Débuts victorieux pour Bouchouari en Turquie
19/10 10:58

5 mois après son dernier match (contre Toulouse) ponctué par sa 37e défaite sous le maillot vert (sa 15e en 25 matches de Ligue 1), Benjamin Bouchouari (23 ans) a fait ses débuts avec Trabzonspor. Entré en jeu à la 62e minute, l'ancien numéro 6 des Verts s'est imposé 2-1 sur le terrain de Rizespor. Fort de son 6e succès en 9 matches, son équipe a consolidé sa 2e place de Süper Lig, à 5 longueurs du leader Galatasaray.
Les Vertes ne sont plus lanterne rouge !
19/10 10:32

Ayant décroché leur premier point de la saison avant-hier au Havre, les Vertes ont quitté la dernière place du classement. Après 5 journées, les protégées de Sébastien Joseph devancent à la différence de buts (-9 contre -13) les promues lensoises, défaites 3-1 hier chez des Louloutes de Montpellier attendues à Salif Keita le 1er novembre lors de la prochaine journée. L'ASSE n'est plus qu'à 2 longueurs de l'antépénultième marseillais, qui a pris ses seuls points de la saison dans le Chaudron. Désormais entraînées par Corinne Diacre, les promues phocéennes ont perdu hier 6-1 contre le Paris FC !
On est favori pour la montée, il faut le montrer !
19/10 09:05

Dans la dernière édition du Progrès, Mickaël Nadé commente la défaite d'hier soir contre le promu manceau.
"On sait qu’on est une équipe ambitieuse mais on devra faire mieux à la maison. Le stade est rempli, c’est à nous d’en faire bon usage. Dans le vestiaire, on s’est dit les choses. Prendre trois buts, qui plus est à domicile, ce n’est pas possible pour gagner un match. Offensivement, on n’a pas fait ce qu’il faut également. Ce n’est pas assez. On sait qu’on est favori pour la montée, c’est bien de le dire mais il faut le montrer. Notre association avec Joao ? Vu le nombre de buts encaissés, ce n’est pas top. On va travailler à l’entraînement, mais encore une fois ce n’est pas que la défense, on est une équipe."
Mouton crée du danger à Angers
19/10 08:41

A l'occasion de son retour en France (en tant qu'adjoint de Sébastien Pocognoli), le néo-Monégasque Kévin Mirallas a été tenu en échec hier à Angers par le SCO de Louis Mouton, que la Pravda a trouvé "top" :
"L'ex-Stéphanois a créé du danger tout au long de la première période, avec notamment une volée juste à côté (24e) et un centre parfait pour la tête de Peter (32e). Il a ensuite servi magnifiquement Cherif, qui a mal exploité l'offrande (63e)."
Alors que Mathis Amougou était encore resté sur le banc la veille lors du spectaculaire match nul de Strasbourg au Parc des Princes, le grand frère de Jules a été titularisé pour la 5e fois de la saison de Ligue 1.
Une enceinte fantastique avec des supporters fantastiques
19/10 07:55

Comme lors de leur précédente rencontre à domicile perdue sur le même score (2-3) contre Guingamp, les protégés d'Eirik Horneland n'ont pas été à la hauteur d'un public auquel l'entraîneur manceau a rendu hommage en conférence de presse.
"On était dans une enceinte fantastique avec des supporters fantastiques. Dans ce stade, on a l’impression d’être dans une cuve, c’est impressionnant" a en effet déclaré le promu Patrick Videra, désormais 8e de Ligue 2.
Parmi les 33 824 spectateurs ayant assisté à cette rencontre de la 10e journée de L2, les Green Angels se sont encore distingués par un joli tifo et un craquage de nombreux fumis, comme l'atteste la vidéo ci-dessous du compte Grinta Ultras.
Il faut refaire peur
19/10 07:29

Le Progrès relaye les propos tenus hier en zone mixte par Florian Tardieu, double buteur mais défait par les promus manceaux.
"On était tous dégoûtés dans le vestiaire. On n’a pas fait un bon match. À domicile, on doit faire peur. Le Mans est venu, a joué son match et est reparti avec les trois points. Il faut vite mettre fin à ça parce que ça doit être notre point fort. Il faut vite se remettre la tête à l’endroit, comme on avait su le faire après la défaite contre Guingamp. Il faut refaire peur, faire trembler tout le monde. J’ai l’impression qu’on cherche le beau dribble, la belle passe alors que le copain est mieux démarqué. Même défensivement, on n’a pas le droit à l’image du troisième. Mon doublé ? Sincèrement, je m’en fous un peu. J’aurais préféré mettre zéro but et qu’on gagne. Ils sont inutiles ces deux buts."
La médaille en chocolat pour N'Guessan
19/10 00:24

Titularisé pour la 4e et dernière fois de la Coupe du Monde U20 ce samedi soir malgré ses ratés en demi-finale contre le Maroc, Djylian N'Guessan a perdu (1-0) le match pour la 3e place contre la Colombie. Remplacé peu après l'heure de jeu, le jeune avant-centre stéphanois n'aura pas trouvé le chemin des filets en 333 minutes jouées au Chili.
Horneland s'interroge
18/10 23:49

En conférence de presse, Eirik Horneland a commenté sa 12e défaite de l'année, la 2e en L2 et la seconde consécutive à GG.
"Le sentiment n'est pas bon, c'est sûr. C’est un 2e match perdu consécutif à la maison. Ce n’est pas acceptable pour un club comme le nôtre aux vues de nos ambitions. Perdre, c’est une chose. Mais nos performances sur ces 2 derniers matchs à la maison ne sont surtout pas suffisantes. Nous ne créons pas assez de choses collectivement, on ne construit pas d’attaques coordonnées. On commet trop de pertes de balles, c’est uniquement notre faute.
On a des moments clés où l’on ne marque pas, à l’image de la première opportunité de Zuriko Davitashvili ce soir. Nos adversaires, eux, ne manquent pas de marquer. Ensuite, on se met la pression tout seuls. En 2e période, c’est pareil. Igor Miladinovic passe tout proche du but avant que Le Mans ne marque à nouveau. Globalement, on n’a jamais réussi à prendre le match par le bon bout.
Je m’interroge. Sur le tout début de match, je vois de bonnes choses d’entrée. Si on marque sur cette 1ère grosse opportunité, le rythme de cette rencontre est bien différent. Ce stade, cette atmosphère méritent mieux, méritent un bon football pour vibrer. Ça fait 2 fois de suite que nous nous inclinons ici. C’est bien trop. On voulait construire sur le succès à Montpellier. Mais ce résultat fait mal. Bravo au Mans qu’on ne peut que féliciter.
On doit se questionner après 2 revers à la maison. Je dois me questionner, les joueurs aussi. On doit avoir une analyse collective pour avancer. Nous ne montrons pas toute la qualité de notre équipe, nous sommes trop fébriles à domicile, trop fragiles. Après 10 journées, le bilan n’est pas parfait du tout. À domicile, comptablement, on n'est pas à la hauteur de nos ambitions. Par moment, collectivement, on crée des choses intéressantes. Mais sur la longueur, on manque toujours de régularité. Je ne peux pas me satisfaire ni du bilan comptable, ni de nos performances jusqu’ici."
Une victoire marquante pour Le Mans
18/10 23:40

Avant ce soir, les Manceaux ne s'étaient imposés qu'une seule fois dans le Chaudron, en août 1997, contre les Soucasse, Guillou, Charriéras, Bastou, Simo, Duveau and co. Une médiocre équipe qui s'était sauvée à la dernière journée de D2 malgré leur défaite à Lille... grâce un but du Mans ! (Reginald Ray contre Louhans-Cuiseaux, comme nous l'avait rappelé Alain Bompard).
Bien mieux armés sur le papier que l'équipe dont disposait à l'époque Repellini, les protégés d'Horneland se sont piteusement inclinés ce soir contre les promus sarthois. Au micro de beIN Sports, Patrick Videira a commenté la victoire (surpnenante mais méritée) de ses protégés chez les rélégués stéphanois.
"J'ai dit à mes joueurs que j'étais très fier d'eux. On avait l'envie que ce samedi 18 octobre soit un grand moment pour nous. Il fallait marquer l'histoire du club et je pense qu'on l'a fait aujourd'hui, à notre échelle. Après, avec beaucoup d'humilité, je leur ai dit qu'il fallait basculer très rapidement déjà sur Boulogne et ça va être un match aussi très compliqué à domicile.
On n'a pas fait un match parfait ce soir. Je pense qu'il y a deux, trois situations où on doit faire beaucoup mieux. Il y a eu des situations, en première mi-temps, on fait des fautes. Flo a un pied extraordinaire, il met un super coup franc, mais je pense qu'on leur a donné à manger sur certaines fautes.
Il y avait des distances entre nous qui étaient un peu trop grandes, mais je leur ai demandé de construire ce match et leu ai dit qu'ensuite, nos impactants, allaient ramener quelque chose de plus et nous faire gagner ce match. On avait la volonté d'aller chercher les Verts, de ne surtout pas se subir déjà par rapport à l'environnement.
On n'était pas venus pour pouvoir faire des selfies et des photos parce que c'est un stade incroyable avec une ambiance incroyable. On avait prévu sur certaines zones de pouvoir récupérer, de leur mettre énormément d'intensité. C'est dur pour eux parce qu'aujourd'hui, ils sont les favoris de ce championnat. Toutes les équipes qui jouent contre la Saint-Etienne et dans cette enceinte, elles ont une motivation extraordinaire.
Et c'est pour ça que j'ai alerté de suite les garçons, c'est très bien d'avoir gagné à Saint-Etienne. Mais si on n'arrive pas à faire un résultat contre Boulogne, cette victoire ne servira à rien. Gagner dans le Chaudron, bien sûr que ça marque. J'avais ma famille qui était là. Je n'oublie pas d'où je viens et je le dis souvent. Je viens d'un petit club de village de Furiani. Me retrouver dans cette enceinte et avoir coaché ces joueurs, c'est une chance extraordinaire.
Malgré le fait qu'on soit le promu, on a le droit d'être ambitieux. C'est ce que j'essaie d'inculquer à mes joueurs au quotidien. Tous les matchs, on doit pouvoir les gagner et les jouer pour les gagner. Après, si l'adversaire est meilleur, s'il fait de meilleures choses, on leur dit bravo à eux. 95% de cet effectif ne connaissaient pas la Ligue 2. J'ai voulu garder cette ossature, j'ai voulu leur faire confiance.
Pour moi ça reste un rectangle vert et aujourd'hui, ils prouvent au quotidien, c'est des garçons qui travaillent très dur. Je suis très chiant, je suis très exigeant. Pendant la trêve internationale, certains peut-être ont la volonté de récupérer, nous on a énormément travaillé et je ne sais faire que ça en fait."
Le premier doublé vert mais vain de Tardieu
18/10 22:45

D'un coup franc platinien et d'un penalty sissokien, Florian Tardieu a réalisé son premier doublé en vert, hélas insuffisant pour éviter une piteuse défaite contre à la maison contre le promu manceau. Pour rappel, le numéro 10 de l'ASSE n'avait trouvé jusqu'ici que 3 fois le chemin des filets depuis son arrivée dans le Forez : à Caen en septembre 2023, à Reims et contre Toulouse en mai dernier.
Le natif d'Istres avait déjà réalisé 3 doublés quand il évoluait à Troyes sous les ordres de Laurent Batlles puis de Bruno Irles : 1 contre Sochaux en janvier 2021 de la même façon que ce soir (un coup franc direct puis un péno) et les 2 autres en mettant 2 pénaltys (contre Niort en avril 2021 et contre Lille en mai 2022).
— AsseVids (@vids_asse) October 18, 2025
— AsseVids (@vids_asse) October 18, 2025
Ridicules
18/10 22:07

Après avoir été battus à domicile par Guingamp il y a quelques semaines, les Verts ont remis ça face au promu manceau (3-2).
Eirik Horneland avait choisi une nouvelle fois de recentrer Joao Ferreira en l'absence de Maxime Bernauer et Chico Lamba. A droite, Yvann Maçon faisait son retour dans l'équipe. Le reste était du classique.
L'entame des Verts fut bonne et on faillit assister au même début qu'à Montpellier mais Zuriko Davitashvili voyait sa frappe trop molle reprise par un Manceau juste devant sa ligne après 45 secondes de jeu. Les Verts prenaient confiance mais ne parvenaient plus à être dangereux. C'est Le Mans par une frappe de Calodat qui faisait passer un frisson à Geoffroy-Guichard mais Larsonneur veillait.
Le portier ne pouvait rien en revanche sur une tête de Rabillard sur un centre de Gueye qui avait pris trop facilement le meilleur sur Ferreira (0-1, 21e). Les Stéphanois réagissaient dans la foulée. Miladinovic obtenait un bon coup-franc que Tardieu envoyait dans la lucarne mancelle (1-1, 28e). Reprenant le contrôle, les Verts voulaient plus mais étaient incapables de se créer des situations dangereuses.
La seule notable, au retour des vestiaires, fut cette frappe de Miladinovic qui échouait sur le poteau (48e). La chance verte était passée. Sur un contre manceau, Ferreira taclait Rabillard et offrait le deuxième but à Gueye sur pénalty (1-2, 55e). Les promus enfoncaient le clou quelques minutes plus tard. Si Larsonneur et son poteau avaient retardé l'échéance, aucun des deux ne put quelque chose face à Calodat dont le centre trouvait Harhouz qui n'avait plus qu'à pousser le ballon dans un but vide, remake du 3e but guingamps (1-3, 68e).
Pour pousser la similitude, les Verts réduisirent le score sur pénalty par Tardieu, obtenu par un Stassin encore discret et brouillon (2-3, 80e). Mais malgré 15 min à jouer, les Verts ne parvinrent pas à égaliser. Au classement, l'ASSE est 3e à égalité de points avec le 4e audonien, à 3 longueurs du leader troyen et 1 du Pau FC.
Le résumé vidéo de la rencontre est à voir ici.
U17 : les Verts se donnent de l'air
18/10 17:51

En début d'après-midi, les U17 stéphanois ont décroché lors de la 9e journée leur 3e succès de la saison aux dépens de l'avant-dernier grenoblois (3-0).
Dominateurs mais un peu trop mous en première période, les Verts auraient pu ouvrir le score dès la demi-heure de jeu si Melvin Bijot n'avait pas raté un penalty obtenu par Noham Akil. L'avant-centre stéphanois a également manqué une tête lors d'un premier acte marqué également par une frappe trop croisée de Fousseny Kaloga.
Plus incisifs en seconde période, les Verts ont logiquement ouvert le score à la 53e sur un centre de Melvin Bijot repris par le numéro 10 Mathéis Piskor (photo). Ce dernier a délivré une passe décisive 10 minutes plus tard pour Ilyes Mansouri. Les Isérois ont eu l'opportunité de réduire le score à la 85e mais Lorik Vial a arrêté leur penalty. Suite à un corner, Dawoud Assoumani a corsé l'addition à l'entame du temps additionnel.
La compo : Vial - Lengi, Assoumani, Jolivet, Marliac - Mendy (Mnemoi, 46'), Mansouri, Piskor - Akil (Gobe, 75'), Bijot, Kaloga (Dani, 65').
La réaction de David Le Moal : "En première mi-temps , je trouve qu'on a manqué d'intensité dans tout : dans les prises de vitesse avec ballon, dans les passes, dans les courses, dans la gestuelle, on a manqué de plein de choses. Les 45 premières minutes, on n'a pas su changer de rythme pour surprendre l'adversaire dans les derniers mètres. Heureusement on a mis plus d'intensité en seconde période et du coup on a eu plein d'occasions et on en a converti trois. Les garçons peuvent encore faire mieux et devront mettre plus de détermination dans 15 jours à Marseille contre le co-leader Aubagne Air-Bel."
Dodote bientôt pro
18/10 16:00

Entré en jeu lors des matches de préparation estivale contre Carouge, Troyes et le Servette, le Axel Dodote n'a plus été convoqué depuis par Eirik Horneland, qui ne l'a pas retenu dans le groupe qui affrontera ce soir Le Mans malgré l'absence de Chico Lamba. Mais le défenseur central arrivé au club il y a 3 ans en provenance de Torcy va signer un premier contrat pro de 3 ans selon Le Progrès. Le natif de Brou-sur-Chantereine (Seine-et-Marne) a joué cette saison 5 matches avec la réserve (4 en N1 et 1 en Challenge Espoirs) et 4 rencontres avec l'équipe de France U19.
Comolli prend du galon
18/10 13:39

Selon la Pravda, Damien Comolli, l'ancien Directeur sportif de l'ASSE, va devenir le nouveau patron de la Juventus de Turin qui a officialisé ce jeudi sa future nomination au poste d'administrateur délégué. Extraits :
"De Toulouse à Turin, Comolli ne cesse de voir son influence s'agrandir. Selon La Gazzetta dello sport, Damien Comolli, actuel directeur général du club, va prendre les commandes opérationnelles de la Juventus en devenant administrateur délégué. Un poste stratégique et important confié par John Elkann, PDG d'Exor, la holding d'investissement de la famille Agnelli, pour conduire la nouvelle phase de développement du club. Ce choix marque la volonté d'Exor, principal actionnaire, de s'appuyer sur le profil international et l'expérience du dirigeant français, passé notamment par Arsenal, Tottenham, Liverpool ou encore Fenerbahçe par le passé et déjà impliqué dans le renouveau sportif et structurel de la Vieille Dame depuis cet été. En Italie, l'administrateur délégué, nommé par le conseil d'administration, est le principal responsable exécutif du club."
Damien Comolli a fait deux passages chez les Verts.
Le premier de juin 2004 à juin 2005. Il avait reçu un appel 4 jours avant le Conseil d'Administration au cours duquel les contrats de Villanova et d'Antonetti ne furent pas renouvelés (juin 2004). Finalement Bernard Caiazzo allait l'enrôler et le décider à quitter Arsenal pour le challenge représenté par l'ASSE. Il ne restera à l'ASSE qu'une année, quittant l'ASSE en juin 2005 (Il retrouvera dès le mois de septembre 2005 l'Angleterre en devenant le Directeur sportif de Tottenham). Pourquoi avait-t-il quitté l'ASSE ? Sûrement parce qu'en juin 2005, Elie Baup avait décidé de donner la responsabilité du recrutement à Omar Da Fonseca, Comolli redevenant simple recruteur itinérant. Malgré ce départ un peu inattendu, il était parti en bons termes avec tout le monde et gardait d'excellents souvenirs de ce court passage chez les Verts.
En effet, il reviendra à l'ASSE le 10 novembre 2008, suite à la 5ème défaite consécutive de l'ASSE, entraînée par Laurent Roussey, les Présidents Caiazzo et Romeyer font appel à lui pour remettre de l'ordre dans la maison verte, au poste de Directeur Sportif. Il remplace donc Omar Da Fonseca, très controversé.
Durant l'été 2009, il se voit confirmé à la direction sportive du club, les actionnaires, Bernard Caiazzo et Roland Romeyer ayant décidé de prendre un peu de recul. Il gèrera donc tout le côté sportif avec l'entraîneur Alain Perrin.
Le 2 novembre 2010, prétextant une mauvaise ambiance au sein de l'ASSE, il démissionne ......... pour s'engager le lendemain avec Liverpool où il sera chargé de la stratégie des Reds.
La carrière de Damien Comolli :
Joueur : Damien Comolli, né en 1972, a commencé à jouer au foot à Béziers avant de partir à Monaco chez les jeunes. Il a joué arrière latéral dans les équipes de jeunes. Une blessure l'a obligé à stopper net sa carrière.
Entraîneur : 1992-1997 : entraîneur des U16 à Monaco puis des U18 de Nagoya Grampus avec Arsène Wenger.
Scout : de 1997 à 2004 pour Arsenal
Directeur sportif : ASSE (juin 2004-juin 2005), Tottenham (septembre 2005 - octobre 2008), ASSE (novembre 2008- octobre 2010)
Directeur du Football : Liverpool (octobre 2010 - mai 2012)
Consultant indépendant : janvier 2013 - juillet 2018
Directeur sportif : Fenerbahce (juillet 2018 - janvier 2020)
Président : Toulouse FC (mai 2020 - mai 2025)
Directeur général puis administrateur délégué : Juventus Turin (juin 2025-.....)
Kenny vise la Coupe du Monde
18/10 10:33

Avant de marquer hier son 5e but de la saison de N1 à l'occasion de la 5e victoire consécutive du leader rouennais, l'ancien capitaine victorieux de la Coupe Gambardella Kenny Rocha Santos (25 ans) s'est confié à So Foot. Extraits.
"Je suis né au Cap-Vert, sur l’île de Sao Vicente, on jouait tout le temps au football avec les copains. Avant de partir en France, j’ai même joué pour un club là-bas, le Batuque FC. Mais à cette époque, j’étais vraiment jeune, je ne savais même pas si j’allais devenir joueur professionnel. Là-bas, les gens sont très agréables, accueillants, joyeux. Ils n’ont pas beaucoup de moyens, mais sont sympas. C’est un point commun du pays. Dès que je suis en vacances, j’y vais. J’y serai à Noël par exemple.
Le Cap-Vert, c’est un petit Brésil ! On se ressemble beaucoup avec les Brésiliens, on a à peu près la même culture. Ça vaut aussi pour le Portugal.nBubista, notre sélectionneur, est un entraîneur local, qui connaît super bien le Cap-Vert. Il est là depuis longtemps. Quand tu vas en sélection pour la première fois, tu te fais directement intégrer, même par les vieux ! Accueillir, c’est ce qui fait la force de ce groupe. C’est ça qui nous fait avoir de telles performances.
Quand j’étais à Saint-Étienne, j’ai été convoqué en équipe de France jeunes, je crois que c’était pour l’Euro 2017, avec Lionel Rouxel. Mais une fois que j’ai reçu le coup de fil du Cap-Vert, je n’ai pas hésité une seule seconde ! Je suis né là-bas, mes parents sont de là-bas, j’ai passé mon enfance là-bas. Je me souviens quand j’y habitais, tous les jours je disais à mon grand-père que j’allais jouer pour la sélection du Cap-Vert. Je lui avais fait la promesse.
Maintenant, c’est à moi de tout faire pour aller à cette Coupe du monde. Je n'ai plus été sélectionné depuis le fameux quart de finale perdu à la CAN ivoirienne contre l’Afrique du Sud Il y a beaucoup de concurrence, et une hiérarchie à mon poste. Le championnat dans lequel on évolue joue beaucoup aussi, tous les joueurs de la sélection jouent au moins en première ou en deuxième division dans leurs clubs. Moi, je respecte ça, j’ai confiance en tout le monde qui évolue pour l’équipe nationale. Mais je veux y retourner."
Les Vertes s'offrent un petit Havre de paix
18/10 10:14

Alors qu'elles avaient toujours connu la défaite en 4 matches de D1 face aux Havraises, les amazones ont décroché leur premier point de la saison en arrachant le nul 0-0 sur la pelouse du stade Océane.
Lanterne rouge au coup d'envoi, Sébastien Joseph n'a pas bouleversé son effectif en intégrant dans son 11 titulaire seulement Nadjma Ali Nadjim, dont la longue suspension avait été réduite en appel en lieu et place de Welma Fon, restée dans le Forez.
Après avoir bien résisté en première période malgré une barre transversale havraise, les Vertes sont à nouveau retombées dans leur travers de concentration et de dicipline avec l'expulsion de Marion Romanelli en tout début de deuxième période pour un deuxième carton jaune. Déjà le 3e carton rouge de la saison !
La mission semblait alors impossible au vu des dernières prestations proposées mais contre toute attente, les Stéphanoises tinrent bon grâce au retour sur les terrains d'Alexandria Lamontagne et aux sauvetages consécutifs de Déborah Bien-Aimé et Alice Pinguet.
Sébastien Joseph: "C'est notre premier match sans prendre de but. Je dirais qu’il y a des nuls qui ont la saveur de victoires au vu de certains scénarios, celui-ci en fait partie. Je pense que la pause sans match jusqu’au 1er novembre fera du bien, pour les organismes notamment (...) Cela va faire du bien à la tête d'avoir une période sans match en ayant pris notre premier point, tout en travaillant pendant cette période pour aller chercher trois points dès le match suivant."
Toujours dernières, les Vertes sont désormais à égalité avec le RC Lens qui compte un match de moins.
Stephen Stéphanois, ça faisait sens !
18/10 09:05

Formé à l'ASSE, l'ex-capitaine manceau Stephen Vincent ne s'est pas contenté de nous livrer hier ses impressions avant le match qui opposera ses deux anciens clubs ce soir dans le Chaudron. Ayant réussi sa reconversion en tant que conseiller en gestion de patrimoine, le sympathique ancien attaquant stéphanois revient aujourd'hui sur ses vertes années dans la dernière édition du Maine Libre.
"Je devais intégrer l’INF Clairefontaine, mais comme mon frère a signé à Saint-Étienne, je l’ai suivi. On parlait pas mal des Stéphanois à l’époque, et je m’appelais Stephen… ça faisait sens (sourire). Dès les U13, pour mon premier derby contre l’OL, j’ai senti que c’était quelque chose. À l’approche de cette rencontre, quelle que soit la division ou la catégorie, on en parle toute la semaine qui précède. C’est le match de l’année, celui à ne pas perdre. Au centre de formation, tout le monde l’évoque.
Saint-Étienne, c’est une ville qui respire le football. Les gens nous reconnaissent dans la rue. Et puis ils viennent de partout en France ; l’épopée de 1976 est restée ancrée. Ce sont des gens modestes, vrais. Je les ai adorés. On n’appelle pas ce stade « le Chaudron » pour rien. En tant que joueurs du centre de formation, on assistait aux matches des pros. Je connaissais tous les chants des supporters. Il m’est arrivé de m’éclipser pour aller dans le kop, où les supporters faisaient des pogos.
En U18, j’ai signé un contrat pro de 5 années. Frédéric Antonetti était l’entraîneur, il voulait éviter que je parte. Deux semaines après, il y a eu un changement de coach, ce qui ne m’a pas donné l’opportunité de jouer avec les pros. J’ai disputé un match amical contre le Celta Vigo à Geoffroy-Guichard, pour les 30 ans de la finale de Coupe d’Europe : c’est mon plus beau souvenir. Le stade était plein à craquer. Mon frère était venu. Je lui ai dit : « C’est pour ça que je fais du foot. »"
Chassagne, c'est fou !
18/10 08:45

Baptiste Chassagne a survolé la Diagonale des Fous pour sa première participation à cet ultra-trail réunionnais considéré comme l’un des plus redoutables au monde avec ses 175 km et 10 500 m de dénivelé positif. Celui qui fêtera dans quelques jours ses 32 ans s'est imposé hier en 23 heures 31 minutes et 54 secondes, avec près d'une heure d'avance sur le 2ème !
Deuxième de l'Ultra-Trail du Mont Blanc en 2024, le natif de Lyon habitant à Combloux (Haute-Savoie) rappelle qu'il est fou des Verts dans la dernière édition du quotidien Ouest-France. "L’esprit des Verts, c’est la passion, la fidélité, la dévotion. C’est exactement ce que je retrouve dans le trail."
Tardieu veut faire changer d'avis KSV
18/10 07:49

Alors qu'il est entré dans sa dernière année de contrat et que KSV ne compte pas le prolonger, Florian Tardieu est avec Gautier Larsonneur et Mickaël Nadé le seul Vert à avoir joué dans leur intégralité tous les matches cette saison. Le milieu de terrain de 33 ans n'a pas perdu espoir de poursuivre son aventure en vert, comme il l'explique dans la Pravda du jour.
"Il y a un, j'étais au fond du trou. J'ai joué un peu au début de la saison dernière et puis terminé. Je n'étais même pas toujours dans le groupe retenu. J'ai pensé à partir au mercato d'hiver. J'ai été transparent avec les dirigeants. Et ils m'ont convaincu de rester. Il y avait aussi ce projet Kilmer dans la balance. Je sais que je vais toucher beaucoup de ballons. Mon poste de prédilection, c'est celui de sentinelle. Au début, j'ai été surpris que le coach Eirik Horneland me positionne plus haut, mais j'apprécie d'avoir la possibilité d'être plus décisif. Même si je me prépare à vivre ma dernière saison à Saint-Étienne, cela ne changera rien à ma motivation ni à mon engagement. Je vais me battre et même tout faire pour les faire changer d'avis."
Malgré le gros écart de niveau entre la L2 et la L1 que les Verts ont de très grandes chances de retrouver dès la saison prochaine, le natif d'Istres pourra sans doute compter sur son entraîneur, qui ne tarit pas d'éloges à son égard.
"C'est un joueur très intelligent, très fort tactiquement, qui a vraiment un impact sur nos matches. Il se sacrifie pour l'équipe, il a un vrai état d'esprit collectif. En plus, humainement, il crée une bonne atmosphère autour de lui. Sa présence tire ses coéquipiers vers le haut. On lui a fait un rôle sur mesure, assez libre. J'aime travailler avec des joueurs intelligents, et c'est le cas avec lui."
Seul Rodez n'a pas marqué à GG cette année
18/10 07:28

Opta a dévoilé cette semaine une stat peu flatteuse pour l'ASSE : dans leur Chaudron, les Verts n'ont réussi à garder leur cage inviolée qu'une seule fois en 2025 (il y a 2 mois contre Rodez). Seul Le Havre fait encore pire parmi les clubs de L1 et L2, le club de Mathieu Bodmer n'ayant pas réussi la moindre clean sheet cette année au stade Océane. Les Verts ont encaissé 32 buts dans leur antre en championnat cette année, au moins 3 de plus que toute autre équipe des 2 premières divisions.
Force est de constater que Sainté en L2 est beaucoup plus perméable qu'il y a 20 ans en Ligue 1. C'est l'occasion de rappeler que l'actuel entraineur des Bleuets Jérémie Janot détient toujours le record d’invincibilité à domicile dans l'élite avec 1 534 minutes entre le 9 novembre 2004 (ASSE-Nice, but de Agali, victoire 2-1) et le 21 septembre 2005 (ASSE-Nancy, but de Lécluse, défaite 0-2). Soit 17 matchs pleins et plus de 24 heures de jeu sans encaisser le moindre but !
Que l'ASSE soit à nouveau un grand club français, fort, respecté et fier !
17/10 22:45

Huss Fahmy s'est longuement confié à RMC. Extraits.
"Nous avons effectué beaucoup de changements au cours de l’été, sur et en dehors du terrain : dans le staff, l’effectif, les services marketing et commerciaux. C’est une nouvelle dynamique et le travail porte déjà ses fruits. Je ressens à tous les niveaux une vraie ambition, individuelle et collective, et c’est ce qui m’ enthousiasme le plus. Nous avons bien démarré, mais ce n’est qu’une base sur laquelle construire avec l’envie de progresser chaque jour. C’est là l’essentiel.
Sur le côté sportif, nous avions une vraie confiance dans certains joueurs arrivés plus tôt dans le projet, qui ont mis du temps à pleinement d’exprimer comme Lucas Stassin, Zuriko Davitashvili ou Augustine Boakye. Nous savions qu’avec un nouvel entraîneur, nommé en janvier 2025 et un style de jeu différent, ils pourraient performer. Il fallait leur donner du temps et cela paie : ils montrent désormais leur valeur.
Être relégué a été une grande déception, bien sûr, mais cela ne change rien à notre feuille de route, qui vise à faire de Saint-Etienne, une force durable du football français et nous l’espérons, européen, ce qui est la place naturelle du club selon nous. Nous sommes dans le football depuis longtemps. Nous avons tous occupé des postes en Premier League, en Serie A, à l’ECA, à l’UEFA… et dans d’autres clubs, que ce soit Arsenal ou l’AC Milan.
Nous sommes arrivés à Saint-Etienne après avoir longuement étudié le club et le championnat. Mais quand on entre dans une organisation, tout devient plus précis, plus concret, plus nuancé. Nous avons voulu comprendre ce qui fonctionnait bien ce qui devait être poursuivi, et ce qui devait évoluer. Il a donc fallu prendre le temps, construire des relations avec les autres présidents, la Ligue, l’écosystème local et national.
Nous avons toujours la volonté de ne pas simplement dupliquer ce que nous avons pu faire ailleurs. Chaque jour à Saint-Étienne, nous adaptons notre réflexion, nous affinons nos approches, nous ajustons notre feuille de route. Nous voulons mettre toute notre expérience, toutes nos ressources au service d’un seul objectif : faire de Saint-Étienne le meilleur club possible. Nous ne voulons pas que Saint-Étienne devienne Arsenal, ni Milan. Nous voulons que Saint-Étienne soit à nouveau un grand club français, fort, respecté et fier.
Beaucoup vous voient comme le PSG de la Ligue 2, aux finances illimitées? Non, je ne suis pas d’accord. La Ligue 2 est un championnat relevé et dense, avec de bons clubs, de bons joueurs, de bons staffs. Nous devons aborder ce défi avec humilité tout en gardant notre ambition et notre vision à long terme. Mais Paris Saint-Germain ou d’autres ont bâti leur réputation en gagnant. Nous n’avons encore rien gagné.
Il faut donc poursuivre le processus de construction, ne pas brûler les étapes. J’aimerais qu’un jour, nous méritions cette comparaison, mais il faut d’abord prouver. Nous devons d’abord démontrer que nous avons les bonnes personnes et les bonnes infrastructures pour réussir. Pour être honnêre, rester cette saison en Ligue 2 serait un échec. Saint-Étienne est un club historique, reconnu partout: en France, en Angleterre, en Espagne, au Japon, au Canada.
Les maillots verts sont partout. Le stade et son ambiance sont uniques, vraiment uniques. Avec un tel héritage, une telle ferveur, nous devons être en Ligue 1. C’est une responsabilité envers nous-mêmes, mais aussi et surtout envers les supporters et la ville. Mais en même temps, nous devons rester humbles : aujourd’hui, nous sommes en Ligue 2, avec des adversaires de qualité. Nous devons respecter cela, tout en ayant pour objectif clair de remonter.
La période estivale nous a permis de renforcer le staff et l’effectif avec des profils exceptionnels. Notre réussite dépendra de ce collectif. Nous plaçons notre confiance dans des joueurs ambitieux, car nous le sommes aussi. Lucas Stassin, Zuriko Davitashvili, Agustin Boakye, Ben Old, Chico Lamba, Mahmoud Jaber, Ebenezer Anan… Tous ont en commun cette ambition individuelle et collective. Et peut-être que le moment viendra où, ils auront d’autres projets excitants, ou qu’il sera le moment de se séparer.
Mais aujourd’hui, nous construisons ensemble et voulons faire avancer le club, en gardant une certaine stabilité, essentielle pour revenir en Ligue 1. Nous sommes très fiers des joueurs et du staff, qui travaillent dur chaque jour. On a un actionnaire solide qui nous donne les moyens de construire, même si les moyens seuls ne suffisent pas. Il a pu arriver dans certains clubs que de l’argent soit mal dépensé (rires). Nous avons aujourd’hui la chance de pouvoir développer le club dans toutes ses dimensions.
Si l'’objectif à 5 ans, est d’être dans le top 5 de la Ligue 1? Je ne veux pas donner d’horizon trop précis : 5 ans, 6 ans, peu importe. L’objectif, c’est la montée, puis la stabilisation et la progression. Nous voulons redevenir un club qui compte, de plus en plus fort dans le football français. C’est notre ambition, quelle que soit la durée nécessaire.
On a recruté beaucoup d’experts dans les services supports parce que tout le monde compte, du coach à la personne qui lave les maillots. Il faut une culture du progrès, de la curiosité, de l’ambition. Chaque 1 % compte. Pour réussir, chacun doit être aligné, à tous les niveaux. Si les joueurs donnent tout, le staff aussi doit pousser, être ambitieux et tout donner, et inversement. C’est cet équilibre et cette emulation au sein du club qui créent la performance.
L’une de nos premières interrogations, fut ce regard très souvent tourné vers le passé : il y a beaucoup de photos d’hier, des aventures européennes, des victoires. Il faut s’en inspirer c’est certain. Mais nous n’avons pas vu le futur dans tout cela. Et nous nous sommes dits : “nous devons trouver l’équilibre entre ce passé et ce futur”. Cela nous a marqués aussi, quand nous avons découvert des installations de qualité, mais trop cloisonnées. Nous avons ouvert les espaces, fait tomber des murs et mis du verre partout pour que tout le monde se voie et se parle.
Nous voulons créer de la connexion. Les entraîneurs, analystes, kinés, étaient dans trois salles différentes. Désormais, tout le monde partage un grand espace commun. Cela change l’énergie. La deuxième étape portera sur les infrastructures physiques : salle de musculation, espaces de rééducation, lien entre la formation et les pros. Nous voulons un lieu qui inspire l’avenir, pas seulement la nostalgie du passé. L’histoire du club est magnifique, mais notre devoir, c’est d’écrire le prochain chapitre."
Cheikh Fall a trouvé la faille
17/10 22:02

L'ASSE a provisoirement rétrogradé à la 3e place ce soir suite à la victoire du leader troyen et au nul des Palois à Grenoble.
Victorieuse 1-0 alors qu'elle a pourtant été en infériorité numérique dès la 23e minute, l'ESTAC a enfoncé un peu plus la lanterne rouge bastiaise malgré l'entrée en jeu d'Ayman Aiki juste après la mi-temps. Les Corses ont marqué à la 54e minute mais l'arbitre n'a pas vu que le ballon avait franchi la ligne...
Le Pau FC de Noah Raveyre, Anthony Briançon (titulaires), Setigui Karamoko (entré en jeu à la 67e minute) et Cheikh Fall (entré en jeu à la 76e) a arraché le nul à Genoble. C'est l'ancien capitaine sénégalais de la réserve stéphanoise qui a égalisé à la 91e minute d'une frappe du gauche.
Cheikh Fall a égalisé pour les Palois à Grenoble pic.twitter.com/8LfHogiNbv
— Poteaux Carrés (@poteauxcarres) October 17, 2025
Alors qu'ils menaient respectivement à Rodez et Boulogne, Reims et Guingamp ont concédé le nul et seront demain soir à 8 points des Verts si les protégés d'Eirik Horneland font le job contre les promus manceaux.
Malgré l'absence de Vincent Pajot, le FC Annecy, qui recevra dans 8 jours l'ASSE, s'est imposé 1-0 sur le terrain du Clermont Foot de Kader Bamba, remplacé à la 62e minute par Ilhan Fakili.
Kenny a trompé Germain
17/10 21:36

Tandis qu'Enzo Mayilla, encore titulalisé à la pointe d'Aubagne Air Bel, s'est incliné 2-0 à Bonal contre les Lionceaux de Vincent Hognon, le FC Rouen a consolidé son statut de leader de National 1 en s'imposant 3-0 contre le Paris Atletico 13.
Meilleur buteur et meilleur passeur des Diables Rouges, Kenny Rocha Santos (vainqueur de la Coupe Gambardella 2019) a profité d'un cadeau de Germain Sanou (finaliste de la Coupe Gambardella 2011) pour inscrire le but du break.
Le @fcr1899 en patron à Diochon ! 2-0, but de Kenny Rocha
— Championnat National (@NationalFFF) October 17, 2025
Suivez le match en direct sur notre chaîne YouTube "Championnat National Officiel" !#NationalFFF pic.twitter.com/ucMklgtCXB
Malgré les efforts de son capitaine Yann M'Vila, le Stade Malherbe de Caen s'est incliné 2-1 dans le Loiret contre l'US Orélans de Jimmy Giraudon, Esteban Mouton et Jordan Morel (titulaires).
Malgré l'absence d'Antoine Gauthier, Le Puy a battu 3-0 à Massot les Caladois de Nathan Dekoké (capitaine). Avec Jules Morel (capitaine), Bourg-en-Bresse s'est imposé 2-1 à Saint-Brieuc.
Le VAFC de Samy Baghdadi (remplacé dès la 56e minute) a été renversé à domicile (1-2) par Concarneau.
Avec Maçon pour battre les Manceaux
17/10 19:47

Privé de Maxime Bernauer (suspendu) et Chico Lamba (blessé), Eirik Horneland n'a pas trouvé bon d'appeler un défenseur central de métier (Batubinsika, Pedro, Dodote ...) mais c'est Yvann Maçon qui fait son retour dans le groupe. Le Guadeloupéen n'a plus été vu sur un terrain depuis la défaite 3-1 face à Monaco en mai dernier, où il était entré en jeu à la 91e minute. Strahinja Stojkovic fait également son apparition à la place de Dennis Appiah. Pas de surprise sur le milieu et l'attaque.
Le groupe :
Larsonneur, Maubleu
Maçon, Stojkovic, Ferreira, Nadé, Annan
Jaber, Tardieu, Miladinovic, El Jamali, Moueffek
Cardona, Davitashvili, Stassin, Old, Boakye, Duffus
Pour Videira, Sainté vaut Troyes
17/10 17:20
En conférence de presse aujourd'hui, le coach du Mans Patrick Videira a expliqué avoir mis des enceintes lors d'un entrainement pour montrer à ses joueurs l'ambiance de GG avant de défier les Verts qu'il met dans le même panier que Troyes :
"On sait très bien, il va y avoir énormément de bruit, énormément de chants de supporters. On a essayé de les mettre dans ces conditions. C’est quelque chose de nouveau, je leur ai demandé d’avoir beaucoup plus de responsabilités à l’intérieur du groupe car ils ne vont pas nous attendre, mais je n’ai pas de soucis par rapport à ça. Je leur ai dit que ce public devait nous donner de la force. Il y aura 35 000 spectateurs contre nous, ça doit nous donner de la force. Le Chaudron est fantastique, les supporters sont extraordinaires, on le sait très bien, mais on n’y va pas pour faire des selfies. C’est une équipe taillée pour la Ligue 1, offensivement ils sont très forts. C’est du même calibre que Troyes. On se doit de jouer tous les matchs pour les gagner, c’est notre ambition. On a un très bon match à jouer, surtout montrer une belle image. Les matchs de Clermont et Troyes doivent nous donner énormément confiance, on est capable de se créer beaucoup d’occasions, mais la marge est minime, on doit tous être à 200%."
Les Verts ne croiseront pas Vercruysse
17/10 16:12
Meneur de jeu du Mans, recruté cet été à Boulogne, Jean Vercruysse a été victime d'une rupture des ligaments croisés à l'entraînement cette semaine.
Bien entendu il sera donc absent demain à Geoffroy Guichard. Un coup dur pour les Manceaux, Vercruysse (9 matchs joués) étant un pilier du groupe de Patrick Videira qui a reconnu en conférence de presse que cette blessure était "un gros coup derrière la tête."
Enzo Bardeli : one more time ?
17/10 14:36

Selon Ouest France, L'ASSE continue à surveiller attentivement le dossier du milieu de terrain de l’USL Dunkerque Enzo Bardeli.
Pour l’instant deuxième du classement de la Ligue 2 après neuf journées de championnat, l’AS Saint Etienne (20 points, 6 victoires, 2 nuls, 1 défaite) semble bien partie pour retrouver la Ligue 1 l’année prochaine. Pour atteindre cet objectif prioritaire, l'écurie du Forez pourrait se montrer active lors du mercato hivernal à venir.
En effet, L'ASSE serait encore sur la piste d'Enzo Bardeli (24 ans). Le milieu de terrain de l'USL Dunkerque (Ligue 2) réalise un excellent début de saison avec la formation nordiste (4 buts et 3 passes décisives en 8 matches joués) et resterait dans les petits papiers ligériens.
Pour rappel, le natif de Coudekerque-Branche est dans la dernière année de son contrat (30 juin 2026) avec l'USLD, qui pourrait donc être tentée de le transférer cet hiver pour récupérer une indemnité.
Un papa comblé !
17/10 14:27

Ancien attaquant et entraineur bien connu dans le Rhône, Hervé Dagbo est le père de 3 enfants dont 2 garçons qui ont choisi de pratiquer le foot comme sport prioritaire ; une particularité est toutefois intéressante car, en effet, l’un joue pour l’ASSE et l’autre pour … la banlieue (L’OL) !
Son ainé, Lucas (photo), joue en défense avec les U17 nationaux de l’ASSE tandis que son cadet, Mathis, né en 2013, joue lui avec les U13 de l’OL au poste de latéral droit.
Hervé, le papa, bien que supporter lyonnais, ne cache pas sa satisfaction de voir son fils ainé porter la tunique verte ! il a effectivement rejoint la maison verte, après son apprentissage dans la banlieue de la banlieue, sur une invitation à un essai à l’ASSE puis y a signé son engagement en 2024.
Depuis, dit le papa dans Le Progrès, « on me taquine un peu en m’appelant « le Lyonnais » mais je suis un peu devenu Stéphanois aussi ! Je suis surtout reconnaissant à ce club qui croit en mon fils ; même s’il n’y a qu’un gamin sur 100 qui devient pro et qu’il ne faut pas tirer de plans sur la comète, j’ai une vraie estime pour les formateurs de l’ASSE ».
Une bien belle déclaration pour un papa bienveillant qui garde les pieds sur terre !
Igor, il l'adore !
17/10 10:43

En conférence de presse hier, Eirik Horneland a dit tout le bien qu'il pensait d'Igor Miladinovic :
« Je l’ai vu s’entraîner tous les jours, on sait que c’est un top joueur, intelligent, bon avec le ballon, mais aussi sur ses derniers matchs, sans le ballon. C’est une surprise de le voir jouer si bien avec si peu de temps de jeu. Je pense que tout le monde voit qu’il est très souvent impliqué dans nos attaques, en particulier dans nos bonnes combinaisons pour trouver ensuite les attaquants, comme sur les 2 buts à Montpellier. Il est intelligent, il peut jouer en passes courtes, il peut porter le ballon avant de mettre ses équipiers en bonne position . Mais ce qui m’a surpris le plus est qu’il travaille très dur pour l’équipe également. C’est bon de voir qu’un joueur peut traverser une saison difficile et commencer à montrer son potentiel. S’il continue il sera un joueur important pour Saint-Etienne. J’aime beaucoup travailler avec ce joueur, car il est très intelligent avec le ballon, et c’est le type de joueurs qui fait mieux jouer ses équipiers. »
Acheté 3M€ à l'été 2024, Miladinovic n'avait joué que 26 minutes en L1 l'an dernier en 3 apparitions. Cette saison, il a participé à 6 matchs, dont 3 fois en tant que titulaire (contre Reims, Amiens et Montpellier, soit 3 victoires).
N'Guessan convoité par Chelsea, l'Inter, l'Udinese et Watford
17/10 07:37

"Sans avoir réalisé des performances hors du commun lors de la Coupe du Monde U20, Djylian N'Guessan (17 ans), en manque de rythme et avec un temps de jeu imposé par l'AS Saint-Etienne, fait partie des joueurs les plus courtisés" souligne aujourd'hui la Pravda. "Chelsea, l'Inter Milan, l'Udinese et Watford ont accélé leurs discussions pendant la compétition" ajoute le quotidien sportif.
