U17 : Sainté claque Aurillac

11/09 17:07

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L'ASSE a écrasé 5-1 la lanterne rouge Aurillac cet après-midi au stade Aimé-Jacquet lors de la 3e journée du championnat des U17 nationaux.

 

Dominateurs, les Verts ont eu du mal à concrétiser leur domination par manque de réalisme offensif. Mais le prometteur numéro 10 Bilal Benkhedim (photo),qui avait eu la malchance de voir son tir repussé par la barre transversale, a ouvert le score du pied droit à la demi-heure de jeu sur un coup franc direct excentré côté gauche à 25 mètres des buts cantalous. Les visiteurs ont profité d'un dégagement raté de William Saliba pour égaliser à la 57e minute. Mais Bilal Benkhedim a redonné l'avantage aux Stéphanois d'un nouveau coup franc en pleine lucarne à la 62e. Les Verts ont dû attendre la 80e minute pour se mettre à l'abri grâce à une tête de Francis Ménétrieux sur un corner de Baptiste Gabard. Sur une passe de Théo Braillon, Zakaria Bengueddoudj a aggravé le score à la 88e minute d'une frappe croisée au ras du poteau. Ce dernier a obtenu un pénalty à la 92e, transformé en dexu temps par Morad Touit.

 

La compo : Green - Chaigneau, Halaimia, Saliba, Mezaber - Ménétrieux (Braillon, 81), Gabard, Benkhedim (Touit, 86') - Tormin (Grange, 65'), Bengueddoudj, Boutrif.

 

La réaction de Jean-Philippe Primard : "Contrairement à ce que le score pourrait laisser penser, ça n'a pas été si facile que ça. On a bien joué en première temps, on a eu pas mal d'occases et on aurait dû mener avec plusieurs buts d'écart à la pause. On a moins bien joué après la pause. Après notre deuxième but, on a tartouillé pendant un quart d'heure, on était dans un faux rythme. Heureusement on a fait le break avant de dérouler en fin de match."

Faouzi rosse les Rosaneri

11/09 15:31

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Le Napoli a rossé les Rosaneri 3-0 hier soir à Palerme lors de la 3e journée de Série A. Auteur d'un excellent match, Faouzi Ghoulam a permis à l'international slovaque Marek Hamsik d'ouvrir le score en début de seconde période.

 

Roro allonge les biftons pour la formation

11/09 13:01

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A La Divette, Roland Romeyer a expliqué jeudi soir aux supporters franciliens de l'ASSE pourquoi il avait décidé d'investir davantage sur le centre de formation.

 

"Le centre de formation c'est très important pour nous. C'est notre plus grosse source de revenus. On a la boutique, le musée, le Chaudron Vert, des centres de profit… Mais ce qui rapporte le plus, c'est le centre de formation. Il est bien évident que si on sort des jeunes, déjà, ça évitera d'aller en chercher ailleurs. Et puis, même des jeunes comme le petit Saint-Maximin, un gamin bourré de qualités et tout mais qui n'a pas réussi comme il devait réussir car il a un entourage particulier, on n'a pas pu le garder mais on l'a vendu 5 M€. C'est pas rien, c'est de l'argent ! Le centre de formation, est très, très, très important ! C'est pour ça qu'on essaye d'y mettre des gens qui ont les mêmes valeurs que nous.  C'est pour ça qu'on a fait revenir Jérémie Janot, Laurent Batlles, Thierry Oleksiak, Laurent Sablé, Jean-Philippe Primard qui est là depuis longtemps. Ilan fait du recrutement sur le Brésil, il fait des allers et venues là-bas, il essaye de nous amener de jeunes brésiliens. De temps en temps il y en a qui viennent faire des essais. On espère avoir des Brésiliens qui viendront mûrir au centre de formation. A  l'avenir on aura peut-être de jeunes brésiliens dans l'équipe pro.

 

Vous me dites que le centre de formation de l'OL est meilleur mais quand on me parle des Lyonnais y'a des moments où ça me met des boutons. La plupart des gens oublient que la politique de l'OL a changé complètement. Est-ce qu'il y a quatre ou cinq ans vous entendiez parler du centre de formation de l'OL ? Non, vous n'en entendiez pas parler ! Ils avaient du pognon, ils avaient du fric, ils jouaient la Champions League, ça rapporte beaucoup de fric. Qu'est-ce qu'ils faisaient ? Ils regardaient les bons joueurs et les prenaient, les Juninho et les machins, OK ? Et vous ne voyiez pas sortir des joueurs de leur centre de formation. Leurs gamins n'étaient pas mauvais mais ils partaient à droite et à gauche. Malheureusement, quand ils n'ont plus eu d'oseille, l'année passée, qu'est-ce qui s'est passé ? Ils avaient un trou énorme, il fallait se débrouiller. Ils ont commencé le championnat avec des jeunes du centre de formation. Ça critiquait, ils n'étaient pas bien, tout le monde les voyait presque descendre, en tout cas dans la deuxième partie de tableau. Finalement, les jeunes, à force de jouer entre eux, de prendre leurs repères… Il y en a qui sont sortis. Même Fékir, qui était à Saint-Priest, qui était reparti. Y'a des jeunes, on ne pensait pas qu'ils seraient sortis ! C'est à cause de ces problèmes financiers qu'ils sont sortis.

 

En ce qui nous concerne, il ne faut pas tout oublier ! Il ne faut pas tout oublier, OK ? Nous on a vendu les Kurt, on a vendu des Ghoulam, on a vendu des Guilavogui. Bon, y'a aussi Aubame, qui a éclaté chez nous, qui est sorti chez nous. Attendez, on en a eu des joueurs ! Le gros problème après, c'est quand vous voyez le classement des centres de formation établi par la DTN. J'ai parlé avec François Blaquart. Ce classement, il est archi nul parce que les critères ne sont pas bons ! Quand vous voyez qu'il y a des clubs comme Lens, Metz ou Auxerre qui sont classés mieux que nous… Si vous avez des jeunes qui jouent en équipe une, ça vous donne beaucoup de points dans ce classement, OK ? Ces clubs qui bataillent en deuxième division sont obligés de faire jouer leurs jeunes du centre de formation. Nous, nos gamins, les Kurt et tout ça qui font la Champions League, ils ont été formés à Saint-Etienne mais on n'en tient pas compte. Bon, ça veut bien dire que leur truc, leur classement, c'est nul ! On a actuellement quelques jeunes en devenir, on espère qu'ils vont percer. On a les Capverdiens, on a des jeunes pas mal.

 

Avec Bernard Caïazzo, on a décidé de mettre un peu plus d'argent au centre de formation. Pourquoi ? Parce que c'est toujours le fric ! On a un jeune qu'on avait découvert – je peux dire qu'on découvre presque toujours les jeunes en premier – il avait fait des tournois avec nous. Après, l'OL l'a vu. Le gamin voulait venir absolument chez nous mais quand les autres ils ont mis l'argent sur la table, il est allé là-bas ! On avait aussi un gamin de Grenoble... A chaque fois qu'il y a un jeune qui vient, je reçois les familles. Le jeune de Grenoble il vient avec ses parents, je le reçois dans le bureau. On discute et tout. Le père, il me dit : "de toute façon, y'a personne qui nous a reçus comme ça, y'a un esprit de famille, c'est sympa, je vous le dis, il signera chez vous à Saint-Etienne, c'est sûr !" 15 jours après il signe à Monaco qui leur avait mis 300 000 ! Attendez ! C'est le pognon, le pognon, le pognon ! L'objectif, c'est que nos scouts découvrent les meilleurs, et puis que nous, on mette un peu plus d'argent. On a décidé avec Bernard Caiazzo d'augmenter le budget du centre de formation. Il faut semer pour récolter. On va mettre un peu plus d'argent sur la table. Si vous recrutez cinq joueurs et que vous en sortez un ou deux, ça peut rapporter gros. On a vu le prix des transferts cette année, y'a des jeunes qui ont été vendus des sommes considérables !"

Le somptueux coup du foulard de Payet

11/09 09:07

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Dimitri Payet s'est distingué hier lors de sa première titularisation de la saison en Premier League. Si son équipe West Ham a finalement perdu contre Watford (2-4), l'ancien attaquant stéphanois a délivré en première mi-temps deux passes décisives, la seconde sur un somptueux coup du foulard.

 

M'Bengue out deux mois ?

11/09 08:45

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Sorti sur blessure vendredi soir contre Paris, Cheikh M'Bengue a passé hier une échographie qui n’a pas permis d’établir un diagnostic précis.  L'ancien Rennais passera une IRM demain selon Le Progrès. D'après la Pravda, "le premier examen a montré que le ligament interne du genou droit était touché. L’indisponibilité du latéral gauche des Verts est estimée à un mois minimum et plutôt à huit semaines dans l’entourage du joueur."

Notre septuagénaire vise la soixantaine !

11/09 08:29

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Roro rêve de voir les Verts jouer une soixantaine de matches officiels cette saison, comme il l'a confié à des supporters franciliens de l'ASSE jeudi soir à La Divette.

 

"Nous, malgré notre 7e ou 8e budget, grâce au staff sportif, au staff médical, aux dirigeants, à tous ceux qui oeuvrent pour l'ASSE, on surperforme compte tenu des résultats qu'on fait. C'est la quatrième année d'affilée qu'on joue l'Europa League. Notre objectif, ce sera le même car on est lucides. Moi j'aimerais bien être champion. Y'a des supporters qui m'abordent et qui me disent : "faut gagner, faut être champion !" Moi je voudrais bien mais on n'a pas les moyens. On essaye de faire selon nos moyens. Nos moyens, c'est de jouer chaque année l'Europa League. Les joueurs sont contents, les supporters le sont aussi. J'espère que cette année on fera un peu plus que les 55 matches de la saison passée. Chaque année on essaie de progresser en Europa League, j'espère qu'on fera encore plus de matches.

 

A l'époque de l'épopée des Verts, on disait "impossible n'est pas stéphanois" car ils renversaient des situations qu'on croyait perdues.  Nous on est toujours dans cette même optique, on veut essayer de faire le mieux possible et peut-être un jour finir deuxième ou troisième. Ces dernières années, à quelque chose près, on a failli finir sur le podium. Ça fait quatre ans qu'on est dans le top 5. Cette année on a fait des gros sacrifices au point de vue du recrutement depuis le mercato d'hiver pour essayer de donner au staff sportif le moyen de gagner et d'aller le plus haut possible.

 

Je ne peux pas vendre de la poudre aux yeux, je ne peux pas promettre qu'on ira en Ligue des Champions. Mais oui, on en rêve, on en a envie et on va tout faire pour ! Mais les autres clubs travaillent aussi. Et puis le problème, c'est que les autres sont plus argentés que nous. Quand on regarde dans toute l'Europe, on s'aperçoit que les grands clubs sont des grandes villes.  Nous on est dans une ville qui bataille, qui est descendue à 170 000 habitants parce que les gens partent un petit peu à droite et à gauche. On a un taux de chômage important alors que Bordeaux et Lyon sont des villes riches. Je ne parle pas de Monaco, qui a un statut particulier, Paris, Lille…

 

Par rapport à nos concurrents, on tire bien notre épingle du jeu. Y'a pas beaucoup de clubs qui se sont qualifiés quatre années de suite en Europa League ! On est content mais on veut faire encore mieux. On a faim de victoires, on a envie de vous faire plaisir à tous ! La Champions League, ce serait merveilleux ! Si ou pouvait aussi gagner une coupe nationale, ce serait formidable. Le problème, c'est que chaque année on tombe sur Paris et on se fait éliminer. Mais comme il n'y a plus Ibra, maintenant on verra…"

Idriss bisse

11/09 08:16

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Idriss Saadi, qui avait déjà marqué deux buts lors de la 4e journée contre Bruges, a réalisé hier un nouveau doublé pour Coutrai contre Westerlo, écrasé 4-0.

 

 

Jonathan Bamba a passé une moins bonne soirée : encore titulaire pour son deuxième match sous les couleurs de Saint-Trond, il a mangé une biscotte et a encore perdu (sur le terrain de Malines). Son club est désormais antépénultième avec quatre petits points en six journées.

Robby ravi

11/09 07:52

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Dans la dernière édition du Progrès, Robert Herbin se réjouit du bon match nul des Verts au Parc.

 

"J’ai vu onze joueurs parisiens qui jouaient à l’envers ! De notre côté, nous avons résisté en défense tout en fermant bien les espaces au milieu. Les déculottées passées nous ont poussés à être plus vigilants. Ce penalty généreux accordé au PSG, c’était un cadeau, une offrande de l’arbitre. Il aurait été injuste que l’on perde ce match. Galtier a eu le mérite de faire entrer Hamouma et Beric pour forcer le destin. J’ai apprécié notre grande solidarité. C’est la priorité. L’étape suivante consiste à prendre de bonnes initiatives. Résister est une bonne chose, se montrer ambitieux et audacieux en est une autre qui viendra forcément. Mais j’étais ravi du dénouement. C’était un match intéressant."

U19: un nul un pneu décevant

10/09 22:35

Les Verts ont concédé le match nul un but partout à Clermont en fin d'après-midi.

Après une entame difficile, les Stéphanois ont progressivement pris la mesure des Auvergnats et se sont créés plusieurs opportunités d'ouvrir le score en première période. La meilleure d'entre elles est à mettre au compte de Benjamin Aulagnier dont la frappe a été repoussée par le poteau.

La deuxième période a commencé par un coup de théâtre. Après avoir donné le coup d'envoi, les Verts ont immédiatement perdu le ballon et concédé l'ouverture du score en... dix secondes (1-0, 46ème). Les Foréziens ne se sont pas laissés abattre par cette erreur de concentration et ont mis tous les ingrédients pour revenir au score. Ils y sont parvenus à la suite d'une interception de Mickaël Nadé au niveau de la médiane, permettant au défenseur central stéphanois d'entamer une chevauchée fantastisque ponctuée par une passe à destination de Benjamin Aulagnier. Le très prometteur avant-centre des Verts a ensuite été fauché dans la surface de réparation, obtenant ainsi un penalty transformé par Augustin Bangoura (1-1, 80ème). 

 

La composition: Bouallak - Vogel, Gomis (cap), Nadé, Rahmani - Martin-Pichon (Fleury, 60ème), Fofana, Rocha-Santos - G. Bangoura (Valbon, 72ème), Aulagnier, A. Bangoura.

 

La réaction de Julien Sablé: "On a eu une entame difficile durant laquelle ils ont eu deux belles situations. On a fait une bonne fin de première période, Benjamin Aulagnier a même tiré sur le poteau. Le but qu'on prend en début de deuxième mi-temps est incompréhensible mais on a eu une très bonne réaction. En dehors des débuts de période c'était bien, les joueurs sortis du banc ont fait de bonnes rentrées. On a fait une bonne semaine d'entrainement et l'état d'esprit a été très bon aujourd'hui, les joueurs n'ont rien lâché. On paye cher pour apprendre en ce moment mais c'est très formateur."

Roro a du socios à se faire

10/09 21:24

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Ayant taillé avant-hier une longue bavette à la Divette avec les supporters franciliens de l'ASSE, Roro a fait un point sur son projet de socios. C'est pas gagné.

 

"Pour les socios, avec Bernard Caïazzo, on avait l'intention d'associer nos supporters à l'actionnariat. Il faut bien débuter par quelque chose. On l'a fait avec la carte de membre, pour voir un petit peu les supporters qui nous suivent. Après on attaquera la deuxième phase avec les socios. D'ici deux ou trois ans on verra ce que ça donne. C'est important d'avoir sa carte de membre. Aujourd'hui, ceux qui l'avaient étaient invités ici, et puis il y en a aussi qui font partie des associés supporters. C'est très important d'avoir une carte de membre. Je crois que c'est 5 euros, c'est pas énorme. C'est surtout pour pouvoir répertorier tous ceux qui sont derrière le club, de façon à ce qu'un jour on vous contacte pour vous dire : "voilà, on est prêt pour le projet socios, est-ce que vous voulez suivre ou pas ?" Actuellement, il y a à peu près 35 000 membres. Nous, à l'ASSE, on a des supporters de partout. Je pensais qu'en quatre ou cinq ans on arriverait à 100 000 membres. Moi c'était mon objectif."

Galette s'est régalé en banlieue !

10/09 21:18

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Surpris par les caméras de Canal Plus Sport en train de discuter avec Bernard Lacombe, Christophe Galtier a assisté dans la banlieue à la belle déroute des vilains face aux Girondins, victorieux 3-1. Un match marqué par la nouvelle sortie sur blessure d'Alexandre Lacazette et l'expulsion de Bad Gonalons, auteur d'une très vilaine semelle sur Malcom qui lui vaudra plusieurs matches de suspension (à partir de 4, il raterait le derby programmé le dimanche 2 octobre). Schadenfreude !

 

C'est bon pour le moral de la réserve !

10/09 19:16


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Après sa cuisante défaite de samedi dernier en CFA2, l'équipe réserve de l'ASSE a retrouvé le sourire cet après-midi en battant Grenoble 3-1 lors d'un match amical disputé à Chasse-sur-Rhône (Isère).

 

Menés 1-0, les Verts ont égalisé à la 40e minute sur un superbe coup-franc de Florian Milla, dont le ballon a touché la barre et le gardien avant d'entrer dans le but. Sur un centre en retrait d'Arnaud Nordin consécutif à un décalage d'Hugo Roussey, Dylan Chambost a permis aux Stéphanois de prendre l'avantage juste avant la mi-temps. De la tête, Ricky N'Doutoumé a marqué le but du break définitif à la 74e sur un coup franc de Dylan Chambost. Le score aurait pu être plus lourd si Hugo Roussey n'avait pas raté un penalty. Milieu axial évoluant en sentinelle, le U19 capverdien Erikson a profité de cette rencontre pour faire sa première apparition sous le maillot vert. Ayant réussi à transformer son essai à l'ASSE, il succède à son compatriote Michel Delgado, qui n'a pas convaincu et est retourné dans son pays.

 

La compo : Vermot - HP (joueur à l'essai, puis Pétrot), Cabaton (Landini), Karamoko, Pierre-Gabriel (Nadrani)- Milla (Erikson), Chambost, Allée - Adam, Roussey (Sabayo), Nordin (N'Doutoumé).

 

La réaction de Laurent Batlles : "Après la défaite à Saint-Priest, on avait besoin de vite se remettre au travail. On a fait un match plus que costaud contre une très belle équipe de Grenoble. On dit toujours que le résultat d'un match amical importe peu mais quand même, ça peut avoir de l'impact sur le moral de mes joueurs. Je souhaite me servir de ce match pour grandir et pour qu'on puisse rééditer ça sur des matches de CFA2. Quand tu arrives à battre l'une des meilleures équipes de CFA de France, tu dois prétendre à un moment donné à gagner plus de matches en CFA2. J'ai procédé à une revue d'effectif intéressante. Deux pros sont descendus pour avoir du temps de jeu : Ben qui a joué tout le match et Ronaël qui a joué 75 minutes. Remis de sa blessure, Brian Landini a joué une mi-temps. Notre nouveau joueur capverdien Erikson en a aussi profité pour faire ses débuts. Cette victoire va nous permettre de négocier au mieux notre match de CFA2 du wekk-end prochain contre Bourgoin. Ce sera un match très important pour nous. On a 7 matches à l'extérieur dans la phase aller et 4 matches à domicile. C'est important de prendre des points le plus vite possible à la maison avant d'essayer d'en prendre hors de nos bases."

Kluivert et le mur vert

10/09 16:38

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Directeur sportif du QSG, Patrick Kluivert est revenu hier soir en zone mixte sur la contre-performance de son club face à Sainté.

 

"On n'a pas mal joué dans la deuxième partie du match mais on n'est pas contents. Les absences ont pesé. Cavani est revenu d'Uruguay jeudi, Di Maria est revenu d'Argentine mercredi... Quand on joue un vendredi, c'est mieux de jouer avec les joueurs qui sont ici, qui se sont entraînés toute la semaine. C'est normal de laisser ces joueurs sur le banc. Arsenal, ce sera un tout autre match. Saint-Etienne a joué avec cinq défenseurs, c'était très difficile de passer ce mur. Mais, quand on jouera face à Arsenal, il y aura quatre défenseurs derrière et il y aura beaucoup plus d'espaces disponibles pour jouer. Je ne peux pas dire que ça sera plus facile car Arsenal est une grande équipe. Mais on va avoir plus de place pour jouer, c'est sûr."

Y'a plus d'amour du maillot selon Roro !

10/09 14:31

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A la Divette, fief de nombreux potonautes franciliens, Roland Romeyer a évoqué brièvement le mercato stéphanois avant-hier soir.

 

"On a eu des grands joueurs à Saint-Etienne. Parmi eux, on a eu Bill Domingo, qui est resté 16 ans à l'ASSE. 16 ans ! Maintenant, les joueurs, quand ils viennent à Saint-Etienne et qu'on les prend en photo, ils mettent la main sur le cœur. Quand ils vont marquer un but, ils embrassent l'écusson. Mais si vous leur proposez un gros chèque, ils vont aller ailleurs. Je peux vous dire qu'on a vécu un mercato difficile. Il y a certains joueurs que le staff ne voulait pas conserver parce qu'il arrive un moment où il faut franchir un palier, essayer d'avoir des joueurs qui soient plus performants. On voulait se séparer de certains joueurs. Ça a été compliqué, ils ne sont pas tous partis d'ailleurs.

 

Y'en a d'autres qu'on voulait conserver mais comme on avait des propositions qui étaient intéressantes d'autres clubs, ils voulaient partir ! Moi je vous le dis, il n'y a plus l'amour du maillot. On est en 2016. Moi, l'argent, ce n'est pas ce qui me fait avancer. Mais pour la plupart des gens, c'est le fric, le fric, le fric ! Les joueurs ils sont pareils, c'est tout ! C'est compliqué de mener un club actuellement. Entre les joueurs qui sont des salariés particuliers, les agents qui sont derrière, c'est difficile. Hervé Revelli et Dominique Rocheteau, à l'époque, ils n'avaient pas d'agent. Ils n'avaient pas des sommes énormes. Mais c'était des mecs qui aimaient le maillot, qui mouillaient le maillot, qui se battaient pour le maillot. La vie a bien changé."

Malcuit ne touche pas Matuidi

10/09 10:34

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Kévin Malcuit est revenu sur le match nul des Verts au Parc sur le site Foot365. Extraits.

 

"Il n’y a pas penalty, surtout que j’ai vu la vidéo au vestiaire et il est en dehors de la surface. Matuidi joue bien le coup. Je ne le touche pas, il s’est collé à moi et il est tombé. Je ne vais pas mettre la faute sur l’arbitre, c’est fait maintenant. Le plus important, c’est qu’on ait fait un nul ici. Après le penalty, j’ai pris un coup sur la tête pendant dix minutes. Je pensais beaucoup à l’action, parce qu’on tenait le score et je m’en voulais. Mais j’ai un coach qui m’a boosté, je le remercie. Il m’a poussé jusqu’au bout, je n’ai rien lâché grâce à lui et j’ai réussi à faire une passe décisive. Franchement, j’étais aux anges au coup de sifflet final. Ça m’a fait beaucoup de bien cette passe. Je suis content de ramener un nul du Parc. C’est toujours une victoire de faire un nul au Parc, parce que c’est la meilleure équipe du championnat. J’ai tout fait, penalty et passe dé. Ce match-là, je vais m’en souvenir !"

Roro veut être proprio

10/09 09:30

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Accompagné de Dominique Rocheteau et Hervé Revelli, Roland Romeyer a expliqué avant-hier à des supporters franciliens de l'ASSE pourquoi il souhaitait racheter le Chaudron.

 

"Hier encore, y'a un supporter qui m'appelle et qui me dit : "Roland, on aimerait visiter le stade." Mais nous, actuellement, on est locataire de Saint-Etienne Métropole pour le stade. On l'a uniquement 48 heures les jours de match. Ce qui est déplorable, c'est que le stade est mis à la disposition d'une société qui profite de l'image du club pour le louer pour des salons, des séminaires, des mariages, tout un tas de trucs, y compris les visites. C'est pas nous, c'est Capea, c'est une société à qui Saint-Etienne Métropole loue le stade.

 

Ce stade, vous allez me dire "il est beau." C'est un stade à l'anglaise, c'est ce qu'on voulait. Mais avec du vieux on ne fait pas du neuf ! Vous qui êtes dans les tribunes, quand vous n'allez pas à l'intérieur, vous vous dites que c'est un beau stade. Mais quand on regarde un peu à l'intérieur, on voit que c'est un stade qui n'est pas fonctionnel. On a beaucoup de problèmes. Même à l'extérieur, on a des problèmes avec les bornes, le Wifi et tout un tas de choses. A chaque fois qu'on demande à Saint-Etienne Métropole, ils disent qu'ils ne peuvent pas, qu'ils n'ont pas le budget et tout ça.

 

Nous, si on pouvait racheter le stade… On paye une location, en gros, de 2,6 M€ à 3 M€ par an. C'est comme quand vous êtes locataire de votre baraque. On se dit : "finalement, je vais prendre un prêt, mes mensualités, ça remboursera le prêt et après je serai proprio." Nous on a vu le maire qui a été attentif à notre demande, de façon à ce qu'on puisse proposer de racheter le stade. A partir du moment où on sera propriétaire, on ne va pas aller pleurer pour le wifi, pour des filets, pour des trucs. On fera ce qu'il y aura à faire. On n'ira pas pleurer comme on l'a fait l'année passée pour la pelouse qui n'allait pas. On a nos jardiniers. On se débrouillera de A jusqu'à Z. Surtout, on est sûr qu'au niveau marketing, on aura des recettes supplémentaires. Le stade sera à nous 365 jours sur 365, on pourra organiser des manifestations.

 

Combien de clubs sont propriétaires de leur stade ? Il y a l'OL, maintenant, et il y avait Auxerre. Il faut regarder ce qui se passe ailleurs. C'est vrai que l'OL, ça leur permet de grandir. S'il y a eu des mécènes et des gens qui ont voulu venir au capital, c'est aussi parce qu'il y a ce stade. Ça leur permet de récupérer 100 millions d'euros, c'est pas des pailles !  Je pense que c'est l'avenir pour tous les clubs, à condition que les politiques le comprennent. Le gros problème, dans ce pays, c'est que la plupart des politiques viennent se servir d'abord. Nous, on sert le club. Je vis pour mon club, j'aime mon club. Je vous aime aussi, tous ceux qui sont derrière ce club. Avec Hervé et Dominique, quand on vient et qu'on voit des gens qui ont le sourire, qui sont heureux, nous on est heureux. S'il y a des malheureux, on est malheureux parce que nous on a  un cœur, on est des gens affectifs.

 

On sait bien que c'est compliqué mais l'avenir pour tous les clubs, c'est de pouvoir être propriétaire de leur terrain, et de faire ce qu'ils voudront de leur stade. Après, si on n'y arrive pas, on continuera à faire ce qu'on fait actuellement, utiliser le stade 48 heures chaque fois qu'on a un match, et puis voilà, on ne pourra pas faire autrement, on ne peut pas les forcer. J'ai fait comprendre à Perdriau que ce serait bien pour le club de gérer notre stade et ça serait bien pour les citoyens de Saint-Etienne. Ça leur éviterait d'avoir des charges supplémentaires : ils n'auraient plus l'entretien, le personnel à payer. Ils pourraient récupérer ensuite, 80 M€ ou 100 M€, je ne sais pas. Ils ont déjà mis 70 M€. On verra l'évaluation après expertise. Ça permettrait à la ville de récupérer de l'argent et d'alléger les charges.

 

Tout ce que je dis, c'est logique. Mais y'a le vice-président de Saint-Etienne Métropole, qui s'appelle Roland Goujon, qui tout de suite avait réagi à ma proposition et qui avait dit "non, le stade n'est pas à vendre." Il n'est pas à vendre car ces gens-là veulent exister à travers le stade. Ce qui est malheureux à Saint-Etienne, c'est que c'était une ville industrielle, la quatrième ou cinquième ville de France. Je parle de cinquante, soixante ans avec les mines, la sidérurgie, la métallurgie, les armes, le cycle… Il y avait beaucoup de savoir-faire. Malheureusement ça s'est cassé la gueule tout ensemble. Saint-Etienne est une ville qui souffre du point de vue économique. Qu'est-ce qui existe à Saint-Etienne ? Qui est le meilleur vecteur de communication à Saint-Etienne ? C'est l'A.S. Saint-Etienne ! 

 

Les politiques, et ben oui, ils veulent l'A.S. Saint-Etienne. Ils n'existent plus s'il n'y a plus l'A.S. Saint-Etienne ! C'est compliqué car ils tiennent ça, ça les fait vivre, ils sont contents. Nous aussi, on veut pour vous, pour vous tous, on veut faire un grand club. Et pour faire un grand club, il faut avoir un bon outil de travail qu'on maîtrise, nous, on fait ce qu'on veut dedans. Voilà, c'est tout ! On va se battre pour faire aboutir ce projet. Il faut que la ville le comprenne et nous aide. Le maire est intelligent, je pense qu'on arrivera à quelque chose. J'ai beaucoup d'espoir. Depuis trois mois on a des discussions. Il y a les gars qui font l'estimation, les Domaines. Ils font l'estimation du stade et puis après ils vont revenir vers nous. Normalement, il y a jusqu'à fin décembre pour voir si ce projet peut aboutir. Nous on espère qu'on y arrivera parce que le football évolue."

Meunier, tu dors !

10/09 08:24

 

Endormi et mystifié par Robert Beric dans le temps additionnel au Parc, le défenseur belge Thomas Meunier s'est permis de critiquer la frilosité de l'ASSE en zone mixte.

 

"On a clairement dominé. Jouer contre des équipes qui refusent le football, c’est plus compliqué. Je n’avais pas connu ça auparavant et je vois vraiment là que c’est la même chose à tous les matchs. Il va falloir s’y faire, trouver des possibilités tactiques pour gagner, tout simplement. Le prochain match contre Arsenal arrive au bon moment. On va enfin pouvoir jouer contre une équipe voulant faire le jeu. Ils ne vont pas venir ici pour un match nul, ils vont venir pour les trois points. C’est hyper intéressant de jouer contre une équipe qui veut rivaliser offensivement."

Le résultat sans la manière

10/09 08:09

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Satisfait d'avoir mis un terme à sa série de défaites contre le QSG, Galette a fait savoir hier en conférence de presse qu'il n'était pas emballé par la prestation de ses joueurs.

 

"Je suis satisfait du résultat, pas de la manière sur la totalité du match. En fin de première période, on a trop laissé jouer leur milieu de terrain.  On savait que l’on allait souffrir en deuxième mi-temps mais on a eu trop de déchets techniques. On a mal utilisé les ballons que l’on a récupérés. Je ne suis pas satisfait de jeu offensif. Je regrette des pertes de ballon trop rapides. On avait les joueurs pour faire autre chose mais on s’est précipité pour sortir du pressing. On ne s’est pas servi de la densité de notre milieu de terrain pour le faire."

Lacroix n'est pas chocolat

10/09 07:49

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Léo Lacroix revient sur son premier match en vert dans la dernière édition du Progrès. Le nouveau numéro 4 de l'ASSE a beau être Suisse, il n'est pas chocolat !

 

"Ce n’était pas facile d’entrer en jeu. Je l’ai bien fait. Toute l’équipe a fait un très gros match. Ce n’était pas facile de revenir au score mais on l’a fait. On peut rentrer à Saint-Etienne la tête haute. Beaucoup de choses me sont passés par la tête. Je n’ai pas l’habitude de jouer devant autant de spectateurs. En plus, ici, au Parc des Princes, c’était un rêve. Mais il faut garder la tête froide. J’ai dû rentrer vite sans m’échauffer. Personne ne disait que Saint-Etienne allait faire un match nul ici, sauf nous. Je suis donc très content. On n’a pas lâché après qu’ils aient marqué. On ne s’est pas dit, ils vont nous mettre chocolat. On a continué et on a marqué à la fin. Avec Loïc, ça s’est bien passé. Sur un terrain, on parle tous football. Il faut continuer à travailler car ce n’est qu’un point de pris et un match important nous attend jeudi. Mais, c’est sûr, je m’en souviendrais de ce premier match !"

Les débuts réussis de Dylan Saint-Louis

09/09 23:55

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Pour son premier match de L1, Dylan Saint-Louis était titulaire et avait gagné 3-1 à domicile en marquant un but (contre Montpellier) après avoir été mené au score. Le jeune attaquant a reproduit ce soir exactement le même scénario en L2 sous son nouveau maillot tango. Portant le numéro 14, le Johan Cruyff lavallois a scellé d'une frappe du gauche le succès de sa nouvelle équipe contre Orléans. Pour rappel, il avait déjà claqué dès son premier macth avec l'ETG il y a sept mois. DSL, l'homme qui réussit toujours ses débuts !

 

Sainté tient Paris en échec mais perd Cheikh

09/09 23:17

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Alors qu'ils restaient sur une série de dix défaites consécutives face au QSG, les Verts ont arraché le nul ce soir au Parc des Princes. Les Parisiens ont ouvert le score à la 67e minute par Lucas sur un penalty généreux sifflé pour une obstruction sur Blaise Matuidi commise en dehors de la surface par Kévin Malcuit. Ce dernier a profité d'un excellent travail de Romain Hamouma pour délivrer une passe décisive à Robert Beric à la 92e. Ce match d'ouverture de la 4e journée a hélas été marqué par la rechute de Cheikh M'Bengue, sérieusement touché au genou. Léo Lacroix en a profité pour faire sa première apparition sous le maillot vert.

 

Faubert faux vert

09/09 19:47

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Invité de l'émission "Le Vestiaire" hier sur SFR Sport 1, l'agent Yvan le Mée a révélé que l'ancien girondin Julien Faubert était convoité par l'ASSE quand il jouiat à West Ham avant son surprenant tranfert au Real Madrid en 2009.

 

"Juande Ramos était l’entraîneur du Real et il cherchait un milieu droit à ce moment-là. L’année d’avant, il était à Tottenham avec Damien Comolli, son ancien directeur sportif. Comolli lui dit : "Je suis à Saint-Etienne, je veux Faubert en milieu droit mais lui ne veut pas venir. Il a fait quatre très bons matchs contre toi". Et comme il cherchait vraiment un garçon du profil de Julien… Ce n’était pas le premier choix. On est arrivé le dernier jour. Ils voulaient Valencia, qui était à l’époque à Wigan et qui est parti à Manchester United après. Ils n’ont pas réussi à le faire."

En clair et contre tous

09/09 19:25

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C'est un joli cadeau de rentrée que la chaîne de la Pravda fait à tous les supporters Verts : le club nous apprend aujourd'hui qu'un accord a été trouvé pour la diffusion des matches de l'ASSE, qu'ils soient officiels ou amicaux. Ces diffusions auront lieu le lundi après-midi à 16h, et seront précédées d'un reportage "Au coeur du club". Le match de ce soir au Parc (20h45, C+ Sport) sera le premier de la série, qui espérons-le durera longtemps !



L'ASSE est donc le premier club français à être diffusé intégralement en clair sur une chaîne de la TNT, après avoir été le club phare lors des premières diffusions télévisées des soirées européennes, dans les années 70. D'ailleurs, le Directeur du Pôle TV de la Pravda, Arnaud de Courcelles lui-même le rappelle : "l'AS Saint-Étienne fédère les passionnés de football depuis des décennies". Gageons que ce coup médiatique rendra le club populaire quelques décennies de plus.

Nos Anglais ne voulaient plus s'engluer

09/09 13:47

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Avant d'affronter le QSG ce soir au Parc, nos deux Anglais se sont confiés à la Pravda. Extraits.

 

Henri Saivet : "Quand j'ai signé à Newcastle, j'exauçais un rêve de gamin. J'allais jouer contre des équipes comme Manchester United, dans un championnat qui grandit d'année en année, le plus regardé et médiatique au monde. Il suffit de regarder le montant des droits télé pour mesurer son immensité. Je n'ai joué que 4 matches. En France, les clubs doivent rentabiliser un joueur, un lui mettant la pression s'il le faut. Pas en Angleterre, où les clubs ont tellement de moyens que même s'ils t'achètent 20 M€, ils peuvent te mettre sur le banc. A 30 M€, ils commencent à réfléchir. L'Angleterre, ce n'est pas difficile mais compliqué, dans le sens où, parfois, tu ne comprends pas tous les choix. Rester en Angleterre pour se retrouver dans la même situation au bout de 4 matches ? Les clubs ne m'auraient plus pris au sérieux. Je ne suis pas dégoûté mais vexé d'être rentré en France. C'est comme si je revenais en arrière. Parfois, il faut savoir reculer pour mieux sauter. Ce n'est pas un échec, c'est une leçon. Le football est un apprentissage. En Angleterre, tu te retrouves livré à toi-même, dans une autre culture. Tu en reviens plus fort mentalement. Si c'est à refaire, j'y retourne, parce que je suis animé par l'envie de montrer que je peux m'imposer en Premier League.

 

Jordan Veretout : "Si j'ai pas mal joué à Aston Villa, je me suis pas non plus imposé comme titulaire indiscutable. L'Angleterre est venue à moi et ça ne se refuse pas. J'ai joué 29 matches dont 25 en Premiear League. En vertu d'une clause, Aston Villa devait verser au FC Nantes un bonus si je disputais 30 matches dans la saison. J'ai même vu un attaquant rentrer comme milieu. Je pouvais rester en Angleterre, où 8 clubs peuvent être champion et 12 descendre. Mais je ne voulais pas revivre une saison dans le fond du classement. Ce que je voulais, c'est retrouver du plaisir à jouer et le goût de la victoire. Saint-Etienne m'offre ce challenge. En Angleterre, j'ai progressé notamment dans le domaine physique. je vais plus au contact. En Angleterre, ça ne siffle pas, ça joue et ça court. C'est comme un match de basket, le ballon va d'un camp à l'autre, et quand il sort il revient directement. C'est vraiment un plaisir de jouer là-bas, dans des stades remplis. Je suis prêt à y retourner mais dans d'autres conditions."

Crémillieux dans les Bleus (16)

09/09 13:20

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Décisif dimanche dernier avec les U19 contre Cannes, le gardien stéphanois Nathan Crémillieux a été sélectionné en équipe de France U17 pour une double confrontation amicale face à la République tchèque les 21 et 23 septembre à Auch.

Tous les chemins ne mènent pas à Rome

09/09 10:22

Selon la Pravda du jour, la Lazio, avant de tenter Bielsa, a cherché à débaucher Galette cet été.

La Pravda qui tire l'info du Messaggero d'hier précise que Galette était le choix n°1 du Directeur Sportif de la Lazio, Igli Tare. L'affaire n'est pas allée plus loin compte tenu de la volonté du président de la Lazio, Claudio Lotito, de trouver un nom plus ronflant. D'où les contacts, avortés, avec Cesare Prandelli, puis Bielsa.

In fine, le club Romain a privilégié la piste interne en confirmant Simone Inzaghi (remplaçant de Stefano Paoli depuis le 5 avril dernier) au poste.

 

Tonnerre de Neal !

09/09 10:17

 

Elu meilleur joueur de L2 pour le mois d'août, Neal Maupay (Prêté à Brest cette saison) se confie dans la Pravda et revient notamment sur les conditions de son prêt, extraits.

 

"Cet été, j’ai discuté avec le coach Galtier. On a convenu que ce serait compliqué pour moi cette saison avec l’effectif conséquent du club. J’ai dit que je voulais jouer, que j’avais besoin d’enchainer les matches. Le prêt était donc la meilleure solution. Dans un grand club comme Saint-Etienne, on progresse. Mais pour s’améliorer, ça passe surtout par le fait d'enchaîner les matches. Je ne voulais plus être un remplaçant.

 

J’ai fait une saison mitigée, mais j’ai beaucoup appris. J’ai côtoyé des joueurs d’expérience, j’ai joué l’Europa League…  Après, j’étais forcément frustré de peu jouer (15 matches de L1, dont 5 en tant que titulaire), je ne suis pas satisfait de ce que j’ai apporté. Puis quand j’entrais en jeu, je n’étais pas forcément bon. Donc je suis un peu resté sur ma faim. Avec plus de régularité et de confiance, j’aurais pu faire beaucoup mieux."

 

A propos de l'arrivée d'Alexander Soderlund...

 

"Forcément, quand un joueur se blesse à mon poste et que le club décide de recruter un autre joueur, je me dis que le coach n’a pas encore tout à fait confiance en moi pour le remplacer. C’est vrai, j’étais déçu, mais j’ai compris sa décision car on avait beaucoup de matches à jouer avec la Coupe d’Europe. Le coach voulait un effectif conséquent."

 

Olé le conquérant

09/09 09:59

 

Avant le match phare ce soir de la quatrième journée de L1 contre le PSG, la Pravda met en avant notre jeune Norvégien Olé Kristian Selnaes. Propos appuyés par Tor Kristian Karlsen (dirigeant Norvégien et ancien recruteur).

 

"Même s’il était un milieu de terrain de talent de l’équipe championne de Norvègeil n’était pas une star ici. Le modèle du joueur d’équipe, calme, d’autant plus qu’il vient de Trondheim, ce qui explique son humilité et son côté terre à terre. Il a pour lui la vision du jeu, le sens de la passe et la variété de la passe, une maîtrise de soi nécessaire dans son poste qui impose de dicter le jeu en profondeurEn outre, il a vraiment du caractère, ce qui manque d’ailleurs souvent aux joueurs norvégiens. Mais bon, à 22 ans, il est encore en apprentissage. Il doit trouver plus de continuité dans son jeu, être constant sur l’ensemble des matches. Et vu qu’il mesure 1m87, il doit encore travailler dans les duels, parce qu’il pourrait être plus dangereux dans les airs."

Un Ange passe dans Le Parisien

09/09 07:35

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Avant le QSG-Sainté qui ouvrira ce soir la 4e journée de L1, Dominique Rocheteau s'est confié au Parisien. Extraits.

 

"Le Parc c'était mon jardin, ce stade m’a toujours réussi. J’ai souvent réalisé de bons matchs avec Saint-Etienne, avant de signer à Paris. J’ai aussi de beaux souvenirs avec l’équipe de France.

(...)

Mon match le plus émouvant, c'est la première finale de Coupe de France, en 1982, contre Saint-Etienne. C’était très ambigu pour moi. Ca m’a marqué. C’était contre Saint-Etienne, mon club d’origine… J’avais pas mal de copains dans l’équipe d’en face : Platini, Battiston… C’était aussi le dernier match de Michel à Sainté. Et puis le dénouement… C’était le premier titre du PSG. J’ai chaque instant de ce match en mémoire. Déjà, avant la rencontre, François Mitterrand, que j’aimais bien, m’avais salué et parlé de la Charente. Il était de Jarnac et moi de Royan. Je me rappelle aussi des buts, de l’attente dans les vestiaires, parce que les spectateurs avaient envahi le terrain de joie après l’égalisation dans la prolongation. Et puis l’image de Borelli qui embrasse la pelouse…

(...)

Le Parc des Princes et Geoffroy-Guichard, ce n’est pas la même chose. Ce sont les deux enceintes où j’ai mes meilleurs souvenirs. Ce n’est pas un hasard si le Parc des princes porte ce nom. Il y a ce côté "étoiles", c’est Paris. On entre dans une arène. C’est comme un cirque, mais je ne me suis pas senti porté par le public comme à Saint-Etienne. Dans le Chaudron, on est soulevé par les supporters. A Paris, c’est le côté spectacle qui domine."

Perdre contre Paris, ça suffit !

09/09 07:08

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Comme nous le rappelle Opta, le QSG reste sur 10 succès toutes compétitions confondues face à Sainté, la meilleure série de son histoire face aux Verts (25 buts marqués, 4 encaissés). Un nul ce soir au Parc serait donc un "résultat très positif" (dixit Léo Lacroix en conférence de presse) et une victoire stéphanoise un authentique exploit.

 

Paris n’a perdu qu’un seul de ses 40 derniers matches à domicile en Ligue 1 (32 victoires, 7 nuls), c’était face à Monaco en mars dernier (0-2), à une époque où le championnat était déjà plié. Cela fait désormais 7 ans que le QSG n’a plus perdu au mois de septembre en Ligue 1 (15 succès, 10 nuls), son dernier revers datant du 13 septembre 2009 à Monaco (0-2). Paris n’a plus enchaîné 2 revers de rang en Ligue 1 depuis novembre 2011, c’était contre Nancy (0-1) et Marseille (0-3).

 

Sainté, qui ne s'est imposé que deux fois dans son histoire au Parc contre le QSG, n’a remporté qu’un seul de ses 27 derniers déplacements sur le terrain d’un champion en titre en Ligue 1 (6 nuls, 20 défaites), son dernier succès remontant au 19 novembre 1999 face à Bordeaux (2-1). Les Verts compteront notamment sur Romain Hamouma et Henri Saivet pour succéder à Aubame, dernier buteur stéphanois au Parc (le 3 novembre 2012). Le premier est impliqué dans les 2 derniers buts marqués par des joueurs stéphanois face à Paris (1 but, 1 passe décisive). Le second a claqué son dernier pion en L1 dans l'enceinte parisienne, de la tête.

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