
Vous reprendrez bien une Coupe ?
04/12 10:47
Absents en coupe d'Europe, éliminés prématurément en coupe Moustache, à la dérive en championnat : et si cette année était, pour les Verts, celle de la vraie, la seule, l'unique Coupe de France ?
Première étape : ce soir à 19h, avec le tirage au sort des 32è de finale (prévus le week-end des 6 et 7 janvier). Les clubs de Ligue 1 font leur entrée ; la L2 n'a déjà plus que 11 ou 12 représentants (deux matches du 8è tour sont encore à jouer) et les deux petits poucets jouent en Régional 3.
Les regrets de Rongier
04/12 07:39
Contraint de céder sa place à la pause hier après-midi après avoir pris une semelle de Cheikh Mbengue, le milieu de terrain nantais Valentin Rongier regrette dans Ouest-France que son équipe n'ait pas su prendre les trois points dans le Chaudron.
"Si le match avait duré dix minutes de plus, je pense qu'on l'aurait gagné. En deuxième mi-temps, les Verts ne nous ont rien proposé. La première mi-temps est pour eux, la seconde pour nous. Ils se sont mis la fièvre, les supporters étaient contre eux. On est montés en puissance. On a un peu de regret avec ce but refusé pour hors jeu. Nantes est ambitieux, sur l'ensemble de la rencontre on méritait la victoire."
Un Thomasson grimaçant
04/12 07:25
Dans la dernière édition du quotidien Ouest-France, le milieu de terrain nantais Adrien Thomasson ne se satisfait pas du seul point par les Canaris hier après-midi à Geoffroy-Guichard.
"Après avoir été mangés dans l’intensité en première période, on savait qu’on allait manger les Verts en seconde avec nos deux attaquants. Je retiens le verre à moitié vide. On a eu beaucoup d'occasions en deuxième mi-temps. A partie de la 80e, j'ai vu des Stéphanois dans le dur."
On joue le maintien
04/12 07:10

Alors que son entraîneur préfère parler de "moment difficile", Vincent Pajot joue le maintien dans la dernière édition du Progrès. Extraits.
"Il y a de la frustration. En première période, on met beaucoup d’intensité, on fait de belles choses. On fait ce que le coach nous a demandé. Cela a plutôt bien marché. En seconde, on manque de sérénité, de confiance. Lorsqu’ils égalisent, tout s’écroule et ils peuvent très bien l’emporter en toute fin de match sur leur dernière occasion. On voit que si on ne met pas tous les ingrédients, on ne peut espérer l’emporter. Il faut faire des matches pleins et pour l’instant, on ne les fait pas. Il nous faut plus de sérénité, davantage de confiance en nous.
On doit aussi être beaucoup plus solide défensivement si on veut espérer quelque chose. Le calendrier ? Il faut prendre les matches les uns après les autres. Quelles que soient les équipes que l’on va affronter, on devra être à 200 % pour prendre des points. Est-ce qu’on joue le maintien ? On est conscient de la situation. On est dans le bas du classement, on voit que c’est très serré. Alors, il ne faut pas se leurrer, compte tenu de notre classement, on joue forcément le maintien même s’il reste du temps, des matches. On fera le point à la trêve."
22, v'la les flips !
04/12 06:56

Alors que son numéro 22 (KMP) a joué hier son 300e match de L1, l'ASSE a subi 22 tirs contre Nantes. À domicile, c’est selon Opta son total le plus élevé dans l’élite depuis le 16 avril 2011, contre Nancy (22 également). Une stat flippante qui met en exergue la grande fragilité défensive des Verts.
Le missile du Guil'
03/12 23:18
Les Loups de Wolfsbourg ont battu 3-0 les Poulains de Mönchengladbach cet après-midi lors de la 14e journée de Bundesliga. Auteur de son deuxième but de la saison, le sixième sous son maillot vert et blanc du VfL, Josuha Guilavogui a clôturé le score d'une frappe surpuissante légèrelent déviée.
El Zhar torpille le sous-marin jaune
03/12 19:58

Nabil El Zhar (31 ans) a marqué hier le deuxième but de la victoire (3-1) de Leganés contre Villarreal lors de la 14e journée de Liga. L'ancien réserviste de l'ASSE n'avait pas encore trouvé le chemin des filets cette saison.
Un grain de Sablé
03/12 19:30

En conférence de presse, Julien Sablé est revenu cet après-midi sur la nouvelle contre-performance de son équipe.
"On a vécu deux matchs : une très bonne première mi-temps avec un respect tactique et beaucoup d’intensité qui a donné des occasions et un superbe but, puis la seconde mi-temps où un grain de sable vient enrayer la machine. On sent que nous sommes fragiles, on n’a pas réussi à tenir sous les coups de boutoir de Nantes. Il faut se satisfaire de ce point. Il n’y a pas de mot tabou mais je préfère parler de moment difficile plutôt que de maintien. On va faire le dos rond jusqu’à Noël et déjà panser toutes les plaies de cette semaine à trois matchs qui a laissé des traces. Nous avons des points à prendre sur les trois prochains matchs, et un beau challenge à relever dès la semaine prochaine."
Un Ange passe avant le match (4)
03/12 19:14

A une demi-heure du coup d'envoi du match contre Nantes, Dominique Rocheteau s'est brièvement exprimé sur beIN Sports cet après-midi.
"Si Saint-Etienne est relégable à la trêve, il se passe quoi ? Je ne vais pas répondre à cette question. Nous on est persuadé que… Moi, je, je… je suis, je vis le groupe. Je… je suis à l’intérieur du groupe. Heu… Je discute bien sûr beaucoup avec les joueurs, avec Julien. Nous on est persuadé que ce déclic va… va arriver. Que nous allons… changer cette heu, comment dire… mauvaise passe. Et donc, heu, on ne pense pas à ça. Enfin, si, bien sûr on y pense, bien sûr ! Mais bon, là on n’est pas dans cette optique-là. Pas du tout, pas du tout ! Heu, on verra au mercato d’hiver… Heu, on verra à la fin de la saison d’hiver ce qui va se passer. Mais toujours est-il que… nous on croit en notre équipe. S’il faut l’améliorer pendant le mercato, on le fera, bien sûr !"
Un nul et des pertes
03/12 18:36
Ayant tous deux mangé une biscotte cet après-midi contre Nantes, Bryan Dabo (3ème jaune en moins de 10 matchs) et Léo Lacroix (révocation de son sursis) ne seront pas présent pour affronter le champion en titre Monaco lors de la 18ème journée de L1, le vendredi 15 décembre.
Par ailleurs, on surveillera d'éventuelles infos sur Perrin et Monnet-Paquet, visiblement tous deux sortis touchés au cours du match.
Toujours pas guéris contre les Canaris
03/12 17:44

Les Verts Noirs (pfff) ont concédé un match nul à domicile contre les Canaris cet après-midi lors de la 16e journée de L1.
Entreprenants et dominateurs malgré le froid polaire et le huis clos partiel des deux kops, les protégés de Juju ont logiquement viré en tête à la pause. Alors que Bryan Dabo a eu la malchance de voir son tir en demi-volée repoussé par la barre transversale à la 11e et que Dieu aurait mérité un péno à la 19e, Vincent Pajot a logiquement concrétisé la domination stéphanoise à la 38e : sur une passe de Jonathan Bamba, l'ancien Rennais a décoché une frappe lointaine en pleine lucarne.
Las, les Stéphanois sont retombés dans leurs travers après la pause. Deux minutes après la sortie sur blessure de Loïc Perrin, Emiliano Sala s'est d'abord vu refuser un but pour un hors jeu imaginaire. Après que Jonathan Bamba a raté une balle de break, l'attaquant argentin a égalisé, bien aidé par un Léo Lacroix de plus en plus inquiétant. Sauvés à plusieurs reprises par Stéphane Ruffier, les Verts Noirs (pfff) peuvent remercier Ngom, qui a raté une énorme occase à la dernière seconde.
12e, l'ASSE reste à 7 longueurs de son adversaire du jour (5e) et devance seulement de 4 points l'antépénultième et barragiste (Toulouse) avant de se déplacer au Vélodrome lors de la prochaine journée...
Juju ne se débine pas sur beIN
03/12 12:54

Avant de voler dans les plumes des Canaris cet après-midi, Julien Sablé s'est confié à beIN Sports dans le Chaudron.
"Je dois être un entraîneur proche de mes joueurs. Ils doivent voir du positif quel que soit ce qui se passe. Je dois être à côté d’eux pour les encourager, les corriger, les rassurer. S’ils doivent regarder le banc, ils savent qu’ils auront quelqu’un qui est réceptif. J’ai une relation très étroite avec Jean-Louis. On discute de tout, de l’équipe. Je lui pose beaucoup de questions, il m’en pose. Après, à la fin, aujourd’hui, c’est moi qui tranche pour aligner l’équipe qu’on aligne, sur le choix que j’ai décidé, que je pense être le meilleur à l’instant présent. Les rôles sont très clairs, il est là pour m’accompagner. Après, c’est sûr qu’aujourd’hui, c’est des choses qui tapent un peu sur le système parce que pour nous, la chose la plus importante, c’est le rectangle vert et pas de savoir numéro un, numéro deux, numéro trois…
Là, aujourd’hui, je suis le fruit de tous les entraîneurs que j’ai connus dans ma carrière. Le premier modèle que j’ai, c’est Frédéric Antonetti. C’est indéniable que c’est une source d’inspiration. C’est quelqu’un qui m’a marqué dans ma carrière. J’ai des affinités particulières pour Diego Simeone parce que j’aime qu’on attaque à onze et qu’on défende à onze, que l’attaquant, s’il doit faire une course aille se dépouiller. J’étais comme ça, J’aime défendre en avançant. Je connais très bien mon Lolo (Perrin), je l’ai vu débuter et j’ai joué avec lui. J’ai aussi joué avec Jessy Moulin. Il y a plein de joueurs que j’ai rencontrés car je jouais encore il y moins de quatre ans. Aujourd’hui, je ne leur ai pas demandé de me vouvoyer, de m’appeler coach. Je fais la bise à Loïc Perrin, ça ne changera pas nos rapports.
La seule chose que je me suis dit, c’est "ne change pas qui tu es." C’est mon éducation qui veut ça. Quand j’ai signé en 1995, j’ai vu Geoffroy-Guichard de nuit. J’ai dit à mes parents que c’était ici et pas ailleurs que je voulais réussir. Ça a été un véritable coup de foudre avec ce monument-là. J’ai été au service de grands architectes du football comme Pascal Feindouno. J’ai aimé ça, me battre pour récupérer les ballons, les leur donner le plus proprement possible. Un boulot de besogne, de charognard. Le côté « ne rien lâcher », ça faisait partie de mon jeu et c’est sûr qu’on va le retrouver. Je veux qu’on se batte jusqu’au bout car j’ai une haine de la défaite. Après, je ne supporterais pas onze Julien Sablé sur un terrain car on ne gagnerait pas beaucoup de matches.
Avec ma génération, on venait ici dans le kop. On avait des places en Faurand. On venait, pour nouis c’était le top. On jouait le lendemain donc on avait un peu des courbatures parce qu’on chantait, on dansait, on encourageait l’équipe professionnelle. C’était des grands moments. "On va à Geoffroy-Guichard, on va dans le kop les gars !" On encourageait, on chantait. Ça m’a fait encore plus aimer le club. Maintenant, il y a des sièges, c’est anti-pogo. Avant on pouvait ! (rires) J’étais toujours meilleur à Geoffroy-Guichard qu’à l’extérieur parce que j’ai grandi avec eux, avec ces valeurs-là. J’ai un grand respect avec les sacrifices que les supporters peuvent faire dans leur vie.
La seule vérité qui va sortir, c’est celle du terrain. Les sceptiques, c’est normal. Quand le président Romeyer est venu et qu’il m’a dit : "tu prends la tête de l’équipe", j’étais sceptique sur le coup. Aujourd’hui il y a quatre matches à jouer, c’est avec cet effectif-là qu’on va s’en sortir. Le mercato d’hiver, c’est pas le Père Noël et il va nous arriver une équipe de Ligue des Champions. La vérité elle sortira d’une grande partie de ce groupe-là. Après, le président n’est pas interventionniste, parce que si c’est ça, y’aurait longtemps que j’aurais laissé les clés du camion. Je n’ai pas été une marionnette sur le terrain, je ne suis pas venu là pour qu’on tire les ficelles derrière. Je ne vais pas essayer de convaincre par mon discours, de dire "croyez en moi, je vais devenir un grand entraîneur." Qu’ils soient sceptiques, je crois que 99% des gens le sont. Y’a que moi qui crois en moi aujourd’hui."
Après Mahaya et Mayi, voilà Mayilla !
03/12 11:29
Petit mais espiègle, le numéro 9 des U12 du RC Joinville (Val-de-Marne) Enzo Mayilla (11 ans) a signé hier un accord de non sollicitation avec l'ASSE. Reste à savoir si Julien Sablé titularisa notre nouvelle abeille contre les Canaris cet après-midi.
Hillion et Aristouy se soucient de Diony
03/12 10:10
Passé deux ans par Nantes mais invité à quitter la Jonelière en 2013, Loïs Diony avait réussi à rebondir à Mont-de-Marsan sous la houlette de Pierre Aristouy. Ce dernier, qui entraîne désormais la réserve des Canaris, s'en souvient et le soutient dans Ouest-France.
"Il était dans un état psychologique difficile. En plus il revenait dans sa ville natale et ce n'est jamais avec fierté que l'on retourne chez soi aussi jeune. On s'est mis d'accord de suite. Je lui ai fait comprendre que ce n'est pas rédhibitoire, que d'autres avaient sur rebondir. Après quelque semaines, j'ai identifié un problème essentiel : il y avait une nécessité de se remettre en question et ça passait par le travail. Il avait des progrès à faire à ce niveau-là, notamment sur le plan athlétique, la répétition des efforts. Lui encore plus que les autres, il marche à l'affect. Il faut qu'il sente une vraie volonté de lui faire confiance, de mettre en place des choses pour lui. Je n'ai pas de conseil à donner mais j'ai du mal à comprendre ce qui se passe avec lui à Saint-Etienne. Il est là-bas depuis six mois, on voit qu'il n'est toujours pas bien. S'il est bien, c'est 15 buts dans l'année. Je ne comprends pas trop pourquoi on en est encore là..."
Dans le même quotidien, le scout de Chelsea Guy Hillion, qui avait recruté l'actuel numéro 9 des Verts à Bordeaux puis à Nantes, reproche à l'ASSE de ne pas avoir su mettre en confiance son protégé.
"Il traîne son spleen dans un collectif à la dérive. J'ai assisté au dernier match des Verts à Bordeaux. Loïs a été intelligent dans les déplacements, mais on ne lui a pas souvent donné le ballon au moment où il le fallait. Il a un coeur énorme, un gros volume de jeu mais c'est un gamin qui fonctionne beaucoup à la confiance. Pour qu'il soit bon, son entourage doit être bon. La meilleure façon de mettre un attaquant en confiance, c'est de lui permettre de marquer des buts en début de saison. Il s'est créé trois pénalties depuis le début de saison et n'en a pas tiré un seul... Ils ont été à côté de la plaque à Saint-Etienne. S'il avait mis ces trois pénalties, il ne serait pas dans la galère. C'est un gamin qui a du talent mais actuellement, il est à la rue moralement."
Koffi se méfie
03/12 09:03
Le défenseur des Canaris Koffi Djidji se méfie des Verts dans la dernière édition du quotidien Ouest-France. Extraits.
"Méfions-nous, Saint-Etienne reste sur une mauvaise série et va vouloir se ressaisir. On s'attend à un match âpre, il faudra être agressifs. Mettre de l'impact dans les duels et beaucoup courir. Quand on fait ça, on réussit souvent de bons résultats. On a quelque chose à faire à Geoffroy-Guichard, les Verts sont en plein doute. On a pour objectif d'éloigner les adversaires qui nous collent."
Pour rappel, les Nantais comptent déjà sept points d'avance sur les Stéphanois...
Le géologue file aux gogues
03/12 08:22

L'ancien latéral stéphanois Patrice Ferri raconte quelques vertes anecdotes dans la Pravda du jour. Extraits.
"Le joueur le plus fort avec lequel j'ai joué, c'est Roger Milla. Il m’impressionnait par son sens du but et sa roublardise. Il sentait les coups comme personne, faisant celui qui était blessé pour mieux surgir. À Saint-Étienne, j’étais"le Géologue". Dans mon couloir gauche, collé à la ligne de touche, mon champ de vision était réduit. Je me repérais grâce aux panneaux publicitaires fixes sur le côté : quand je passais le panneau Crédit agricole, je savais que j’étais à trente mètres du but adverse. J'aime le Chaudron et le Parc des Princes. Jouer dans cette ambiance assourdissante me galvanisait. J’aimais aussi le Vélodrome. Cette trappe qui s’ouvrait sur la pelouse, c’était l’entrée des fauves au Coliseum. Robert Herbin est l'entraîneur qui m'a le plus marqué. On ne l’appelait pas"le Sphinx" pour rien. Une fois qu’il t’avait dit "bonjour, au revoir et merci", tu pouvais considérer que tu avais eu une conversation avec lui. La personne qui parle peu, tu l’écoutes, tu imprimes chaque phrase. J’ai trouvé son approche extrêmement novatrice et motivante.
Mon but le plus mémorable, c'était En D2, lors d’un derby à Gerland contre l’OL alors entraîné par Herbin (en 1985), on gagne 5-1. Je marque un coup franc. J’exulte, cours vers le banc stéphanois et marque un temps d’hésitation au niveau du banc lyonnais. J’ai failli m’arrêter devant Herbin comme s’il était encore mon entraîneur. Mon plus grand regret est de ne pas avoir eu la possibilité de jouer un match de Coupe d’Europe à Geoffroy-Guichard, moi qui avais été nourri par les images à la télé de Dominique Bathenay dans la brume, le maillot plein de boue, la gagne à l’arrache. En 1988, on est passés tout près avec les Verts, quatrièmes, à une place de la qualification. Le moment où je me suis senti le plus bête ? Un jour à Geoffroy-Guichard, j’attaque le match un peu barbouillé. Après un quart d’heure, pris par un besoin pressant, je profite d’un arrêt de jeu pour traverser le terrain comme un fou et filer direct au vestiaire. Les spectateurs étaient pétés de rire quand ils m’ont vu revenir quelques minutes plus tard."
Polo mate Andrézieux
03/12 08:05

Dans la dernière édition du Progrès, Pierre-Yves Polomat revient sur la laborieuse qualification d'Auxerre à Andrézieux.
"Cela fait toujours plaisir de revenir ici et de retrouver des anciens coéquipiers. C’est un match que je voulais jouer. Nous avons gagné et c’est le plus important. C’était dur pour moi car j’ai fait une faute que je pouvais éviter. Après, j’ai dû rester concentré pour ne pas prendre de deuxième jaune. Andrézieux est une bonne équipe et j’espère qu’elle va monter en National."
On ne reverra pas Ravera (3)
03/12 07:40

Venu renforcer le staff espagnol d’Oscar Garcia en juillet, Alain Ravera (52 ans) est toujours salarié de l'ASSE selon la dernière édition de la Pravda. Extraits.
"Après avoir été "dispensé d’activité" pendant quelques jours, il se trouvait même de retour à l’entraînement, mercredi. Mais Roland Romeyer, ulcéré de l’avoir entendu lui dire qu’il souhaitait partir à Lens (L 2) au moment de la démission du technicien catalan (le 15 novembre), ne veut plus de lui. Le président du directoire stéphanois l’a d’ailleurs déjà remplacé par Jean-Louis Gasset. Problème : après être resté longtemps sans club, Ravera a signé un contrat de deux ans. Il n’entend pas démissionner de l’ASSE, qui refuse de son côté de lui payer des indemnités de départ. En attendant de rejoindre durant la trêve le RC Lens, où son ami Éric Roy, directeur sportif, envisage de lui confier la succession de Robert Duverne – entraîneur adjoint qui partira alors retrouver Rémi Garde à l’Impact Montréal (Canada) –, Ravera se trouve de nouveau officiellement dispensé d’activité jusqu’à la fin de l’année."
Allan répond à Nolan
02/12 22:03


L'ASSE a provisoirement rétrogradé à la 13e place du classement de la L1 ce soir suite à la victoire 3-1 de Nice contre Metz. Si Nolan Roux a égalisé de la tête pour les Grenats grâce à un centre de Renaud Cohade, Allan Saint-Maximin a scellé le succès des Aiglons d'une frappe au ras du poteau.
Ah ce péno de Spano...
02/12 21:06

Le dernier club amateur ligérien encore en lice a été éliminé de la Coupe de France en début de soirée. Comme son frère jumeau Maxime, buteur quelques heures plus tôt lors de la qualification de Grenoble contre Tarbes, Romain Spano a trouvé le chemin des filets en égalisant pour Andrézieux juste après l'ouverture du score de l'AJA. L'ancien attaquant de l'équipe réserve de l'ASSE a eu la balle de match à la 83e mais son péno a été arrêté par Quentin Westberg pour le plus grand bonheur de Jérémie Janot et de Pierre-Yves Polomat, averti dès la 19e minute pour un tacle viril mais pas très correct. Malgré les efforts de Clément Cabaton, les hommes de Romain Revelli ont concédé le but fatal à la 115e minute...
Des amendes salées avec Sablé ? (7)
02/12 20:07

Dans un article à paraître demain dans la Pravda, on apprend que les amendes à payer par l'ASSE en cas de maintien de Juju à son poste d'entraîneur numéro un pourraient être un peu moins salées que ce qu'annonçait aujourd'hui le même quotidien sportif... Extraits.
"Selon le chapitre 2 du statut fédéral des entraîneurs, "l'entraîneur principal a la responsabilité réelle de l'équipe. À ce titre, il est présent sur le banc de touche, donne les instructions et répond aux obligations médiatiques". Or, si c'est bien le nom de Gasset qui figure au bas de la feuille de match, c'est Sablé qui remplit ces fonctions réservées au titulaire d'un BEPF (brevet d'entraîneur professionnel de football), qu'il n'a pas. Laurent Batlles, en charge de la réserve, est en train de le passer. Et cela pose un autre problème, dans la mesure où un club ne peut inscrire qu'un salarié par session.
Passé "trente jours francs" (article 13.2), le club encourt 25 000 € d'amende par match, selon l'annexe 2 auquel renvoie l'article 653.4 de la Charte du football professionnel. Le précédent barème prévoyait 10 000 €, bien inférieurs au salaire minimum d'un entraîneur de L 1 (17 920 € brut par mois, selon l'article 800). Ce qui incitait les clubs à utiliser des prête-noms, désormais interdits. Sablé ayant pris ses fonctions le 17 novembre, l'ASSE est donc punissable à partir du match à Guingamp (20 décembre).
Ces amendes, non budgétées par le club, pourraient-elles le contraindre à changer de nouveau de staff à la trêve ? L'ASSE assure que non. Tout en arguant de la situation exceptionnelle due à la démission d'Oscar Garcia, elle espère que Sablé obtiendra son diplôme de formateur en mars. Il pourra alors s'inscrire dans la foulée à la prochaine session du BEPF. Elle s'ouvrira en avril. D'ici là, l'ASSE pourrait, au pire, payer 400 000 € d'amende (pour douze matches de L 1 et quatre de Coupe de France, si les Verts atteignent les quarts de finale, fin février). Sablé ayant gardé son salaire de directeur (5 800 € bruts par mois), cela ne lui coûterait finalement pas si cher. À condition, bien sûr, que le tandem Sablé « fils »-Gasset « grand-père » obtienne des résultats."
Avec Rémy contre les Canaris !
02/12 19:48

Alors que Le Progrès annonçait avant-hier comme la Pravda qu'il serait encore forfait, Rémy Cabella fait partie du groupe retenu par Juju pour voler dans les plumes des Canaris demain après-midi !
Ruffier, Moulin, Guendouz
Pierre-Gabriel, Janko, Théophile-Catherine, Perrin, Lacroix, Mbengue
Maïga, Selnaes, Pajot, Hernani, Diousse, Dabo, Cabella
Bamba, Monnet-Paquet, Diony, Söderlund
Nanard a choisi Jean-Louis
02/12 19:39

Bernard Caïazzo, qui avait déjà lancé le nom de Jean-Louis Gasset il y a 18 mois, a choisi l'ancien adjoint de Laurent Blanc pour épauler Julien Sablé selon un article à paraître demain dans la Pravda. Extraits.
"Fort de sa gouaille du Midi, de sa passion contagieuse pour le football et surtout, de sa riche expérience, Gasset a déjà un oeil sur tout. Sur la préparation physique comme sur l'indispensable mercato d'hiver. C'est d'ailleurs en raison de son vécu élargi de grand professionnel du football que Bernard Caïazzo, le président du conseil de surveillance de l'ASSE, l'a choisi. Mais c'est Roland Romeyer, le président du directoire à l'origine de la promotion de Sablé, qui lui a téléphoné pour lui proposer cette mission. La veille, Romeyer avait appelé Sablé pour lui soumettre une liste de cinq noms afin de remplacer Ravera. Celui de Gasset arrivait en tête, devant ceux de Jean-Michel Larqué et d'Élie Baup, notamment. Sablé a de suite téléphoné à Gasset. L'affaire conclue, Caïazzo lui a envoyé un texto de bienvenue.
Sablé a pris Razik Nedder, l'entraîneur des moins de 17 ans, comme adjoint. Il peut aussi compter sur l'amitié de Jessy Moulin et Loïc Perrin, mais aussi sur Kévin Monnet-Paquet, qu'il avait aidé à ses débuts à Lens. Et, bien entendu, sur Jean-Louis Gasset dans le rôle du grand-père bienfaiteur et intraitable bosseur. Quand il ne passe pas ses nuits à ingurgiter les matches de ses nouveaux joueurs, il décortique le jeu de l'adversaire. Si Sablé choisit le contenu des entraînements, Gasset lui sert de force de proposition. En résumé, Sablé décide. Nedder anime. Gasset corrige. Depuis le bord du terrain, où il a été capable d'arrêter la séance de vendredi à l'instinct, sans avoir besoin de son chrono ou des données GPS des joueurs. Comme dans le bureau de Sablé, où tous deux passent des heures à bouger les pions sur le tableau noir."
PYP n'est pas une pipe
02/12 16:29

Occupant une piètre 15e place en L12 avec l'AJA où il est prêté sans option d'achat, Pierre-Yves Polomat est l'un des rares joueurs auxerrois à surnager ces dernières semaines. Récemment raillé par Jean-Michel Larqué, l'ancien champion du monde U20 a été élu joueur du mois de novembre par L'Yonne Républicaine. Le quotidien icaunais souligne la régularité du gaucher de 24 ans actuellement sous contrat avec l'ASSE jusqu'en 2019.
"Avec les nombreuses blessures au sein de l'effectif ajaïste, sa polyvalence a notamment été précieuse pour Francis Gillot. Depuis son arrivée cet été, Pierre-Yves Polomat fait l'unanimité. C'est l'une des valeurs sûres de l'équipe auxerroise. À tel point que le natif de Fort-de-France est le deuxième joueur de champ le plus utilisé derrière Romain Philippoteaux. Une régularité qui justifie un peu plus son statut de joueur du mois alors que l'AJA a vécu en novembre cinq matches sans grande saveur. Dans un effectif diminué par les blessures dans l'entrejeu, Pierre-Yves Polomat a été titularisé deux fois de suite au poste de milieu relayeur gauche.
Une décision payante lors du match de Coupe de France contre Chamalières à Cournon où le Martiniquais s'est mué en buteur sur la troisième et dernière réalisation auxerroise. Tout sauf anecdotique à l'heure où l'attaque auxerroise peine à se débloquer en l'absence prolongée de Mohamed Yattara. "Comme on n'a pas cette présence devant, en mettant "Polo" plus haut, j'ai pensé que ça pouvait marcher. Il est capable de remonter le ballon, de donner des dernières passes et même de marquer", expliquait un Francis Gillot pas avare en compliments pour son latéral gauche aux qualités techniques indéniables."
Pour rappel, le finaliste de la Coupe Gambardella 2011 fait son retour dans le Forez aujourd'hui à l'occasion du 8e tour de la Coupe de France contre Andrézieux.
Fouss, c'est dit !
02/12 12:36
Sur le plateau de TL7, Fousseni Diawara a évoqué avant-hier le binôme Sablé-Gasset avant d'évoquer le cas de Laurent Batlles.
"Quand ils ont nommé Julien Sablé, les dirigeants stéphanois ne pensaient pas faire venir Gasset. Ça aurait été bien que Gasset vienne en numéro un et que Ju soit son adjoint. Il aurait pu apprendre aux côtés d’un grand entraîneur pour devenir le futur numéro un. Les dirigeants ont été très vite en nommant Julien numéro un. Ils auraient pu enlever un peu de pression autour du club, prendre le temps d’analyser avant de le nommer. Je ne remets pas en cause Julien, je connais bien le garçon. Mais je pense qu’ils auraient dû prendre un peu plus de temps avec lui, le mettre en intérim et ensuite mettre Gasset numéro un avec Julien derrière. Ça aurait été plus judicieux. Laurent Batlles passe son BEPF et coache l’équipe réserve. Je trouve ça bizarre aussi qu’on ne l’ait pas sollicité. Il a déjà fait partie du staff des pros avec Galtier. Il a cette expérience d’adjoint et de la Ligue 1. Il y a des questions à se poser car c’est le club qui paye la formation de Batlles. S’il passe des diplomes juste pour les avoir et pas pour s’en servir en en faisant profiter le club… C’est bizarre !"
Les Verts complètement à l'ouest
02/12 10:22
Dans sa dernière édition nantaise, le quotidien Ouest-France dépeint l'ASSE comme un club "très malade." Extraits.
"Portée en exemple par la famille Kita il n'y a pas si longtemps encore, louée pour sa cohérence, sa logique de recrutement et sa satabilité dans le premiers tiers du classement, l'ASSE reçoit d'heureux Nantais demain, dans un état des plus critiques. Cet été, le club voulait rebondir après le départ de son emblématique entraîneur Christophe Galtier... Raté ! Le pari de l'internationalisation, avec l'arrivée du technicien espagnol démissionnaire Oscar Garcia et le recrutement de cinq joueurs étrangers, se révèle être un échec. Aujourd'hui, l'institution stéphanoise inquiète à tous les étages.
Rarement vue comme une bonne idée, la co-présidence Romeyer-Caïazzo est un poison en période de crise. Alors qu'un état-major doit amener de la sérénité, avec un pouvoir fort, celui-ci jette le trouble. Le silence - en tout cas de manière publique - choisi par Caïazzo ces dernières semaines interpelle par exemple. D'autant que les deux hommes ne partagent pas la même vision pour le développement de leur club. Par ailleurs, Dominique Rocheteau peine à convaincre dans son nouveau costume de directeur sportif. Quant au crédit de David Wantier, responsable du recrutement soutenu par Romeyer, il fond toujours...
Pris de court par la démission d'Oscar Garcia mi-novembre à trois jours de la reprise de la Ligue 1, l'ASSE a réagi dans la précipitation... rarement bonne conseillère. Attention, ce n'est pas tant en faisant appel à Julien Sablé que Sainté s'est sans doute trompé; plutôt en balayant l'idée d'"intérim" et en nommant "entraîneur principal" un technicien de 38 ans vierge à ce niveau et sans diplôme requis. La signature du très expérimenté Jean-Louis Gasset dans la foulée, "pour étoffer le staff", renforce le sentiment d'un duo mal ordonné. Gasset en n°1, avec Sablé en adjoint, aurait renvoyé à tout le monde - notamment aux joueurs - une vraie autorité. Soit plus de clarté et de confiance aussi.
Aucun succès depuis 7 matches, 13 buts encaissés lors des 4 derniers... Le onze stéphanois, troisième il y a deux mois mais verni à l'époque par la chance aussi, s'affiche en souffrance. En l'absence de Cabella et de Hamouma, sa qualité technique frôle le néant et, sur le plan physique, il semble payer des séances axées principalement sur le jeu avec Garcia. Individuellement, la grande majorité des recrues désespère. L'avant-centre Diony n'a pas encore marqué, le défenseur Janko est une énigme, Katranis ne joue pas, Silva est blessé. Même les leaders Ruffier et Perrin subissent dans ce marasme, comme abandonnés. Ou résignés. Or la zone rouge n'est quatre points..."
Thomasson au pied du mur vert
02/12 09:30
Dans Ouest-France, le milieu de terrain nantais Adrien Thomasson évoque le match qui opposera les Verts aux Canaris dimanche après-midi lors de la 16e journée de L1.
"À domicile, on fait un bon pressing mais à l’extérieur, on se fait plus rentrer dedans. On tombe sur des adversaires qui nous agressent. Il faut qu’on reproduise ce qu’on fait à domicile avec un pressing très haut sur le terrain. On s’attend à un match difficile à Saint-Etienne car ça reste une bonne équipe avec bon effectif. Ils manquent de confiance, à nous de nous appuyer là-dessus pour les faire douter. Pourquoi pas marquer très tôt pour les faire douter encore plus ? Ils ont beaucoup de blessés. Je n’ai pas compris pourquoi et comment leur coach était parti. C’est un facteur qui fait qu’ils ont moins de confiance, je trouvais que c’était un peu le flou. Pour l’avoir vécu à Nantes, il faut un temps d’adaptation. Je ne les vois pas jouer le maintien. Je pense qu’ils seront dans les dix premiers.
Dès le lendemain de notre victoire contre Monaco, le premier discours du coach, c’était d’oublier et de se concentrer sur dimanche. Il nous a dit que c’est là qu’on voyait les bons joueurs. Il faut qu’on se remette en question pour le prochain match. La mentalité française fait qu’on se satisfait beaucoup de ce qu’on fait de bien. C’est un problème global. Les coaches étrangers le remarquent quand ils viennent en France. Les équipes avec des plus gros budgets comme Marseille, Monaco et Lyon seront devant nous. Je ne parle même pas du Paris-Saint-Germain... Les quatre premiers du championnat, normalement, on les connaît. Nous, on ambitionne de garder cette cinquième place."
Bammou m'a
02/12 09:14
Avant de défier les Verts demain après-midi à GG, l'attaquant des Canaris Yacine Bammou s'est confié au quotidien nantais Presse-Océan. Extraits.
"On prépare cette rencontre à Sainté comme tous les autres matches. On prend les matches un par un. Ce sera compliqué à Geoffroy-Guichard, on le sait. Les Verts ont faim et veulent rebondir après des faux pas. Je pense qu'on est capable de les déranger là-bas. On va essayer de confirmer la victoire contre Monaco. L'occasion est belle de réaliser un coup, c'est clair ! C'est un match super important pour nous, tout comme les trois points. Il faut les laisser derrière nous. Petit à petit, le championnat va commencer à se diviser et, pour accrocher le haut du tableau, il faudra gagner !"
Dieu n'est pas le messie
02/12 08:41
En conférence de presse, Julien Sablé est venu hier à la rescousse de son capitaine Loïc Perrin, taillé (ô sacrilège !) par l'un de ses plus grands fans avant-hier dans Le Progrès.
"Il faut revenir à la simplicité, aller au charbon mais aussi jouer, pas seulement penser au combat. C’est le b.a-ba. Il y a de moins en moins de gens qui croient en nous. Si on les écoute, on abandonne. Moi, je suis un compétiteur, je crois en mes joueurs et je ne perds pas mon enthousiasme. Ce que je demande, c’est de ne rien lâcher. Si on écoute ce que tout le monde dit, qu’on est mauvais, on va finir par le croire. Les joueurs savent qu’ils ont un entraîneur qui est un ancien joueur du club, un directeur sportif qui était là à la grande époque, un président supporter. Je les sens tous concernés. Stéphane et Loïc sont les premiers arrivés et les derniers partis. Ce sont des exemples. Idem pour Théo ou Léo. Il ne sert à rien de parler pour parler. Il n’y a pas besoin d’aboyer non plus. Pour moi, les leaders font le taf. Loïc a souvent tenu le club à bout de bras et il donne tout ce qu’il peut, mais il faut le soulager, ne pas attendre qu’il soit le messie."
Graille se remet au vert
02/12 08:24

Président de l'AJA de Jérémie Janot et Pierre-Yves Polomat, le Ponot Francis Graille s'est confié au Progrès avant de défier l'ASF Andrézieux-Bouthéon en Coupe de France aujourd'hui à 18h00. Extraits.
"Cela me fait toujours plaisir de revenir à Saint-Étienne, puisque je n’oublie pas mes racines familiales. J’ai usé mes guêtres à Geoffroy-Guichard, donc je suis forcément un amoureux de l’AS Saint-Étienne. J’ai été tenté de prendre la tête du club à l’époque où Alain Bompard était le président, lors de la saison 2002/2003. J’ai fait faire un audit sur le club pendant trois mois, pour voir quelles étaient les possibilités de reprise. Pour diverses raisons, l’opération avec Alain Bompard ne s’est pas faite, et je me suis dirigé vers le PSG. Le club est finalement parti sur un autre schéma qui a abouti avec les présidents actuels. Pour autant, je reste toujours proche du club. Nous allons faire tout notre possible contre Andrézieux, cela ne sera pas évident, même si logiquement… Seulement la logique n’est pas toujours respectée, et, à l’heure actuelle, c’est du 50-50. La Coupe est dans l’ADN du club. Auxerre, c’est quatre victoires et des finales. Elle colle, ou du moins a collé à l’AJA, et je ne voudrais pas que ce soit avec moi que l’AJA s’effondre, mais ce sera difficile et nous ne venons pas la fleur au fusil."