Le beau geste de Trauco

15/04 14:45
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Comme l'a rapporté la nuit dernière le journaliste Jean-Pierre Maravi sur son compte twitter, Miguel Trauco a offert 100 paniers garnis qui seront distribués aux plus nécessiteux de ses compatriotes avec l'aide de la police nationale du Pérou.

Dyon dit attention à la préparation !

15/04 14:15
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Ancien préparateur physique des Verts (à l'époque de Frédéric Antonetti), Nicolas Dyon souligne aujourd'hui dans Ouest-France l'importance de la préparation qui précèdera la probable reprise de la L1. Extraits.

"Le contexte est vraiment très différent du trêve estivale, il est psycho-physique. Pour un joueur, être éloigné de ses coéquipiers, perdre ses repères sur une période aussi longue… c’est assez perturbant mentalement. Ils n’ont pas l’habitude de ça. Au début du confinement, c’est sympa parce que l’on continue à faire un peu d’activité, mais sur la durée, s’entretenir c’est un peu plus délicat. Et il y a un aspect que l’on ne maîtrise pas, c’est l’aspect mental de ce confinement. Ça tape sur le système, et ça peut avoir un impact direct sur le physiologique. C’est important de rappeler que c’est le cerveau qui décide de tout.

Les clubs ont livré aux joueurs du matériel à domicile. Des vélos sur home-trainer, des rameurs… soit des outils très intéressants pour faire du cardio, mais aussi des élastiques, des haltères qui sont très bien pour faire du renforcement musculaire. J’en connais certains qui m’ont dit qu’ils avaient, pendant cette période, plus travaillé physiquement qu’avant. La seule chose qui peut-être inquiétante, ce sont les types d’effort en termes de dimension, de durée… Tous les efforts tenant à l’explosivité… ça, à moins d’avoir un grand jardin, c’est impossible à travailler. Et ça peut s’avérer dommageable car ces muscles-là, les ischio jambiers et les fessiers, lors de la reprise, n’auront pas été sollicités pendant un moment.

Les joueurs auront quatre à cinq semaines de phase de reprise qui permettront aux préparateurs physiques des clubs de les re-solliciter. Le danger est là. Cela peut entraîner des blessures à moyen terme qui ne se remettent pas comme ça en 5 jours. il va falloir être prudent sur la sollicitation de ces muscles explosifs, qui sont aussi les plus sollicités dans les matchs. D’autant que l’explosivité et la vitesse sont les deux qualités qui font la différence en compétition. J’appelle ça les situations d’urgence, offensives et défensives. Un autre critère ennuyeux dans ce contexte de reprise, c’est la chaleur qu’il fera peut-être en juin et en juillet.

Les entraîneurs vont-ils pouvoir remettre en place leur jeu de pressing ? Parce que ce style de jeu demande beaucoup d’efforts. Je me dis que l’aspect tactique va être encore plus important que d’habitude. Et, au final, est-ce que cette situation ne sera pas davantage aux équipes qui jouent bien au ballon, qui développent un jeu de possession ? La situation actuelle va bénéficier aux joueurs qui étaient sous le coup d’une longue blessure. Ils devraient revenir même avec un mental encore plus positif, en espérant à nouveau être décisif pour leur équipe."

On compte sur Zaydou Youssouf pour assurer le maintien et sur Kévin Monnet-Paquet pour inscrire le but victorieux en finale de Coupe de France !

Oscar au secours de son hosto

15/04 13:13
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Ancien entraîneur de l'ASSE (17e de Ligue 1) et actuel coach du Celta Vigo (17e de Liga), Oscar Garcia a fait un don à l'hôpital de sa ville natale Sabadell (province de Barcelone). Sur son compte twitter, il a invité la semaine dernière tout le monde à aider les soignants dans leur lutte contre le Covid 19.

 

Puel s'est appuyé sur Recordier

15/04 09:34
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Comme le souligne la dernière édition de Nice-Matin, l'actuel entraîneur des Verts s'est appuyé sur l'ancien milieu de terrain de l'ASSE Serge Recordier pour réussir ses recrutements chez les Aiglons.

"Acheté 800 000 euros, vendu 12 M€, Jean-Michaël Seri incarne parfaitement le savoir-faire de l'OGC Nice de Claude Puel sur le mercato. Il fallait aller le chercher ce joueur à Paços de Ferreira en 2015. Serge Recordier s'est déplacé pour le voir lors d'un match à Porto. Lille et Monaco sont arrivés trop tard sur ce dossier.

De bonnes affaires, le Gym a aussi pris l'habitude d'en faire en L2. Claude Puel s'appuie particulièrement sur l'antichambre de l'élite française pour recruter sans grands moyens durant son mandat de quatre ans. Le coach s'appuie sur l'expertise de Serge Recordier, avec qui il a partagé huit ans à l'AS Monaco dans les années 80.

Alassane Plea (2014, prêté à Auxerre par l'OL), Maxime Le Marchand (2015, Le Havre), Rémi Walter (2016, Nancy), Arnaud Souquet (2016, Dijon) Arnaud Lusamba (2016, Nancy), Adrien Tameze (2017, Valenciennes) n'avaient jamais joué en Ligue 1. Ils ont disputé la Ligue Europa, voire un barrage de Ligue des Champions, sous le maillot de l'OGC Nice. Christophe Hérelle, lui, était suivi depuis sa première saison en L2, lorsqu'il évoluait en 2015 à Créteil.

Sur chaque match supervisé, le recruteur du Gym doit établir un rapport sur chacun des joueurs pour Claude Puel. Un  travail minutieux, éprouvant. Le coach est à chaque bout de la chaîne dans ce fonctionnement. En amont, il donne ses critères par poste, les profils recherchés. Les recruteurs exposent leurs trouvailles, il tranche.

"C'est un combat parfois" avoue Serge Recordier. "Les entraîneurs voient davantage les défauts quand nous, on se fie à un potentiel. Il faut convaincre sur les aspects sportifs, débattre." Et effectuer parfois des ajustements. Plutôt sceptique au premier abord sur le dossier Plea, Claude Puel tirera la quintessence de l'ailier lyonnais en le replaçant en pointe.

"Ce n'est pas l'argent qui fait le succès du recrutement, c'est la qualité des hommes aux bons postes. Avec le bon entraîneur, qui crée l'osmose" appuie l'agent de Seri. "La chance qu'on a eue, c'est que Nice jouait au football. Puel voulait du jeu, Mika était à l'aise. Il n'aurait pas eu la même trajectoire partout."

 

Ce Janot, quel talon !

15/04 08:44
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Il y a trois jours, Jérémie Janot est revenu pour Football Total sur sa passe décisive à la Beaujoire qui avait permis aux Verts d'arracher le nul dans le temps additionnel le 11 novembre 2006.

"En fait, heureusement que ça marche parce que j'ai Ivan Hasek qui m'interdit de monter. Moi je fais semblant de ne pas le regarder. Je me dis "j'espère qu'il va se passer quelque chose et qu'on ne va pas en prendre un troisième, sinon je suis mort !". Il y a un petit cafouillage, je fais une talonnade. Moi je pense avoir perdu le ballon mais il y a Vincent Hognon qui surgit et qui marque. Après dans les interviews je disais "ouais, ouais, je l'ai fait exprès", bien sûr, mais j'avais la goutte qui tombait."

Des joueurs ont peur de reprendre

15/04 00:16
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Ancien défenseur des Verts et actuel vice-président de l'UNFP, Sylvain Kastendeuch se confie dans la Pravda de ce mercredi.

"Nous recevons chaque jour des témoignages qui traduisent l'inquiétude voire la peur des joueurs. Ils voient dans la presse que des scénarios de reprise se profilent et ils sont très inquiets pour eux et pour leurs familles. Ce mardi matin, l'un d'eux, très énervé, m'a dit qu'il avait peur qu'on les prenne pour des cobayes et qu'on prenne des risques inconsidérés avec eux. Un autre m'a dit qu'il préférait sacrifier sa carrière que mettre en danger sa santé et celle de ses proches. Je les ai rassurés en leur disant que la santé était la priorité des instances dirigeantes. En tant que représentants des joueurs, nous sommes ouverts à tout, mais c'est clair que nous serons intraitables et très exigeants concernant leur sécurité et leur santé."

Nous on joue au football et on n'a pas de frontières

14/04 23:36

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Arborant fièrement le logo de l'ASSE sur son sweat et sur la fourgonnette qu'il conduit pour aller bosser en Allemagne, le jeune et sympathique président de la section des associés supporters "Moselle au coeur vert" Guillaume Tritz (26 ans) est passé au 20 heures de TF1 ce mardi soir dans un reportage sur les frontaliers diffusé à la 18e minute du journal.

A l'instar de sa cousine Marie et de son père Jérôme, il avait déjà été mis à l'honneur le juin 2018 dans Le Républicain Lorrain. "Quand j'ai eu mon permis à 18 ans, mon premier souhait était d'aller au stade Geoffroy-Guichard. On l'a fait. L'ambiance est exceptionnelle ! Heining-lès-Bouzonville - Sainté, ça fait 1 110 km aller-retour. En moyenne on faisait sept déplacements dans l'année, maintenant qu'on est abonnés on en fera plus" déclarait à l'époque cet amateur de pêche.

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Bouanga redoute les huis clos

14/04 20:38
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Meilleur buteur des Verts cette saison (12 pions en 35 matches), Denis Bouanga redoute de devoir reprendre la compétition sans public, comme l'atteste le tweet qu'il a publié ce soir.

Plein en virtuel, vide en réel ? (2)

14/04 19:20
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Alors que la finale de Coupe de France risque fort de se jouer à huis clos, la finale virtuelle de l'ASSE contre le Covid-19 a fait déborder le Stade de France ! Le club a en effet annoncé en ce début de soirée avoir récolté plus de 88 000 euros.

A jamais les premiers

14/04 17:59
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Dans une longue et intéressante interview accordée au potonaute SP42 et publiée sur le très bon site Soccer Populaire, Jean-Marie Lanoë rappelle que l'ASSE est le premier club français à avoir un musée et affirme que c'est le seul. Comme tout le monde et nul ne l'en blâmera, le Grand Reporter à France Football a oublié que les vilains ont également le leur ! On est (soccer) populaire ou on ne l'est pas...

"Le foot n’est pas culturel en France contrairement à l’Angleterre, l’Espagne, l’Italie ou l’Allemagne. En France, le foot est comparable au théâtre, les gens viennent au stade pour voir du beau jeu, mais ne sont pas tant supporter que ça, sauf traditionnellement à Marseille, Lens, à Sainté ou Paris.

Mais il n’y a aucune culture, aucun souvenir. Le passé en France n’a aucune importance et il n’y a qu’un seul musée dédié au foot, à Saint-Etienne. Basile Boli est en train de mettre ça en place à Marseille. Denis Law, Ballon d’Or 1967, quand il se baladait dans les rues en Angleterre, il provoquait un attroupement. En France, Raymond Kopa se baladait dans les années 80 en toute tranquillité.

La France est un peuple et un pays trop cérébral, avec un mauvais rapport au corps. Il n’y a pas de club d’importance culturelle qui ait l’équivalent du Barca, du Real ou du Bayern. Les clubs anglais, je n’en parle même pas. C’est quand même incroyable qu’il y ait autant de clubs londoniens et qu’à Paris tu n’en aies qu’un. C’est la preuve par A+B du manque d’intérêt quelque part pour le football."

Des Aiglons se sont envolés grâce à Puel

14/04 17:16
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L'actuel entraîneur des Verts a contribué à l'envol de nombreux Aiglons lors de son passage au Gym (2012-2016), comme l'a rappelé hier Nice-Matin. Extraits.

"Il est plusieurs fois venu voir jouer les U15, les U17, les U19 avant de s'engager" raconte Alain Wathelet, directeur de la préformation à l'époque. "Il appréciait la qualité de jeu, la volonté de repartir de l'arrière". "Il manquait des étages à le fusée" image Puel. Malgré les contats non renouvelés (Sablé, Clerc, Hellebuyck) et les ventes (Mounier à Montpellier), le club est soumis à l'interdiction de recruter à titre onéreux. Puel mise sur des profils techniques libres (Kolodziejczak, Bauthéac) ou prêtés (Eysseric). Pas sur des recrues aguerries aux joutes du maintien. "D'abord parce que vous n'êtes pas sûr de vous maintenir. Et ensuite parce que vous êtes sûr en revanche de ne pas pouvoir faire progresser le club" insiste l'actuel coach des Verts, huit ans plus tard. "Il a remis la maîtrise technique au coeur des séances d'entraînement" rend hommage Alexandre Dellal, le préparateur physique.

Des entraîneurs auraient voulu un nom en attaque pour se rassurer, pas Claude" observe Serge Recordier, alors responsable de la cellule de recrutement. "Il a choisi Cvitanich en visionnant quelques images sous le maillot de Pachuca. Pour sa gestuelle, sa technique des deux pieds. "Visionnaire" selon son ancien adjoint Mengual, "Claude n'est jamais affecté par la blessure d'un titulaire. Il ne cogite pas, mettre un jeune c'est normal." Il ne subit pas, ne réfléchit jamais en fonction du résultat" insiste Julien Fournier. L'été 2015, Jordan Amavi est transféré pour 12 M€ à Aston Villa. "Un ancien attaquant qui n'était même pas titulaire lors du parcours en Gambardella" rappel Alain Wathelet. "Claude participait à toutes les réunions du centre, il connaissait les gamins. Il avait appelé Manu Pirès, le directeur du centre, pour lui proposer de le replacer en latéral gauche."

"Claude m'a fait suivre pendant un mois et demi tous les entraînements des jeunes, des U17 à la N2" détaille Serge Recordier. "Il voulait un rapport sur chaque joueur. Il nous a fait avancer quand on voit le nombre de joueurs formés chez nous qui évoluent aujourd'hui ailleurs. Tout ça n'existait pas à l'OGC Nice." "J'ai lancé 22 jeunes joueurs à l'OGC Nice, seulement deux ont posé problème. Parce qu'il y avait filiation, on parlera toujours de pistonnés. Les autres ont pu progressers ans épée de Damoclès au-dessus de la tête." L'été 2015, le coach a ajouté Vincent Koziello dans son collectif. "Il avait repéré son intelligence, sa faculté à couvrir les deux surfaces" se souvient Wathelet. "Dans un 4-4-2 en losange magnifique, Claude a parfaitement su gérer et utiliser le talent de Ben Arfa" ajoute Guy Mengual.

Peu importe si Jean-Michaël Seri s'affirme en pure révélation dès sa première saison, son coach le recadre devant tout le groupe lorsqu'il évoque son rêve d'évoluer un jour au Barça dans un entretien à L'Equipe. "Il a maintenu son groupe sous pression toute la saison, veillé à ce qu'aucun joueur ne sorte du cadre" avance Franklin Mala, l'agent du milieu ivoirien. "C'est ce qui a permis l'adaptation rapide de Mika et l'épanouissement de tout le collectif."

Khazri ne lâche pas l'affaire pour Cahuzac

14/04 14:35
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Yannick Cahuzac met l'actuel numéro 10 des Verts dans son "onze parfait" concocté pour France Football. "Quelqu'un qui sort du Sporting club de Bastia. Un joueur qui a fait étape par étape. Il a encore de belles années devant lui. C'est un bosseur, un joueur de talent" explique le miloeu de terrain lensois.

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Subotic romantique

14/04 11:29
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Auteur d'une saison très correcte (19 matches, 1 pion) avec le promu Union Berlin (actuellement 11e de Bundesliga), l'ancien défenseur stéphanois Neven Subotic s'est confié la semaine dernière à la chaîne Deutsche Welle. Extraits.

"Malgré la grave crise sanitaire, sociale et économique que nous traversons tous, je suis dans une situation de luxe. Je ne fais pas partie des groupes à risques, je n'ai pas à m'inquiéter des pertes économiques et heureusement j'ai un réfrigérateur plein. J'ai conscience que c'est un luxe parce que ce n'est pas le cas pour des millions de personnes en Allemagne.

Je commence mes journées par du fitness, si je ne bougeais pas il me manquerait quelque chose. Après je m'occupe de ma fondation. Nous avons dû nous adapter à la situation et développer des plans pour les collaborateurs. De plus, nous sommes bien sûr en contact étroit avec nos partenaires en Éthiopie. Il y a actuellement une trentaine de cas officiels de Covid-19 qui ont été confirmés. En conséquence, mes journées sont principalement axées sur du travail sans rapport avec le sport.

Les huis clos ? En tant que footballeur, je suis fondamentalement très motivé et compétiteur, je veux gagner les matchs. Voilà pourquoi je joue au football. Mais je pense que nous verrons très rapidement que le football vit principalement des supporters. Ce qui rend le football spécial, c'est la culture des supporters. Leur regrettable absence aura un impact sur le jeu.

Les clubs sont des entreprises et poursuivent principalement des objectifs financiers. Tout le système est basé là-dessus, je n'en suis pas fan. Je suis un romantique. Il y a tellement d'argent dans le football, beaucoup de gens en profitent. Des mesures vont être prises suite à la crise sanitaire mais ce qui m'inquiète, c'est qu'on reviendra ensuite à la situation où on vendra des joueurs pour des centaines de millions. Le foot est tellement lucratif...

La situation actuelle doit nous encourager à faire preuve de davantage de solidarité. Si un joueur ne voit que son intérêt, refuse toute baisse de salaire et veut toucher le maximum, ce n'est pas solidaire. S'il va voir son employeur et accepte de renoncer à une partie de son salaire, c'est solidaire. Mais les clubs doivent également faire des efforts et être solidaires, ne pas regarder que leurs propres intérêts."

Genghini, plus Bleu que Vert

14/04 09:55
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Ancien milieu de terrain des Bleus, Bernard Genghini évoque sans s'attarder son unique saison sous le maillot vert (10 pions en 41 matches en 1982-1983) dans la dernière édition de Nice-Matin. Extraits.

"La disparition de Michel Hidalgo m'a bien sûr beaucoup affecté. Il était un peu précurseur, il aimait le football offensif. Il aimait les beaux joueurs, la technique. Il aimait voir du jeu, c'était son plaisir... et le nôtre aussi ! J'ai connu une belle et invraisemblable épopée avec Sochaux. Je me souviens notamment de notre exploit sous la neige contre l'Eintracht Francfort grâce à un doublé de Patrick Revelli. A Saint-Etienne ça ne s'est pas très bien passé mais j'ai retrouvé un football qui correspondait mieux à mes qualités en Principauté. J'étais entouré de gros joueurs et de jeunes comme Amoros, Bellone, Bravo, Puel..."

Youssouf roi du dribble

14/04 09:16
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Optus Sport a dévoilé aujourd'hui une stat surprenante : Zaydou Youssouf est le meilleur joueur de L1 au pourcentage de dribbles réussis cette saison (85,7%). Dans les cinq grands championnats européens, seul l'attaquant de Sheffield United Billy Sharp fait mieux (86,7%) !

Platoche était dans son (KB) jardin

14/04 08:55
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Ce mercredi soir à 20h30, la Pravda rediffusera sur sa chaîne (canal 21 de la TNT) le France-Yougoslavie du 19 juin 1984. L'occasion de revoir le magnifique triplé victorieux que Michel Platini avait réalisé ce soir-là pour fêter son retour à Geoffroy-Guichard.

Trauco trop cancre

14/04 08:29
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Selon la dernière édition de France Football, Miguel Trauco fait partie des cancres de la L1 cette saison (4,35 de moyenne au classement des étoiles). Seuls six joueurs de l'élite sont moins bien notés par l'autoproclamée "bible du football" que le latéral péruvien : les Toulousains Steven Moreira (4), Efthymios Koulouris (4,05), Issiaga Sylla (4,14), le vilain Thiago Mendes (4,24), le Phocéen Valère Germain (4,29), le Grenat Stoppila Sunzu (4,31). On aura noté que Ryad Boudebouz (4,45) et Max Gradel (4,42) font également partie des 20 plus gros flops de la saison de L1 selon l'hebdomadaire.

Dugarry tacle les dirigeants stéphanois

14/04 07:59
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Comme le rapporte le site Girondins4ever, Christophe Dugarry a encore taclé les dirigeants stéphanois hier sur RMC.

"Je ne voulais pas que certains Présidents se servent de cette crise pour gommer leurs erreurs. C’est ce qui se passe avec le Président Eyraud. Si le championnat ne reprend pas, ce n’est pas la faute des joueurs. Ils doivent participer à l’effort, d’accord. Mais c’est la faute à ce virus, si le club a des difficultés, c’est la faute des Présidents qui ont donné des salaires trop importants à certains joueurs. Les joueurs peuvent baisser de 50% leur salaire s’ils veulent, par contre ce que je ne veux pas c’est que médiatiquement il ne faut pas faire un procès aux joueurs s’ils ne veulent pas le faire. Comme par hasard, les trois clubs qui marronnent le plus, c’est Bordeaux, Marseille, et Saint-Etienne. Comme par hasard. Et il y a des raisons pour lesquelles ils marronnent, c’est parce qu’ils ont tous mal travaillé, depuis plusieurs mois maintenant. Ils travaillent mal, et ils essayent de se refaire sur le dos des joueurs."

Curko a confiance en Roro et Nanard

14/04 01:10
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Exceptionnel il y a 44 ans pile-poil lors du match nul et vierge à Eindhoven synonyme de qualification pour la finale de Coupe d'Europe des Clubs Champions, Ivan Curkovic commente la situation de l'ASSE dans la dernière édition de la Pravda. Extraits.

"L'AS Saint-Étienne ne mérite pas ce classement. Après, c'est souvent comme cela, quand les résultats ne suivent pas. Certains problèmes surgissent entre les gens, notamment de communication, et tout se mélange. Or, dans une telle situation, il faut que chacun travaille dans son domaine, sans rentrer dans celui des autres. Il faut voir s'il existe une bonne entente au club, au niveau des dirigeants, des joueurs... Pareil dans l'administration. Saint-Étienne a la capacité de revenir sur le bon chemin. Mais si on le laisse comme ça, il n'y a pas de fin. Le club peut, va, exploser. J'ai déjà connu ça, il y a presque quarante ans. Le président, Roger Rocher, était un homme exceptionnel. Mais à un moment, il est devenu un peu faible dans ses décisions et il a laissé d'autres prendre le pouvoir. Saint-Étienne doit tirer les leçons de certains cafouillages de ces années.

La pyramide existe dans toutes les sociétés. Y compris dans un club de football. Et au sommet, il y a le président. L'homme le plus important, le numéro 1, c'est lui. Celui qui doit prendre les bonnes mesures pour stopper la dégringolade. J'ai confiance en Roland Romeyer. Je le respecte beaucoup et je lui adresse tous mes compliments pour son travail et son dévouement. Il a la capacité de redresser le club. Comme Bernard Caïazzo. Après, il n'intervient pas dans le domaine sportif. Le plus difficile, c'est pour l'entraîneur. C'est lui qui effectue les choix techniques. Ghislain Printant, je le connais peu. Il possédait une certaine expérience, mais il a rencontré un problème : il a eu beaucoup de blessés. Si un entraîneur n'est pas capable de rétablir une situation, il faut en changer. Il faut aussi que Saint-Étienne trouve le problème, en faisant une analyse juste.

Claude Puel a décidé de remplacer Stéphane Ruffier par Jessy Moulin. Cela m'a surpris, car je pensais que Ruffier était blessé. C'est un garçon qui a beaucoup de mérite. Je ne sais pas ce qui se cache derrière cette décision. Ruffier a-t-il abandonné ? A-t-il un problème avec l'entraîneur ? Moulin était-il plus méritant ? Il me semble qu'il s'agit d'un malentendu pas tout à fait lié au terrain. Ce que je vois, c'est que Moulin se montre très solide, également. Saint-Étienne, c'est mon club. Il reste dans mon coeur. Mais ne parlons pas de L2. Malgré cette dégringolade, il y a cette qualification pour la finale de la Coupe de France. C'est très positif. J'ai regardé la demi-finale contre Rennes. Les joueurs ont montré qu'ils peuvent faire mieux qu'en Championnat, où ça ne marche pas. Ils ont beaucoup donné pour la Coupe. Il faut que l'ambition redevienne saine et normale."

Finale(ment) fin juillet ?

14/04 00:51
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La Pravda de ce mardi évoque la programmation incertaine de la finale de Coupe de France qui opposera les Verts au QSG.

"La Ligue envisageait avant l'allocution présidentielle de la faire jouer le 11 juillet, mais en l'état elle se disputerait alors sans spectateur, Emmanuel Macron ayant déclaré que "les évènements avec du public nombreux ne pourront se tenir au moins avant-mi-juillet". Il est question de trouver une place pour la finale de Coupe de France dans la dernière quinzaine de juillet. Avec du public au Stade de France."

Comme nous l'avions indiqué le 3 avril dernier, la date du 18 juillet a été envisagée mais la dernière édition du quotidien sportif confirme que la Ligue Nationale de Rugby espère organiser la finale du Top 14 ce jour-là.

 

La réserve reléguée ?

13/04 23:53
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Comme l'avait annoncé Ouest-France hier et comme le confirme la Pravda ce soir, le comité exécutif de la FFF devrait entériner ce jeudi l'arrêt définitif de tous les championnats amateurs cette saison.

Comme la Fédé a écarté le 3 avril dernier l'idée de toute saison blanche, l'équipe réserve de l'ASSE, actuellement avant-dernière de son groupe de National 2, sera sauf miracle reléguée en National 3.

Que les instances prennent en compte le classement présent ou uniquement la phase aller, la bande à Razik Nedder est dans la charrette.

Hey, Iglesias !

13/04 21:06
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Le capitaine clermontois Jonathan Iglesias a évoqué les Verts au détour d'une intervew publiée aujourd'hui sur le site Balon Latino.

"Est-ce que j'ai déjà affronté des stars ? Pas vraiment des stars mais des joueurs connus, oui, contre Saint-Etienne. L'ambiance là-bas est géniale."

Pour rappel, le mileiu de terrain uruguayen n'a pas eu l'occasion d'affronter les Verts dans le Chaudron mais au stade du Viouzou d'Espaly-Saint-Marcel (Haute-Loire) le 13 juillet dernier en match de préparation (1-1).

 

La finale programmée le 11 juillet ?

13/04 17:04
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Sur son site, la Pravda a divulgué cet après-midi le calendrier que la LFP envisage d'adopter pour finir la saison.

"La LFP prévoit un redémarrage de la Ligue 1 le mercredi 17 juin, avec la 29e journée. Ensuite, les journées s'enchaîneraient tous les trois jours, à un rythme accéléré, pour une fin de saison fixée au samedi 25 juillet. Il resterait alors une semaine pour les barrages avec la L2 qui doivent offrir la dernière place en L1. La finale de la Coupe de la Ligue, entre le PSG et l'OL, est programmée le samedi 27 juin et celle de la Coupe de France, entre Paris et Saint-Étienne, le samedi 11 juillet."

Le quotidien sportif ajoute que la Ligue qu'on adule travaille sur un scénario moins plausible qui ferait redémarrer le championnat dès le 3 juin (la finale de Coupe de France resterait dans ce cas fixée au 11 juillet).

Bocanegra a adoré être détesté

13/04 14:58
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Dans l'émission Le Beau jeu diffusée aujourd'hui et à écouter ici, Carlos Bocanegra a évoqué sa verte saison (2010-2011).

"J'ai vécu une expérience extrordinaire à l'ASSE. Le Chaudron était incroyable. J'avais entendu dire que Saint-Etienne était une grande équipe avec de nombreux supporters dans tout le pays. Les Verts ont gagné plein de titres, Platini et beaucoup d'autres joueurs sont passés par là. Lors des matchs à domicile, le soutien des fans était incroyable. Partout où on se déplaçait, les supporters adverses nous détestaient. Que ce soit à Lyon, à Paris, à Marseille... Je trouvais ça plutôt cool, j'avais la sensation de jouer pour un grand club. J'ai joué avec Blaise Matuidi et Dimitri Payet, des joueurs de classe mondiale. Je garde des souvenirs très forts du derby."

Pour rappel, l'ancien défenseur américain des Verts était titulaire lors de l'inoubliable 100e derby de l'histoire et il avait ouvert le score au match retour.

Non à une reprise prématurée et à huis clos !

13/04 13:32
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Les Green Angels font partie des 45 groupes de supporters qui ont publié aujourd'hui un communiqué commun contre une reprise prématurée et à huis clos, dénonçant les dérives du foot business et incitant les instances à reverser aux clubs ou aux secteurs qui en ont besoin les 600 000 € d'amendes infligées cette saison pour usage de fumis.

La finale contre le PSG programmée ce samedi soir !

13/04 11:32
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Le QSG a annoncé aujourd'hui sur son site officiel qu'il rediffusera ce samedi à 21h00 la finale de Coupe de France du 15 mai 1982 sur ses comptes Youtube, Twitter et Facebook

El Gato fait du bateau

13/04 10:43
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Dans La Provence, Jean Castaneda (63 ans) a évoqué hier ses vertes années avant de parler de ses occupations de retraité. Extraits.

"J'ai joué 360 matches avec les Verts mais j'ai quitté l'ASSE pour l'OM en 1989 car j'étais en délicatesse avec l’entraîneur de l’époque. J’étais en fin de carrière, je ne savais pas trop quoi faire. Gérard Gili m’a appelé, le challenge m’a intéressé. Je me disais qu’un autre club croyait encore en moi.

Marseille c’était le Marseille étoilé, avec des ambitions, un Bernard Tapie virevoltant qui apportait sa pêche et son enthousiasme pour ce sport. C’était une aventure que j’avais envie de vivre. C'est une fierté d'avoir porté les maillots des deux clubs français les plus emblématiques.

Je vis à Istres depuis une dizaine d’années. Depuis quelque temps, j’ai une nouvelle passion, le golf. Je joue, en temps normal, à Miramas, Saint-Martin de Crau, aux Baux de Provence… J’ai un bateau aussi. Je m’occupe, j’ai pas mal de terrain, je jardine, on va dire que je ne m’ennuie pas."

Maupay a blessé Puel

13/04 09:39
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Selon la dernière édition de Nice Matin, l'obstination de Claude Puel à vouloir faire jouer ses fils aura conduit à sa perte chez les Aiglons. Extraits.

"Son fils Grégoire, ailier replacé au poste de latéral, suscite les crispations. "Un garçon adorable, mais ses lacunes et les compositions tactiques destinées à le protéger l'ont pénalisé" soupire un ex-coéquipier. "On en parlait beaucoup entre nous mais personne n'osait le faire avec le coach" avoue un autre joueur. Puel ne comprend pas les critiques, ne les accepte pas et en veut à tous ceux qui osent mettre en doute son honnêteté. Au club, personne ne comprend son obstination mais personne n'osera lui dire qu'il fait fausse route. Manu Pirès sera écarté de l'équipe réserve en raison d'un différend avec Puel au sujet de Paulin. Maupay, qui avait fracturé le tibia de son coach suite à une frappe contrée, s'accroche physiquement avec Grégoire. La vente du buteur prometteur à Saint-Etienne incarne l'inflexibilité de Puel.

A l'Allianz, la famille Puel essuie des sifflets. A Charles-Ehrmann, le père est agressé avec un énorme godemichet en plastique après le 5-0 subi à Saint-Etienne. Le président Rivère craque et affirme qu'il en a marre d'avaler des couleuvres. Les langues se délient et Julien Fournier prend ses responsabilités. Il se rend dans le bureau de Puel pour lui annoncer la résiliation du contrat de Grégoire. La mâchoire crispée, Puel brise le crayon qu'il tenait dans ses mains, de rage. Fournier craint l'affrontement physique mais la colère du coach reste froide. Ses rapports avec les dirigeants seront alors "virils mais corrects" dixit Fournier. "Il aime la castagne mais résumer son passage à Nice à cette histoire serait beaucoup trop réducteur" poursuit JF.

Le DG assure avoir tranché en faveur de Lucien Favre en s'opposant à l'intégration du second fils de Paulin dans l'effectif pro. Puel tombe alors de haut. Encore aujourd'hui, il affirme le contraire et jure plutôt avoir refusé une prolongation d'un an après une concertation en famille. Un ultime désaccord qui résume les coulisses de ce mandat qui aurait pu durer bien  plus que quatre ans. "Puel aurait dû avoir une statue à Nice. A cause de ses fils, il a eu le goudron et les plumes" estime un ancien proche."

Caïazzo et l'effet ciseau

13/04 08:49
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Dans la dernière édition du quotidien Ouest-France, Nanard s'inquiète à nouveau des répercussions économiques du Covid-19 sur les clubs de l'élite. 

"Les clubs phares de la Ligue 1 sont confrontés à un effet ciseau. Il est provoqué par des droits télé sur la notoriété en attente et une masse salariale XXL, pouvant représenter jusqu'à 60 % des charges. Pour eux, les mesures de chômage partiel n'ont pas amorti le choc, laissant un reste à charge colossal après la participation de l'État (5 400 € net). "On n'entend pas se plaindre, mais nous sommes plus impactés que les autres secteurs, c'est un fait", affirme Bernard Caïazzo, le président de Saint-Étienne. C'est vrai, mais il faut nuancer. Car le régime de l'indemnisation chômage n'engendre pas la même imposition, offrant aussi des exonérations de charges non négligeables."

Jessy l'a amusé, Allan l'a agacé

13/04 07:46
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Retourné vivre à Auxerre où il est conseiller en solutions digitales, Jean-Pascal Mignot évoque ses vertes années (2011-2014) dans la dernière édition du Progrès. Extraits.

"Le plus grand regret de ma carrière est de ne pas avoir assez longtemps réussi à Sainté. Je me serais vu plus dans ce club. On était bien en famille. On avait un groupe extra, c’est d’ailleurs ça qui nous a permis de gagner la Coupe de la Ligue. Avec du recul, je me dis que j’aurais peut-être pu mieux gérer ma fin dans le Forez.

Jessy Moulin est un boute-en-train. Il était toujours très concentré sur le terrain mais avait cette distance pour amuser, quoi qu’il arrive, la galerie. Quand j’ai perdu ma place à l’ASSE, on était remplaçants tous les deux. On a passé des matchs entiers à être mort de rire sur le banc de touche, jusque sous la douche.

Alllan Saint-Maximin avait un talent incroyable mais était irrespectueux. Je n’admettais pas que l’on manque de respect sur le terrain. Il se foutait des gens. Il était toujours dans la provocation. Comme on a un peu un devoir d’éducation quand on est un joueur confirmé, je lui ai mené la vie dure à l’entraînement."

 

 

 

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