Sandjak se mouille à Noisy-le-Sec
14/12 21:19
Vilains Merlus
14/12 16:43
Oui au match le vendredi
14/12 15:26
C'est déjà Noël pour Nanard !
14/12 13:03
Dans la dernière édition du Parisien, Bernard Caïazzo affiche son soutien à Noël Le Graët, qui sera réélu demain à la présidence de la FFF sauf improbale coup de théâtre. Extraits.
"La FFF est une entreprise. Elle doit être dirigée par un vrai patron. Noël Le Graët en est un. C’est sa qualité première. En interne, chacun s’accorde d’ailleurs à lui reconnaître cette faculté à prendre des décisions rapides et efficaces. Après, ce n’est pas sa faute si tout le monde n’a pas eu le courage de monter sa liste et de se présenter face à lui (...) Les partisans de Duchaussoy ont voulu se servir de moi et de l’UCPF. Que le monde pro n’ait pas donné de soutien préalable n’a pas empêché Ponthieu ou Thomas de se présenter.
On ne peut pas être à la fois au conseil d’administration de la Ligue et à la FFF. Il faut quitter son club et je n’en ai pas envie. Je ne connais que 20% des dossiers, pas ceux des amateurs. Ma sphère de travail, c’est le monde pro. Après, chacun a le droit d’avoir ses propres fantasmes. Mais de là à me prêter des intentions que je n’ai pas… Etre en première ligne ne m’intéresse pas. Thiriez a beaucoup de mérite. Quand tu prends une décision, tu satisfais les uns et tu mécontentes les autres. Je ne briguerai jamais son fauteuil.
On soutient Noël Le Graët. Sa liste comporte des gens de talent. Noël me semble porté par cette volonté de réformer et de hisser notre football le plus haut possible. J’ai aussi senti chez lui, ces dernières semaines, la volonté d’évoluer vers une démarche empreinte de concorde et de cohérence. Après, on n’est pas toujours d’accord sur tout avec lui. On peut discuter de sa position sur les primes des joueurs de l’équipe de France, de l’arbitrage. Ce n’est pas Dieu. Il peut commettre un certain nombre d’erreurs, mais il défend l’intérêt du foot français. J’en veux pour preuve sa ténacité pour avoir Didier Deschamps.
Il s’est engagé à mener des discussions et des négociations intelligentes avec le Premier ministre et le ministre du Budget. En période de crise, il est normal que les plus aisés soient assujettis à une contribution exceptionnelle. Philosophiquement, on peut le comprendre. Mais, concrètement, cette mesure de taxer à 75% les plus hauts revenus des footbalelurs va avantager deux clubs : Paris, le seul à pouvoir payer les impôts de ses joueurs, et Monaco avec son régime fiscal particulier. Le paradoxe est consternant car, à partir d’une idéologie qui consiste à enlever des privilèges aux plus riches en les obligeant à partager, on aboutit à favoriser les deux symboles du luxe et de la richesse que sont Paris et Monaco ! Il convient de trouver des formes de compensation, car cette taxe ne manquera pas sinon d’entraîner le déclin de notre football, du moins l’appauvrissement de la Ligue 1. Si aucune solution n’est apportée, nos meilleurs joueurs partiront à l’étranger.
Olivier Sadran m'accuse d’être "dangereux pour l’unité du monde professionnel" ? Cette attaque est indigne d’un président de club. Sadran est un proche d’Aulas. Il me tient pour responsable de sa non-élection au dernier conseil d’administration de la Ligue. Même si j’avais voté pour lui, il n’aurait pas été élu. Peut-être que s’il était un peu plus assidu aux réunions… J’ai demandé à ce qu’on étudie à l’UCPF et à la Ligue un code de conduite et un barème de sanctions vis-à-vis de tout président de club dont les déclarations seraient susceptibles de nuire à l’image du foot français. Que celles-ci soient dirigées contre un autre président ou un arbitre…"
Que les petits salaires lèvent le doigt !
14/12 09:06
Gros lot, Ferrari !
14/12 00:27
Une attaque patraque ?
13/12 23:21
La parole est à la défense
13/12 23:09
Oh hisse embourbé !
13/12 22:58
Alonso en sursis
13/12 22:55
Arles et les Verts
13/12 21:37
Abdel Bouhazama nous a livré ce soir sa réaction. "C'est un tirage difficile. Mais ça aurait tout aussi difficile d'affronter Nice ou Monaco. Peu importe l'adersaire ! On connaît Arles-Avignon pour avoir affronté cette formation récemment en championnat. On n'avait pas été très bons ! Les garçons sont avertis... De toute manière, quand on veut aller loin dans cette compétition, en toute humilité, il faudra battre tout le monde, comme on l'a fait les deux dernières saisons en allant jusqu'en finale. Les garçons auront à coeur d'aller le plus loin possible pour le club. Ce match aura lieu à la rentrée, on sera peut-être dans d'autres dispositions. Ce sera un autre contexte que le match de championnat. Ce sera un match couperet. Arles aura envie de se qualifier, ce sera peut-être un match plus ouvert. On n'en est pas encore là. Notre priorité est de bien terminer l'année ce week-end contre Cannes. Ce tirage est difficile mais pas insurmontable. J'aurais préféré recevoir, mais "madame tirage" en a décidé autrement. La main a-t-elle été bonne ou pas ? On le verra après le match."
Sinam'a encore le coeur vert !
13/12 14:16
C'est ce qui transpire des tweets qu'il a rédigés après le derby. Florent Sinama Pongolle s'est d'abord fendu d'une nalyse tactique qu'il est difficile de contester : "Je reste sur le même feeling que la saison derniere, sans euphorie dans ce derby on n'arrivera pas a battre ces lyonnais! Trop de discipline!" avant de se montrer optimiste sur la suite : "Deçu de la defaite mais convaincu que la saison sera une grosse saison des verts! En tout cas, même de russie l'ambiance faisait rêver à GG."
A l'extérieur, même pas peur !
13/12 10:11
Dimanche les Verts ont subi leur 4ème défaite. Fait exceptionnel, loin du Chaudron ils ne se sont inclinés qu'une seule fois, à Toulouse en début de saison.
Sauf à craindre que l'air du Sud Ouest nous soit particulièrement néfaste, on peut espérer que les Verts prolongeront ce soir leur belle série d'invincibilité loin de leurs bases : depuis Toulouse ils ont enchaîné 6 matches sans défaite : 2 victoires et 4 nuls (3 victoires et 5 nuls en comptant la Coupe de la Ligue).
Cohade aborde Bordeaux
13/12 07:46
"J’ai beaucoup appris à Bordeaux. J’y ai lancé ma carrière. On avait une équipe très jeune. Je jouais au milieu de terrain, aux côtés parfois de Rio Mavuba. Ce fut une saison satisfaisante pour moi. On s’était sauvé vers la fin, après avoir battu le record des matchs nuls. J’aurais préféré m’imposer à Bordeaux bien sûr mais j’avais besoin de jouer, d’avoir aussi peut-être des acquis en Ligue 2. e n’ai jamais eu aucune rancœur envers Bordeaux. Quand je suis parti, les Bordelais continuaient d’ailleurs à prendre de mes nouvelles. C’est un très bon club, familial (...) Il faut continuer à avoir confiance en nous, montrer un bel état d’esprit. Le derby nous tenait à cœur, on a été frustré mais maintenant on tourne la page. Il ne sert à rien de s’apitoyer sur son sort."
Bergessio sort Benalouane
12/12 22:11
L'Evêque fait le déplacement !
12/12 21:18
Tiens, v'la un Marin !
12/12 20:55
Des Girond'un peu diminués
12/12 20:48
18 pour la 17ème
12/12 19:45
A Bordeaux, c'est pas rigolo
12/12 17:13
Aubame sur le flanc ?
12/12 17:06
Payet dans la lunette
11/12 22:38
Dans les vestiaires avant de rentrer...
11/12 21:29
Selon la dernière édition de France Football, les Verts se sont "frités sérieusement" dans les vestiaires avec les vilains. Jean-Michel Aulas n'a pas pu s'empêcher de chambrer, comme le raconte la Pravda du jour.
"La scène se passe dimanche soir, juste après le derby, près des vestiaires du stade Geoffroy-Guichard. Le Lyonnais Rémy Vercoutre et le Stéphanois Loïc Perrin s'expliquent sur un fait de jeu. Un attroupement commence à se créer autour des deux joueurs quand Jean-Michel Aulas emmène son joueur en disant : "Laisse tomber, ça fait 19 ans qu'ils ne nous ont pas battus." Une pique qui provoqua la furie de certains membres du staff des Verts, qui invitèrent le dirigeant lyonnais à regagner son vestiaire dans des termes choisis."
Baup voit du métal et prend des tôles
11/12 21:01
Faouzi dans l'esprit du derby
11/12 20:26
Les Lyonnais, eux, étaient souvent au sol en train de « pleurer ». D’habitude, ils nous rentrent dedans, là ce fut l’inverse. Mais à côté de ça, on a manqué de justesse technique, de percussion, c’est ce qui aurait pu faire la différence (...) Mon accrochage avec Umtiti ? C’est ça le derby, ça fait partie du jeu. Quand un adversaire fait du mal à un de mes coéquipiers, ça m’énerve tout de suite. Encore plus quand c’est un Lyonnais. Ils ont commencé à parler, à sortir des phrases. Comme je suis Stéphanois, je trouvais ça normal de riposter. A la fin du match, il y avait encore un peu de nervosité. Cette défaite n’était pas attendue."
Le p'tit Vert en plein Lyon
11/12 20:04
"C'est mon fils qui a dit : "On a le grand Vert, c'est toi. Pourquoi pas "Le Petit Vert" ? Je lui ai dit : "Attends, on est en plein centre-ville de Lyon !" J'avais peur... Il m'a dit : "Ne te fais pas de souci !" Et bien, depuis vingt ans, on n'a jamais eu quoi que ce soit ! C'est le respect total. Et il y a ici autant de Stéphanois que de Lyonnais."
Le derby refroidit Robby
11/12 18:14
Bastos marque un but assez surprenant. La frappe est belle, violente, mais je considère que le principal responsable c’est le mur. Il s’est complètement désagrégé. Ruffier a cherché à anticiper. Le temps qu’il réagisse de l’autre côté, c’était trop tard. A l’ASSE, seul Perrin a tenté de secouer le cocotier. Mais ça n’a pas beaucoup suivi. Lui et Malbranque furent au-dessus du lot (...) Est-ce que les Verts vont se remettre de cette défaite ? Oui car tout d’abord nous n’avons pas été battus par des tocards. Il va juste falloir tirer les leçons de ce qu’il s’est passé."
Kastendeuch, défenseur central de la trêve hivernale
11/12 16:15
Co-président de l'UNFP, l'ancien libéro des Verts, Sylvain Kastendeuch se montre farouchement opposé à ce projet et ne mâche pas ses mots :
"D'abord, l'UNFP ne se fait que porte-voix des joueurs, qui sont contre à une écrasante majorité. Ensuite, nous ne sommes pas les seuls. Les autres acteurs du football (entraineurs, administratifs, médecins, ...) sont également pour le maintien de cette trêve. A l'approche de l'hiver, beaucoup de clubs ont du mal à aligner 18 joueurs. Il y a déjà pas mal de blessés. Les joueurs ont besoin d'une coupure.
On nous ressort l'exemple de l'Angleterre, mais ils ont des conditions climatiques plus tempérées, les distances de déplacement ne sont pas les mêmes et leurs stades sont mieux équipés. Nous, on bricole encore avec des bâches chauffantes. Nos stades ne sont pas équipés. On sera intransigeants. Si l'UCPF et la LFP veulent passer en force, cela ne se passera pas comme ça."
Un gros magot pour Sanogo ? (2)
11/12 16:08
La Pravda du jour relève que le bureau de jugement du conseil des prud'hommes de Saint-Etienne, a accepté hier, à la demande de l'ASSE, de renvoyer son verdict au 23 septembre. Ce délai permettra au club de répondre aux conclusions déposées par Nicolas Demard, l'avocat de Bouba.
Le quotidien précise que Sylvain Monsoreau, autre lofteur à plein temps de la saison 2011-2012, a engagé exactement la même procédure mais ne réclame, lui "que" 2,3 M€. Sa demande sera jugée le 28 janvier à 15H.
JJ cherche de l'air face au Gaz'
11/12 15:45
Ce soir, pour la 17ème journée de Ligue 2, Le Mans FC de Jérémie Janot reçoit le Gazelec Ajaccio d'Idriss Saadi pour un match à fort enjeu dans la lutte pour le maintien.
Le Mans reste sur 3 défaites et 1 nul en championnat et pointe à la 15ème place avec un petit point d'avance sur le premier relégable. De son côté Saadi (3 buts en championnat) et le Gazelec sont vissés à la 19ème place avec 4pts de retard sur le premier non relégable.