C'est par un tweet  d'un dénommé mshumanov que l'on apprend un nouveau départ au sein de l'effectif stéphanois: notre virevoltant Jorginho s'est fait la malle en Bulgarie, au CSKA Sofia pour être précis. Le départ est acté sous forme de prêt, le site internet du CSKA ayant également officialisé cette nouvelle depuis.

Souhaitons lui une belle saison !

Faisant partie (comme la Stéphanoise Marina Lorenzo) des onze femmes journalistes mises à l'honneur par L'Express, la spécialiste de l'économie du sport de la Pravda Rachel Pretti (49 ans) revient sur ses vertes années. 

"Le foot a-t-il toujours été un but dans la vie ? Un but, non, mais une passion oui. J'ai grandi avec l'épopée des Verts, j'avais 7 ans lors de la finale de la Coupe d'Europe. J'habitais en Savoie et mon père allait tous les quinze jours à Saint-Etienne voir les matchs. Il me rapportait des écharpes, me racontait les exploits des joueurs. J'avais un poster de Dominique Rocheteau dans ma chambre et "Qui c'est les plus forts ?" était ma chanson préférée !"

Alors que l'ASSE persiste à dire au Progrès que rien n'est fait concernant le transfert de Saidy Janko au FC Porto, un journaliste du journal portugais O Globo estime qu'il est acquis et explique au quotidien régional les fondements de cette transaction.

"C’est un jeune joueur qui a du potentiel. Il était prometteur à Manchester United (il fut élu meilleur joueur de la réserve du club lors de sa première saison mancunienne) et c’est ce qui a visiblement retenu l’attention des recruteurs de Porto. D’autre part, la situation financière du club, qui est sous le contrôle des instances internationales du football depuis mai 2017 afin de rester dans les clous du fair-play financier, l’oblige à tenter des coups comme celui-là. Il a signé cinq ans car il est jeune. Si son adaptation se passe bien. Il restera. Sinon, le club s’en séparera. Il y a déjà deux joueurs à son poste mais rien ne dit qu’ils vont rester. Il aura sa chance."

Après Blaise Matuidi (entré en jeu avant-hier lors de la victoire des Bleus contre l'Australie), Gelson Fernandes (resté sur le banc hier lors du match nul de la Nati contre le Brésil), et Yohan Benalouane (resté sur le banc ce soir lors de la défaite de la Tunisie contre l'Angleterre), le quatrième et dernier ancien vert concerné par la Coupe du Monde en Russie affrontera demain la Pologne.

Team manager des Lions de la Teranga, Lamine Diatta est proche du sélectionneur sénégalais Aliou Cissé, qui lui rend hommage dans le Pravda. "Il a beaucoup de choses à donner, même si cela ne l'intéresse pas d'être sur le terrain. Il me dit toujours : “Vous, les entraîneurs, vous êtes des fous.” C'est un sage et en même temps il est très électrique. Nous avons vécu des choses très fortes qui nous ont liés à jamais."

Pour rappel, les deux hommes étaient dans le onze sénégalais qui avait terrassé les champions du monde en titre en match d'ouverture de la Coupe du monde 2002. 

Sudinfo nous apprend qu'Alexandros Katranis était bien présent pour la reprise de l'entrainement du Royal Excel Mouscron ce lundi après midi.

Le jeune latéral grec de 20 ans n'a encore rien signé d'officiel avec le club wallon, il devrait passer dans le courant de la semaine des tests en vue d'un probable prêt, évoqué dès le 1er juin dernier par le site grec Sport 24.

Si Roro s'est félicité vendredi de la signature de la convention qui lie l'ASSE à la ville au sujet du Chaudron, le maire, Gaël Perdriau a également commenté l'événement dans des propos rapportés par France Bleu Saint-Etienne : "si je me suis opposé de manière ferme à la vente du stade, c'est que je pensais que ce stade est extrêmement symbolique pour l'ensemble des Stéphanois et c'est parce que je savais qu'il y avait des discussions en cours. J'ai une entière confiance en Roland Romeyer,  mais on ne sait pas qui demain reprendra l'ASSE. Cela permet donc de sécuriser l'avenir du stade Geoffroy Guichard."

Selon la dernière édition du Progrès, le quotidien portugais A Bola a prématurément annoncé le transfert de Saidy Janko à Porto.

"Les discussions entre les dirigeants de Porto et de l’ASSE sont bien réelles pour le transfert du défenseur suisse dans les prochains jours. Du côté de l’ASSE, on prétend que rien n’est signé et que les sommes annoncées (3M d’euros) sont fantaisistes."

Le Progrès évoque aujourd'hui l'avenir incertain du numéro 8 des Verts à Sainté.

"Au milieu de terrain, Ole Selnaes, sous contrat jusqu’en juin 2020, a émis le souhait dans la presse norvégienne de prolonger ou de partir. Assane Diousse dont le retour en Italie a été évoqué, n’a, pour l’heure, aucun contact. Si le nom de William Vainqueur, l’ex-Marseillais actuellement en Turquie, est évoqué, son arrivée semble liée à un éventuel départ."

Le Progrès du jour évoque le cas du numéro 14 de l'ASSE, meilleur buteur et passeur stéphanois de la saison. Extraits.

"Le secteur offensif est de loin le plus gros chantier. L’ASSE n’a pas l’intention de dépenser 12M d’euros pour s’assurer définitivement les services de Cabella même si, aux yeux de Gasset, le natif d’Ajaccio est une priorité. Le tarif va baisser mais le dossier risque de traîner en longueur. La situation de Beric, à un an de la fin de son contrat, reste floue. Que dire de celle de Bamba. L’international espoir a depuis plusieurs semaines une proposition ferme de son club formateur. Actuellement en vacances, il devrait donner une réponse dans les prochains jours. Mais les chances de le voir toujours évoluer sous le maillot vert sont minces."

Selon la dernière édition du Progrès, Mathieu Debuchy devrait dans la semaine prolonger de deux ans son contrat avec l'ASSE. Le latéral droit, qui fêtera ses 33 ans le 28 juillet prochain, a marqué 4 buts en 15 matches disputés cette année sous le maillot vert.

Evoqué dès le 1er mai par France Football, il y a dix jours par RMC et le 15 juin par Le Progrès, le transfert du numéro 5 des Verts au SCO est imminent selon la dernière édition de la Pravda. Extraits.

"Le milieu stéphanois Vincent Pajot (27 ans) devrait s'engager rapidement avec Angers. Le dossier autour d'un transfert à moins d'un million d'euros (il ne restait plus qu'un an de contrat à l'ancien Rennais) pourrait même aboutir dans les prochaines heures. La durée du contrat serait de trois ans."

Alors que son ancien coéquipier stéphanois Gelson Fernandes est resté sur le banc ce soir lors du match nul de la Suisse contre le Brésil, Blaise Matuidi a marqué cet après-midi le but victorieux (3-2) des remplaçants de l'équipe de France contre les U19 du Spartak Moscou.

Ayant cruellement manqué à Andrézieux lors de la seconde partie de saison aux dires mêmes de son ancien capitaine Maxence Chapuis, Romain Spano (23 ans) n'a disputé que quatre matches de L2 cette année avec Clermont dont un seul en tant que titulaire. Mais l'ancien meilleur buteur de la réserve de l'ASSE (13 pions en 2013-2014), qui a réalisé le 10 mars dernier un doublé en National 3 contre l'équipe réserve de Bourg-Péronnas, vient de se faire prêter par Clermont Foot pour renforcer l'équipe première du club bressan, reléguée en National 1 malgré les efforts de Papou Paye (28 ans), autre ancien réserviste stéphanois ayant joué 23 matches de L2 cette saison dont 18 en tant que titulaire.

Pas même avant d'affronter la terrible Seleçao ce dimanche 17 juin à 20h.

L'ancien vert désormais à l'Eintracht Francfort et habitué des grandes compétitions internationales (depuis 2007 il n'a manqué que l'Euro 2012 pour lequel la Suisse n'était pas qualifiée) refuse de servir de souffre douleur face au Brésil lors de ce premier match.

"On ne va tout de même pas en donner trois au Brésil sans combattre pour se concentrer sur la Serbie. Mais je mesure parfaitement la valeur des Brésiliens. Ils mettent une très grande intensité dans leurs phases de transition. Ils sont, surtout, très rapides (...) Le Brésil force le respect, mais il ne suscite pas la peur, martèle-t-il. Nous sommes habitués dans notre quotidien à jouer contre des joueurs de classe mondiale. Je ne comprends pas pourquoi un sentiment de crainte devrait nous habiter dimanche. C'est plutôt l'excitation qui nous gagne. L'excitation de jouer devant nos supporters, de jouer dans un grand et j'espère beau stade"

Il se rémémore d'ailleurs l'exploit déjà édité par la Nati de battre l'Espagne lors de son premier match de Coupe du Monde en 2010, là où, alors toujours vert, il avait marqué le but victorieux. Il n'oublie pas non plus que ce fut le seul but marqué par les Suisses lors de cette Coupe du Monde, où la Suisse fut éjectée dès les poules, l'Espagne finissant, elle, championne du Monde...

"Il y a une grande leçon à retenir de cette Coupe du monde 2010: le tournoi continue après le premier match..."

Si le vaillant milieu Valais ne se fait pas trop d'illusion sur son temps de jeu lors de ce Mondial, il garde un petit espoir, tout en se focalisant sur ce qu'il peut apporter à son groupe :

"Je tiens plusieurs rôles au sein de cette équipe de Suisse. Je la soutiens de toutes mes forces, je suis à l'écoute des joueurs et, surtout, je dois être capable de répondre présent si je suis appelé à jouer. Je me suis préparé comme un fou. Il n'y a pas d'autre alternative en fait. Tout peut vraiment se produire dans une Coupe du monde. On peut se retrouver dans le grand bain en huitième de finale sans avoir joué une seule minute dans la phase de poules. Et là, il convient d'être à la hauteur pour ses partenaires, pour son équipe, pour son pays."

Bonne chance à la Nati et surtout bonne chance à Gelson dans ce Mondial !

Source

Club normand réputé pour ses jolis parcours en Coupe de France (quart de finale en 2016 et huitième de finale cette année), Granville (National 2) a annoncé hier sur sa page facebook l'arrivée du milieu défensif Fred Injai (22 ans). A part sa taille (1m96), l'ancien joueur de l'Inter n'a pas laissé un souvenir impérissable chez les Verts, où il a évolué (avec les U19 puis avec la réserve) de février 2014 à mai 2015.

Selon A Bola, Saidy Janko a signé pour cinq ans au FC Porto, l'indemnité de transfert s'élevant à 3M€. Dans la dernière édition de Record, autre quotidien sportif portugais, Vagner dit au revoir au latéral droit de 22 ans, qui a joué 22 matches cette saison en équipe première sous le maillot vert dont 17 en tant que titulaire.

"C'est un joueur rapide et fort dans les duels, il attaque bien et défend bien, c'est en ce sens un latéral très équilibré. Il est extraverti et très humble, je suis fier de lui. Je te souhaite le meilleur dans ta nouvelle équipe, j'espère que tu seras très heureux, que tu réussiras et que tu gagneras des titres."

Après la Coupe du Monde, Jean-Michel Larqué mettra un terme à plus de 50 ans dans le foot. Le Parisien lui rend hommage sur deux pages aujourd'hui. Extraits.

"Larqué a la gagne. C’est lui qu’on écoute, d’abord sur le terrain puis au micro. Il débute dans l’équipe pro de l’AS Saint-Etienne à 18 ans et n’a jamais lâché le ballon jusqu’à 70 ans : capitaine des Verts, sept fois champion de France, trois Coupes de France — avec un retourné acrobatique en 1975 contre Lens, élu plus beau but de l’histoire de la compétition — une finale de Coupe d’Europe, 14 sélections chez les Bleus, où il était souvent remplaçant d’Henri Michel, le plus grand joueur français de l’époque qui vient de disparaître. Il entraîne ensuite brièvement le PSG, un échec assumé : "Je pensais être fait pour le métier d’entraîneur, j’avais passé tous les diplômes, et j’ai eu du mal, ça ne s’explique pas, je ne prenais aucun plaisir sur le banc." Son pied, il le prend à la télé, à la radio et dans la presse écrite, où il dirige pendant des années le magazine « Onze Mondial » : "C’est un cumulard, Larqué !", sourit Bernard Pivot, fan des Verts. Il a même réussi à être deux fois légendaire. Comme joueur en marquant les coups francs décisifs contre les Ukrainiens de Kiev ou les Néerlandais d’Eindhoven en 1976, puis comme consultant — le premier dans le foot — en entrant dans la mémoire collective avec ses "Tout à fait Thierry", les "cafécrème" », le "coup du sombrero" et "il lui a donné dans le zig, il est parti dans le zag" : Roland-Larqué, commentateurs du France - Brésil 1998 et marionnettes fétiches des Guignols de l’info, avant les années RMC, et un passage à Canal +, ça ne s’arrête jamais.

"Je travaille parce que j’aime ça. Je ne peux pas être oisif. Il faut que je comble… On me le reproche", confie-t-il. A l’origine de cette boulimie, son père, agent SNCF, qui joua un rôle important dans le foot amateur, au club la Jeanne d’Arc de Béarn à Pau : "Mon père a joué, entraîné ou dirigé ce club de 5 à 85 ans, jusqu’au jour de sa mort, explique le fils en nous montrant plusieurs photos de lui avec le héros de sa vie. Je suis avant tout jabiste (NDLR : les initiales du club, JAB). J’ai appris à marcher au stade. Ma grand-mère était concierge du club." Mais ses parents l’ont obligé à poursuivre des études supérieures. "Le papa Larqué m’avait interdit d’entrer au centre de formation de Saint-Etienne." Le fiston décroche le diplôme du Capes de prof de gym tout en jouant avec les pros : "J’ai enseigné un mois et demi. Mais après un match de Coupe d’Europe à Varsovie et un retour dans la nuit, le matin, ça a été, mais l’après-midi, j’avais 70 gamins. Je me suis endormi quelques secondes sur une table. Là, j’étais obligé de choisir." Va pour le foot, mais il garde la nostalgie des maîtres d’antan : "Les profs, à mon époque, étaient mieux considérés et mieux payés. Avoir le Capes, être un vrai prof, c’est une fierté." Un passeur, comme le confirme Dominique Bathenay. "Jean-Michel était très exigeant, mais il aidait les jeunes à s’intégrer. Quand je suis arrivé en pro, il a été le premier à m’inviter chez lui", confie le fabuleux Vert, à ses côtés lors de la finale de 1976 — son tir du gauche surpuissant avait été repoussé par la barre transversale."

Ayant remplacé hier un piètre Corentin Tolisso, Blaise Matuidi (31 ans) a honoré hier sa 68e sélection en équipe de France par un court mais précieux succès contre l'Australie. A l'issue de cette laborieuse rencontre, l'ancien milieu de terrain stéphanois s'est confié au Parisien. Extraits.

"On est un groupe jeune. Beaucoup de joueurs ont fait leur premier match en Coupe du monde. Aujourd’hui, ils ont vu ce que c’est. Cela reste des jeunes joueurs et pour la plupart, c’était une première. C’est logique. Ils ont du talent, c’est très important mais cela ne suffit pas. Ils en ont conscience. Il faut en faire plus dans l’envie et l’agressivité. L’important est qu’on a eu l’orgueil de réagir et d’aller chercher cette victoire.

On est un groupe, il faut savoir compter sur tout le monde. Là, cela s’est bien passé pour les entrants et on est 23 à avoir gagné ce match. On est tous déçus lorsqu’on ne joue pas. C’est normal. Quand on est un compétiteur, on a envie d’être sur le terrain. Il faut savoir accepter les choix de l’entraîneur et répondre présent quand il fait appel à nous. C’est ce que j’ai fait. Mais je ne vais pas dire que je suis content de ne pas jouer."

Grâce à un doublé de l'ancien milieu offensif argentin des Verts Ignacio Piatti (33 ans), l'Impact de Montréal a battu les Lions d'Orlando 3-0 il y a trois jours en Major League Soccer.

Les U10 ont conclu leur saison en beauté en remportant le tournoi de Veauche.

Durant la phase de poules les Verts ont battu Saint-Just-Saint-Rambert 2-0, Veauche 3-0, Roanne Foot 42 1-0, Buissière 7-0, EPM 3-1 et Derveaux 3-0.

En quart de finale les Stéphanois se sont imposés 3 tirs au but à 2 face à Savigneux après avoir obtenu un match nul 1-1 grâce à un but de Djylian. Après un match nul et vierge, les Verts ont à nouveau eu recours à la séance de tirs au but pour se défaire de Villeurbanne en demi-finale. Ils ont cette fois remporté la séance 2-0 en particulier grâce à deux arrêts de Maël. En finale les Stéphanois ont retrouvé Roanne et ont enlevé la victoire sur le score de 2-0 grâce à des réalisations de Djylian et Noham.

Le groupe : Maël - Liam - Hugo - Eliott - Noham - Lucas - Brandon - Djylian - Wassim - Sylian

Educateur: Stéphane Pena. Dirigeant: Jean-Claude Buisson.

Toutes nos félicitations aux jeunes Verts déjà vainqueurs du Challenge Flavien le week-end dernier !

Mykhel a retrouvé aujourd'hui la trace d'Alexander Panov (42 ans), qui se coltine actuellement 36 heures de train entre Moscou et Scotchi où il assistera lundi au match de Coupe du Monde qui opposera la Belgique au Panama. "J'ai un ticket pour ce match, j'ai pris ce train car il est gratuit, je n'aurai pas à payer le trajet" déclare l'ancien attaquant stéphanois désargenté, présenté par la version anglaise de ce site indien comme "un héros oublié ayant lutté contre l'alcoolisme et la drogue, qui continue de vivre comme une rockstar, une bière à la main et en musique."

L'ancien flop offensif stéphanois (plombé par ses hépatites A et B, il n'aura claqué qu'un seul pion lors de ses 16 matches officiels sous le maillot vert) revient sur son seul coup d'éclat. "En 1999, j'ai mis un doublé victorieux contre la France au Stade de France lors des éliminatoires de l'Euro. Cela a été le grand moment dans ma carrière. Battre les champions du monde en titre là-même où Zidane avait mis lui aussi un doublé en finale contre le Brésil, ça n'arrive pas tous les jours. Ma vie a changé après ce match, j'ai été repéré par Saint-Etienne. La France est un beau pays où le foot est très populaire. Ils ont des infrastructures que nous n'avons pas en Russie, leurs supporters, leurs stades et leurs joueurs sont meilleurs."

Ayant terminé sa carrière au Torpedo Moscou en 2010 mais fan depuis deux ans du Spartak Moscou (ce qui lui vaut d'être désormais pris à partie par les fans du Zenith Saint-Petersbourg, son ancien club), celui qui avait terrassé l'Ajax dans le Chaudron le 22 juillet 2000 est resté dans le milieu du foot. "Je travaille dans la formation de jeunes joueurs en Russie. Je suisle président d'une ligue de football pour enfants. Le Spartak et le CSKA et d'autres clubs professionnel ont leur centre de formation, moi je travaille avec des enfants évoluant dans des clubs amateurs dans toute la Russie."

Séjournant depuis une semaine au Tigré (nord de l'Ethiopie) pour aider les enfants à accéder à l'eau potable, Neven Subotic s'octroie quelques pauses football. Sur cette photo, postée il y a trois jours sur le compte facebook de sa fondation, le défenseur central stéphanois régale la chique sous le regard amusé et admiratif de son ami et ancien coéquipier de Dortmund Nuri Sahin, venu lui prêter main forte pour mener à bien ses projets humanitaires. Reste à savoir si le numéro 28 de l'ASSE va tenter de ramener à Sainté le milieu international turc de 29 ans passé par le Real Madrid et Liverpool. 

L'ancien Vert (2000-2007) Mathias Degache, fait son retour à l'Olympique de Valence 6 ans après l'avoir quitté. Le club drômois, partenaire de l'ASSE, l'annonce sur son site officiel  et attend beaucoup du natif de Tournon : "Joueur de percussion disposant d’un solide bagage technique, il pourra apporter toute son expérience sur le front de l’attaque de l’OV."

Après son départ de l'ASSE en 2007, Mathias Degache a successivement porté les couleurs de Moulins (2007-2008), d'Andrézieux (2008-2011), de l'AS Valence devenue depuis Olympique de Valence (2011-2012), de Rhône Vallée (2012-2018).

Retrouvons Mathias Degache lors de son premier passage à Valence (2011-2012)

Alors que la Pravda, Record puis But Sainté avaient évoqué une offre du FC Porto pour Saidy Janko, le quotidien sportif O Jogo balaye aujourd'hui cette rumeur comme l'avait fait hier Le Progrès. Extraits.

"Le directeur sportif de l'ASSE a assuré à O Jogo que le club n'avait pas été approché par le FC Porto. Selon David Wantier, le latéral droit devra encore être stéphanois la saison prochaine."

Sur le site de la LFP, l'ancien Vert (2001-2007), Eric Bauthéac (31 ans), qui évolue dans le club australien des Brisbane Roar, évoque les Socceroos avant le match du Mondial entre la France et l'Australie et on peut s'apercevoir de la pertinence de son analyse. Extraits.

"Je vais vivre ce match en Australie, avec le peuple australien, qui est dingue de sport et sait faire la fête. Ca va être sympa. C'est une équipe généreuse, qui ne va pas lâcher. Je les ai regardés à la télé. Sur les plans technique et tactique, c'est bien en-dessous de la France, mais sur le plan physique, ils seront au niveau. Sur un premier match de coupe du monde, ils peuvent inquiéter les Bleus, mais je ne les vois pas gagner. Avec le talent que l'on a en équipe de France, on devrait surpasser cette équipe, si l'on aborde ce match avec sérieux."

Le quotidien sportif brésilien Lance ! a publié aujourd'hui une interview de Léo Lacroix, actuellement en vacances à Rio de Janeiro. Sous contrat avec l'ASSE jusqu'en juin 2020, le défenseur central revient notamment sur son prêt à Bâle avant d'évoquer son avenir. Extraits.

"Je ne suis pas déçu d'être absent de la Coupe du Monde en Russie car je savais que ce serait compliqué pour moi d'être. Je n'ai joué aucun match des élimiantoires même si j'ai été convoqué. J'aurais pu avoir ma chance il y a un an mais j'ai préféré me faire enlever la plaque que j'avais à la cheville. Le sélectionneur a ensuite fait appel à un autre joueur et c'était compliqué pour moi d'avoir une nouvelle chance. Ce qui compte, c'est que je continue de travailler. Si je n'ai pas été retenu cette fois-ci, pourquoi ne pas l'être la prochaine ?

J'ai fait un très bon passage au FC Bâle, j'en étais très heureux. J'ai insisté pour aller là-bas en janvier dernier quand j'étais à Saint-Etienne. Quand la proposition de Bâle est arrrivée, je voulais y aller. En plus d'être le plus grand club de Suisse, l'équipe était qualifiée pour les 16es de finale de la Ligue des Champions. Je rêvais de jouer cette compétition. J'ai fait de mon mieux à Bâle mais en fin de compte, ça s'est avéré un peu difficile.

Le FC Bâle avait jusqu'au 30 avril pour lever l'option d'achat fixée à 3 M€. Ils sont venus vers moi pour de midre qu'ils ne la lèveraient pas. Bâle ne voulait pas payer ce montant. Ils ont une politique d'achat bon marché et de vente élevée. Je savais que j'allais retourner à Saint-Etienne. En fait, je ne voulais pas rester à Bâle. J'aurais juste aimé avoir davantage de temps de jeu.

Lors de ma première partie de saison à Saint-Etienne, j'ai joué des matches mais je voulais enchaîner. C'est ce qui s'est passé au début à Bâle, jusqu'à ce qu'ils décident de ne pas lever l'option d'achat. Je voulais vraiment joué les deux matches de Ligue des Champions, c'est ce qui s'est passé. J'ai pu montrer mon football et on va voir ce qui va se passer. Le mercato vient de débuter. Je ne voulais pas rester à Bâle.

Je reprends fin juin, on verra si je resterai à Saint-Etienne ou si je partirai. Je suis actuellement à Rio, bien sûr ce serait un grand honneur pour moi de porter le maillot de Flamengo, un club historique réputé pour ses supporters. Flamengo grandit jour après jour, ce serait un grand honneur de jouer là-bas un jour."

Arrivé il y a deux saisons en provenance du QSG, Bertrand Reuzeau (52 ans) va quitter son poste de directeur de l'Academy monégasque selon Nice-Matin, qui évoque des désaccords entre le natif de Mayenne et les décideurs de l'ASM. Pour rappel, Christophe Galtier avait tenté en vain au printemps 2016 de faire revenir dans la maison verte celui avait dirigé pendant trois ans (2000-2003) le centre de formation de l'ASSE dont le boss actuel Phlippe Guillemet, initialement intérimaire, a été prolongé jusqu'en 2021.

Selon le site actufoot, Brahim Touati (24 ans) s'est engagé avec le FC Vaulx en Velin. Malgré des années fructueuses à l'ASSE (2008-2009 : U14, 20 buts / 2009-2010 : U17, 3buts / 2010-2011 : U17 : 12 buts / 2011-2012 : U19, 6 buts) Brahim Touati n'avait pas été conservé et avait signé au FC Yutz, un club lorrain (2012-2013), puis au SO Chambéry (2013-2016).

En 2015-2016, il avait opéré à Vénissieux Minguettes. En 2016-2017, il s'était engagé avec le FC Jablonec, club de D1 tchèque. Il s'était sérieusement blessé et a passé la saison 2017-2018 à se soigner. 

Dans la dernière édition du Progrès, Roland Romeyer se réjouit d'avoir signé hier une nouvelle convention sur le Chaudron qui lie l'ASSE et Saint-Etienne Métropole pendant douze ans. Extraits.

"Cette signature est l’aboutissement d’un long travail en harmonie. C’était une anomalie de fonctionner comme cela. Je reconnais que ma demande était forte. On a tout mis sur la table. On a trouvé un compromis. Cela va nous ouvrir de nouvelles portes de développement auxquelles on réfléchit. On présentera un projet dans ce sens mi-juillet. La convention doit nous permettre de mieux accueillir nos partenaires (des aménagements sont déjà prévus dans les salons et les loges), de travailler avec sérénité et de se projeter vers l’avenir, dans des conditions plus pérennes. La plus-value qu’elle occasionnera sur le plan économique ? On ne l’a pas évaluée, mais ça ne suffira pas à acheter un joueur."

Le Progrès du jour revient à nouveau sur l'amélioration de la vidéosurveillance dans le Chaudron. Extraits.

"235 caméras fixes et mobiles sont en cours d'installation aux quatre coins du stade. Un investissement d’un million d’euros pris en charge par Saint-Etienne Métropole, qui va mettre à disposition également une nouvelle sono d’ambiance, dissociée de celle réservée au domaine de la sécurité. Frédéric Paquet s’est félicité de ces investissements, en particulier la vidéosurveillance qui permettra, dit-il, « d’identifier et de porter plainte contre ceux qui vont à l’encontre de la loi et qui coûtent de par ces agissements, des centaines de milliers d’euros au club »."