
Le Chambon à l'horizon ! (2)
03/07 20:51

Pour se faire pardonner d'avoir annulé le stage de préparation qui était programmé au Chambon-sur-Lignon du 30 juin au 5 juillet, Roro a demandé au conseil de surveillance présidé par Nanard de délocaliser ce matin sa réunion de travail à Bel Horizon. La Commère 43 nous apprend que cette délégation de l'ASSE a ensuite gueuletonné dans cet établissement dont le patron est l'ancien Vert Guillaume Chazot.
Le site altiligérien rappelle que "les supporters pourront assister à une séance d'entraînement de l'ASSE le mercredi 18 juillet au matin au Stade du Lignon, avec séance de dédicaces et de photos, avant que les joueurs ne partagent un après-midi convivial et détendu au Bel'Ô."
Volcan bouillant le vendredi 13
03/07 20:22

La mise en vente des places pour le match amical qui opposera l'ASSE à l'OM le vendredi 13 juillet à 19h00 au stade Gabriel-Montpied aura lieu exclusivement sur la billetterie en ligne du Clermont Foot 63, à partir du mercredi 4 juillet 10h, dans la limite de 3 places maximum par acheteur. Le club auvergnat incite les supporters des Verts à aller en tribunes Volcan (11 euros) ou Visiteurs (10 euros).
Retour aux sources par Priou
03/07 19:52

18 mois après avoir été prié de quitter Mulhouse, Franck Priou (54 ans) vient de retrouver un banc. L'ancien attaquant des Verts (3 buts en 12 matches lors de la saison 1994-1995) a été nommé entraîneur FC Istres, club de National 3 où le natif de Marignane a démarré et fini sa carrière de joueur.
Cohade à la mine ?
03/07 15:45
Selon La Voix du Nord daté d'hier Renaud Cohade aurait "des touches très sérieuses" avec le RC Lens.
A 33 ans, notre ex-pilier du milieu de l'équipe de Galette sort d'une saison pleine (38 titularisations) avec Metz. Il retrouverait à Lens Philippe Montanie qui l'avait déja coaché à Valenciennes entre 2009 et 2011.
Khazri, c'est pas fini (6)
03/07 15:11
En conférence de presse ce midi, les membres du staff du Stade Rennais se sont exprimés sur le cas Khazri. Ouest France nous en dit un peu plus :
Sabri Lamouchi : "Je sais que le président et le club n’ont pas arrêté d’essayer de convaincre Wahbi. Que je sache Wahbi n’a pas encore signé quelque part et il ne nous a pas dit non. On fait ce qu’il faut pour qu’il soit avec nous parce qu’on sait ce qu’il apporte au vestiaire, ce qu’il a apporté. Le président a fait le nécessaire dans ce dossier, j’ai envie de dire malheureusement nous ne sommes pas tout seuls. Wahbi sait ce qu’il a ici au Stade Rennais. Nous, nous savons ce que nous avons en conservant Wahbi et il est clair que pour l’entraîneur que je suis conserver Wahbi c’est un gain de temps énorme, ça nous permet de repartir sur des bases que lui et moi connaissons."
Olivier Létang : "On est quasiment là où j’avais dit il y a quelques semaines, en disant que la balle était entre les mains de Wahbi, avec lequel on a, et Sabri et moi, conservé le contact de façon très régulière. On attend une réponse. Je pense que maintenant tous les clubs reprennent l’entraînement, ça devrait se décanter a priori cette semaine, dans un sens ou dans l’autre. On se doit nous aussi d’être professionnels, donc on discute avec un certain nombre d’autres joueurs, qui ont envie de nous rejoindre parce qu’on ne peut pas être dépendants uniquement de la décision d’une personne et on doit protéger le club, l’institution. Donc il y a des discussions ouvertes avec d’autres joueurs sur ce poste. Il n’y a pas de date limite concernant Wahbi, mais il y a parfois un jeu de dominos et des dossiers qui devraient eux aussi avancer cette semaine, donc globalement ça devrait bouger cette semaine."
Feurs verdit
03/07 13:52
Mickaêl Pontal entouré des 2 frères Bouillon
L'US Feurs, coachée par Mickaël Pontal, vient d'accéder à la R1. le recrutement bat son plein et le site officiel annonce les arrivées d'anciens Verts : Adrien Bouillon, ex joueur de Hauts Lyonnais, passé également par l'ASSE, l' Olympique de Saint-Etienne, Saint-Priest, et l'ASF Andrézieux, rejoint le club forézien, accompagné par son frère cadet Axel, passé par le Centre de Formation de l'ASSE (2009-2012).
Récemment, Clément Jouve, qui était resté à l'ASSE de 2002 à 2010, s'était engagé avec le club de la plaine. Après l'ASSE, il avait joué à l'Entente Fréjus Saint-Raphaël, Feurs déjà, Firminy et Haut-Lyonnais.
De même, Youssef Idrissi avait rejoint il y a quelques jours le groupe de Mickael Pontal en provenance de Hauts Lyonnais. Cet attaquant de 30 ans, formé à l’AS Saint-Etienne, avait évolué à Feurs, l’ASF Andrezieux et Aurillac
On est triste Bamba
03/07 07:14
Sur son compte instagram, et à l'occasion de son départ pour Lille, Jonathan Bamba a tenu a remercier tous les acteurs qu'il a cotoyé tout au long de ses 7 années vertes :
"Mon aventure stéphanoise s’arrête aujourd’hui .. Depuis l’âge de 15ans j’ai porté les couleurs vertes hautement et fièrement. J’ai grandi et passé la plus part de mon éducation dans cette ville et je ne serais pas comment vous remerciez du fond du coeur. Certains m’ont vu évoluer chaques années, m’ont poussés à la réussite et ont fais que je devienne le joueur et l’homme que je suis aujourd’hui. Je tiens à les remercier sincèrement car sans eux je n’en serais pas la aujourd’hui. Je tiens à remercier tout les staff du centre du centre de formation que j’ai pu côtoyer jusqu’au groupe professionnel, mais également les employés qui travaillent dans l’ombre, les présidents et tout le peuple vert qui ma fais découvrir cette ferveur incroyable dans le chaudron !!! Je souhaite bon courage à mes coéquipiers et surtout beaucoup de succès pour les saisons a venir. "
Pas rancunier, Jonathan n'oublie personne, remerciant au passage les deux présidents avec lesquels il n'a pu se mettre d'accord pour une prolongation.
Les remerciements qui font face à la tristesse de voir partir une nouvelle pousse verte à peine éclose.
Le dénouement de ce (très) long épisode, nous laisse toutefois face à un dernier questionnement :
Sommes nous définitivement (Bamba) tristes ?
Khazri, c'est pas fini ! (5)
03/07 07:07

La dernière édition du Progrès évoque "l’avancée du dossier de l’attaquant tunisien Whabi Khazri, qui prend forme au fil des jours." En fieffé filou, Roro avait nié cette piste vendredi dernier.
M'Vila est là... pour l'instant !
03/07 07:01
Le Progrès du jour évoque l'avenir de Yann M'Vila, de retour hier sous le maillot vert. Extraits.
"Le milieu de terrain des Verts avait eu droit à une journée de vacances supplémentaire afin de fêter son 28e anniversaire. Puis s’en est vu accorder deux nouvelles dans la foulée. L’ancien Rennais est lié par une année de contrat avec l’ASSE mais un accord verbal, une parole donnée par les dirigeants, l’autorise à partir s’il trouve un club avant le 31 juillet. C’est la date butoir qui a été fixée d’un commun accord. Le compte à rebours a commencé."
Pogba chez Gradel ?
02/07 22:40

Actuellement à la Coupe du monde en Russie pour encourager son petit frère Paul, Florentin Pogba tente d'oublier sa calamiteuse dernière saison. Après 6 piètres prestations sous le maillot vert, l'international guinéen a joué 9 matches avec Genclerbirligi ponctués d'une sortie mouvementée et commentée et d'une relégation en D2 turque. Selon la dernière édition de La Dépêche du Midi, "le nom de l'ancien défenseur stéphanois a été soufflé aux oreilles d'Alain Casanova, sans que ce dernier n'en fasse une priorité."
Sagun le Sanglier a signé à Sainté
02/07 21:51

L'équipe réserve de Laurent Batlles a repris aujourd'hui l'entraînement avec une recrue : Dilhan Sagun (20 ans). Formé au FC Riorges avant de jouer quatre ans à Roanne (sa ville natale), cet attaquant de formation passé par le centre de formation de Sochaux compte 5 sélections en équipe de France U16. Reconverti latéral gauche, ce Franco-Turc a joué 20 matches en National 2 cette dernière saison avec les Sangliers des Ardennes aux côtés d'un certain Jerrold Nyemeck (24 ans). Pour rappel, ce finaliste de la Coupe Gambardella 2012 avait signé à la surprise générale un contrat pro de 3 ans à l'ASSE en avril 2014 mais il n'aura joué qu'un match officiel en équipe première stéphanoise, lors de la piteuse élimination par Cannes en Coupe de France...
En avant Nolan !
02/07 20:51

Au soir de sa première séance d'entraînement sous ses nouvelles couleurs guingampaises, Nolan Roux s'est confié au Télégramme. Extraits.
"Je marche souvent au feeling. J'ai toujours fait mes choix de club en fonction du premier coup de téléphone. J'ai eu le coach rapidement et, dans la minute suivante, je me suis dit "ça m'intéresse vraiment". J'ai eu beaucoup de sollicitations, oui, mais j'ai pris ma décision en 24 h et ensuite c'était fini. Je ne me voyais pas me lancer dans quelque chose de flou. C'est ma responsabilité et je l'ai prise. C'est pour ça que je n'ai pas tardé.
Ce qui m'a cinvaincu , Un coach qui m'appelle. J'ai eu d'autres propositions où c'était le bras droit du président. J'aime quand c'est clair, net. Je connais l'identité de ce club. Quand on joue à Brest, Saint-Etienne et Lille, on connaît l'identité d'En Avant. Dans n'importe quelle équipe on sait qu'En Avant est une équipe qui pousse, avec beaucoup d'engouement. On sent que c'est bien réglé. C'est un football que j'aime.
J'espère surpasser mes statistiques. Combien, je ne sais pas. Mais ce que je viens chercher ici, d'abord, c'est de l'enthousiasme, une force collective. Je ne sais pas si c'est le fait d'avoir 30 ans mais je ressens beaucoup plus de choses. Malgré la saison difficile vécue avec Metz, j'ai pris beaucoup de plaisir.
Je viens ici pour défendre les couleurs de Guingamp. Dans tous les clubs, j'ai toujours donné le maximum. J'ai pris beaucoup de plaisir à Brest, je viens ici pour en prendre aussi. Cette rivalité existe, c'est de bonne guerre. Mais ça fait partie du foot. A aucun moment la rivalité qui existe entre Brest et Guingamp n'a pu influencer mon choix. Je ne me suis pas posé la question."
Pour rappel, celui qui a claqué autant de pions (16) en une saison avec les Grenats que lors de ses deux précédentes années passées à Sainté retrouvera le Chaudron (privé de ses deux kops) dès la première journée du championnat, le samedi 11 août.
On a eu Mahiddine, on aura Fethiddine
02/07 19:59
Yanis Fethiddine, au centre
Le recrutement du Centre de Formation continue. On apprend en effet l'arrivée de Yanis Fethiddine, joueur de 2003, international U15 du Maroc. Passé par Paris SG, le FC Versailles ce jeune joueur, était depuis 2 ans en préformation au SM Caen avant donc de rejoindre l'ASSE où il devrait intégrer l'équipe U17 Régionaux coachée par Gilles Rodriguez. Le site officiel du club normand dit de lui que "c'est un joueur brillant et avec un grand sens du collectif", des qualités qu'il va donc mettre au service des Verts.
Ronaël Bull ?
02/07 17:00
L'autoproclamée bible du football nous apprend dans un article paru cet après-midi qu'en plus d'être pisté par l'AS Monaco, Ronaël Pierre-Gabriel serait sur les tablettes du RB Leipzig, défait en quarts de finale contre les sardines lors de la dernière édition de l'Europa Ligue.
Bamba, l'ultime camouflet
02/07 13:29
Jo Bamba vient de signer officiellement pour 5 saisons chez le Lille de Galette.
Ironie de l'histoire, notre ex-international Espoirs retrouve donc le coach qui l'avait renvoyé en équipe réserve en 2016. Après avoir refusé toute la saison les propositions de prolongation de son contrat à Sainté, on suppose donc que c'est pour la qualité du projet sportif du dernier 17ème de Ligue 1 que Jo a eu le coup de foudre...
M'Vila est là !
02/07 12:25
Photo à l'appui, le site officiel nous informe que Yann M'Vila était de retour ce matin à l'Etrat.
Cette semaine marquera également la retour de Mathieu Debuchy (mercredi) et d'Ole Selnaes et Robert Beric (vendredi).
Gasset prêt à le relancer ?
02/07 07:24

Le Progrès du jour évoque le cas de Loïs Diony, qui n'a pas claqué le moindre pion la saison dernière en 17 matches joués avec Sainté (12 en tant que tiitulaire) et 7 matches disputés lors de son prêt à Bristol (dont un seul en tant que titulaire).
"Trois options sont envisageables même si la première d’entre elles, une vente, paraît aujourd’hui incongrue si l’on considère son prix d’achat (8 millions d’euros). Sa cote a beaucoup baissé en l’espace d’une saison. Il faudrait le brader. Gasset veut essayer de le relancer durant cette préparation après avoir eu une discussion claire sur ses attentes avec l’intéressé. Soit il parvient à trouver sa place au sein de l’attaque stéphanoise et le chemin du but. Soit un nouveau prêt s’imposera mais on n’en est pas là."
Sur son compte twitter, Serge Freydier a pris la pose hier avec l'ancien Dijonnais, enfin débarrassé de son encombrant ananas. Surnommé "Poulpe Vert", le supporter stéphanois a légendé comme suit la photo. "J'ai vu Diony ce matin. Il m'a confirmé rester en vert. Cette période de doute ne doit pas être facile pour l'attaquant. "Vous voulez une photo, il n'y en a plus beaucoup qui en veulent une" Et si c'était sa saison ?"
Clément Durieu rétrograde
01/07 17:36
Ancien pensionnaire du Centre de Formation de l'ASSE, Clément Durieu, trop pris par ses activités professionnelles, quitte le FC Bourgoin Jallieu (National 3) pour s'engager avec le CS Faramans, un club de D4 de l'Isère.
Clément Durieu était arrivé à l'ASSE en 2012, en provenance de Grenoble F38, après avoir débuté à la Côte St André. Il était resté 3 saisons et demie à l'ASSE.
2012-2013 : U19 (coach : Abdel Bouhazama) : 12 matchs
2013-2014 : U19 (coach : Jean-Philippe Primard) : 17 matchs
2014-2015 : CFA (coachs : Thierry Oleksiak et Laurent Batlles) : 24 matchs, 1 but. Clément Durieu accepte de rester ches les Verts avec le statut amateur, tout comme Arsène Elogo.
2015-2016 : CFA2 (coachs : Bernard David et Julien Sablé) : 4 m. Le 25 janvier 2016, il quitte l'ASSE pour rejoindre Sarre l'Union (CFA).
2016-2017 et 2017-2018 : FC Bourgoin-Jallieu (CFA2).
Vermot, vert pro !
01/07 14:33

Comme annoncé il y a mois et même si le club n'a pas encore officialisé l'information, Théo Vermot (21 ans) a bien signé un premier contrat professionnel d'un an avec l'ASSE. Arrivé au club en 2015 en provenance de l'Etoile Fréjus Saint-Raphaël, le gardien de 21 ans fait d'ailleurs partie du groupe pro qui a repris l'entraînement depuis avant-hier.
Roro en Ardèche (2)
01/07 14:19

Roland Romeyer aime l'Ardèche. S'il s'y est fracturé la clavicule, l'omoplate et quatre cotes il y a quatre ans, le président du directoire y revient toujours avec plaisir. Un mois après son passage à Saint-Martin de Malamas, Roro a été reçu jeudi à la mairie de Saint-Didier-sous-Aubenas. Accompagné par son ami Alain Martin, maire du Pouzin et membre du conseil de surveillance de l'ASSE, il s'est vu offrir du vin ardéchois.
Comme le rapporte aujourd'hui Le Dauphiné Libéré, il a ensuite assisté à l'assemblée générale des associés supporters sud-ardéchois qui se tenait à Labégude. Roro leur a rappelé qu'il restait le boss car il tient les cordons de la bourse. "On veut former des jeunes et avoir un groupe de professionnels moins important mais davantage qualitatif. Jean-Louis Gasset choisit les joueurs pour le mercato mais je mets mon veto en cas de prix prohibitifs."
Juju fan d'Anto
01/07 09:21

Confirmé dans ses fonctions d'adjoint de Jean-Louis Gasset (il a animé hier un des trois ateliers de l'entraînement matinal des Verts), Julien Sablé ne tarit pas d'éloges sur son ancien entraîneur (nouveau coach des Grenats) Frédéric Antonetti dans la dernière édition du Républicain Lorrain. Extraits.
"Il est protecteur, c’est sûr. C’est quelqu’un qui marche à la franchise. Quand vous avez sa confiance, il vous protégera contre vents et marées. Je l'ai eu à Sainté et à Nice, je le trouve plus détendu aujourd’hui. Il a été consultant sur Canal Plus ces deux dernières années, il a vu l’envers du décor et les rouages de la com avec les médias. Je garde un excellent souvenir de Frédéric Antonetti. C’est quelqu’un qui a changé ma façon de voir le foot. Il a été très important dans ma carrière. J’ai un profond respect pour lui. C'est une grande recrue pour le FC Metz et je ne suis pas surpris de le voir "redescendre” en Ligue 2. C’est un bâtisseur.
Je pense qu’il était peut-être un peu lassé de faire le pompier. Il avait envie de repartir sur un projet comme ça. Il fait progresser les joueurs. Il vous dit les choses car il est passionné et enthousiaste. Il ne va pas contourner les problèmes, il met les pieds dedans. Ça fait parfois des étincelles, mais au moins vous savez où vous allez avec lui. C’est quelqu’un d’entier, avec une pure franchise. C’est un très bon recruteur, il a une grosse expertise et une vraie capacité d’analyse. Il façonne son groupe avec son envie de jouer. Il aime gagner, bien sûr, parce que c’est la priorité, mais il essaye d’avoir une équipe plaisante et pétillante."
Les poteaux étaient carrés
01/07 08:56
Financier quinquagénaire formé à Sciences Po Paris et installé à Londres en tant que "Chief Operating Officer and Chief Client Officer" de la société MSCI, Laurent Seyer (photo) va faire paraître le 23 août prochain son premier roman, Les poteaux étaient carrés, aux éditions Finitude.
Le pitch de l'éditeur :
"12 mai 1976. Ce soir les Verts de Saint-Étienne rencontrent le Bayern Munich à Glasgow en finale de la coupe d’Europe. Nicolas est devant la télé, comme toute sa famille, comme ses copains du collège, comme la France entière. Mais pour lui c’est bien plus qu’un match. Cette équipe de Saint-Étienne est devenue sa vraie famille. Depuis le départ de sa mère, depuis qu’il est le seul fils de divorcés de sa classe, depuis que son père vit avec cette trop séduisante Virginie, il n’en a plus d’autre. Alors il retient son souffle quand les joueurs entrent sur le terrain. C’est sûr, ce soir, ils vont gagner."
Les critiques :
"Ce roman où s’entremêlent habilement le récit d’un match de légende et celui des égarements de son héros est superbe de tendresse navrée, d’amour au fond" (Olivier Mony, Livres Hebdo). "Dans ce premier roman magnifiquement empreint de nostalgie, Laurent Seyer réussit le une-deux poétique, enchaîne avec un passement de jambes émotionnel, se remet face au but d’un dribble en double contact. Le gardien est pris à contre-pied, comme le lecteur, le but est marqué. On referme le livre les yeux mouillés (Librairie St-Christophe, à Lesneven)."

Pavard le rend bavard
01/07 07:52
Dans Le Progrès du jour, Le Sphinx sort de son mutisme d'intersaison pour commenter le spectaculaire huitième de finale de Coupe du monde remporté hier par la France aux dépense de l'Argentine. Extraits.
"Lors des matches précédents, la France avait joué un peu à l’économie. Ça ronronnait. Là, on s'est montré percutant. Je n’ai pas eu peur quand l'Argentine est revenue avant la mi-temps et a même pris l'avantage ensuite. A cet instant, les Argentins avaient consenti beaucoup d’efforts, montré beaucoup de détermination. Ils ont payé ces efforts. Pavard un joueur qui dégage une grande maturité. Au niveau du placement, on dirait un trentenaire. Comme Mathieu Debuchy ? C’est cela. Sa demi-volée, quel superbe geste !
Mais les trois buts encaissés montrent qu’il y a des choses à corriger. Mbappé n’a que 19 ans mais il fait preuve à la fois d’efficacité et de générosité. Il est exemplaire dans le domaine technique et a un comportement sain sur le terrain. Il a déboussolé la défense argentine avec sa vitesse. C’était notre Messi à nous."
L'Ange Vert est aux anges bleus
01/07 07:34
Eliminé par l'Argentine lors de la Coupe du Monde 1978, le directeur sportif des Verts Dominique Rocheteau est ravi d'avoir vu les Bleus sortir avec panache l'Albiceleste hier après-midi.
"Je suis content. On a joué avec nos atouts et sur les faiblesses argentines. Mbappé a réussi un grand match, fait de bons appels. Il va à une vitesse incroyable. Un doublé en Coupe du monde, ce n’est pas rien. Ce qui me semble un bon signe, c’est le fait d’avoir été mené au score et d’être revenu" déclare l'Ange Vert dans la dernière édition du Progrès. "Ça montre une force mentale qui peut être utile lors des prochains matches. On sent un gros potentiel pas encore exploité. L’équipe est jeune, elle était en jambes. Kanté comme d’habitude, Pavard m’ont fait impression. Et Hernandez a amené deux buts. On est en quarts, c’était l’objectif de départ."
Mazure reprend du Calva
30/06 22:46

Un mois après avoir quitté son poste d'entraîneur de Courseulles, Sébastien Mazure (39 ans) vient de retrouver un banc dans le Calvados. L'ancien attaquant stéphanois (2 buts claqués en 25 matches dont 7 titularisations lors de la saison 2005-2006) a en effet été nommé aujourd'hui coach du FC Baie de l'Orne (R3), né de la fusion des clubs d’Amfreville et de Ranville.
Larqué n'a pas séché la piscine
30/06 20:59

L'Obs a publié aujourd'hui une longue interview de Jean-Michel Larqué, qui prendra sa retraite à la fin de la Coupe du monde. Extraits.
"J’avoue m’être reconverti dans le journalisme parce que j’étais en échec au PSG comme entraîneur. Peu de temps après mon départ du club, je tombe sur Raymond Castans, patron de RTL. "Jean-Michel, qu’est-ce que vous allez faire la semaine prochaine ? - Aucune idée – Moi je le sais. Je suis en discussion avec Robert Chapatte, je vais lui dire de vous prendre comme consultant." RTL était le sponsor maillot du PSG. Il faut dire aussi que ça faisait un petit moment que j’entretenais de bons rapports avec la presse. En tant que capitaine de Saint-Etienne, je participais aux conférences de presse des matches importants du championnat de France et de la coupe d’Europe des clubs champions. Saint-Etienne était alors un peu l’équivalent du PSG d’aujourd’hui. On s’est qualifié successivement pour les demi-finales, la finale puis les quarts de finale de coupe d’Europe, tout cela engendrait beaucoup d’expositions médiatiques. Castans a dû voir que je parlais un français correct. Il pensait que ce métier était fait pour moi.
(...)
J'ai aussi écrit très tôt pour la presse. Cette fois, c'est moi qui ai eu l’impulsion, alors que j'étais encore joueur. Une nuit précédant un match de coupe d’Europe des clubs champions, j’étais dans ma chambre d’hôtel d’Andrézieux-Bouthéon, au nord-est de Saint-Etienne, et j’ai écrit un feuillet sur ce que je ressentais, mon état d’esprit du moment, les consignes de l’entraîneur, l’humeur de mes coéquipiers. Mon tout premier article, écrit à la main sur le papier à lettres du Novotel... Je l’ai donné à Gérard Ernault qui était rédacteur en chef à "L’Equipe" ou à "France Football", je ne sais plus. Si j'ai lancé la mode des consultants, je suis quasiment le seul à avoir touché à tous les supports journalistiques. Lizarazu, on lui écrit ses billets dans "L’Equipe" (rires). Je vous confirme qu’à "Onze Mondial" où j'étais rédacteur en chef, personne n'écrivait mes éditos à ma place."
(...)
Sur le terrain, j’étais un numéro 8. Mais niveau état d’esprit en revanche, j’étais bien différent de Rabiot ! Je dois reconnaître avoir eu beaucoup de chance. Vous connaissez Saint-Etienne ? Pour un jeune gars du Béarn, c’est un changement culturel vraiment terrible. J’ai fait mon premier essai là-bas en août 1964, j’avais réussi le concours du jeune footballeur. C’était encore l’époque des machines à vapeur. Et l’hiver était long. Très long ! Surtout le premier (rires) ! Le prestige du club est venu plus tard. Quand j’avais 17 ans, Saint-Etienne n’était qu’un bon club français parmi d’autres. Pour être tout à fait honnête, je ne sais pas exactement pourquoi j’ai choisi ce club. Et si j’avais jeté mon dévolu sur un autre, je n’aurais sans doute pas connu une telle réussite sportive, ni la même après-carrière.
(...)
A Saint-Etienne, on était à la lutte avec le Bayern à l’époque, avec deux affrontements (une demi-finale et une finale) en deux ans. Je me demande si Munich ne m’a pas simplement contacté dans le but de nous déstabiliser. D’ailleurs, le contact en est resté aux petites touches de gardon hein, ce n’était pas la pêche aux gros, quoi (rires) Le Real, en revanche, c’était du sérieux. Mais en 1975, Madrid était dans le creux de la vague. Sportivement, Saint-Etienne était bien au-dessus d’eux. Pour preuve, on ne les a jamais rencontrés en ligue des champions, pour la simple et bonne raison qu’ils n’y participaient pas. Ils m’avaient repéré durant un match amical à Saint-Etienne qu’on avait gagné 4-1. J’avais marqué un but. Je suis resté très longtemps en rapport avec un vieux dirigeant qui tous les ans m’envoyaient ses vœux. Quand même, j’avoue, ça flatte un peu mon ego d’avoir été courtisé par le Real…
(...)
J’ai commencé à avoir des problèmes à un genou, qui m'ont privé de la coupe du monde 1978. Je n’ai pourtant jamais été blessé de ma vie, mais ça a été le début de la fin. C’est à ce moment que j’ai senti que je payais mes quatre années d’études de prof de sport, à Lyon en début de carrière. Je prenais le train à 5h42 en gare de Châteaucreux le matin. Je rentrais tard le soir, sans nécessairement m’entraîner. Certains jours de match le samedi soir, je faisais deux heures de natation à la fac le matin, puis j’arrivais vers 13 heures à Saint Etienne et je mangeais tout seul au stade Geoffroy Guichard. L’équipe se réunissait à 17 heures, je faisais une sieste carabinée jusqu’à 16h45. Pas les conditions idéales pour un athlète... Mais voilà, si j’avais dit au père Larqué "je sèche la natation parce que j’ai match le soir", il m’aurait tiré les oreilles."
Un quart sans Blaise
30/06 20:05

Spectaculaires, les Bleus ont battu l'Albiceleste 4-3 cet après-midi à Kazan (Russie) en huitième de finale de Coupe du Monde. Auteur d'un bon match dans l'entrejeu, Blaise Matuidi a honoré à cette occasion sa 70e sélection en équipe de France. Mais l'ancien milieu de terrain stéphanois sera privé de quart de finale pour avoir mangé une biscotte qu'il a du mal à digérer.
"Je ne parle même pas à l'arbitre, je n'ai pas compris. J'étais en train d'appeler Otamendi et je n'ai pas compris pourquoi il m'avait mis un carton. Je ne sais pas ce qu'il a pensé. Je suis très déçu par rapport à ça, mais ils vont faire le job" a déclaré le milieu de terrain de la Juventus de Turin au micro de TF1 à l'issue de la rencontre.
M'Vila pas encore là
30/06 14:57

"Trente degrés au thermomètre, à peine plus de supporters ! Les Stéphanois, hier matin, ont repris l’entraînement dans un quasi anonymat qui contrastait avec l’affluence qu’avait connue Oscar Garcia la saison dernière lors de sa première apparition" souligne la dernière édition du Dauphiné Libéré.
Les supporters stéphanois étaient encore moins nombreux (14) ce matin pour suivre une séance qui s'est encore déroulée en l'absence de Yann M'Vila mais en notre présence. Le numéro 6 des Verts, dont le retour avait initialement été annoncé ce samedi, est finalement attendu demain voire après-demain. Convalescent, Gabriel Silva s'est entraîné en marge du groupe avec le préparateur physique Sébastien Sangnier et le kiné Hubert Largeron.
Sous les yeux de Jean-Louis Gasset, Dominique Rocheteau et David Wantier, l'entraînement a duré une bonne heure sous un soleil de plomb et s'est déroulé en 3 phases.
1. Echauffement à base d'un petit footing, puis jeu de jongle. En alternant pied droit, pied gauche, puis pied gauche, cuisse gauche, tête, cuisse droite, pied droit. Enfin jeu de conduite de balle dans un petit périmètre.
2. Exercice en 3 ateliers
1er atelier: partir en jonglant, au pied puis de la tête, puis terminé par une frappe sur une planche. Retour en jonglant en slalomant entre des piquets.
2e atelier : conduite de balle, partir en slalomant puis frappe sur la planche, retour en marche arrière avec pour objectif de toujours maîtriser le ballon
3e atelier : alternance de jongle et de jeu à terre.
2 groupes de 8 joueurs et 1 groupe de 7 joueurs. 1 groupe par atelier. 10min/ atelier.
Julien Sablé, Ghislain Printant et Fabrice Grange ont mené chacun un atelier.
3. Exercice de souplesse/étirements
La Brise craint une surprise
30/06 14:25

Sur France Bleu, l'ancien Vert et actuel Chamois niortais Jonathan Brison pronostique une qualification des Argentins aux dépens de Bleus pourtant donnés favoris par tous les bookmakers et la majorité des observateurs.
"Ce match me fait un peu peur. Ce sont deux équipes qui aiment avoir le ballon, qui ont une grosse force offensive. Pour moi, le point faible des Bleus c'est la défense, même s'ils n'ont pris qu'un but. On est sortis avec sept points, un but encaissé, deux victoires et un nul. Mais je vois victoire de l'Argentine aux tirs au but."
Dans la dernière édition du quotidien belge Le Soir, Jean-Michel Larqué redoute lui aussi une élimination des Bleus.
"L’Albiceleste n’a vraiment pas été à la hauteur depuis le début du tournoi, mais, sur ce que la France a donné à voir d’elle-même en l’espace de trois matchs, je ne pense pas qu’elle soit réellement au-dessus de cette Argentine en crise. Du moins ai-je mes doutes. Dans la France profonde et dans les cercles parisiens du journalisme, on parle beaucoup. II y a énormément de verbiage et notre pays est devenu, en quelque sorte, le champion du monde de la salive. Mais, maintenant, fini d’ouvrir la bouche pour ne rien dire, il faut des actes! L’équipe, son encadrement et la Fédération française doivent commencer à se rendre compte que, si la France clame sans cesse n’avoir peur de personne, personne n’a peur de l’équipe de France non plus. Et la nuance est importante, surtout face à une Argentine qui a peut-être tous les défauts que l’on puisse imaginer, sauf le manque d’expérience. Dans une phase à élimination directe, ce n’est pas là le moindre atout !"
Messi n'est pas Dieu (2)
30/06 08:18

Comme il l'avait fait avant-hier dans Le Parisien, Oswaldo Piazza évoque dans la dernière édition du Monde le huitième de finale qui opposera cet après-midi les Bleus à l'Albiceleste. Extraits.
"L’Argentine reste sur trois finales, en Coupe du monde (2014) et en Copa América (2015, 2016)… Que tu aimes ou pas cette équipe, elle a ce mérite-là. Mais on dépend toujours de Messi. Au Brésil, s’il n’avait pas été là, on serait rentrés à la maison dès le premier tour. Cela dit, on les critique en permanence, on dit qu’ils sont nuls, qu’ils manquent de tempérament, mais si c’était le cas, ils n’auraient jamais atteint ces trois finales consécutives. Sampaoli avait fait du bon travail au Chili, mais le Chili ce n’est pas l’Argentine. Est-ce que son style de jeu convient au football argentin ? Ici, par exemple, nous ne sommes pas habitués à jouer avec une ligne de trois défenseurs comme il aime le faire. Là, on a joué trois matchs de poule avec trois équipes et trois schémas différents.
L’image de notre football reflète celle du pays dans lequel on vit. On a une inflation de 40 %, nos dirigeants politiques ne savent plus quoi faire, ils ont déjà tenté 50 formules différentes, soit beaucoup plus que Sampaoli. Cinq générations vont passer, et ils n’arriveront toujours pas à payer cette dette. L’autre jour, on me disait qu’il y avait 35 000 Argentins dans le stade contre le Nigeria. D’accord, mais c’est quoi par rapport aux 44 millions d’habitants que nous sommes ? Qui, en Argentine peut se payer un voyage en Russie ? La classe moyenne souffre terriblement. Il y a une énorme pauvreté, les gens dorment dehors, remuent les poubelles pour manger. Le football, comme d’habitude, cache un peu tout cela. Pendant la guerre des Malouines, des soldats se faisaient tuer, et on continuait à jouer au foot.
Les militaires voulaient détourner l’attention du public en 1978 avec cette Coupe du monde à la maison pour masquer tous leurs assassinats. Mes coéquipiers de Saint-Etienne peuvent témoigner de la manière dont la France a été éliminée ce jour-là. Marius Trésor tombe, la balle lui tape sur le bras, et avec ce penalty, l’Argentine se qualifie. J’en parlais il y a quelques jours avec Christian Lopez, lui et les autres le vivent encore comme une injustice. Il m’a dit qu’on ne changeait pas, qu’on était toujours dans la merde. A l’étranger, on vendait l’image d’un pays qui progressait.
Après le 0-0 contre le Danemark, Jean-Michel Larqué était très remonté face à la pauvreté du jeu proposé. Ce match était chiant. Les deux équipes étaient qualifiées, les joueurs ne voulaient pas se blesser. La France n’a pas très bien débuté ce Mondial, mais, peu à peu, elle a trouvé un équilibre, une bonne assise défensive qui lui offre une sécurité que n’a pas l’Argentine. Nous, on dépend d’un joueur, que l’on n’arrive pas à accompagner et qui a l’air triste. Il ne brille pas comme il devrait car il porte trop de responsabilités. Maradona l’a toujours protégé. Pour nous, Diego est un dieu. Il nous a fait connaître le monde, et le monde nous connaît en partie grâce à lui. Il a ses défauts, mais on ne peut pas le juger ni le comparer avec Messi, car il est au-dessus de tout.
Heureusement, le football n’a pas de logique. Si on parle du fonctionnement des deux équipes, de ce qu’elles ont démontré jusque-là, la France est clairement supérieure à l’Argentine. Les gens disent qu’avec la qualification pour les huitièmes, tout va changer. Mais qu’est-ce qui peut changer ? Mettons qu’on passe la France. Et après ? On a beau être des fans de foot, on est en Argentine dans une situation tellement critique que personne ne va rien résoudre, même pas notre sélection."