Galette veut tout gagner à Paris
16/07 08:08
Nouvel entraîneur d'une équipe qui a battu hier 2-0 QRM (que l'ASSE affrontera dans un mois lors de la 3e journée de L2), Christophe Galtier s'est confié à la Pravda. Extraits.
"Ma plus grande découverte est le talent des joueurs. Incroyable. La qualité technique lors des premières séances, l'application des uns et des autres, l'enchaînement technique... Notre travail, avec mon staff, avec Luis Campos, c'est d'amener l'équipe sur ce qu'on veut voir d'elle. Je dois aussi m'appuyer sur leur vécu - que je n'ai pas -, pour les amener là où je veux. Et là où je veux, je suis sûr que c'est là qu'ils veulent aller aussi.
Je comprends qu'il y ait ce débat sur ma légitimité, d'autant plus qu'en Ligue des champions avec Lille, on a fait un mauvais parcours. Mais ces six matches me serviront. Après, je ne suis pas le porte-drapeau des entraîneurs français. À moi de montrer que je suis capable d'être à la tête d'une armée de très, très grands joueurs. Si je ne m'étais pas senti capable d'assumer cette pression, je serais ailleurs.
On ne m'a pas assigné un objectif en Ligue des champions. Tout le monde ne va pas être satisfait, mais c'est la vérité. Une fois que vous êtes au PSG, vous avez toujours l'obligation de résultats. Je suis très ambitieux. Avec beaucoup d'humilité. Je suis venu à Paris pour gagner. Il y a déjà trois titres nationaux : il faut les gagner. Il faut battre des records. Et en toute modestie, je vous le dis : je suis venu à Paris pour tout gagner.
Vous me demandez pourquoi le PSG gagnerait plus la Ligue des champions avec moi sur son banc qu'avec Laurent Blanc, Thomas Tuchel ou Mauricio Pochettino ? Et pourquoi pas ? Vous savez qui a gagné la première Ligue des champions avec Chelsea ? C'est Roberto Di Matteo. Qui aurait mis un centime sur lui ?"
Mots Tell
16/07 07:41
Le Dauphiné Libéré a recueilli la brève réaction de Jordan Tell, auteur du but égalisateur de Grenoble contre Sainté hier après que Pape Meïssa Ba a mis dans le vent un Anthony Briançon un peu lent sur cette action mais auteur par ailleurs d'une solide prestation.
"C’est important de se mettre en confiance. On préfère quand ces buts-là marquent des points. Je me suis senti de mieux en mieux. Les automatismes sont là. En première, on devait rectifier car Saint-Étienne jouait très bien au ballon. Il y aura de belles rencontres à jouer contre eux en Ligue 2."
Jurdie fier d'être supporter des Verts
16/07 07:10
Huit ans après l'entretien qu'il nous avait accordé, le directeur sportif d'AG2R Julien Jurdie a de nouveau parlé de sa passion pour les Verts hier dans le quotidien belge La Dernière Heure - Les Sports, le Tour de France faisant actuellement étape à Sainté. Extraits.
"Mon amour pour ma ville et mon club est si fort que je me suis fait tatouer le blason de Saint-Étienne sur le ventre ! Ce tatouage synthétise en effet ces deux choses, il a un double sens. Je suis fier de l’endroit où je suis né et des valeurs que porte cette ville mais aussi amoureux de l’ASSE dont le maillot est orné de cet emblème.
Comment est née ma passion dévorante pour l’AS Saint-Étienne ? L’histoire est assez simple. Je suis né dans cette ville il y a maintenant 49 ans de cela. Quand on voit le jour à Saint-Étienne, l’ASSE est quelque chose qui vous prend aux tripes de manière très naturelle, cela relève de la culture même de la ville. J’habite toujours à quelques kilomètres du stade et je considère que cela fait partie de mon identité à part entière.
Assez rapidement, quand on est gamin, on prend forcément le chemin de Geoffroy Guichard dans le sillage d’un papa ou d’un grand frère. Et une fois que vous avez mis un pied dans le chaudron, le virus est alors inoculé de manière immédiate. Même si je suis trop jeune pour avoir vécu de près l’épopée verte des années 1970 et 1980, elle a construit la légende du club et a installé celui-ci comme l’un des clubs les plus historiques de France. Il y a donc une forme de fierté de supporter l’ASSE.
Le club est très autant ancré dans la ville, ce n’est pas le cas de toutes les équipes de foot...Cela tient sans doute dans le profil social de Saint-Étienne. La ville est essentiellement habitée par une population ouvrière qui, le dimanche, n’a pas pléthore de potentiels loisirs accessibles. Cela constitue, sans vouloir basculer dans le cliché, le délassement de la classe populaire. Comme on allait à la messe autrefois le dimanche matin, on va au stade l’après-midi. C’est un petit peu comparable à la ferveur qui peut régner à Lens que vous connaissez peut-être mieux en Belgique puisque posé juste de l’autre côté de la frontière.
Je ne me souviens pas précisément de mon premier match à Geoffroy-Guichard. Je devais avoir entre 8 et 10 ans. C’était une forme d’aboutissement tant j’avais entendu parler de l’ambiance du stade lors des repas familiaux... (rires). À l’heure du dessert, l’épopée européenne des Verts revenait immanquablement sur le tapis. Quand on y repense, c’est assez fou de se dire qu’une équipe issue de la Loire puisse défiler sur les Champs-Élysées après avoir perdu la finale de la Ligue des champions. C’est clairement quelque chose qui n’existera probablement plus jamais. Toute la France supportait Saint-Étienne à cette époque.
Le stade Geoffroy-Guichard est un lieu marquant de ma vie, totalement. Même s’il est compliqué, avec l’agenda qui est le mien aujourd’hui, d’assister à beaucoup de matchs lors d’une saison, je tente toujours de saisir les opportunités d’aller encourager mon équipe. C’est un plaisir tellement intense. Je ne suis assurément pas objectif, mais l’ambiance y est assez unique. Autrefois je prenais souvent place dans les blocs qui jouxtent le kop, où cela bouge et bouscule vraiment beaucoup (rires). Mais j’ai la chance de désormais être régulièrement invité en loges d’où je prends toujours beaucoup de plaisir à profiter du spectacle qu’offrent les supporters les plus chauds.
Combien de matchs je parviens encore à voir dans le Chaudron chaque saison ? En fonction de mon agenda, cela oscille entre cinq et sept en moyenne chaque année. C’est, à peu de chose près, dès que je peux. Je combine parfois des déplacements liés aux courses avec un match à l’extérieur. Je suis allé à Lens et Nice dernièrement par exemple. J’ai absolument tous les abonnements télés qui existent et les accès internet qui existent désormais me permettent donc de suivre mon équipe favorite.
Lorsque je suis en course, je suis discrètement cela sur mon téléphone. Si je sais que Saint-Étienne joue, il m’est tout simplement impossible de ne pas jeter un œil sur l’évolution du résultat toutes les dix à quinze minutes. Je discute parfois football avec certains de mes coureurs, essentiellement avec Greg Van Avermaet. C’est un vrai connaisseur, on voit qu’il a évolué à un bon niveau dans la manière dont il parle et analyse les rencontres. Il aime plutôt bien me chambrer au lendemain d’une défaite et il ne m’a pas raté sur le Dauphiné juste après notre relégation en Ligue 2...
J’ai construit une relation privilégiée avec deux anciens entraîneurs des Verts, Elie Baup et Christophe Galtier. Ce qui est beau dans cette histoire, c’est que ça perdure puisque j’ai passé un week-end avec Élie dans les Pyrénées il n’y a pas très longtemps. À la base de notre amitié, il y a une passion réciproque pour nos sports respectifs puisque tous deux sont de véritables amoureux du cyclisme. Élie faisait même du vélo autrefois lui-même alors que j’ai pu emmener Christophe dans ma voiture sur une étape du Tour, l’année où Romain Bardet a terminé sur le podium final à Paris.
On se nourrit réciproquement de nos approches respectives du management. Christophe Galtier m’a appris beaucoup de choses en matière d’analyse vidéo, un outil que j’utilise de plus en plus dans l’approche et le débriefing des courses. On discute également beaucoup de la gestion humaine d’un groupe. Nice, que Christophe entraînait jusqu’en fin de saison dernière, était par ailleurs parrainé par Ineos, le sponsor titre de l’équipe cycliste du même nom. Il échangeait donc beaucoup avec Dave Brailsford, le manager de l’armada britannique, et il était très intéressant d’observer les ponts qu’ils pouvaient créer entre les deux disciplines.”
Une belle opposition pour Hognon
15/07 23:06
Content de ce que sa rugueuse équipe a montré contre son ancien club, Vincent Hognon a livré sa réaction au Progrès suite au match nul entre l'ASSE et le GF38.
"Je suis très satisfait du niveau de ce match et de l’engagement mis par les joueurs, même si c’était parfois un peu trop. Saint-Étienne nous a posé des problèmes en début de match, mais on a aussi eu de bonnes périodes. Il y a eu du bon et du moins bon mais on jouait un adversaire de grande qualité. On a parfois fait preuve de trop de naïveté sur des coups de pied arrêtés joués rapidement. On a encore du travail mais c’était une belle opposition. Je pense que la vidéo va nous donner un bon axe de travail pour remédier à ça."
Dekoké ne retrouvera pas les Verts
15/07 22:57
Ayant joué 27 matches de L2 la saison dernière avec QRM, Nathan Dekoké ne jouera pas contre son club formateur le match de clôture de la 3e journée programmé le jour de l'Assomption au stade Robert Diochon. L'ancien champion de France U17 de l'ASSE s'est en effet engagé ce vendredi avec Bourg-Péronnas. Présidé par David Venditelli, (ex-agent de Loïc Perrin), ce club de National 1 a longtemps joué la montée avec Anthony Maisonnial (parti à Andrézieux) et Benjamin Corgnet (libre) avant de flancher.
Batlles en a gros sur la patate
15/07 22:49
Laurent Batlles a livré sa réaction au Dauphiné Libéré suite au match nul concédé par son équipe face à Grenoble ce soir au Chambon-sur-Lignon. Extraits.
"C’est difficile d’analyser un match, j’en ai gros sur la patate car on perd un joueur sur blessure [Dylan Chambost s'est fracturé le radius, ndp2]. Il y a eu des choses intéressantes, en étant plus méchants, on aurait pu gagner ce match. Il y a eu beaucoup de changements. Nous avons une équipe ambitieuse et concernée. Je suis satisfait par l’investissement, le jeu qu’on a produit. On prend un but sur un coup du sort [en fait sur un contre rondement mené sur l'aile gauche où Pape Meissa Ba a mis dans le vent Anthony Briançon, ndp2]. Mais j’ai vu des joueurs qui étaient concernés.
Il y a un bon état d’esprit. On construit quelque chose qui va être long, on va être attendu partout. Ça ne va pas être facile. Il faut nous laisser le temps de construire. J’ai été content de revoir certains dirigeants, Brice Maubleu ou Loris Néry. C’est toujours plaisant de les revoir. C’est important de jouer contre ce genre d’équipe de bon niveau, et on peut être sûr que rien ne sera facile dans le championnat cette année."
Fracture du radius pour Chambost
15/07 22:36
D'après nos informations, Dylan Chambost va se faire opérer ce soir après s'être fracturé le radius contre Grenoble. Nous lui souhaitons un prompt rétablissement !
Honorat a performé tout en étant diminué
15/07 21:35
Franck Honorat, qui a marqué tout en étant diminué il y a trois mois à Geoffroy le dernier de ses 11 buts de la saison, s'est confié aujourd'hui à Ouest-France. Extraits.
"Dès le stage de préparation de la saison dernière, j’ai ressenti des douleurs au tendon d’Achille, ce n’était qu’une inflammation au début. Ça partait, ça revenait, et ça toute l’année. Jusqu’au match à Saint-Etienne où je n’arrivais plus. Contre Lyon, je n’ai pas réussi à continuer ma course. Je ne pouvais plus accélérer. C’était une longue saison, avec une blessure que j’ai traînée depuis juillet. Avec les soins, on a réussi à faire en sorte que ça ne s’aggrave pas et que je puisse enchaîner les matches.
À la fin de saison dernière, j’ai essayé de forcer sur les derniers matches pour continuer à aider l’équipe. J’avais aussi envie d’augmenter mes statistiques. Mais mon corps n’arrivait plus à suivre. Je ne pouvais plus accélérer alors que c’est l’une de mes premières qualités. J’ai dû dire stop, prendre un peu de repos. On m’a pris du sang, mis dans une centrifugeuse, séparé les globules rouges du plasma, et on a pris celui-ci pour l’envoyer dans le tendon. On a aussi gratté à la fin pour créer une douleur afin que ça cicatrise mieux.
Cette dernière saison est conforme à ce que j’attendais : confirmer. Je voulais continuer à faire des statistiques et maintenir le club en Ligue 1. Le plus dur, comme je le répète, c’est d’être régulier. Il ne s’agit pas d’être bon, de faire un match exceptionnel, deux autres mauvais, etc... Pour moi, le but est d’être constant, de marquer des buts, de faire des passes décisives tout au long de l’année. Je pense qu’il y a toujours des choses à améliorer mais c’était une bonne saison.
Avec la saison que j’ai faite, heureusement que des clubs se sont renseignés sur moi. Sinon, je me serais posé des questions. Mais la priorité, c’est de bien revenir, de bien me sentir physiquement et mentalement. Car ça faisait longtemps que je n’avais pas touché un ballon. Comme je l’ai déjà dit, s’il y a un beau projet qui m’intéresse sur le plan footballistique, on en discutera avec mes agents et Grégory Lorenzi. Qu’est-ce qu’un bon projet ? La Ligue Europa, pourquoi pas ?
Ça peut aussi être la continuité au Stade Brestois… Je suis bien ici. Ma femme aussi. Même au club, je m’entends bien avec tout le monde. Je pense que ça se ressent sur le terrain. C’est l’une des premières fois où je me sens libéré, à 100 % moi-même. La dernière fois, c’était à Clermont, en Ligue 2. Là, c’est le cas en Ligue 1. J’ai retrouvé mon football dans un club chaleureux, familial, accueillant, avec des supporters qui nous poussent à chaque fois, qu’on soit bon ou mauvais. C’est un club qui nous pousse vers le haut. Si je n’étais pas passé par là, je n’aurais peut-être jamais su que je pouvais marquer un but en L1 et faire des grosses saisons comme ça."
Pour rappel, Franck Honorat a claqué 19 pions lors de ses deux dernières saisons de L1 au Stade Brestois. Il n'avait pas trouvé le chemin sous le maillot vert en 16 matches officiels (dont 12 dans l'élite) joués de novembre 2019 à mars 2020 sous les ordres de Claude Puel, qui l'avait lancé en Ligue 1 dès le 3 novembre 2013 à l'Allianz Riviera.
Pas de 3e victoire consécutive
15/07 20:26
Après deux succès contre Evian (3-0) et Le Puy (1-0), les Verts ont concédé le match nul contre Grenoble, pensionnaire de L2, ce soir (1-1).
Les stéphanois ont entamé le match en 3-4-3 avec Green dans les buts, une défense composée de Briançon, Giraudon et Silva. Au milieu, Neyou, Camara, Youssouf et Chambost. Maçon et Abi ont occupé les côtés et Krasso a pris les rênes de l'attaque. A peine de retour dans son club formateur, Dylan Chambost s'est blessé au bras en début de match. Emmené par les pompiers, il se pourrait qu'il rate la fin de la préparation. C'est en toute fin de premier acte que les Verts ont ouvert le score par Jean-Philippe Krasso, après une ouverture d'Antoine Gauthier qui avait remplacé Chambost.
En deuxième période, les stéphanois ont concédé un but d'entrée par Jordan Tell sur contre-attaque. Peu après, Laurent Batlles a opéré une large revue d'effectif avec les entrées de Bakayoko, Moukoudi, Nadé, Mouton, Palencia, Gabard, Aiki, Rivera et Othman.
Prochaine rencontre pour les Verts, face à Bordeaux dans cinq jours, mercredi 20 à 18h à Vichy.
Benalouane retourne en Italie
15/07 16:15
N'ayant joué que 9 matches toutes compétitions confondues dont 5 en tant que titulaire lors de sa seconde saison à l'Aris Salonique (nouveau club de Bryan Dabo), Yohan Benalouane (35 ans) s'est engagé hier pour un (plus une année en option) avec le Novara FC, club de Série C (3e division) basé dans le Piémont. Pour rappel, l'ancien défenseur central stéphanois connaît bien l'Italie pour avoir joué en Série A à Cesena, Parme et Bergame.
Pajot chez Spano (3)
15/07 14:16
Dans la dernière édition du Républicain Lorrain, Vincent Pajot explique pourquoi il a quitté le relégué messin pour le promu annécien. Extraits.
"En mai dernier, j'avais indiqué que je n'étais pas opposé à l'idée de poursuivre au FC Metz. Il y avait beaucoup de rancoeur par rapport à l'issue de la saison et la relégation, je ne voulais pas passer pour un fuyard. Je n'étais pas opposé à lidée de rester, même en L2. C'était un challange à relever, le FC Metz a fait en sorte que je prolonge. Mais ça ne s'est finalement pas goupillé comme je pouvais l'espérer.
Un paramètre a pesé dans la balance : le départ du coach. J'étais très proche de Fédéric Antonetti, il m'a beaucoup apporté durant ma carrière. Relever le défi de la L2 avec lui aurait pu faire pencher la décision. Mais au final il n'est plus là et je crois que j'avais quand même envie d'un nouveau challenge, de quelque chose de différent.
Le FC Annecy est un club en plein développement, qui a de l'ambition tout en restant modéré. J'ai forcément fait des choix, notamment financiers, mais j'ai très vite été séduit par les personnes que j'ai rencontrées et par le projet. Même si je vais bientôt avoir 32 ans, je ne veux pas que les gens pensent que je viens à Annecy en pré-retraite. Je vais m'investir à 100%."
L'ancien milieu de terrain stéphanois évolue donc désormais aux côtés de l'ancien réserviste stéphanois Romain Spano, qui a marqué jeudi dernier le premier but de la victoire (2-0) des Hauts-Savoyards contre les Nîmois. Défaits auparavant sur le même score par le TFC, les Crocodiles ont affiché des lacunes qui ne demandent qu'à être exploitées par les Verts dans trois semaines dans le Chaudron lors de la 2e journée de L2...
Gourna, un départ qui fout les (Red) boules (3)
15/07 12:52
L'ancien milieu de terrain stéphanois Lucas Gourna-Douath, qui fêtera le 5 août ses 19 ans, s'est confié sur la chaîne youtube de son nouveau club. Extraits.
"C’est une grande fierté de signer dans l’un des plus grands clubs d’Autriche. On connaît l’histoire du RB Salzbourg, j’avais à cœur de rejoindre ce club. Je suis très heureux d’avoir signé ici. J’apprécie le côté familial de ce club, ils aiment bien faire jouer les jeunes. C’est un bon club tremplin. On sait aussi qu’ils sont très exigeants, sur la Ligue des Champions notamment. Je suis un joueur très attachant, très respectueux de l’institution et du maillot que je porte. J’aime gagner, je ne lâche jamais rien, je suis un joueur qui mouillera le maillot jusqu’à la fin. J’espère amener tout mon talent possible pour aider l’équipe.
J’ai été formé dans un club qui s’appelle l’AS Saint-Etienne, un grand club français ou il y avait de très, très grands joueurs à mes côtés. J’ai été très fier de faire autant de matches pour mon âge mais comme on dit chez nous c’est le fruit du travail. On a travaillé, le club a tout fait pour moi, pour me mettre dans les meilleures conditions. J’ai fait 61 matches, c’est un travail au quotidien avec mon ancien staff, mon ancienne équipe. Je suis très fier d’avoir fait tous ces matches à mon jeune âge dans un très grand championnat où il y a les plus grands joueurs du monde comme Kylian Mbappé et Lionel Messi.
Depuis que je suis petit, depuis l’école, j’aime jouer au foot et prendre les commandes. J’aime commander mes camarades, mon leadership vient de là. J’ai toujours été avec les plus grands, avec mes grands frères. Leur maturité m’a beaucoup servi. C’est pour ça que j’essaye de transmettre ce côté mature et ce leadership sur le terrain. C’est pour ça qu’on me décrit comme un joueur ayant une aura assez positive avec un grand leadership. Oui, ça fait partie de mes qualités premières. Mais je n’ai que 18 ans, je n’ai rien fait dans le foot. Même si j’ai fait une soixantaine de matches en L1, je dois travailler un peu sur tout.
J’arrive dans un club plus huppé que mon club formateur même si Saint-Etienne est un très, très grand club français. Je dois travailler sur tout, tout revoir. J’espère que le coach m’apprendra de jour en jour. Tout le monde le sait, j’ai des idoles. J’aime bien Paul Pogba, Patrick Vieira, Yaya Touré, Claude Makélélé. Ce sont de très grands joueurs français qui évoluent à mon poste [Yaya Touré est Ivoirien, ndp2]. Ils ont ce leadership et cette rage de vaincre donc ça fait partie de mes exemples. Moi on me surnomme « la jeune pioche » ou « l’ingé ». J’aime bien gérer, commander. Je suis dans le leadership, dans la gestion."
En L2, les Verts sont des bleus
15/07 11:38
Si l'ASSE reste le 3ème club de l'histoire de Ligue 1 derrière Marseille et Bordeaux en nombre de matchs joués (2532) et gagnés (1062), son bilan en Ligue 2 est forcément plus modeste.
Selon la Ligue (qu'on adule toujours), les Verts parmi les 19 engagés du prochain championnat (Bordeaux n'apparaît pas dans le classement) ne présentent que le 14ème bilan avec 236 matchs joués et 87 victoires. C'est Niort (922 matchs) qui domine ce classement devant Laval (818) et Le Havre (750).
Un Tour de Magic
15/07 07:59
Les cyclistes du Tour de France arrivant aujourd'hui à Saint-Etienne, les Magic Fans invitent sur leur compte twitter les supporters à manifester leur opposition aux dirigeants de l'ASSE en arborant des masques de clown à l'effigie de Roro, Nanard et Jef.
Toi aussi tu en as marre d'être gouverné par des clowns? À l'occasion du passage du Tour de France, choisis ton masque favori et affiche ta détermination à faire faire demi-tour à la direction! pic.twitter.com/lpgMtfORUy
— Magic Fans 1991 (@MF91Officiel) July 15, 2022
Tardieu, ça ne saurait tarder ? (2)
15/07 07:26
Après avoir récupéré Dylan Chambost et Jimmy Giraudon, Laurent Batlles espère toujours récupérer d'autres joueurs qu'il a entraînés à Troyes comme le milieu de terrain Florian Tardieu. Dans sa dernière édition, L'Est-Eclair évoque les tensions qui règnent actuellement à l'Estac. Extraits.
"Les relations entre l’entraîneur de l’Estac et des joueurs sont très tendues, avec pour conséquence des velléités de départ de joueurs troyens, dont des cadres. On pensait que les vacances avaient calmé les esprits, que le maintien avait fait oublier les points de tension entre joueurs et entraîneur qui avaient jalonné les six premiers mois de Bruno Irles à l’Estac. Mais que lui est-il reproché au juste ? En premier lieu, son management au quotidien, jugé froid et autoritaire par une partie de l’effectif (ce n’est pas non plus l’intégralité du vestiaire). Un sentiment qui s’est confirmé durant le stage d’une semaine à Vichy, que certains ont trouvé « militaire ». Autre reproche, déjà formulé en début de son mandat, le contenu des séances d’entraînement, dans lesquelles une partie des joueurs dit ne pas prendre de plaisir.
L’heure est encore aux discussions, aux débats afin de trouver un terrain d’entente, mais pas à se séparer de Bruno Irles, contrairement à la tendance annoncée par Foot Mercato. "Il n’y a aucun doute sur le fait qu’on ait envie de travailler avec Bruno, assène le directeur sportif François Vitali. On va créer les conditions pour que l’Estac réussisse avec Bruno, en lui donnant les moyens de travailler avec un effectif cohérent. C’est ce à quoi travaille le club. Son effectif actuel n’est pas celui qui va faire la compétition, veut rassurer le directeur sportif. Il patiente actuellement, comme les joueurs patientent avant que l’effectif soit beaucoup plus complet pour aborder le championnat. On fera tout pour aborder de manière cohérente la compétition. Et cette compétition se fera avec Bruno."
Un derby pour Manu Perez
15/07 07:00
Le milieu défensif grenoblois Manu Perez s'est confié au Dauphiné Libéré avant de défier les Verts au Chambon-sur-Lignon ce vendredi dès 18h00.
"On a beaucoup de jeunes joueurs et on est là pour les aider et les accompagner. Ces matchs de préparation, ça sert aussi à ça. À intégrer les nouveaux, à travailler nos automatismes. Je suis confiant. Après avoir gagné contre Auxerre et Clermont, on va cette fois affronter une équipe qu'on va retrouver en Ligue 2.
On n’est pas encore dans la compétition, il n’y aura pas d’animosité pendant le match au Chambon-sur-Lignon. Saint-Etienne, c’est un club historique. Au cours de la saison, ce sera deux très belles confrontations. C’est aussi un derby, on sait que c’est important pour les supporters mais aussi pour nous, les joueurs."
Pas de rang d'oignon avec Hognon
15/07 06:47
L'entraîneur grenoblois Vincent Hognon compte faire des expérimentations tactiques aujourd'hui au Chambon-sur-Lignon contre son ancien club, comme il l'explique dans la dernière édition du Dauphiné Libéré.
"Saint-Etienne fait partie des gros clubs pour la saison qui arrive. Pour le moment, on verra comment on jouera contre eux vendredi. J’ai envie de tester plusieurs choses. Ce n’est pas dit que je vais rester en 4–3–3, je veux voir des choses différentes. C’est important pour le groupe qu’on sache s’adapter, changer de tactiques. On profite de ce genre de rencontres pour tester des nouvelles choses."
On a le babaud, on aura Cafaro ?
14/07 21:52
Si le départ de Lucas Gourna nous a donné le babaud, le mercato est loin d'être clos. D'après Le Progrès, "le board stéphanois discute avec Mathieu Cafaro (Standard de Liège). L’ancien milieu offensif rémois de 25 ans, transféré en Belgique l’hiver dernier et sous contrat jusqu’en 2025, pourrait donc revenir en France cet été."
Passé par le TFC où il aura évolué sous les ordres de Pascal Dupraz, c'est surtout sous la houlette de David Guion que le natif de Saint-Doulchard (Cher) s'est affirmé au Stade de Reims. Parti dans le Plat Pays car il n'entrait pas dans les plans d'Oscar Garcia, il a marqué cette année 2 buts en 12 matches avec les Rouches, qui ont fini à une piètre 14e place en L1 belge.
Tardieu, ça ne saurait tarder ?
14/07 21:13
Il y a 5 semaines, la Pravda avait indiqué que Laurent Batlles avait fait de Florian Tardieu sa priorité. Le Progrès a indiqué ce soir que l'ASSE est en discussion avec ce milieu défensif de 30 ans, actuellement sous contrat avec l'ESTAC jusqu'en 2024.
Un nouveau Roumain à Sainté ?
14/07 15:07
Après avoir compté dans ses rangs Bănel Nicoliță (28 matchs entre 2011 et 2013, 4 buts), l'ASSE envisagerait de recruter une pépite roumaine du Rapid Bucarest, Rares Ilie, selon le site roumain Digisport :
"La nouveauté, c'est que Nice n'est pas le seul club intéressé par le footballeur entraîné par Adrian Mutu. St. Etienne a rejoint les rangs, un club qui, bien que relégué, est l'un des clubs les plus importants de France. St. Etienne, avec qui Bănel Nicoliţă a joué, a fait « une meilleure offre que Nice », comme l'une des sources impliquées dans les pourparlers précise pour Digi Sport. Cet été, le club a vendu Lucas Gourna-Douath, un footballeur de 18 ans, pour 13 millions d'euros à Salzbourg."
Bajic sera moins protégé
14/07 13:30
Nouvelle recrue de Bristol, Stefan Bajic s'est confié à la Pravda :
"Je sortais d'un pari réussi à Pau. Bristol est venu aux renseignements. Le déclic s'est produit quand j'ai visité leurs installations. J'ai été impressionné, j'ai discuté avec les membres du staff. J'ai aimé leur discours ambitieux et j'ai senti que c'était le meilleur endroit pour continuer à progresser. Ce Championnat n'a rien à voir avec la Ligue 2, il y a un très bon niveau. J'ai pu m'en rendre compte en regardant les matches amicaux de mon équipe. J'ai eu la chance de jouer en L1 et en L2 : je situe le niveau entre les cinq meilleurs de L2 et la deuxième partie de tableau de L1.
Avant d'aller là-bas, j'ai analysé les matches de Championship. C'est un Championnat très physique. Le gardien y est beaucoup moins protégé qu'en France. Dans le domaine aérien, je vais devoir être deux fois plus performant. Il y a aussi la gestion de ma zone. Un gardien ne doit pas seulement être bon sur la ligne. Être plus haut dans mon positionnement, gérer la profondeur qui est un de mes points forts. Le jeu au pied aussi. En Angleterre, il est très développé. Les blocs sont plus hauts.
Je me remets d'une opération au poignet. En février, je me suis blessé. J'avais mal mais je n'étais pas au courant que j'avais une fracture du scaphoïde. Ce n'est qu'en fin de saison que j'ai fait des radios et que ça a été détecté. Le club ne veut pas prendre de risque et il faut encore quelques semaines pour s'en remettre. Je bosse aussi à côté : le jeu au pied, je fais de la musculation du bas du corps."
Un nouveau maillot trop petit pour Victor
14/07 13:26
Selon le compte rennais Rouge Mémoire, la réserve du Stade Rennais (promue en N2) vient d'enregistrer le renfort de Victor Petit (21 ans). Arrivé à l'ASSE en 2014 en provenance de Chambéry, le milieu défensif avait signé un contrat pro de trois ans il y a trois ans. Mais le vainqueur de la Coupe Gambardella n'aura pas fait la moindre apparition en équipe première en match officiel.
Pour rappel, il était seulement entré en jeu contre Le Puy et Grenoble l'été dernier lors de la médiocre préparation estivale de l'équipe de Claude Puel. On souhaite à l'ancien capitaine (en N3) de Razik Nedder de trouver un maillot rouge à sa taille. Sans doute abusés par son patronyme, les Bretons semblaient manifestement ignorer que le numéro 6 culmine à 1m93....
La Passion dans le Routard
14/07 12:18
Ecrit par Christophe Verneyre, publié en mai 2021 aux éditions En Exergue et adoré par Dieu, La Passion selon Saint-Etienne fait partie des 5 romans recommandés par Le Routard La Loire paru le mois dernier aux éditions Hachette.
Le cofondateur de Poteaux Carrés côtoie Sabri Louatah (mis en avant pour son bouquin Les Sauvages adapté dans une série diffusée il y a trois ans sur Canal Plus), Charles Exbrayat (cité pour Jules Matrat et Il faut chanter Isabelle) et Honoré d'Urfé (honoré pour L'Astrée, premier roman fleuve de la littérature française écrit au début du XVIIe siècle).
Et Sainté dynamita Kiev
14/07 07:05
Pour Jacques Vendroux, Dominique Bathenay est revenu sur le mythique quart de finale de 1976 contre le Dynamo Kiev la semaine dernière sur Europe 1. Extraits.
"Le quart de finale aller contre Kiev est déplacé à Simferopol. Je ne sais pas où c’est. Personne ne sait où c’est. On arrive là-bas au mois début mars 1976. C’est encore l’hiver, il ne fait pas très chaud. Il n’y a pas grand monde dans les rues. Ça change un petit peu de notre quotidien. Les hôtels ne sont pas rustiques mais bon… Il n’y a vraiment que le minimum. Les lits sont petits, Osvaldo dépasse du sien, il a les pieds en dehors de la couverture. Il y a toujours du monde qui surveille ce que l’on fait. Ce n’est pas quelque chose de très rassurant.
Dans les tribunes il y a beaucoup de militaires, c’est une ambiance un peu surréaliste. C’est entre chien et loup, on n’est pas au mieux. Sur le terrain non plus on n’est pas au mieux. C’est le Dynamo de Kiev qui avait remporté la Coupe des Coupes l’année d’avant. C’est pratiquement l’équipe de l’URSS. Une grosse, grosse équipe avec de grands joueurs. Miraculeusement, on ne perd que 2-0 alors qu’on n’a pas vu le ballon. Ivan a fait des miracles. C’est un gardien assez exceptionnel dans ses talents de gardien mais aussi d’organisateur, de chef de défense. Sur ce match-là, c’est lui qui nous maintient à flots parce que c’était un raz de marée. Ivan est celui qui nous permet d’envisager peut-être le retour avec bonheur.
La presse dans sa majorité nous voit éliminés par le Dynamo de Kiev mais nous on sait qu’on l’a fait déjà avec Split donc on se dit qu’on peut le refaire. Et ça c’est dans la tête de tous les joueurs, c’est dans la tête du club. Quand on rentre sur le terrain, je me souviens qu’on est hyper concentré. Le public est là. On regarde un peu nos adversaires et on voit qu’ils ont des yeux un peu étonnés de cette furia dans les tribunes. N’oublions pas que Saint-Etienne est un chaudron. Nous on le sait ; nos adversaires, pas toujours. Quand le gardien du Dynamo Kiev vient rejoindre sa surface de réparation, on sent qu’il n’est pas très tranquille.
Les gens sont derrière nous, on sent qu’il peut se passer quelque chose. Ils ont confiance en nous, ils ont confiance en eux. On sait qu’on doit donner beaucoup pour qu’ils nous rendent beaucoup. C’est à nous de les emmener pour essayer de renverser cette équipe de Kiev. Il y a 0-0 et en seconde période, tout bascule en quelques secondes. Blokhine échappe à Gérard Janvion, échappe à Christian Lopez et se présente quasiment tout seul devant Ivan Curkovic qui temporise. Et Christian Lopez, qui ne renonce jamais, revient. Blokhine a un excès de confiance, il tergiverse. Christian arrive à lui subtiliser le ballon à relancer n’importe où, ça tombe sur Osvaldo Piazza et sur cette contre-attaque on marque.
Et là c’est le déclenchement de la folie dans le stade. On a fait la moitié du chemin, on n’est pas loin, les gens le savent. Et ça va commencer par être compliqué pour les joueurs de Kiev. Après 90 minutes, 2-0. Prolongation. On reste sur le terrain, tout le monde est épuisé. Jean-Michel a des crampes, Dominique Rocheteau aussi. On a quand même donné beaucoup mais les joueurs du Dynamo Kiev ne sont pas au mieux non plus. Tout va se jouer au mental. On sait que ça va être difficile mais on est là, toujours vivants. C’est un match qui prend des proportions inimaginables. On marque un troisième sur une superbe action entre Jacques Santini, Patrick Revelli et Dominique Rocheteau, qui voulait sortir un peu avant mais qui est là pour mettre le ballon au fond des filets.
Il y a plein de monde sur le terrain. C’est une époque où tout le monde pouvait entrer sur le terrain, les journalistes, les photographes. La folie gagne Geoffroy-Guichard. Ils ont déjà connu Split et maintenant c’est Kiev. Ils se disent « avec ces joueurs-là, on peut aller au bout du monde ». Et nous on se dit : « Avec ce public-là, on peut renverser des montagnes. » Il y a une osmose entre le public et nous qui est une grandiose. Quand on en parle juste après le match, on se dit « on a vécu un moment exceptionnel. » 3-0, nous voilà en demi-finale ! On est heureux mais on est mesuré. Parfois les plus grandes joies sont silencieuses."
Simo sélectionneur
14/07 06:36
Ancien milieu de terrain des Verts (36 matches, 2 buts lors de la saison 1997-1998) et des Lions Indomptables (23 matches, 5 buts), Augustine Simo (43 ans) a été nommé avant-hier sélectionneur de l'équipe du Cameroun U20. Pour rappel, le natif de Bangangté avait côtoyé Harold Moukoudi au printemps dernier en tant que deuxième adjoint de Rigobert Song.
Nanard a passé des vacances avec Galette
13/07 20:21
Dans un entretien accordé au média argentin Infobae, notre inénarrable Nanard encense une nouvelle fois Galette. Extraits.
"Christophe Galtier a commencé comme entraîneur adjoint et c'est nous, à l'AS Saint-Etienne, qui l'avons nommé entraîneur principal en 2010. C'était un choix risqué pour nous et il est resté chez pendant sept ans, durant lesquelles il remporté la Coupe de la Ligue et s'est qualifié 4 saisons en Coupe d'Europe. Il a entraîné des joueurs comme Pierre-Emerick Aubameyang, Blaise Matuidi, de très bons joueurs que nous avions. Christophe avait d'excellente qualités d'entraîneur qui le faisaient beaucoup progresser chaque année.
Christophe est une bonne personne, qui inspire de la confiance et les joueurs l'aiment beaucoup car il dit toujours la vérité. Ce n'est pas quelqu'un dont les joueurs peuvent faire ce qu'ils veulent car c'est une personne qui a aussi un fort caractère. Il a de bonnes relations humaines et c'est un entraîneur qui connaît le football, la technique et la tactique. Une autre qualité de Christophe est qu'il apprend chaque jour des expériences qui lui sont présentées et passe beaucoup de temps à étudier les adversaires, il a également une équipe d'adjoints très solides.
Au PSG, il va réussir. Notez que le seul qui a remporté une Coupe d'Europe avec Paris était un Français, Luis Fernandez, il y a plus de 20 ans. Mbappe est un garçon très intelligent et je suis sûr qu'il aura une très bonne relation avec Christophe. Comme je le disais, Christophe est un garçon qui a un charisme, il attire les gens, comme sa femme et son fils John. C'est une famille très affectueuse. Ce sont de très bonnes personnes, je suis ami avec eux et nous sommes partis en vacances ensemble, puisqu'il y a une relation très forte entre nous. Le PSG devait sortir de cette mode des entraîneurs argentins, des entraîneurs qui ont une réputation, mais dont les résultats ne sont pas si bons avec l'argent que le Qatar met au PSG."
Diousse va se faire voir chez les Grecs
13/07 19:19
Assane Diousse, qui fêtera ses 25 ans à la fin de l'été, s'est officiellement engagé aujourd'hui pour deux ans avec l'OFI Crète, club grec dont Stathis Tavlaridis a porté les couleurs il y a 10 ans.
Recruté à Empoli pour 5 M€, le milieu de terrain sénégalais avait fait des débuts en vert très prometteurs il y a 5 ans sous les ordres d'Oscar Garcia en volant dans les plumes des Aiglons. Las, il n'aura jamais confirmé par la suite...
Prêté au Chievo Vérone (en 2018-2019) et à Ankaragücü (en 2021-2021), le natif de Dakar n'aura claqué qu'un seul pion (contre Toulouse le 14 janvier 2018) en 54 matches officiels sous le maillot vert (dont 26 en tant que titulaire).
Cette dernière saison, il est le joueur de champ de l'élite qui sera resté le plus de fois sur le banc sans rentrer (19), une stat édifiante quand on sait que 5 changements par match sont autorisés.
Titularisé seulement lors de la piteuse élimination en Coupe de France contre Bergerac, il n'aura joué que 20 minutes en L1 cette saison (10 sous Claude Puel, 10 sous Pascal Dupraz) avant de disputer les 10 dernières minutes de la prolongation du funeste barrage retour contre Auxerre.
Au moins pourra-t-il se targuer d'avoir réussi (contrairement à Ryad Boudebouz) son dernier geste sous le maillot vert en trompant lors de la séance de tirs au but le portier icaunais Donovan Léon. Très maigre consolation...
Gourna, un départ qui fout les (Red) boules (2)
13/07 17:24
Le site officiel du Red Bull Salzbourg comme le nôtre ont confirmé l'arrivée de Lucas Gourna chez le champion d'Autriche.
L'opération vends tes pépites avant 20 piges pour faire grandir ton compte en banque à défaut de ton club se poursuit donc.
Sur le site off de son nouveau club Gourna a déclaré : "Je suis très fier et heureux d'avoir signé pour ce si grand club qu'est le FC Red Bull Salzbourg. J'ai eu de bonnes discussions avec le staff et le coach, et je sens beaucoup de confiance envers moi. Il y a un environnement favorable ici pour les jeunes joueurs, mais c'est aussi un club ambitieux en Ligue des Champions. Avant de signer j'ai discuté avec des connaissances françaises qui ne m'ont dit que des choses positives sur le club. J'ai hâte de découvrir le club, le stade, et les fans, et j'espère réaliser tout mon potentiel ici."
A Diochon pour l'Assomption
13/07 17:17
En match de clôture de la 3e journée de L2, l'ASSE affrontera QRM le lundi 15 août à 20h45 (match diffusé sur beIN Sports). Lors de leur dernier match à Robert-Diochon, le 24 mars 2004, les Verts s'étaient imposés 1-0 contre le RC Rouen de Jean-Guy Wallemme malgré l'expulsion de Fred Mendy dès la 25e minute. C'est Vincent Hognon, que Sainté retrouvera ce vendredi au Chambon, qui avait inscrit l'unique but de la rencontre à la 92e sur un penalty obtenu par Fabrice Jau.
Super sympa pour Vieira
13/07 06:53
Entraîneur du Puy, Roland Vieira commente dans la dernière édition du Progrès la courte défaite de ses protégés contre les Verts. Extraits.
"C’est super sympa que Saint-Etienne ait accepté de venir. C’était encore une petite fête suite à notre montée. La réception de l’ASSE montre que le club évolue et grandit. Pendant des années, on organisait des affiches. Aujourd’hui, on fait partie de l’affiche. C’est top. Ce qu’a proposé l’équipe stéphanoise était intéressant. On reconnaît tout de suite la patte de Laurent, avec des principes de jeu bien identifiés. Ce sera plaisant et c’est ce que le club mérite."