Specht fier d'avoir battu les Verts

20/12 10:33
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Dans Les Dernières Nouvelles d'Alsace, l'ancien défenseur strasbourgeois Léonard Specht revient sur le moment le plus marquant de sa carrière.

"Une passation de pouvoir. Voilà l'image qui revient à Léonard Specht lorsqu'on lui demande d'exhumer un marqueur de son odyssée strasbourgeoise. Quel que soit l'angle sous lequel il envisage la question, c'est ce match face à Saint-Etienne, le 22 septembre 1978, qui refait surface. Il n'est sans doute pas le seul à s'en souvenir puisque 35 864 spectateurs - un record à l'époque - ont pris place dans le chaudron de la Meinau. Cette saison-là, on le sait, se terminera en apothéose avec l'unique titre de champion de France du Racing à la clé.

Mais à l'aube de cette 12e journée, bien que les Strasbourgeois ont le vent en poupe après leur 3e place en 1977-1978, il est difficile de prédire la suite, alors qu'une montagne verte franchit les Vosges. "C'était le grand Sainté face à nous. Le Racing était encore considéré comme une anomalie" rappelle Léonard Specht, au marquage d'un certain Bernard Lacombe en ce début d'automne. "On a gagné 2-1 et tout le monde s'est rendu compte de notre potentiel. Battre les Verts, c'était quelque chose. Rocheteau m'en parle encore aujourd'hui."

Mediapro, à qui la faute ?

20/12 10:00
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Dans un papier publié hier par l'AFP, plusieurs anciens de la maison verte donnent leur avis sur le fiasco Mediapro. Extraits.

"Fin mai 2018, c'est le jackpot : l'appel d'offres des droits télé atteint 1,217 milliard d'euros par an (L1 et L2 comprises), dont plus de 800 millions pour le nouvel entrant sur le marché, Mediapro. "Personne, à ce moment-là, y compris les cabinets d'avocats, ne nous a alertés sur quelque problème qui pourrait survenir. C'est facile de reprocher cela maintenant", martèle Sylvain Kastendeuch, coprésident du syndicat de joueurs UNFP et administrateur de la Ligue.

Pourtant, quelques jours après l'appel d'offres, Mediapro essuie un revers majeur en perdant les droits du championnat italien faute d'avoir pu présenter une garantie bancaire suffisante. "Le seul responsable, c'est Mediapro", a martelé l'entraîneur de Lille Christophe Galtier ces derniers jours. "On a eu affaire à des gens très malhonnêtes". Le diffuseur est accusé d'avoir surévalué la valeur de la Ligue 1 dans des buts spéculatifs, en vue notamment de revendre tout ou partie des droits.

De sources proches du dossier, on remarque des imperfections dans l'appel d'offres. Les critères quantitatifs (montant proposé) surpassant largement les critères qualitatifs (ancienneté de l'acteur) lors du choix du diffuseur, par exemple. Ou encore l'introduction de la possibilité de sous-licencier certains lots, favorisant les démarches spéculatives. "Il faut faire un audit pour comprendre comment on est arrivés là et ne plus faire la même bêtise dans le futur", pointe Damien Comolli, président de Toulouse (L2)."

On lui a passé son vilain passé

20/12 09:35
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Dans une interview (plutôt axée sur ses années passées banlieue) parue dans la dernière édition rhodanienne du Progrès, Robert Nouzaret évoque son passage à l'ASSE. Extraits.

"Au coup d’envoi du derby, on se regardait avec Rachid Mekhloufi, et il savait qu’il allait m’avoir sur le dos pendant 1h30. C’était mon rôle. Jamais Sainté ne m’a tenu rigueur d’être passé à l’OL. C’est l’un des endroits où ça s’est le mieux passé avec les supporters. Saint-Etienne a reconnu mon honnêteté, le fait que j’étais bosseur et ça correspondait à leur tempérament. Je reçois des messages de joueurs que j’ai eus, c’est plus efficace qu’un médicament."

Ripart ne rit pas

20/12 08:58
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"Il faut arrêter de se trouver des excuses. Ce que l'on produit, c'est insuffisant. Ce qu'on propose, c'est inquiétant. Cela fait plusieurs matches que le contenu offensif est proche du néant" déclare l'attaquant nîmois Renaud Ripart dans la dernière édition de la Pravda. Les Crocodiles, qui n'ont marqué que 11 buts en 15 matches, n'ont pas trouvé le chemin des filets lors de leurs quatre derniers matches, ponctués par autant de défaites...

Neyou, c'est fou !

20/12 08:33
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Des anciens entraîneurs d'Yvan Neyou se remémorent leur collaboration avec l'actuel numéro 17 des Verts dans la dernière édition de la Pravda. Extraits.

Daniel Duroir, son entraîneur en U14 à l'AJA en 2011 :

"Il devait passer deux ans à l'INF avant de nous rejoindre. Mais il s'est fait virer de Clairefontaine six mois avant la fin. Du coup, je suis allé le récupérer dès décembre. Il était scolarisé en 3e et il est venu dormir chez moi. J'étais famille d'accueil. C'est un "Titi Parisien", de la banlieue, un gentil gamin, qui n'a peur de rien. Il était frêle, petiot, mais avec un gros poumon et une très bonne technique. C'était un joueur correct, comme beaucoup, sur lequel je n'aurais pas forcément misé. Il a bénéficié du fait que son agent soit de la famille de Claude Puel, qui a tenté le pari. Et malgré un parcours particulier, il est passé quand même. C'est fou, mais c'est bien. Ça casse les codes et donne des idées à d'autres jeunes."

Roger Lemerre, son entraîneur à Sedan (N) en 2016 :

"J'ai dû le voir évoluer avec la réserve, dont je suivais tous les matches, le dimanche après-midi. Si je l'ai fait débuter en National, c'est qu'il avait suffisamment de qualité, du talent et qu'il méritait de jouer à ce niveau. Mais pour être honnête, je ne me rappelle pas de lui. Ce joueur ne me dit rien. C'est d'ailleurs bizarre, car il est Camerounais, comme Zacharie Noah, le père de Yannick, avec qui j'ai joué à Sedan. Cela aurait dû m'interpeller. Surtout que j'étais très vigilant. Je suis venu pour une mission de six mois : rendre service et éviter la relégation du club."

Marco Simone, son entraîneur à Laval (L2) en 2017 :

"Quand il est arrivé, il était jeune. Il évoluait d'ailleurs avec eux et je ne l'ai pas fait beaucoup jouer, en Ligue 2. Trois ans, dans l'évolution d'un joueur, pour le voir arriver à maturité, ce n'est pas si étonnant. Tant mieux s'il explose cette saison, à Saint-Étienne."

Rui Santos, son entraîneur en équipe réserve à Braga en 2019-2020 :

"À mon arrivée, il jouait peu, il était souvent utilisé en 10, qui n'est pas le rôle pour lequel il est le plus adapté. C'est un box to box, qui peut jouer 6 ou 8. Il est agressif à la récupération et technique : quand il a le ballon c'est un joueur intelligent, il sait quoi en faire. Sa première qualité ? Il est toujours heureux de travailler, et il en demande toujours plus. Par exemple il voulait travailler les coups-francs, les penalties, parce qu'il aime marquer, aussi. À Braga, il aurait eu sa chance et Abel Ferreira croyait en lui, mais il s'est blessé pendant la préparation et ensuite, il est resté sur la touche. Sans cette blessure, il se serait imposé à Braga, j'en suis sûr : les joueurs aussi positifs, qui aiment autant travailler, réussissent toujours."

Luis Sanchez revient sur sa verte saison

19/12 22:05
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S'apprêtant à jouer la finale du championnat colombien contre l'Independiente Santa Fe (les 21 et 28 décembre) après avoir marqué en demi-finale, le milieu de terrain Luis Sanchez (20 ans) revient dans la dernière édition du quotidien colombien El Pais sur sa saison dernière (0 but en 10 matches de N2 sous les ordres de Razik Nedder).

"Cette expérience à Saint-Etienne a été très bénéfique, j'ai grandi en tant que footballeur et en tant que personne. Au début, c’était très difficile de m'adapter à cause de la langue et de la nourriture, totalement différentes là-bas. Mais dans l'ensemble, j'ai gardé l'intensité et la possession du ballon qu’ils pratiquent là-bas. Cela m'a beaucoup aidé et c'est ce que j’applique maintenant à l’America.

Quand j'arrivais à l'entraînement en France, l'entraîneur donnait toujours une causerie. La vérité, c’est que je ne comprenais rien. Et après l'entraînement, quand on allait à la cantine, je ne savais pas quoi commander car je ne savais pas ce qu'ils servaient. Des mois plus tard, ils m'ont mis un professeur de français et là j'ai pu m'adapter.

La pandémie m'a attrapé là-bas. Je jouais avec la réserve, mais à cause de la situation sanitaire, ils ont définitivement arrêté le championnat.  C’est alors que des discussions entre l’ASSE et l’America ont commencé. Tout s'est arrangé, j’ai pu revenir en Colombie et rejouer avec l’America car le club comptait sur moi.

Ma situation en France était très difficile, j’étais confiné. Je ne pouvais pas quitter la maison et je n’avais pas d’amis à Saint-Etienne, pas de famille non plus. Seul mon père était avec moi, on s’ennuyait et on était enfermé. C'était un soulagement et une satisfaction pour moi de pouvoir repartir en Colombie."

 

 

On ne change pas un groupe qui gagne

19/12 21:05
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Pour la réception de Crocodiles relégables et décimés par les blessures, Claude Puel a reconduit le groupe victorieux à Bordeaux :

Moulin, Bajic, Green - Debuchy, Sissoko, Moukoudi, Kolodziejczak, Sow, Trauco - Camara, Gourna, Youssouf, Neyou, Aouchiche, Boudebouz - Hamouma, Nordin, Khazri, Rivera, Bouanga, Krasso.

Blanc retrouve un banc

19/12 20:24
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Quatre ans et demi après son très lucratif licenciement par le QSG (22 M€ d'indemnités), Laurent Blanc (55 ans) a enfin retrouvé un banc. Lassé de passer ses journées au golf, l'ancien libéro stéphanois a trouvé un club dans le Golfe. Le Cévenol s'est en effet officiellement engagé pour 18 mois avec Al Rayyan, ancien club qatari de José Aloisio.

Galtier s'est noyé

19/12 20:05
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Avant le match au sommet qui opposera demain le LOSC au QSG, Galette évoque dans la Pravda ses deux dernières années vertes (2015-2017).

"Ma stratégie est de maintenir le groupe dans ce qu'il sait faire, dans son organisation et ses repères. Je le dis avec de l'expérience car je n'avais pas fait cela lors de mes deux dernières saisons à Saint-Étienne et, à l'arrivée, tout le monde se noyait, et moi le premier. À Lille, quels que soient les absents, je reste sur mes deux lignes de quatre et mes deux attaquants. Si le numéro 1 et le numéro 2 au poste sont blessés, je mets le 3, et si le 3 n'est pas là non plus, on va inventer un 4."

Maçon vise la fin de saison

19/12 19:27
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Revenu à Sainté cette semaine, Yvann Maçon s'est confié à RMC. Extraits.

"La rééducation avance, ça va. Ça fait deux mois et demi, et je suis sur la bonne voie. Je suis dans les temps globalement. J'ai juste repris la marche un peu avant. C'est positif. Je suis parti en centre de rééducation à Hauteville (Ain) pour réapprendre à marcher. Je suis resté 45 jours sans pouvoir poser le pied par terre, donc il fallait que je réapprenne à marcher. Il fallait que je retrouve mon extension pour de nouveau plier la jambe. Avec le club, j'ai commencé dernièrement tout ce qui est prise de masse pour habituer mon corps à fonctionner normalement.

A l'ASSE, je fais mes soins aux mêmes horaires que l'entraînement. Ça fait du bien, ça faisait très longtemps. On a toujours pu échanger par téléphone, mais c'est mieux de pouvoir les voir. Mais je savais que je devais passer par le centre de rééducation pour que ça aille mieux. Ça m'a fait du bien aussi de rencontrer d'autres sportifs, surtout des skieurs. J'ai pu relativiser, parce que certains avaient des blessures plus graves. Je ne me suis pas senti isolé et c'était important. J'ai aussi profité de ma mère et de ma famille.

Je ne suis pas trop patient dans la vie, mais j'ai eu une phlébite au bras au début de ma carrière qui m'a éloigné longtemps des terrains, donc la patience, je l'avais déjà. Mon retour sur les terrains ? Je ne me mets pas trop de dates, pour ne pas être déçu. Mais j'espère le plus rapidement possible. Ça serait bien pour la fin de la saison, mais si ça ne se fait pas, ce n'est pas grave. Je pense que c'est possible, mais il faudra écouter les médecins. Je vais avoir aussi un peu peur lors des premières séances, et je travaille là-dessus en faisant un travail mental avec un médecin. À base d'hypnose et de musique.

L'entraîneur des Espoirs Sylvain Ripoll m'appelle toutes les deux semaines pour prendre des nouvelles. Je vais aller à Clairefontaine à partir du 10 janvier pour la deuxième phase de ma rééducation, donc je vais peut-être les croiser. Je ne m'attendais pas forcément à être appelé en Espoirs, donc ça a rendu encore plus compliqué l'acceptation de la blessure par la suite."

Deux matches primordiaux pour les Crocos

19/12 16:49
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Comme le rapporte Le Midi Libre photos et vidéos à l'appui, des supporters des Crocodiles ont échangé avec les joueurs nîmois aujourd'hui avant l'entraînement.

"Nous, on est là devant la télé, on pète un plomb tous les week-ends. Les gars, battez-vous !" a lancé le porte-parole des ultras gardois.

"On sait que vous êtes déçus. Nous aussi, on est déçus. Nos performances ne sont pas à la hauteur de ce que, nous, on espère. La spirale, elle est mauvaise, on travaille dur au quotidien pour essayer d'inverser la tendance. On a deux matchs qui sont primordiaux" lui a répondu Renaud Ripart, meilleur buteur de son équipe avec 2 petits buts claqués en 15 matches.

Avant-derniers, les Nîmois défieront les Verts demain après-midi à Geoffroy-Guichard avant de recevoir la lanterne rouge Dijon mercredi.

Gasset récupère et espère

19/12 10:07
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Dans la dernière édition du quotidien Sud-Ouest, l'entraîneur bordelais Jean-Louis Gasset revient sur la défaite de son équipe contre les Verts. Extraits.

"On a fait un débriefing. J’ai regardé la vidéo pour toutes les balles de contre qui ressort, ce manque d’agressivité. On est en surnombre. J’en ai parlé avec les responsables : si on laisse tourner le joueur, les autres arrivent lancés. Défensivement, il faut qu’on soit plus proche de l’adversaire. On a des références. Je ne pensais pas sincèrement qu’on était capable de refaire un match comme ça. Vu ce qu’on avait fait sur les quatre journées précédentes, je m’étais dit : on tient quelque chose, ils ont compris quelque chose.

Même si on a perdu à Lille, le contenu était cohérent dans l’organisation, l’agressivité, le replacement. C’est ça qui m’a déçu. On va revenir à ce qu’on a fait du bien. Pourquoi on l’aurait fait à Rennes, à Paris, à Lille et on ne le referait pas à Strasbourg ? Le manque de jus que j’ai pointé après la rencontre contre Saint-Etienne, je le pense sincèrement. Quand il n’y a que deux jours ce n’est pas beaucoup. On n’a pas l’habitude. Là, il y a trois jours, je pense qu’on va revenir à quelque chose de cohérent.

L’enjeu sera de stopper l’hémorragie après deux revers. On se disait ça y est, on a trouvé. Le fait de perdre à domicile anéantit la bonne ambiance. On va jouer contre des équipes moins bien classées, on joue pour gagner. On l’a déjà fait après les défaites à Monaco et contre Montpellier. Tous les matchs sont difficiles. Le problème, c’est nous. Si on est dedans respectueux, efficace, on peut ramener quelque chose."

Golovin est out

19/12 09:50
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Dans la dernière édition de Nice-Matin, l'entraîneur monégasque Niko Kovac annonce que son international russe Aleksander Golovin, victime d'une déchirure à la cuisse à Metz le 30 août dernier, sera encore forfait mercredi.

"Je suis ravi de le voir à nouveau à l'entraînement avec nous mais il ne faut pas prendre de risque. Nous attendons son retour pour le premier match du mois de janvier."

Le quotidien régional souligne que Youssouf Fofana (suspendu), Benjamin Lecomte et Cesc Fabregas (en réathlétisation) rateront également la réception des Verts.

Des Crocos décimés

19/12 09:18
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Dans sa dernière édition gardoise, Le Midi Libre rappelle que l'infirmerie nîmoise est pleine alors que les Crocos sont attendus demain après-midi dans le Chaudron.

"Contre Nice, il manquait mercredi une équipe qui aurait eu fière allure dans un 4-4-2 en losange : Dias (reprise après Covid), Landre (sorti au bout de 6 minutes, déchirure de 8 cm derrière la cuisse), Briançon (réaction au traitement à son genou), Martinez (fracture du sternum), Meling (genou), Cubas (grosse contusion osseuse au genou), Deaux (entorse de la cheville), Valerio (reprise après pubalgie), Benrahou (cuisse), Depres (rééducation du genou), Majouga (contracture musculaire lors d'une opposition interne avec la réserve). Soit onze éléments !

"Bientôt, je vais devoir inventer des joueurs... Il y a une part de malchance car il y a peu de blessures musculaires" a noté hier Jérôme Arpinon. "Mais on ne va plus parler des absents. On fera avec les joueurs que l'on a et on s'en sortira. J'ai récupéré Malanda, un défenseur de la réserve grand, intelligent, qui a du commandement. On a pu l'inscrire dans la liste des 30 de l'effectif. Avec Guessoum, qui est d'Alès, avec Chadli, de Bagnols, Buades qui est bien aux entraînements, Denkey et Alakouch qui peuvent revenir aussi, j'ai confiance dans les jeunes du club."

Puel soutient Bouanga

19/12 08:48
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Alors qu'il avait claqué 13 pions dont 10 en championnat la saison dernière, Denis Bouanga n'a marqué que deux buts cette saison (il y a trois mois, contre Strasbourg et Marseille). S'il a encore raté deux énormes occasions chez les Girondins, l'attaquant gabonais a reçu le soutien de son entraîneur à Bordeaux, comme le rappelle Le Progrès du jour.

"Denis a marqué en début de saison. Il passera lui aussi par la case réussite à un moment donné et il rouvrira son compteur. Il reste productif dans les situations qu’il peut avoir car, à tous les matches, il a plusieurs occasions" a déclaré Claude Puel. "Ce n’est pas donné à tout le monde et c’est déjà une bonne chose. Ces trois points vont faire du bien à tout le monde. À Denis également et lui enlever de la pression s’il en a."

Mevlut jusqu'au bout du bout

18/12 21:59
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A la 11e minute du temps additionnel (!), Mevlut Erding a marqué ce soir le but victorieux de Karagümrük contre Galatasaray en match d'ouverture de la 13e journée du championnat turc.

 

Arpinon ne déprime par pour des primes

18/12 17:06

Alors que la Pravda du jour faisait état des difficultés financières du Nîmes Olympique, pas en mesure de régler des primes aux joueurs, Jérôme Arpinon a voulu se focaliser sur le sportif en conférence de presse ce jour : "On a retrouvé une équipe qui presse, qui récupère des ballons haut, avec un Sarr, un Duljevic ou un Roux plus en jambes. J'ai revu la rencontre, on n'a pas fait un mauvais match, mais il faut que l'on tente plus dans les 30 derniers mètres. Aujourd'hui, il nous manque un peu de capital confiance pour créer le danger supplémentaire.
Bientôt, je vais devoir inventer des joueurs. Il y a une part de malchance car il y a très peu de blessures musculaires. Certains ont eu du mal à revenir après le Covid, comme Roux ou Briançon, d'autres enchaînent et il y a un stress psychologique qui finit en blessure. Mais on ne va plus parler des absents. On fera avec les joueurs que l'on a, et on s'en sortira.
On va aller à Saint-Etienne en voulant produire du jeu. Je n'ai pas trop le choix pour la composition d'équipe (ndp2 : il a confirmé l'absence de Landre), mais on va peut-être modifier un peu, mettre quelques joueurs frais. À l’heure actuelle, toutes les équipes sont fatiguées, stressées, diminuées. Ce sont celles qui ont un petit truc supplémentaire qui s'imposeront. On y va pour sauver notre vie, comme un petit qui va devoir trouver les ressources face à un gros.
Le président fait au mieux pour maintenir le club en vie. C'est très compliqué pour tous les clubs, et je peux vous dire que l'on est mieux armé financièrement que d'autres... Il ne nous doit pas un euro. Les primes de match je n'en ai rien à foutre, je les laisse ! On ne réclame rien. Le plus important, c'est le maintien.
On veut faire taire les médisants et faire plaisir aux supporters qui nous soutiennent. J'ai demandé aux joueurs de bien finir, de rejoindre leurs familles, de sortir du contexte du football à Noël, et d'arrêter d'écouter les gens qui veulent nous expliquer le football. La solution, ils l'ont dans les jambes. Il faut se concentrer sur nous-mêmes et se retrancher dans le travail.
Je dors moins, je cogite plus, et avec mon staff, on essaie de trouver les ressorts psychologiques. J'ai la pression du résultat, mais sinon personne ne me la met. On est conscient de la situation, et j'ai le soutien de mon président et de Reda Hammache, le directeur sportif. La situation pourrait m'atteindre psychologiquement, mais ce n'est pas le cas. J'ai connu plus dur dans ma vie... "

(pas) Ici Landre ?

18/12 10:43

Blessé mercredi soir en début de match contre Nice, le capitaine nîmois Loïck Landre (13 matchs cette saison) pourrait bien rater le déplacement de dimanche à Geoffroy Guichard (15h).
Il a rejoint à l'infirmerie la collection de blessés composée déjà de trois défenseurs (Briançon - 7 matchs, Martinez - 7 matchs, Meling - 6 matchs), et trois milieux (Benrahou - 8 matchs, Cubas - 11 matchs, Deaux - 9 matchs).

Des Crocodiles inoffensifs

18/12 08:11
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La dernière édition gardoise du Midi Libre pointe les lacunes offensives des Nîmois, attendus ce dimanche après-midi dans Le Chaudron. Extraits.

"Relégables, les Crocos restent sur quatre matches sans marquer. Il n'y arrivent pas à 11 contre 11, et aussi, plus inquiétant, en supériorité numérique. Les Nîmois ont joué 47 minutes contre Metz et 33 face à Nice avec un joueur de plus sans trouver la faille. Restant sur une série de quatre défaites consécutives, la formation de Jérôme Arpinon n'a jamais fait mouche en première période depuis que la Ligue 1 joue à huis clos, soit huit journées ! Avec l'avant-dernière attaque (11 buts) et des difficultés à se créer des occasions, les Crocos errent sans but. Mercredi, le président Rani Assaf a parlé aux joueurs dans le vestiaire. Une prise de parole exceptionnelle, signe que la situation est grave."

On aura noté que l'ancien attaquant stéphanois Nolan Roux n'a pas encore trouvé le chemin des filets cette saison en neuf matches dont quatre en tant que titulaire alors qu'il avait marqué deux buts en sept rencontres disputées avec les Gardois l'hiver dernier.

Seul le gazon de la Mosson dépasse celui du Chaudron

18/12 07:42
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La Ligue qu'on adule a publié hier après-midi le classement du championnat des pelouses. La Mosson (18,60) est en tête devant Geofroy-Guichard (18,09), Bollaert (18,03) complétant le podium. Le Roazhon Park (14,76) est lanterne rouge.

Aouchiche se lâche

18/12 07:23
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Comme le rapporte Le Progrès du jour, Adil Aouchiche s'est confié en conférence de presse avant-hier soir pour la première fois de la saison à l'issue de la victoire à Bordeaux. Extraits.

"Le coach a dit que j’avais besoin de souffler ? Oui, c’est vrai aussi. Mais je ne cache pas que c’était une frustration pour moi. Même si c’était sur une petite période, cela m’a touché dans mon ego. Je ne me suis pas trop posé de questions, j’ai continué à travailler, peut-être même plus. Je donne le maximum à chaque match et je me sens plus à l’aise avec mes coéquipiers. On se connaît mieux et je me lâche, plus de choses me réussissent.

Les fortes attentes en moi ? C’est une bonne pression. J’aime ça car elle me pousse à montrer qui je suis et prouver au club, qui m’a fait confiance, que je suis capable de faire de grandes choses. Je suis un joueur d’axe, un 10 ou un 8. Mais je joue là où on me met. Ailier, ce n’est pas un poste que je n’aime pas car ça reste un positionnement offensif où je peux exprimer mes qualités. Je m’adapte au collectif."

Veretout marque sur péno contre le Torino

17/12 23:28
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En match de côture de la 12e journée de Série A, la Roma a battu le Torino 3-1 ce soir, Jordan Veretout ayant inscrit le but du break deux minutes avant la mi-temps. Auteur de son 6e pion de la saison (le 5e sur péno), l'ancien milieu de terrain stéphanois remonte à la 4e place. Devancée par la Juventus à la différence de buts, son équipe compte quatre points de moins que le Milan AC et n'a que trois longueurs de retard sur l'Inter.

Le tacle à retardement de Maurice Vincent

17/12 22:51
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Maurice Vincent sest réjoui ce soir sur son compte twitter que le stade Geoffroy-Guichard ait été retenu pour accueillir des matches des Jeux Olympiques de 2024. L'ancien maire de Sainté en profite pour glisser un tacle à Nanard et Roro.

"Nouvelle consécration pour la rénovation du Chaudron en 2010-2014, rejetée à l’époque par la droite stéphanoise et dont la présentation fut boycottée par la direction de l'ASSE. Souhaitons de belles affiches aux JO de 2024 et plus de victoires de l'ASSE, c'est l'essentiel !"

Kirikou n'a plus un sou

17/12 22:15
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Vivant à Bastia et travaillant dans l'immobilier, Damien Bridonneau a évoqué dans Dessous de Verts la situation délicate de celui qui lui avait fait la passe décisive lors de l'inoubliable but du titre de champion de France de D2 en 2004.

"Quand je vois ce que mon p’tit Frédo est devenu, alors qu’il a gagné peut-être dix fois plus que ce que j’ai pu gagner...  Quand t’as des sommes d’argent qui arrivent à gogo alors que t’as 18 ou 20 ans, tu ne sais pas ce qu’est la valeur de l’argent. Quand t’es footballeur, t’es pourri gâté, t’es choyé, t’as tout ce que tu veux. Il suffit que tu fasses quatre ou cinq matches, t’as 18 ans et ça y est, t’es la poule aux œufs d’or pour le club et pour les gens en général. On va te monter sur un piédestal alors que tu ne sais pas ce que c’est la vie réellement donc tu fais confiance.  Des joueurs se sont fait beaucoup arnaquer parce que derrière ils n’ont pas été conseillés.

Moi j’avais une famille de frères, de sœurs, qui lèvent leur cul le matin et qui en chient. Je savais que la carrière de footballeur ne durerait pas toute ma vie. J’ai été pro à 18 ans, je gagnais 2 500 euros. J’ai fini ma carrière je gagnais 15 000 euros. Chaque fois que j’ai changé de club, j’ai gagné plus d’argent. C’est à 35 ans que j’ai eu à Vannes le meilleur salaire de ma carrière. Mon petit pote Fred Mendy, je suis malheureux de voir la situation dans laquelle il est aujourd’hui. Il a fait confiance à un agent à Saint-Etienne et au final il l’a torché ! Il n’a plus rien le type ! J’ai les boules quand je vois ça."

Baysse très déçu

17/12 21:54
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Dans la dernière édition du quotidien Sud-Ouest, le défenseur girondin Paul Baysse ne cache pas sa déception d'avoir perdu hier soir contre son ancien club.

"On est très, très déçu. En montrant autre chose, nous aurions pu les mettre en difficulté. En première mi-temps, on a perdu des ballons et ça leur a donné des situations de contre. En deuxième, c’est parti un peu dans tous les sens, on n’était peut-être pas assez bien organisé. On doit faire mieux dans l’utilisation du ballon, la maîtrise collective. Il y a eu pas mal de déchet technique et on doit s’améliorer là-dessus. Eux avaient joué vendredi, nous dimanche. Dans les jambes, ce n’est pas pareil avec deux jours en moins de récupération. Mais on ne peut pas se cacher derrière ça. On est des joueurs professionnels, on n’est pas payé pour s’entraîner mais pour jouer, être sur le terrain."

Une Coupe à moitié pleine

17/12 16:31

 

La FFF a tranché : la Coupe de France aura bien lieu ! Le format sera inédit lors de cette édition 2020-2021 avec deux chemins pour arriver jusqu'aux 16e de finale, les amateurs et les pros seront séparés.

 

Ainsi 17 formations amateurs et 15 professionnelles se retrouveront en 16e de finale. Les Verts entreront dans la compétition comme d'habitude en 32e de finale et pourront affronter soit un des 10 clubs de L2 restants soit un des 19 autres clubs de L1. Les calendriers n'ont en revanche pas été dévoilés.

Chez les jeunes, la FFF a décidé de ne pas disputer la Gambardella cette saison. Les petits verts restent donc les derniers à avoir inscrit leurs noms au palmarès en 2019.

Les Verts enfin forts à l'extérieur ...

17/12 14:37

... de la surface de réparation ! Avec deux buts en dehors de cette limite sur la pelouse de Bordeaux mercredi, les Verts ont réussi une performance rare, qu'ils n'avaient plus réalisée depuis 5 ans !

 

 

A l'époque, Yohan Mollo et Romain Hamouma avaient fait parler la poudre 2 fois depuis l'extérieur de la surface et les Verts s'étaient imposés 2-1 sur la pelouse de Reims.

Les Ultras solidaires

17/12 14:24

Privés de stade, les Ultras misent sur la solidarité comme en témoigne ce reportage de Street Press à Saint-Etienne. Extrait :

"Depuis presque un an et le début de la pandémie de Covid-19, les supporters ultras multiplient les actions caritatives : Collectes, maraudes, tournoi de foot en ligne, proposition de garder les enfants des soignants ou des dons et des cagnottes en soutien au personnel hospitalier. Au moins 24 groupes de supporters ont récolté pour près de 250.000 euros de dons. Rien qu’à Ajaccio, les ultras de l’Orsi Ribelli ont collecté plus de 62.000 euros pour l’hôpital local. Dans le Forez, les deux groupes d’ultras – les Green Angels de la tribune Sud et les Magic Fans de la Nord – ont respectivement glané 13.000 et 16.000 euros. L’occasion d’une prise de conscience selon Boc’, 20 ans d’ancienneté chez les "GA" : « On a été épaté par les montants récoltés. On ne se doutait même pas qu’on avait ce pouvoir-là. Même si on savait qu’on pouvait ponctuellement faire des choses au stade."

Photo : Yann Castanier (Street Press)

Face aux Crocos, avec Lesage soyez sages

17/12 14:17

C'est Mikaël Lesage qui arbitrera la rencontre de la 16e journée de L1 entre l'ASSE et Nîmes. Ce sera le premier match en L1 cette saison pour l'arbitre de Basse-Normandie.

Un arbitre qui sourit plutôt aux stéphanois : ils ont remporté 5 matchs sous sa direction pour 3 nuls et 3 défaites. En revanche, sa dernière prestation à Geoffroy-Guichard ne reste pas dans les mémoires. Il s'agit d'une défaite contre Lille le 10 mars 2019 (0-1), Wahbi Khazri et Mathieu Debuchy avaient tous les deux été expulsés dans le temps additionnel de la rencontre. Il y a 4 ans jour pour jour, il avait expulsé Jessy Moulin à Lorient dès la 10eme minute. Les Verts s'étaient inclinés 2-1 au Moustoir.

A noter que Karim Abed officiera dans le camion VAR.

Les Verts ont emporté leur 42è clasico !

17/12 13:42

La victoire d'hier est la 13ème ramenée de Bordeaux par les Verts en Ligue 1. Elle confirme une tendance récente, puisque si le déplacement en Gironde a longtemps été compliqué pour Sainté, nous en sommes à 4 victoires depuis la saison 2011/12 (où les Verts de Galette l'avaient emporté 2-1 également avec le fameux centre tir de PEA).
Sainté-Bordeaux reste LE clasico de France, puisque il s'agit de l'affiche la plus fréquemment jouée depuis la création du championnat, remportée hier pour la ... 42ème fois par les Verts, pour 43 défaites sur un total de 117 confrontations.

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