Kevin, N°9 !

14/10 13:22

 

 

Non, notre cascade de blessures ne va pas obliger Galette a repositionner Kevin Malcuit au sommet de l'attaque stéphanoise... mais c'est bien à ce poste qu'il a débuté sa carrière avec Monaco... C'est à 20 minutes, que notre latéral droit, a confié ses différentes expériences...

 

je suis arrivé à l'ASSE un peu blessé dans un nouveau groupe. Il fallait que je prenne mes repères. C’était plus une année d’apprentissage pour moi. J’avais beaucoup de lacunes au niveau de la tactique et de la concentration. En Ligue 2 (à Niort de 2014 à 2015), ça passait, mais pas en Ligue 1. Le National et la L2 sont beaucoup basés sur le physique. En L1, le mental est très important.

 

A Monaco, j’étais avant-centre. J’avais signé un contrat pro de trois ans (en 2011) et ça a basculé quand les Russes sont arrivés. Il y avait un nouveau projet et avant même qu’ils ne me voient, je n’étais pas dans leurs plans. Il a fallu recommencer à zéro et j’ai eu du mal à digérer ça. Passer de pro à fédéral m’a mis un coup au moral.

 

Je suis passé latéral à Fréjus (National, de 2012 à 2014) sur un coup de tête du coach, Michel Estevan. A l’entraînement, il a vu que je courais vite et il a voulu m’essayer là. Je trouvais ça bizarre de jouer derrière mais c’est devenu mon poste.

 

J'ai pris des cartons bêtes (deux expulsions à Monaco et à Nice). Je jouais peu donc je voulais tellement me montrer et faire de bonnes choses… Je manquais d’expérience et je me suis fait avoir par les adversaires. En me mettant tout seul une pression, j’ai pénalisé le groupe.

 

Le coach (Christophe Galtier) ne m’en a jamais parlé mais j’avais la sensation qu’il ne me voyait que dans une défense à cinq. C’était à moi de lui prouver le contraire. Je ne pouvais pas compter que sur un seul schéma pour jouer. J’ai beaucoup travaillé dans les séances vidéo et maintenant, le coach sait qu’il peut m’installer dans une défense à quatre ou à cinq.

 

Plus jeune, mes modèles n’étaient que des attaquants, entre Shevchenko, Ronaldo ou Van Nistelrooy. Mais maintenant, je suis surtout attentif aux latéraux. Je progresse en regardant des joueurs incroyables comme Daniel Alves, Philip Lahm et Marcelo, notamment dans leur placement. Ça fait partie de mon travail que d’analyser ça.

 

je suis un battant. Je ne lâche rien. J’ai envie de réussir ici et je m’en donnerai tous les moyens. Je n’ai jamais eu de problème avec le coach. Peut-être voulait-il que je m’adapte doucement au groupe et à la Ligue 1. Même si ça m’a énervé, je me dis avec du recul que ça m’a aidé. Cette année, je me sens plus à l’aise.

 

Est ce que je suis le joueur le plus rapide de L1 ? Vous me posez une colle là (sourire) ! Certains vont vite comme le Rennais Pedro Henrique. Si je pousse le ballon, il faut être prêt à me rattraper… Mais le coach me dit de ne pas trop abuser de ma vitesse.

 

Au début, je me disais que je pourrais compenser tous les coups grâce à ma vitesse, comme en Ligue 2 et en National où je n’étais pas net sur mon positionnement. Mais à ce niveau, j’ai pu me faire avoir. J’ai compris qu’être bien placé permettait de récupérer davantage sur le terrain. La saison passée, je faisais tout à 2.000 à l’heure. J’étais un foufou toujours au taquet. Et puis après 30 minutes dans un match, j’étais parfois « carbo ».

 

Les matchs contre Paris, c’est spécial, je me sens infatigable (sourire) !

 

Polo et Cheikh in, Beric out (2)

14/10 13:13

Comme annoncé hier, Christophe Galtier a confirmé ce jour en conférence de presse que les "seuls" forfaits ce week-end seront Robert Beric, Romain Hamouma et Fabien Lemoine, sans oublier Ronaël Pierre-Gabriel.

Ce qui mine de rien ressemble au retour de plus de la moitié d'une équipe (et d'une défense complète!) puisque Cheick M'Bengue, Pierre-Yves Polomat, Dieu, Florentin Pogba, KTC, Henri Saivet et Alexander Søderlund postulent à une place dans le groupe.

Rudi la Sardine?

14/10 09:47

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La Pravda du jour laisse entendre que l'ancien co-entraîneur stéphanois (avec Jean-Guy Wallemme) Rudi Garcia serait sur la short list des Sardines pour prendre le poste d’entraîneur. 

Libre depuis son éviction de la Roma en janvier dernier, l'ancien adjoint de Robert Nouzaret pourrait ainsi retrouver un banc de Ligue 1, lui qui avait quitté la France et les caniches pour travers les Alpes en 2013.

Sly tacle Galette

14/10 08:03

Invité de l'émission "Le Vestiaire" diffusée hier soir sur SFR Sport 1, Sylvain Monsoreau est revenu sur son expérience de lofteur à Saint-Etienne.

 

"Tu viens pour faire ton travail, tu viens chaque jour sur ton lieu de travail, et quand t'arrives, on ne te fait pas travailler. Du jour au lendemain on te dit de rester là, sur ta chaise, à attendre. J'ai été mis à l'écart, selon le coach il y avait un plafond de salaire mis en place par le club. Pour le président, c'était un choix sportif du coach. Christophe m'avait dit c'est un choix sportif, je veux partir sur d'autres joueurs. C'était au mois de juillet. Je lui ai demandé comment ça allait se passer si j'étais encore là en septembre. Il m'a dit qu'il n'y aurait pas de problème avec moi, que tout le monde m'apprécie dans le vestiaire, que je serai réintégré. Au mois de septembre, n'ayant pas eu de match pendant toute ma préparation, je n'ai pas réussi à trouver de club. Petit à petit la situation s'est envenimée. Je me suis retrouvé dans le vestiaire CFA, avec interdiction de rejoindre le vestiaire des pros et pas mal de petites sanctions ; interdiction de stationnement, nombre plus limité de places de match, etc. Tout a été fait pour me faire partir. Au début je parlais avec les joueurs sur le parking, mais comme pour eux ça pouvait être mal vu au fur et à mesure que la situation perdurait, j'ai eu de moins en moins de contact avec eux. Petit à petit on s'isole et on se retrouve un peu tout seul dans sa galère. Cela a duré un an, c'est très long... C'est parti en procès, le club a a été condamné pour harcèlement moral. Le club de Saint-Etienne a donné une mauvaise image de moi alors que je demandais juste à faire mon travail. J'ai gagné mon procès mais ça ne m'a pas redonné les trois ans de ballon que j'ai perdus.

 

J'ai côtoyé Christophe pendant trois ans, au départ on était proche. J'ai eu des petites histoires dans ma vie privée qui ont fait que je n'ai pas pu trop jouer pendant un an  et demi à Saint-Etienne. Christophe en tant qu'adjoint était très proche de moi, il avait compris ma situation et on a eu beaucoup de contacts extra-sportifs. Dans ma reconstruction, par rapport à ce que j'avais vécu, c'est quelqu'un qui m'a fait du bien à un moment donné. Comme je suis affectif, quand il est devenu numéro un, j'ai réussi à me reconditionner comme joueur de foot, à revenir et à faire une saison complète en 2010-2011 avec Saint-Etienne. J'ai vraiment pris du plaisir à retrouver mon métier, à prendre le ballon, à avoir une vision simple du football. Mais ensuite avec ce qui s'est passé cet été là, c'est comme si on m'avait repplongé dans un gouffre. J'ai perdu une personne dans ma vie, dans des conditions tragiques, un accident de voiture. Le fait d'avoir retrouvé mon quotidien de footballeur m'avait fait du bien. Le fait de m'avoir mis à l'écart m'a fait replonger. J'en ai voulu à Christophe non pas par rapport à ses choix d'entraîneur, mais pour le côté humain. Je n'ai pas compris pourquoi il me faisait ça. Pour moi c'était faire du mal gratuitement à quelqu'un. Je pensais avoir une relation un peu particulière par rapport à mon vécu avec lui. Au final, cette personne avec qui j'avais eu plaisir à parler disparaissait complètement. Je n'étais plus son problème. Un jour il y a eu un Troyes-Saint-Etienne, il est venu me parler comme s'il ne s'était rien passé, ça m'a choqué."

Dijon sans pression

14/10 07:24

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Dans Le Progrès, l'attaquant dijonnais Jérémie Bela évoque le déplacement de son équipe à Saint-Etienne.

 

"On y va sans pression. L’ASSE est le favori. C’est logique, d’autant plus que les Verts vont jouer chez eux. Mais on va jouer notre jeu. Il faudrait faire très attention dans les dernières minutes, car Saint-Etienne marque beaucoup lors de ces instants. Un match nul serait une très bonne performance…"

Monnet-Paquet a de la caisse

14/10 07:15

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L'indestructible Kévin Monnet-Paquet se confie aujourd'hui dans Le Progrès. Extraits.

 

"Depuis que je suis entré au centre de formation de Lens, je n’ai pas le souvenir d’avoir eu de blessure musculaire sérieuse. J’ai dû avoir un ou deux pépins, mais des trucs légers. Physiquement, je suis assez présent alors que j’ai un jeu qui demande pas mal d’efforts. Il est basé sur l’enchaînement des courses, sur la rupture. Sur le côté, il faut que j’avale mon couloir. Souvent, c’est l’enchaînement des matches qui crée une sensation de bien-être chez le joueur. En ce qui me concerne, j’ai de la caisse et j’ai besoin de la remplir. Je ne m’économise pas. Ça me fait du bien de me dépenser.

 

J’ai joué latéral par la force des choses, pour le bien de l’équipe. Mais ce n’est pas le poste que je préfère, ni celui auquel je veux me fixer. Sur la durée, je pourrais coûter quelques buts à l’équipe. Ce n’est pas quelque chose d’inné en moi. Ça se travaille. Je ne sais pas si on a vraiment le temps de prendre le risque à ce niveau-là. Le coach sait que c’est une solution de dépannage s’il y a beaucoup de blessés. Mais il sait aussi que ce n’est pas ma préférence. Contrairement à ce que les gens croient, le coach ne m’a jamais essayé à ce poste à l’entraînement. J’ai dû apprendre rapidement."

 

 

 

 

Gigliotti atterrit à Marignane

14/10 06:56

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Expulsé pour la 6e fois en 25 mois sous le maillot de Consolat (National), l'incorrigible David Gigliotti (31 ans) ne jouera plus pour ce club des quartiers nord de Marseille. Selon la dernière édition de La Provence, l'ancien attaquant stéphanois s'est engagé avec Marignane (CFA).

Abed pour affronter Abeid

13/10 23:49

 

Pour affronter le Dijon FCO de Mehdi Abeid, les Verts seront arbitrés par le jeune arbitre quasi homonyme Karim Abed. Il n'affiche pour le moment que 4 matchs en L1 dont une défaite 1-0 du DFCO face au FC Nantes.

Aubame ne vise pas l'argent

13/10 22:44

 

Le nouveau numéro de Onze Mondial paru le 1er octobre dernier, fait la part belle à Aubame à travers une longue interview. Extraits.

 

"J'ai refusé une grosse proposition du Qatar pour rester à Saint-Etienne. Bien sûr, je savais que je pouvais mettre ma famille à l'abri. Ça a été une réflexion que j'ai eue avec mon père. J'aurais vraiment pu mettre tout le monde à l'abri. Mais je me suis dit que ces conditions-là, je les retrouverai un jour en jouant dans un grand club et en gagnant les grandes compétitions. L'argent n'était pas mon objectif, j'avais vraiment envie de continuer sur ma lancée à Sainté. En plus, c'est à double tranchant. Si ton contrat ne va pas au bout, tu ne sais pas ce qui peut se passer.

Je regarde toujours la Ligue 1. J'ai bien envie de voir comment ça va se terminer cette saison. Ibra a quitté Paris, tout le monde descend Cavani. Bon, là il a un peu mis tout le monde d'accord avec son quadruplé. Je pense qu'il va marquer un max de buts cette année. J'ai envie de voir ce que Monaco va donner et puis j'aimerais bien voir Sainté s'introduire dans les trois, quatre premiers. Evidemment, j'ai encore des potes chez les Verts. Même chez les nouveaux, puisque j'ai joué avec Malcuit à Monaco. Et on s'envoie toujours des sms avec Galtier."

Le Vestiaire d'Anto ?

13/10 22:28

 

Intervenu dans l'emission Le Vestiaire, sur SFR Sport 1, hier soir, Hérita Ilunga est revenu sur ses vertes années. Extraits.

 

Le vestiaire le plus fou que j'aie connu lors de ma carrière ? Le plus chaleureux, c'est l'année où on monte avec Saint-Etienne, en 2004. Il n'y a pas de surprise. Il y a tout, tout nous réussit. C'est important, on se dit les choses. Il y a eu des réunions où ça a gueulé, c'était important de crever l'abcès.

 

Le coéquipier le plus rigolo que j'aie connu dans un vestiaire, c'est Pascal Feindouno. C'était quelque chose lui ! Lors de ma deuxième année à Sainté, ma première en Ligue, il était à côté de moi. Il avait reçu un petit flacon de rhum de Martinique. A chaque début d'entraînement, avant d'aller sur le terrain, il prenait une gorgée le mec. Tranquille ! C'est Pascal, quoi ! Il a un côté attachant, fou, et c'est un fantastique joueur !

 

 

Il est également revenu sur les relations tendus entre Anto et le duo présidentiel en évoquant un épisode croustillant qu'il situe comme la genèse de cette brouille.


Il y décrit un Nanard s'incrustant dans le vestiaire avec l'ancien maire, Michel Thiollière, pour parler à Anto jusqu'à ce que ce dernier éructe "Vous vous prenez pour qui ? Je suis le seul à pouvoir critiquer mes joueurs ! Vous connaissez le foot, vous ? Sortez de mon vestiaire !", le volcanique corse n'acceptant donc d'entendre quelqu'un d'autre critiquer ses joueurs à part lui.

 

Problème, il évoque un match de coupe, sous Antonetti, gagné grâce à deux buts de Bafé Gomis, sous la présidence Caïazzo. Or, aucun match de la période Ilunga ne lie ne serait-ce que deux de ces caractéristiques...

Rivière déborde d'envie

13/10 19:16

Interviewé par le site officiel de Dijon, Yohann Rivière, buteur avec son club à Montpellier évoque sa venue dans le Chaudron :

"Cela fait partie des gros matchs d’une saison de Ligue 1. Tout joueur de football rêve d’évoluer dans ce type de stade. Saint-Etienne, c’est une ambiance énorme, un stade avec beaucoup de souvenirs… C’est un gros match à jouer.

Il faut faire attention à tout ça, même si on s’y prépare dans la semaine et que le coach nous répète qu’il faut être acteur. Jouer dans ce type de stade, il faut que cela soit positif. Pas un truc qui nous stresse. On est là pour vivre ce genre de match. Dans une carrière de footballeur, tout le monde n’a pas la chance de pouvoir jouer dans des stades comme ça. On se prépare pour faire un gros match, et même si on découvre des choses à chaque match, il n’y aura pas de problème sur ce point.

Saint-Etienne a fait un recrutement énorme pour pouvoir jouer sur plusieurs compétitions. Ils restent sur une défaite dans le derby, mais ils vont tout faire pour nous prendre à la gorge directement. Il faudra être solide."

Zéro effet Euro

13/10 07:25

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Directeur commercial France chez Lagardère France en charge de la régie publicitaire de l'ASSE, Xavier Oddone se confie aujourd'hui dans la Pravda. Extraits.

 

"Il y a eu zéro effet Euro sur le sponsoring, rien à voir avec l'après-1998. Nous nous attendions à davantage d'engouement pour le foot français, notamment des marques étrangères, par exemple des sponsors de l'UEFA, mais ils n'ont pas basculé vers les clubs. Il faut dire que la L1 n'est pas le championnat européen le plus sexy, et la culture du sponsoring est aussi bien plus faible en France. En Allemagne, chaque Land a au moins une grande entreprise sur le maillot de l'équipe régionale. Les entreprises du CAC 40 se tournent plus volontiers sur d'autres suppports, comme le rugby. Leurs choix ont sans doute à voir avec les valeurs, l'image du foot aujourd'hui. Le constat, en tout cas, est clair : on n'a pas cette chance dans le football de club de pouvoir s'appuyer sur elles.

 

Pour les promus, trouver des partenaires à 3 ou 4 fois le prix de la Ligue 2 n'est pas chose facile. Le cas de Bordeaux montre que même de grands clubs peinent dès que leurs performances sportives, donc leur visibilité médiatique, sont moins importantes. Si Metz a trouvé preneur dès le 3e match, Bordeaux n'a toujours pas trouvé de successeur à Kia, son sponsor depuis dix ans, qui lui versait autour de 2 M€/an. L'état de forme du sponsoring maillot est variable dans l'élite. Si certains clubs sont en souffrance, d'autres sont attractifs comme Paris, Lyon et Marseille. Idem pour Saint-Etienne et Monaco, selon leurs performances. Tous les supports sur ces maillots sont vendus cette saison et souvent pour de longues durées, comme Hyundai, resté fidèle à Lyon.

Polo et Cheikh in, Beric out

13/10 06:57

 

Dernier buteur stéphanois à avoir marqué à GG en première mi-temps en L1 (il y a un an !), Robert Beric est forfait pour la réception de Dijon selon Le Progrès. Le quotidien régional annonce que Pierre-Yves Polomat et Cheikh M'Bengue sont opérationnels, à l'instar de Loïc Perrin, Florentin Pogba, Kévin Théophile-Catherine et Henri Saivet, tous remis de leurs blessures. Seulement 22 000 places ont été vendues pour ce match de la 9e journée programmé ce dimanche à 17h00 dans le Chaudron.

Sainté pionnier

12/10 23:26

 

Si le football féminin peine encore à se faire une place aux côtés des hommes, Sainté s'est montré pionnier de la mixité, en même temps que le Barça, en ouvrant à ses féminines une place sur la photo officielle, traditionnellement réservée à l'effectif masculin.

Dieu toujours vert

12/10 22:51

 

Dans une longue interview donnée au site de l'UEFA, Dieu Loïc Perrin s'est confié sur son attachement aux Verts et sur la Coupe d'Europe et Sainté, au passé comme au présent. Extraits.

 

"Ce n'est pas un départ idéal, mais vu la physionomie des deux matches, je pense que c'est deux bons points parce qu'on a marqué à chaque fois en fin de match, notamment le match à domicile face à Anderlecht. C'était dur et ce but inscrit à la fin va nous faire du bien. On n'est pas trop mal parti, il va falloir gagner le prochain match à domicile pour bien se positionner dans ce groupe.

 

Ça serait l'idéal pour aborder les deux derniers matches. On va voir ce qui va se passer, mais le but c'est de prendre les trois points déjà à domicile, comme on est toujours dépendant un tout petit peu des autres résultats aussi. L'important c'est vraiment de gagner le prochain match.

 

L'AS Saint-Étienne, c'est tout pour moi. Saint-Étienne c'est ma ville, c'est mon club. Je n'ai connu que ce club-là, ce maillot vert. Quand on grandit à Saint-Étienne on est obligé d'être supporter de Saint-Étienne parce que le foot représente tout ici. C'est une petite ville ouvrière. Tout le monde connaît le club, ne le soutient pas forcément, mais tout le monde suit les résultats du club malgré les années difficiles qu'il y a eu aussi, et encore plus aujourd'hui avec le retour en Coupe d'Europe. On a vu la ferveur monter.


J'ai toujours connu cette couleur verte parce que je joue sous ce maillot vert depuis l'age de 12 ans. Ça commence à faire quelques années, presque une vingtaine d'années. Ce serait bizarre pour moi de mettre un autre maillot en fait. Cette couleur est un peu particulière parce ce qu'il n’y a pas beaucoup de clubs qui évoluent en vert, quand on parle de ce maillot vert, à Saint-Étienne tout le monde le connaît, mais même en France et à l'étranger aussi il y a beaucoup de supporters qui viennent d'un peu de partout, des quatre coins du monde.

 

Je pense que les joueurs qui signent à Saint-Étienne sont conscients du passé du club. Ils le connaissent parce que pour la plupart ils évoluaient dans le championnat de France. Et après pour les étrangers, je pense que quand ils signent ils se renseignent de l'importance qu'a eue ce club dans les belles années.


Quand je parle des belles années, des années 70, 76... Tout le monde rêve de faire l'histoire, on n’y est pas encore, mais ce parfum de la Coupe d'Europe on le retrouve à Saint-Étienne parce qu'on a la chance d'être qualifié depuis trois ans. Les gens retrouvent ces soirées européennes et je pense que ça leur fait du bien parce que ça représente vraiment quelque chose à Saint-Étienne. Il n’y a qu'à voir les soirs des matches les jeudis soirs, le stade est quand même bien rempli pour un soir de semaine. Ce n'est pas non plus évident et ce n’est pas pareil dans tous les stades. Il n’y a pas partout cette ferveur qu'il y a dans ce stade et à l'extérieur aussi parce que les gens nous suivent.


Je pense qu'on a pris de l'expérience, on a eu des déconvenues aussi. La première année on ne s'est pas qualifié, on a perdu en barrages, au Danemark. C'est des moments qui font prendre de l'expérience et ça nous a servi aussi pour les années d'après. C'est difficile de se qualifier. Cette année on a dû faire deux matches avant de passer dans les poules. Deux matches qui n'étaient pas gagnés d'avance avec l'AEK Athènes et Beitar Jerusalem, c'est pas des déplacements faciles. On se rend compte qu'en Coupe d'Europe il y a des bonnes équipes partout. C'est une vraie performance de se qualifier pour la troisième année consécutive.

 

L'élimination à Bâle, c'était très douloureux et dur à encaisser. Il n'y a que le foot qui permet de vivre des émotions comme celles-ci. On était qualifiés, deux minutes après tout s'effondre. Ça a été vraiment dur à digérer. Mais c'est pareil, ça nous a servi pour la suite. L'objectif pour l'Europe pour cette saison, c'est de faire mieux que l'année dernière. Christophe Galtier a pris le club dans une situation très très compliquée, et depuis qu'il est à la tête de l'équipe on a réussi à franchir des paliers, battu des records, on a retrouvé l'Europe donc forcément quoi qu'il arrive il aura fait beaucoup et il aura marqué le club."

Trop de sons pour Thomasson

12/10 22:47

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"Au niveau de la taille, le stade de L1 le plus impressionnant est le Vélodrome. La façon dont les tribunes sont faites donne l’impression que le stade est immense. Mais au niveau de l’ambiance, c’est Geoffroy-Guichard le plus impressionnant. Les supporters stéphanois font tellement de bruit qu’on ne s’entend même pas parler sur le terrain !" déclare le milieu offensif franco-croate des Canaris Adrien Thomasson dans la dernière édition du Dauphiné Libéré. Ce ne sont pas les Mauves qui diront le contraire !

Benoît sans-ami

12/10 22:17

 

Si les interventions de Benoît Assou-Ekoto dans les médias sont rares, elles ont souvent le mérite d'être croustillante. Celle paru ce matin dans Le Républicain Lorrain ne déroge pas à la règle.

 

Il y revient tout d'abord peu longuement sur son expérience stéphanoise pour souligner le "groupe fantastique" avec lequel il a pu travailler malgré son peu d'intérêt pour les amitiés de vestiaire.

 

Maintenant, je n’ai plus besoin de connaître des gens dans le vestiaire. Si personne ne me parle, ça ne me dérange pas plus que ça

 

Il est également revenu sur la mentalité de travail anglaise en la comparant à la française, avec un refrain que l'on commence fort à connaître, mais toujours avec sa patte, en s'expliquant.

 

En Angleterre, les clubs ont 30-40 joueurs. La bagarre est rude pour avoir sa place. Tu es toujours dans l’agressivité, l’engagement à l’entraînement. Cet état d’esprit, j’en ai mangé pendant dix ans. En France, question de mœurs, tu joues avec un frein. Tu peux moins aller au tampon, les arbitres sont plus à cran, ils n’ont pas la même approche.

 

Il en a également profité pour envoyer une pique à l'ambiance dans le stade des Sardines.

 

Vous voulez que je vous dise que c’est une ambiance fantastique ? Bah, il ne m’a pas inspiré plus que ça. C’est un stade comme un autre, avec peut-être un peu plus de bruit.

Oussama n'y arrive pas !

12/10 21:59

 

La Pravda s'est aujourd'hui penchée avec les chiffres d'Opta sur les frappeurs les plus inefficaces de L1. Et parmi ceux qui ont le plus visé la cible sans parvenir à inscrire le moindre but, notre international marocain Oussama Tannane est troisième, derrière Di Maria et Bammou.

 

Et ce n'est pas en sélection marocaine, où il n'a toujours pas inscrit le moindre but et avec qui il est resté sur le banc hier soir lors du large succès en amical des Lions de l'Atlas, qu'il se rattrape. Son dernier but, toutes compétitions confondues, remonte déjà au moi de mars dernier.

Pas de Bleues chez les Vertes

12/10 16:33

Le sélectionneur Olivier Echouafni a dévoilé la liste des 23 joueues convoquées pour affronter en amical l'Angleterre le 21 Octobre.

 


Si aucune ne joue actuellement en Vert, on notera la présence de plusieurs de nos "anciennes", telles que la gardienne lyonnaise Méline Gérard et ses coéquipières, la défenseure Jessica Houara et la milieu Kheira Hamraoui, ou encore l'attaquante juvisienne Camille Catala. 

 

Signe une nouvelle fois qu'à sainté, tout le monde sait jouer.

Varrault va revenir

12/10 08:58

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Dans la dernière édition du Bien Public, le capitaine dijonnais Cédric Varrault évoque ses retrouvailles avec le Chaudon programmées ce dimanche à 17h00.

 

"C’était marrant, quand on sortait après les matches, ça nous arrivait souvent d’entendre cette chanson "Qui c’est les plus forts ? Évidemment c’est les Verts !". Je venais de Nice où j’avais toujours joué. Je voulais voir autre chose et j’ai eu cette opportunité qui était très intéressante. Dès la première année, on termine 5e et on se qualifie pour l’Europa League. Les deux suivantes étaient plus compliquées puisqu’on s’est sauvé dans les dernières journées. Le foot est vraiment ancré dans leur mentalité. Il y a une vraie ferveur dans cette ville. Partout où on va, on nous parle de foot, on ne peut pas y échapper.

 

Le Chaudron, quand ça pousse, c’est impressionnant. Sur le terrain parfois, on avait du mal à s’entendre. Plusieurs fois, on a vécu des sorties de stades où c’était assez houleux. Il fallait que les CRS viennent et que l’on attende trois quarts d’heures pour qu’on puisse nous escorter à la sortie. Chez moi, ça m’est arrivé que l’on jette des œufs sur ma porte de garage ou sur ma terrasse. Mais inversement, quand ça se passe bien, c’est génial ! J'étais déjà revenu à Geoffroy-Guichard avec Dijon en avril 2012. J'en garde un souvenir mitigé car il y avait un huis clos partiel. Les deux tribunes derrière les buts étaient fermées et il n’y avait pratiquement pas d’ambiance dans le stade.

 

Comme joueur, il ne reste que Loïc Perrin que j’ai régulièrement au téléphone. Dans le staff, il y en a encore beaucoup qui était là à mon époque. Cela fait toujours plaisir de revenir dans un stade et voir des gens que l’on connaît. J’y suis quand même resté trois ans ! L’ASSE est un club qui est revenu au sommet depuis plusieurs années et qui joue l'Europa League. Saint-Etienne fait toujours partie des cinq meilleures équipes du championnat. C’est un club qui le mérite."

 

 

Il n'y a plus d'espoir pour Mankowski

12/10 08:04

Malgré sa victoire 3-0 en Irlande du Nord, l'équipe de France Espoirs, devancée par la Macédoine, n'a pas réussi à se qualifier pour l'Euro 2017. La mission de Pierre Mankowski à la tête des Bleuets s'est donc achevée hier soir à Belfast. L'ancien entraîneur des Verts s'est confié à la Pravda à l'issue de la rencontre. Extraits.

 

"On a traîné ce revers contre l'Islande de septembre 2015 jusqu'au bout tout comme cette petite erreur qui débouche sur notre défaite en Ukraine. Le talent, ils l'ont et je ne doute pas d'eux. Quand ils entrent sur le terrain, ils ont envie. Après, s'il y a de la difficulté en face, ils vont peut-être moins chercher la motivation que dans leurs clubs. Ce soir on a joué devant cinquante spectateurs. Ce week-end, certains de mes joueurs vont jouer dans des stades pleins, certains vont même disputer des matches de Ligue des Champions la semaine prochaine. J'ai reçu lundi un coup de fil de Dortmund qui me disait qu'Ousmane Dembele avait un peu mal à la cheville et qu'il fallait le leur rendre car ils ont un match important. Et nous alors, ce n'était pas un match important ? Voilà, ça résume la difficulté de tout ce qui peut se passer en sélection Espoirs.

 

Ces joueurs, ce sont tous des gars bien, mais ils ont tellement de pression sur les épaules, notamment de la part de leur club. Ils sont très sollicités à un haut niveau. Derrière eux, ils ont tous des managers et des clubs qui payent très, très cher... Cela fait dix ans que l'équipe de France Espoirs ne se qualifie pas. Cela fait dix ans qu'il y a à chaque fois un nouveau sélectionneur et c'est toujours difficile, avec le même résultat au bout. Il y a bien des raisons... Cela m'attriste d'arrêter car j'aurais bien voulu qualifier cette équipe. Pour le reste, c'était prévu avec le président de la Fédération Française de Football Noël Le Graët que j'arrêtais quoi qu'il arrive, après les éliminatoires ou à la fin de la saison si on se qualifiait."

4 retours, 3 incertains et 3 forfaits

12/10 07:28
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Le Progrès du jour fait l'état des troupes vertes à quatre jours de le réception de Dijon. Galette est sûr de récupérer Kévin Théophile-Catherine, Loïc Perrin, Florentin Pogba et Henri Saivet. Une incertitude demeure pour Cheickh M'Bengue et Pierre-Yves Polomat même s'ils se sont entraînés normalement hier matin. Au repos depuis sa blessure à la cuisse contractée chez les vilains, Robert Beric n'est pas sûr d'être en mesure de défier Cédric Varrault. Toujours à l'infirmerie, Ronaël Pierre-Gabriel, Fabien Lemoine et Romain Hamouma ne seront pas rétablis pour dimanche.

Moulin joue la prolongation

12/10 07:11

Selon la dernière édition du Progrès, Jessy Moulin (30 ans) va signer une prolongation de contrat de deux ans dans les prochains jours. Récompensé pour sa fidélité et ses bonnes prestations en Europa League, le gardien stéphanois sera lié à l'ASSE jusqu'en 2020.

Selnaes serein contre la Sérénissime

11/10 23:05

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Enervé par la défaite en Azerbaïdjan, Ole Selnaes a retrouvé de la sérénité à Oslo contre la Sérénissime, qui a pourtant longtemps résisté avant de craquer en fin de match (victoire de la Norvège 4-1). Titulaire et au-dessus du lot au milieu de terrain, le milieu de terrain stéphanois a permis à sa sélection de reprendre l'avantage en adressant une passe décisive à la 77e minute.

 

Souici passe sans souci !

11/10 19:27

 

Encore une fois titulaire Ryan Souici a participé à la victoire 2-0 de l'équipe de France U19 pour le 3ème et dernier match du premier tour de qualification face à l'hôte tchèque. Entré à la place du second buteur, Odsonne Edouard, Arnaud Nordin a joué les 12 dernières minutes. Anthony Maisonnial est de nouveau resté sur le banc.

 

La France termine ainsi première de son groupe et se qualifie pour le second tour de qualification qui se disputera en mars prochain. Rendez-vous tout d'abord le 13 décembre pour le tirage au sort. Les Bleuets sont très provisoirement en position de tête de série.

Ole soupe au lait

11/10 08:07

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Selon VG, le rapport d'après-match mentionnait qu'Ole Selnaes avait été expulsé pour avoir eu des mots avec l'arbitre du match Azerbaïdjan-Norvège (1-0). Mais la FIFA a avoué à la Fédération Norvégienne de Football qu'aucun carton rouge n'avait été donné au milieu de terrain stéphanois. S'il risque d'être suspendu pour les matches suivants de la sélection norvégienne, le numéro 17 de l'ASSE aura le droit de jouer ce soir à Oslo contre San Marin.

 

Sur le même site, Ivar Selnaes évoque le caractère bouillant de son fils. "Ole est le plus mauvais perdant du monde. C'est un gagneur et c'est son tempérament de vainqueur qui l'a amené là où il est aujourd'hui. Parfois il va un peu trop loin. Je n'ai pas encore discuté avec lui de ce qui s'est passé dans le tunnel après ce match contre l'Azerbaïdjan mais je ne peux pas justifier son comportement. Quand il était plus jeune, il s'emportait encore plus avec les arbitres. Il a pris un paquet de cartons jaunes et de cartons rouges. C'est le champion du monde des déçus. Quand il critique les attaquants, il ne fait que dire ce que tout le monde voit. Pas besoin d'être grand clerc pour voir nos difficultés devant le but."

 

Titulaire à la pointe de l'attaque norvégienne à Bakou, l'attaquant de Bournemouth Joshua King n'a pas apprécié les déclarations de son coéquipier et il le fait savoir... "Ole est jeune. Il voit la paille dans l'oeil du voisin et ne voit pas la poutre dans le sien. Il devrait réfléchir à deux fois avant de se laisser aller à ce genre de commentaires. On gagne en équipe, on perd en équipe. En cas de défaite, il faut savoir se maîtriser et éviter de pointer du doigt ses coéquipiers. C'est facile de dire qu'on devrait marquer des buts, mais il faudrait déjà éviter d'en prendre face à une équipe comme l'Azerbaïdjan." Un petit tacle à l'attention d'Ole Selnaes, pas exempt de tout reproche sur le but victorieux des Azéris...

Bryan joue le jeu du jour où

11/10 01:21

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Bryan Dabo se prête au jeu du "jour où" dans la dernière édition de France Football. Extraits.

 

"Le jour où j'ai touché mon premier ballon, je devais avoir trois ans. On avait déménagé des quartiers Nord de Marseille pour le centre-ville, à Saint-Charles, à côté de la gare. C'est là où j'ai commencé à toucher le ballon. Mon père m'apprenait à jongler. J'étais bon pour ça. C'était dix euros tous les cent jongles. Vers dix ans, je dépassais les mille, il faisait comme s'il avait oublié ! (rires) C'était la carotte... sauf que je n'ai jamais vu l'argent ! Mon père est mon agent et mon conseiller financier : en gros, il fait tout afin que je ne puisse penser qu'au foot. Ma mère m'aide au niveau du mental. Sans eux, je ne serais pas là aujourd'hui.

 

Le jour où j'ai pensé que j'aurai dû continuer le karaté et abandonner le foot ? Jamais ! J'ai toujours été fan des sports de combat, mais le foot, c'est toute ma vie. Mon père est docteur en physique, quand j'avais dix ans, juste avant de signer à Montpellier, il a reçu une proposition des Etats-Unis pour aller bosser dans la Silicon Valley, avec un salaire conséquent à la clé. Il m'a demandé : "Tu veux rester en France pour jouer au foot ou tu veux qu'on aille aux Etats-Unis ?" Je lui ai répondu que je voulais jouer au foot. Il a donc refusé l'offre pour que je continue. C'est juste incroyable. C'est pour ça que je dis que mes parents sont tout pour moi !

 

Le jour où j'ai joué mon premier match de L1, c'était avec Montpellier, le dernier jour des kops Boulogne et Auteuil au Parc des Princes. Je remplace Geoffrey Dernis, on gagne 3-1 et on se qualifie pour la Ligue Europa. Moi, le Marseillais, j'étais en extase lorsque je suis rentré chez moi. A dix-huit ans, tu ne maitrises pas tes émotions. On m'avait demandé de jouer simple et dès mon premier ballon, je m'étais senti pousser des ailes. Sauf que j'étais essoufflé au bout de quarante-cinq secondes (rires). Cela reste un très bon souvenir, j'ai même gardé le maillot. Le président Nicollin aavit multiplié la prime. Quand j'ai vu mon salaire, j'ai pété un plomb, ça devait être plus de 10 000 euros !

 

Le jour où j'ai vécu ma plus belle ambiance dans un stade ? Lors de Saint-Etienne-Montpellier, la saison dernière. Je n'avais jamais vu ça. Ça chantait tout le temps ! Quand j'ai signé chez les Verts, j'ai tout de suite pensé au derby. A Geoffroy-Guichard, ça doit être quelque chose ! Il y a un autre stade qui m'a impressionné, c'est celui du Ray, une ambiance de fou ! Quand j'étais à Blackburn, les supporters de Leicester m'avaient impressionné. Le foot anglais est à part, il y a toujours 30 000 personnes dans le stade, les gens crient comme des fous. L'OM, Saint-Etienne et Nice se rapprochent de ces ambiances.

 

Le jour où j'ai rencontré mon idole ? Mon idole, c'est Thierry Henry. J'ai failli le voir puisqu'il est venu à Marseille pour rencontrer tous les capitaines des petits clubs de la ville. Je n'ai pas pu parce que je n'étais pas capitaine de mon équipe ! (rires) Plus tard, je l'ai vu jouer lors de France-Côte d'Ivoire à Montpellier, quand Zidane est revenu. Si je parle un jour à Thierry Henry, je lui dirai que si j'ai pris le 14 à Montpellier, c'est pour lui. Quand j'étais petit, je voulais les mêmes crampons que lui. J'ai même failli appeler mon fils Thierry (rires), avant de me rendre compte que c'était devenu un prénom archaïque. Thierry Henry, je suis tellement fan de lui que j'ai l'impression de le connaître personnellement, je pourrais parler des heures avec lui.

 

Le jour où j'ai dit au revoir à Nicollin ? En fait, je ne lui ai pas encore dit véritablement au revoir. Les Nicollin, ce sont des personnes qui ont une parole, je ne les remercierai jamais assez. Ils auraient pu me bloquer et demander plus d'argent de clubs anglais ou de l'OM, mais ils ont respecté mon choix. On s'est quittés en bons termes. Laurent Nicollin m'a appelé, mais j'attends de voir Loulou pour faire un gros bisou. Je pense que ce sera le jour de mon anniversaire, le 18 février, pour Montpellier-Saint-Etiennne.

 

Le jour où j'ai estimé que l'ASSE était un meilleur choix que l'OM ? Quand j'ai rencontré Christophe Galtier, pendant mes vacances, en mai. Il ne m'a fallu que deux secondes pour me rendre compte que c'était là-bas que je devais aller. Il avait une idée très précise de ce qu'il voulait faire de moi. J'étais accompagné de mon père, qui est quelqu'un de très dur et dont l'avis était très important dans ma décision. Ensuite, par l'intermédiaire de ses deux présidents, l'ASSE m'a fait comprendre que j'étais leur premier choix. À Marseille, je voyais tout le tapage médiatique autour de l'actionnaire, les cadres qui partaient, l'absence de ligne directrice autour du recrutement. Je me suis donc dit que Saint-Etienne était un meilleur choix, même si cela a été une décision difficile."

Lacroix sur le banc encore en Andorre

10/10 22:53

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Léo Lacroix devra encore patienter avant de faire ses débuts avec les A de la Nati. Comme il y a trois jours à Budapest, le défenseur central stéphanois est resté sur le banc ce soir lors de la victoire (2-1) de la Suisse en Andorre.

Saadi revit

10/10 21:49

Meilleur buteur du championnat belge avec sept pions en neuf journées, Idriss Saadi savoure dans un entretien paru dans l'hedomadaire Sport Foot Magazine relayé aujourd'hui par Walfoot.

 

"Ça chambre un peu dans le vestiaire depuis que j’ai le taureau dans le dos, mais concrètement je ne m’emballe pas trop. Ça aurait fière allure sur mon CV si je suis toujours meilleur taureau d'or en fin de saison, mais là, à l’instant précis où je vous parle, ça ne sert vraiment à rien d’autre qu’à flatter mon ego. Il suffit de regarder le cas de Cavani au PSG. Il est critiqué, puis il met 4 buts contre Caen avant d’être critiqué à nouveau parce qu’il a raté une occasion. La vie d’attaquant est ainsi faite, c’est un poste ingrat. Après deux mois à Courtrai, je revis. Peut-être qu’il y a cinq ans, j’aurais encore hésité avec Sarajevo, mais vu de l’extérieur, je peux vous assurer que le football belge n’a plus la même réputation qu’avant en Europe. Je ne pense pas qu’il y a d’ailleurs, à l’heure actuelle, de meilleure vitrine en Europe que le championnat belge."

Crémillieux dans les Bleus (18)

10/10 21:34

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 Photo Philippe Le Brech

 

Décisif avant-hier lors de la victoire des U19 à Toulouse, Nathan Crémillieux est le seul joueur stéphanois sélectionné en équipe de France U17 pour le premier tour qualificatif de l'Euro UEFA 2017. En Slovénie, le portier des Verts et des Bleus affrontera le Monténégro (le jeudi 20 octobre), l'Estonie (le samedi 22 octobre) et le pays hôte (le mardi 25 octobre). 

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