Costil hostile
17/01 11:05
"Je suis super content. Parce que Rennes est un club qui se fait souvent taper dessus. Mais, quand on est à l'intérieur, je peux vous dire qu'il mérite d'être récompensé, qu'il bosse très, très bien. Aujourd'hui, on ne fera pas taire certaines langues, mais en tout cas on est content pour nous, pour les gens qui travaillent au club, les gens qui aiment le Stade Rennais, voilà l'essentiel. Je n'ai pas été surpris par l'envahissement du terrain. Je crois que Saint-Etienne avait ouvert la voie la veille. Nos supporters se sont un peu fait engrainer, mais tant mieux : on avait le sentiment d'être champions de France !
J'ai connu le Stade de France en 2008, avec Vannes mais sur le banc… Ce stade représente beaucoup de choses, mais c'est tellement loin. Quevilly ? il faut arrêter d'en parler. Ça en devient lassant… Les gens qui disent que le Stade Rennais ne réussit jamais nous cassent les pieds. A la fin, on en entend tellement parler qu'on n'y prête même plus attention. Donc je vous le dis : cette Coupe de la Ligue, on ne l'a pas gagnée encore. Quoiqu'il arrive, ce sont deux clubs, Rennes et Saint-Etienne, qui méritent le succès."
Trop de pénalties, larmes à St Denis ?
17/01 10:59
En 96/97, Bordeaux s’incline aux pénos en finale contre Strasbourg, après avoir écarté Montpellier en demi et Caen en quart de cette façon. Deux victoires pour une défaite : la pire.
En 97/98, les Girondins remettent ça : nouvelle défaite en finale à la loterie contre le PSG, après avoir sorti l’AJA en demi et le Stade Poitevin en quart au bout de la nuit.
En 2003/04, c’est au tour de Nantes d’être roi des nuls en coupe. Après avoir sorti Le Mans en quart et l’AJA en demi, les tireurs nantais se ratent en finale contre Sochaux.
Enfin, en 08/09, Vannes sort aux pénalties Valenciennes en seizièmes, Metz en quart et Nice en demi – même parcours que l’ASSE. La finale sera d’un autre acabit : après 12 minutes, les Bordelais (très présents, décidément) mènent déjà 3-0 ; l’addition finale sera encore alourdie d’un but.
En revanche, personne n’a joué 4 séances de tirs au but dans la même édition.
Si l’on résume : grâce au poteau de Balmont et au pigeon qui s’est sacrifié sur le tir de Gueye, les Verts deviennent les cinquièmes à jouer trois victoires en Coupe Moustache aux pénos, mais seulement les seconds à toutes les gagner. Attention toutefois : aucun de nos prédécesseurs n’a ramené la coupe de Saint-Denis…
A Meaux ouverts (2)
17/01 10:17
Selon la dernière édition du Parisien, il ne reste plus qu’une poignée de tickets à vendre. "Beaucoup de gens ont acheté des places par dizaines" explique la secrétaire du club meldois Catherine Doolaeghe. "Un monsieur m’en a même demandé vingt-quatre d’un coup, un autre quarante-deux. C’est pour leur club et les offrir aux gamins. A ce rythme-là, forcément, ça part vite."
Parmi les demandeurs, évidemment des Verts, comme un prénommé Guillaume : "Je viens voir Meaux car je suis meldois. Mais je viens surtout supporter Saint-Etienne parce que c’est mon club favori."
Un autre Nanard ému par Rocheteau
17/01 08:43
"ll a fallu attendre les tirs au but pour voir Lille craquer et laisser la place de finalistes aux Verts, au terme d’un 0-0 à la fin des prolongations. A ce moment-là, on a vu la foule envahir le terrain. Nous sommes à Saint-Etienne, les autorités fermeront les yeux. Si cette scène avait eu lieu à Nice, mon club prendrait 4 matchs à huis clos ! Passons… Nous devons retenir les larmes de Dominique Rocheteau, à l’endroit même où il devint une icône du football, suite à sa classe internationale. Oui, Rocheteau pleurait et cela faisait office de catharsis. Il pleurait comme jadis pleuraient Michel Hidalgo, Tigana, Pelé, Maradona, Gascoigne et Boli. Aujourd’hui, les joueurs ne pleurent plus. La robotique est passée par là. Rocheteau incarne un football romantique. Attention, cela ne veut pas dire trop gentil.
Il aimait la musique, la littérature, le cinéma, la politique et le football. Il les aime toujours d’ailleurs. Il porte en lui une part d’ombre que les médias n’ont jamais réussi à percer. J’ai l’honneur d’être son ami. Je témoigne ici de sa très grande intelligence associée à une immense sensibilité. C’est un homme qui ne trahit pas. Il a renoncé à sa carrière d’agent car il hait les coups bas. Il est si loin des bas du plafond qui étaient dans le bus des Bleus en Afsud. Voir pleurer Dominique Rochetau fut un grand moment. Non pas de télévision, mais un grand moment au plan humain. Rien que pour lui, j’espère que l’ASSE va remporter la Coupe de la Ligue 2013. Les joueurs actuels doivent soulever le trophée pour le donner à Rocheteau. Dominique Rocheteau est l’homme le plus lucide que je connaisse. Une lucidité effrayante."
Fabulous Fab
17/01 06:29
"C'est fabuleux, fabuleux ! On n’a pas eu des tirages faciles pour arriver jusque-là. Après avoir sorti Paris, on élimine encore un très « gros » du championnat. Avec le jeu qu’on a produit, tous les efforts qu’on a faits, on mérite d’être en finale. Maintenant il ne faut pas s’arrêter là. La finale n’est belle que lorsqu’on la gagne. Cette qualification fait d’autant plus plaisir qu’on a un groupe exceptionnel. On s’entend tous très bien, c’est familial, sain. Tout le monde discute avec tout le monde. On se bat les uns pour les autres. Il y a une grosse solidarité, beaucoup de courage, des valeurs que l’on retrouve ici. Aller à Paris avec cette équipe-là, ça va être énorme. L’émotion du Stade de France, c’est de superbes joies. Je pense qu’on va vivre quelque chose de grand. J’aurais du mal à supporter une défaite face au Stade Rennais, si jamais il devait y avoir défaite le 20 avril. On verra. Nous, on y est, c’est le principal. Maintenant, une finale, ça se joue, ça se gagne. Il y a toujours une équipe triste et une heureuse. J’espère qu’on fera partie des heureux.
Ma plus grande joie de footballeur ? Il y avait déjà eu cette demi-finale de Coupe de France remportée à Grenoble avec Rennes. C’est similaire. Quand je suis revenu de ma blessure, c’était aussi exceptionnel. Mais ici il y a un truc en plus, c’est particulier, on ne peut pas le cacher. L’ambiance du Chaudron et ce qui se fait ailleurs, c’est complètement différent. Les supporters sont toujours derrière nous. Quand c’est compliqué, ils poussent, ils poussent. On a deux groupes de supporters qui font énormément de bruit. Malheureusement, ces derniers mois, il y en a toujours un qui est défavorisé avec un petit emplacement. La saison dernière c’était les Magic. Aujourd’hui, ce sont les Green. La saison prochaine, avec les deux tribunes, on aura un Chaudron bouillant. En tout cas, nous les joueurs, on fait le maximum pour avoir de grandes soirées à Geoffroy-Guichard."
A bientôt Anto !
16/01 21:49
La vérité, Nanard !
16/01 20:15
"Comme dit le film, on peut dire que si la brigade du kiff débarque à Saint-Etienne, on prend tous pour perpète ! En ce moment, c'est une grande joie partout en France. Ça nous a fait quelque chose de voire Dominique touché comme ça. Ce n'est pas quelqu'un de très expansif, tout est à l'intérieur. Pendant trente ans, le ventre de Dominique ne remue pas bien, parce que pour lui les Verts ne tournaient pas comme il voulait que ça tourne. Aujourd'hui, il sent quelque chose qui lui rappelle des souvenirs d'enfance. Son émotion ressort. C'était très beau cette scène, comme le bisou de Roland sur Ruffier. J'ai plus confiance en Roland qu'en moi-même. Je sais qu'il défend les intérêts du club mieux que je ne le ferais. C'est quelqu'un qui est plus rigoureux, plus attentif. Roland sait que je suis plus dans un projet de réflexion, il faut bien que quelqu'un réfléchisse à ce qui va se passer quand le stade va arriver, comment on va le remplir, qu'est ce qui se passe dans les autres pays, que font les autres clubs européens. Les Sanogo, les Bergessio, les N'Daw, c'est fini ! Les 300.000 € de salaire mensuel qu'on avait donné à Gomis, c'est fini !"
PEA, à Brest pour le réveil ?
16/01 16:00
En parlant de réveil, s'il y en a bien un qu'on aimerait voir tomber du lit, c'est Aubame. Le meilleur buteur stéphanois est muet depuis le 10 novembre. 895 minutes de jeu sans marquer. Ca fait tache.
Ca tombe bien, notre Gabonais préféré aime bien le stade Brestois. La saison passée, il marque en effet deux fois à Francis Le Blé (score final 2-2) et donne la passe décisive du but de la victoire à Sako au retour (victoire 2-1). Cette saison, il réalise à l'aller un doublé à Geoffroy Guichard pour une large victoire 4-0.
C'était d'ailleurs ses deux premiers buts de la saison. Bis repetita ?
Un Eléphant sans défense
16/01 12:16
"J'ai saisi une très belle opportunité en signant avec l'ASSE dans les derniers jours du mercato en août 2011. C'était aussi un rêve pour moi de jouer en L1 avec une partie de ma famille vivant en France. Je me suis très bien adapté dans un championnat français qui est l'un des plus durs au monde. Je ne demande qu'à progresser encore.
En sélection, on me demande moins de défendre qu'à Saint-Etienne. Je veux tout donner pour mon pays. Nous n'avons pas à nous cacher. Nous venons pour gagner et nous avons toutes les qualités pour l'emporter. Nous assumons notre étiquette de favoris. Il manque très peu de choses si ce n'est de la chance, parfois, dans certaines grandes compétitions pour figurer parmi les nations majeures du football mondial. Le travail accompli dans le passé a déjà permis de réaliser de gros progrès."
Fredy en demi
16/01 10:37
La dernière séance
16/01 09:44
L'écart de Nanard
16/01 08:29
Rappelons à Nanard qu'avant un quart il y a un huitième. Et avant un huitième un seizième de finale, qui sauf erreur n'a pas encore été joué...
Le million, le million !
16/01 07:59
La Coupe à Copé
16/01 06:30
"J'ai rencontré les joueurs vendredi soir. Je leur ai dit de ne pas être impressionnés. Chaque métier a son mot-clé, son mot codé. En sport c'est pronostic et en politique c'est sondage. Mais en réalité, c'est exactement la même chose. Ça n'a aucune espèce d'importance. Seul compte le match lui-même."
Les Meaux bleus de Pires
16/01 06:10
"Je peux leur donner un ou deux conseils. Le premier est de ne pas se mettre trop de pression ni d'entrer trop tôt dans le match. Si les gars y pensent tout le temps, je peux vous dire qu'ils vont passer à côté du match de leur vie. Ils vont prendre 5-0. Il faut qu'ils l'abordent tranquillement, sereinement. Il faut aussi et surtout qu'ils profitent de ces moments. Ils sont uniques et peut-être n'en auront-ils pas d'autres. La Coupe de France est une épreuve que j'aime beaucoup et qui tient très à coeur à tous les clubs et je le comprends. En Coupe, sur un seul match, oui c'est possible. Je ne vais pas dire que c'est facile mais c'est envisageable. Sur 90 minutes, Meaux peut battre Saint-Etienne."
C'est beau un peuple vert en liesse !
16/01 00:09
Enfin en finale !
15/01 22:51
Faouzi, fennec partie remise ? (2)
15/01 18:24
Les U11 avec prestance à Tence
15/01 16:03
Perrin en deux !
15/01 15:47
En marquant de la tête vendredi soir, Perrin a rejoint Rob Witschge et Pierre Haon au palmarès des buteurs verts en Ligue 1. Notre capitaine en est désormais à 11 buts sous le maillot Vert en championnat. Il est le deuxième buteur de l'effectif derrière Aubame (26 buts en vert) et devant Gradel (9 buts) et Guilavogui (5 buts).
Une promotion pour Hognon
15/01 13:05
A Meaux ouverts
15/01 09:21
Les précieux sésames seront dans un premier temps disponibles à deux endroits : au stade Corazza (de 14 heures à 20 heures) et au service des sports situé au complexe Georges-Tauziet (de 14 heures à 17 heures). Trois tarifs sont proposés : 5 € (virages), 10 € (tribune latérale) et 15 € (tribune présidentielle).
A partir de demain, la vente se fera aussi via Ticketnet, dans les hypermarchés Carrefour et Leclerc de la région parisienne, tandis que le service des sports ouvrira en matinée (de 9 heures à 12 heures).
"Je ne me fais pas de souci pour que tout disparaisse, tout le monde veut venir!" se réjouit Eric Danty, président du club meldois. "On espère tout vendre d’ici samedi. En ville, tout le monde en parle" ajoute Catherine Doolaeghe, la secrétaire du club.
En tout, 8766 places sont disponibles : 4028 en tribunes d’honneur, 2145 dans le virage nord (réservé à Meaux). Les supporteurs stéphanois, placés dans le virage sud, ont reçu 2593 billets de la FFF.
Marchal est toujours vert !
15/01 08:36
"Saint-Etienne a fait la pire opération du week-end. Ils ont fini moyennement l’année 2012. Ils peuvent faire beaucoup mieux. Ils ont l’effectif pour aller plus haut et embêter les plus gros. C’est dommage. (...) Le meilleur joueur du week-end ? Difficile à dire. Je dirais Loïc Perrin. J’ai beaucoup aimé son match."
PEA, encore six mois et puis s'en va !
15/01 07:55
"Comme je suis quelqu'un qui doute rarement, ça ne me tracasse pas du tout de ne plus marquer. Je suis déjà resté plus longtemps sans marquer. L'an passé, à la même époque, j'en étais à six buts. Là, à huit. Je suis donc dans le bon tempo pour mettre plus de buts que l'an dernier. Vingt, ce serait vraiment bien. Je continue à me créer des occasions, il me manque juste un déclic. Mes équipiers ont plus de mal à me trouver, c'est vrai. Après, l'adversaire joue également son rôle. Il sait désormais comment nous jouer et comment nous prendre. Le retour de Brandao va nous faire du bien et me libérer un peu plus.
Je suis un attaquant de pointe. Jouer sur un côté me va bien aussi car je suis plus libre de pouvoir plonger sur les côtés et de repiquer dans l'axe. Mais évoluer dans un couloir demande beaucoup plus d'efforts défensifs car si un latéral monte, tu dois le suivre. Ça ne me gêne pas. Après, ce n'est pas une question d'aimer moins ce poste. Jusqu'ici, je n'avais joué dans l'axe qu'à Dijon. Puis mes deux saisons sur un côté à Lille puis à Monaco m'ont fait stagner. Je n'avais que ce souci de bien défendre en tête.
J'entends beaucoup parler des bruits concernant mon transfert mais je n'y prête pas attention. Les transferts, ce n'est pas mon travail. Mon père et mon agent sont là pour ça. Moi je reste concentré sur le foot. Je ne pense pas partir cet hiver. J'ai pourtant beaucoup de demandes. Mais la meilleure solution consiste à rester à Saint-Etienne et à partir cet été. Dans ma tête, tout est clair : il s'agit de mes six derniers mois avec les Verts. C'est déjà pas mal d'avoir des offres d'Angleterre. J'espère pouvoir partir dans un club qui me permette de continuer à progresser. Il peut y avoir des surprises.
Je rêve toujours du Real Madrid même si je sais que ce ne sera pas pour tout de suite. Je n'envisage pas de rester en France pour trois raisons : en France, le PSG fait rêver mais il bâtit quelque chose de très grand. Ensuite, j'ai envie de découvrir un autre pays. Enfin, si l'argent ne constitue pas ma pensée première, cette histoire d'impôt m'amène à réfléchir. Je n'ai pas à me plaindre sur ce que je gagne. Mais taxer à hauteur de 75% les contribuables touchant plus de 1 M€ par an, franchement, je trouve que c'est trop !
On va tout faire pour aller au Stade de France, sans esprit de revanche vis-à-vis de Lille me concernant. Ce serait magnifique d'emmener le peuple vert au stade de France. Je ne suis jamais entré dedans, même pas pour voir un match. Moi, quand je vais dans un stade pour la première fois, c'est toujours pour y jouer. Et je veux jouer au Stade de France."
Pas content Compan !
15/01 06:20
"Ça me fait bizarre de dire que la rencontre face à Sochaux fut le match le plus abouti car au final nous sommes éliminés. Mais il y avait l’état d’esprit, la cohésion, on jouait les uns pour les autres. C’était une équipe d’hommes, de copains, et maintenant que je suis entraîneur, si je le pouvais je referais la même équipe. De ce groupe, nous sommes presque tous en contacts. On a vécu une véritable aventure humaine.
La demi face à Strasbourg, je l’ai en travers de la gorge. J’étais fou, c’était ma quatrième demi-finale perdue et surtout j’avais le sentiment que certains n’avaient pas joué le jeu, n’avaient pas tout donné sur le terrain. Après la rencontre, dans le vestiaire j’ai pété un plomb. J’ai dit ce que j’avais sur le cœur. Quelques-uns avaient déjà joué une finale et étaient allés au stade de France. Moi, non et je resterai avec mes quatre demi-finales perdues. Julien Sablé notre capitaine avait dû me calmer, car j’étais sorti de mes gonds."
Féfé bientôt polonais ?
15/01 06:04
La panthère soutient les Aigles
14/01 22:08
"Après la finale de la Coupe d’Afrique des Clubs champions perdue à Abidjan en 1966, j’ai eu beaucoup de problèmes avec le public malien, au point que j’ai dû m’exiler. Je suis parti à Saint-Etienne en France, où j’ai été champion de France trois fois et vainqueur de deux coupes de France. Les gens ont dit que j’étais parmi les meilleurs joueurs du monde, (le public, les différents entraîneurs, la presse), donc cela doit être vrai. En ce qui concerne la clé de ma réussite, je pense qu’il y a eu plusieurs facteurs. Cela peut être dû à mes qualités physiques et techniques. Mais disons tout simplement que j’ai eu la possibilité de m’adapter à toutes les situations qui se sont présentées.
Quand je suis arrivé en France on ne m’attendait pas à Saint-Etienne. Je viens à la surprise générale de tous et je m’impose. Mais je ne voulais pas devenir professionnel car je voulais participer aux jeux africains qui étaient prévus à Bamako en 1968. Les professionnels ne pouvaient pas prendre part à la compétition. Quand je suis arrivé à Saint-Etienne, je n’avais pas ma lettre de sortie, du coup je ne pouvais pas faire de match officiel. Après la venue de ma lettre de sortie, j’ai fait mon premier match et on a voulu me donner un contrat. Je ne l’ai pas signé car je voulais jouer aux jeux africains. Donc je suis resté amateur et finalement les jeux n’ont pas eu lieu, et j’ai dû signer un contrat pro. Un contrat qui a été d’ailleurs discuté à Bamako, car les dirigeants de Saint-Etienne se sont déplacés pour rencontrer mes conseillers.
Le Mali est à la phase que j’ai toujours souhaitée pour lui. C’est-à-dire être habitué à aller à une phase finale de la Coupe d'Afrique des Nations et ne pas faire des huitièmes ou des quarts de finales une ambition. Quand on arrive à une phase finale, on veut la gagner. Donc le Mali est à cette phase. Les footballeurs maliens ont pris l’habitude de se qualifier depuis 2002 jusqu’à maintenant. Normalement, ils doivent pouvoir prendre les matches avec beaucoup de sérénité. En gros, je pense qu’avec beaucoup de chances, le Mali peut aller loin cette année. Les footballeurs maliens ont pris goût à la culture des grands matches."
Un Max de confiance avant la CAN
14/01 20:38
Huit petits Verts à Gerland !
14/01 18:10
Pour rappel, c'est là que les p'tits Verts avaient écrasé les vilains 5-1 en championnat le 30 septembre dernier.
Orinel dans une mauvaise passe
14/01 15:58
"Ça pourrait aller mieux si je jouais. Mais on fait avec, c'est le foot. En début de saison, je jouais pourtant. On m'a dit que c'était par rapport aux choix tactiques. Je ne suis pas le genre de mecs à gueuler sur tous les toits pour savoir pourquoi je ne joue pas alors je prends sur moi et j'essaye de travailler davantage à l'entraînement (...) Si on était premiers et bons dans le jeu, pas de problème, ce serait normal que je ne joue pas, mais quand il n'y a pas les résultats et que tu restes quand même sur le banc, c'est encore plus rageant. Je n'en veux à aucun joueur, ils n'y sont pour rien. Ce sont les choix du coach, c'est lui qui décide.
Contrairement à ce que j'ai pu lire, je n'ai pas demandé à résilier mes six derniers mois de contrat. J'ai juste dit au coach que si j'avais l'occasion de partir, je m'en allais et eux, ils me laisseront libre. Et s'il n'y a pas d'opportunités intéressantes, je resterais à Châteauroux jusqu'à la fin de la saison, même si je n'en pas spécialement envie. Les dirigeants ne me mettront pas de bâtons dans les roues pour me laisser partir (...) Un retour à Saint-Etienne ? (il éclate de rire). Bien sûr que ce serait top ! Faut pas trop y penser quand même. L'année dernière, j'étais en forme, je vous aurais dit peut-être, encore que... Mais là cette année, c'est mort. Donc la Ligue 1 à Saint-Etienne, là on va un peu oublier."