
Subo fait contre mauvaise fortune bon coeur
19/05 10:44
Avec une note de 5,6 donnée par Sofascore, Neven Subotic, qui a provoqué le pénal ayant permis au Bayern d'ouvrir le score dimanche, a écopé de la pire évaluation des 22 joueurs du match Union Berlin - Bayern Munich (0-2).
Notre ex-défenseur central qui s'était montré peu enthousiaste à l'idée de reprendre la compétition dans ces conditions s'est néanmoins déclaré satisfait après le match : "Le football me manquait beaucoup. Mais ce sont les fans qui font l'intérêt de notre job. Jouer au foot et terminer le championnat est maintenant notre devoir. J'espère que c'était un match agréable à regarder pour tous nos supporters restés à la maison. Dans tous les cas, c'était super d'être de retour sur le terrain."
Guillou a pris du plaisir
19/05 06:56

Alors que Sylvain Kastendeuch déplore que la Bundesliga ait repris dans le contexte sanitaire actuel, un autre ancien défenseur stéphanois se réjouit que le championnat allemand ait redémarré.
"Tout le monde, joueurs, entraîneurs, arbitres, clubs, a travaillé en Allemagne pour l’intérêt général afin de faciliter le choix des politiques. C’est une toute petite victoire, un premier pas pour apprendre à vivre différemment, avec le virus pendant les mois à venir. J'ai pris du plaisir sans oublier ce qu’il se passe" déclare le consultant de beIN Sports Patrick Guillou dans la dernière édition de Sud-Ouest.
Les filles en lever de rideau ?
19/05 06:34
Le football féminin peinant à attirer du monde, la Pravda du jour suggère de mettre des matches des filles en lever de rideau de ceux de la L1. Adjointe de l'ancien Vert Jean-Luc Vasseur chez les Gorgones, Camille Abily réagit dans le quotidien sportif.
"Je trouverais cela fantastique, même si c'est difficilement réalisable pour des impératifs de diffuseurs notamment. Mais quand on supporte un club, on supporte aussi les jeunes, les filles... On connaît les rivalités, par exemple d'un OL-ASSE. Quand les U19 jouent, la tribune est pleine. Si on arrive à créer la même ferveur, cela ne peut être que positif."
Rivera plus précoce que Bajic
19/05 06:21
Dans sa dernière édition, France Football publie le top 10 des joueurs les plus jeunes ayant fait leurs débuts en Ligue 1 cette saison. Si l'intégration de Maxence Rivera dans le groupe pro a été plus tardive que celle de Stefan Bajic, l'attaquant stéphanois devance le gardien d'un chouia.
1. Rayan Cherki (vilains) : 16 ans et 2 mois
2. Adil Aouchiche (QSG) : 17 ans et 1 mois
3. Nathanaël Mbuku (Reims) : 17 ans et 4 mois
4. Isaac Lihadji (OM) : 17 ans et 5 mois
5. Janis Antiste (TFC) : 17 ans et 5 mois
6. Tanguy Kouassi (QSG) : 17 ans et 6 mois
7. Maxence Rivera (ASSE) : 17 ans et 7 mois (le 12 janvier 2020 à GG contre Nantes)
8. Stefan Bajic (ASSE) : 17 ans et 9 mois (le 25 septembre 2019 à GG contre Metz)
9. Joris Chotard (MHSC) : 17 ans et 10 mois
10. Arthur Zagre (QSG puis Monaco) : 17 ans et 10 mois
Coup de Pau pour Tholot ! (2)
18/05 23:19

Promu en L2 notamment grâce à la belle saison du gardien stéphanois Alexis Guendouz, le Pau FC a officialisé cet après-midi la nomination de Didier Tholot au poste d'entraîneur. Pour rappel, l'ancien attaquant stéphanois était libre depuis son limogeage par l'ASNL en octobre 2018.
Lemoine dans la bible
18/05 21:11
Autoproclamée "bible du football", France Football à paraître demain publie une interview du capitaine lorientais Fabien Lemoine. Extraits.
"J'ai quelques très bons amis dans le foot, comme Romain Hamouma à Sainté et Paul Baysse à Bordeaux. Des anciens de Rennes aussi. On s'est envoyé des textos pendant le confinement. C'est marrant, quand on échangeait, tout le monde était sûr de reprendre ! On pensait qu'il fallait aller au bout pour l'équité sportive. Mais on se demandait aussi comment on allait gérer les distances aux entraînements ou durant les rencontres. Pas de crachat, la proximité, les trajets, les transports... on se disait que ce serait compliqué.
J'ai pris une décision importante avant le confinement. Ma femme et moi, on avait un bien sur Rennes, mais Lorient est une ville très agréable, où nos enfants se plaisent énormément et nous aussi. On y a trouvé quelque chose en début d'année. La situation est donc claire : Lorient est mon dernier club, et après ma carrière, je vais rester dans le coin pour y vivre pendant que les enfants grandiront. Du coup, j'ai envie de continuer à prendre du plaisir, à aider le club, à y jouer le plus longtemps possible. Mais je n'ai pas l'intention de jouer chez les amateurs plus tard.
On sait que ce sera difficile de rejouer avec du monde au stade. C'est tellement triste de jouer sans ambiance, ça dénature le foot. Déjà, le fait d'interdire de déplacement les supporters le dénature. Une tribune pleine de supporters visiteurs, c'est quand même exaltant ! A huis clos, ce sera un autre football. Il faudra bien y retourner pour faire tourner la boutique. Moi, le foot commence à vraiment me manquer ! Les entraînements, les vestiaires, les collègues. C'est long. J'espère qu'on se débarrassera vite de ce truc pour que tout le monde puisse reprendre une vie normale."
Mignot s'éclate dans le digital
18/05 19:13
Ayant joué 41 matches sous le maillot vert de 2011 à 2013, Jean-Pascal Mignot évoque sa reconversion dans la dernière édition de l'hebdomadaire Le Pays Cauchois. Extraits.
"J'ai investi dans une franchise de supports de communication. Cela m'a bien plu. Je me suis investi dans le projet comme je m'investissais sur le terrain, à 100 %. Depuis trois ans, je gère avec mon associé François Leteur la société Vitriled qui commercialise des supports de promotion digitale, de tous types et de toutes tailles. "On s'est connu quand je jouais à Auxerre. Il a réparé mon ordinateur portable en 2003. On est resté en contact. On s'était dit qu'un jour, on mènerait un projet ensemble. C'est ce que nous avons fait et cela se développe bien.
En ce moment, on propose des distributeurs de gel hydroalcoolique qui diffusent en même temps les consignes des gestes barrières, des messages de prévention et/ou des textes publicitaires. On estime que les entreprises augmentent leur chiffre d'affaires de 25 % quand elles utilisent l'affichage dynamique. Je m'occupe de l'administratif et du commercial pendant que mon associé gère la technique. J'ai la chance d'avoir un réseau. On a placé douze écrans pour le Conseil départemental de l'Yonne, partenaire institutionnel de l'AJA.
Je me suis lancé dans une deuxième activité : je suis représentant pour la marque HTV, spécialisée dans les panneaux Led pour un milieu que j'ai fréquenté pendant quinze ans : les stades accueillant les grandes compétitions. J'aurais pu rester dans le milieu, former les joueurs de demain ou encadrer ceux d'aujourd'hui. Je me suis posé la question mais je n'avais plus forcément envie de rester dans la sphère du football pro. Mon activité était déjà bien lancée et très prenante. Je n'ai même pas pris le temps de passer mes diplômes."
Jérémy Clément parle Verts
18/05 14:48

Pour le site Parlons Sports, le nouvel entraîneur de Bourgoin-Jallieu (N3) Jérémy Clément est une nouvelle fois revenu hier sur ses vertes années. Extraits.
"Le Chaudron, ça reste un stade mythique, j'ai eu de la chance d'y jouer. C'est que du bonheur. Parfois il y a eu des passages où on se faisait un peu "chahuter" par les supporters. Mais c'est normal que des supporters qui mettent le feu quand tout va bien puissent aussi s'exprimer quand ça va un peu moins bien. Quand on est joueur de foot, c'est super de connaître cette ambiance. Sainté me fait beaucoup penser aux Rangers dans la passion qui anime les supporters avec le club.
La toute première fois que j'ai foulé la pelouse de Geoffroy-Guichard, c'était avec les U17 de Lyon. Moi j'étais U16, on faisait la Coupe de France. Moi ça m'avait marqué parce que le virage était déjà rempli. J'avais trouvé ça énorme qu'il y ait autant de public pour un match de U17 nationaux. Quand j'ai signé à l'ASSE, le stade était en travaux à l'époque. Je n'ai vraiment apprécié le stade qu'au bout de deux ou trois ans quand il était entièrement rénové. Là on a pu se rendre compte que ça fait du bruit.
Je me souviens bien de mon seul but en vert, c'était contre Nice en mai 2015. C'était une reprise de volée du droit. Je revois encore cette communion avec le public. Malheureusement je n'avais pas les qualités de finisseur d'un Aubame ou d'un Max Gradel. Beaucoup de joeuurs m'ont marqué à Sainté, il y avait tellement de bon gars à Sainté ! Forcément Fabien Lemoine car on fait beaucoup de matches ensemble.
Je ne vais pas être original mais Loïc m'a marqué parce que c'est un bon joueur. Il a été capable de jouer arrière droit, milieu de terrain, défenseur central et je pense qu'on l'aurait mis gardien, il aurait pu aussi être bon, ce con ! (rires) J'ai toujours bien aimé Bakary Sako. Il y a plein de joueurs que j'ai appréciés à Sainté. J'ai vécu tellement de choses extraordinaires avec ce groupe...
J'ai joué une vingtaine de matches européens avec les Verts. Ce n'était que la Ligue Europa mais il y a quand même eu de belles affiches, contre l'Inter par exemple. C'est cool d'avoir fait partie de ce groupe qui a quand même fait de belles années. Après, j'espère bien sûr que le club fera mieux, mais on a toujours fini dans des places pour jouer la Coupe d'Europe. On aurait pu faire mieux, je repense à ce match où on perd 2-1 à Bâle. Cela fait pait partie des souvenirs douloureux."
Pogba futur Lionceau
18/05 11:52

Le FC Sochaux a annoncé ce matin sur son site officiel que l'ancien défenseur stéphanois Florentin Pogba va s'engager la semaine prochaine pour trois ans avec les Lionceaux. Celui qui fêtera ses 30 ans dans 3 mois était sans club depuis qu'il avait quitté Atlanta en automne dernier. Il va donc rejoindre un club qui compte déjà un ancien Vert de la génération 90 dans ses rangs : l'ancien milieu de terrain défensif de la réserve stéphanoise Papou Paye, qui a joué 20 matches de L2 cette saison dans la défense sochalienne.
A Cagliari, Sainté a pleuré
18/05 11:19
Le site Calciomio revient ce mois de mai sur l'élimination des Verts par Cagliari en 16e de finale de la Coupe d'Europe des Clubs Champions en septembre 1970. Extraits.
"Près de 55 000 spectateurs ont fait le déplacement dans les gradins du nouveau stade de Cagliari, le Sant’Elia, qui a succédé au mythique Amsicora, antre du Scudetto. L’ambiance est survoltée et ce qui devait arriver, arriva… Sur une ouverture en profondeur de Angelo Domenghini, alors que les Verts étaient pourtant avertis, Gigi Riva fait trembler une première fois les filets de Georges Carnus (1-0, 7e), le gardien de l’Equipe de France. A peine les Stéphanois ont-ils eu le temps de se remettre que les hommes du "Philosophe" Manlio Scopigno doublent la mise par le Brésilien Nenè (2-0, 19e). Dès lors, les jeux étaient faits. Quelques timides incursions de Saint-Etienne, impulsées par Jean-Michel Larqué, ne feront pas le poids. Non seulement les Verts ne reviennent pas au score mais Riva enfonce le clou en deuxième période (3-0, 76e). Au moment d’appréhender le match retour, les Sardes sont en position plus que favorable.
C’est en position de favori que Cagliari arrive donc fin septembre dans le Forez. Les trois buts d’avance leur permettent de voir venir. Quoi que… Grâce à une folle ambiance orchestrée par les supporters stéphanois, la Panthère noire met les Quatre Maures sous pression. Et le forcing paie avec un but de Larqué à la demi-heure de jeu. Les Sardes, contrairement à leurs adversaires à l’aller, réussiront à résister aux assauts suivants. Y compris quand les esprits s’échaufferont sur la pelouse...
Sur le plus long terme, les deux clubs connaîtront des fortunes diverses. Cagliari aura du mal à conserver son statut et rentrera dans le rang courant des années 1970 alors que Saint-Etienne continuera sa progression jusqu’à devenir un grand d’Europe. Illustration de ces parcours divergents : à l’issue de la saison 1975-1976, Saint-Etienne entrait pour l’éternité dans le coeur de beaucoup de Français après sa finale à Glasgow contre le Bayern. Cagliari, de son côté, terminait 16e de Serie et rétrogradait en Serie B."
Recordier, l'expérimenté
18/05 09:21
Nice-Matin publie aujourd'hui un intéressant dossier sur la cellule de recrutement des Aiglons, qui compte actuellement onze éléments dont Morgan Boullier, Gianni Gullo, Jean-Philippe Mattio, Franck N'Dioro, Karim Bouazza, Frederic Brando, l'ancien ami de Sinama Henrique... et bien sûr l'ancien Vert Serge Recordier qui a le droit à un petit portrait. Extraits.
"A 58 ans, Serge Recordier est toujours autant passionné par son métier de scout, qu'il a débuté en 2007 à l'OGC Nice. Avant de devenir l'un des recruteurs français les plus réputés, malgré sa discrétion, il fut un milieu de terrain reconnu en D1. Champion de France en 1982 [aux cotés de Claude Puel qui a par la suite apprécié son travail de recruteur chez les Aiglons, ndp2], club qui l'a lancé en professionnel et où il a fait une pige d'un an comme scout (2018-2019), le natif d'Orange a ensuite porté les couleurs de Rouen, Beauvais, Saint-Etienne, Avignon et Antibes. Par la suite, Recordier, dont le gendre est Anthony Modeste, a été entraîneur à Digne, Couthézon et Nice chez les jeunes. Il fut également entraîneur adjoint à Sedan de 2002 à 2004."
Bouanga sur les tablettes des Toffees ?
18/05 08:36

Selon le Sunday Mirror paru hier, Everton convoite Denis Bouanga. Actuellement entraînés par Carlo Ancelotti et douzièmes en Premier League, les Toffees ont déjà compté deux anciens Verts dans leurs rangs : Kévin Mirallas et Kurt Zouma.
Allevinah content pour Bouanga
18/05 08:02

Dans l'équipe type de la saison 2019-2020 de L2 selon France Football malgré des stats plutôt faibles pour un joueur offensif (2 buts, 1 passe décisive), le numéro 14 des Panthères du Gabon Jim Allevinah (Clermont) évoque aujourd'hui dans Le Progrès la belle saison du numéro 20.
"Denis Bouanga a vraiment fait une très bonne saison dans un environnement assez particulier parce que l’ASSE n’a pas réalisé la saison attendue. Il a de très bonnes statistiques (10 buts et 3 passes décisives en L1) et fait de très bons matches, je suis très content pour lui."
Fouss encense Razik et tacle Ntep
18/05 07:34
Actuel adjoint du sélectionneur du Mali, l'ancien latéral stéphanois Fousseni Diawara se confie dans Le Progrès du jour. Extraits.
"Un entraîneur doit avoir des convictions, sa propre personnalité, prendre ce qui est bon un peu partout. Je peux aussi bien piocher chez Razik Nedder que chez Jürgen Klopp. Je ne fais pas de différence. Ce sont deux entraîneurs qui ont des idées sur le foot. Revenir à l'ASSE ? Si cela avait dû se faire, ça se serait fait tout de suite après ma carrière de joueur. Je n’avais pas de reconversion au club et je n’ai pas non plus poussé la porte pour avoir un poste à l’ASSE. Ce n'est pas du tout un regret.
Il y a des personnes compétentes en place. Je suis content pour Julien Sablé et Laurent Huard. Razik Nedder, que je connaissais pas, est pour moi une vraie révélation. L’ASSE doit s’appuyer sur la formation et pour cela il faut se doter des meilleurs entraîneurs. Il en fait partie. Si un jour, je pense pouvoir apporter quelque chose au club, je n’hésiterai pas cette fois à taper à la porte. Quand je vais voir un match à Geoffroy-Guichard, j’ai un œil et des réactions de supporter, pas d’entraîneur.
En fin de carrière, j'affronte Auxerre et tombe sur un phénomène, Paul-Georges Ntep. Il était tellement fort. C’est le joueur qui m’a fait le plus mal. Il avait des qualités exceptionnelles. Quand il a rejoint l’ASSE, ce n’était plus le même joueur. Méconnaissable, il est devenu l’ombre de lui-même. C’est un rappel pour certains. Cela prouve qu’on n’est jamais arrivé. Les jeunes comme Saliba, Fofana… n’ont encore rien fait. C’est le début. S’ils ne travaillent pas, ils seront vite oubliés."
Guilavogui signe à Paris
17/05 22:26
Comme l'avait annoncé Loïc Tanzi le 6 mai dernier, l'ailier toulonnais Morgan Guilavogui (22 ans) a signé aujourd'hui un premier contrat professionnel de trois ans avec le Paris FC (17e cette saison en L2) où il va retrouver son ancien coéquipier stéphanois Anthony Maisonnial. Pour rappel, le petit frère de Josuha avait fait quatre discrètes apparitions en U17 nationaux lors de la saison 2013-2014 sous les ordres de Lionel Vaillant et Gilles Rodriguez. Il avait notamment joué avec Mahdi Camara et Arnaud Nordin.
“C’est une grande fierté de signer mon premier contrat professionnel. C’était un rêve depuis tout petit. Je suis très heureux de rejoindre le Paris FC, un club ambitieux avec un projet qui me correspond et qui fait confiance aux jeunes" a déclaré le nouvel attaquant parisien sur le site officiel de son nouveau club. "J’espère apporter ma générosité, ma bonne humeur, mon envie mais également mon altruisme car j’aime faire jouer les autres. Idriss Ech-Chergui m’a bien conseillé, présenté le club et expliqué les investissements réalisés pour améliorer les infrastructures."
La finale début août ? (10)
17/05 21:57

Au Canal Football Club, Noël Le Graët a réitéré ce soir son intention de faire jouer la finale de Coupe de France dès le mois d'août.
"Saint-Etienne jouera. Donc il n’y a pas de sanction. Ce sont des bons copains, ils sont obligés quelquefois, quand ils ont des discussions avec les supporters, de tenir des positions. Mais aujourd’hui, il faut imaginer PSG-Saint-Etienne à huis clos.
Dogon est le plus grand fan de Bordeaux
17/05 21:35

Né à Valognes au coeur de la péninsule du Contentin, l'actuel entraîneur des U19 stéphanois Jean-Luc Dogon s'est confié aujourd'hui dans La Presse de la Manche, 24 ans après avoir disputé une finale de Coupe d'Europe contre le Bayern avec Bordeaux. Extraits.
"L'aventure européenne des Girondins de la saison 1995-1996, c’est clairement le meilleur souvenir de ma carrière. Au niveau des émotions, je n’ai jamais rien connu d’aussi fort. Nous étions partis de la Coupe Intertoto, on avait gagné 20 matchs pour nous retrouver en finale… Cette année-là, il y avait une ambiance incroyable dans l’équipe. Nous étions tous potes. Et, cette amitié s’est retranscrite sur le terrain.
Notre quart de finale retour contre le Milan AC, ça reste le match référence. Le jour du match, le stade était déjà plein plus de deux heures avant la rencontre, il y avait une ambiance incroyable. Ce jour-là, c’est comme si nous disputions notre finale. On sentait qu’il allait se passer quelque chose… En face, à l’échauffement, ils étaient morts de rire. On se sentait vexés qu’ils nous prennent à la légère. Liza qui était capitaine nous a rameutés : "Ils nous prennent pour des cons, ils nous chambrent : on va leur rentrer dedans."
Sur le moment, c’est comme si tu es champion du monde ! On avait éliminé la meilleure équipe du monde avec Maldini, Vieira, Baresi, Desailly, Weah, Baggio, Costacurta, Donadoni… C’était inespéré. Après le match, Bordeaux était en liesse. On a fait la fête jusque tard en boîte de nuit. Aujourd’hui encore, c’est un exploit qui a marqué non seulement l’histoire du club de Bordeaux mais le foot français en général.
En 1997, j'ai remporté la Coupe de la Ligue avec Strasbourg mais je n’avais pas forcément apprécié ce moment car on avait battu… Bordeaux en finale ! C’était bizarre car Bordeaux était et est toujours mon club de coeur. Même si aujourd’hui, j’entraîne les U19 de Saint-Etienne, je suis toujours le plus grand fan de Bordeaux.
Le foot d'aujourd'hui ? Je suis un peu saturé, je regarde uniquement les gros matchs. La pause actuelle ne va pas faire de mal, on va revenir encore plus boosté. Ce qui m’énerve, ce sont les mecs qui sont remplaçants dans un club mais qui y restent parce qu’ils sont bien payés. A mon époque, ça n’arrivait pas. On avait la passion du jeu avant tout."
On a eu Chicharo, on aura Aouchiche ? (3)
17/05 20:51
Sur son compte twitter, Macky Diong affirme que "Claude Puel espère encore enrôler Adil Aouchiche, mais le joueur fait monter les enchères face aux nombreux intérêts et demande 4 M€ à la signature". L'ancien journaliste du Progrès ajoute que le très prometteur milieu offensif de 17 ans est en dicussions avec le QSG mais réfléchirait au temps de jeu promis par les Verts.
C'est tête de Robert, c'est extraordinaire !
17/05 19:36

Dans la Pravda à paraître demain, Claude Puel revient sur ses débuts victorieux avec les Verts lors du 119e derby de l'histoire. Extraits.
"Je n'ai pas titularisé Wahbi car il était à la peine physiquement. Il était en difficulté pour enchaîner les efforts à haute intensité et être déterminant d'entrée. Son jeu, c'est l'étincelle. Il ne possède pas un gros volume de jeu mais, quand il fournit un effort, il le fait à fond et il crée quelque chose. En visionnant les précédents matches, je trouvais que l'équipe se laissait facilement prendre dans le dos sur des ballons en profondeur. Elle était toujours en réaction, jamais dans l'anticipation. Comme il n'y a pas une grande vitesse de course chez les défenseurs, il faut sécuriser la défense. Pour ce derby, j'opte donc pour un schéma qui n'est pourtant pas mon schéma de jeu préférentiel (3-4-2-1). Au milieu je mets un droitier à droite (M'Vila) et un gaucher à gauche (Youssouf), ça me paraît plus équilibré.
Si tu mets exclusivement des défenseurs, tu te retrouves vite à une défense à cinq. Donc, en infériorité numérique au milieu. Or, je veux qu'on attaque. D'où la titularisation de Denis Bouanga à droite. Défensivement, il fait les efforts de replacement. Et comme il a un gros volume de jeu pour pistonner, je le vois participer et prendre le couloir. En partant de loin, il garde ses qualités offensives. Il a des espaces, il peut se libérer, percuter sans cogiter. Miguel Trauco n'est pas également un vrai défenseur. Il a une formation de numéro 10 et il peut bien relancer, sans jeter le ballon. Pour éviter de jouer avec un bloc bas et perdre le ballon de suite, il te faut des joueurs techniquement fiables.
À la pause, je tiens un discours positif : "On est bien. Continuez comme ça !" Charles arrive finalement à reproduire les efforts et à être performant. Après avoir été très volontaire, Loïs est bouilli. Il n'a pas un gros potentiel d'endurance, cela faisait un moment qu'il ne jouait pas, et il n'est plus en capacité de maintenir le rythme. Je le remplace par Wahbi. J'ai ensuite choisi de remplacer Charles par Robert. Il a fait de très bonnes choses par le passé à Saint-Étienne. Mais, depuis son retour de blessure, il a beaucoup de mal à retrouver du peps. Même aux entraînements, il peine à montrer des choses. J'ai titularisé Ryad car que je ne dispose pas de beaucoup de joueurs comme lui possédant cette touche technique, avec cette capacité de passe et de vision de jeu.
Cette tête de Robert est quelque chose d'extraordinaire. Il n'y a que le football et le sport qui te donnent de telles sensations. On a gagné car tout s'est déroulé comme il faut, avec de la réussite et les bonnes dispositions des joueurs. J'ai trouvé ça superbe, au regard des conditions de préparation. C'est une victoire à l'organisation et à l'enthousiasme. Je n'étais pas dans l'optique de faire une équipe pour un match mais de redistribuer les cartes, de demander plus à tout le monde, pour les remettre dans un cycle. Beaucoup d'entre eux s'étaient programmés à aller jusqu'au bout de ce qu'ils pouvaient donner. C'est pour ça que même en cas de défaite j'aurais eu des mots positifs, dépassant le cadre d'un derby. Le foot tient à peu de choses. Ce derby en est l'illustration."
Une parodie de football pour Kastendeuch
17/05 19:10

Après avoir commenté la reprise de la Bundesliga dans la Pravda, Sylvain Kastendeuch en remet une couche dans Ouest-France à paraître demain. Extraits.
"J'ai eu un sentiment de malaise. On voyait bien que les joueurs n’étaient pas prêts. On voit qu’il y avait une forme de retenue, de défiance. Physiquement et techniquement, ils ne sont plus du tout au point. Il y avait aussi un paradoxe entre tout ce qui était autour du terrain, et notamment les remplaçants masqués à un mètre les uns des autres, et puis les joueurs qui sont très proches et non-masqués… Je ne veux pas être trop méchant, mais ça ressemblait quand même à une parodie de football. Cela ressemblait beaucoup à des matches de préparation.
On sent bien qu’il fallait reprendre coûte que coûte, que les arguments économiques guident cette reprise. Ce que les joueurs vivent en termes de préparation, ça doit être infernal, assez terrible. Imaginons que ça soit ce régime-là pendant 5-6 semaines, je suis curieux de voir comment les garçons vont pouvoir continuer à supporter ces protocoles. Et je pense que ça doit coûter énormément en termes d’organisation, rien que d’un point de vue médical. Tout ce que les clubs doivent mettre en place en termes de tests, en termes de soins, ça doit être assez faramineux.
Moi, ce que je crains surtout, c’est la répétition à la fois de tout ce protocole, de ces mises à l’écart, de toutes ces préparations très lourdes pour les joueurs et les clubs. Je pense que le premier match peut se jouer sur l’énergie, sur l’envie de reprendre, mais la suite va être à surveiller. On verra dans 2-3 matches, le nombre de blessés. Je suis conforté dans la vision que j’avais depuis un moment. Je suis persuadé que c’est une décision très courageuse de la part du gouvernement français et de certains acteurs du foot d’arrêter, de ne pas chercher à terminer cette saison."
Chaintreuil prend son mal en patience
17/05 18:17
Directeur du centre de formation du Nîmes Olympique, l'ancien milieu de terrain et ex-entraîneur des U17 de l'ASSE Christophe Chaintreuil s'est livré à Objectif Gard. Extraits.
"La saison a été moyenne parce que la réserve est descendue en National 3. Mais cette équipe était très jeune, et même si c’était dans la difficulté, cela a permis aux joueurs de s’exprimer. Pour les autres équipes, l’objectif était de monter les joueurs dans les catégories supérieures. Notre travail est de les préparer au haut niveau, pour ceux qui en ont la capacité. Le niveau N2 est plus intéressant parce qu’il y a de meilleures équipes qu'en N3. Mais on se rend compte qu’il n’y a pas que Nîmes qui a rencontré des difficultés en N2 puisque Montpellier et Saint-Étienne descendent aussi et que Monaco et Marseille ont eu une saison difficile à ce niveau. Quant à la N3, cela va permettre à nos joueurs de gagner plus de matches et donc de jouer libérés et de prendre plus de plaisir.
Toutes les activités sont stoppées. De temps en temps on prend des nouvelles, mais pour l’instant nous n’avons aucune information sur une éventuelle reprise. Nous sommes tous dans l’attente et c’est compliqué pour les clubs et les joueurs, surtout pour ceux qui n’ont plus de contrat. Il n’y a pas de possibilité de faire des essais. On attend beaucoup des futures dates de reprise, afin de planifier quelque chose d’un peu plus long que d’habitude parce qu’en s’étant arrêté peut-être trois ou quatre mois, il va falloir remettre les organismes en route et cela va prendre plus de temps. Le terrain me manque, bien sûr. Quand on est habitué à passer 90% de son temps à un endroit, cela fait un vide, un manque. On prend notre mal en patience."
Adieu Jacques !
17/05 15:50
Comme le rapporte le site de la Pravda, Jacques Crevoisier est mort d'une crise cardiaque ce matin à l'âge de 72 ans. Ex-sélectionneur de l'équipe de France U18 championne d'Europe en 2000 et ancien adjoint de Gérard Houllier à Liverpool, il avait effectué des missions à l'ASSE. Pour rappel, France Football avait publié à ce sujet un intéressant reportage il y a dix ans. Actuellement directeur du centre de formation du SCO et à l'époque entraîneur des U19 de l'ASSE, Abdel Bouhazama a apprécié l'apport de celui qui avait permis à Dimitri Payet de gagner en endurance et aux U17 stéphanois de participer à un tournoi remporté aux Bermudes.
"Je garde de bons souvenirs de Jacques Crevoisier. Il était intervenu à l'ASSE à la demande de Damien Comolli, qui à l'époque était directeur sportif chez nous. Dans son projet, il voulait qu'on aborde la pyschologie, la préparation mentale. C'était assez précurseur à l'époque pour les gamins. On avait fait une dizaine d'ateliers avec Jacques Crevoisier. Il venait régulièrement au club, tous les quinze jours ou toutes les trois semaines. Il a fait des tests psychologiques aux jeunes du centre de formation. Cela nous avait permis de déceler des potentiels et des problématiques chez certains joueurs qu'on essayait d'accompagner du mieux qu'on pouvait.
Jacques Crevosisier avait fait faire les tests à toutes les catégories d'âge, ensuite avec les différents coaches et Damien Comolli on avait listé les joueurs ayant le potentiel pour réussir à l'ASSE en pro. On avait filtré, fait une espèce de système d'entonnoir, pour cibler les joueurs sur lequels on devait travailler. De mémoire cela concernait une bonne quinzaine de joueurs. On passait du temps dans les réunions à évoquer leur cas, Jacques Crevoisier nous donnait des clés, nous remontait des comportements, des attitudes des gamins que ce soit à l'entraînement ou en match. Je me souviens notamment qu'on avait pas mal parlé de Kurt Zouma. Il nous avait donné des clés sur lui qu'on ne pouvait pas forcément déceler dans l'approche psychologique. Je sais que Jacques Crevoisier a fait des entretiens individuels avec certains joueurs.
Le regard extérieur et l'expertise de Jacques Crevoisier étaient vraiment bénéfiques, parfois ça confortait notre jugement, parfois ça nous amenait à adopter une autre psycho-pédagogie, d'autres méthodes d'apprentissage auprès de nos gamins. C'était hyper intéressant. Damien Comolli avait souhaité à l'époque amener ce protocole et ce process chez les pros, pas forcément sur tout l'effectif mais sur quelques cas qui pouvaient peut-être poser problème au staff pro à l'époque. L'apport de Jacques Crevoisier était réel car on sentait qu'il avait entraîné et qu'il connaissait très bien le football. Les problématiques des coaches, que ce soit dans la formation ou chez les pros, il les connaissait. Je pense qu'on nous l'a pas dit ouvertement mais son rôle était aussi d'analyser la posture des entraîneurs vis-à-vis des joueurs. C'était intéressant d'avoir un feed-back là-dessus aussi. J'ai vraiment apprécié sa colloboration. Il avait un joli CV mais montrait de l'humilité. Ce n'était pas un donneur de leçons, il nous amenait des pistes de réflexion."
Quand Verts et Canaris se disputaient la suprématie
17/05 09:37

Dans un reportage manifestement tourné il y a plusieurs mois (Jojo on pense à toi), Le Figaro est revenu il y a deux semaines sur l'époque où l'ASSE et le FC Nantes se disputaient la suprématie du football français.
Georges Bereta : "Il y avait une formation exceptionnelle à Saint-Etienne avec Jean Snella et à Nantes aussi la formation était exceptionnelle. On avait un peu le même style, c'était un football qui se jouait dans les pieds, qui était propre, qui était net. Quand les deux clubs s'affrontaient, on était sûr de voir un beau match. Automatiquement le public aimait les deux clubs. On sentait les Nantais motivés, on savait que ça allait être un match de haut niveau. Et le haut niveau ça ne pardonne pas, si on fait des fautes on ramasse. On avait une bonne équipe des deux côtés. Je crois que c'était du beau spectacle car on respectait au moins le football et on se respectait nous-mêmes."
Jean-Paul Bertrand-Demanes : "Nantes et Saint-Etienne sont les deux clubs qui ont commencé à faire de la formation. Nantes s'appuyait un peu plus sur la circulation de balle alors que Saint-Etienne s'appuyait un peu plus sur l'impact physique. Mais les matches entre Nantes et Saint-Etienne, c'était aussi engagé d'un côté que de l'autre et ça jouait aussi bien d'un côté que de l'autre. A Saint-Etienne, c'était le Chaudron, le public était très proche. A Saupin aussi mais à Sainté c'était un stade de structure un peu métallique, ça résonnait beaucoup plus. Contre les Verts, c'était des matches engagés mais on prenait du plaisir. Cela a donné lieu à de très belles actions, de très beaux buts de part et d'autre. Généralement Saint-Etienne prenait une raclée à Nantes et on prenait une raclée quand on allait à Saint-Etienne. Il y a eu quelques exceptions mais c'était souvent ça, on était maîtres chez nous et ils étaient maîtres chez eux."
Loïc Amisse : "Les trois quarts de l'effectif de Saint-Etienne et de Nantes constituaient l'équipe de France donc il y avait forcément une envie de démontrer que le FCN était supérieur à cet adversaire. C'était un plaisir de se mesurer aux Verts. Il se dégageait une sincérité, une force à travers eux et à travers nous. Ils étaient contents de nous voir, nous aussi. On aimait se retrouver. Dans la presse, on en parlait huit ou dix jours, il y avait un engouement. Il est vrai que le Chaudron était déjà un enfer quand on entrait dedans. Les joueurs stéphanois étaient aussi très en forme et nous mettaient le doute surtout par rapport à l'engouement qu'il y avait. C'était souvent des matches très difficiles pour nous là-bas. On était les deux meilleures équipes."
L'Arab du futur ? (3)
17/05 08:12

Selon Mohamed Toubache-Ter, "l'ASSE a fait une première offre jugée insatisfaisante" par le Red Star concernant le prometteur milieu offensif de 19 ans Saïd Arab. "Saint-Etienne n'abandonne pas pour autant cette piste et prépare une seconde offre tandis que Strasbourg et Lens sont à l'affût."
C'est absurde pour Kastendeuch
17/05 08:03

Ancien défenseur des Verts et actuel coprésident de l'UNFP, Sylvain Kastendeuch commente dans la Pravda du jour la reprise de la Bundesliga. Extraits.
"La logique économique a de nouveau pris le pas sur l'impératif sanitaire. Certains parlent de courage, mais pour moi la prise de position en France l'est davantage, courageuse. Ne valorisons pas le risque quand nous parlons santé et préservation des vies humaines. Le huis clos est une anomalie, la notion de partage est l'essence même du football. Il en va de l'image de notre sport que l'on écorne à vouloir jouer coûte que coûte dans des stades vides, avec des joueurs sans doute en méforme et contraints de pratiquer leur art au rabais.
On a changé les règlements (5 remplacements autorisés), masqué les joueurs sur le banc et des coaches mentaux ont été mis à la disposition des clubs. Mais le football est un sport de contact où la distanciation sociale est impossible. D'un côté on masque les remplaçants et les coaches, et de l'autre on laisse le jeu sur la pelouse se dérouler comme si de rien était. C'est absurde. J'ai davantage été marqué par des images de méfiance et de circonspection que de plaisir. Et il y a des risques accrus de blessures au fur et à mesure que les journées vont s'enchaîner."
La poule AURA du National 3
16/05 20:00

Suite aux dernières décisions des instances du football et sous réserve des procédures en cours, l'Evian Thonon Grand Genève FC a dévoilé aujourd'hui sur son site la poule Auvergne Rhône-Alpes de la N3.
La réserve stéphanoise de Razik Nedder devrait retrouver son club partenaire Saint-Priest (lui aussi relégué), le FC Velay, l'AS Moulin, Evian Thonon Grand Genève FC (tout trois promus), le FC Bourgoin-Jallieu de Jérémy Clément, le Hauts Lyonnais de Romain Reynaud ainsi que d'autres clubs qui évoluaient cette saison en N3 : les réserves de Clermont et de Lyon-Duchère, le FC Limonest, Ain Sud, Chambéry Savoie Foot, le FC Vaulx en Velin et Montluçon Foot.
La tête à Toto
16/05 17:40
En bon capitaine, Anthony Losilla (34 ans) a marqué aujourd'hui de la tête le premier but de la victoire (3-0) de Bochum contre Heidenheim lors de la reprise de la L2 allemande. C'est le quatrième pion claqué cette saison par l'ancien capitaine de l'équipe réserve de l'ASSE.
Anto, Hognon et De Zerbi reconduits
16/05 17:19
Bien aidés par les six points offferts par les Verts, les promus messins se sont finalement maintenus sans trop trembler. C'est donc sans suprise que les membres du staff grenat ont été reconduits, comme l'ont confirmé leur président et leur directeur général dans Le Républicain Lorrain.
Bernard Serin : "Je suis satisfait de la façon dont ça fonctionne depuis un an et demi. Les objectifs ont été atteints, tout s’est passé comme prévu. Tout a été géré, organisé, piloté, structuré. Il n’y a aucune raison de modifier cet équilibre. Avec Frédéric Antonetti, Vincent Hognon, Jean-Marie De Zerbi et le reste du staff, tout fonctionne très bien et chacun a fourni un immense travail, jour après jour, pour en arriver là."
Philippe Gaillot : "Vincent Hognon a su être performant à l’entraînement et sur les matches, là où Frédéric Antonetti ne peut plus intervenir. Il a trouvé les bons réglages, les bons mots. Ils ont un passé en commun et une approche du jeu assez similaire. Du coup, ils s’appuient sur une vraie collaboration dans la préparation et dans l’analyse des matches. Et pour les prises de décisions, chacun amène ses idées. Ça fonctionne bien. Fred a un rôle décisif dans le recrutement et il a su fédérer tout un club autour d’un vaste projet commun."
ZEbet mise encore sur les Verts ?
16/05 15:53

Directeur marketing de l'opérateur de paris en ligne ZEbet, Quentin Etievant s'est exprimé il y a dix jours sur Ecofoot. Extraits.
"Comme tous les opérateurs, nous faisons le dos rond en attendant le redémarrage progressif des compétitions autorisées. Le championnat biélorusse va bientôt être épaulé par la K-League, le championnat sud-coréen. La Bundesliga va reprendre aussi dès ce mois-ci. On aurait évidemment aimé voir une reprise des autres principaux championnats. Tout est prêt de notre côté pour redémarrer l’activité.
ZEbet a plusieurs accords de sponsoring, dont notamment un partenariat avec l’AS Saint-Etienne. Sur le fond, la période de crise actuellement traversée ne remettra pas en cause ces activités de sponsoring. Cela étant, on a rarement connu un moment avec autant d’incertitudes, et à tous les niveaux (organisateurs – clubs – diffuseurs). Nous sommes plutôt en bout de chaîne, à l’écoute des annonces des uns et des autres.
On y voit un peu plus clair sur les conditions de reprise (dates, conditions probables d’accueil du public…), nous allons essayer d’avancer rapidement à présent en anticipant au maximum les différents scénarios. Une certitude : les dispositifs, les conditions, les contrats seront probablement bien différents de ceux que l’on a connus jusque-là."
Adieu Ginette !
16/05 15:23
La Nouvelle République nous a appris aujourd'hui le décès de Ginette Ravel, emportée le 1er avril dernier par le Covid-19 à l'âge de 86 ans. Egalement fan de son club local (la Saint-Georges-Descartes, dans l'Indre-et-Loire), elle aura su rester verte et stylée jusqu'au bout. En octobre dernier, Ginette avait fait 850 km aller-retour pour aller encourager Sainté dans le Chaudron. Elle n'avait aucun lien de parenté avec son parfait homonyme québécois mais savait donner de la voix pour stimuler ses protégés.