
A Bordeaux, fémoral à zéro
09/12 20:13

Selon la dernière édition du quotidien Sud-Ouest, deux joueurs girondins sont très incertains pour la réception des Verts programmée mercredi prochain lors de la 15e journée de L1.
"Laurent Koscielny souffre d’une lésion grade 2 du biceps fémoral droit et Samuel Kalu d’une lésion grade 2 du droit fé-moral de la cuisse droite."
Promu capitaine de son équipe cette saison, le premier a joué 10 matches en 13 journées. S'il n'a joué que 7 matches dont 4 en tant que titulaire, le second est le meilleur buteur bordelais (deux petits pions) ex aequo avec son compatriote nigérian Josh Maja, Toma Basic, Hatem Ben Arfa et Rémi Oudin.
Occupant actuellement la 10e place du classement, les protégés de Jean-Louis Gasset et Ghislain Printant comptent 7 points d'avance sur les Verts.
C'est comme aller à la mer sans la plage
09/12 19:13

Sur France Bleu, l'ancien défenseur Alain Merchadier a souligné ce soir la force du peuple vert avant de saluer le travail de Claude Puel.
"Pour se sortir d’une telle spirale négative, la première qualité, c’est le mental. C’est la volonté. C’est aussi avoir le respect du peuple vert. L’apport des supporters stéphanois dans les tribunes, c’est cinq, six ou sept points de plus à la fin de la saison. Ça a forcément une incidence sur la façon de s’imprégner du match et de l’attaquer de la meilleure des manières et ça aussi une incidence sur l’adversaire. Les stades vides, c’est gênant. C’est comme aller à la mer sans la plage, il n’y a aucune saveur. C’est frustrant car les gens qui prennent le trolley, qui arrivent à Sainté dans les bus, dans les voitures, juste avant de rentrer dans le stade, il y a un état d’esprit, une ambiance. Il y a des fumis, des chansons, il se passe quelque chose. Là, il ne se passe rien dans les tribunes.
Je connais bien Claude Puel, on a travaillé ensemble à Lille et en plus il est de la région de Toulouse car il est du Tarn. Claude est un formateur qui a un costume d’entraîneur de première division. C’est un préparateur de F1. Il met les mains dans le moteur, il connaît les pièces et leur fonctionnement. C’est un très grand professionnel qui s’appuie sur le travail quotidien. Il est l’homme de la situation. Mais il ne faut pas oublier que les gens qui sont dépositaires des résultats, ce sont les joueurs. Ce sont les joueurs qui prennent des buts, ce sont les joueurs qui en marquent. L’entraîneur y contribue aussi mais les joueurs se doivent d’avoir un état d’esprit et faire honneur au maillot.
J’ai eu Claude au téléphone deux ou trois fois depuis le début de saison. C’est quelqu’un qui a une projection très précise sur l’avenir non pas de l’équipe mais du club. Auteur de lui il y a Xavier Thuilot et Jean-Luc Busine au recrutement, j’avais d’ailleurs travaillé avec lui. Claude a une vision avec deux ou trois coups d’avance. C’est pour ça que c’est très intéressant d’être un jeune joueur à Saint-Etienne."
Nanard encense Galette (2)
09/12 18:22

Si l'interminable série d'insuccès stéphanois le laisse coi, Bernard Caïazzo retrouve la parole quand on l'interroge sur Christophe Galtier. Après avoir encensé l'actuel entraîneur des Dogues il y a deux semaines dans 20 Minutes, Nanard en remet une couche dans la dernière édition de France Football.
"Tu te dis que la vie vaut d'être vécue quand tu rencontres des gens comme lui. Christophe Galtier est hyper respectueux de l’institution. Sa com n’est pas une com de séduction. C’est un mec vrai, un homme de parole. S’il n’a pas fait d’études supérieures, il aurait néanmoins parfaitement réussi dans d’autres domaines car, quand quelque chose l’intéresse, il se donne à fond. Et comme il est intelligent et humble... En 2013, je me souviens qu’il avait été désigné “entraîneur de l’année”, à égalité avec Ancelotti. Sept ans après, le Christophe Galtier de 2020 vaut trois Galtier de 2013 ! Son humilité est telle qu’il peut se laisser impressionner par des gens qui donnent le sentiment d’être plus forts que lui alors que ça n’est pas vrai. Il peut aussi se laisser manœuvrer par des gens qui ont l’ascendant sur lui. Il peut être parfois utilisé mais ce sera de moins en moins le cas."
Retrouver une confiance pas perdue !
09/12 15:40
En conférence de presse ce midi, Denis Bouanga a maladroitement rappelé que solidité défensive et confiance étaient les clés du redressement :
"On a réussi à stopper l’hémorragie. Il nous manque maintenant cette efficacité devant le but. Il faut travailler plus. Se donner les moyens de marquer.
Il y a beaucoup d’efforts défensifs à faire. On est moins présent offensivement. On a tous le même objectif c’est d’être solide défensivement. La chose qu’on veut en ce moment c’est ne pas perdre. On veut redevenir une équipe difficile à manœuvrer. On ne veut pas descendre. On veut tout bien faire. Parfois cela se joue à des détails.
Ça me trotte dans la tête de ne pas être efficace offensivement. Bien sûr que chacun de nous a envie de marquer et d’être décisif. Mais dans notre situation, il faut savoir se mettre au service du collectif. On est soudés. Mon cas personnel passe après. Quand le but va arriver, que ce soit moi ou un autre cela ramènera de la confiance. Mais je n’ai pas perdu la confiance."
Sans Boufal, bouffez-les ! (2)
09/12 13:39

Ouest-France fait le point sur l'infirmerie angevine à deux jours du match qui opposera l'ASSE au SCO.
"On sait d’ores et déjà que l’absence de Sofiane Boufal sera "assez longue, six semaines minimum" explique Sébastien Larcier, le directeur sportif angevin. Autre joueur sorti sur blessure contre Lorient, le milieu défensif Ibrahim Amadou ne souffre que d’une élongation de stade 1. S’il devrait être un peu court pour le déplacement à Saint-Etienne, son retour est espéré pour la réception de Strasbourg, mercredi 16 décembre. Enfin, Sada Thioub, blessé au genou et absent contre les Merlus, revient peu à peu. Ce mercredi matin, il a travaillé en marge du groupe. Un point sera fait demain pour déterminer s’il peut intégrer le groupe pour le déplacement à Saint-Etienne."
Retsos et Silva toujours pas là !
09/12 13:25

En conférence de presse, Claude Puel a indiqué à la mi-journée que Panagiotis Retsos et Gabriel Silva seraient encore indisponibles pour la réception du SCO d'Angers. Charles Abi et Kévin Monnet-Paquet devraient être opérationnels pour ce match d'ouverture de la 14e journée programmé ce vendredi soir à 21h00.
Gare au Miguelgorry !
09/12 13:16

Né dix jours après la finale des Verts à Hampden Park, Jérôme Miguelgorry sera au sifflet ce vendredi soir à Geoffroy-Guichard pour le Sainté-Angers qui ouvrira la 14e journée de L1. Sainté n'a remporté qu'un seul match dirigé par ce Basque de 44 ans, le 19 mars 2016 dans le Chaudron (victoire 3-0 contre Montpellier, buts de Roux, Tannane et Eysseric). Quand ils ont recroisé sa route, les Verts ont concédé le nul à domicile contre Metz (2-2 le 12 mars 2017), contre Rennes (2-2 le 24 septembre 2017) avant de perdre à Lille (3-1, 6 octobre 2018) et plus récemment à la maison contre Montpellier (0-1 le 1er novembre dernier). Lors de ce dernier match, il avait averti Romain Hamouma, Wahbi Khazri et Adil Aouchiche.
Angers voyage bien
09/12 12:52

Comme l'a souligné Christophe Lagrange dans l'entretien qu'il nous a accordé hier, Angers voyage bien cette saison. Si le nouveau club de Loïs Diony s'est lourdement incliné à Montpellier (4-1) et à Paris (6-1), il s'est imposé en début de championnat à Dijon (1-0) et reste sur trois succès hors de ses bases : à Rennes (2-1), Nîmes (5-1) et Lens (3-1). Le SCO est donc la 3e meilleure équipe de l'élite à l'extérieur (avec une moyenne de 2 points pris par match) derrière l'OM (2,66) et le QSG (2,14). Malgré son historique succès au Vélodrome, l'ASSE est antépénultième à ce classement (0,71) devant les relégables Dijon (0,67) et Lorient (0,57).
Grange fan de Galette
09/12 12:00

Bossant de nouveau avec Jean-Louis Gasset et Ghislain Printant à Bordeaux, l'ancien entraîneur des gardiens stéphanois Fabrice Grange encense Christophe Galtier dans la dernière édition de France Football.
"Quand Christophe est arrivé en Chine pour y finir sa carrière de joueur, j’y étais déjà. J’avais cette image du mec un peu agressif, alors que c’est l’inverse ! Ça l’a touché profondément d’être catalogué comme quelqu’un qu’il n’est pas. Mais ça ne l’énerve plus car il est passé à autre chose. J’avais des problèmes de structures, d’hôtel. Il a réglé ça en deux jours avec calme. Tout l’opposé de ce que je croyais ! C’est quelqu’un de bienveillant. Quand j’ai eu des problèmes ou quand j’en ai, je peux lui parler. Et, même si c’est quelqu’un qu’il ne connaît pas forcément, il va l’écouter, le conseiller, l’aider. Christophe aime profondément les gens, les personnes autour de lui.
À Saint-Étienne, peu de gens le savent: on a été contactés par un club étranger. Moi, j’étais très tenté ! Je lui dis: “Galette, il faut qu’on y aille!” Lui me répond : “Moi aussi, j’aimerais y aller mais, ici, on m’a donné ma chance et sans approbation du président, je n’irai nulle part!” Il a eu cette fidélité envers le club qui lui a donné l’opportunité d’être entraîneur numéro 1.
Je dis souvent que tu aimes travailler pour les gens qui te font bander, des gens qui te motivent. Lui, tu sais qu’il est là. Il aime profondément ses joueurs. Il le leur dit mais ne leur passe pas tout. Dans son staff, pareil. Quand il avait une chose à me dire ou l’inverse, on se parlait. Lui va te défendre, faire en sorte de trouver la meilleure solution, se battre pour que tes conditions soient bonnes, il va t’intégrer dans ce qu’il fait, t’amener dans ses projets. Il a les paroles pour faire franchir des paliers aux gens. Même quand ça prend plus de temps. À Lille, il croit en Jonathan David, par exemple. Il voit ce qu’il fait en dehors des buts, qu’il est généreux, qu’il travaille beaucoup. Et il le récompense. Avec Aubameyang, au départ, à Sainté, c’était aussi comme ça. Si David ne lui donnait pas tout ça, il l’aurait enlevé. Il aime ses joueurs mais n’accepte pas la non-combativité, le non-sacrifice.
Il consulte ! Comme il me dit parfois: “On n’est pas à l’abri d’une bonne idée venue des autres.” Galette a encore envie de progresser. Ce qu’il fait ne lui convient pas encore car il peut faire mieux ! Je me souviens de la finale de la Coupe de la Ligue, avec Saint-Étienne. Tout le monde voyait la victoire finale. Mais tout ce qui a été invisible et qui a mis l’équipe dans les meilleures conditions lui est dû. Il a consulté des gens qui ont gagné des finales, il a consulté pour la gestion de l’environnement stéphanois, pour les places. Parce qu’il savait que techniquement, les choses étaient OK mais qu’il fallait un contexte favorable pour les joueurs. Avant les causeries, il demandait à son staff: “Qu’est-ce qu’on peut dire aujourd’hui? ”On amenait des idées et il s’en servait, ou pas. Quand on te fait participer, quand on t’intègre, sur le banc, tu as envie que ça marche ! Pour cette finale, il s’est nourri de tout et pas seulement de foot."
Moukoudi en a beaucoup pris
09/12 07:19

Le Progrès du jour nous explique pourquoi le numéro des 2 des Verts ne s'est pas entraîné hier.
"Harold Moukoudi est resté aux soins, hier, pour la reprise de l’entraînement. Il faut dire qu’il est sorti en claudiquant du stade Gaston-Gérard après avoir pris plusieurs boîtes de l’attaquant dijonnais Mama Baldé. S’il a les chevilles qui ont enflé ce n’est pas parce qu’il a pris la grosse tête mais parce que Baldé ne l’a pas ménagé."
Cabella claque chez Zouma
08/12 23:01

Déjà assuré de poursuivre son aventure européenne en League Europa après avoir éliminé Rennes, Krasnodar a fait match nul 1-1 ce soir en Ligue des Champions sur le terrain de Chelsea. Si Kurt Zouma est resté sur le banc, Rémy Cabella a ouvert le score à la 24e minute. Après avoir régalé la chique face aux Blues, l'ancien numéro 7 des Verts a été remplacé à la 80e.
Remy Cabella scoring a Champions League goal vs Chelsea in the UEFA Champions League sums up 2020 quite nicely...#CFC #CHEKRA #OM #UCL
— NUFCblog.co.uk (@NUFCblogcouk) December 8, 2020
pic.twitter.com/4Rl65pQZ2S
Crémillieux a encore le coeur vert
08/12 17:47

Non conservé par l'ASSE en juin dernier après 7 ans passés au centre de formation, l'ancien gardien international U17 Nathan Crémillieux (20 ans) s'exprime dans la dernière édition du Dauphiné Libéré. Extraits.
"Je suis revenu vivre chez mes parents à Guilherand-Granges. Je garde le moral même si honnêtement je pensais plus vite rebondir. Je continue à m’entretenir physiquement. A Sainté, sans explications convaincantes, je m'étais vu rétrograder numéro 3 dans la hiérarchie des jeunes gardiens. Le dimanche, j’étais toujours remplaçant.
Mon cœur reste vert, j’ai vécu de belles années à l’ASSE. Avec mes sélections nationales, les derbys contre l’OL sans aucune défaite en sept confrontations. Et que dire de cette coupe Gambardella 2019. Avec présentation du trophée dans un Chaudron en ébullition. Intégrer un effectif professionnel et gagner ma place, tel est mon nouveau challenge."
Sablé marqué au fer vert
08/12 14:28
France Foot consacre Saint-Etienne comme "ville la plus foot de France" (qui en doutait ?) et interviewe à cette occasion l'actuel entraîneur adjoint des Verts, Julien Sablé :
"Ce club a le pouvoir magique de rendre les gens fiers, de représenter des valeurs. C’est ancré dans les racines et dans tous les pores de chaque Stéphanois. Il existe un attachement viscéral à son équipe qui englobe toute la ville. Au départ, les ouvriers éprouvaient ce plaisir d’aller au stade, c’était une sorte d’exutoire, et ce sentiment est resté. Cette équipe a un pouvoir sur les gens qui dépasse le simple cadre du football. La tristesse d’une défaite ou l’euphorie d’une victoire sont plus fortes, parce qu’il est question de transmettre une identité.
Dès que tu arrives, on t’explique ce qu’est Saint-Étienne. Moi, j’ai très rapidement compris que j’étais dans un endroit très particulier. Trois semaines après mon arrivée, on jouait un derby en U15 et j’ai retrouvé plus de 500 personnes autour de la main courante. Je me suis demandé où j’étais tombé ! Au lycée aussi, je me suis rendu compte en quelques jours de ce que représente un joueur de l’ASSE, même à 15 ans. Tu es identifié, avec l’exemplarité qui doit aller avec.
Il y a une forme de pression quotidienne que j’ai un peu retrouvée à Bastia, pour son côté insulaire et populaire. Saint-Étienne, ce n’est pas une île, mais c’est un village ! Tout le monde est au courant de tout ce qui concerne l’ASSE. On ne peut pas y échapper, mais c’est aussi ce qui fait qu’on a envie de rester. Même si c’est plus compliqué qu’ailleurs quand ça va moins bien.
Le point commun qu’on peut trouver avec Marseille, c’est la démesure, ce côté déraisonnable de vivre avec une telle intensité l’amour de son club. Mais à Marseille, comme à Nice où j’ai également joué,il y a d’autres formes de divertissement. À Saint-Étienne, c’est plus compliqué. On retrouve des valeurs communes avec Lens, aussi, même si je n’y ai pas retrouvé la même intensité. Peut-être parce que j’ai été trop imprégné par les Stéphanois. Ici, il y a vraiment ce côté village gaulois, fier, qui se bat contre les préjugés. J’ai ressenti la passion et la gentillesse des gens à Lens, mais je n’ai peut-être pas eu le temps de m’en imprégner comme ici. À Lens, on est descendus en L2 et on a été applaudis. Avec l’ASSE, je suis descendu aussi, et on ne nous a pas applaudis...
Prenons l’exemple de Nice, où il y a aussi ce côté intense dans la passion des supporters : quand vous allez en ville, il y a beaucoup de retraités, de touristes... Ici, il n’y a que des supporters ! Ça ajoute de l’effervescence, car le foot est le fanion, l’étendard, le moteur, la locomotive de cette ville. Quand ça va moins bien, on ne va pas acheter son pain de la même manière, il faut se faire tout petit. Et quand c’est positif, vous prenez une intensité émotionnelle qui vous marque à vie."
Jérémie bientôt de retour
08/12 10:54
Sur Twitter, Mohamed Toubache annonce le retour proche sur les pelouses de l'attaquant stéphanois Jérémie Porsan-Clementé.
Le professeur Bertrand Sonnery-Cottet vient de lui donner son feu vert.
— Mohamed TOUBACHE-TER (@MohamedTERParis) December 7, 2020
Après 6 mois & 11 jours d’indisponibilité, où il a fait preuve d’une force mentale impressionnante, @JeremPcl va reprendre le chemin de l’entraînement avec sourire & une détermination sans faille. #ASSE pic.twitter.com/VJFyoLuFoY
Arrivé en août 2019 et en fin de contrat en juin prochain, l'attaquant venu de Montpellier s'était gravement blessé au genou droit avec la réserve qu'il était venu renforcer. Il avait été opéré en mai dernier.
N'arrêtez pas la série !
08/12 10:45
Si les Verts restent sur 10 matchs sans victoire en L1 (7 défaites, 3 nuls) et doivent impérativement arrêter la série vendredi contre Angers, ils doivent en revanche conserver leur invincibilité à face au SCO à domicile qui dure depuis près de 40 ans !
En effet, la dernière défaite des Verts à domicile contre Angers remonte au 21 avril 1972. A l'époque, les Verts d'Albert Batteux s'étaient inclinés 1-0 à Geoffroy-Guichard. Depuis, ils ont enchaîné 14 matchs sans défaite (10 victoires, 4 nuls) que ce soit en L1, L2 ou Coupe de France.
Les Verts ont certes perdu la dernière rencontre contre les Angevins, 4-1 au Stade Raymond Kopa en septembre 2019. Malgré l'ouverture du score d'Arnaud Nordin, ils ont pris la foudre et un triplé de Casimir Ninga. En revanche, la dernière rencontre à GG s'est soldée par un spectaculaire 4-3 pour les hommes de Gasset en novembre 2018. Menés 0-1 puis 2-3 malgré un but du néo-angevin Loïs Diony, les Verts ont réussi à s'imposer grâce à un but de Romain Hamouma en fin de rencontre. On r'met ça vendredi ?
Mangani ne s'enflamme pas
08/12 07:20

Le milieu de trerrain angevin Thomas Mangani s'est confié à Ouest-France avant de défier les Verts ce vendredi soir à Geoffroy-Guichard. Extraits.
"Le jeu qu'on a proposé contre Lorient était moins joli à voir que lors des matches précédents. Mais il y a des matches comme ça dans une saison où il faut savoir mettre le bleu de chauffe. C’est ce qu’on a fait. Ça prouve que l’équipe a plusieurs cordes à son arc. On a su être efficaces, offensivement et défensivement, costauds dans les duels. Même si on a un nombre de points confortable [ndp2 : 22 soit 10 de plus que l'ASSE], il nous reste avant et après la trêve des grosses équipes à jouer. On préfère rester prudent et faire le point à la fin de la première moitié de saison. On peut se dire que c’est super ce que l’on fait mais on doit garder nos valeurs car c’est ce qui fait qu’on en est là aujourd’hui. Chaque chose en son temps, pensons aux 40-42 points du maintien, on verra par la suite."
Puel tacle son attaque
08/12 07:06

Dans sa conférence de presse à Dijon relayée aujourd'hui par Le Progrès, Claude Puel n'a pas ménagé ses attaquants, incapables de marquer chez la lanterne rouge.
"On a énormément de possibilités, des occasions franches. Il faut tuer le match, offrir plus de qualité dans la dernière passe, on manque de technique dans le dernier geste. Les centres doivent être mieux repris, on doit provoquer, attaquer les ballons et non pas les attendre, couper les trajectoires. On manque de perception et de ressenti dans la surface. Romain Hamouma, il sent les coups, parvient à se mettre dans le dos de ses défenseurs mais quand il est excentré, il faut que quelqu’un puisse prendre le relais dans l’axe. La solution jaillira du groupe, c’est une question de temps."
Kies qu'il est précoce !
08/12 06:54

Kenzo Kies fait partie des 40 joueurs retenus en équipe de France U16 pour un stage qui se déroulera du 14 au 17 décembre à Clairefontaine. On aura noté l'incroyable précocité de l'attaquant stéphanois, né le 20 janvier dernier selon la FFF.
Guillou tacle les Verts (5)
08/12 06:43

Dans la dernière édition du Progrès, Patrick Guillou revient sur le triste match nul et vierge des Verts chez la lanterne rouge. Extraits.
"Dans ce match face à un concurrent direct, le constat est cinglant. Match barbant, soporifique et d’un ennui baudelairien. Le manager général essaie de mettre en place une machine à bien presser et à bien défendre. Cette volonté farouche d’installer ses fondamentaux défensifs. Pressing des attaquants, contrôles des latéraux adverses, volonté de réduire le temps de possession et l’espace adverse, contrôle systémique du ballon et de l’adversaire, gestion de la progression adverse et meilleure protection de la profondeur. Par contre pour malmener offensivement son adversaire, on repassera."
Aouacheria ne lâche rien (15)
07/12 23:21
Double finaliste stéphanois de la Coupe Gambardella (en 2011 et 2012), le milieu offensif Bilel Aaoucheria (26 ans) a marqué ce soir son premier but (victorieux) sous le maillot de Farense aux dépens de Maritimo lors de la 9e journée de L1 portugaise.
🇵🇹 #LigaNOS
— ArabBallers (@Arab_Ballers) December 7, 2020
Bilal Aouacheria 🇩🇿 @AouacheriaBilel scores his first goal for new club @FarenseSC. A beautiful piece of trickery to let the ball go through his legs and past the keeper to finish into the open net pic.twitter.com/jgRHGIs7GC
Joli Jolan ! (15)
07/12 22:51

Pour notre plus grand bonheur, Jolan42 a remastérisé et modernisé le clip qu'il avait réalisé en 2008 à l'occasion du 2000e match des Verts. "Cette vidéo est dédiée à Robert Herbin qui nous a quittés au printemps 2020" souligne note fidèle potonaute.
10 matches sans victoire, c'est moche mais y'a eu pire !
07/12 19:26

Tenus en échec hier par la lanterne rouge, les Verts en sont à dix matches consécutifs sans succès en L1. Claude Puel a donc réussi seul là où ils s'y étaient mis à trois (Oscar Garcia, Julien Sablé, Jean-Louis Gasset) pour parvenir il y a deux saisons à une telle série (elle aussi constituée de 7 défaites et 3 nuls), interrompue par une victoire contre le TFC à GG.
S'il ne parvient pas à vaincre les Angevins et les Girondins lors des deux prochaines journées, l'actuel entraîneur des Verts égalera un autre trio (Elie Baup, Maxime Bossis, Dominique Bathenay) qui s'était battu en vain la saison 1995-1996 pour tenter de maintenir les Verts en D1.
Comme nous le rappelle le potonaute sam42, c'est le plus grand entraîneur de l'histoire de l'ASSE qui détient le record avec 13 matches d'insuccès consécutifs dans l'élite. Lors de la saison 1988-1989, les protégés de Robert Herbin avaient dû attendre la 14e journée pour décrocher leur premier succès (2-1 contre Toulon) !
Pas pire bitte !!
07/12 18:00

12pts après 13 journées, les Verts sont loin d'affoler les compteurs cette saison.
Depuis la saison de la remontée, la saison 2004-2005, ce total est le 15ème égalité sur 17.
En effet nous avions déja atteint 12pts après 13 journées lors de la première saison de Baup, et nous n'avons fait pire qu'une seule fois : lors de la saison 2008/2009 (année où Perrin succède à Roussey) où nous ne comptions que 10pts avec 9 défaites en 13 matchs.
A noter que si la saison dernière nous a paru bien pourrave, nous comptions quand même 21pts après 13 journées et étions alors 5èmes à égalité de points avec le 3ème ! Par la suite, nous n'avons marqué que 9pts en 15 journées...
Va-t-on devoir les supplier pour qu'ils ne fassent pas pire cette fois-ci ?
Sainté ville la plus foot de France
07/12 17:18

France Football à paraître demain a établi le classement des 42 villes françaises où le ballon est le plus présent et le mieux ancré.
Sainté arrive en tête de cette étude basée sur neuf critères (le palmarès national, les affluences par rapport à la population locale, le nombre de clubs de foot recensés dans la ville, la communauté de suiveurs sur les réseaux sociaux, la capacité du stade principal, le nombre de saisons L1-D1, le record d'affluence du plus grand stade de la ville, les performances européennes et l'indice France Football de ferveur).
Lyon (quelle blague !), Lens, Marseille et Lille complètent le top 5.
L'autoproclamée "bible du football" a recueilli les propos de personnalités ayant les Verts dans la peau.
Roland Romeyer : "Quand le Stéphanois se lève, il pense football, explique le coprésident de l'ASSE, Roland Romeyer. Quand il déjeune, il pense football. Le soir, il boit un coup, il pense football..."
Julien Sablé : "C'est un village, il n'y a que des supporters. Ça ajoute de l'effervescence, parce que le foot est le fanion, l'étendard, le moteur, la locomotive de cette ville. Quand ça va moins bien, on ne va pas acheter son pain de la même manière, il faut se faire tout petit. Et quand c'est positif, vous prenez une intensité émotionnelle qui vous marque à vie.»
Loïc Perrin : "Ici, on naît supporter de Saint-Étienne et on devient fan de foot, pas l'inverse. Tout part des années 1960-70. Un vrai amour est né grâce à cette épopée, et il s'est transmis de génération en génération. Il a perduré malgré les mauvais résultats du club par la suite. À Saint-Étienne, petite ville ouvrière, tout le monde aime le foot. Et tu ne peux pas aimer le foot ici sans aimer l'ASSE."
Alexis Ajinça : "C'est dans notre sang ! Tous les jours, on organisait des parties de foot au pied des bâtiments, et personne n'osait porter un maillot d'une autre équipe française, raconte Alexis Ajinça, basketteur international natif de Saint-Étienne. Et alors si c'était Lyon... Bagarre obligée ! Si tu supportais une autre équipe, tu ne le disais pas ! On se sent un peu comme le village gaulois contre les Romains. C'est un peuple très chauvin, qui adore sa ville, sa région, fier de son patrimoine."
Anto et les vilains n'ont pas les mêmes valeurs
07/12 15:33
Passe d'armes entre deux anciens coachs stéphanois hier. Après la victoire des vilains à Metz (1-3), Frédéric Antonetti est revenu sur une altercation avec Rudi Garcia après le carton rouge reçu par l'un de ses joueurs. A lire dans la Pravda :
"Sur l'expulsion, j'ai revu les images. Il faudra qu'on m'explique un jour : je ne comprends pas car la première faute est de Marcelo qui pousse carrément John Boye avant que le ballon ne parte. J'espère donc que ce carton rouge sera effacé car il n'a pas lieu d'être. Mon altercation avec Rudi ? Je suis sorti un petit peu, car trop c'est trop : on n'a pas les mêmes valeurs, je vous le dis franchement !"
Aubame en panne
07/12 07:35

A l'instar de son compatriote Denis Bouanga, Pierre-Emerick Aubameyang est très décevant cette saison. Comme le numéro 20 des Verts, le numéro 14 des Gunners n'a claqué que 2 petits pions en championnat. Copiant l'ASSE, Arsenal occupe une piètre 15e place suite à sa défaite d'hier contre Tottenham.
Très loin de ses standards habituels (il avait claqué 22 pions en Premier League la saison dernière comme la saison précédente), PEA s'est fait tacler par l'ancien milieu international Paul Merson dans le Daily Star :
"Aubameyang est atroce. S'est-il trop détendu après avoir prolongé son contrat ? Lui seul peut répondre à cela. Mais il ne justifie pas l'argent qu'on lui verse."
Allez Aubame, viens avec William Saliba te refaire une santé à Sainté dès le mercato hivernal !
Nul, vierge... et rare ! (3)
07/12 07:13

L'ASSE n'avait plus concédé de match nul et vierge depuis son unique 0-0 de la dernière saison de Ligue 1 (à domicile contre Montpellier le 24 novembre 2019). La saison précédente, Sainté n'avait faite que deux matches sans marquer ni encaisser de but (à Monpellier et contre Amiens à GG l'été 2018).
Sainté barbe
07/12 06:57

Comme l'a rappelé hier le club sur son compte twitter juste avant le match à Dijon, l'ASSE a joué en noir hier pour fêter (avec deux jours de retard) la Sainte Barbe, patronne des mineurs. Sainté a encore proposé un jeu barbant mais n'a pas pris de but grâce à la correcte prestation de ses barbus Jessy Moulin, Harold Moukoudi et Mahdi Camara...
Gueye toise La Gantoise
06/12 23:33

Alors que le meilleur buteur stéphanois (Romain Hamouma) n'a claqué que 3 petits pions cette saison, Makhtar Gueye a marqué ce soir son 5e but en championnat belge. De la tête, l'ancien attaquant sénégalais des Verts a égalisé pour Ostende, qui a finalement battu 2-1 La Gantoise, ancien bourreau européen de l'ASSE mais en grande difficulté cette saison (13e sur 18).
Manceau a la dalle
06/12 20:49

7e de L1 avec 10 points d'avance sur l'ASSE (15e), le défenseur angevin Vincent Manceau espère enfoncer les Verts vendredi prochain dans le Chaudron.
"Notre objectif reste d’abord le maintien. Les équipes devant nous, c’est vraiment du costaud. À nous de continuer ce qu’on fait. C’est ça le plus important, les points viendront ensuite. On fera un bilan à la mi-saison" a déclaré à Ouest-France le coéquipier de Loïs Diony après avoir battu les Merlus de Fabien Lemoine. "Mais il ne faut pas changer, rester humble, continuer de travailler. C’est comme ça qu’on a des résultats. Là, on vient d’enchaîner pour une fois une deuxième victoire de suite. On espère en ajouter une troisième vendredi à Saint-Etienne."
On lui souhaite de marquer contre son camp dans le Chaudron comme il y a deux ans pour aider les Verts à renouer enfin avec un succès qui les fuit depuis dix matches...