Libérez William !

14/12 16:08

Alors qu'il s'est fait expulser avec l'équipe réserve d'Arsenal la semaine dernière, notre Willo Saliba tue le temps en échangeant sur les réseaux sociaux.

Hier il a ainsi discuté avec Nicolas Pepe et Matteo Guendouzi. Répondant à Pepe qui lui reprochait de tout commenter (sic), Saliba, évoquant Guendouzi, prêté au Hertha Berlin et placardisé précédemment par le magique Arteta, a envoyé le message non équivoque suivant : "Hahaha, j'envoie des encouragements à mon frère qui a été enfermé comme moi".

Privé par Arsenal de l'aboutissement que représentait la finale de Coupe de France - car il était primordial que ce futur pilier des Gunners soit prêt pour cette saison - et empêché depuis d'exercer son métier, nul doute que Saliba n'a qu'une envie, celle de quitter cette prison dorée.

 

WhoScored ? Neyou !

14/12 16:08

Même s'il n'a pas marqué face à Paul Bernardoni vendredi contre Angers malgré deux beaux tirs cadrés, Yvan Neyou est dans l'équipe type de WhoScored de cette 14e journée. Avec un score de 7.95, il réalise selon le site son meilleur match de la saison.

L'ancien Vert Jonathan Bamba est également présent, buteur face au Bordeaux de Jean-Louis Gasset.

Moukoudi oui au supplément de vacances

14/12 09:04

Averti vendredi soir, Harold Moukoudi sera suspendu pour le dernier match de l'année à Monaco, le 23 décembre.

Côté monégasque, c'est Fofana, le jeune milieu de terrain titularisé 12 fois cette saison, qui a pris un 3è jaune à Marseille et sera absent contre les Verts.

 

Benito a le rein vil

14/12 07:13
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Alors qu'il avait joué 11 matches cette saison et aurait dû jouer le 12e hier à Lille, le latéral gauche bordelais Loris Benito a dû déclarer forfait pendant l'échauffement car il s'est fait un tour de reins selon son entraîneur Jean-Louis Gasset. Reste à savoir si l'international suisse, suppléé par Maxime Poundjé face aux Dogues, sera rétabi après-demain pour la réception des Verts. Pour ce match de la 15e journée de L1 arbitré par Stéphanie Frappart, c'est Nicolas Rainville qui s'occupera de la VAR.

Quand Doudou taclait Jean-Mimi

14/12 06:42
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La Pravda du jour revient sur les débuts de Jean-Michel Larqué en tant que consultant. Extraits.

"Raymond Castans, patron de RTL, sponsor du PSG, apprend que l'entraîneur-joueur Jean-Michel Larqué, ancien capitaine des Verts, a décidé de stopper sa carrière. « Il est venu me voir dans le vestiaire et m'a dit : "Je vais en parler à Robert Chapatte, mais je pense qu'il faut que vous deveniez l'Albaladejo du football !" ». Sans grand discours, le patron des sports d'Antenne 2 le teste, le 19 septembre 1979, à Lodz, en Pologne. Larqué s'installe aux côtés du duo bien en place, Thierry Roland-Bernard Père, pour commenter Widzew-Saint-Étienne (2-1). « J'y étais allé sans préparation, c'était un peu hara-kiri. Mes premiers pas étaient plutôt hésitants, se souvient Larqué. Il y avait un tandem en place, et j'arrivais au milieu. D'ailleurs, le premier m'avait accueilli plus chaleureusement que le second. Il voyait la concurrence arriver... Mais n'est-ce pas humain ? »

Larqué prendra effectivement, dans la foulée, la place de Père, qui se brouillera alors définitivement avec Roland. Le mythique duo « Thierry et Jean-Michel » débute officiellement le 5 mars 1980, lors du quart de finale aller de la Coupe de l'UEFA, Saint-Étienne - Mönchengladbach (1-4). Le lendemain, L'Équipe n'est pas tendre. « La présence de Jean-Michel Larqué n'a pas apporté grand-chose sur le plan technique », écrit Alain Chermann, le responsable de la rubrique télé. « Selon lui, je n'avais pas été convaincant mais on ne peut pas dire que son papier était digne du Goncourt non plus, grince le consultant. Je l'avais eu au téléphone quelques années plus tard et il avait revu sa copie. Tout le monde a le droit de se tromper... »

Après ce premier match, Robert Chapatte fait, lui, remarquer à Larqué qu'il est « perfectible mais avec une grosse marge de progression ». Et Thierry Roland ? « Tout allait bien, il était déjà dans sa bulle avec ses petites jumelles. » Mais l'un des anciens coéquipiers de « Jean-Mimi » ne digère pas ses commentaires. Dans France Football, Gérard Janvion réagit aux remarques de Larqué sur sa vitesse de course : « Jean-Michel a mis à côté de la plaque. Il a joué assez longtemps devant moi pour savoir que j'ai souvent réparé des erreurs qu'il avait commises... » Larqué en sourit aujourd'hui : « Cette première remarque était fracassante, qui plus est venant d'un ancien coéquipier. Il était en colère... mais j'étais déjà dans mon rôle. Je n'avais fait que relayer ce que je voyais, c'était du factuel. "Doudou" l'avait mal pris, mais ça s'était arrangé. Lorsque vous apportez une petite critique, il y a une réaction. Mais quand il y a beaucoup de compliments, il n'y en a aucune... Je l'ai vérifié tout le reste de ma carrière dans les médias. »"

Debuchy dans l'équipe type

14/12 00:44
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A l'instar de Jonathan Bamba et hélas de Paul Bernardoni (mis en exergue pour ses arrêts réussis sur les tirs de Denis Bouanga et Yvan Neyou), Mathieu Debuchy est dans l'équipe type de la 14e journée de L1 selon la Pravda de ce lundi. Le capitaine stéphanois est récompensé pour ses duels aériens tous remportés (5), ses 4 dégagements défensifs et ses 3 interceptions.

Bernardoni (Angers) - Debuchy (ASSE), Chardonnet (Brest), Denayer (vilains), Maouassa (Rennes) - Laurienté (Lorient), André (Lille), Paqueta (vilains), Bamba (Lille) - Kadewere (vilains), Benedetto (OM).

Baysse se méfie de la bête blessée

14/12 00:09
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Titularisé pour la 10e fois de la saison par Jean-Louis Gasset dimanche lors de la défaite des Girondins à Lille, Paul Baysse s'est confié au Progrès avant de recevoir les Verts ce mercredi soir à 21h00. Extraits.

"Dans cet effectif stéphanois, je redoute tout le monde. Même le coach (rires). Je connais les qualités de Romain Hamouma, Kévin Monnet-Paquet et Wahbi Khazri avec qui j’ai joué. Et puis l’équipe s’appuie sur de très bons jeunes. L’ASSE c’est une bête blessée dont il va falloir se méfier de la réaction. On va mettre les ingrédients qu’il faut pour s’imposer.

J’ai beaucoup appris sportivement et humainement durant cette période stéphanoise. Quand je me suis fait les croisés, tout le club a été derrière moi, je ne me suis jamais senti isolé. Je me suis toujours senti vert. J’ai eu la chance de disputer la coupe d’Europe, de vivre des émotions formidables dans le Chaudron.

Je me souviens de l’engouement lors des derbys et notamment du départ de L’Etrat en car. J’ai vécu une belle aventure avec l’ASSE même si j’aurais aimé apporter plus. Mon second fils est né à Saint-Etienne, il est fier des couleurs stéphanoises. Le premier est brestois et il a fallu que je joue le médiateur récemment lors de l’opposition entre les deux clubs (rires)."

Aubameyang marque enfin... mais contre son camp !

13/12 23:09
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Pierre-Emerick Aubameyang, qui n'avait plus marqué depuis son pion victorieux du 1er novembre à Old Trafford (son deuxième en Premier League cette saison), a enfin retrouvé le chemin des filets ce soir contre Burnley. Le hic, c'est qu'il a trompé son propre gardien d'un coup de tête imaparable, offrant par la même la victoire aux visiteurs. Comme les Verts, Arsenal est désormais 15e avec 13 points... Si Claude Puel est indéboulonnable, Mikel Arteta va-t-il finir par sauter ? Pendant ce temps-là, Wesley Fofana, facile vainqueur (3-0) de Brighton avec Leicester, a muselé Neal Maupay et remonte sur le podium, à un petit point des leaders (Tottenham et Liverpool).

Viettel en pole pour Cabaye ?

13/12 21:22
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Sports 442 a indiqué aujourd'hui que Viettel (club champion du Vietnam basé à Hanoi) est actuellement en pourparlers avec Yohan Cabaye, libre depuis son départ de Sainté. Le site vietnamien souligne que l'ancien milieu de terrain stéphanois, qui fêtera dans un mois ses 35 ans, exaucerait alors un voeu formulé par sa grand-mère paternelle, née à Hai-Phong.

Veretout envahit là Bologne

13/12 19:45
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La Roma a gagné 5-1 à Bologne cet après-midi, Jordan Veretout ayant marqué à cette occasion d'un tranquille plat du pied droit son 5e but de la saison.

Bamba bourreau de Bordeaux

13/12 19:08
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Auteur de son 5e pion puis de sa 6e passe décisive de la saison de L1, Jonathan Bamba a été le principal artisan de la victoire (2-1) des Dogues contre les Girondins, prochains adversaires des Verts (dès mercredi soir au Matmut Atlantique).

 

Honorat enfonce les Rémois

13/12 17:59
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Alors que l'ASSE a encore fait montre d'une navrante inefficacité offensive avant-hier soir, Franck Honorat a marqué cet après-midi d'une jolie frappe lointaine son 4e but de la saison (soit un de plus que Romain Hamouma, meilleur buteur de Sainté).

Vainqueur 2-1 contre le Stade de Reims au stade Francis-Le Blé, le Stade Brestois rejoint la première partie de tableau et compte désormais 8 points d'avance sur les Verts en ayant marqué 11 buts de plus que les Stéphanois !

Comptant trois points de retard sur l'ASSE, la formation de David Guion est désormais relégable car devancée à la différence de buts par le RC Strasbourg de Thierry Laurey (tenu en échec 2-2 par le FC Metz de Frédéric Antonetti) et le FC Lorient du titulaire Papy Lemoine (qui a battu Nîmes 3-0).

Cabella fait dérailler le Lokomotiv

13/12 17:30
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Auteur de son 9e pion de la saison en 18 matches toutes compétitions confondues, Rémy Cabella a marqué ce dimanche en renard des surfaces dès la 11e minute le deuxième pion de l'écrasante victoire (5-0) de Krasnodar contre le Lokomotiv Moscou.

M'Vila marqué !

13/12 17:09
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Yann M'Vila, qui n'avait pas claqué le moindre pion en 91 matches officiels sous le maillot vert, a inscrit cet après-midi d'une superbe frappe du gauche le deuxième but de l'écrasante victoire (6-0) de l'Olympiakos (leader du championnat grec) sur le terrain de la lanterne rouge Lamia.

Il s'en était bien tiré, Lauray ?

13/12 11:20
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Actuellement antépénultième en National 1 devant le SC Lyon (club d'Axel Kacou, Nathan Dekoké et Lamine Ghezali) et le FC Annecy (club de Maxence Chapuis, Romain Spano et Anthony Le Tallec), le petit défenseur central caladois Alexandre Lauray (1m75) évoque ses débuts en pro dans la dernière édition de La Dépêche du Midi.

"J’ai un profil à la Loïc Perrin avec des qualités comme le dynamisme, la lecture de jeu et la relance. A Bordeaux, Paulo Sousa n’avait pas peur de jouer de l’arrière et c’était une philosophie très joueuse qui me plaisait bien. Je me souviens de mon premier match, à Saint-Etienne. Il avait fait un peu exprès de me lancer pour voir si j’étais capable d’assumer et malgré la défaite, cela s’était bien passé."

Les Verts, tenus en échec à la pause, avaient débloqué la situation grâce à un coup de main d'un certain Sergi Palencia. Après l'ouverture du score sur penalty de Wahbi Khazri, Mathieu Debuchy avait réalisé un doublé. A eux de remettre ça mercredi, cette fois à Bordeaux !

Oleksiak prend son pied avec Galtier

13/12 10:49
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Ancien adjoint de Thierry Oleksiak à Libourne, Jean-Philippe François parle dans Sud-Ouest de l'actuel adjoint de Christophe Galtier avant le Lille-Bordeaux de cet après-midi. Extraits.

"Quand il est arrivé à Libourne en décembre 2008, on n’avait gagné que deux rencontres en 16 journées de National. On avait 10 points, on en a pris 32 ensuite. Il voulait une équipe rigoureuse défensivement, faisant beaucoup d’efforts mais qui prenne du plaisir en se projetant vite vers l’avant. Il s’appuyait beaucoup sur les cadres, était proche de son groupe car le côté motivation était important pour lui.

On a fini à la douzième place mais on a été relégué administrativement. Thierry est resté, il voulait redynamiser le club, le faire renouer avec son histoire. Notre neuvième place en CFA n’a pas résisté aux problèmes financiers. La troisième année, en CFA2, a été marquée par la douleur du décès de son épouse à mi-saison. C’était compliqué sportivement et est venu cet événement. Ça a été dur.

C’est Saint-Etienne qui lui a permis de rebondir. Intégré en 2012 à la cellule de recrutement de l’ASSE, il prend la charge de la réserve en 2013 et la fait remonter en CFA. En 2015, Galtier l’appelle à ses côtés et Thierry l’a suivi à Lille. Il prend son pied. Il a le BEPF mais déjà à Libourne, il me disait qu’il s’imaginerait bien dans un rôle d’adjoint. Il me raconte que chaque matin, avec Galtier et les adjoints et préparateurs, ils posent les objectifs et partent d’une feuille blanche pour concevoir les séances."

Assane gagne !

13/12 10:19
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Assane Diousse a remporté hier son premier match de la saison aux dépens de Konyaspor (4-3). Auteur de son 7e match en championnat turc (le 6e en tant que titulaire) sous le maillot d'Ankaragücü, le milieu de terrain sénégalais de 23 ans reste lanterne rouge.

Alors que le Lion de la Teranga a joué près de 500 minutes en Süper Lig, Alekandros Katranis n'a toujours pas goûté à l'élite du championnat turc. Lui aussi sous contrat avec l'ASSE jusqu'en 2022, le latéral grec de 22 ans n'était même pas sur la feuille de match de la victoire de son club Hatayspor contre Fatih Karagümrük.

Troisième et dernier joueur stéphanois prêté à l'étranger cette saison, Sergi Palencia s'est incliné sur le plus petit des scores hier à domicile  avec Leganés face à Majorque, leader de L2 espagnole. Titularisé pour la 13e fois de la saison, le latéral droit catalan de 24 ans reste à une quatrième place synonyme de barragiste.

Baysse ne lâche rien

13/12 09:41
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L'ancien défenseur stéphanois Paul Baysse, qui retrouvera Galette cet après-midi à Lille puis les Verts mercredi à Bordeaux, est à l'honneur aujourd'hui dans la Pravda. Extraits.

"Son parcours sinueux a été marqué par deux ruptures des ligaments croisés (janvier et août 2013), une fin de contrat pas très heureuse sur la Côte d'Azur, où il s'était imposé et, surtout, 530 jours sans disputer le moindre match officiel avec Bordeaux. Un chiffre qui laisse sur les fesses son directeur sportif Alain Roche, de retour en août également : "C'est admirable ce qu'il fait. Personne ne peut lui enlever cet état d'esprit, il est irréprochable et toujours positif."

Il a bousculé la hiérarchie et le voilà titulaire, avec le numéro 24, dans le onze de Gasset. Le préparateur physique Éric Bédouet est "très heureux pour Paul, comme tous. J'admire ce garçon car c'est quelqu'un de bien dans la vie. Quand je l'entraînais en marge du groupe pro, il ne disait rien. Tout entraîneur rêve d'avoir ce type de joueur". Jocelyn Gourvennec l'avait recruté en janvier 2018 car il avait "décidé de replacer Toulalan au milieu de terrain. J'avais donc besoin d'un défenseur central comme Paul, intelligent, bon dans l'anticipation et la lecture du jeu. Paul nous a fait beaucoup de bien."

"Il n'est pas du genre à crier, explique son ancien agent, David Wantier. Plutôt que de s'en prendre à son entraîneur, il préfère lui montrer qu'il se trompe. Et apparemment, ils se sont trompés". "C'était tellement bizarre, curieux, qu'il ne comprenait pas, se souvient Bédouet. Alors il s'est réfugié dans le travail. Neuf joueurs sur dix auraient arrêté depuis longtemps. Lui s'est inscrit dans une durée longue car il avait envie de rester à Bordeaux."

À 100 000 euros mensuels, ont grincé certains, c'est normal, mais on en connaît avec des salaires supérieurs qui ont pleuré après un match et demi sur le banc. "C'est lié à son parcours, insiste Wantier. Rien ne lui a été donné facilement mais il s'est toujours battu". "Et il est toujours revenu", admire Gourvennec, qui le voit "comme un exemple car il est toujours resté digne".

Maxime Le Marchand, son camarade de défense centrale à Nice, peut en parler : "Avant son arrivée à Nice, je savais qu'il s'était fait deux fois les croisés. Je le connaissais malheureusement pour ça. Mais j'ai découvert un défenseur très rugueux qui ne lâchait rien, avec une superbe mentalité. Dès les premiers entraînements, on a discuté et il m'a dit : "Moi, ma qualité, c'est de ne jamais lâcher." Un an après son arrivée, il devenait capitaine des Aiglons "et cela coulait de source, selon le défenseur de Fulham. Il était très positif, utilisait les bons mots pour replacer, encourager."

Un vrai gâchis pour Alain Perrin

13/12 09:11
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Consultant sur Téléfoot à l'instar de Loïc Perrin, Mathieu Bodmer, Geoffrey Dernis et Sylvain Armand, Alain Perrin déplore dans Le Parisien l'imminente disparition de la chaîne de Mediapro.

"C'est un vrai gâchis. On est des professionnels, on doit assurer pour ceux qui sont de l'autre côté de l'écran. J’ai été très surpris d'apprendre l'arrêt de la chaîne lancée cet été par Mediapro. Tout s'arrête au bout de quatre mois, alors que les gens ont beaucoup travaillé, que Jean-Michel Roussier, le directeur général adjoint de Mediapro, a débauché des journalistes qui ont dû tout bâtir en un temps record… Je suis déçu que cette aventure s'arrête comme ça. Les gens qui se sont investis dans ce projet ont été trompés."

Viva Marina ! (6)

13/12 09:00
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Dans Le Progrès du jour, la journaliste stéphanoise Marina Lorenzo juge avec bienveillance le consultant Loïc Perrin, qui partage régulièrement avec elle le plateau de la mourante chaîne Téléfoot. Extraits.

"Il parle toujours à bon escient et pour dire des choses, jamais pour combler. Il a un œil juste et pertinent lié au poste qu’il occupait où il avait une vision globale du jeu, un œil sur tout le monde dans le vestiaire. Il s’appuie sur son expérience et sur sa proximité avec le milieu du football. Il se met naturellement à la place des joueurs, il a gardé une vision proche du terrain.

Loïc a beaucoup d’humilité. On a dû lui faire comprendre qu’il avait un avis légitime. À côté de ça, il est travailleur et humble. Il prend du temps à bosser sur le contenu des émissions et sur le casting des invités. Loïc n’est pas méchant par nature mais il doit encore être plus tranchant. il n’est pas du genre à faire des blagues en direct mais en off oui !"

Guillou tacle les Verts (6)

13/12 08:43
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Dans la dernière édition du Progrès, Patrick Guillou revient sur le match nul et vierge des Verts contre le SCO d'Angers. Extraits.

"Le vendredi tout est permis. Sauf de gagner un match de foot apparemment. Dans cette version moderne des Jeux de 21 heures, le compte n'est toujours pas bon. L'interville Saint-Étienne-Angers aura accouché d'une souris. Le luxe aurait été de trouver des intervalles, de la profondeur et des espaces. Nos lérots Verts érodent notre patience et minent depuis trop longtemps nos week-ends. Offensivement, nos Verts n’ont pas tout essayé. C'était plutôt actions discrètes ou farce attaque."

Saliba a vu rouge à Wimbledon

12/12 22:29
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S'il n'a toujours pas été convoqué à participer à un match de Premier League, William Saliba a joué il y a quatre jours avec les U21 d'Arsenal, battus 3-0 à Wimbledon. Titulaire, il a mangé une biscotte à la 74e minute avant d'être expulsé à la 89e sur un enchaînement glissade - tacle pieds en avant...

Sur le site Football London, l'entraîneur de Tottenham José Mourinho a pris la défense de l'ancien Vert : "Je pense qu'il a tout ce qu'il faut pour devenir un bon joueur, un peu comme Kurt Zouma que j'ai fait signer à Chelsea."

 

Geiger joue la prolongation

12/12 20:18
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Si son équipe est un peu à la peine cette saison (7e sur 10), Alain Geiger (60 ans) a officiellement prolongé aujourd'hui son contrat d'entraîneur du Servette de Genève jusqu'en 2023.

"J’ai passé déjà deux très belles années et demie ici avec une promotion et une qualification européenne. J’ai beaucoup de plaisir à travailler au Servette et de continuer à maintenir le cap. Je suis fier d’être grenat et de continuer le job dans un club que j’aime" s'est réjoui l'ancien défenseur de l'ASSE (de 1988 à 1990).

Jessy plus fort que Stéphane

12/12 18:26
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Dans la dernière édition du Courrier de l'Ouest, l'entraîneur angevin Stéphane Moulin pointe les difficultés offensives affichées par son équipe hier soir à Geoffroy-Guichard.

"Défensivement, on a montré de la concentration, de la rigueur, de l'agressivité. On a été efficace derrière mais pas devant. Ce n’est pas simple d’être les deux en même temps. Jessy Moulin a fait deux bons arrêts mais pour le reste on a mal négocié les opportunités qu'on a eues. Ces situations sont restées au stade de situations alors qu’on aurait dû les transformer en occasions. On a péché sur les phases de transitions et les attaques rapides, surtout en deuxième mi-temps. Le choix, la justesse, le tempo nous ont fait défaut.

Je l’avais dit au groupe, à force de performer, on finit par faire plus attention à nous. Saint-Etienne a évolué avec Boudebouz en position de n°10, entre les lignes, ce qui a nous a mis en difficulté par séquence. Ça modifie ce qu’on avait préparé. Les Verts ont par ailleurs fait en sorte de couper la relation entre Angelo Fulgini et Stéphane Bahoken. Stéphane a amené moins de profondeur que d’habitude. Pour étirer une équipe comme ça, il faut la faire reculer, et faire des appels dans son dos. Il n’y en a pas eu assez."

Stéphanie arbitrera les Stéphanois (3)

12/12 15:52
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Stéphanie Frappart, qui fêtera après-demain ses 37 ans, sera au sifflet ce mercredi soir à 21h00 au Matmut Atlantique pour le match qui opposera les Girondins aux Verts lors de la 15e journée de Ligue 1.

La native de Herblay-sur-Seine (95), qui avait officié lors de la finale remportée aux tirs au but par les Amazones contre les Louloutes de Montpellier en 2011, a déjà dirigé deux matches de l'équipe masculine professionnelle de l'ASSE.

Le 6 janvier 2019, les Verts avaient écrasé 6-0 l'Olympique de Strasbourg (R2) à la Meinau en 32e de finale de Coupe de France. Onze mois plus tard, ils s'étaient inclinés 3-1 à Reims malgré le but égalisateur de Romain Hamouma.

Stéphanie Frappart s'est distinguée cette saison sur la scène européenne. Après avoir arbitré Wesley Fofana (Leicester) et Eric Bauthéac (Omonia Nicosie) en Europa League, elle est devenu la première femme à diriger un match de Ligue des Champions (il y a dix jours à Turin).

A Bordeaux, fémoral à zéro (2)

12/12 14:43
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Comme le rapporte le quotidien Sud-Ouest, Jean-Louis Gasset a annoncé en conférence de presse que son capitaine Laurent Koscielny et son ailier Samuel Kalu, blessés au fémoral, ne seront pas rétablis pour la réception des Verts programmée mercredi soir à 21h00. Extraits.

"J’étais très optimiste dimanche dernier. Malheureusement, j’ai dû déchanter car l’IRM a révélé des lésions minimes mais qui nécessitent une dizaine ou quinzaine de jours de repos. On a vu différentes animations pour préparer les quatre matchs, car ensuite, on ne pourra plus s’entraîner : on ne pourra faire que de la récupération. Le groupe est réceptif, j’ai dit à tout le monde de se tenir prêt. J’ai trouvé les joueurs concentrés. Après ce sera le choix du match et des cinq changements : c’est important de pouvoir changer quelqu’un au bout d’une heure pour le préparer à l’échéance suivante.

On est sur une bonne dynamique, on va à Lille et cette rencontre vaut trois points. On ne fait pas l’impasse en se disant : mercredi, il y a un autre match à domicile contre Saint-Etienne. On va tout mettre en oeuvre pour essayer de faire les mêmes prestations qu’à Rennes et à Paris dans l’état d’esprit, la qualité. Hatem Ben Arfa est un bon joueur mais il y a d’autres bons joueurs dans ce groupe et j’espère qu’ils vont nous faire  gagner  des  matchs  les  uns après  les  autres. Si demain il est blessé ou suspendu, on ne joue plus ? Ce n’est pas du tout ça."

Un bon point de pris pour Bernardoni

12/12 12:57
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Dans la dernière édition du quotidien Ouest-France, le gardien angevin Paul Bernardoni commente le match nul et vierge d'hier soir à Geoffroy-Guichard. Extraits.

"C’est un bon point de pris. Les deux équipes ont eu des occasions et le nul semble logique. Ce sont des matches qu’il faut savoir ne pas perdre. Oui, on aurait pu jouer les contres un peu mieux sur la fin. Mais ça montre la progression qu’il nous reste à faire. C’est important de ne pas perdre, car on continue à engranger des points. C’est sûr qu’on a encaissé beaucoup de buts (22) depuis le début de saison, mais on en a pris dix en deux matches contre Montpellier et Paris. Forcément, ça fausse le bilan.

A Saint-Etienne, j'ai réussi les deux arrêts que j'ai eu à faire. Le premier ? Il fallait rester vraiment concentré. Je connais Denis Bouanga avec qui j’ai joué à Nîmes. Je sais qu’il est capable de percer une défense à tout moment. Le second, dans le temps additionnel ? Je suis content car contre Paris, j’ai pris le même en anticipant sur ma droite. J’avais pas mal discuté avec Arnauld Lucas et on s’était dit qu’il valait mieux que je reste sur mes appuis au moment où le joueur adverse arme sa frappe. Et j’ai réussi à garder ma main ferme. Il n’y a pas d’arrêt anodin.

Strasbourg, que l'on reçoit mercredi, joue ce dimanche contre Metz. Deux jours de repos en plus, ce n’est pas anodin…Clairement, et autant en profiter. On va bien pouvoir se reposer."

Pour rappel, les Verts bénéficieront eux aussi de deux jours de récupération en plus que leurs prochains adversaires girondins, qui joueront demain à 17h00 dans le Nord contre les Dogues. A l'ASSE d'en profiter pour renouer ENFIN avec un succès qui les fuit depuis leur victoire estivale au Vélodrome !

Casse-cou, Robocop et enfant de choeur

12/12 12:26
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Les Verts ayant remporté tous leurs treize points de cette saison les six fois où Mathieu Debuchy a été titularisé, le combatif capitaine stéphanois s'est exprimé sur le site de la Ligue qu'on adule.

"Le terme casse-cou me représente bien. Je l'étais quand j'étais petit. Encore maintenant peut-être un petit peu. C'est vrai que j'ai eu pas mal de petits pètes. A la plage, je me suis pris un rocher en pleine tête. Je suis ressorti avec un oeuf comme ça ! En vélo, j'ai fait le casse-cou, je me suis pété les deux poignets en même temps. Je suis rentré à la maison, ça a crié un petit peu, je m'en souviens. Je fonçais, je ne réfléchissais pas trop, ça m'a coûté quelques petits accidents.

Mon surnom Robocop vient de Lille. J'ai eu pas mal de grosses blessures, j'ai été opéré des deux genoux, des deux épaules, d'une cheville. J'ai eu des côtes cassées pendant un match avec un décollement de la plèvre. Je me suis blessé au pied lors d'un match à Sainté contre Reims. Je veux dégager le ballon, l'adversaire met son pied en opposition, je tape dans ses crampons. Ça m’a coupé la chaussure et ça m’a coupé le pied aussi. J'ai changé de chaussure, je suis reparti sur le terrain et on m'a fait des points de suture à l'hôpital le soir.

Je suis baptisé, j'ai fait ma communion et tout. J'ai fait quelques années de catéchisme, j'y allais le mercredi. J'étais quequefois enfant de choeur le dimanche matin à l'église. je suis resté croyant et j'ai beaucoup de tatouages en rapport avec la religion. J'ai plusieurs chapelets tatoué sur le corps. C'est quelque chose qui me suit, j'y crois beaucoup. Ça m'a aidé dans le foot et dans la vie de tous les jours. Je fais ma prière tous les soirs. J'ai des pensées pour des personnes de ma famille qui ne sont plus là. C'est en moi, ça restera comme ça."

La pagaille chez Paga

12/12 11:31
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Dans la dernière édition de Nice-Matin, Marcel Dib rappelle qu'il a joué avec le plus précoce joueur stéphanois de l'histoire mais aussi avec l'actuel entraîneur des Verts. Extraits.

"A Toulon, j'ai évolué avec Laurent Paganelli. Je le voyais jouer à Saint-Etienne avec des grands joueurs : Platini, Larios, Battiston. On a bien rigolé. Paga, c'était la joie sur le terrain. Impossible pour lui de rester sérieux. Quand je le vois à la télé, c'est le même. Un mec hors du commun.

Un jour alors qu'on rentrait à 2h du mat' d'un match à Auxerre, Paga m'invite à dormir chez lui. C'était un vrai baba cool lui. Je me retrouve sur un matelas dans la cuisine. C'était le bordel. En plein milieu de la nuit, ça commence à me gratter. J'avais des fourmis partout sur le corps. Elles avaient été attirées par les canettes qui trainaient partout chez lui. Je suis vite reparti chez moi ! (rires).

Claude Puel, c'était quelqu'un de très physique, on était complémentaire. On a joué quelques années ensemble, on a fait du bon travail pour les copains. On a aussi vu les petits comme Thuram et Petit qui tapaient à la fenêtre. On a rapidement compris qu'ils iraient très haut."

Et la Marek répondit à Marek

12/12 10:28
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Comme l'a relevé le site lensois.com, Vitorino Hilton a ravivé hier sur RMC un souvenir douloureux pour les supporters stéphanois.

"Lors de la saison 2006-2007, on perdait 3-0 à Bollaert contre Saint-Etienne. On revient, on entend le kop [situé dans la tribune Marek, ndp2] chanter alors que normalement, à 3-0… On s’est tous regardés et on s’est dit  "On joue pour eux". Au final, on revient à 3-3. Le kop à Lens, c’était vraiment quelque chose d’exceptionnel."

Pour rappel, les Verts menaient encore 3-0 à la 67e minute grâce à l'ouverture du score de Bafé Gomis et au doublé de Marek Heinz, les Sang et Or avaient arraché le nul en marquant trois buts de la tête à Jérémie Janot.

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