Reuzeau dans l'Hérault
12/06 23:36
Celui qui fut, de juin 2000 à juin 2003, le responsable du Centre de formation de l'ASSE, à savoir Bertrand Reuzeau, vient de s'engager avec le Montpellier Hérault.
Formé au Stade Lavallois, Bertrand Reuzeau, né le 1er avril 1966, il débute en 1984 en 1ère division avec le club mayennais. Il évolue ensuite à l'OM durant seulement deux mois, à l'automne 1990, avant d'être prêté à Lille. On le retrouve ensuite à Montpellier de 1991 à 1996 puis à Sochaux où il termine sa carrière de joueur en 1996-1997.
Il se dirige ensuite vers la formation et prend en charge différentes équipes de jeunes du club doubiste jusqu'en juin 2000 où il est appelé à Saint-Etienne par Gérard Soler et Robert Nouzaret. Il va en même temps diriger l'équipe réserve. Il s'engage en juin 2003 avec les Ardennais de Sedan, toujours comme Directeur du centre de Formation. En 2005, il va occuper les mêmes fonctions au Paris SG jusqu'en 2016 où il est licencié. Il rejoint en 2016 le centre de formation de l'AS Monaco et quitte ses fonctions en juin 2018 pour y revenir un an plus tard jusqu'au 25 février 2022.
« C’est à lui de prendre pleine possession du centre de formation, qui a été bien structuré par son prédécesseur (Francis de Taddeo NDLR), de faire progresser nos jeunes en ayant de bons résultats afin qu’ils intègrent l’équipe première dans les années à venir », fixe comme feuille de route le président du MHSCLaurent Nicollin.
Le 4 juin 2022, un centre d'entraînement portant son nom a été inauguré à Evron, le club où il a touché ses premiers ballons.
Tournoi U17 de Maclas : les Verts battus en finale
12/06 19:41
En fin d'après-midi, les U16 de Kevin De Jesus disputaient la finale du Tournoi de Maclas. Ils affrontaient les Amiénois (vainqueurs de la dernière édition) de Julien Ielsch (ancien de Xamax Neuchâtel, Reims) avec lesquels ils avaient fait match nul en phase de poule. Le match s'est une nouvelle fois terminé sur un score de parité (1-1), mais les Stéphanois ont dû s'incliner aux tab (4-3), une épreuve qui leur avait réussi le matin-même en demi-finale contre Toulouse.
Kevin De Jesus nous livre ses impressions : "Cette finale a été un bon match. Nous avons affiché une belle maîtrise. Nous nous voyons refuser deux buts de Pérard sur des hors-jeux qui se jouent de très peu. Nous avons ouvert la marque, après le repos, par Quentin Prud'homme, mais Amiens a réussi à égaliser dans le temps additionnel. L'épreuve des tirs au but nous a été fatale. C'est une déception, mais elle ne doit pas occulter la très bonne saison, avec la victoire en championnat, la victoire à Montaigu, une belle référence. En terme de progression, individuelle ou collective, je suis également satisfait."
La composition : Sabathié - Achour, Benramdane, Taiar, Hornech - Sissoko, Fernandes, Mimoun - Solvery, Pérard, Venière-Jusseron.
Entrés en jeu : Houngbo-Civier, Sissoko, Ali Ahamada, Boukadida
Buteur : Prud'homme
"Poteaux Carrés" remercie Kevin De Jesus pour da collaboration tout au long de cette saison.
Bédénik vu par Vermot
12/06 18:36
Après le portier castelroussin Killian Le Roy et le gardien nantais Lenny Montfort, c'est au tour de Théo Vermot (Orléans, N1) de nous donner son avis sur Jean-François Bédénik, promu entraîneur des gardiens professionnels de l’ASSE.
"Au centre de formation de l’ASSE, j’ai eu Mick [Mickaël Dumas, ndp2] puis Jérémie Janot. Ensuite j’ai eu Jef pendant toute une saison, sa première au club, en 2017-2018. Les deux dernières saisons, j’étais dans le groupe pro donc j’ai bossé avec Fab [Fabrice Grange, ndp2]. Ma saison avec Jef, j’ai joué 7 matches avec la réserve entraînée par Laurent Batlles, on est monté en N2.
J’ai aimé la collaboration avec Jef car c’est quelqu’un qui est bosseur et très à l’écoute. Il discute beaucoup avec ses gardiens pour leur faire passer sa vision des choses. Son sens de l’écoute est très appréciable. Ce sont de vrais échanges qui font avancer deux personnes. Tu peux lui demander tout et n’importe quoi, il répond présent. Jef c’est quelqu’un de vachement serein, il te donne confiance, il te fait avoir confiance en toi.
Avec lui j’ai eu une méthode de travail différente de celles que j’avais connues auparavant, avec beaucoup de petits appuis courts. Jef insistait sur le fait qu’on devait être léger dans la cage, qu’on devait éviter d’avoir des appuis lourds. On travaillait beaucoup avec des rubalises pour être vraiment allégé et avoir toute la puissance pour aller au sol ou en l’air. Jef insistait sur le fait qu’un gardien doit savoir gérer son espace dans la cage, son corps dans l’espace.
Je suis heureux d’apprendre qu’il a été promu entraîneur des gardiens professionnels après cinq ans de bons et loyaux services au centre de formation. Ça récompense son travail. Je suis aussi content que le club ait choisi quelqu’un de la maison verte, ça veut dire que le boulot effectué au niveau de la formation est regardé. Je pense que Jef a commencé à être entraîneur des gardiens pour ça, pour être avec un effectif pro et des gardiens pros à plein temps.
Je suis sûr que Jef va s’éclater avec les pros, qu’il va prendre du plaisir et qu’il va être performant dès la saison prochaine dans le staff de Laurent Batlles. Ça marchait super bien entre Jef et Laurent en équipe réserve. Je pense que les deux hommes se connaissent vraiment bien et s’apprécient, ils ont la même vision des choses.
Laurent Batlles est un super coach car il arrive à te garder concerné même si tu ne joues pas, même si tu n’es pas le premier choix et qu’il y a des gens devant toi. Je l’ai ressenti notamment la saison où j’ai bossé avec Jef. Antho [Anthony Maisonnial, ndp2] était encore-là, il y avait aussi Alex [Alexis Guendouz, ndp2]. C’est quelque chose de très compliqué à faire. Jef a également cette capacité, je trouve qu’ils se rejoignent là-dessus. Ils ont fait en sorte que je reste concerné, même si ce n’est pas moi qui jouais.
Je suis convaincu que ce mode de fonctionnement va porter ses fruits et que leur nouvelle collaboration, cette fois-ci chez les pros, va faire avancer les choses. Pour être dans le milieu pro depuis maintenant quatre ans, je me suis rendu compte d’une chose : le management, c’est vraiment quelque chose de très compliqué. Moi je n’en serais pas capable aujourd’hui.
J’ai le souvenir que Laurent Batlles arrivait à faire ça, que ce soit avec des joueurs pros qui étaient un peu en difficulté et qui redescendaient en réserve, ou avec des jeunes qui montent et avaient un peu la dalle de jouer. Il n’y a qu’à regarder les saisons que Laurent a faites avec la réserve. C’était vraiment louable et très positif, c’étaient des bonnes saisons. Et on a vu que par la suite il a réussi à faire ses preuves à Troyes, qui a retrouvé l’élite grâce à lui. J’espère bien sûr qu’il connaîtra pareille réussite avec Sainté. C’est un beau challenge, je suppose qu’au fond de lui il rêvait d’entraîner l’équipe première de l’ASSE."
Guignard scandalisé par les incidents à Geoffroy-Guichard
12/06 16:27
Deux semaines après, les inadmissibles incidents qui ont ponctué le triste épilogue de l'horrible saison verte continuent de faire couler beaucoup d'encre et de salive. Comme le rapporte aujourd'hui Le Courrier de l'Ouest, le président du district du Football des Deux-Sèvres Daniel Guignard les a évoqués avant-hier en Assemblée Générale.
"Que dire des incidents qui ont éclaté à la fin du barrage entre Saint-Etienne et Auxerre... Ce qui se passe dans le foot professionnel, c'est une honte ! Cela rejaillit sur le foot amateur. Mettons de l’ordre dans nos clubs, même si en Deux-Sèvres cela reste calme. Les gens qui nous emmerdent, mettons-les dehors ! Le foot reste un jeu. Il y a des choses plus graves dans la vie que perdre un match de football."
Tournoi de Maclas : les Verts en finale !
12/06 12:48
Les U16 de Kevin De Jesus disputaient ce matin la demi-finale du Tournoi de Maclas organisé par Football Mont Pilat, club partenaire de l'ASSE;
Ils affrontaient ce qui se fait de mieux en terme de formation, à savoir le Toulouse FC, tout auréolé de son titre national U17.
A l'inverse de leurs aînés professionnels, en barrage contre Auxerre, ils l'ont emporté par 5 tirs au but à 4, à l'issue d'un match qui s'est terminé sur le score nul de 1-1.
Les Verts avaient rapidement ouvert la marque par Ylan Solvery. A la satisfaction du coach Kevin De Jesus, ils allaient effectuer une remarquable première période, tant sur le plan offensif que défensif. Malheureusement, sur une saute de concentration, ils se faisaient rejoindre à une dizaine minutes de la fin du match. Les deux équipes allaient donc se départager à la séance de tab, et à ce jeu, les Verts, bien rompus à cet exercice qu'ils avaient éprouvé deux fois lors de leur victoire à Montaigu, faisaient un sans-faute, l'emportant par 5 à 4.
La composition : Sabathié - Achour, Benramdane, Taiar, Hornech - Sissoko, Fernandes, Mimoun - Solvery, Pérard, Venière-Jusseron.
Buteur : Solvery
Tab : Boukadida, Mimoun, Taiar, Fernandes, Pérard.
Maintenant place à la finale où les verts vont retrouver Amiens, équipe qu'ils ont rencontré hier en phase de poule. (match nul 1-1)
Saivet, être de motivation
12/06 07:46
Ayant marqué un but (à d'Ornano contre Caen) et délivré une passe décisive (à Bakou contre Qabala) en 35 matches disputés lors de son unique saison verte (2016-2017), Henri Saivet (31 ans) recroisera l'ASSE la saison prochaine en prochaine L2. Recruté par le Pau FC, l'ancien Lion de la Teranga affiche sa motivation dans La République des Pyrénées. Extraits.
"Même si j’ai eu une carrière intéressante, je ne prends jamais rien pour acquis. Pour moi, c’était une chance extraordinaire de m’entraîner avec un club, un luxe dans ma situation. Didier Tholot m’a donné la possibilité de m’entraîner avec son groupe pendant les deux dernières semaines de la saison de L2. J’étais comme un enfant, j’avais l’impression de découvrir le football. Je me suis bien senti, j’ai vu un groupe sain, un collectif fort et un entraîneur qui met ses idées en place. Tout m’a plu et je suis ravi de m'être engagé jusqu’en 2024 avec le Pau FC.
J’étais libre depuis un an, quand mon contrat avec Newcastle était arrivé à son terme. Ma signature chez les Magpies en janvier 2016 n’a pas été le tremplin attendu. Je n’ai joué que quelques matches en Angleterre et j’ai été prêté trois fois… Même moi je n’arrive pas à m’expliquer ce qui s’est passé. Mon sentiment, c’est que je suis arrivé dans un club malade, qui se cherchait, qui était mal géré. L’entraîneur me voulait mais quatre matches après ma signature, il s’est fait virer. Quand ça se passe comme ça, c’est souvent compliqué avec le successeur qui a tendance à vouloir faire table rase.
J’ai voulu partir libre de Newcastle mais le club n’a jamais voulu malgré nos accords verbaux. Je ne jouais pas mais le club ne voulait pas me laisser partir. Je ne regrette pas parce que ça m’a permis de jouer à Saint-Etienne, en Turquie. Cela m’a ouvert d’autres portes. Je ne regrette pas mais je veux aller de l’avant maintenant. C’est le passé, je suis concentré à 100% sur le Pau FC et la saison prochaine. J’avais de nouvelles opportunités en Turquie mais j’y avais eu une mauvaise expérience avec des retards de salaire, des impayés. J’avais aussi eu des offres en MLS.
Moi je voulais rester en Europe, je voulais me donner une chance de repartir en équipe nationale du Sénégal. Je me suis fermé des portes mais je ne le regrette pas : maintenant j’ai cette chance avec le Pau FC. Aller au Mondial en décembre prochain, ce serait vraiment fou. Mais dans le foot tout va très vite. S’il y a des bonnes performances, le sélectionneur peut faire appel à nous ou pas… Mais ça serait bien de se donner au moins une chance. Que collectivement le Pau FC aille bien et que moi j’arrive à l’aider."
Bédénik vu par Montfort
12/06 07:26
Gardien de l'équipe réserve du FC Nantes (qui s'est maintenue en N2 pendant que les pros remportaient la Coupe de France et les U19 étaient sacrés champions de France), l'ancien portier stéphanois Lenny Montfort nous a donné son avis sur Jean-François Bédénik, promu entraîneur des gardiens professionnels de l'ASSE.
"J’ai eu Jef comme entraîneur des gardiens les deux saisons et demi que j’ai passées à l’ASSE, de juillet 2019 à janvier dernier. C’est lui qui m’avait fait venir chez les Verts d’ailleurs en provenance du FC Lorient. C’est l’une des raisons pour lesquelles j’avais signé à Sainté, j’avais accroché avec lui. Avec lui on progresse car il est vraiment dans le détail. Il insiste sur les petits détails qui font la différence.
Jef nous a beaucoup fait travailler les placements. C’est hyper important. À ce poste-là, si t’es bien placé, tu peux intervenir presque sur chaque ballon. J’ai beaucoup progressé dans le placement grâce à Jef, même à Nantes ils me le font remarquer. Jef insistait là-dessus : comment être placé par rapport à une frappe. Il ne faut pas être trop proche du premier poteau sinon tu libères le second poteau.
Il faut être placé de telle sorte que tu puisses intervenir au premier ou deuxième poteau. Il ne faut pas être trop bas car dans ce cas tu vas laisser plus d’ouverture, plus d’angle. Il ne faut pas non plus être trop haut pour ne pas la prendre dans le dos. On a énormément bossé là-dessus, surtout ma deuxième saison chez les Verts. Jef était en phase avec André Biancarelli, qui avait les mêmes exigences sur le placement avec les gardiens professionnels.
Un autre domaine dans lequel Jef a mis un accent particulier, c’est le jeu au pied. On sait que c’est important dans la panoplie d’un gardien aujourd’hui. Jef, c’est le meilleur jeu au pied que j’ai eu comme entraîneur de gardien. Bosser le jeu au pied avec lui… c’est le pied ! C’est top. C’était plaisant de travailler avec Jef car c’est à la fois un bosseur et un rigolo. Il a la joie de vivre et aime bien faire des blagues.
Quand on était en salle de muscu il aimait bien faire le poirier. C’était son truc ! (rires) Il me racontait pas mal d’anecdotes de l’époque où il était joueur : par exemple avant un match, il s’échauffait avec un fil élastique, il s’étirait, ça allait de son dos jusqu’à son pied. Il a fait un mouvement, l’élastique a pété et ça lui est revenu en plein dans la gueule, en plein dans l’oeil ! (rires) Il a quand même joué le match mais il m’a dit que toute la première mi-temps, il voyait flou. Des bourdes comme ça, il en fait pas mal ! (rires)
Après, Jef n’est pas que dans la déconne, hein, attention ! C’est quelqu’un qui est rigoureux, très méticuleux, très exigeant. Même un peu trop parfois ! Quand on ratait une prise de balle à l’entraînement, il allait de suite nous dire « Tu dois mieux faire ! Tu dois mieux faire ! » Tout le monde le sait. Tu le dis une fois, c’est bon, on a compris. On s’est fritté plein de fois mais c’est normal, j’ai mon caractère et lui a le sien. On n’était pas d’accord sur tout. J’avais parfois un avis différent du sien et quand j’ai un avis je l’exprime. Parfois on s’embrouillait un peu mais rien de bien méchant.
Il faut dire que je manquais de temps de jeu, d’autres gardiens jouaient les matches. Il n’en demeure pas moins que Jef ne m’a jamais délaissé, il est toujours resté dans le travail avec moi, même au début de la troisième saison, alors que mon départ était quasiment acté. Jef essayait de nous maintenir mobilisés, Yanis Bourbia et moi. Je me doute bien que ce n’était pas évident pour Jef car on n’était plus dans les plans des autres coaches.
En tout cas je souhaite plein de bonnes choses à Jef dans le staff des pros. Pour moi il mérite cette promotion. En tant que coach il est encore jeune, il a certainement des points où il doit encore s’améliorer mais c’est normal, c’est comme tout le monde. Je pense que ça va le faire d’autant plus qu’il connaît déjà bien Laurent Batlles, ils ont déjà eu l’occasion de collaborer avec la réserve. Et Jef connaît aussi les gardiens qui sont dans l’effectif pro à Sainté. Non seulement il les connaît mais il s’entend bien avec eux."
A Gueugnon en cas de suspension du Chaudron ?
12/06 07:14
L'ASSE saura le 23 juin quelles lourdes sanctions vont lui être infligées suite aux graves incidents survenus le 29 mai dernier à Geoffroy-Guichard. Trois jours après ce barrage fatal aux Verts, le site Creusot Infos a évoqué une éventuelle délocalisation des matches à Gueugnon. Extraits.
"Si le stade Geoffroy-Guichard est suspendu plusieurs rencontres, l’ASSE va devoir trouver un terrain de repli qui corresponde aux normes de la Ligue 2. Ils ne sont pas très nombreux. Et parmi les premiers se trouve le stade Jean Laville à Gueugnon qui, avec ses 14.000 places, a déjà été, par le passé, un terrain de repli pour Ajaccio.
Dominique Lotte, le Maire de Gueugnon a indiqué [le 1er juin, ndp2] que sa ville, qui est propriétaire du stade, n’a pas encore été sollicitée. "Mais nous sommes prêts à, évidemment, étudier le dossier et à entrer en discussions avec le club de Saint-Etienne", ajoute l’élu. Car chacun l’aura compris, la mise à disposition d’un terrain et de ses installations n’est pas gratuite. L’ensemble entre dans le cadre d’un contrat de location.
Mais à Gueugnon, c’est quelque chose que l’on maîtrise parfaitement. Si Saint-Etienne se trouve dans l’obligation de trouver un stade, l’hypothèse de Gueugnon est une piste sérieuse. Et si c’était la solution retenue, on peut être certain que le Préfet de Saône-et-Loire prendra le même arrêté que celui qui avait été pris par le Préfet de l’Yonne qui avait interdit le déplacement des supporters de Saint-Etienne à Auxerre, pour le match aller des barrages."
Assaf s'offre une coupe
12/06 06:58
Meneur de jeu des U17 de l'ASSE sacrés champions de France en 2013, Alexandre Assaf a inscrit hier un doublé victorieux pour Monistrol contre Le Puy en finale de Coupe de la Haute-Loire. Comme le rapporte Le Progrès, deux anciens protégés de Laurent Batlles ont donné le coup d'envoi de la rencontre au stade du Monteil : Léo Pétrot, (ravi de voir son tout premier club s'imposer avec son frère Pierre comme capitaine) et Dylan Chambost.
Ambrose en vert ?
11/06 23:37
Selon le site belge Voetbalnieuws, Saint-Etienne et Anvers convoitent Thierry Ambrose (25 ans). Formé à l'AJA puis à Manchester City, le natif de Sens connait la L2 pour y avoir joué une saison avec Lens (en 2018-2019) avant d'évoluer deux ans avec le FC Metz. Cette saison, il a marqué 7 buts et délivré 3 passes décisives sous le maillot d'Ostende aux côtés de Kenny Rocha Santos et Makhtar Gueye. L'international guadeloupéen est actuellement sous contrat jusqu'en 2024 avec ce club de l'élite belge. On aura noté qu'il s'est déjà affiché avec un maillot vert aujourd'hui !
Danet, ex-ultra modéré
11/06 20:04
Dans son sympathique bouquin La Vie en vert, paru en avril dernier aux éditions du Joyeux Pendu, Pascal Pacaly a recueilli les propos de Benjamin Danet. Fidèle lecteur de Poteaux Carrés à l'instar de toute son équipe de buteurs, le journaliste raconte notamment son passé ultra. Extraits.
"J'ai fait partie des Fighters, un groupe de supporters créé en 1988 par un... Lyonnais ! Il descendait à Geoffroy-Guichard pour chaque match (...) Les Fighters, c'est une centaine d'adhérents, donc beaucoup sont fans de la Juventus, car fans de Platini (...). Les Fighters n'ont duré que trois saisons, ce n'est pas énorme. Beaucoup de mecs devenaient de moins en moins motivés et puis les Magic Fans qui voyaient le jour, c'était autre chose : plus jeunes, plus sulfureux et surtout plus motivés. Il y avait Jean-Christophe dit JC, le créateur, Michel-Jean, Etoile Rouge, Babas ou Rico, à la base de tout. Tout le monde se réunissait dans un grand garage désaffecté, vers Châteaucreux. Autant les Fighters c'était pépère, autant là il y a de belles montées d'adrédaline. J'essayais d'être le modérateur de la bande mais ça ne marchait pas tout le temps. Au début, la "spécialité", c'était les stations-services. Je ne peux pas tout raconter, ceux qui y étaient se rappelleront.
Les fumigènes ? Je mettais tout dans mon froc. Mais à l'époque il n'y avait pas d'amendes, donc tout était beaucoup plus cool (...) En fait, je suis plutôt modéré, mais parfois, l'effet de masse peut avoir un effet désastreux sur vous. On était au local des Magic et en marge d'un match contre l'OM vers 93/94, quand l'un des nôtres vient nous voir. Il nous dit qu'il ya des supporters marseillais vers le commissariat du Cours Fauriel. On est une grosse vingtaine et on y va, on se bastonne. Les flics arrivent et tout le monde finit en garde à vue, les mains menottées derrière des radiateurs. Comme j'étais journaliste au Quotidien de Päris et donc accrédité, je ne cesse de le leur répéter, ce qui influence. Enfin, j'ai quand même passé le nuit là-bas. Attention, il ne faut pas généraliser, ça n'arrivait pas souvent, et encore moins pour moi. Mais parfois... et c'est aussi ça qui attirait les gens. Parce qu'avant ça, le supporter stéphanois avait l'image d'un benêt à gesticuler avec sa perruque verte sur la tête. Là, c'était autre chose..."
Tournoi U17 de Maclas : ça passe pour les Verts
11/06 18:50
Amine Taiar (4) auteur de l'égalisation contre Amiens (Photo Thomas 99)
Les U16 de Kevin De Jesus participent ce week-end au Tournoi U17 de Maclas organisé par le club partenaire Football Mont Pilat, tournoi qui fête ses 25 ans .
Ils viennent à l'instant de se qualifier pour les demi-finales.
Hier, pour la 1ère rencontre, ils ont concédé le nul contre l'OGC Nice, n'ayant pas réussi à concrétiser leurs occasions.
La composition : Sabathié - Achour, Benramdane, Taiar, Hornech - Fernandes, Sissoko, Mimoun - Venière-Jusseron, Pérard, Solvery
Entrés en jeu : Ali Ahamada, Boukadida, Prud'homme, Fajr.
Ce matin, les Verts se sont largement imposés contre Football Mont Pilat sur le score de 4 à 0.
La composition : Houngbo-Civier- Achour, Benramdane, Ali Ahamada, Boukadida - Fernandes, Solvery, Mimoun - Venière-Jusseron, Pérard, Fajr
Entrés en jeu : taiar, Hornech, Prud'homme, Sissoko.
Buteurs : Pérard 2, Prud'homme, Fajr
Cet après-midi, les Verts rencontraient Amiens sur un match de 2x20 minutes. Après avoir concédé rapidement l'ouverture du score et, après quelques situations non concrétisées, ils égalisaient, à cinq minutes de la fin, par Amine Taiar monté aux avant-postes, dont la frappe terminait dans la lucarne amiénoise. Le match se concluait donc sur le score de 1-1. Les Stéphanois terminent donc 2èmes de leur poule et rencontreront donc, en demi-finale, Toulouse ou Dijon ou Troyes. match demain matin à 10h30.
La composition : Sabathié - Achour, Benramdane, Taiar, Hornech - Fernandes, Sissoko, Mimoun - Venière-Jusseron, Pérard, Solvery
Entrés en jeu : Ali Ahamada, Boukadida, Prud'homme, Fajr.
Pavard fan de Geoffroy-Guichard
11/06 07:43

Perdriau tacle Nanard et Roro
11/06 06:49
Maire de Sainté, Gaël Perdriau évoque la vente de l'ASSE dans la dernière édition du Progrès. Extraits.
"J’étais un des premiers à demander, il y a plus d’un an, à ce que les actionnaires se positionnent de manière très claire sur leur volonté. Pour qu’ils disent vraiment ce qu’ils voulaient faire parce que cette arlésienne de vente est dans l’air depuis maintenant quelques années. C’est difficile pour une entreprise, une collectivité ou un club sportif d’avoir des perspectives et de réussir à emmener ses équipes si on n’a pas une stratégie clairement définie. Désormais j’attends. Et chaque jour qui passe est un jour de perdu pour la construction du projet futur. J’espère que ça se décantera très vite. Quand on prend une décision, il faut qu’elle soit très vite suivie de sa mise en œuvre.
Les présidents ont fait publier un communiqué dans les minutes qui ont suivi la relégation. Que s’est-il passé depuis ? On nous dit "vous allez voir ce que vous allez voir, on va faire une annonce." Ça fait un an que ça dure. Il ne faudrait pas qu’après la déception suivent l’épuisement et la lassitude. J’attends un projet sportif, de territoire. J’ai aussi rappelé à Bernard Caïazzo une déclaration qu’il avait faite dans vos colonnes. Il avait dit : "Saint-Etienne, ce n'est pas Nice et la Riviera ou Bordeaux et le vin.". Aujourd’hui, je constate que Bordeaux est en Ligue 2.
Comme les Girondins ont été plus mal gérés que l’ASSE, j’en sais gré aux deux présidents d’ailleurs, ils ne sont même pas sûrs de repartir en L2. Cela démontre qu’il s’est trompé et que Saint-Étienne est plus attractive qu’il ne le pense. Avec Roland Romeyer, on est plus sur toutes les questions liées au stade, à la convention avec la Ville et la Métropole, aux questions locales. Et Bernard Caïazzo, quand il me parle, c’est pour me tenir informé de l’évolution du dossier de vente. Paradoxalement, il m’appelle régulièrement, ça ne veut pas dire qu’il me dit grand-chose."
Cessons de fermer des tribunes, ça ne sert à rien !
10/06 23:26
Historien spécialiste du supportérisme radical et auteur du livre Ultras, les autres protagonistes du football, Sébastien Louis a accordé une longue et intéressante interview au Télégramme. Extraits.
"Les violences sont montées d’un cran, notamment lors de Saint-Étienne - Auxerre ? Cette violence en France était plus importante avant. Dois-je rappeler PSG - Hapoel Tel Aviv, où un supporter parisien est abattu par un policier en 2006 et PSG - OM, où un supporter parisien trouve la mort car lynché par d’autres fans du PSG en 2010 ?
Aujourd’hui, on a plus d’images, donc on a l’impression qu’il y a plus de violences. Les images de fumigènes lancées contre le président de Saint-Étienne sont impressionnantes. Mais lors d’Angleterre - Russie, en 2016, j’ai vu des charges dans le stade qui auraient pu provoquer un mouvement de foule tragique à la fin du match et que les médias n’ont pas relayées.
Le plus important est de parler des problèmes d’organisation et d’encadrements des foules sportives. Nous voyons des dispositifs mis en place par des amateurs. Si on prend les deux derniers incidents, à Geoffroy-Guichard et au Stade de France, on voit aussi un problème de mise en place du dispositif de sécurité.
Pour Auxerre - Saint-Étienne, comment se fait-il qu’il y ait des supporters sur le terrain quelques secondes après le dernier tir au but ? À l’étranger, pour des matchs de play-offs, les dispositifs de sécurité sont bien plus importants pour empêcher d’envahir le terrain. Lors de Dresde - Kaiserslautern, match de barrage en 2.Bundesliga, on a eu des jets de fumigènes mais pas un spectateur sur le terrain.
En France, on a un problème d’expertise. Quel est le rôle de la DNLH (Division nationale de lutte contre le hooliganisme) cette saison ? Pourquoi les préfets décident de tout ? De plus, l’État a décidé de confier des missions de sécurité à des entreprises privées. Le problème, c’est que ces gens ne sont pas assez formés. La fonction de référent supporter, qui est chargé de faire le lien entre les ultras et le club, est très importante, mais dans certains clubs, ils sont bénévoles.
Si on veut des résultats, il faut des moyens, repenser le modèle économique, former les stadiers. De plus, les autorités utilisent encore les sanctions collectives (match à huis clos, fermeture de tribune…), alors qu’en Grande-Bretagne, cela n’a jamais fait partie de l’arsenal pour lutter contre la violence car c’est inefficace.
Selon moi, le retrait de points doit être une des dernières sanctions utilisées. Il faut savoir taper au portefeuille des clubs, et surtout envisager des sanctions financières qui soient reversées dans un pot commun qui puisse alimenter un fonds pour la sécurité dans les stades et former des spécialistes. Il faudrait une grille bien claire pour les amendes et arrêter d’en donner pour des fumigènes, distinguer le côté festif du côté violent, avoir une lecture fine des événements. Cessons de fermer des tribunes, ça ne sert à rien.
On a eu 135 arrêtés préfectoraux cette saison interdisant les déplacements de supporters, parfois pour des raisons ubuesques. Lors de Lens - Nantes, la raison invoquée était la mobilisation des forces de l’ordre pour un vide-greniers, un salon du Manga et une rencontre internationale de cerfs-volants dans la région. C’est un problème car les forces de l’ordre ont besoin d’être sur le terrain et d’avoir ces situations de tensions pour être prêtes en cas d’incident. En Angleterre, il n’y a jamais d’interdictions de déplacements, et quasiment pas en Allemagne. C’est une politique bien plus intelligente car cela permet au dispositif d’être évalué en permanence. La violence sera toujours présente, mais l’idée, c’est comment faire pour éviter qu’il y ait des affrontements.
Il faut avoir une approche en amont, ça permet de baisser les tensions. Lors du derby de Vienne, la police locale avait décidé d’encadrer le cortège de 2 000 fans du Rapid avec un dispositif léger, la police n’avait pas mis ses casques. Et une fourgonnette diffusait un message qui disait ce qui était autorisé et ce qui ne l’était pas. En Suède, il y a trois référents supporters par club. À Copenhague, les stewards sont bien payés, formés chaque année aux premiers soins, à l’évacuation des foules en cas d’incidents. Tout ça, ça manque en France. C’est un chantier, mais qui nécessite des investissements et surtout des moyens humains."
Le SCO ne veut plus de Paulo
10/06 22:34
Dans sa dernière édition, Ouest-France évoque la valse des gardiens angevins. Extraits.
"Alors que Yahia Fofana, fraîchement recruté, sera le gardien n°1 d’Angers Sco la saison prochaine, il ne sera pas accompagné par Anthony Mandrea, qui a décidé de ne pas prolonger l’aventure alors que Gérald Baticle lui proposait une place de doublure. Le Sco se retrouve donc actuellement sans n°2. Selon toutes vraisemblances, ce ne sera pas Paul Bernardoni. De retour d’un prêt de six mois à Saint-Etienne, l’ex-international espoirs n’a pas d’avenir en Anjou. Le club espère se séparer de son gros salaire, ou du moins réduire la note en le prêtant, alors que son contrat court jusqu’en 2024. L’Équipe révélait récemment que Clermont, son ancien club, était intéressé pour le rapatrier. A priori, le CF63 n’est pas le seul."
Bédénik vu par Le Roy
10/06 21:21
Portier de la Berrichonne de Châteauroux, Killian Le Roy (avec la casquette sur la photo) nous parle du nouvel entraîneur des gardiens professionnels des Verts.
"J'ai travaillé avec Jef Bédénik lors de ma saison avec la réserve stéphanoise, en 2018-2019. Je crois que ça faisait un an qu'il entraînait les gardiens du centre de formation de l'ASSE. Jef est une très bonne personne, j'en garde d'excellents souvenirs. Il est proche de ses gardiens, discute beaucoup avec eux. Jef a un profil de gardien plutôt petit, il doit faire 1m80. Etienne Green et moi on est des grands gabarits, il n'y a que Nathan Cremillieux qui était un peu plus petit que nous (1m85). Jef travaillait beaucoup avec nous sur la vitesse de déplacement, sur le jump.
Moi quand je suis arrivé j'étais plus dans l'aspect gros gabarit, physique, avec des grands pas. Jef m'a appris à faire des tout petits pas, à être un peu plus tonique sur les appuis. J'ai travaillé avec lui quelques chose de totalement différent de ce que j'avais pu voir dans ma formation. C'est très intéressant. Jef voulait aussi qu'on soit efficace sur le jeu au pied. Lui il avait connu le foot sans jeu au pied, il avait dû apprendre et il souhaitait qu'on soit solide aussi dans ce domaine.
Après, je l'ai connu au centre de formation... Le monde professionnel, c'est très différent. T'as pas la même gestion des gardiens. En formation, tu prépares les jeunes à arriver au haut niveau. Je sais que Jef souhaitait à un moment donné retrouver le monde professionnel. Je pense que c'est le but de chaque entraîneur des gardiens. Avoir ses trois ou quatres gardiens dans le monde pro, c'est souvent ce qu'il y a de plus intéressant.
Humainement, Jef est quelqu'un de top. Il a toujours été franc, honnête avec moi. J'avais une très bonne relation avec lui et avec Laurent Batlles aussi. Ils s'entendaient d'ailleurs très bien tous les deux. Ils ont fait du très bon boulot avec la réserve, je leur souhaite d'en faire de même lors de leurs retrouvailles avec les pros. Aurélien Rémoué et Jef étaient sur le banc aux côtés de Laurent lors des matches de la réserve.
Je suis content d'avoir pu travailler avec Jef, c'est vraiment un entraîneur de gardiens qui a compté pour moi. Il va retravailler avec Etienne, les deux s'entendaient très bien. Franchement, ça rigolait au quotidien. On bossait beaucoup mais dans la bonne humeur. J'aimais bien la façon qu'avait Jef d'animer les séances. Jef aimait bien innover dans ses séances, tenter des nouveaux trucs.
Parfois on le regardait et on lui disait : "Mais qu'est-ce que t'es en train de nous faire, là !" (rires) Jef adorait la rubalise. Y'avait des ces chantiers ! Il mettait des piquets avec le rubalise, on devait juste enjamber sans sauter, en mettant de la vitesse dans le déplacement. Il mettait des rubalises de travers pour qu'on passe en-dessous, au-dessus, en-dessous... On faisait plein d'exercices comme ça !
Mais Jef a un vrai problème (rires). Quand on discutait avec lui, il nous montrait du doigt. Il a dû avoir des luxations aux doigts car il a les doigts crochus. A chaque fois on rigolait un peu de ses doigts crochus ! (rires) En tout cas je suis très content pour lui, c'est une belle promotion. C'est un beau challenge de faire partie du staff qui essaiera de faire rebondir les Verts. Les supporters des Verts seront certainement impatients de voir leur club retrouver l'élite mais ce n'est jamais évident. Toulouse n'a mis que deux ans mais Auxerre une dizaine d'années..."
Sainté à l'Aube du renouveau (4)
10/06 19:42
L'Est-Eclair l'assure : l'analyste vidéo Romain Brottes ne sera pas le seul ancien salarié de l'Estac à travailler de nouveau avec Laurent Batlles à l'ASSE. Le quotidien régional en a remis une nouvelle couche aujourd'hui sur cet axe Troyes-Sainté. Extraits.
"Dylan Chambost, qui a très peu joué ces derniers mois, va partir, sûrement à Saint-Etienne, son club formateur où est revenu Laurent Batlles, dont il est très proche. Il rejoindrait, selon toute vraisemblance dans le Forez, l'ancien capitaine Jimmy Giraudon, que l'Estac ne conservera pas (...)
Parmi les quatre gardiens professionnels de l'Estac, combien vont rester ? Un seul cas est déjà réglé, celui de Ryan Bouallak, en fin de contrat et qui va quitter l'Aube. Sébastien Rénot n'est pas certain de se voir proposer un nouveau contrat. Encore sous contrat une saison, Jessy Moulin n'a pas exprimé de vélléité de départ pour le moment. L'Estac ne lui aurait pas demandé de chercher un autre club.
Pourtant, difficile d'imaginer l'Estac repartir avec Moulin en numéro 2 et Gallon en numéro 1 tant la relation entre les deux est fraîche... Justement, Gauthier Gallon, sous contrat jusqu'en 2024, serait dans le viseur du Saint-Etienne de Laurent Batlles. Difficile toutefois de le voir retourner en Ligue 2 au vu de sa superbe saison."
Retour à Paname pour Jean-Guy
10/06 18:32
Nous avous annoncions récemment que Jean-Guy Wallemme avait été démis de ses fonctions d'entraîneur de Fréjus-Saint-Raphaël. Malgré ce déboire, notre coach de ce funeste premier semestre 2001, va prendre du galon et entraîner un club promu en National, le Paris Atlético 13 (ex FC Gobelins). Dans le 1er club français en nombre de licenciés, il retrouvera Germain Sanou, le gardien burkinabé, formé à l'ASSE. Passé successivement par le Racing Paris, Rouen, Renaix, Roye, le Paris FC, Lens, Auxerre, le White Star Bruxelles, le RWMB Bruxelles, l'ASM Bel-Abbès, la JS Kabylie, l'ASO Chelef, le WAC Kenitra, Dieppe et Chartres, l'ancien capitaine des Verts retourne donc à Paris pour la deuxième fois.
Le Président du club du 13ème arrondissement, Frédéric Pereira, explique, dans Le Parisien, les raisons de ce choix : « Nous avons fait le choix de Jean-Guy Wallemme pour son profil humble et travailleur qui correspond à l’image du club. Jean-Guy Wallemme est un entraîneur de très grande expérience, que l’on ne présente plus. Il connaît la région, la division, mais aussi les divisions supérieures et bien plus encore... Il a gagné des titres et obtenu des résultats partout où il est passé. Je suis convaincu qu’il est l’homme qui nous permettra, tous ensemble, de relever le challenge du National 1 !»
Des résultats partout où il est passé ? Pas sur la durée en tous cas, car On peut constater qu'il ne reste guère plus d'une saison dans un club.
Jean-Guy Wallemme exprime, toujours dans Le Parisien, sa reconnaissance et ses espoirs pour cette saison « Je suis heureux de retrouver le niveau supérieur, confie Wallemme. Je remercie le club pour sa confiance. C’est un projet excitant, mais qui passe par beaucoup de travail, ce club à une vraie identité, des vraies valeurs. Il faudra garder cette envie et cette osmose qui ont fait sa force cette saison. Le foot, ce n’est pas seulement une question de moyens, on va essayer d’être inventifs dans le recrutement. »
Bedenik la concurrence !
10/06 16:29
Arrivé en 2017 pour remplacer Janot au poste d'entraîneur des gardiens du Centre de Formation, Jean-François Bédénik, ex gardien notamment du Mans et de Boulogne vient d’être officiellement nommé entraîneur des gardiens du groupe Pro par Laurent Batlles.
On espère de tout coeur que Green and co auront autant la baraka que leur nouveau coach lors de sa dernière saison à Vannes...
Aiki et Raveyre vus par Alcocer
10/06 13:58
Séléctionneur de l'équipe de France U17, José Alcocer nous a livré ses impressions sur les deux joueurs de l'ASSE sacrés champions d'Europe au début du mois.
"Noah Raveyre faisait partie des premiers joueurs des premières détections. Il était là dès le début et d’ailleurs la première opposition où on a mis un maillot bleu c’était Noah le gardien. C’était en septembre 2020, il avait joué en équipe de France U16 lors d’un match amical contre les U17. Noah n’a pas eu de chance, il a été un peu blessé. L’année U16 est passée, l’année U17 aussi. On a de très bonnes relations avec Laurent Huard et Saint-Etienne. Je savais que j’avais déjà deux ou trois très bons gardiens mais qu’on ne savait jamais ce qui pouvait arriver avec les blessures. Il y avait un besoin de renouvellement.
Noah est revenu en février pour le match contre le Danemark. Il était troisième gardien, il n’a pas joué mais il y a eu une blessure d’un autre gardien. Du coup Noah est venu en Espagne, il a honoré sa première sélection et il a été plutôt performant. Il est donc venu logiquement avec nous pour le championnat d’Europe. Il a fait un match très sérieux contre les Pays-Bas. On a choisi Lisandru Olmeta comme gardien numéro un car il avait déjà plus d’expérience. Lors de l’Euro, il a été très solide et décisif. Mais Noah a été un très bon numéro deux, il a été très bon quand il a été sur le terrain. Noah a accompagné l’équipe, il a joué son rôle comme parfois ça arrive quand on joue moins. Il l’a fait avec beaucoup d’enthousiasme.
Noah est un gamin qui est grand, qui a de l’envergure, qui a un profil d’avenir. Il fait quand même 1m91 ou 1m92, ce n’est pas rien. Il a la capacité de s’exprimer très facilement. Il s’exprime comme un adulte, il a des idées et il sait les verbaliser. « Coach, je tiens à vous faire remarquer que… », « coach est-ce que vous ne pensez pas que… » Vraiment, il est incroyable, il est top ! Il a une vraie maturité, une réelle capacité à s’exprimer. En plus Noah un à un super état d’esprit. Il a été le premier à être dans les buts en U16 et paradoxalement ça a été le dernier à intégrer le groupe. Mais ça s’est très bien passé pour lui.
Je trouve que Noah a une grosse présence dans les buts. Il prend de la place, il a de l’envergure. Pourtant il est fin mais on sent qu’il occupe bien sa cage, pour un gardien c’est quand même très important ! C’est un gardien complet, qui a beaucoup de qualités. Peut-être est-il encore perfectible dans la concentration. C’est quelque chose qu’il doit encore travailler.
Grâce à mes bonnes relations avec Laurent Huard et pour l’avoir observé, je savais que l’ASSE avait un très bon attaquant de 2005 qui avait fait des apparitions en National 3. C’est donc fort logiquement que j’ai convoqué Ayman Aiki contre l’Italie. Là il a découvert le haut niveau et il a fait une prestation vraiment intéressante contre une équipe très forte. Du coup il est revenu régulièrement. Ayman est un joueur qui a des qualités techniques très fortes. Il est capable d’éliminer en un contre un. Il a un excellent pied gauche mais il sait aussi se servir du pied droit.
Ayman est un joueur très intéressant car il est instinctif. Dès qu’il a le ballon, il se passe des choses. C’est un gamin à la fois adorable, un peu introverti et discret en fait. Mais dès qu’il sourit… Il a un sourire magnifique. Comme beaucoup de gamins, avec l’adulte, parfois, c’est un peu plus distant. Mais en fait quand on le voit faire avec les autres, avec ses copains, on sent bien que c’est un jeune homme à l’aise dans ses baskets.
Quand il est entré en jeu contre les Pays-Bas, Ayman a fait marquer. Il a ensuite mis un but magnifique contre la Bulgarie. Après il a un peu moins joué, des excentrés avec d’autres profils que le sien ont joué les derniers matches de l’Euro mais comme Noah, Ayman a été présent dans le groupe, il a eu aussi sa part de participation. Il a joué quasiment un match entier. Je l’ai trouvé top dans l’état d’esprit.
Ayman Aiki fait partie des 2005 qui sont déjà passés pro. Ils sont assez nombreux dans ce cas, c’est assez impressionnant car ils n’ont que 16 ou 17 ans : Saël Kumbedi Nseke (Le Havre), El Chadaille Bitshiabu (PSG), Jeanuël Belocian (Rennes), Mamadou Sarr (OL) je crois que ça ne va pas tarder à être officialisé. Désiré Doué (Rennes), Naïm Byar (Reims), Valentin Antagana Edoa (Reims), Mathys Tel (Rennes). Ils sont une dizaine en fait. Il y a quelques années en arrière, un joueur pouvait passer par les étapes aspirant, stagiaire puis pro. Désormais, les clubs préfèrent faire signer un contrat pro très jeune à leurs meilleurs joueurs pour les protéger, empêcher d’avoir des dérives, des départs prématurés du club. C’est logique.
Ayman est un super gamin. Il a une très grosse qualité : cette capacité à faire des différences balle au pied, à effacer son adversaire. Il a une très bonne gestuelle. Ayman sait dribbler, centrer, marquer… Là où il peut encore progresser mais c’est nomal, c’est lié à son jeu : Ayman gagnerait à être encore plus connecté avec les autres. Parfois il attend que le ballon lui arrive pour se mettre à jouer. Alors que parfois il faut se dire « tiens, le ballon arrive là, tiens, il peut m’arriver donc j’enclenche déjà quelque chose. » Ayman pourrait avoir des mises en action encore plus rapides mais sinon c’est un travailleur, il fait les efforts sur le côté.
Vraiment, Saint-Etienne tient en Ayman et Noah deux joueurs très intéressants et je suis sûr que d’autres ne vont pas tarder à arriver car ça bosse bien au centre de formation de l’ASSE. Bien sûr, dans le cadre de mes fonctions, j’échange avec tous les directeurs de centre. Je connais depuis longtemps Laurent Huard car j’ai passé mon diplôme de formateur à Rennes, à une époque où Laurent était formateur au Stade Rennais. On a sympathisé et je le connaissais en tant que joueur car je suis à peine plus âge que lui, il est né 1974 et moi en 1973. C’était quelqu’un d’adorable, très simple. C’est quelqu’un de passionné et très accessible, toujours très avisé.
On est resté en contacts avec Laurent quand il est parti au PSG et bien sûr puis à Saint-Etienne, à fortiori depuis qu’il dirige le centre de formation de l’ASSE. J’appelle toujours les directeurs de centre avant les sélections et après les sélections. Je ne prends jamais un joueur tant que je n’ai pas l’avis positif du directeur de centre. Tout simplement parce qu’il peut se passer des choses au centre de formation, dans la vie du club. Si un gamin a commis une bêtise, sa sélection serait vécue comme la valorisation d’un comportement qui ne serait pas approprié."
Adil il a doublé !
10/06 09:37
Déja buteur lors du dernier match de poule contre l'Argentine, Adil Aouchiche a de nouveau marqué hier avec l'EDF U20 lors des 1/2 finales du tournoi Maurice Revello contre le Mexique (4-1).
Très actif, Aouchiche a été à l'origine du premier but, sa frappe détournée par le gardien étant reprise par Mara (13è). Auteur d'un tnouveau tir détourné par le gardien (40è), il a conclu par une frappe du gauche en lucarne (80è).
L'équipe de France disputera la finale dimanche à 18h contre le Vénézuela.
🎯 𝑭𝑰𝑵𝑬𝑺𝑺𝑬 𝑬𝑻 𝑷𝑹𝑬𝑪𝑰𝑺𝑶𝑵
— Tournoi Maurice Revello - #TMR2022 (@TournoiMRevello) June 10, 2022
Bien servi par @S_Mvrv, Adil Aouchiche inscrit le 4e but français 🇫🇷 tout en toucher de balle ⚽️
📽️ Résumé complet 👇https://t.co/XYSFvmiWLO#FRAMEX #TMR2022 pic.twitter.com/IAs3NlvFGV
Sanou fait plaisir !
10/06 09:37
Ancien finaliste de la Coupe Gambardella 2011 avec l'ASSE, Germain Sanou (30 ans) vient, avec le Paris 13 Atletico, club du 13ème arrondissement de Paris, d'accéder au championnat National.
Ce club est le nouveau nom, depuis juin 2020, du FC Gobelins, où a débuté Arnaud Nordin.
Germain Sanou était arrivé à l'ASSE en 2010, en provenance de Bobo-Dioulasso (Burkina-Faso). En 2010-2011, sous la direction de Jean-Philippe Primard, il avait été titularisé à trois reprises dans l'équipe de CFA, et à neuf reprises dans l'équipe U19 d'Abdel Bouhazama. Il avait fait toute la campagne de la Coupe Gambardella qui avait vu les Verts échouer en finale face à l'AS Monaco.
La saison suivante, 2011-2012, il avait participé à 10 matchs en CFA, toujours sous la direction de Jean-Philippe Primard. Laissé libre à l'issue de cette saison, il restera sans club en 2012-2013 et s'engagera en janvier 2014 avec la JA Drancy. On le retrouvera ensuite à l'AS Beauvais Oise de 2014 à 2019 puis au Paris 13 Atletico à partir de l'été 2020.
Germain Sanou est international burkinabé et compte à ce jour 30 sélections.
Hamel ne s'en mêlera pas
10/06 09:22
Alors que son nom avait été évoqué pour remplacer Biancarelli au poste d'entraîneur des gardiens, la Pravda annonce ce matin que Sébastien Hamel (ex-coach des gardiens de Reims) ne viendra pas. Le club s'orienterait vers une solution interne.
A Massot contre les promus ponots
10/06 07:16
D'après Le Progrès, Sainté jouera un match de préparation le mardi 12 juillet au stade Massot (Le Puy) contre le club local, promu en N1 après avoir coiffé au poteau Bergerac (tombeur de l'ASSE en Coupe de France).
Pour rappel, les Verts avaient déjà affronté les Ponots le 10 juillet dernier (2-2 à Aimé Jacquet) lors d'une piètre campagne de préparation marquée par une seule victoire stéphanoise contre Grenoble (2-1 à Andrézieux le 17 juillet).
Avant de l'affronter en L2, l'ASSE devrait justement retrouver le GF38 car le club isérois entraîné par Vincent Hognon, en stage au Chambon-sur-Lignon du 9 au 16 juillet, a annoncé hier un match contre les protégés de Laurent Batlles (le 15 ou le 16 juillet).
Reste à savoir dans quel camp jouera Jordy Gaspar. "Plusieurs rumeurs annoncent le latéral droit grenoblois du côté de Saint-Etienne. Le joueur formé à l'OL et originaire de la banlieue stéphanoise serait tout proche de signer un contrat, lui qui possède un bon de sortie cet été" d'après Le Dauphiné Libéré.
Ça Plagne pour eux ! (2)
10/06 06:47
Selon la dernière édition du Progrès, "l'ASSE partira en stage à La Plagne du 5 au 9 juillet, sans doute avec un match de préparation à la fin de ces cinq jours."
Sainté à l'aube du renouveau (3)
09/06 23:33
Nous vous l'avions annoncé il y a quelques jours. C'est désormais officiel : Romain Brottes, rejoint Laurent Batlles avec lequel il a travaillé à l'ESTAC :
"Âgé de 30 ans, Romain Brottes, spécialiste de l'analyse vidéo, intègre, ce jeudi, le staff professionnel de l'AS Saint-Étienne.
Entré très tôt dans le monde du football, il débute en tant que recruteur à l'ESTAC en 2010. Devenu par la suite analyste vidéo du groupe professionnel troyen, Romain Brottes devient l'un des hommes de confiance de Laurent Batlles tant leur approche du jeu se rejoignent."
Après des études secondaires au lycée Chrestien de Troyes conclues par un baccalauréat Economique et social en 2009, Romain Brottes a validé un DUT Services et réseaux de communication en 2011, puis une licence de l'ingénierie de l'internet et du multimedia indépendant en 2012.
Nadrani n'est plus Seraing
09/06 22:59
Yahya Nadrani (à droite) contre l'Union St Gilloise, champion de Belgique
Formé à l'ASSE, Yahya Nadrani (25 ans) évoluait depuis décembre 2018, en Belgique, au RFC Seraing, club avec lequel il a participé à une remarquable ascension qui l'a vu passer de la D3 à la Jupiter Pro League et s'y maintenir, certes difficilement, en cette saison 2021-2022.
Comme son coach, Jean-Louis Garcia, arrivé, tel un Pascal Dupraz, à la rescousse en janvier dernier, Yahya Nadrani ne fera plus partie de l'effectif des metallos la saison prochaine.
Après son départ de l'ASSE, il était arrivé sans club en Belgique. Il avait crocheté par Juprelle, petite ville au Nord de Liège, où il avait de la famille. Un scout de la région le signala à Seraing, qui le fit signer après deux entraînements…
Celui qui a été le défenseur central le plus assidu des Rouge et Noir, a, récemment, sur le site de RTBF, clamé son amour des Verts : " C’est mon club de cœur, j’allais au stade tout petit et en équipes de jeunes, on nous passait chaque année des vidéos de la grande époque des années 70-80 avec Dominique Rocheteau et Michel Platini "
Il ne manque également pas de faire référence à sa ville natale : " Notre stade, à la fois si atypique et si chaleureux… Depuis 30 ans, les supporters d’ici attendaient de revivre des ambiances de D1A. J’aime ce côté ouvrier, qui sent l’usine : après Saint-Etienne, je reste dans les clubs industriels ! La plupart des clubs qui ont un gros public, ce sont ces clubs qui ont un passé gravé dans leur terroir. Il faut toujours s’appuyer sur ces valeurs. Tous ces gens modestes, ces enfants qui viennent au stade avec leurs parents, ça renvoie à l’humain. On est reconnaissant de leur fidélité, et la moindre des choses, c’est de mouiller le maillot pour eux. "
Yahya Nadrani, c'est un pur produit de la formation stéphanoise. De l'école de foot, au centre de formation, il a gravi tous les échelons :
- 2011-2012 : U15 avec Philippe Guillemet : champion de Ligue
- 2012-2013 : U17 avec Gilles Rodriguez et Lionel Vaillant : champion de France
- 2013-2014 : U17 avec Gilles Rodriguez et Lionel Vaillant
- 2014-2015 : U19 avec Jean-Philippe Primard
- 2015-2016 : U19 avec Jean-Philippe Primard, battu en 1/2 finale du championnat de France par le PSG
2016-2017 : CFA2 avec Laurent Batlles
Yahya Nadrani a la particularité d'avoir mené des études, parallèlement à sa carrière de footballeur. Jusqu’en début de saison 2021-2022, il faisait à Liège des études universitaires… de biologie !
" J’ai toujours aimé apprendre et au départ, je voulais faire la médecine… mais c’était trop d’années d’études. En fait, je suis un peu tout-terrain : je m’intéresse à la politique, à la psychologie, à la culture… Mais à la télé, je regarde surtout des matches de foot, pas que des documentaires ARTE ! La biologie, c’est bien quand on fait du sport : je connais le fonctionnement de mon corps, de mes muscles, etc. Quand je vais à l’échographie, je sais de quoi on parle ! J’explique ça au vestiaire : renseignez-vous sur votre métier ! Après, si je leur parle des globules rouges, je vais les perdre tout de suite ! Mais il faut que je me prépare : quand j’aurais des enfants, je devrai répondre à leurs questions ! Et donc les thèmes d’actualité m’intéressent : l’écologie, le réchauffement climatique, la guerre en Ukraine… Avec l’augmentation des carburants, on devra bientôt venir en trottinette ! Prof de biologie plus tard ? Pourquoi pas ? J’aime bien transmettre… En tout cas, je ne ferai pas de politique : quand je vois les débats en France… Trop de trash-talking, trop malsain pour moi... Ou alors en Belgique ? J’ai demandé ma naturalisation… "
Da Costa accoste là !
09/06 16:59
Le site officiel vient de confirmer l’arrivée d’Emmanuel Da Costa comme premier adjoint de Laurent Batlles.
Da Costa, qui entraînait Créteil cette saison, a quitté le club francilien, relégué en National 2, après une saison marquée par des relations très compliquée avec ses dirigeants. Avant cela il avait coaché le SC Lyon (La Duchère) pour une expérience tout aussi délicate.
En revanche, il a brillé à Quevilly qu’il a entrainé sept saisons, avec un titre de meilleur entraîneur de National en 2017 (année de la montée en Ligue 2).
S’ils n’ont pas bossé ensemble Batlles connaît Da Costa pour avoir passé son BEPF avec lui en 2018. Il reste à espérer qu'il ré-endossera les habits de n°2 avec envie et sans arrière pensée.
Paul rejoint Pep ?
09/06 14:51
Gastien, le coach de Clermont, que Dupraz avait chambré pour ses préceptes se réclamant de Guardiola, cherche à recruter Paul Bernardoni d'après la Pravda du jour : Le club aurait jeté son dévolu sur Paul Bernardoni (…) En plus de connaître la Ligue 1, où il a disputé près de 150 matchs, Bernardoni possède l’avantage d’avoir joué une saison à Clermont (2017-18). En revanche son salaire (75 000€ bruts mensuels à l’ASSE) est rédhibitoire pour le club auvergnat, qui n’offre pas de rémunération aussi élevée. Un prêt pourrait être la solution idéale pour contenter toutes les parties.