
Sans Boufal, bouffez-les !
06/12 18:52

Prochains adversaires des Verts (vendredi soir à Geoffroy-Guichard), les Angevins ont battu les Merlus 2-0 cet après-midi. Mais le SCO, qui compte désormais 10 points d'avance sur l'ASSE, a perdu sur blessure Sofiane Boufal, d'ores et déjà forfait pour le match d'ouverture de la 14e journée de L1. Contraint lui aussi de céder sa place après avoir ressenti une gêne à l'ischio, son coéquipier de l'entrejeu Ibrahim Amadou risque lui ausi de ne pas pouvoir fouler la mythique pelouse du Chaudron.
Puel est satisfait
06/12 18:28

Claude Puel a préféré positiver en conférence de presse après le tristounet match nul et vierge de son équipe contre la lanterne rouge.
"A chaud, il y a un peu de déception et de frustration, la sensation qu’on pouvait ramener les trois points avec un peu plus de conviction, notamment en première, où on a eu des situations. On a bien joué dans le dos de cette équipe, avec des centres qui méritaient mieux. On a l’occasion de tuer le match avec un peu plus de qualité dans la dernière passe. En deuxième mi-temps, on a une superbe situation que le gardien sauve sur le poteau, mais on est dans la lignée de ce qu’on avait fait contre Lille. On a bien défendu ensemble, on a été acteurs de ce match, mais il manque encore de la justesse et de l’agressivité pour la mettre au fond. Je suis en tout cas satisfait de ce deuxième match consécutif en terme de mentalité, de solidité. Le penalty non sifflé sur Denis Bouanga ? Je n'ai pas revu le ralenti, notre joueur prend une grosse béquille et ne peut pas jouer le ballon, je laisse l’interprétation, je ne vais pas épiloguer là-dessus."
Chic, une clean sheet !
06/12 17:05

Les Verts ont concédé un match nul indigent à Dijon ce dimanche après-midi alors qu'ils s'étaient toujours imposés là-bas en championnat. Denis Bouanga, qui aurait dû bénéficier d'un penalty à la 39e, a raté une énorme occase en tirant sur le poteau à la 68e minute sur un caviar de Romain Hamouma. "J'aurais dû la mettre au fond mais on n'a pas perdu donc on va dire que c'est un bon point" a déclaré l'attaquant gabonais au micro de Téléfoot. Si son équipe n'a toujours pas gagné depuis l'été dernier (10 matches d'insuccès), Jessy Moulin a réalisé sa 4e clean sheet de la saison face à une lanterne rouge qui a fait honneur à son statut de plus mauvaise attaque de L1 (8 pions en 13 matches).
Yoric claque mais sa cuisse craque
06/12 14:06

Meilleur joueur de L2 cette saison, Yoric Ravet a ouvert le score hier soir lors du match nul (1-1) de Grenoble à Caen. Mais l'ancien milieu offensif des Verts s'est blessé à la cuisse sur cette action et â dû céder sa place dès la 12e minute de jeu.
Bouanga est le plus fautif et le plus bloqué
06/12 10:57

Orange Sports met aujourd'hui en exergue deux stats d'Opta sur l'international gabonais des Verts, dont le compteur buts est actuellement bloqué à deux (il n'a plus scoré depuis ses pions estivaux contre Strasbourg et Marseille).
"Dijon a commis 189 fautes en Ligue 1 cette saison, plus que toute autre équipe. Saint-Etienne affiche le 3e total le plus élevé avec 173 fautes en 2020/21 et compte dans ses rangs le joueur qui en a commis le plus (Denis Bouanga, 25). Ce dernier a vu 15 de ses tirs être bloqués par un adversaire en Ligue 1 cette saison, c'est au moins 5 de plus que tout autre joueur."
Gageons que le numéro 20 des Verts va enfin retrouver le chemin des filets sur le terrain de la lanterne rouge !
Sainté reste une grosse équipe
06/12 10:22
Avant de défier les vilains ce soir à Saint-Syphorien, le défenseur messin Dylan Bronn a livré ses impressions au Républicain Lorrain. Extraits.
"On aborde ce match comme tous les autres : pour le gagner. On a déjà joué des gros cette saison, donc on sait à quoi s’attendre. On sait, aussi, qu’on peut le faire ! Malgré les défaites à Lille et Paris, je trouve qu’on a été cohérent. À Marseille, on aurait même dû gagner et on a également fait beaucoup de mal à Saint-Étienne qui, pour moi, reste une grosse équipe de Ligue 1."
Kenny Rocha tient tête à Pogba
06/12 09:16

De la tête, Kenny Rocha Santos a marqué hier le but égalisateur de l'ASNL sur le terrain du FC Sochaux de Florentin Pogba (lui aussi titulaire) et Papou Paye (entré en jeu dès la 22e minute).
Elu homme du match, l'ancien capitaine de l'équipe stéphanoise tenante du titre en Coupe Gambardella est mis à l'honneur aujourd'hui dans L'Est Républicain.
"Déjà à l’origine but de Giovanni Haag contre Dunkerque à Picot, également buteur sur un magnifique coup franc à Caen, Kenny Rocha confirme sa montée en puissance avec des stats. Ce samedi à Sochaux, le milieu international cap-verdien, formé à Saint-Etienne, a égalisé une tête plongeante pleine de classe et pleine d’envie. "C’est la première fois de ma vie que je marque de la tête" confie-t-il, "Même dans les catégories jeunes, je n’ai pas le souvenir d’un but de la tête. Je suis super content ! L’équipe en avait besoin, il fallait absolument stopper l’hémorragie."
"Cette tête, elle montre plein de choses pour moi, elle montre toute ma détermination et toute la volonté de notre groupe. On n’a pas lâché après l’ouverture du score de Sochaux." Kenny Rocha sait déjà qu’il va se faire gentiment chambrer par son grand ami et compatriote Vagner qui joue au FC Metz désormais. "Vagner me dit toujours que je suis nul de la tête ! Je suis sûr que mon but va lui faire plaisir !"
Dimitrov tacle les fainéants
06/12 08:48

Revenu provisoirement à Sainté pour soigner à l'Hôpital Privé de la Loire un cancer qu'il a révélé en début de semaine dans la presse bulgare, l'ancien défenseur stéphanois Georgi Dimitrov garde un oeil sur les Verts et se confie aujourd'hui dans Le Progrès. Extraits.
"Les joueurs ne travaillent pas assez, ils se cachent quand le ballon arrive. Ce n’est pas sérieux. J’ai commencé ma carrière professionnelle à 16 ans, j’ai été capitaine à 21 ans du CSKA Sofia et quand on perdait seulement un match on devait rendre des comptes aux généraux de l’Armée. On vous passait l’envie de rigoler. Alors oui, on avait la pression.
Aujourd’hui, les joueurs, ils sont toujours en transit. Comment veux-tu bâtir une équipe ? Aujourd’hui, un joueur il est bon six mois, on l’encense et c’est la valse des millions. J’espère que Saliba va revenir au mercato. Il faut supporter les Verts dans les moments difficiles. J’adore ce public, ce stade. C’est le club qui en France a la plus grosse cote d’amour. Il faut la faire perdurer."
Youssouf ou Boudebouz ?
06/12 08:28

Selon la dernière édition de la Pravda, Claude Puel va reconduire le même onze départ que celui qui a tenu en échec les Dogues. Le Progrès annonce de son côté que Ryad Boudebouz devrait attaquer la rencontre côté droit et relayer Zaydou Youssouf sur le banc.
Puel aime changer (3)
06/12 00:52

La Pravda de ce dimanche rappelle que Claude Puel aime les changements. Extraits.
"La panne spectaculaire de résultats de l'ASSE s'explique notamment par son incapacité à reconduire la même équipe d'un match l'autre. En lançant à tout va des jeunes et en jonglant avec les systèmes (4-2-3-1, 4-3-3, 3-4-3, 4-4-2), jamais, depuis les deux premières journées, Puel n'a reconduit la même équipe, allant jusqu'à changer six joueurs de champ d'un match à l'autre. Ce tâtonnement en forme de laboratoire surprend quand on sait que l'effectif n'a guère bougé dans le sens des arrivées, qu'il n'a pas été trop impacté par le Covid-19, ni les suspensions.
Surtout, ce management n'a donné aucun résultat (deux nuls et sept défaites). Sauf celui de valoir à Puel de trôner en tête du classement des entraîneurs ayant déjà fait jouer le plus de joueurs en L1, cette saison (33). Christophe Galtier, pourtant pourvu d'un effectif pléthorique à Lille, le ferme (21 joueurs utilisés). Puel s'impose aussi comme celui s'étant le plus servi de la nouvelle règle autorisant cinq remplacements, après Franck Haise (58 sur 60 possibles, contre 59 au Lensois, avant cette journée)."
Zouma reprend la tête
05/12 23:40

Auteur de son 4e pion de la saison, Kurt Zouma a inscrit ce soir d'un joli coup de boule le deuxième but de la victoire de Chelsea contre Leeds.Les Blues en profitent pour reprendre provisoirement la tête de la Premier League.
Le but de Zouma ! #LiveChelseaFrance #CHELEE pic.twitter.com/QpZOR9Dii3
— Chelsea FR (@ChelseaFrance) December 5, 2020
A l'extérieur, les Verts se ramassent à la Puel
05/12 23:21

Selon une horrible stat d'Opta relayée par Le Bien Public, Claude Puel a perdu 73 % de ses matches de L1 à l’extérieur en tant qu'entraîneur stéphanois (11/15). On peut raisonnablement espérer que ce haut ratio (pas Nelson) va baisser dès ce dimanche, les Verts ayant toujours battu l'actuelle lanterne rouge en championnat à Gaston-Gérard (5 victoires).
Courbis tacle Herbin
05/12 22:19

Dans la dernière édition de Var-Matin, Rolland Courbis rappelle qu'il a entraîné Laurent Paganelli à Toulon. Extraits.
"C’est un joueur talentueux, que certains ont eu la bêtise de faire démarrer trop tôt dans le monde professionnel. J’espérais réparer cela. Je souhaitais reformer le duo des Laurent : Paganelli et Roussey – ils étaient complémentaires et se ressemblaient beaucoup. Je n'ai rien dit d’extraordinaire pour le faire venir. Mais bon, la région parle d’elle-même. C’est tout de même plus attirant de venir à Toulon, Sanary ou Bandol que d’aller à Auxerre. Paga avait des qualités de dribble au-dessus de la moyenne. C’était un surdoué. Il était déjà comme il est aujourd’hui, gentil, rigolo...
Je pensais qu’il pouvait participer à l’ambiance du vestiaire. Mais il avait aussi du caractère. On avait une relation un peu père-fils, avec les engueulades qui vont avec. Mais des engueulades affectueuses. J'ai le sentiment d'un certain gâchis par rapport à son talent. La deuxième année, en pleine préparation, il se fait opérer de l’appendicite, il a aussi eu des blessures à des moments clés et les choses ne sont pas forcément allées dans le bon sens pour lui. Il y a eu beaucoup de tournants dans la carrière de Laurent. La mort de son frère a été un vrai coup de marteau sur la tête."
Pour rappel, Laurent Paganelli a fait ses débuts en pro à l'âge de 15 ans 10 mois et 5 jours. Robert Herbin l'avait fait rentrer après la pause à la place de Dominique Rocheteau lors d'un match nul des Verts contre le PSG disputé au Parc des Princes le 25 août 1978.
A 21 dans le 21
05/12 20:44

C'est sans Charles Abi que l'ASSE défiera le DFCO demain après-midi en Côte d'Or, comme l'atteste le groupe stéphanois divulgué ce soir par Claude Puel.
Moulin, Bajic, Green - Debuchy, Sissoko, Moukoudi, Kolodziejczak, Sow, Trauco - Camara, Gourna, Youssouf, Moueffek, Neyou, Aouchiche, Boudebouz - Hamouma, Nordin, Khazri, Rivera, Bouanga.
Dimitrov n'a pas oublié Diego
05/12 20:36

L'ancien défenseur central stéphanois Georgi Dimitrov (61 ans) s'est confié le 1er décembre dernier au journal bulgare Duma. Extraits.
"Je suis retourné en France où je suis actuellement un traitement contre mon cancer. J'aurai encore une séance de chimio le 14 décembre et je passerai de nouveau un scanner. Si tout se passe bien, j'espère que je pourrai rentrer en Bulgarie juste avant les vacances de Noël. Cela dépendra aussi de l'ouverture des frontières et de l'évolution du contexte sanitaire.
J'ai affronté Diego Maradona lors de la Coupe du Monde 1986. On portait tous les deux le brassard de capitaine. C'était en match de poule, l'Argentine nous avait battus 2-0. Pour eux c'était une formalité. Maradona était l'homme des grands matches, ce n'est pas étonnant qu'il ait presqu'à lui tout seul conduit sa sélection au titre mondial.
Diego Maradona, était une idole, quelqu'un d'inaccessible. A l'époque il n'y avait pas tous les médias d'aujourd'hui et internet, on avair rarement l'occasion de le voir. J'ai dû le voir deux fois en direct à la télé quand j'étais en France, contre Tolouse. Il n'y a plus de joueur comme lui et je ne pense pas qu'il y en aura. Grâce à lui, les gens aiment encore plus le football."
Courbis ne s'en fait pas pour Puel
05/12 19:40

Dans la dernière édition du Parisien, Rolland Courbis évoque le cas de Claude Puel, toujours en poste malgré un premier tiers de saison très médiocre des Verts.
"Claude en a vu d'autres. Il est aussi passé par des moments difficiles à Nice, à Lille. Tous les entraîneurs passent par des phases comme ça. Il sait gérer ce genre de situation, d'autant qu'il a la confiance de sa direction, c'est le plus important."
Le quotidien francilien rappelle que l'entraîneur stéphanois espère faire revenir William Saliba au mercato hivernal et "veut absolument un numéro 9 dès janvier, le jeune Charles Abi ne répondant pas aux attentes espérées pour le moment."
Les Perrin fans de Galette (2)
05/12 17:54

Partageant le même patronyme et ayant collaboré à Sainté, deux consultants de Téléfoot avant encensé Christophe Galtier il y a huit jours dans 20 Minutes. Ils en remettent une couche aujourd'hui dans Ouest-France.
Alain Perrin : "C’est un vrai manager, qui excelle dans sa capacité à fédérer malgré les ego. Le LOSC possède cette année beaucoup de joueurs offensifs, mais il parvient à les maintenir concernés malgré des temps de jeu différents. Et ça c’est fort. Il a une bonne connaissance technique. Ce qu’il fait avec Lille d’un point de vue du jeu, c’est très abouti. Il a beaucoup d’expérience et il a pas mal bourlingué. Ses résultats (la victoire à Milan par exemple) dépassent les frontières. Il est consensuel. Il n’a maintenant plus rien à prouver en L1. Lorsque Deschamps va s’en aller, il pourrait être un candidat crédible à l’équipe de France…"
Loïc Perrin : "J’aime la relation qu’il a avec ses joueurs, c’est sa plus grande force. Lorsqu’il était l’adjoint d’Alain Perrin, il était en relation avec le groupe. Quand il est devenu numéro un, il a su garder ce lien tout en se forgeant une autorité. Quand il est arrivé, l’enjeu était de nous stabiliser en Ligue 1… Et il partait de zéro ! Il n’avait aucune expérience mais il a fait ses preuves. J’ai aimé comment il a repris l’équipe, sa façon aussi de recruter. Il avait tout compris au club, il correspondait à ses valeurs."
Troyes gagne grâce aux Dylan
05/12 17:06

Si l'ASSE n'a pris que 2 petits points lors de ses 9 derniers matches, l'Estac en a pris 21 ! Invaincue depuis que l'ASSE n'arrive plus à vaincre, l'équipe de Laurent Batlles a pris la tête du championnat de L2 cet après-midi grâce à sa victoire 2-1 contre le Paris FC d'un Morgan Guilavogui peu en vue qui a rejoint dès le retour des vestaires Anthony Maisonnial sur le banc visiteur. D'une somptueuse frappe du gauche, Dylan Chambost a ouvert le score à la 31e minute de jeu. A la conclusion d'une belle action collective, Dylan Saint-Louis a inscrit le but du break deux minutes avant la pause et aurait pu mettre le but du 3-0 si le poteau n'en avait pas décidé autrement.
Evans fana de Fofana
05/12 13:49

Vice-capitaine de l'équipe d'Irlande du Nord, le défenseur de Leicester Jonny Evans (32 ans) a encensé son coéquipier Wesley Fofana hier sur la BBC.
"Il a les capacités de poursuivre sur sa lancée et devenir l'un des meilleurs défenseurs centraux du monde. Parfois, on oublie à quel point il est jeune. Il a de vraies qualités athlétiques et de la maturité. On peut dire qu'il va être un joueur de top classe. Il a tous les attributs : à l'aise sur le ballon, agressif dans sa défense. Il est confiant et semble sûr de lui. Quand on voit les matchs dans lesquels il est entré, il a joué avec une vraie maturité. Je ne pense pas qu'il sera du genre à se cacher dans certaines situations. Il semble qu'il aime vraiment ce défi et on peut le voir par son agressivité sur le terrain. Contre Arsenal, il a dû affronter l'un des meilleurs attaquants de la Premier League. La façon dont il a fait face à Aubameyang, l'impact athéltique qu'il a mis pour pouvoir rivaliser avec un joueur d'un tel calibre... Il était si confiant ! Je pense que Wesley a été exceptionnel ce soir-là !"
Dyon retrouve les Aiglons
05/12 13:06

Patrick Vieira, que Nanard et Roro avaient tenté en vain de faire venir à Sainté pour succéder à Galette, a été limogé avant-hier soir de son poste d'entraîneur des Aiglons, piteusement éliminés de l'Europa League et pointant à la 11e place (6 points derrière le 6e Monpellier mais 6 points devant le 15e Saint-Etienn). Matthew Cook, qui avait déjà collaboré avec lui à Manchester et à New York, a été prié lui aussi de faire ses bagages. Nicolas Dyon en profite donc pour succéder à ce dernier au poste de préparateur physique des Aiglons. Il avait déjà exercé ces fonctions dans le club azuréen quand Frédéric Antonetti en était l'entraîneur (de 2005 à 2009), sachant que les deux hommes avaient déjà collaboré auparavant à l'ASSE.
L'aventure, c'est l'aventure
05/12 12:06

Dans un entretien accordé à So Foot, Galette explique pourquoi il a mis le poster du film de Claude Lelouch L'Aventure c'est l'aventure dans son bureau lillois.
"C'est l'attaché de presse du LOSC qui me l'a offert. J'adore ce film, et il représente bien ce que doit être une saison : une aventure. C'est aussi ça, le sport de haut niveau : un club pro, c'est une aventure humaine. C'est même surtout ça. On n'est pas des machines, on n'est pas des robots. L'échec est souvent matérialisé par une personne au final, c'est inhumain et je l'ai intégré. Mais la réussite provient de tout le monde, quelle que soit sa position dans le bâtiment. Je donne une part de réussite égale à tous les salariés de ce club."
Oh ! Hé ! Hein ! Bon !
05/12 10:45

Le QSG a annoncé hier le départ de son recruteur Luis Ferrer, qui avait rejoint le club de la capitale en 2009 et avait notamment oeuvré à l'arrivée de Kylian Mbappé. Cet Argentin de 45 ans, qui avait tafé à Colon Santa Fe sous la houlette d'Osvaldo Piazza, avait travaillé à la cellule de recrutement de l'ASSE à l'époque où Omar Da Fonseca la dirigeait (2005-2008).
L'ancien défenseur de Grenoble, du Paris FC et du Gazelec avait évoqué son passage dans la maison verte l'été dernier dans le long papier que La Nacion lui avait consacré. "Nous avons bien bossé à Saint-Etienne, nous avons recruté de bons joueurs et nous avons été satisfaits de notre travail."
Avec Batlles, l'Estac fait le spectacle
05/12 09:45

Si l'ASSE ne lui a pas donné sa chance d'entraîner les pros après l'avoir pourtant aidé à passer ses diplômes, Laurent Batlles fait aujourd'hui le bonheur de l'Estac, qui aura l'occasion de prendre la tête de la L2 en cas de victoire contre le leader parisien cet après-midi au Stade de l'Aube.
Avant ce choc, la Pravda a décidé de mettre en lumière le jeu attractif mis en place par celui qui n'aura laissé que de bons souvenirs à Sainté, que ce soit dans l'entrejeu ou au poste d'entraîneur de la réserve (promue puis maintenue sous sa houlette).
"Avec une nouvelle organisation, la formation auboise impose un rythme soutenu et une pression élevée à leurs adversaires. Un jeu audacieux qui s'avère aujourd'hui payant. "Cela fait un moment que l'on réfléchissait à cette organisation avec trois défenseurs et un milieu en losange très technique" explique Laurent Batlles. La volonté de densifier son milieu de terrain est manifeste. Avec deux pointes, basse (Florian Tardieu) et haute (Dylan Chambost), et deux relayeurs, l'entrejeu troyen est devenu une vraie tour de contrôle. Pour contrecarrer la relance adverse et couper les lignes de passe à la perte de balle mais surtout pour offrir des solutions en attaque avec des sorties de balle aux petits oignons.
"Si on veut jouer haut, il faut faire ce qu'il faut et mettre des vrais ailiers, des attaquants pur jus, était une évidence. Il faut aller provoquer l'adversaire, faire mal aux défenseurs. J'assume, quitte à être en danger" dit Batlles. Les efforts demandés dans la compensation, que ce soit pour les pistons et les milieux, sont énormes. "Je sais que j'en demande énormément et que ce ne sera peut-être pas évident dans la durée. Les courses sont importantes. Après, les cinq changements sont un plus pour tenir ce schéma toute un match."
Dylan Saint-Louis a dû s'acclimater à ce nouveau rôle mais, visiblement, il y trouve beaucoup de satisfactions : "Mon rôle de piston ? Au début, c'était compliqué car il fallait assimiler ce nouveau poste, je me retrouvais dans des positions inhabituelles pour moi. Mais je m'y fais de mieux en mieux. Défensivement, ce poste me fait grandir. Offensivement, il me permet de jouer dans mes qualités, notamment le un contre un, ce que je préfère. Il m'offre aussi plusieurs possibilités : rentrer à l'intérieur ou combiner avec mes coéquipiers."
Ils ont feinté, il prend son pied
05/12 09:01

Dans le dernier numéro de So Foot, Claude Puel explique pourquoi il fait travailler à L'Etrat la feinte de frappe à ses attaquants.
"On en voit de moins en moins. Pourtant, les feintes de frappe, c'est extraordinaire ! Ça fixe l'adversaire, ça fixe le gardien. Je suis amoureux de ces gestes-là. J'ai joué mon premier match de Coupe d'Europe en 1980, contre Valence. A l'époque, il y avait encore Mario Kempes. Ils avaient aussi Solsona, un petit numéro 10. Lui, il nous avait marqué un but comme ça, avec une feinte. Il avait longé la surface et sans regarder le but, il avait piqué... Un geste d'une classe extraordinaire. Je prends mon pied quand je vois des trucs comme ça. Ou alors une fois, avec Eden Hazard à Lille, on joue un match amical à la trêve international contre Bruges. A un moment donné, il fait une accélération, un truc de dingue, il dribble quatre ou cinq joueurs dans un mouchoir. Et d'un seul coup, il s'arrête et met le pied sur le ballon au milieu de la surface de réparation. Autour de lui, ça s'esxcite dans tous les sens. Moi je lui crie "Tire, tire !" Et là une passe cachée pour un coéquipier qui sort de nulle part... But !"
Quand on aime, on ne trompe pas
05/12 08:36

Titularisé 8 fois par Jean-Louis Gasset, le défenseur girondin Paul Baysse, qui retrouvera les Verts le mercredi 16 décembre à Bordeaux, s'est confié au Télégramme avant d'accueillir demain un autre de ses ex-clubs (Brest). Extraits.
"Cela n’a pas été simple, mais j’ai réussi. Et je savoure maintenant que j’y suis. Je ne lâche pas, je ne lâche rien. C’est facile de donner le meilleur de soi pour un club que l’on aime. J’ai eu des hauts et des bas depuis mon arrivée à Bordeaux. J’ai vécu des périodes assez compliquées, mais je me suis toujours battu pour mon maillot pour le club, et j’ai toujours donné le meilleur. J’ai dû, après une année pro, partir en prêt pour aller faire mes classes ailleurs. Mais j’ai toujours eu l’objectif et l’envie au fond de moi de revenir à Bordeaux. Je suis né ici, j’ai grandi ici, j’ai été formé ici, c’est mon club.
Une carrière, c’est fait de hauts et de bas. On s’expose à des blessures, à des méformes, à des coachs qui ne vous font pas jouer. Il y a des hauts et des bas. Je me suis fait deux fois les croisés, au genou gauche avec Brest contre Plabennec, puis au genou droit dès mon arrivée à Saint-Étienne, ça m'a valu d’être écarté près de deux ans des terrains. Avant la présente saison, j'ai connu une période de 531 jours sans match officiel. C’est là qu’il faut être fort. J’ai la chance d’être bien entouré avec ma femme et mes enfants. C’est ce qui a fait ma force dans les moments un peu délicats. Jouer au football, c’est un métier que j’aime. Forcément, quand on aime, on ne trompe pas."
Coupet s'attend à souffrir
04/12 22:50

Deux jours après s'être confié à nous, l'entraîneur des gardiens dijonnais Grégory Coupet est intervenu ce soir sur les ondes de France Bleu à deux jours de ses retrouvailles avec les Verts.
"On a vécu un début de saison très compliqué, ce qui a amené le limogeage de Stéphane Jobard. Là on est sur une autre dynamique, on recherche encore cette capacité du groupe à fonctionner ensemble. On a eu des jolies prémices à Nice. On peut accueillir Saint-Etienne de fort belle manière avec un petit peu plus d’espoir de gagner ce match-là même si on n’oublie pas qu’on est lanterne rouge et que tous nos maux ne vont certainement pas s’envoler comme ça.
À nous de faire corps car Sainté est en plus une équipe qui joue bien, qui est forte collectivement. Ce sera un beau défi de la battre. On estime peut-être avoir une petite montée en puissance, on se réfugie derrière ça. On espère que cette victoire à Nice aura permis d’augmenter la jauge de la confiance et que ça se verra dans nos enchaînements.
Comme tout footballeur, son club formateur, ça reste le seul et unique. J’ai eu la chance d’être formé à Sainté, c’est ce qui m’a permis je pense de faire une si bonne carrière. Quand on est à Sainté, on apprend tout de suite ce qu’est la pression de porter un tel maillot. Cela m’a permis d’appréhender toute la difficulté d’une carrière professionnelle grâce à cette formation. Il y a un rajeunissement important cette saison dans le groupe stéphanois. Je pense que Monsieur Puel est en train de faire du super travail.
Je ne suis pas surpris du début de saison tout feu tout flamme des Verts, l’euphorie de découvrir la Ligue 1 et l’insouciance de la jeunesse amènent à vivre de tels moments. Après, derrière, ce qui est dur c’est toujours de confirmer. Cette Ligue 1 est intransigeante, difficile. Les conditions de cette saison sont compliquées. Jouer dans des stades vides, quand on s’appelle Saint-Etienne, c’est encore plus dur. Nous on s’attend à souffrir contre Sainté, on s’attend à devoir cravacher pour essayer de gagner ce match-là. Ce sera un beau défi de remporter les trois points.
Très sincèrement, j’imagine bien les Verts rester en milieu de classement, être bien en place. Je pense qu’ils ont les valeurs d’un collectif, ils sauront cravacher toute la saison. Ce n’est pas évident d’avoir des performances continuelles quand on a un jeune effectif. Je pense que Monsieur Puel à ce qu’il faut en joueurs. Il a aussi quelques anciens sur lesquels s’appuyer, je pense que c’est un groupe homogène."
Maçon n'a coûté que 295 briques ?
04/12 21:22

Selon La Voix du Nord du 3 mai dernier, l'ASSE de Claude Truelle avait déboursé 800 000 euros pour que Dunkerque lâche Yvann Maçon. Le même ch'ti quotidien assure aujourd'hui que le défenseur des Verts et des Bleuets n'aura coûté que 450 000 € soit seulement 295 briques (sachant qu'une brique représentait un million d'anciens francs donc dix mille francs).
Puel a bousculé Bodmer
04/12 18:05

Dans son long entretien accordé à So Foot, l'entraîneur stéphanois évoque le cas d'un ancien Vert qu'il a eu sous ses ordres à Lille, en banlieue puis à Nice.
"Mathieu Bodmer, il a fallu le bousculer. Ce n'était pas un compétiteur du tout. Il était nonchalant. C'était tout le contraire de Neyou. Quand on travaille sur le caractère d'un gamin, parfois on l'accompagne, parfois on le bouge. Pour Bodmer, je venais d'arriver à Lille et on ne pouvait pas recruter à titre onéreux. J'ai dit à Jean-Luc Buisine : "Il y a quelque temps, j'ai vu un gamin en Ligue 2, à Caen, et puis il a disparu, tu peux le retrouver ?" Je me rappelais de lui par éclairs, mais je me souvenais d'avoir vu de la maîtrise, une qualité technique, des gestes qui sortaient de l'ordinaire. Et moi, j'adore ça, des gars capables d'inventer quelque chose sur une prise de balle, un dribble.
Il avait cette fluidité pied droit, pied gauche, une telle facilité, pfff. Magnifique, quoi ! Il avait été relégué en réserve et ça se passait mal avec son entraîneur. On est allé le récupérer. Pour faire le deal et signer chez nous, Mathieu a de lui-même baissé son salaire sur les deux années de contrat qu'il avait à Caen. Là, je me suis dit : "Tiens, il y a quelque chose au niveau du caractère à travailler." Il y a plein de joueurs qui passent à côté d'une carrière et qui ont des qualités, des points forts, mais qui n'arrivent pas à le montrer parce qu'il leur manque quelque chose. Parfois c'est sur le plan mental, parfois sur le plan physique."
L'hiver brûlant de Saliba
04/12 17:23

L'ancien latéral gauche des Gunners Nigel Winterburn a évoqué le cas de William Saliba sur le site Goal.
"Sa situation à Arsenal est totalement étrange. Lorsque nous l'avons signé, les fans pensaient qu'il allait être une recrue sensationnelle pendant de nombreuses années. Nous ne sommes pas pleinement conscients des problèmes auxquels il a été confronté depuis son arrivée à Londres, mais il est clair qu’il a du mal à s’installer dans son nouvel environnement. Peut-être que Mikel Arteta a estimé que Saliba n’était pas prêt pour la Premier League, mais avec tous les problèmes liés à Arsenal en ce moment, c'est difficile de le suivre. S'il ne doit pas être réintégré dans l'équipe en janvier, il devra alors être prêté et jouer pour une autre équipe pour obtenir du temps de jeu. Je préférerais que son prêt soit en Angleterre car il pourrait aller dans une équipe de Championship et cela l'endurcira, alors que s'il partait en prêt à l'étranger, cela pourrait lui faire comprendre qu'il a pris la mauvaise décision en venant à Arsenal."
Le covid entre au centre
04/12 17:06
Comme le rapport le site officiel, plusieurs cas de Covid-19 ont été détectés au centre de formation et a entraîné la fermeture de l'hébergement :
"L’AS Saint-Étienne a décidé, de manière préventive, de suspendre les entraînements de certaines équipes du centre de formation et de fermer sa structure d’hébergement jusqu’au 12 décembre prochain. Plusieurs cas de COVID-19 ont en effet été détectés au sein de différentes équipes. Selon le protocole renforcé mis en œuvre par le club depuis le début de la pandémie, les joueurs concernés ont été isolés et placés sous surveillance médicale. Toutes les infrastructures du centre de formation sont en cours de désinfection."