Un Ange passe avant le match (5)

10/12 20:50
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Avant le match OM-ASSE, le Canal Football Club a diffusé un reportage où Dominique Rocheteau évoque les ratés du recrutement.

 

"L'erreur, c'est d'être reparti depuis deux ans avec un recrutement de joueurs qui ne connaissaient pas la Ligue 1. On a beaucoup de joueurs étrangers, onze nationalités, donc il y a un temps d'adaptation beaucoup plus long, surtout à Saint-Etienne. On va donc revenir à un recrutement beaucoup plus francophone et surtout de joueurs qui connaissent très bien la Ligue 1. Là il s'agit de... Comment dire... On ne va pas tout changer, ce n'est pas le cas. Je ne pense pas si on peut parler de pansement mais ce sera ça."

Tous derrière Juju ! (9)

10/12 20:34
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Ancien gardien de l'ASSE et de l'OM, Jean Castaneda affiche son soutien à Julien Sablé sur le site de So Foot.

 

"Son départ fut aussi improbable que son arrivée. Je ne le connaissais pas quand il a signé et je pense que c’était aussi le cas pour beaucoup de supporters. Pour entraîner Sainté, il faut quand même quelques références. Visiblement, il ne les avait pas. Après, je ne sais pas ce qu’il s’est passé en interne. Julien, il connaît bien la maison. Les supporters ont gardé une très bonne image de lui, donc ça peut aider tout le monde. Il débute directement sans véritable expérience, dans un club comme Saint-Étienne avec une certaine renommée, donc je pense que Gasset va beaucoup lui apporter. Il a une expérience énorme à ce niveau-là. Il va cependant falloir laisser le temps que ce duo se mette en marche et fasse passer ses idées auprès des joueurs."

Le derby de Jessy

10/12 20:18
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Sur le site de France Football, Jessy Moulin revient sur son meilleur souvenir de l'année 2017. Extraits.

 

"Mon meilleur souvenir, c'est clairement le derby en février dernier à Geoffroy-Guichard, face à l'OL. Mon premier derby disputé, avec en plus la victoire et la manière. C'était quelque chose d'exceptionnel à vivre. Stéphane Ruffier était blessé donc je savais que j'allais jouer. J'ai eu pas mal de temps pour y penser. On se dit forcément qu'il ne faut pas se louper, même si on essaie de s'enlever la pression grâce à plusieurs stratagèmes : comme le fait de se dire que ce n'est qu'un match comme les autres, que ce ne sont que trois points en jeu, ... Mais on a qu'une seule chose en tête : faire une bonne performance pour gagner dans un match hyper médiatisé, où on sait que ça va se voir si on passe à travers.

 

Avant la rencontre, la pression monte aussi avec les messages des amis. Même si ce n'est pas envoyé pour mettre la pression, inconsciemment, on sait que tout le monde regarde. On a alors envie de bien faire. La veille, j'ai bien dormi. J'ai la chance de bien dormir avant les matches, même si j'y pense quand même. Mais c'est vrai que tu prépares différemment ce match lors de la semaine qui précède. Ma chance, c'est d'avoir abordé cette rencontre, au milieu d'une semaine à trois matches, on a moins le temps d'y penser, de gamberger. Ensuite, ça se passe dans ta tête, avec toi seul. C'est soit tu assumes et tu te dis "Maintenant, je fais correctement mon taff", soit tu t'effondres. C'est une question d'amour propre, de rester tête haute et d'assumer le fait d'être dans la cage. Il faut avoir de la confiance en soit, sinon c'est très compliqué...
 

Pendant le match, il y a plusieurs événements qui m'ont marqué. C'est d'abord de voir le stade déjà rempli dès l'échauffement, avec toute la ferveur qu'il y a. Ensuite, j'ai l'image de Tolisso qui frappe la barre alors qu'on gagne 2-0. Là, je me dis que le match tourne bien. J'ai davantage de boulot en deuxième période, avec deux sorties aériennes qui font beaucoup de bien. Il y a aussi eu le vilain geste sur Lemoine en fin de match. Un derby vraiment chaud. Un souvenir inoubliable. Je rêvais de le vivre, et je l'ai réalisé. Même chose quand je suis entré en Coupe d'Europe face au Beitar Jérusalem. Je rêvais de ça. Et pour un gardien, comme moi, qui joue peu, c'est assez incroyable."

Les U15 mal en points contre Bourgoin

10/12 19:46

 

Les U15 Elite de Jean-Philippe Primard, après le bon derby d'il y a 15 jours, recevaient hier Bourgoin sur le synthétique Georges Bereta de l'Etrat. Ils se sont inclinés sur un score assez sévère (0-3) qui est loin de refléter la réalité de cette rencontre. 

 

Le match a commencé par un coup de théâtre avec la blessure (sûrement une entorse à la cheville) de Jordan Morel dès la 5ème minute, décimant encore plus une équipe déjà handicapée par les absences de Nabil Ouennas, Esteban Mouton, Kaïs Bendriss, Lenny Grillet. Malgré ce coup du sort, les Verts allaient effectuer une belle 1ère mi-temps se créant pas moins de 3 occasions, hélas non converties.

La seconde mi-temps allait mal débuter pour les Stéphanois qui encaissaient un but dès la reprise à la suite d'une superbe frappe sous la barre qui surprenait Clément Moulineau, peut-être un peu avancé. (0-1, 42ème)

Ce but, comme un coup derrière la tête, assomma les Verts qui n'allaient pas retrouver leur allant du premier acte. Ils encaissaient un second but un quart d'heure plus tard, encore sur une belle frappe berjalliennne (0-2, 57ème), puis un autre à 5 minutes de la fin sur un cafouillage suite à un coup de pied arrêté (0-3, 75ème).  

 

La composition : Moulineau - Camara, Fenkrous (U14), Ahmane, Yahiaoui - Morel (Vallet U14, 5ème) (Ressicaud 70ème), M.Moueffek, Hilaire (Z.Nadrani U14) - Ressicaud (Mouad Ouroui 60ème), Mukanya, Moyo.

 

La réaction de Jean-Philippe Primard : "Le match a débuté par un coup du sort avec la blessure de Jordan Morel. Mais nous avons bien réagi et effectué une belle 1ère mi-temps, étant sérieux derrière et nous créant plusieurs occasions de scorer. Le but encaissé dès la reprise nous a coupé dans nos intentions de jeu, et nous n'avons pas su nous relever. Nous allons essayer de bien terminer contre le FC Lyon la semaine prochaine. J'espère récupérer les blessés pour la reprise du mois de mars."

U19 : la win à Toulouse

10/12 19:20

KRS a délivré une passe décisive sur le troisième but

 

Vous avez pu suivre la rencontre en direct sur notre forum grâce au potoaute ForeverGreen, envoyé spécial dans la ville rose : les U19 se sont imposés de belle manière sur le score de trois buts à zéro à Toulouse en début d'après-midi.

Dominateurs face au deuxième du groupe D, les Verts ont logiquement ouvert la marque à la suite d'une action individuelle de Habib Koné qui après avoir gagné un duel, est entré dans la surface de réparation et a délivré une frappe puissante et victorieuse (0-1, 38ème). 

Une belle action collective a ensuite amené un décalage sur le côté permettant à Habib Koné d'enchaîner un contrôle et une frappe croisée dans le petit filet (0-2, 74ème). Les Stéphanois ont enfoncé le clou en fin de match grâce à un contre bien mené par Kevin Rocha Santos, le milieu de terrain cap-verdien servant finalement Charles Abi qui après s'être remis sur son pied gauche, a fusillé le gardien toulousain.

Les Verts septièmes avec 18 points affronteront l'impressionnant leader montpelliérain le week-end prochain.

 

La composition : Crémillieux -Mohamed, Saliba, Fofana, Mezaber - Moueffek, Fleury (Djouahra, 65ème), Rocha-Santos - Abi, Koné (Bengueddoudj, 84ème), Valbon (Gabard, 85ème).

 

La réaction de Lilian Compan : "On a fait un gros match devant une très belle équipe de Toulouse. C'est un match référence pour nous. Les garçons ont en fait concrétisé une bonne semaine d'entraînement et ont affiché dès l'entame une belle maîtrise collective. On les a sentis concentrés de la première à la dernière minute. Montpellier le week-end prochain c'est à nouveau un gros match. C'est vraiment une grosse équipe avec beaucoup de régularité. On va essayer de faire une bonne semaine de travail et de reproduire le même type de performance."

Les U17R mal payés contre Grenoble

10/12 17:51

 

Après leur pâle prestation à Saint-Priest il y a 2 semaines, les U17 Honneur Ligue de Gilles Rodriguez recevaient le club partenaire de Grenoble Foot 38. Ils se sont inclinés sur le score de 3 à 1, mais au-delà de ce score sec, on retiendra un match plein de la part des Verts qui n'ont malheureusement eu guère de réussite.

 

Les Stéphanois, adossés au vent, ont globalement dominé la 1ère mi-temps, frappant même le poteau, mais ils se sont faits prendre en contre à la 19ème minute. 

Ils ont donc abordé le 2ème acte contre le vent et en ont subi rapidement la conséquence : suite à une passe latérale dans l'axe, ils ont concédé un corner que les Isérois ont converti en but avec l'appui du vent. Les Grenoblois enfonçaient ensuite le clou, d'une magnifique frappe de 25 mètres. Les Verts, malgré leurs tentatives, n'arrivaient pas  à trouver la faille. Il fallait attendre le temps additionnel pour voir Maxence Rivera (photo) réduire l'écart. Les Verts se procuraient même une nouvelle occasion avant la fin du match mais le score en restait là.

 

La composition : Bariol - Trevez, Khoutri, Sow (Fakili 88ème), Calodat - L.Mouton (Rolland 75ème), Fatah, Fakili (Areg 45ème) - Saban, Raymond, Rivera.

 

La réaction de Gilles Rodriguez : "Nous avons fait un très bon match, mais, comme souvent, l'efficacité nous a fait défaut. Notre nul à Saint-Priest avait été assorti d'une prestation décevante. Aujourd'hui, certes, nous perdons, mais j'ai retrouvé une belle équipe. Grenoble a présenté une formation de 2ème année très efficace. Le tout a fait une belle rencontre, très rythmée avec de belles phases de jeu de part et d'autre."

Les femmes (et les enfants) d'abord

10/12 11:24

 

Alors que les hommes de Juju recevront Moncao vendredi prochain, l'équipe féminine de l'ASSE se rendra sur le rocher cet après-midi. Comme nous le rappelle le potonaute franck42 sur le forum, ce match de Coupe de France féminines (1er tour) sera à suivre en direct sur la chaîne Youtube de la 3F, avec un coup d'envoi prévu à 13h15.

 

 

Côté centre de formation, les U19 joueront à Toulouse à 13h, et les U17 reçoivent Moulins à 14h30.

Bafé en tenue de Gala (11)

10/12 10:10
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Alors que l'OM et l'ASSE manquent d'un avant-centre efficace, Bafé Gomis s'est encore rappelé aux bons souvenirs de ses anciens clubs hier après-midi. Meilleur buteur du championnat turc, il a en effet claqué son 14e pion de la saison avec Galatasaray, qui a battu 4-2 l'ancien club de Landry Nguemo Akhisar Belediyespor. Lors de cette rencontre, l'ancien attaquant stéphanois a pris le premier carton rouge de sa carrière, une grossière simulation de son adversaire ayant abusé l'arbitre.

 

Rudi, il dure

10/12 09:57
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Dans Le Progrès du jour, plusieurs anciens de la maison verte ne sont pas surpris de voir l'endurant Rudi Garcia s'imposer à l'OM après avoir débuté sa carrière d'entraîneur à Sainté.

 

Gérard Soler : "Rudi c’est quelqu’un de très intelligent. Quelqu’un qui aime le foot et c’est cette intelligence qui lui permet de s’adapter. Il est capable de se transformer en caméléon. Comme il a été préparateur physique avant, il a une vue globale de son métier d’entraîneur. Et il a ce côté intuitif, sait bien analyser et a cette capacité à toujours être performant."

 

Stéphane Hernandez : "C’est quelqu’un de proche de ses joueurs, c’est ce qui m’avait frappé quand il était à l’ASSE. Il avait déjà mis en place les prémices du beau jeu. Il jouait parfois avec nous à l’entraînement et il aimait bien la notion de groupe."

 

Fousseni Diawara : "Il aime la rigueur, il est passionné et fait tout à fond. Aucun détail ne lui échappe. Il a su fédérer les grands joueurs autour de lui grâce à sa manière de faire de la pédagogie."

Sablé, Marseillais pur beurre

10/12 09:28
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La Provence revient aujourd'hui sur les années marseillaises de Julien Sablé. Extraits.

 

"Il a beau porter le nom d’une galette imaginée à l’ouest et avoir le cœur vert depuis 22ans, le nouvel entraîneur de Saint-Étienne demeure un vrai Marseillais. Il a supporté l’OM, été un inconditionnel de Chris Waddle dont il reproduira l’excentrique coupe de cheveux au début de son adolescence. "Il a grandi pendant les années Tapie. J’étais abonné et quand il n’avait pas école le lendemain, je le menais au Vélodrome. L’OM, c’est son club, Marseille, c’est sa ville. Dans l’esprit, il y est attaché", résume Michel,le papa. Julien puise ses racines dans le Nord de la cité phocéenne. Là où sa famille s’est implantée et n’a jamais bougé. Une famille dont la figure tutélaire a porté les couleurs de l’OM. Albert Sejnera, le grand-père, Olympien de1959 à 1966, lequel a ensuite joué à Aix (et Arles. Une parenthèse de douze ans avant de retourner là où tout a commencé : aux Sports Athlétiques de Saint-Antoine (SASA) en tant que joueur puis entraîneur. Comme une évidence, Julien tapera ses premiers ballons chez les Rouge et Blan. "C’est un enfant des SA Saint-Antoine, comme son papa et son grand-père", précise Alain Pazzona, longtemps secrétaire général.

 

"On vivait tous pour le foot", plaide le paternel, dirigeant des SASA pendant trente ans. "Je ne lui avais pas laissé le choix: il devait jouer aux SASA jusqu’en minimes", rappelle Michel avec sérieux. Julien adore le ballon rond et assouvit sa passion avec enthousiasme et sérieux. Comme défenseur central,d’abord.Unposte où son physique et sa grosse frappe de balle font des ravages. "Physiquement, il était un peu plus formé que les autres, rembobine Éric Dakessian qui l’a entraîné pendant trois ans dans autant de catégories différentes. Il était un peu plus mûr que son âge." L’envie de grimper d’un cran et de faire la loi au milieu le démange aumoment de passer chez les minimes. "J’étais très sceptique, confesse Michel. Il n’avait pas un gros abattage, était un peu fainéant."Et pourtant, Julien se transforme. Il se transcende, épate et surprend. "Quand je l’ai vu, je me suis demandé si c’était lui", se pince encore son père. "Il sortait du lot, prolonge Dakessian. C’était la plaque tournante de l’équipe."

 

Des recruteurs détectent son talent et son potentiel. Parmi eux figure Saint-Étienne,sous le charme de ce garçon travailleur et exemplaire. Christian Larièpe, directeur du centre de formation des Verts, se déplace en personne pour le voir à l’œuvre. Il témoigne : "Ce n’était pas le premier joueur qu’on repérait, mais il avait déjà cette abnégation, ce tempérament de gagneur, ces qualités de combattant, cette simplicité dans le jeu. Sa qualité première, c’était son mental. Gamin, il était comme aujourd’hui, habité par cette rage de réussir." "C’est un bon petit, avec une bonne mentalité. Dans les vestiaires,c’était un boute-en-train", complète Pazzona. Mais il n’oublie jamais les vertus du travail. "Très à l’écoute, il a beaucoup travaillé sans jamais rouspéter, insiste Dakessian. Il savait que c’était pour son bien." De Marseille à Saint-Étienne qui a finalement séduit Julien et son entourage, tournant le dos à l’OM, Cannes ou Martigues et s’attirant les critiques, il s’astreint une hygiène de vie stricte, respecte les programmes physiques.

 

A Saint-Étienne, loin de Marseille où il s’était rendu au départ "par politesse" dixit Michel et où ildeviendra aspirant à 500 francs par mois, il gravira tous les échelons, toujours sous le regard bienveillant des siens. "On avait déplacé le cocon familial, loué un appartement àL’Étrat, en face du centre, et on y allait tous les week-ends", poursuit le paternel. L’accent est mis sur sa scolarité, érigée en priorité, et sur son bien-être. "Convaincre les Sablé n’a pas été facile, se remémore Larièpe. Je me rappelle une phrase de sa maman: ’Monsieur Larièpe, vous êtes directeur du centre, mais je vous confie mon fils à vous, personnellement’. Ça m’a touché et donné des responsabilités supplémentaires." Elles s’accentueront avantage lorsqu’undrame de la route lui enlèvera sa maman en novembre 1998, entre Saint-Étienne et Marseille. De là-haut, elle doit être fière du chemin parcouru par ce fils qu’elle chérissait tant."

Selnaes voit les choses en grand

10/12 08:47
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Ole Selnaes a vu les choses en grand hier en conférence de presse. Extraits.

 

"On va se sortir de cette mauvaise passe car nous avons une grande équipe. Julien Sablé va devenir un grand entraîneur si on lui laisse le temps de s’affirmer. J’aime être un leader, prendre des responsabilités. J'ai progressé ici, je me sens plus fort, plus rapide. Si j’ai le sentiment de m’améliorer dans tous les domaines, c’est surtout sur le plan physique que la progression est plus nette. Saint-Etienne est un endroit qui respire le football. Un endroit parfait pour progresser parce que je suis dans un grand club, un grand championnat. On va à Marseille pour faire un grand match et prendre des points."

Lazard fait bien les choses ? (5)

10/12 08:39
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Selon la dernière édition du Progrès, les dirigeants stéphanois ont déjà rencontré plusieurs groupes intéressés pour les rejoindre. Actuellement, cinq postulants se sont manifestés et un sixième sera vu au cours de la semaine prochaine.

 

"La banque Lazard est chargée de travailler sur le sujet. Trois dossiers devraient être retenus et présentés aux actuels actionnaires du club. On évoque la venue d’investisseurs venus de l’Est. C’est une piste, parmi d’autres" lance le quotidien régional.

Un inventaire à l'arrêt vert

10/12 08:20
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Les Verts ont subi 14 blessures musculaires cette saison, totalisant 288 jours d'arrêt. La Pravda nous les liste dans l'ordre chronologique.

 

Avant ASSE-Nice (1-0, le 5 août)

Pajot (ischio-jambiers de la cuisse gauche) : 20 jours

 

A Paris (0-3, le 25 août)

Hamouma (mollet droit) : 34 jours

ThéophileCatherine (mollet droit) : 12 jours

Gabriel Silva (ischiojambiers de la cuisse droite) : 20 jours

 

A Dijon (1-0, le 16 septembre)

Maïga (mollet droit) : 20 jours

 

A Troyes (1-2, le 1er octobre)

Perrin (mollet droit) : 40 jours

 

Avec l'équipe de France Espoirs (début octobre)

Pierre-Gabriel (mollet droit) : 25 jours

 

Contre Metz (3-1, le 14 octobre)

Dabo (ischio-jambiers de la cuisse droite) : 10 jours

 

Contre Montpellier (0-1, le 20 octobre)

Diony (mollet gauche) : 21 jours

Cabella (pied)

 

Avant ASSE-vilains (0-5, le 5 novembre)

Gabriel Silva (mollet gauche) : 30 jours

 

Contre Lyon

Hamouma (quadriceps gauche) : 35 jours

M’Bengue (ischiojambiers de la cuisse gauche) : 7 jours

 

A Bordeaux (1-3, le 28 novembre)

Pogba (droit antérieur gauche) : 7 jours

 

Contre Nantes (1-1, le 3 décembre)

Perrin (ischiojambiers de la cuisse gauche) : 7 jours

Galtier très inquiet

10/12 08:02
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Avant d'assister ce soir au match de clôture de la 17e journée qui opposera ses anciens clubs, Christophe Galtier s'est confié au Progrès. Extraits.

 

"L'ASSE sera privée trois joueurs cadres, Perrin, Hamouma et Cabella. Elle sera évidemment très affaiblie. Je trouve qu’en jouant une fois par semaine, les blessés sont nombreux. Les saisons précédentes, je sortais l’argument des trois matches par semaine pour expliquer les blessures. En ce moment, ce n’est pas le cas. Julien Sablé a dit que les joueurs avaient besoin de souffler. Il est très surprenant qu’il y ait autant de blessés à ce moment de la saison, lorsqu’on joue une fois par semaine. Je ne sais ce qui s’est passé, je ne connais pas le contenu de la préparation. Il y a eu un gros bouleversement à l’intersaison, je ne parle pas seulement du changement d’entraîneur mais de l’effectif lourdement modifié.

 

Le club n’a peut-être pas pris la mesure du profil de joueur qu’il faut lorsqu’on repart dans une année de transition. Je suis très inquiet, celui qui ne l’est pas est inconscient. Cela peut aller très vite dans un sens comme dans l’autre et l’ASSE est dans une spirale négative. Pour que l’ASSE ne tombe pas dans ce piège, il faut être inquiet. La personne qui ne l’est pas fait fausse route. Si l'ASSE prend deux joueurs au mercato d'hiver, ce sera un de plus que d’habitude. Il n’y aura pas un bouleversement radical. L’ASSE n’est plus habituée à se retrouver dans de telles situations. Les gens sont en colère parce qu’ils sont malheureux et tristes. Cela peut être vite très pénalisant de jouer dans un tel contexte lorsqu’on n’y est pas habitué."

 

 

Aubame marque, Dortmund craque

09/12 20:58
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A l'instar de l'ASSE, Dortmund enchaîne les contre-performances depuis un mois et demi. Le Borussia a encore perdu à domicile cet après-midi lors de la 15e journée de Bundesliga malgré l'égalisation de Pierre-Emerick Aubameyang, auteur de son 20e pion de la saison toutes compétitions confondues (le 12e en championnat).

 

A 20 pour vaincre à Marseille

09/12 20:39
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Julien Sablé a retenu 20 joueurs pour le match de clôture de la 17e journée de L1 qui opposera l'OM à l'ASSE demain soir au Vélodrome. Si Gabriel Silva et Assane Diousse sont finalement absents, Ronaël Pierre-Gabriel fait partie du groupe, à l'instar du jeune milieu relayeur Mahdi Camara.

 

Ruffier, Moulin, Guendouz

Pierre-Gabriel, Janko, Théophile-Catherine, Pogba, Lacroix, Mbengue

Maïga, Selnaes, Pajot, Hernani, Dabo, Camara

Bamba, Monnet-Paquet, Diony, Söderlund, Vagner

Etienne privé de Saint-Etienne

09/12 09:33
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Blessé au genou, Etienne Didot est out jusqu'à la fin de l'année selon Le Télégramme. Le milieu de terrain guingampais ratera donc la réception des Verts programmée le mercredi 20 décembre à 20h50.

Balducchi reverdit

09/12 09:08
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Patron d'un bar-tabac situé à cent mètres du Stade Vélodrome, Pierre-Eric Balducchi (59 ans) revient sur ses vertes années dans la dernière édition de La Provence. Extraits.

 

"J’étais au centre de formation de l’ASSE, je jouais en troisième division avec Larios, Lacuesta, Schaer, Merchadier, Santini, Repellini, qui n’étaient pas toujours titulaires en D1; même Jean-Michel Larqué, relevant de blessure, est venu jouer en réserve. J’avais grandi à l’AS Mazargues, alors l’un des meilleurs clubs amateurs du sud-est, huit joueurs de notre équipe juniors d’alors ont intégré le milieu pro. En 1975, j'ai signé chez les Verts, avec deux autres Provençaux, Philippe Brun et Jean-Luc Fournier, un an avant d’intégrer le centre de formation.

 

Nous montions à Sainté pour disputer les levers de rideaux des matches de coupe d’Europe avec les juniors, contre des équipes régionales et avant la demi-finale face au PSV Eindhoven, j’ai joué ce match amical contre l’ASSE avec les juniors de Mazargues et nous avions gagné 2-0, avec Laurent Roussey, mes amis Patrice Scanu, Patrick Babulis, sur deux buts de Michel N’Gom. Ensuite, nous étions dans les tribunes et nous passions notre temps à nous retourner pour regarder Joëlle, la chanteuse de "Il était une fois", assise derrière nous.

 

 Physiquement, il y avait un océan entre les deux mondes, nous nous entraînions avec les pros et Robert Herbin et Robert Philippe ne nous ménageaient pas. C’était aussi une école de la politesse, du respect des anciens, des dirigeants, du travail pour devenir un vrai footballeur professionnel. Et quand il fallait donner un coup de main pour déblayer la pelouse ou casser la glace, nous trouvions normal d’être sollicités. Mais c’était sympa, il y avait de l’amitié, chacun avait un surnom, comme j’avais laissé pousser les rouflaquettes, ils m’appelaient "le Tsar".

 

Robert Herbin avait dit que j’étais le futur Piazza. J’ai eu l’étoile de France Football quand nous avons été champions de France de D3 contre Orléans. Et puis, je me suis fait opérer du ménisque. Le même jour que Jean-Michel Larqué; lui l’interne, moi l’externe. Lui, il était sur un terrain trois semaines plus tard; et pour moi, ça a été la fin. Mon ménisque était hypertrophié et après l’opération du professeur Imbert, mon genou n’a jamais pu s’habituer à cette ablation, j’ai eu des épanchements de synovie chroniques et j’ai dû m’arrêter, malgré une courte expérience à Mazargues.

Monsieur Rocher m’a payé ma deuxième année de contrat, j’ai eu une petite somme devant moi, mais aucune aide psychologique, aucun conseil, je suis reparti dans la vie, à 19 ans, seul avec ma famille. J’ai trouvé légère l’attitude des dirigeants d’alors ; mais avec une formation d’homme que je dois à l’ASSE. Comme tout Marseillais, l’OM est dans mes gênes, j’ai été abonné, je reste supporter; même contre Saint-Étienne. Je suis fier d’avoir joué à l’ASSE, ce sont des souvenirs extraordinaires, d’une époque où les Verts étaient l’équipe de toute la France."

Thauvin revient ? (2)

09/12 08:41
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Meilleur joueur de l'OM cette année, Florian Thauvin espère être rétabli pour affronter les Verts ce dimanche soir au Vélodrome, comme il l'explique aujourd'hui dans La Provence.

 

"Ça va. J’avais une petite lésion au mollet depuis au moins dix jours, ça fait plusieurs matches que je joue avec. On a préféré ne pas prendre de risque pour le match de Ligue Europa. Et je ne me sentais pas de forcer par peur que ça pète.J’étais en soin encore jeudi ,je suis sorti sur le terrain vendredi pour m’entraîner avec un kiné. J’ai repris tranquillement avec des courses, des reprises d’appui et un peu de ballon. Je n’ai plus de douleur. Pour Saint-Étienne, j’espère que je serai opérationnel. On fera un point samedi."

Juju, ça urge !

09/12 08:19
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Julien Sablé s'est exprimé hier en conférence de presse avant d'affronter demain l'OM au Vélodrome en match de clôture de la 17e journée de L1.

 

"On savait qu’on aurait une saison de transition, mais là, il y a urgence de prendre des points. On est dans la difficulté, mais on reste un club ambitieux. On est aussi dans la projection, le mercato, la reprise. Le club n’a pas vocation à jouer le maintien. Je sens un groupe qui ne lâche pas. On est prêt à souffrir encore quelque temps. Les équipes naissent dans la difficulté et quand on va s’en sortir, parce qu’on va s’en sortir, l’équipe sera plus forte.

 

Pour chasser la fébrilité, on montre des images positives, celles de la première période face à Nantes, peut-être la meilleure depuis Nice. Les joueurs adhèrent, souheteraient plus de baraka. Gagner, tout le mode le veut. Cela passe par une bonne passe, le bon contrôle, une attitude positive et la communication. L’animation défensive, c’est celle de tout un bloc, l’affaire de tous. On rappelle aux joueurs ce dont ils sont capables, ce qu’ils ont fait avant.

 

Nous avons trois matches délicats à négocier, il faut faire le dos rond, mais on ne va pas se présenter en victimes expiatoires. Il y a trois points à prendre dimanche et mes joueurs sont résolus à tout faire pour s’imposer au Vélodrome. On n'ira pas à Marseille en Caliméro. Ce n’est pas parce que la situation ne nous est pas favorable en ce moment que l’on doit baisser la tête. Je suis convaincu que c’est dans la difficulté que cette équipe va prendre son essor."

Une nouvelle réunion sur le Chaudron (2)

09/12 08:03
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Comme le rappelle aujourd'hui Le Progrès, Roro a rendez-vous avec Gaël Perdriau mardi à la mairie pour évoquer l'avenir du Chaudron. "On s’achemine vers une convention pour six mois, donnant au club la pleine gestion de Geoffroy-Guichard" se réjouit le quotidien régional.

Avec Ronaël et Gabriel ?

09/12 07:51
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Les Verts iront à Marseille sans leurs supporters ni Loïc Perrin, Rémy Cabella et Romain Hamouma "mais avec Ronaël Pierre-Gabriel et sans doute Gabriel Silva" selon la dernière édition de la Pravda. 19e homme face à Nantes, RPG ne se plaint plus de sa douleur rotulienne au genou gauche. Le latéral brésilien est également remis de sa blesssure au mollet gauche survenue lors du dernier entraînement avant la cauchemardesque derby du 5 novembre dernier. En manque d'entraînements, il pourrait faire partie du groupe (en tant que remplaçant) à l'instar d'Assane Diousse, touché jeudi à un tibia dans un choc à l'entraînement mais de de nouveau opérationnel.

Polo marque, Auxerre craque

08/12 23:06
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L'AJA s'est inclinée à domicile face à Châteauroux malgré l'ouverture du score sur coup franc de Pierre-Yves Polomat.

 

 

L'autre joueur de L2 prêté par l'ASSE, Arnaud Nordin, n'était même pas sur la feuille du match remporté par Nancy chez la lanterne rouge tourangelle.

Sablé prend son pied avec Gasset

08/12 22:40
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Dans un reportage diffusé ce soir par Canal Plus Sport, Julien Sablé a évoqué sa collbaoration avec Jean-Louis Gasset. Extraits.

 

"Je suis né à Marseille. J’ai été contacté à l’époque par plusieurs clubs. Par courtoisie, mes parents avaient dit qu’on irait voir tous les clubs. Saint-Etienne est arrivé en dernier, ça a été un véritable coup de foudre. Je me suis dit : « je veux jouer dans ce stade-là ». La plus grande révélation, ça a été que des joueurs courageux, besogneux, des porteurs d’eau comme je pouvais l’être sur le terrain, sont reconnus ici. Dans ces clubs populaires, les gens aiment les joueurs courageux, combattants. Je pense que je correspondais à cette image-là. Marseille-Sainté, ça va être pour moi un match particulier car quand j’étais gosse, j’allais au stade Vélodrome. J’ai grandi avec Waddle, Papin, la grande époque. Mais je n’ai pas eu le temps de me poser la question Marseille, pas Marseille… C’est mon équipe qui m’intéresse, et surtout l’urgence de points. Vous me demandez si je tâtonne depuis que j’ai repris l’équipe ? A chaque fois que vous faites un choix tactique, vous pensez que c’est le meilleur. J’essaye toujours de me mettre à la place du joueur. Il n’y a pas si longtemps que ça, je l’étais.

 

Aujourd’hui, on sent qu’il faut qu’on s’accroche mentalement. Dans ces situations, il faut rester très unis. C’est plus sur ça qu’on travaille aujourd’hui. Moi je sais aujourd’hui que je partage énormément avec un staff. C’est pour ça que les staffs ont bien grossi depuis le début de ma carrière en tant que joueur. Il y a de l’échange tout le temps avec Jean-Louis Gasset, et pas qu’avec lui. Avec tout le staff, les dirigeants… Je ne vois pas la vie sans communication et sans échanges. Je ne détiens pas la vérité. La place de numéro un demande à prendre des responsabilités, à trancher, à faire le choix final. Aujourd’hui, le choix final, c’est moi qui l’ai. C’est moi qui vais choisir, c’est ce qui a été convenu dès le départ. Quand il y a eu une liste d’adjoints potentiels proposée par le président Roland Romeyer, Jean-Louis était tout en haut et mon choix s’est arrêté tout de suite. Je ne le connaissais pas personnellement, mais vous connaissez son CV… J’ai toujours apprécié les équipes qu’il a entraînées, son tandem avec Laurent Blanc…

 

Jean-Louis Gasset est l’entraîneur sur la feuille de match, on dit que le club pourrait être sanctionné si la situation perdure. Comment je vis ça ? Je vais être très clair. La cuve à égo, elle a été remplie par ma carrière. Aujourd’hui, je n’ai pas besoin de lumière, j’aime le métier que je suis en train de faire. Je prends beaucoup de plaisir au quotidien même si on est dans un moment difficile. Je prends un pied énorme avec Jean-Louis à échanger sur le football. C’est un puits d’idées, de savoir…  Moi, ça ne me perturbe pas. Il y a une vérité : c’est le terrain. Je suis touché par les louanges du coach Frédéric Antonetti. Je pense beaucoup à lui : système contre système, trouver les forces et les faiblesses, les attentes… Moi ça me parle. Il m’a dit que j’avais toutes les qualités pour y arriver, la passion, le travail…Il a toujours été très juste, on a une relation très particulière. C’est un très bon consultant, je pense que Canal Plus a fait le bon choix."

Cubilier a glissé

08/12 21:27
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Sur le site du quotidien gratuit 20 Minutes, Eric Cubilier revient sur sa seule saison chez les Canaris, qui présente quelques similitudes avec la saison actuelle de l'ASSE.

 

"Je ne retiens que des regrets de mon unique saison à Nantes. On n’avait pas une mauvaise équipe, mais il y avait eu tellement de changements de joueurs. La mayonnaise n’a pas pris du tout. Il y avait beaucoup de jalousie dans le vestiaire avec ces gros salaires qui sont arrivés, notamment celui de Wilhelmsson. Il y avait beaucoup de tensions car certains voulaient être réévalués et ne l’avaient pas été. Les purs Nantais avaient le sentiment que les recrues avaient des privilèges alors que ce n’était pas le cas… Je pense qu’il y a une identité à respecter là-bas. Le passé est très présent à Nantes. Je le vois aujourd’hui encore, il faut plus s’appuyer sur le centre que de faire venir des joueurs de l’extérieur, soi-disant stars. Les dirigeants ont fait une erreur de stratégie. En une saison, il y a plusieurs entraîneurs : Le Dizet, Eo puis le duo Der Zakarian-N'Doram. C’est parti dans tous les sens. J’ai vécu une des pires saisons de ma carrière. Il y a quand même un bon souvenir : ma reprise de volée contre Saint-Etienne. Le seul but de ma carrière en en Ligue 1 et Ligue 2. Quand mes copains m’en parlent, je leur raconte que j’ai glissé et que j’ai eu de la chance."

 

Croquez les Crocos !

08/12 17:00

 

Le match contre Nîmes en Coupe de France à GG a été fixé au dimanche 7 janvier, à 14h15.

 

Silva pas jouer

08/12 14:49


En conférence de presse ce midi, Julien Sablé a confirmé la liste des absents pour dimanche soir : Outre Perrin et Hamouma blessés, Cabella "empêché" par une sale clause, Silva ("par précaution") ne sera pas non plus là.
Par ailleurs un test sera fait demain pour Diousse et RPG incertains.
Au passage, rassurant (ou inconscient ?), Juju a déclaré : "l'ASSE n'a pas vocation à jouer le maintien. Nous avons de l'ambition mais il faut faire le dos rond pour les trois prochains matchs. On sait que c'est une année de transition".

Bosquier inquiet

08/12 07:35
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Dans la dernière édition du Progrès, l'ancien défenseur de l'ASSE et de l'OM Bernard Bosquier se dit inquiet pour les Verts. Extraits.

 

"Saint-Etienne n’a pas une grosse équipe. Je m’inquiète. Elle peut concéder un ou deux buts puis tout peut aller très vite. Dans sa situation, ce ne serait pas idéal de concéder une sévère défaite. C'est une équipe qui n’a pas de résultats, qui change d’entraîneur, qui n’a pas de mental. Ce n’est pas évident. Je ne vois pas qui peut la faire transcender. Je suis inquiet pour la suite de la saison. C’est une équipe très très moyenne. Je ne vois pas qui peut faire la décision devant. Elle a du mal à faire trois passes consécutives. Le but du jeu est de faire circuler le ballon. Pour cela, la qualité technique est indispensable. Et Saint-Etienne a trop de joueurs faibles techniquement. À partir de ce constat, il est difficile d’avoir un jeu collectif. On peut parler de système de jeu, 4-3-3, 4-4-2 où je ne sais quoi, c’est la qualité technique et l’intelligence qui font la différence. L’ASSE a changé d’entraîneur à deux reprises en moins de six mois. Ce n’est pas une bonne solution, chacun a sa méthode de travail. À Saint-Etienne, le problème n’est pas l’entraîneur mais les joueurs. Julien Sablé est sûrement capable mais il débute de surcroît à la tête d’une équipe bancale."

Assane et RPG pas sûrs de jouer

08/12 07:27
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Le Progrès du jour nous apprend qu'Assane Diousse et Ronaël Pierre-Gabriel sont incertains pour le déplacement à Marseille. L'international sénégalais a été touché dans un choc avec Mickaël Nade et est sorti du terrain soutenu par deux kinés. Il a reçu un coup sur le plateau tibial. Il passera des examens cliniques supplémentaires aujourd’hui. Le Bleuet souffre quant à lui d’une douleur rotulienne au genou gauche.

Thauvin revient ?

08/12 07:18
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Auteur d'un doublé contre les Verts le 16 avril dernier, Florian Thauvin (lésion au mollet) était forfait hier lors de la laborieuse qualificatifion de l'OM en 16e de finale de l'Europa League. Dans la dernière édition de La Provence, Rudi Garcia évoque le possible retour de son meilleur joueur ce dimanche en match de clôture de la 17e journée. "Je suis satisfait de notre qualification pour les 16es de finale de l'Europa League. Maintenant, il faut vite récupérer car dimanche il y a un gros match. On espère que Florian Thauvin sera remis pour affronter les Verts. Il a fallu être prudent avec lui, on l’a laissé souffler et on a bien fait."

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