. On a longtemps résisté, mais on a fini par craquer."
Cabella emballé
15/10 08:05

"C'était magique ! Vivre ça, c'est énorme ! Je ne pense d'ailleurs pas avoir déjà vécu ça dans ma carrière !" déclare dans la Pravda du jour Rémy Cabella, emballé par les vingt dernières minutes emballantes d'hier soir, sur le terrain comme dans les tribunes.
Dans la dernière édition du Progrès, Léo Lacroix rend hommage au numéro 10 des Verts, excellent contre les Grenats. "On a la chance d’avoir un joueur comme Rémy qui peut jouer dans plusieurs rôles et qui a beaucoup de qualités. Cela nous aide pas mal."
Des couilles et des bisous
15/10 07:38
"Au Nord, c'était les cojones !"
Dans la dernière édition de la Pravda, Bryan Dabo savoure le renversant succès des Verts contre les Grenats.
"Le public nous a sifflés à la pause, moi j'aurais sifflé dès la première minute. Notre première mi-temps a été insipide. On a manqué de mordant et eu le contrôle du match pour rien. Mais après, on s'est fait des bisous. Tu as beau être Guardiola, si les joueurs n'ont pas envie sur le terrain, tu perds 4-0. On s'est dit nos quatre vérités dans le vestiaire et on est passé d'un 4-3-3 à un 4-2-3-1. Ce changement tactique nous a très, très bien réussi. On a étouffé les Messins comme un prédateur étouffe sa proie. Le penalty ? Il n'y a pas de tireur attitré et moi j'ai des couilles. La LFP a attribué notre deuxième but à Cafu contre son camp. Mais les gens vont le voir à la télé et dire que c'est Bryan qui a marqué."
Bamba privé de National 3
15/10 07:17

Privé de Grenats hier soir, Jonathan Bamba n'a pas été retenu pour jouer en contre Ain Sud cet après-midi à l'Etrat lors de la 6e journée de National 3. La Pravda du jour rappelle que le numéro 14 des Verts reste toutefois à la disposition de la réserve "jusqu'à nouvel ordre."
En conférence de presse, Oscar Garcia n'a pas caché qu'il aimerait récupérer sans tarder son international Espoirs.
"C’est une décision qui nous pénalise sur le plan sportif, c’est évident. Cette décision est celle des dirigeants. Ils me l’ont expliqué, j’ai compris pour quelles raisons ils ont agi de la sorte. J'ai parlé avec le joueur, il connaît ma position ainsi que mes dirigeants. J’espère que, tous ensemble, nous allons arranger cette situation pour trouver une solution positive."
Bafé en tenue de Gala (7)
14/10 22:39

Grâce un doublé victorieux de Bafé Gomis sur le terrain de Konyaspor, Galatasaray a conforté son statut de leader ce soir. Ayant claqué 9 pions en 8 journées, l'ancien attaquant stéphanois est le meilleur buteur du championnat turc, ex aequo avec l'international macédonien Adis Jahovic (Göztepe).
Les Verts renversent les Grenats
14/10 22:23

Très médiocres en première période et menés au score de la 21e jusqu'à la 74e minute par des Grenats combatifs mais limités et faiblards, les Verts se sont imposés 3-1 ce soir à Geoffroy-Guichard. Après l'égalisation de Vincent Pajot, c'est sur un autre corner que Bryan Dabo a donné l'avantage aux Verts alors qu'il avait loupé dix secondes plus tôt un peno obtenu par Gabriel Silva. Sur une excellente remise d'Alexander Söderlund (qui s'est vu refuser auparavant un but pour un hors jeu dicutable), Habib Maïga a marqué à la 94e minute dans un Chaudron peu garni mais en liesse. Les Verts chassent les vilains du podium et ne comptent plus que deux points de retard sur Monaco !
Aubame, il a doublé !
14/10 21:08

Malgré un doublé de Pierre-Emerick Aubameyang, le Borussia Dortmund, défait à domicile par Leipzig, n'est plus invaincu cette saison en Bundeslige et ne compte plus que deux points d'avance sur le Bayern, qui a écrasé 5-0 quelques heures plus tôt le Fribourg de Yoric Ravet, entré en à la 71e minute. Fort de ses 10 pions, Aubame en profite malgré tout pour doubler Robert Lewandoswki au classement des buteurs du championnat allemand. PEA a déjà claqué 15 pions toutes compétitions confondues depuis le début de saison !
Douline claque contre le HAC
14/10 19:44

Passeur décisif sur l'ouverture du score et auteur du dernier but de son équipe, l'ancien milieu stéphanois David Douline a été l'un des principaux artisans du succès de Clermont Foot contre Le Havre (3-0) cet après-midi lors de la 11e journée de L2. Les Auvergnats en profitent pour remonter à la 4e place, à un petit point du troisième Brest, deux autres ex-finalistes de la Coupe Gambardella eux aussi titulaires s'étant neutralisés hier soir à Francis Le Blé (Kévin Mayi et Pierre-Yves Polomat).
Domenech mise sur les Verts (3)
14/10 10:32
Comme en février dernier, Raymond Domenech mise sur trois Verts pour la 9e journée au "Contest à 11". Le principe de ce jeu rappelé par son organisateur Winamax : "avec un budget de 300 M€, former une équipe de onze joueurs pour participer à un ou plusieurs contests (5 €, 10 €, 50 €) afin de gratter une part des 15 000 € garantis".
"Le match qui peut rapporter gros ? Saint-Étienne - Metz. Il y a toujours deux ou trois matches à cocher, dont forcément ceux avec Paris. Il faut donc trouver le match et les joueurs pour faire la différence dans le classement. Je mise cette fois sur les Verts à domicile qui ont des milieux capables de marquer comme Rémy Cabella" explique l'ancien défenseur et entraîneur des vilains sur le site de l'ancien sponsor maillot de l'ASSE. "La pépite ? Stéphane Ruffier. On n'en parle pas beaucoup depuis qu'il a eu des propos malheureux sur l'équipe de France, mais il prouve à chaque match que c'est l'un des meilleurs gardiens tricolores."
Lubo toujours vert
14/10 09:58

Dans une interview parue hier sur le site Foot d'Avant, Lubomir Moravcik est revenu longuement sur ses vertes années avant d'évoquer un possible retour à Sainté. Extraits.
"Une fois que les communistes sont tombés en Europe de l’Est, cela a donné l’occasion d’être libre pour partir dans un pays étranger. Avec la Coupe du monde 1990 en Italie, nous avions une chance énorme d’être repérés. Une grande partie des joueurs tchécoslovaques a été transférée après cette Coupe du monde. Moi j’ai été transféré à Saint-Étienne. A l’époque, Bernard Bosquier était en contact avec mon agent. Suite à un match de la Coupe du monde, Saint-Étienne m’a contacté et on s’est mis d’accord avant les quarts de finale. Quand je suis venu à Saint-Étienne en juillet 1990, j’ai définitivement signé mon contrat.
C’était dur au départ car je suis parti tout seul en laissant ma femme et mon fils en Slovaquie. Au début, j’étais à l’hôtel et il y avait un homme d’origine tchèque qui s’occupait de moi. Il m’expliquait comment les choses allaient se passer. Puis quand ma famille est arrivée, on m’a proposé une maison temporaire. Au bout de trois mois, nous avons loué notre maison. Les choses ont vite avancé même si au début je ne comprenais pas beaucoup la langue française. Sur le terrain j’ai vite compris les consignes : faire des passes, recevoir des ballons, faire des centres. La langue sur le terrain n’est pas difficile à comprendre.
Pour mon premier match à Geoffroy Guichard en juillet 1990, on avait fait 0-0 contre Rennes. L’année où je suis arrivé, plein de nouveaux joueurs venaient de rejoindre le groupe. Je me souviens qu’après la rencontre, toute l’équipe avait mangé ensemble. Même si je ne comprenais rien aux conversations, je restais avec le groupe. J’étais prêt à tout pour m’intégrer.Au début quand je suis arrivé, le stade n’était pas complètement plein. Mais lors des grosses affiches, il y avait une superbe ambiance avec 40 000 supporters. C’était vraiment chaud derrière les buts avec le kop et les gens qui restaient debout. J’aimais leur passion. Notre club de supporters nous suivait partout en France. C’est un club qui est beaucoup aimé.
Au début les gens ne m’ont pas reconnu tout de suite en ville. Mais quand j’ai failli signer à Marseille, je suis devenu le joueur emblématique du club. Je me rappelle que les supporters avaient marqué sur un mur du centre d’entraînement "Lubo, on t’aime, on t’adore, ne pars pas". C’était touchant. J’étais resté pour cet amour mais aussi parce que j’avais un bon contrat à Saint-Étienne. A l’époque, Marseille me proposait quasiment la même chose. Le président m’avait aussi convaincu de rester au club en me disant : "on veut être dans les trois premiers de première division, on a besoin de toi, on veut que tu restes".
Il y avait beaucoup de choses positives à Saint-Étienne. Sur le terrain, peut-être qu’il nous manquait un buteur capable de marquer plus de buts. Il y a eu Roland Wohlfarth pendant un moment mais il était en fin de carrière. Malheureusement l’international français Philippe Tibeuf s’est blessé gravement. L’élimination des Verts en demi-finale de Coupe de France en 1993 nous a coûté cher car le président André Laurent s’est fait limoger et cela a tout cassé. Ensuite, il y avait moins de stabilité au club.
Mon meilleur souvenir chez les Verts ? Je n’en ai pas car je n’ai rien gagné avec Saint-Étienne. Mais je retiens plutôt l’ensemble et les supporters extraordinaires qui nous supportaient même dans les matchs difficiles. J’ai été très heureux à Saint-Étienne. J’ai toujours de très bons amis. Ça m’a plu la mentalité de Saint-Étienne. Le club et les supporters m’ont accueilli à bras ouverts. Ça m’a beaucoup touché. J’aime beaucoup ce club et cette région. Tout me plaît là-bas que ce soit la ville ou les gens qui sont gentils et très ouverts. J’aime aussi la France en général car c’est un pays magnifique.
La dernière saison, je n’ai pas joué les quatre derniers matchs suite à un carton rouge et ça a été difficile. Les mauvais résultats entraînaient de mauvaises réactions de la part du public ou de ma part. En prenant un carton rouge en fin de saison, je n’ai pas rendu service au club. Je pense que le départ d’André Laurent a provoqué la descente quelques années plus tard. Il avait stabilisé le club et donné beaucoup d’énergie à Saint-Étienne. Je me souviens au début quand je suis arrivé, il m’avait invité dans sa maison avec ma femme et mon fils. Après son départ, de mauvaises décisions ont été prises au club. Il y avait aussi des gros problèmes financiers, puisqu’on avait un trou de 20 millions de francs et cela a presque tué le club. Quand l’ASSE est descendue, j’étais obligé de partir pour faire baisser la masse salariale. Si je n’étais pas parti, le club aurait peut-être été rétrogradé en troisième division. J’ai rendu service au club car j’ai laissé tombé quelques sous.
Je suis retourné en Slovaquie et j’ai passé mes diplômes pour devenir entraîneur professionnel. Entre 2005 et 2007, j’ai entraîné les moins de 17 ans de la sélection slovaque. Puis mon contrat s’est terminé, alors j’ai eu une opportunité d’entraîner en première division mais je ne suis resté que six mois. Je me suis fait limoger car les résultats n’étaient pas bons. Entre 2008 et 2016, j’ai été un peu agent de joueurs. Sans grands succès, c’était dur. Depuis 2016, je suis entraîneur adjoint en deuxième division. J’ai d’abord été à Sered et maintenant je suis à Zvolen. J'aime beaucoup Bastia et la Corse, mais si je devais revivre à l’étranger, je reviendrais à Saint-Étienne à côté de mes amis que j’adore. Mon passage en France a été un grand plaisir. Mais après je ne veux pas quitter mon pays que j’aime beaucoup. Je suis très content en Slovaquie."
La nalyse en carton
14/10 09:35

En conférence de presse, Vincent Pajot a tenté d'expliquer pourquoi les Verts sont avant-derniers au classement du fair play (17 cartons jaunes et 3 rouges).
"Nous exerçons un pressing assez haut, le coach nous demande beaucoup d’efforts dans ce pressing et parfois, forcément, on manque de lucidité sur la longueur du match et ça amène à faire des fautes. Mais on est quand même des gentils garçons. Je ne veux pas faire de polémique mais il me semble que les cartons sont distribués facilement. Sur certaines fautes le carton rouge tombe plus rapidement. Les arbitres devraient prendre du recul. À peine on met une semelle qu’on prend un jaune. Il faut qu’il y ait une prise de conscience au niveau de l’arbitrage sur certaines actions. Les arbitres sont parfois trop protocolaires dans leur fonctionnement. Les joueurs trichent souvent ? C’est devenu courant. On est aussi des acteurs. Cela joue, en effet. C’est comme lorsque le public siffle. Cela amène les arbitres à prendre certaines décisions."
Manu titu ?
14/10 08:56

Privée d'Assou-Ekotto (suspendu), Bisevac, Efouba, Jallow, Jouffre, Rivierez (blessés) et Wollscheid (malade), la lanterne rouge grenat enregistre le retour de Manu Rivière. L'ancien attaquant stéphanois a de bonnes chances d'être titulaire à Geoffroy selon la dernière édition du Républicain Lorrain.
"De retour de sélection, l’international japonais Eiji Kawashima pourrait débuter dans le but derrière une défense sans surprise au regard des nombreuses absences : le quatuor sera composé d’Ivan Balliu, Fallou Diagne, Moussa Niakhaté et Matthieu Udol. Au milieu, il n’est pas interdit de penser que Philippe Hinschberger effectue quelques retouches par rapport à ses habitudes. Renaud Cohade descendrait ainsi d’un cran, se positionnant à la pointe basse d‘un trio de récupérateurs que l’ex-Stéphanois composerait avec Geronimo Poblete et Cafu. Le secteur offensif enregistre le retour d’Emmanuel Rivière, blessé depuis de la venue du PSG le 8 septembre. Ce dernier est susceptible de débuter à la pointe de l’attaque messine comme l’ont laissé suggérer les mises en place de la semaine. Du coup, Nolan Roux serait invité à se décaler dans le couloir droit et Matthieu Dossevi à changer de côté."
Un match particulier pour Coco
14/10 08:07
De retour à Geoffroy-Guichard ce samedi soir, Renaud Cohade évoque ce match de la 9e journée dans la dernière édition du Progrès. Extraits.
"On a perdu des points en route. On est dans l’urgence. Au niveau du contenu, il y a des points positifs. Par rapport à la saison dernière, on est plus performant au niveau de la possession du ballon. Moins dans les zones de vérité, c’est là que les matches basculent. Il ne faut se mettre de pression particulière même si on est dans une situation délicate. La réussite nous fuit. Des faits de matches nous sont défavorables. Ce ne sont pas des excuses. Nous sommes en difficulté parce que nous avons des failles. Il faut rester calme. On ne résout pas les problèmes en s’affolant mais en se donnant à fond.
L'ASSE reste sur une défaite à Troyes mais elle a quand même pris 14 points. C’est un début de saison satisfaisant au niveau comptable. Elle va jouer dans la première partie du tableau. Ce sera difficile car les Stéphanois mettent beaucoup d’intensité, d’impact dans leur jeu. Ils auront à cœur de gagner à domicile après deux nuls consécutifs. Pour eux, on est un petit du championnat contre lequel il faut gagner à tout prix. Cela reste un match particulier. Cela me fait plaisir de rejouer dans le Chaudron même si la saison dernière on se fait égaliser à la 95e. Il y a des joueurs, des personnes que je suis content de revoir."
Bamba privé de Grenats (2)
14/10 07:52

La Pravda du jour revient sur la mise à l'écart de Jonathan Bamba. Extraits.
"Dominique Rocheteau a perdu son flegme légendaire. Fatigué d'attendre un signe de la part des trois agents de Jonathan Bamba, alors que les négociations restent au point mort depuis fin juillet, le directeur sportif des Verts est allé trouvé son attaquant hier. Il l'a pris en tête à tête pour lui signifier sa mise à l'écart du groupe professionnel. A compter de ce vendredi matin, il était mis à la disposition de l'équipe réserve. "Jusqu'à nouvel ordre." Cette décision radicale a été confirmée au joueur par Roland Romeyer hier soir. Le président du directoire de l'ASSE a tenu à le recevoir personnellement et dans son bureau, à 18h30. Comme pour mieux lui faire comprendre qu'il s'agissait d'une décision unanime du club. Oscar Garcia en a été simplement informé.
Les dirigeants stéphanois ont pris cette décision après avoir posé un ultimatum à Bamba. Selon le club, ses représentants avaient jusqu'à jeudi soir pour renouer le contact et ils ne l'ont pas fait. Joints au téléphone hier soir, les représentants de Bamba n'ont pas tout à fait la même version. Selon eux, ils ont appelé David Wantier pour lui proposer un rendez-vous en région parisienne. Wantier aurait répondu que l'entrevue ne pouvait se dérouler qu'en la présence de Romeyer, qui, malheureusement, ne pouvait pas rejoindre la capitale. Ils auraient expliqué que, pour une fois, ils ne pouvaient pas venir à Saint-Etienne. Ils devaient partir en en Afrique, notamment en Côte d'Ivoire, pour gérer d'autres dossiers.
Si un accord de principe a été trouvé depuis juillet sur la durée du nouveau contrat (deux ans), le désaccord reste profond sur le volet salarial. L'ASSE proposerait 30 000 euros brut mensuels (au lieu de 20 000 euros actuellement). Le clan Bamba réclamerait 150 000 euros. Le choix de l'ASSE de hausser le ton peut s'interpréter comme un message fort envoyé aux quatre autres joueurs en fin de contrat en juin (Anthony Maisonnial, Florentin Pogba, Kévin Théophile-Catherine, Kévin Monnet-Paquet) ainsi qu'aux éventuelles prolongations à venir pour d'autres joueurs (Habib Maïga, Ronaël Pierre-Gabriel)."
Beric malheureux à Malines
13/10 22:48

Ancien coach de La Gantoise, Hein Vanhaezebrouck a réussi ses débuts en mauve en s'imposant 4-3 à Malines ce soir en match d'ouverture de la 10e journée du championnat belge. Robert Beric, qui espérait gagner du temps de jeu avec son nouvel entraîneur, est une fois de plus resté prostré sur le banc, son concurrent Lukasz Teodorczyk ayant joué l'intégralité de la rencontre et marqué le dernier but de son équipe. Sous contrat avec l'ASSE jusqu'en juin 2019, l'avant-centre slovène n'a joué que 16 minutes depuis qu'il a rejoint le plat pays le 30 août dernier...
Dupont reste fan de Nolan
13/10 22:16
Alors qu'il s'apprête à retrouver le Chaudron, l'attaquant messin Nolan Roux peut compter sur le soutien de son ancien entraîneur brestois Alex Dupont sur le site de So Foot. Extraits.
"Ce qui pose problème est son ratio occasion/but qu’il doit améliorer. C’est vrai que c’est rageant, car il est souvent bien placé, mais il pèche trop souvent dans la finition. Nolan est un joueur mobile. Il crée de l’espace, il aime prendre l’espace libre, il a besoin du collectif pour s’exprimer, il a un gros volume de jeu et ne rechigne pas à bosser dès la perte du ballon. Le garçon donne toujours le meilleur de lui-même. De temps en temps, il a peut-être des attitudes qui laissent à penser qu’il baisse un peu les bras. Mais ce n’est pas la réalité. Quand il rate une occasion, ça lui trotte dans la tête. C’est un compétiteur et il s’en veut plus à lui-même qu’à la Terre entière. Même si Nolan n’a pas besoin d’être cajolé, même s'il est un homme de caractère qui sait se faire respecter, il a besoin de sentir la confiance autour de lui.
À Brest, il était la "star". Alors que dans ces clubs qui jouent les premières places, le costume était grand pour lui, reconnaît l'ex-coach finistérien. Après, les sifflets dans les tribunes, les propos de journalistes, ça fait partie de la vie d’un footballeur de haut niveau. Il faut savoir les accepter et se montrer convaincant. Dans un moment délicat pour son club, il ne s'est pas dégonflé lors du dernier match de Metz à Nantes. Ça montre qu’il a la personnalité et le caractère pour aller au-delà des dix buts. Son jeu, ses performances, vont lui permettre naturellement d’y arriver. Sans forcer, naturellement, faire des choses simples et réussir. Pour lui, le déclic peut venir d'une frappe à 20-25 mètres, puisqu'il a une superbe frappe de balle."
Messin, tombe !
13/10 20:15
Comme nous le rappelle aujourd'hui l'agence de statistiques sportives Opta, les Verts réussissent rarement aux Grenats :
- Metz affiche seulement 20% de victoires face à St Etienne en Ligue 1 (19/96), son plus faible ratio face à un adversaire actuel de l’élite.
- L'ASSE est invaincue lors de ses 10 dernières rencontres face à Metz en Ligue 1 (6 victoires, 4 nuls), sa dernière défaite remontant au 3 mars 2001 (0-3).
- Les Verts n’ont perdu que 2 de leurs 42 dernières réceptions de Metz en Ligue 1 (31 victoires, 9 nuls), le 3 septembre 1988 (0-1) et le 15 avril 1995 (0-1).
- Sainté a préservé sa cage inviolée lors de 7 de ses 9 dernières rencontres face à Metz en Ligue 1.
- Les Verts ont marqué 2 buts ou plus lors de 35 de leurs 48 réceptions de Metz en Ligue 1.
On aura noté par ailleurs que le FC Metz a l’attaque la moins prolifique en Ligue 1 cette saison : les Grenats n'ont en effet claqué que trois pions, deux de Nolan Roux et un d'Emmanuel Rivière. Ils feront tous les deux leur retour à Geoffroy-Guichard demain soir, accompagnés de Renaud Cohade mais pas de Benoît Assou-Ekotto (suspendu).
Lacroix pour la Metz, Bamba excommunié
13/10 20:11
Florentin Pogba finalement trop juste pour être de retour dans le groupe, Oscar devra compter sur Léo Lacroix en défense. En revanche, Habib Maïga est bien là. Comme annoncé plus tôt dans la journée, Bamba est bel et bien sorti du groupe. Le groupe complet :
Ruffier, Moulin, Guendouz
Théophile-Catherine, Lacroix, Janko, M'Bengue, Gabriel Silva, Katranis
Selnæs, Dabo, Pajot, Diousse, Maïga
Diony, Söderlund, Cabella, Hamouma, Monnet-Paquet
On notera, en face, la présence dans le groupe de 3 anciens Verts, Cohade, Roux et Rivière, et de seulement 4 défenseurs.
Bamba privé de Grenats
13/10 19:06

Alors qu'il est le meilleur buteur stéphanois cette saison, Jonathan Bamba n’a pas été retenu dans le groupe qui affrontera le FC Metz samedi (20 heures) car il n'a toujours pas prolongé son contrat avec les Verts, qui court jusqu'en juin 2018. Selon 20 Minutes, ce choix de reléguer l'international Espoirs en équipe réserve vient des dirigeants de l’ASSE et non d'Oscar Garcia qui l’a titularisé à 7 reprises lors des 8 premières journées et qui souhaite encore le faire jouer.
Agent du numéro 14 des Verts et des Bleuets, Aboubakar Traoré déplore cette sanction sur le site du quotidien gratuit. "C’est un moyen de pression et un message négatif envoyé. On en prend note et ça ne va pas nous intimider ou nous faire changer notre point de vue. Selon moi, c’est un manque de respect. Jonathan est un salarié du club donc il ira honorer sa convocation à ce match de National 3. Si l’intérêt du petit est de rester à Saint-Etienne, il restera, et ce même si nous sommes en froid avec les dirigeants."
Geoffroy n'est plus relégable !
13/10 15:59
La Ligue qu'on adule a mis à jour son fu/fameux classement des pelouses.
Après 4 matchs dans le Chaudron, notre pelouse quitte la 19ème place et monte provisoirement à la 17ème place avec une note de 13,1.
Le chaudron devance désormais Monaco (10,7), Amiens (9,7) et Montpellier (9,6).
Juste devant nous, nous retrouvons les pelouses de Nice (13,9) et Toulouse (14,8).
Guingamp reste leader de ce classement devant Bordeaux et Dijon.
Ghezali, aïe !
13/10 07:00

Sorti sur blessure dimanche dernier lors de la défaite des U19 contre Nîmes, Lamine Ghezali souffre d'une déchirure à la cuisse qui le tiendra éloigné des terrains pendant six semaines.
Ain Sud a pris un scud
13/10 06:52
Deuxième de son groupe en National 3 à deux points du leader berjallien, l'équipe réserve de l'ASSE reçoit ce dimanche Ain Sud Foot, antépénultième après avoir été atomisé 5-0 à Aurillac lors de la dernière journée. Dans la dernière édition du Progrès, Hervé Yvars invite ses joueurs à se surpasser chez les Verts.
"Le calendrier ne nous favorise pas actuellement, puisqu’on s’apprête à rencontrer les trois premiers. Clairement, on ne dispute pas le même championnat que ces équipes-là. Mais on va faire le dos rond. À Saint-Etienne, il va falloir faire un match solide pour essayer quand même de ramener quelque chose. Cette réserve stéphanoise a déjà été accrochée plusieurs fois, alors pourquoi pas. Ce qui est sûr, c’est qu’il faudra se retrousser les manches. Individuellement, nous devrons être à 120 %, en sachant qu’on n’aura pas grand-chose à perdre sur ce match. La clé, ce sera de ne pas être mené au score, car jusqu’ici, à chaque fois que ça s’est produit, on n’a pas réussi à inverser la tendance. Marquer en premier changerait la donne, c’est une évidence."
Cohade neuf ? 10, 6 ou 2 ?
12/10 22:05
Renaud Cohade s'est confié à la radio lorraine Direct FM avant de retrouver les Verts à GG après-demain soir.
"Pour faire basculer les matches en notre faveur, il nous manque des petits détails : du réalisme dans les zones de réparation, offensive et défensive. Il y a de bonnes choses mais les points ne sont pas là or c’est le plus important. Aujourd’hui on est dans une situation pas du tout confortable. On est lanterne rouge. Quelle que soit la manière, à nous de tout faire pour engranger des points. Lors de notre victoire contre Charleroi, j’ai évolué récupérateur dans un milieu à trois. J’ai pris du plaisir, c’est une option. On travaille à l’entraînement mais on ne sait pas si on va jouer comme ça ce week-end. Moi ça ne me dérange. On me fait jouer arrière droit, je joue arrière droit. Je m’adapte, c’est juste une histoire de comportement et d’animation. Aujourd’hui si c’est que qui nous convient le mieux et nous fait prendre des points, y’a pas de souci. Il ne faut pas lâcher, même si aujourd’hui c’est difficile pour nous. On n’est pas loin de recoller, il faut juste gagner un ou deux matches et on sera dans le coup. Sainté perd très peu, ça va être un match difficile. Mais il faut y croire, il faut se battre. On aborde le déplacement à Saint-Etienne avec beaucoup de concentration.
C’est sûr que l’ASSE n’est pas la meilleure équipe à rencontrer car c’est toujours difficile d’aller dans le Chaudron et de ramener quelque chose. Les Verts ont connu un changement d’entraîneur, ça faisait beaucoup de temps que c’était Galtier. Je trouve qu’ils se sont bien adaptés parce qu’ils prennent des points. Ils sont sur une bonne dynamique. Ils ont la réussite qu’on n’a pas. A nous de faire essayer de faire pencher la balance ce week-end. Refouler la pelouse de Geoffroy-Guichard, c’est un plaisir. Je suis très content de rejouer dans ce stade. Il faudra y aller avec la même détermination que la saison passée. On avait fait match nul mais je pense qu’on méritait de gagner, il y avait eu ce scénario un peu fou en fin de match en notre défaveur. Ce ne sera pas le même match, pas les mêmes équipes, pas les mêmes atouts des deux côtés. A nous de rester concentrés, d’être déterminés et de défendre notre club. L’ASSE n’a plus gagné à domicile depuis le 19 août mais je ne pense pas qu’il faille s’appuyer sur ce qu’a fait l’adversaire. On va plutôt s’appuyer sur ce qu’on fait nous. Il faut déjà être dans le combat, les efforts. Il faut se battre en équipe pour ramener quelque chose de Saint-Etienne."
Le derby au musée (4)
12/10 21:18

Roro et l'Ange Vert ont apprécié l'exposition sur l'histoire des derbys, comme ils l'ont expliqué hier à France Bleu lors du vernissage au Musée des Verts.
Roland Romeyer : "C'est une excellente idée des responsables du musée, je les félicite pour l’excellent travail qu'ils ont fait. Quand on voit l'exposition, c'est magnifique parce que c'est vrai que le derby a une très grande importance. C'est une rivalité géographique, économique, culturelle, sportive. Il y a plein de choses que j'ai découvert parce que même si je suis un Stéphanois et il y a 60 ans j'assistais au premier derby, le 10 septembre 1957 et bien je suis loin de connaitre tout ce qui s'est passé pendant les derbys. J’ai découvert qu’il y avait eu des prêts de joueurs entre les deux clubs pour un match. Notre gardien Claude Abbes a été prêté pour un match de coupe d'Europe à l'OL parce que leur gardien était blessé. Il y a plein d'anecdotes que je ne connaissais pas, c'est magnifique !"
Dominique Rocheteau : "Le seul derby qui parle vraiment en France c'est Saint-Etienne - Lyon. Avec toute une histoire. Je félicite Philippe Gastal et toute son équipe pour cette exposition, ils ont fait un super travail de recherche. Moi j’ai dû faire une dizaine de derbys et je me souviens plus précisément de certains derbys. Notamment d'un derby avec Bernard Lacombe qui est vraiment LE Lyonnais. J'ai joué avec lui un derby mais il était avec moi puisqu'il est passé par Saint-Etienne une saison et on avait gagné donc Bernard a battu Lyon. Je le lui rappellerai bientôt quand on jouera contre eux. Des anecdotes de derbys, y’en a pas mal. J’en ai vécu en tant que joueurs mais aussi en tant que dirigeant. Celui qui m’a marqué le plus, c’est le centième derby à Gerland. Beaucoup de monde s’en souvient. On n’avait pas gagné à Lyon depuis longtemps et on bat l’OL dans les dernières minutes grâce à un magnifique coup franc de Dimitri Payet. Celui-ci nous a beaucoup marqués, bien sûr ! On s’en rappellera toute notre vie."
Le Milliard ! Le Milliard !
12/10 18:04
Quand l'actualité sportive est pauvre, il faut bien broder !
C'est pour cette raison que la Pravda se fend dans son édition du jour d'une projection théorique de l'évolution des droits TV sur les prochaines années, en capitalisant sur la présence des nouvelles stars de la Ligue 1 telles que Mbappé, Neymar, Lemar ou encore Balotelli.
La Ligue, qu'on adule et qui va bientôt procéder à l'appel d'offres pour la période partant de 2020, vise 1,2 Milliards d'Euros, ce qui correspondrait à une augmentation de près de 80% de la somme actuelle (726,5 M€ entre 2016 et 2020).
Selon cette projection proportionnelle et dans le cas où cet objectif serait atteint, l'ASSE, actuellement 5e en termes de revenus issus des droits TV, verrait son revenu progresser de 37,1 à 76,92 M€ soit... plus que le PSG aujourd'hui !
De quoi rêver à des lendemains qui chantent ? Pas plus que ça puisque ce même PSG approcherait lui, les 120M€ de droits TV et que les suivants (Monaco et vilains) approcheraient la centaine de millions.
Bref, plus riche oui mais pas plus que les autres...
Oscar sur l'estrade
12/10 14:07
Aujourd'hui, c'était conférence de presse. Oscar Garcia, ce qui ne surprendra personne, est monté sur l'estrade :
"Je préférerais avoir tous mes joueurs. Mais il n'y a pas un coach au monde qui possède un effectif sans blessure. Pogba s'est entraîné seulement 2 jours avec le groupe cette semaine. Nous verrons demain si Habib Maiga sera disponible.
En défense centrale, si KTC est suspendu [NDP² : passage en commission le jeudi 19], nous avons encore Lacroix, Pogba, et Mbengue. Sinon nous inventerons.
J'espère voir une réaction de mes joueurs après la défaite à Troyes où nous avons eu le ballon pour ne rien en faire. Nous avons fait 38 centres pour marquer seulement un but. Avec le travail, nous allons améliorer ce point. Quand je suis arrivé ici, j'ai promis que les joueurs mouilleraient le maillot. A part contre Angers, nous avons toujours couru plus que l'adversaire."
Douline n'est pas fan
12/10 07:39

Buteur lors de finale de la Coupe Gambardella perdue aux tirs au but contre Monaco en 2011, le milieu de terrain clermontois David Douline parle évidemment des Verts dans la dernière édition du Progrès.
"J’avais déjà connu le monde professionnel à l’ASSE, où j’ai été formé, ainsi qu’à Evian, comme stagiaire. Mais c’est vrai que j’ai signé mon premier contrat professionnel cet été, avec Clermont. Quand tu es dans le monde amateur, que tu deviens de plus en plus âgé et que tu n’es pas un attaquant qui plante 20 à 30 buts par saison, les chances de rebondir s’amenuisent. J’ai réussi et je suis très content.
J'ai été formé à l'ASSE, j'ai vécu de bonnes choses. J’ai vécu cinq ans là-bas. Quand j’étais au centre de formation, on allait voir les matches des pros au stade. Je m’imaginais sur le terrain, le Chaudron a une atmosphère particulière. C’est un club que je suis encore mais comme je peux en suivre d’autres. J’ai une attache à l’ASSE, ce club à quelque chose en plus mais je ne suis pas un fan."