Aulas répond à Nanard
28/12 06:31
Corners en pelote
27/12 22:07
Sinama et les montagnes russes
27/12 15:49
" La Ligue 1 me manque. Mon pays, c’est la France. J’étais très heureux d’y revenir l’an passé. Hélas, je n’avais rien de concret sur un projet sportif qui me convenait et qui convenait à un club. J’ai dû me résoudre à partir. Ça se passe très bien pour moi en Russie. C’est un championnat qui attire pas mal d’Européens avec une expérience de taille. Personnellement, j’essaye de transmettre aux plus jeunes mon vécu. J'ai un rôle de leader. Je joue au milieu de terrain, j’essaye d’apporter ma pierre à l’édifice. Le coach, un Serbe, prône le beau jeu. Il a connu pas mal de championnats européens et dans son système, plutôt physique, il fallait les joueurs pour. Au début, je n’étais pas trop pour et au final, je me suis intégré dans ce registre et ça me plaît. Rostov est un club en grande progression. La ville vient d’être désignée pour la Coupe du Monde 2018, du coup, les dirigeants essayent de monter une belle équipe pour le nouveau stade.
Je suis toujours attaché aux Verts, bien sûr ! Ça reste d’ailleurs une déception de ne pas avoir continué avec eux, surtout après l’année que l’on venait de faire. Du point de vue relationnel, on avait un des meilleurs groupes du championnat. Cela faisait longtemps que je n’avais pas vécu une saison comme celle-là. Pour moi, Saint-Etienne, ce ne devait pas être un passage d’un an. Cette saison, l'ASSE fait un beau parcours même si les Verts sont rentrés un peu dans le rang sur la fin. ça prouve qu’il faut être costaud sur toute une saison et non pas faire les montagnes russes, or, c’est ce qui se passe aujourd’hui. L’euphorie et l’insouciance de la jeunesse actuelle font que l’équipe va bien, mais pour maintenir le cap, il faut que des joueurs matures prennent le relais. L’an dernier, malgré les cadres, nous n’avions pas su le faire sur la durée mais on on a vu que des joueurs d’expérience pouvaient gérer sur certains matches. Et cette année, le club a quand même perdu trois joueurs ayant un certain vécu : Laurent Batlles, Sylvain Marchal et moi."
Boxing day : Sa-ko en 3 reprises
27/12 14:35
L'instant norvégien (6)
27/12 14:25
Max défie Faouzi
27/12 13:46
Pour rappel, le calendrier de l'ASSE à cette période :
32ème de finale Coupe de France, 6 janvier 2013 : Caen - ASSE
J20, 11 janvier 2013 : ASSE - Toulouse
1/2 finale Coupe de la Ligue, 15 janvier 2013 : ASSE - LOSC
J21, 19 janvier 2013 : Brest - ASSE
16ème de finale Coupe de France, 22 ou 23 janvier 2013
J22, 26 janvier 2013 : ASSE - Bastia
J23, 2 février 2013 : Sochaux - ASSE
J24, 9 février 2013: ASSE - Montpellier
J25, 16 février 2013: Reims - ASSE
L'ASSE s'allie avec Alissas
27/12 10:52
Le Barbier d'avant Séville
27/12 10:07
"Du plus loin que je me souvienne, mon intérêt pour le football est venu avec l'A.S. Saint-Etienne. C'était en 1976, à la grande époque des Verts, et j'avais réussi à convaincre mon père de me laisser regarder la première mi-temps de la finale Bayern/Saint-Etienne. Il avait accepté, mais j'ai dû malheureusement quitter le match à la mi-temps et regagner ma chambre pour cause de cours le lendemain. J'étais déçu comme un joueur qui sortait du terrain, mais j'avais eu un peu de temps de jeu (rires). A cette époque, Sainté, c'était l'équipe phare en France. Tous mes copains étaient pour Saint-Etienne, on collectionnait tous les figurines Panini, et celles des Verts étaient très recherchées. Mon père, qui adorait le football, prenait souvent la route pour aller voir les matches à Geoffroy-Guichard. Il revenait à trois heures du matin et j'étais impatient qu'il se lève pour me raconter l'ambiance qui régnait dans le Chaudron stéphanois !
Mon préféré, c'était Dominique Bathenay. J'avais une admiration incroyable pour ce joueur. Je trouvais qu'il avait une réelle élégance dans le jeu, extrêmement appréciable dans ce football des années 70 dominé par des trapus et velus à la Domenech (sourire). Aujourd'hui, en comparaison, c'est de la dentelle car à l'époque, le jeu était très physique. Je trouvais que Bathenay se promenait sur le terrain avec une timidité et une classe que Johan Cruyff, dans un genre plus abouti, a pu développer. Et puis Bathenay, c'est un pied gauche formidable. Je me souviens encore du but qu'il met en 1977 contre Liverpool en quart de finale de la Coupe des clubs champions. Il frappe des 30 mètres et met un but somptueux en pleine lucarne. Malheureusement, ça n'a pas suffi, et Liverpool a éliminé Sainté."
Janot, roi des Manceaux
27/12 09:56
En obtenant la majorité des votes des supporters Sarthois, Janot devance le défenseur Jason Buaillon ainsi que les milieux Morgan Sanson et Frédéric Thomas.
Rappelons que Janot a disputé 15 matches avec sa nouvelle équipe, actuelle 14e de L2 à la trêve, et a encaissé 19 buts.
Nanard fait le bilan
27/12 06:57
"Tout aurait été très bien sans les quinze derniers jours difficiles, cette période noire avec trois défaites (...) Le derby ? Je regrette une certaine naïveté sur des situations que les autres savent mieux gérer. L’OL et l’OM sont plus malins. Ils savent mettre la pression sur l’arbitrage, sur l’autre équipe. Nous, on est de bons Stéphanois, pas calculateurs et on se heurte à ces comportements où tout est analysé chez les autres (...) Est-ce qu’il fallait jouer la coupe de la Ligue à fond ? Ce choix a fait l’unanimité dans le club. C’est un constat, pas une déception. Avant de rencontrer le PSG, on pratiquait un jeu d’attaque. Ensuite, ce fut différent, mais est-ce que cela ne vient pas des absences ?
Tout est ouvert cette saison. On est encore en course dans toutes les compétitions ce qui n’était pas arrivé depuis une dizaine d’années. Et on peut revenir en championnat mais je pense que pour cela on devra se donner les moyens d’un jeu vers l’avant, comme en deuxième mi-temps à Marseille. Le plus important, ce n’est pas le résultat sec, c’est ce qu’on montre. On doit revenir à nos principes de jeu, mais on ne peut pas condamner l’équipe sur ces dernières semaines. Pour un jeu offensif, il faut des joueurs offensifs. Le bilan global est assez bon (...) On ne donne pas une obligation de résultat au staff et aux joueurs, jamais de la vie. On veut les voir faire du jeu, se sentir très libérés. La 3e place était hors norme, la 10e l’est aussi, mais la perspective, c’est 2014 avec un stade refait. Pour qu’il soit plein, il faut du beau football. C’est cela le projet de l’ASSE.
Les Lyonnais seront obligés de lâcher des joueurs mais en même temps, il leur manque quelque chose de très important, une épopée européenne. Et ce n’est pas en Ligue des champions qu’ils l’obtiendront (...) Si j’ai bien compris Aulas, l’OL est un petit club mais c’est le 2e budget du championnat… C’est une évidence, il y a des affinités entre Aulas, Seydoux, Sadran. Moi, plutôt avec Saint-Sernin, Legrand, le fils Nicollin, Labrune. Mais ce sont quand même des concurrents. Je reconnais la réussite d’Aulas, la qualité de son staff, de sa politique de formation mais il est logique que l’ASSE défende ses intérêts et ce ne sont pas les mêmes. Aulas n’a plus le rôle qu’il avait à la Ligue et je pense y être pour quelque chose. Si on ne doit pas sous-estimer Lyon, mon travail est de faire entendre la voix de Saint-Etienne, chaque saison un peu plus."
José redevient vert et blanc !
26/12 22:11
Kayaci nouveau tsar de Russie ?
26/12 20:49
Reste à savoir si le latéral droit des U19 de l'ASSE pourra honorer cette convocation, les Verts jouant en Gambardella le dimanche 13 janvier à 14h30 sur le terrain d'Arles-Avignon (rencontre à suivre en live sur notre forum).
Nanard kiffe le Qatar
26/12 10:59
Dans l'édition du 27 novembre de France Football, Jean-Michel Aulas a remis en cause ce contrat en or : "Il a zéro chance sur cent d’être accepté. Je le dis clairement, et je suis sûr de moi. A partir de 2014, présenter un contrat de promotion de l’image d’un Etat rapportant 100 M€ par an, ce sera être hors jeu."
Dans Le Parisien du jour, Bernard Caïazzo se démarque à nouveau du président des vilains. "Les dirigeants parisiens ont parfaitement le droit de signer cet accord. Il y a quand même une différence de notoriété du Qatar en France avant et après le rachat du PSG. Que ceux qui critiquent me disent si le football français a intérêt ou non à disputer une finale de Ligue des champions? Et qui peut y arriver à part le PSG ? Quand l’OL était deux fois plus riche que les autres clubs français, qui était choqué? Depuis 2006, le football français, en club comme en sélection, n’a obtenu aucun résultat international : aucune finale de Ligue Europa, de Ligue des champions, d’Euro ou de Coupe du monde. Ce n’est plus arrivé depuis les années 1970. Cela va durer combien de temps ?"
Andreu finit l'année en trois !
26/12 09:46
Les U14 dans les 20 pour la 20ème
26/12 08:26
Pour rappel, Sainté était allé jusqu'en finale lors de la dernière édition grâce aux réalisations d'Eliot Bon, Rayan Souici et Arnaud Nordin.
La vilaine place d'Aubame
26/12 08:14
Trois Verts dans les Onze !
25/12 11:34
Le onze de Sport24 : Ruffier - Réveillère, Thiago Silva, Perrin, Trémoulinas - Matuidi, Malbranque, Valbuena - Cabella, Alessandrini, Ibrahimovic.
Le onze de la Pravda : Vercoutre - Réveillère, Chedjou, Thiago Silva, Trémoulinas - Clément, Malbranque, Valbuena - Cabella, Alessandrini, Ibrahimovic.
Le Grisou siffle les trois coups
25/12 11:12
"Sébastien Desiage met en avant trois consignes essentielles pour bien arbitrer, dans sa causerie d’avant match avec ses assistants : la protection du jeu (l’arbitrage ne doit pas induire d’erreur d’arbitrage), la protection de l’image (l’arbitre est le garant du spectacle pour les spectateurs) et la protection du joueur (l’arbitre doit protéger le créateur du jeu face à un éventuel traitement rugueux des défenseurs). C’est la règle des « 3P » pour arbitrer un match en laissant jouer le jeu. Un arbitre de Ligue 1 intervient en moyenne 23 fois dans la saison. Or, sur 100 décisions qu’il prend dans le jeu, à la fin du match, lors du débriefing avec son superviseur, il constate qu’il peut regretter d’avoir provoqué deux à trois décisions hasardeuses. Il y a en moyenne entre 25 et 30 fautes qui sont sanctionnées par match de Ligue 1.
Sébastien Desiage rappelle que certains attaquants de la Ligue 1 courent le 100 mètres en moins de 11 secondes et qu’un arbitre doit être parfaitement affuté pour exercer correctement son rôle. Pour arriver au haut niveau de l’arbitrage, la préparation physique d’un arbitre est intense, car il doit s’entraîner quatre fois par semaine. Tout arbitre doit être capable de parcourir 10, 12 voire 14 kilomètres par match et d’enchaîner trois à quatre diagonales à la suite en moins de cinq minutes. Lors de cet entrainement, l’arbitre ajoute aussi un temps de musculation, de coordination et aussi du fractionné avec un suivi médical associé à un cardio GPS, dont les résultats sont envoyés chaque semaine à la direction de l’arbitrage pour analyse. La vitesse maximale aérobie (VMA, vitesse à partir de laquelle une personne consomme le maximum d’oxygène) de Sébastien Desiage est supérieure à 95 % et dans certains cas, d’après le préparateur physique de l’ASSE, elle dépasse celle de nombreux joueurs de l’effectif professionnel !"
Le billet vert de Vandel
25/12 10:48
"Pourquoi les dollars sont-ils verts ?
Jusqu'au XIXe siècle, le papier monnaie était rare aux Etats-Unis. Il n'apparait massivement qu'en 1850. Les billets de l'époque étaient imprimés en noir, mais avec une surimpression de nuances colorées pour déjouer les faux monnayeurs. Explication : les premiers appareils photo travaillaient uniquement en noir-et-blanc. Il était donc impossible aux faussaires de déterminer quel détail était en noir, et lequel en couleur. Tout se transformait en nuance de gris.
Quand un beau jour, les faux-monnayeurs découvrirent un défaut dans les encres de couleur qui étaient rajoutées : elles pouvaient facilement disparaître en lavant le billet ; alors que la teinte noire, elle, restait en place. Ils fabriquèrent donc leurs faux billets en deux étapes : un cliché pour le noir, puis un ajout de couleur, de manière "artisanale". Approximatif mais correct. Impossible de faire la différence.
C'est Tracy R. Edson, de la Compagnie des Billets, qui trouva la parade. Il mit au point une encre colorée qui résistait au lavage par tous les solvants connus. Une encre indélébile. Et verte. A la suite de quoi, le gouvernement le récompensa en lui offrant le monopole de la fabrication de tous les billets. Comme chez les Verts de Saint-Etienne : on ne change pas une équipe qui gagne."
Joyeux Noël Banel !
25/12 10:35
Un Herbin de Noël
25/12 08:17
(...)
Dans un match comme celui-là, un gars comme Brandao aurait pu faire la différence car, non seulement il peut marquer, mais il attire au moins deux adversaires. Même si ce n’est pas un génie, son expérience et sa maturité contribuent à rassurer ceux qui sont autour de lui. Je pense qu’il manque quelqu’un pour mettre un peu d’ordre et apporter de l’assurance par son comportement. Pour faire la passe au bon moment. Un patron qui puisse mettre de l’ordre. La saison dernière, on avait Batlles qui faisait le grand frère dans les périodes délicates."
Féfé vite fait bien fait
24/12 21:54
Bruel brûle toujours pour Sainté
24/12 17:50
"Le cœur, c’est Saint-Étienne, depuis l’épopée de 1975. Quand Winamax a été approché par plein de clubs, moi j’ai dit : avec Saint-Étienne, j’ai une histoire à raconter. Le 6 novembre 1974, j’étais dans mon lit avec une radio à écouter le match retour contre l'Hadjuk Split. L’aventure des Verts démarre ce jour-là et avec elle, celle du football français. Quand on a signé les Verts, ils venaient de finir la saison péniblement et la première fois où ils ont porté le maillot Winamax, ils ont caracolé en tête durant dix journées."
Pour Nanard la Coupe est pleine !
24/12 16:44
"On paye nos 120 minutes de Coupe de la Ligue contre le Paris-Saint-Germain. On a eu ces deux bons résultats contre le PSG. Depuis, les 120 minutes ont entraîné une blessure d'Aubameyang. Derrière, Brandao se blesse. Aujourd'hui, sur 20 professionnels, nous en avons 6 d'indisponibles. A un moment donné, on sait très bien qu'en football on a tous des effectifs réduits. On subit les conséquences d'avoir joué à fond la Coupe de la Ligue. Mais on ne le regrette pas car si le 15 janvier nous arrivons par chance à passer face au LOSC, on peut se retrouver au Stade de France. Le jeu en vaut la chandelle. On sera un petit peu obligé de recruter au mercato hivernal. On ne s'attendait pas aux blessures de Nicolita et d'Alonso sur plusieurs mois. On va être obligé de recruter sur ces postes-là. Ça fait partie des aléas qui font qu'une équipe est en difficulté. Le mercato arrive bien, on va faire des choix rapidement. L'équipe travaille, Roland Romeyer saura parfaitement faire comme il a l'habitude de faire avec Dominique Rocheteau pour trouver des bons éléments, comme il a su le faire au mercato d'été. On est 10ème mais le championnat est encore long, il y a encore beaucoup de journées. Regardez où était Lorient il y a quelques journées et où ils sont aujourd'hui ! On sait très bien comment est structuré notre championnat. Il y trois grosses équipes, PLM (Paris Lyon Marseille). Après il y a une dizaine d'équipes où tout est possible. Je peux dire qu'aujourd'hui je suis très heureux de l'état d'esprit des joueurs et du staff. Il y a quelque chose qui se passe à Saint-Etienne. On va reprendre au mois de janvier, on sait qu'on va être attendu avec cette coupe de la Ligue. On espère que la reprise du championnat nous permettra de reprendre les treize matches sans défaite qu'on a eus à un moment donné."
Benalouane digère mieux la bolognaise !
24/12 16:16
Ravet entravé
24/12 15:54
Sous contrat avec l'ASSE jusqu'en juin 2015, l'attaquant de 23 ans a fait son retour à Grenoble hier, où il a donné le coup d'envoi du match de CFA entre le GF38 et Chasselay. Les Isérois ont écrasé les Rhodaniens 4-0, l'ancien réserviste stéphanois Fayçal Lebbihi inscrivant son premier but de la saison en équipe première.
Do en a plein le dos
24/12 15:34
Recordier bien aidé
24/12 10:55
Etudiant en droit du sport de 25 ans, Romain Stévenon évoque son rôle dans le JDD : "Je regarde beaucoup de matches en Amérique du Sud. Pendant une rencontre de Boca Juniors (où l’avait prêté l’Ajax), je suis tombé sur Cvitanich. Je l’ai proposé à Serge, qui connaissait son nom. On l’a observé chacun de notre côté puis comparé. Son jeu nous a plu."
*Il a joué deux matches en vert avec les pros lors de la saison 1988-1989 : victoire 2-0 contre le LOSC de Galtier et défaite 3-1 contre le TFC de Rocheteau.
Alonso en a plein le dos
24/12 09:57
Sur le flanc sur les flancs
24/12 09:08
"On doit se renforcer sur un plan numérique d’abord avec des blessés, des départs, quatre joueurs de côté qui seront absents au moins pour huit matches. On doit essayer de recruter. On travaille dans ce sens, mais vite et bien cela ne va pas ensemble. Il faut trouver des joueurs qui apportent un plus. Si je ne récupère que Brandao après les vacances c’est un problème. Il faudrait l’arrivée d’un joueur, voire deux. Les dirigeants en sont conscients mais ce n’est pas facile. C’est le lot de toutes les équipes comme la nôtre. Il faut faire le dos rond, gratter des matches nuls. En janvier, il y a cette fameuse demi-finale. Ce n’est pas tout pour la coupe mais c’est un objectif important..."