
La réserve débarque à Bergerac
22/02 08:22

Toujours avant-dernière et relégable mais restant sur une nette victoire sur le terrain de la lanterne rouge, l'équipe réserve défiera Bergerac (5e à 13 points du leader sétois) ce samedi à 18h00 en Dordogne. Avant cette rencontre de la 20e journée de National 2, Razik Nedder s'est brièvement confié au Progrès.
"Il faut ramener des points de là-bas. Nous ne pouvons pas seulement viser le 0-0. Il faut y aller avec un projet de jeu qui nous permettra de gagner et, au pire des cas, de faire un nul. Bergerac est une équipe solide qui a peu changé depuis l’aller. Ils jouent avec une défense à cinq, un bloc compact et laissent peu d’espaces. Leur point fort est dans l’animation défensive, comme en témoignent leurs quatre derniers matches sans prendre de but."
Blessé au coude, Lamine Ghezali est forfait selon le quotidien régional.
Ruffier écarté ! (2)
22/02 00:29
La Pravda de ce samedi évoque la mise à l'écart de Stéphane Ruffier. Extraits.
"Claude Puel a prévenu Jacky Bonnevay, débarqué dans ses bagages le 4 octobre, de sa décision d'écarter Stéphane Ruffier pour le match face à Reims, dimanche. Puis, il a mis Fabrice Grange, le jusque-là très influent entraîneur des gardiens, devant le fait accompli. Intime de Ruffier, celui-ci se serait opposé, en vain, à cette décision. Enfin, Puel a reçu Ruffier pour la lui expliquer. En mettant une claque à Ruffier, Puel chercherait à provoquer un déclic chez lui. Connaissant la personnalité de Ruffier, il est permis de douter que cette mise à l'écart provoque un déclic psychologique.
Le risque se révèle dès lors grand de le voir refuser de renfiler les gants sous les ordres de Puel. Il n'adhère pas, plus, à son projet. Impensable ? Pas plus que lorsqu'il avait refusé le poste de numéro 3 en équipe de France, en 2015. Ruffier n'est plus retourné en sélection depuis. Il n'a pas prévu de s'entraîner samedi et il ne devrait pas figurer dans le groupe, dimanche. Jessy Moulin devrait jouer à sa place. Mis eux aussi devant le fait accompli, Bernard Caïazzo et Roland Romeyer devraient ainsi se retrouver avec un épineux dossier à gérer. Et coûteux. Sous contrat jusqu'au 30 juin 2021, Ruffier émarge à 2,8 M€ brut par an. Par les temps qui courent, les Verts se seraient volontiers passés de cette « affaire Ruffier »."
Crédit photo : Maxpp
Stéphane n'est pas Stephan
22/02 00:10


Sur la chaîne de la Pravda, Ludovic Obraniak a réitéré lundi en toute fin de soirée son soutien à Claude Puel.
"Claude Puel a beaucoup de défauts, c'est un mec archi-têtu, archi-obnibulé, archi-passionné. Caude il est en mission. Sa mission, c'est de rebâtir l'ASSE. Il arrive dans un club où ça a été un peu le Club Med pendant six mois, tout le monde a fait un peu comme il a voulu. Lui il arrive, il voit l'état de forme des joueurs. Il n'a pas d'état d'âme, le club est en danger. Il est intransigeant avec tout le monde, même Cabaye et Debuchy, ses deux meneurs à Lille lors de son épopée en Ligue des Champions. Claude Puel ne fait pas de cadeau, il pousse les mecs. Moi je l'ai vécu. Il va chercher sur qui il va pouvoir s'appuyer ou pas. Il pousse les mecs dans leurs retranchements.
Le premier entraînement où je suis arrivé à Lille, il s'est battu avec Stephan Lichtsteiner. Il s'est foutu sur la gueule avec lui. Stephan ça faisait un moment qu'il était bon, il n'a pas joué. Le lendemain matin Steph il lui a mis une boite, il lui a fait une entaille comme ça sur le tibia. Il n'a rien dit. Il a remis une deuxième boite. Ils ont essayé de s'échanger deux trois pains. Le week-end d'après, Steph était titulaire. Parce qu'il adore ça. Il va chercher les mecs, il va voir quel type de comportement, quel type de réponse lui donne le joueur. Il va voir s'il peut compter sur toi, si tu as la hargne, si tu as envie.
Ruffier fait tout l'inverse. OK à Saint-Etienne il a fait des choses merveilleuses, ça a été un excellent gardien, c'est probablement une légende du club car il faut reconnaître qu'il a été très bon pendant de longues années. Mais depuis un certain temps il n'est plus au niveau auquel il devrait être. Et ça il ne peut pas y échapper. Si Ruffier dit "OK, c'est comme ça ? Et bien vous allez voir", que le lendemain il vient à l'entraînement bim bam boum, Claude le remet le week-end d'après, j'en mets ma main à couper. Là, Ruffier tourne les talons, il renonce, il baisse les bras. En voyant ce comportement-là, Claude va se dire "ce mec-là, je ne peux pas compter sur lui."
Des grands-mères chez les Verts (5)
21/02 23:01

Résidentes des Senioriales de Montélimar, Eveline Martin (68 ans) et Christiane Pouzols (67 ans) ont livré leurs impressions à RCF avant de participer à une séance de tirs au but après-demain à la mi-temps du match Sainté-Reims.
"Cela va être intimidant de se retrouver au milieu du stade Geoffroy-Guichard car il est beaucoup plus grand que le stade Salif Keita de l'Etivallière où on était l'année dernière. C'est une expérience à faire, on se languit finalement. Il y a à la fois du stress et de l'impatience. On veut tenter cette expérience. On a envie de montrer aux supporters qui seront au stade dimanche qu'on est bien vivantes et qu'on a envie de le prouver. On attend de la joie de vivre, du partage. On veut montrer qu'on est heureuses et qu'on n'est pas vieilles. Notre joueuse la plus âgée, Francine qui a 84 ans, a deux prothèses à ses hanches et elle court, elle joue au foot et elle court après le ballon. Elle est comme nous !"
Diony mouille le maillot
21/02 21:56
Avant de défier le Stade de Reims, Loïs Diony s'est confié aujourd'hui lors d'une conférence de presse relayée par la Pravda. Extraits.
"À Saint-Etienne, on ne peut pas dire qu'on joue le maintien. On n'a pas à être à cette place. Dire qu'on peut jouer les places européennes, dans notre situation, on ne peut pas dire ça. Mais on ne se retrouve qu'à sept points du dixième. C'est beaucoup mais la dernière ligne droite n'est pas encore arrivée. On peut faire un coup dimanche, devant Reims, et se donner un peu d'air.
J'en suis à ma troisième année avec cinq coaches différents. Je suis un joueur qui joue à l'effectif. Oscar Garcia est arrivé et on a eu de très mauvais résultats. J'étais la recrue phare, à ce moment-là. Je suis arrivé dans un mauvais timing et tout m'est tombé dessus. Dans la vie, il y a des étapes à traverser. Ce n'est pas pour cela que j'ai abandonné. Il faut toujours bosser à l'entraînement.
À Dijon, on jouait à deux pointes devant, avec Tavares. Ce qui me permettait de m'exprimer, de toucher davantage de ballons, de décrocher, d'aller à droite, à gauche. Ici, on me demande plus d'être le buteur par défaut, d'être présent dans la surface. Ce qui limite un peu plus ce que je sais faire. Avec Robert Beric, on aurait pu faire une bonne entente. Après, ce sont les choix des coaches et il faut faire avec.
A Saint-Étienne, je n'ai jamais eu le même feeling au niveau du jeu qu'à Dijon. Depuis tout petit, j'ai démontré que je peux jouer tout seul devant. À Saint-Étienne, on a beaucoup de joueurs qui peuvent décrocher. Moi, je suis un guerrier, j'aime aller au duel et courir pour les gens. Après, c'est vrai que des fois, je râle un peu car je n'ai pas ces face-à-face que les autres peuvent avoir. Cela fait partie du jeu.
La situation peut enfin tourner à mon avantage si j'arrive à enchaîner les matches et les buts. Je n'ai jamais triché, à Saint-Étienne. J'ai toujours mouillé le maillot et été un combattant. Je sais que les supporters attendent beaucoup plus de ma part. Je comprends qu'ils puissent être en colère contre nous. Malgré les critiques, je ne suis pas à cracher sur le maillot vert."
Crédit photo : Onze Mondial
L'agent de Ruffier démonte Puel (2)
21/02 21:26
Après avoir dézingué Claude Puel cet après-midi sur le site de la Pravda, Patrick Glanz en a remis une couche ce soir sur la chaîne du quotidien sportif. Extraits.
"On ne peut pas imputer à Stéphane Ruffier le fait que Saint-Etienne joue très mal au football. Depuis des semaines et des semaines, Saint-Etienne ne produit rien, ne propose rien. Tous les jours il y a des problèmes avec les joueurs, des problèmes avec le médecin... Stéphane est le vice-capitaine de l’équipe et le capitaine en ce moment car Perrin ne joue pas. Il a essayé d’arranger plein de choses. Il y a dix jours, Puel a dit en conférence de presse que Stéphane est un excellent gardien. La semaine dernière il le reçoit, il lui dit qu’il n’a jamais eu autant besoin d’un gardien que lui, qu’il fait partie des deux seuls joueurs de classe de l’équipe. Stéphane essaie de compenser tout ce que fait Puel, toutes les histoires. Et à la sortie il le sort en laissant entendre que les mauvais résultats sont dus au gardien. Stéphane n’a pas de problème personnel, c’est l’un des seuls joueurs avec lesquels il parlait… Puel veut virer le chef du recrutement, son adjoint. Demain il va vouloir virer l’entraîneur des gardiens, puis après le médecin.
Aujourd’hui c’est la goutte d’eau qui fait déborder le vase. Je dis stop, en accord avec Stéphane qui ne parlera pas. Il est meurtri. Il faut que les pilotes de l’avion qui sont les présidents prennent les choses en main. A un moment donné il faut réfléchir, on a tous des cerveaux. En coupe tout le monde était content de la qualification mais ils se sont fait balader dans le jeu par une équipe de National 2. La situation est grave. Vous avez vu la première mi-temps à Brest ? C’est la faute de Stéphane s’ils ont pris trois buts alors qu’ils n’ont pas été capables de faire deux passes ? A quelques heures du match de Coupe de la Ligue au Parc, Puel a failli se battre avec un joueur pour rien. Avec lui, les joueurs vivent dans un état de nerfs incroyable. On ne peut pas tout le temps dire « c’est la faute de M’Vila qui est nul », « c’est la faute de Debuchy qui est vieux », « c’est la faute de Cabaye qui ne met plus un pied devant l’autre », « c'est la faute des jeunes manquent de qualité », « Ruffier est mois bon ». Pourquoi Puel est venu à Saint-Etienne alors ?"
Adao Carvalho à la Talau
21/02 17:36
Comme le rapporte Le Progrès, la Cour de Cassation a confirmé le jugement rendu il y a un an par la Cour d'appel de Lyon condamnant à un an de prison ferme Adao Carvalho et lui confiscant les parts sociales qu’il détenait indirectement dans le capital du club de l’ASSE via Croissance Foot. Le quotidien régional précise que le Portugais de 58 ans est incarcéré depuis deux jours à la maison d'arrêt de la Talaudière.
Crédit photo : Le Parisien
L'agent de Ruffier démonte Puel
21/02 16:50
Agent de Stéphane Ruffier, Patrick Glanz tacle Claude Puel sur le site de la Pravda. Extraits.
"Je confirme que Claude Puel a écarté Stéphane Ruffier. Il l'a reçu ce jeudi matin pour l'en informer. L'entretien a duré trente secondes. Depuis qu'il est arrivé à Saint-Étienne, l'entraîneur a établi un rapport de force dictatorial avec toutes les composantes du club (joueurs, médecin, staff, employés...) Mais là, il crache sur une légende de l'ASSE, adoré du public stéphanois et de ses entraîneurs précédents qui, depuis neuf ans, porte avec amour le maillot vert. Il le désigne comme le coupable de ses mauvais résultats, de façon injuste et lâche.
À moins que ce changement ne fasse partie de son fameux turnover dont on connaît la réussite. Il y a dix jours, l'entraîneur a pourtant reçu Stéphane dans son bureau pour lui expliquer en tête à tête qu'il avait plus que jamais besoin de lui car l'équipe n'avait que deux ou trois joueurs de haut niveau, dont lui. Cet entraîneur a commencé une entreprise de démolition et je crains qu'après avoir eu des problèmes avec tout le monde, il en ait aussi avec ses présidents car je n'imagine pas Bernard Caîazzo et Roland Romeyer continuer à le laisser faire encore longtemps."
Crédit photo : But !
Ruffier écarté !
21/02 15:59
Selon les informations de Mohamed Bouhafsi, Claude Puel aurait décidé de se passer des services de Stéphane Ruffier pour la réception du stade de Reims dimanche.
Apparemment, ce sont les récentes mauvaises performances de Ruff' qui ont conduit le coach stéphanois à le "sanctionner" pour cette seule rencontre.
C'est Jessy Moulin qui devrait donc garder les buts stéphanois contre les Rémois.
Dieu retrouvera les siens
21/02 13:19
Ce midi en conférence de presse, Claude Puel a confirmé, sans donner de durée d'indisponibilité, que la blessure de Dieu n'était pas trop grave. Il a par ailleurs confirmé les absences prévisibles :
"Loïc Perrin n'est pas disponible pour ce match. Il a glissé et s'est blessé à un muscle de la hanche. Il s'est étiré l'ischio de la jambe opposée. On a eu peur mais ce n'est pas le genou.
Zaydou Youssouf a été opéré hier du genou. Ça s'est bien passé. Nordin, Khazri, Hamouma sont indisponibles aussi, ainsi que Fofana suspendu."
Il a par ailleurs salué le retour en forme de l'un de ses derniers attaquants valides, Loïs Diony :
"On retrouve un Diony de bon niveau. Je le trouve juste techniquement. Il a été bon à Montpellier et récompensé à Brest.
C'est quelqu'un de sensible qui a vécu des choses difficiles. Il a besoin de gagner plus en dureté."
Une pelouse moyenne
21/02 07:24

Ce n'est plus un potager mais pas encore un billard : le gazon du Chaudron est le 10e de l'élite au championnat des pelouses dont le classement a été actualisé hier par le site de la Ligue qu'on adule. Sans surprise, le Parc est en tête devant le Cochonou Stadium, le Roazhon Park étant lanterne rouge.
Laurey à l'heure du digeo
21/02 07:16

L'ASSE recevra le RC Strasbourg le dimanche 22 mars à 15h00 dans le cadre de la 30e journée de L1. Classés à la 7e place, les hommes de Thierry Laurey comptent actuellement 9 points d'avance sur les Verts.
Woodgate encense Moukoudi (2)
20/02 22:55

Malgré son spectaculaire but contre son camp face à Wigan et sa nouvelle défaite concédée à domicile samedi dernier contre l'avant-dernier (Luton Town), Harold Moukoudi, toujours 18e de Championship (L2) avec Middlesbrough, garde la confiance de son entraîneur.
"C'est un jeune garçon doté de beaucoup de capacités, il a un énorme potentiel. Je n'ai pas changé d'opinion à son sujet, il peut jouer en Premier League. Quelqu'un tentera de mettre la main sur lui pour la saison prochaine, des gens vont essayer de l'acheter cet été" déclare Jonathan Woodgate dans la dernière édition du Hartlepool Mail.
Pour rappel, l'international camerounais est actuellement sous contrat avec l'ASSE jusqu'en juin 2023.
Söderlund en Suède
20/02 20:43
Alexander Söderlund, qui a claqué 13 pions toutes compétitions confondues en 43 matches disputés avec Rosenborg en 2019, s'est officiellement engagé aujourd'hui pour deux ans avec le BK Häcken, qui a terminé à la 6e place du dernier championnat suédois.
Zaydou Yous'souffre et nous avec (3)
20/02 20:20

Comme le rapporte France Football, Zaydou Youssouf a été opéré jeudi en banlieue d'une rupture du ligament croisé postérieur du genou gauche. L'intervention a été effectuée par le docteur Bertrand Sonnery-Cottet, qui avait opéré il y a quatre mois Kévin Monnet-Paquet.
Dieu merci, ce n'est pas trop grave ?
20/02 18:50

Touché à l'entraînement ce jeudi, Loïc Perrin ne souffre que d'une petite lésion musculaire sans gravité selon RMC. La radio évoque une première IRM rassurante et précise que le numéro 24 des Verts a pu remarcher quelques minutes après son évacuation. Mais il risque d'être indisponible pour disputer un derby en banlieue dont seront privés le 1er mars prochain les supporters stéphanois, le préfet du Rhône ayant sans suprise pondu un nouvel arrêté d'interdiction.
Dieu que c'est triste
20/02 13:56

A la fin de l'entraînement ce matin, lors de l'opposition, Loïc Perrin s'est écroulé, victime d'une grave blessure.
Les différentes sources ne s'accordent pas encore sur la nature de sa blessure. La Pravda évoque le genou, Didier Bigard la hanche.
On sait juste qu'il a quitté le terrain sur une voiturette, et on sera certainement unanimes sur la tristesse que cette nouvelle fait naître. Dieu est en fin de contrat en juin. Et parmi les nombreuses idées noires du moment concernant les Verts, difficile de ne pas être traversé par celle d'une éventuelle fin de carrière de notre capitaine.
Crédit photo : Reuters
Anfield, des frissons (6)
20/02 08:53
Sur le site Liverpool, le journaliste anglais Oliver Connolly fait allusion à notre Chaudron en parlant d'Anfield.
"Tout au long de ma carrière, je me suis moqué de l'idée que c'était un avantage de jouer à domicile. Quelle différence font quelques décibles ? La plupart des enceintes sont bruyantes, les joueurs sont des professionnels. Cependant, je laisse toujours vaciller ma position quand il s'agit d'Anfield lors d'une soirée européenne. Il y a quelque chose de mystique, de spécial. Comme à Saint-Étienne, à l'Olympiakos et à Barcelone. De toute évidence, cette équipe de Liverpool a acquis l'héritage, le sentiment que les matches européens à domicile sont plus un événement spirituel qu'un match de football. Après la défaite contre l'Atlético Madrid mardi soir en 8e de finale aller de Ligue des Champions, les uns après les autres ont évoqué l'héritage d'Anfield. "Bienvenue à Anfield", a déclaré Jürgen Klopp en regardant l'objectif des caméras de télévision après le match, souriant en partie, bouillonnant en partie. "Ce n'est pas encore fini." Liverpool se sert encore d'Anfield comme d'une arme. Ce n'est pas un fantasme de supporters ou une invention marketing, c'est un véritable sentiment au sein même de l'équipe."
Bafé a sonné l'Al Ahli
20/02 07:54
Alors que son équipe était menée 1-0 à Dubai par Al Ahli (Emirats Arabes Unis), Bafé Gomis a réalisé un doublé victorieux pour Al Hilal (Arabie Saoudite) il y a trois jours en AFC Champions League. Après avoir égalisé de la tête, l'ancien attaquant stéphanois a réussi une imparable reprise de volée du gauche.
Crédit photo : AFP
Thuilot ne panique pas
20/02 07:32
Directeur Général d'une ASSE qu'il présente comme "une grosse société avec un budget de 100 millions d'euros et 300 fiches de paie", Xavier Thuilot s'est longuement confié au Progrès. Extraits.
"Avec Claude, on a une lucidité due à notre expérience qui fait qu’il n’y a pas de panique mais qu’il y a quand même une vigilance à avoir. 16e, ce n'est pas forcément la place à laquelle on s'attend. Dans ces moments-là, on a besoin d’être très proche du sportif, de montrer de l’empathie, de la bienveillance pour ne pas ajouter de la pression à la pression. Individuellement, les joueurs n’ont pas intérêt à être dans une équipe qui perd et collectivement, c’est pareil. Je ne suis pas inquiet sur leur engagement.
Si vous voulez avoir un projet global incluant la formation, faire jouer les jeunes quand vous avez 30 professionnels, c’est compliqué. Les anciens peuvent mal le prendre. Alors que si vous êtes 23 ou 24, il y a forcément dans la saison des moments où il y aura de la place. Vous créez un appel d’air, une dynamique. Cet été, Claude définira ses objectifs et on travaillera ensemble. L'idée n'est pas de se faire plaisir, de recruter un copain. Ce qui compte, c'est l'objectivité de la performance.
On attache beaucoup d’importance avec Claude à ce que les talents de la région jouent chez nous. C'est la base, même si le bassin est concurrentiel. L’excellence de la formation va avec. Si vous recrutez des bons éléments et que vous ne savez pas les former, ça ne sert à rien. On doit avoir une articulation jusqu’aux professionnels. Bien recruter, bien former et laisser de la place chez les pros. Sinon, vous formez pour rien et vous ne développez pas votre identité."
Sans Vagner Nancy s'enterre
19/02 22:07
Sous contrat avec l'ASSE jusqu'en 2022, prêté sans option à l'ASNL et indisponible depuis deux mois et demi après s'être luxé la cheville et fracturé le péroné contre le Paris FC, Vagner reste le meilleur buteur de son équipe (7 pions) à laquelle il manque cruellement, comme l'atteste une infographie publiée ce soir par L'Est Républicain.
Larsonneur à l'honneur
19/02 19:19

Ayant fêté par une victoire son 100e match en pro dimanche dernier aux dépens de Sainté, le gardien brestois Gautier Larsonneur se livre dans la dernière édition du Télégramme.
"J’ai besoin de prouver tous les week-ends que je suis le numéro 1 ! Un gardien qui fait trois mauvais matchs de rang, il saute ! Moi, tous les week-ends, je dois montrer que je ne suis pas là par hasard. Quand on fait référence à ma taille (1,81m), ça m'irrite. J'ai encore fermé les bouches à la 92e ce week-end contre Saint-Etienne en allant chercher un ballon aérien ! Si on regarde les statistiques des sorties aériennes, je crois que je suis dans le top 5 de L1.
Cela montre que ce n’est pas une question de taille. Je sais très bien que si j’avais fait 1m72, je n’aurais pas été gardien. Jérémie Janot devait faire 1m75, mais il avait des qualités exceptionnelles, un caractère au-dessus du lot. Depuis tout petit, je dois fermer des bouches ! Mais je m’en sers, je me mets dans un état second, de haine (même si je ne suis pas haineux) pour rebondir, pour prouver.
Quand je vais au contact avec Bouanga après le penalty, on peut dire que c’est une pulsion maîtrisée. Bouanga n’a pas à faire ça. Le ballon m’appartient, et l’arbitre le sait, je ne craignais rien ! Je passe un message à travers ce geste : c’est moi le patron, et toi tu vas te replacer, tu perds ! C’est "ma cage" et c’est "mon ballon". Indirectement, ça secoue peut-être l’équipe. On commençait à se faire remuer, mais on ne va pas baisser les bras."
Sahraoui en repérage
19/02 18:45
Leaders de leur championnat avec deux points d'avance sur les vilains, les U15 ont concédé mercredi dernier à L'Etrat un nul 2-2 face aux 2005 du Pôle Espoirs d'Aix-en-Provence, emmenés par le futur stéphanois Djibril Sarhaoui.
Pour rappel, ce très prometteur milieu de terrain convoité à l'époque par de nombreux autres clubs professionnels dont Monaco, Nice, l'OM, Montpellier et les banlieusards a signé un accord de non sollicitation avec les Verts en mars 2017.
L'expérimenté scout qui l'avait repéré, Rafik Allaf, avait déjà fait venir les Mahdi Camara, Wesley Fofana et autres Bilal Benkhedim. Mais il ne travaille plus pour l'ASSE cette saison, le club l'ayant contraint au départ.
Deuxièmes de leur poule à deux points des vilains leaders, les U14 de l'ASSE ont quant à eux perdu 6-2 face aux 2006 du même Pôle Espoirs.
Comme un éclair dans la grisaille
19/02 15:27
Pour la reprise de l'entraînement ce matin, Romain Hamouma et Wahbi Khazri ont trottiné en compagnie de Kevin Monnet Paquet.
Ce n'était que quelques petites foulées, pas de quoi s'emballer, mais alors que de gros matchs s'annoncent d'ici quinze jours, on se prend à rêver, au moins pour les deux premiers, que cela pourrait signifier un possible retour prochain sur les terrains.
Toujours pas de trace d'Arnaud Nordin en revanche, ni d'information sur l'opération qu'a dû subir Zaydou Youssouf.
Il n'a pas molli, Mellot ! (2)
19/02 08:19

Convaincant cette saison en L2 avec Guingamp, l'ancien réserviste stéphanois Jérémy Mellot (25 ans) s'est confié à Ouest-France. Extraits.
"Je suis un chien de talus. C’est le petit surnom que l’on m’a donné à Rodez. Ça veut dire que je ne lâche jamais. Un chien de talus, tant qu’il n’a pas son bout d’os, il continue. A la fin de mon contrat à l’AS Saint-Etiennee en 2016, je me suis retrouvé au chômage. C’était une période difficile, c’était la première fois que je connaissais ça. J’ai été très entouré. Heureusement que je suis parti à Rodez. C’est vraiment un club qui me tient à cœur. J’ai été récompensé de tout le travail effectué. J’arrive de loin, c’est ça qui est bien dans mon parcours. Mon objectif est le même depuis le début : pouvoir accrocher la montée en Ligue 1. On a pris du retard mais on va aller la chercher, match après match."
Remonté à la 7e place, l'EAG compte actuellement 6 points de retard sur le 5e et dernier barragiste, l'Estac de Laurent Batlles et Dylan Chambost.
Luis attaque Nanard et Roro
19/02 07:53
Comme le rapporte FootRadio, Luis Fernandez a taclé son ancien ami Nanard et Roro sur beIN Sports.
"Voir ce club dans cette situation, c’est dur. L’ASSE a 10 titres de champion de France. Le club devrait être en haut du classement donc quand ils ne le sont pas, c’est qu’il y a des problèmes. Il y a deux présidents qui commentent chacun de leur côté. C’est très mal dirigé dans le secteur sportif aussi. On fait venir un nouvel entraîneur et un nouveau directeur sportif qui est aussi un agent de joueur. Ce n’est pas bon pour l’ambiance. Saint-Etienne ne mérite pas cela. Il y a un président qui dirige à l’intérieur du club et un à l’extérieur. Cela ne peut pas fonctionner. Le fonctionnement est mauvais. Il faut qu’ils se remettent en cause. S’ils ne veulent pas le faire, il faut mettre un stop. Je veux des supporters stéphanois heureux. Si les présidents veulent faire ce qu’ils veulent, et bien qu’ils s’en aillent. Il y aura d’autres personnes qui prendront le club et qui feront sans doute mieux."
Bahebeck marque un p'tit but à Tilbourg
19/02 07:44
Auteur de son 5e pion de la saison (son 3e en Eredivisie), Jean-Christophe Bahebeck a ouvert le score pour Utrecht il y a trois jours à Tilbourg dès la 4e minute de jeu lors de la 23e journée du championnat néerlandais. Mais Willem II, que les Verts avaient écrasé 5-2 en amical le 30 juillet 2014, a égalisé dans le temps additionnel, 25 minutes après la sortie de l'ancien flop offensif stéphanois (3 pions en 23 matches sous le maillot vert lors de la saison 2015-2016).
Les Verts ne sont pas tirés d'affaire
19/02 07:28

Dans la dernière édition du Progrès, l'ancien gardien stéphanois Jérôme Alonzo évoque la lutte pour le maintien.
"Je me souviens de la descente de Monaco en 2011 avec une très bonne équipe qui, en termes de qualité, ressemblait à celle de l’ASSE. C’est ce qui m’inquiète. Mais il n’est pas trop tard pour les Verts. Il faut qu’ils se disent qu’ils ne sont pas tirés d’affaire et que ça va être très dur. Le match contre Reims est un premier vrai tournant.
Il faut se mettre dans la peau de l’équipe qui joue sa vie et non plus dans la peau de celle qui joue l’Europe. À l’époque, quand on a failli descendre en National, on avait les joueurs capables de se mettre en mode guerrier, de se battre comme des chiens. Sauver sa peau, c’est un état d’esprit. Tu l’as ou tu ne l’as pas.
La qualité d’un bon pro, c’est de savoir tourner l’interrupteur de l’autre côté. Passer du côté sombre, c’est une force aussi. Ce groupe est composé de bons mecs, on me l’a dit, je le sais. Ils sont intelligents. Donc, ils savent qu’il va falloir salir le short. Être un bon footballeur ne suffira pas."
Wantier débarqué (2)
19/02 07:10

La Pravda détaille aujourd'hui l'info qu'elle a révélée hier sur son site. Extraits.
"L'ASSE a décidé d'écater David Wantier de son poste de directeur de la cellule de recrutement. Il devrait rapidement recevoir sa lettre de mise à pied, avec effet immédiat, avant de voir le club entamer une procédure de licenciement. Dans le respect des lois en vigueur en matière du droit du travail, elle passera par un entretien préalable entre les deux parties.
Le club n'a pas officialisé son licenciement dès mardi. Entré au service du club en avril 2015 comme simple consultant extérieur, Wantier dispose d'un contrat à durée indéterminée depuis octobre 2017. À moins de lui trouver une faute grave, s'en séparer risque dès lors d'être coûteux. Mais cela constitue le prix à payer pour exaucer le voeu présidentiel de procéder à une profonde purge au sein du club.
Claude Puel ne s'entend pas avec David Wantier et préfère travailler avec une personne qu'il a connue par le passé. Or le duo Puel-Thuilot n'aurait pas encore déniché le successeur de Wantier. Alors que le nom de Jean-Luc Buisine a bruissé, celui de Gérard Bonneau arriverait en pôle. L'homme fort du Servette Genève ne semblerait pas très enthousiaste à l'idée de rejoindre le marasme dans lequel les Verts se retrouvent plongés."
Crédit photo : L'Equipe
Toto mouille le maillot
18/02 23:27

Ancien capitaine des U19 stéphanois et actuel capitaine de Bochum (L2 allemande), le sympathique milieu de terrain Anthony Losilla (33 ans) s'est confié dans la dernière édition du quotidien Ouest-France. Extraits.
"L'Allemagne est un pays avec beaucoup d’engouement, où les stades sont pleins. Le premier club où j’ai évolué, il y avait 30 000 spectateurs par week-end, à Bochum c’est autour de 18 000. Le foot français souffre, je vois les stades qui sont vides. Ici, les gens préfèrent aller au stade que rester devant la télé. Le football est plus ouvert, plus offensif qu’en France. Même les petits clubs essaient d’aller de l’avant, de marquer. En France, c’est plus fermé et tactique.
L'Allemagne, c’est le meilleur choix de ma carrière. On peut comparer Bochum à Lens ou Sochaux. Avant la descente en D2, c'était une référence en Allemagne. C’est ma 6e saison là-bas. Je suis devenu quelqu’un d’important dans le club et en tant qu’étranger, c’est toujours gratifiant. Je fais de bonnes saisons et j’ai une mentalité qui se rapproche beaucoup de la Ruhr, région ouvrière. Les gens m’apprécient aussi pour ça. J’ai une image de travailleur, qui mouille le maillot.
Le temps n’est pas top, souvent gris, pluvieux. Ça nous manque le temps du sud de la France d’où ma femme est originaire. Les gens sont très ouverts, mes enfants sont scolarisés ici, ma femme fait des efforts pour parler au mieux la langue. Je me reconnais dans cette région, une région minière comme à Saint-Étienne d’où je viens. J’ai fait le choix de la stabilité, même si j’ai eu l’occasion de revenir en France, dans des clubs huppés de Ligue 2."