"Pour revoir Rémy Cabella dès ce samedi avec le maillot vert, il faudrait que le transfert soit bouclé au plus tard jeudi. L’ASSE et l’OM sont toujours en discussions, alors que les chiffres d’un accord qui circulent sont jugés fantaisistes" souligne aujourd'hui Le Progrès.

Le quotidien régional nous apprend également que les départs de Léo Lacroix, Pierre-Yves Polomat, Cheikh Mbengue et Oussama Tannane sont "au point mort." Alors que trois premiers ont participé hier à l'entraînement, l'international marocain était une nouvelle fois absent.

Victime d'une entorse à la cheville droite il y a quatre jours dans la touffeur de Feurs, Mathieu Debuchy ratera les deux premiers matches de la saison (réception de Guingamp et déplacement à Strasbourg) selon la dernière édition du Progrès. Le retour du latéral droit des Verts est espéré pour le match à la Mosson du 25 août.

Souffrant d'une lésion musculaire de l'ischio-jambier droit, Robert Beric sera indisponible un peu plus longtemps. "Ayant besoin d'au mois trois semaines pour récupérer" dixit le quotidien régional, l'attaquant slovène ratera aussi le déplacement dans l'Hérault et risque d'être un peu juste pour la réception d'Amiens programmée le dimanche 2 septembre à 15h00.

Le Progrès assure que Loïc Perrin, Gabriel Silva (touchés contre Nice) et Assane Diousse (forfait pour ce match de préparation remporté contre les Aiglons) seront par contre opérationnels dès ce week-end contre Guingamp.

Louis Mouton (photo de mai 2016)

Le sélectionneur de l'Equipe de France U17, Jean-Claude Giuntini, vient de publier la liste des trente joueurs convoqués pour participer à un stage de quatre jours, du 26 au 30 août, au Centre National du Football à Clairefontaine.

Dans cette liste on note avec plaisir le nom de deux Stéphanois : le défenseur Bryan Djile Nokoue et le milieu de terrain Louis Mouton.

Bryan Djile Nokoue est arrivé cet été à l'ASSE en provenance du FC Montrouge après être passé par l'AC Boulogne-Billancourt (ex club d'Allan Saint-Maximin) et Le Plessis-Robinson.

Quant à Louis Mouton, arrivé à l'ASSE en 2013, en provenance de l'ES Veauche, c'est, comme Stefan Bajic,  un pur produit de la formation stéphanoise.

Cette sélection U17 rencontrera, le mercredi 29 août, la sélection U16 dans laquelle figure un autre vert,  Lucas Gourna Douath.

Marvin Tshibuabua a égalisé sur corner.

Les U19 ont fait match nul samedi à Clermont pour le deuxième match de préparation.

Après un début de rencontre bien maîtrisé, les Verts ont logiquement ouvert la marque à la suite d'une belle action initiée par Louka Aymar et ponctuée par un ballon piqué de Mohamed Seddicki (0-1, 25è). Les Stéphanois ont ensuite donné le bâton pour se faire battre en perdant deux ballons dans leur camp en fin de première période, deux ballons qui ont permis aux Clermontois de scorer successivement aux 40 et 44è minutes. 

Les Verts ont fait reculer les Auvergnats après la pause et ont trouvé la faille sur un corner de Sami Messili victorieusement repris par Marvin Tshibuabua (2-2, 80è).

La composition : Crémillieux - Durivaux, Tshibuabua (Chaigneau, 46è), Leuleux, Roubat (Bernocolo, 46è) - Kiran (Gabard, 46è), Aymar, Messili (Chris, 46è) - Sidibé (Urie, 46è), Bengueddoudj (Bellakhdar, 46è), Seddicki (Kévin, 46è).

La réaction de Razik Nedder : "On a fait 30 très bonnes premières minutes en contrôlant bien le ballon et en se créant des occasions. On donne deux buts en fin de première période et on se retrouve anormalement menés à la pause. J'ai ensuite procédé à beaucoup de changements. Il y a eu plus de déchets techniques mais on les a fait reculer et on a réussi à égaliser."

Tout change à l'ASSE, même la communication officielle sur les blessés. Pour preuve le communiqué officiel qui nous éclaire sur les blessures de Mathieu Debuchy, Gabriel Silva et Robert Beric, touchés tous trois lors du match amical contre l'OGC Nice, samedi dernier. On peut qualifier de rassurantes les informations concernant ces joueurs, même si rien n'est dit sur leur participation au match contre Guingamp, pour la première journée du Championnat.

Mathieu Debuchy et Robert Beric ont passé, comme prévu et annoncé des IRM. Pour le latéral droit, l'entorse de la cheville est certes confirmée, mais on peut penser qu'elle n'est pas aussi grave qu'on pouvait le craindre. Les photos de l'entraînement de ce matin, en salle, le confirment. Quant au buteur slovène, il s'agit d'une lésion musculaire de l'ischio jambier droit. On peut penser que c'est lui qui aura la plus longue indisponibilité.

Pour Gabriel Silva, comme on le savait déjà, c'est une contusion de la jambe gauche associée à une contusion nerveuse. 

Les U17 de Gilles Rodriguez, engagés en  championnat Régional 2, connaissent leur calendrier qui vient d'être dévoilé par la Ligue Auvergne Rhône-Alpes. Ils débuteront la saison le 9 septembre prochain à St Genis Laval et la termineront le 26 mai 2019 en recevant Lyon Montchat. Les derbys contre nos gentils voisins de l'Olympique Saint-Etienne sont programmés le 14 octobre et le 17 mars.

MATCHES ALLER

Dimanche 9 septembre 2018 : O St Genis Laval - ASSE

Dimanche 16 septembre 2018 : ASSE - Valserine FC

Dimanche 23 septembre 2018 : Echirolles FC - ASSE

Dimanche 30 septembre 2018 : ASSE - Oullins Cascol

Dimanche 7 octobre 2018 : Misérieux Trevoux AS - ASSE

Dimanche 14 octobre 2018 : ASSE - O Saint-Etienne

Dimanche 11 novembre 2018 : Rhône Crussol 07 - ASSE

Dimanche 18 novembre 2018 : ASSE - Côte St André FC

Dimanche 25 novembre 2018 : L'Etrat La Tour - ASSE

Dimanche 2 décembre 2018 : ASSE - Viriat CS

Dimanche 9 décembre 2018 : Lyon Montchat AS - ASSE

MATCHS RETOUR

Dimanche 16 décembre 2018 : ASSE - O St Genis Laval

Dimanche 27 janvier 2019 : Valserine FC - ASSE

Dimanche 3 février 2019 : ASSE - Echirolles FC

Dimanche 10 février 2019 : Oullins Cascol - ASSE

Dimanche 10 mars 2019 : ASSE - Misérieux Trevoux AS

Dimanche 17 mars 2019 : O St Etienne - ASSE

Dimanche 31 mars 2019 : ASSE - Rhône Crussol 07

Dimanche 7 avril 2019 : Côte St André FC - ASSE

Dimanche 5 mai 2019 : ASSE – L'Etrat La Tour

Dimanche 19 mai 2019 : Viriat CS - ASSE

Dimanche 26 mai 2019 : ASSE – Lyon Montchat AS

Les U15 de Jean-Philippe Primard, engagés en  championnat Régional 1 Est, connaissent leur calendrier qui vient d'être dévoilé par la Ligue Auvergne Rhône-Alpes. Ils débuteront la saison le 9 septembre prochain contre Chambéry Savoie Foot et la termineront le 26 mai 2019 en recevant Bourgoin Jallieu. Les derbys contre nos vilains voisins sont programmés le 18 novembre à domicile et le 7 avril outre A47.

MATCHES ALLER

Dimanche 9 septembre 2018 : ASSE - Chambéry Savoie Foot

Dimanche 16 septembre 2018 : ASSE - Grenoble Foot 38

Dimanche 23 septembre 2018 : Annecy FC - ASSE

Dimanche 30 septembre 2018 : ASSE - Thonon Evian FC

Dimanche 7 octobre 2018 : AS Saint-Priest - ASSE

Dimanche 14 octobre 2018 : ASSE - O Valence

Dimanche 11 novembre 2018 : F Bourg en Bresse P – ASSE

Dimanche 18 novembre 2018 : ASSE – O Lyon

Dimanche 25 novembre 2018 : Venissieux FC - ASSE

Dimanche 2 décembre 2018 : ASSE - FC Lyon

Dimanche 9 décembre 2018 : Bourgoin Jallieu - ASSE

MATCHS RETOUR

Dimanche 16 décembre 2018 : Chambéry Savoie Foot - ASSE

Dimanche 27 janvier 2019 : Grenoble Foot 38 - ASSE

Dimanche 3 février 2019 : ASSE - Annecy FC

Dimanche 10 février 2019 : Thonon Evian FC - ASSE

Dimanche 10 mars 2019 : ASSE - AS Saint-Priest

Dimanche 17 mars 2019 : O Valence - ASSE

Dimanche 31 mars 2019 : ASSE - F Bourg en Bresse P

Dimanche 7 avril 2019 : O Lyon - ASSE

Dimanche 5 mai 2019 : ASSE - Venissieux FC

Dimanche 19 mai 2019 : FC Lyon - ASSE

Dimanche 26 mai 2019 : ASSE - Bourgoin Jallieu

"Saint-Etienne, c'est fini pour moi. Au début ce club me plaisait bien mais le climat était devenu pesant pour moi là-bas. Il était temps que je parte. J'espère rebondir dans un autre club" nous a confié Erin Pinheiro. L'athlétique milieu de terrain capverdien n'aura joué que 5 matches avec les pros, tous disputés à l'automne 2015 : deux en L1 (contre le QSG et le SCO), un en Coupe de la Ligue (contre le QSG) et un en Europa League (contre la Lazio).

Qualifié de "gros espoir du club qui a faim" par Nanard, l'athlétique milieu de terrain capverdien qui a fêté il y a trois semaines ses 21 ans n'aura pas su confirmer les promesses qu'il avait laissé entrevoir à l'époque. Expulsé à Aurillac le 3 mars dernier lors de son dernier match en vert, le compatriote de Kenny et Vagner avait ensuite été prêté chez Ben Karamoko. Mais Haugesund (Norvège) l'avait retourné à l'envoyeur un mois et demi plus-tard...

Marseille Consolat a changé de division et de nom. En passant du championnat National au National 2, le club marseillais s'appelle désormais Athlético Marseille. Même s'il n'a pas pris les couleurs vertes, les ex-Verts restent bien présents  : à David Gigliotti et Sofiane El Moudane, il faut désormais ajouter le nom de Medhi Messaoudi qui croise Driss Zidane dont le contrat n'a pas été prolongé. 

Arrivé à l'ASSE en provenance de Cannes, Medhi Messaoudi est resté au Centre de Formation de l'ASSE de 2004 à 2009. Il a opéré ensuite à Gap (2009-2011), Grenoble (2011-2013), Aurillac (2013-2014), Martigues (2014-2015), Le Pontet (2015-2016), Nice (2016-2017), Villefranche Saint-Jean Beaulieu (2017-2018).

Pisté par Saint-Etienne qui ne veut pas s'aligner sur les exigences financières d'Amiens, Moussa Konaté est également dans le viseur d’un club de la Serie A. Selon le quotidien local Le Courrier Picard, les Verts sont en concurrence avec le Torino, pour le recrutement du joueur.

Le club de Turin est intéressé par l’attaquant d’Amiens, auteur de 13 buts et 2 passes décisives en Ligue 1 la saison passée. Le Sénégalais avait déjà porté le maillot de Genoa en Italie, en 2013-2014 où il a inscrit un but en 25 apparitions.

Du côté d’Amiens, on  espère entre 12 et 15 millions d’euros pour laisser partir l’attaquant des Lions de la Téranga.

Gelson Fernandes a annoncé, hier, la fin de sa carrière internationale avec la sélection suisse, un mois après le Mondial en Russie auquel il a pris part. «Il est temps d'annoncer la fin de ma carrière internationale et laisser ainsi la place à une nouvelle génération, qui, j'en suis sûr, nous donnera beaucoup de satisfactions et d'émotions», a expliqué le joueur de l'Eintracht Francfort sur son compte twitter. 

"J'ai vécu des moments d'émotions extraordinaires qui resteront gravés à jamais. Participer à un Euro à domicile, à une Coupe du Monde sur le sol africain, ou à une autre sur les terres du football, au Brésil, sont des privilèges, pour moi, fabuleux. Quand je pense à ce parcours, des images qui restent gravées à l'esprit, ce but à Durban face à l'Espagne en 2010, ce 8ème de finale face à l'Argentine à Sao Paulo en 2014, et ce stade rouge à Saint-Etienne, devant notre public, en 8ème de finale de l'Euro 2016, ont été les événements qui m'ont le plus marqués." a ajouté l'ancien joueur de Saint-Etienne et de Rennes, qui compte 67 sélections. 

Sa conclusion dépasse le cadre du football et montre que Gelson était plus qu'un footballeur :  "La plus belle récompense a toujours été vos émotions. Cette opportunité, cet honneur m'a été donné par Dieu. j'ai essayé d'en être digne et reconnaissant en aidant notre équipe, nos joueurs et notre nation. Notre avenir footballistique sera radieux. Nos différences d'hier seront nos atouts demain."

"Je sens bien Saint-Étienne cette saison. Il y a de la continuité par rapport à la saison dernière. À mi-saison, ils avaint fait venir Debuchy et M’Vila qui leur avaient permis de terminer très fort. Khazri est un des joueurs phare de notre championnat, Debuchy et M’Vila sont des internationaux" déclare René Girard dans la dernière édition du Parisien. "Saint-Étienne peut semer le désordre à l’étage supérieur, à l’image de leur deuxième partie de saison dernière. Monaco par exemple doit rester vigilant. Avec tous les changements opérés, ça ne va pas réussir tous les ans."

"Pas dans les plans de Jean-Louis Gasset, Oussama Tannane souhaite retrouver le championnat néerlandais. S’il partageait des vidéos de lui à Amsterdam durant le week-end sur les réseaux sociaux, son transfert n’avance pas ou pas beaucoup" selon la dernière édition du Progrès.

Les Verts, qui reçoivent ce samedi soir à 20h00 l'En Avant de Franck Tabanou et Nolan Roux, risquent fort de devoir se passer de leurs numéros 26 et 27 pour ce premier match officiel de la saison.

Blessé lors du dernier match de préparation remporté 3-0 contre les Aiglons, Mathieu Debuchy (entorse à la cheville droite) et Robert Beric (lésion à la cuisse droite) vont passer une IRM ce mardi à la mi-journée selon France Bleu.

Auteur de 5 pions et 2 passes décisives lors des matches de préparation, Loïs Diony se confie dans Le Progrès du jour. Extraits.

"Une nouvelle saison débute. Le passé, c’est le passé. Il s’agit d’une nouvelle équipe au sein de laquelle il y a pas mal de joueurs avec lesquels je n’ai pas eu la chance de travailler énormément la saison dernière. Même chose pour le staff. J’ai côtoyé le coach et Ghislain Printant durant à peine un mois. C’est un renouveau pour moi. Le coach me fait jouer, j’ai la chance de pouvoir m’exprimer, montrer ce que je peux faire. J’essaie de donner le maximum.

La saison dernière, je n’ai pas marqué mais il n’y a pas beaucoup d’attaquants qui l’ont fait à part, peut-être Jo. À mes yeux, toute l’équipe était dans la difficulté lors des six premiers mois. Après, c’est sûr qu’avec mon transfert et tout, on ne voyait que Loïs car je ne marquais pas. J’ai mouillé le maillot à tous les matches, je n’ai jamais triché, je me suis toujours donné à fond. Malheureusement, cela n’a pas tourné en ma faveur. Je veux montrer ma vraie valeur. Pour l’instant, je pense que je fais cela bien."

L'ASSE, qui avait refusé une offre de 10 M€ de Fulham pour Ole Selnaes il y a deux ans, "ne souhaite pas céder son milieu norvégien à moins d'une offre folle" selon la Pravda du jour. Soulignant que les Cottagers sont toujours intéressés par le numéro 17 des Verts, le quotidien sportif rappelle que le mercato anglais prend fin ce jeudi soir.

Selon la dernière édition du Progrès, "l’ASSE et l’OM n’ont pas encore trouvé d’accord pour le transfert de Rémy Cabella." Mais le quotidien régional assure que "les négociations sont tout de même avancées et la fin du feuilleton est toujours espérée pour cette semaine."

Comme la saison passée, le match Sainté-Guingamp sera arbitré par Amaury Delerue (41 ans), l'agrégé d'EPS qui avait fait péter les plombs à Roro contre Monaco. Heureux présage ? Les Verts avaient battu l'En Avant 2-0 grâce à des buts de Neven Subotic et Rémy Cabella le 18 mars dernier.

C'est ce que semble savoir Yahoo sports qui transmet l'info via son compte twitter :
Accord de principe entre l’OM et ASSE pour Rémy Cabella. Transfert 7,5M + 2M de bonus. Manque quelques détails pour l’accord ASSE / Cabella qui devrait toutefois intervenir dans la semaine.

Une information publiée, semble-t-il, peu après que les dirigeants stéphanois et marseillais se sont rencontrés.

 

Le site officiel de l'Entente Sannois Sannois Saint-Gratien vient d'officialiser l'information parue il y a quelques jours : Rayan Souici y sera de nouveau prêté cette saison. Sous contrat avec l'ASSE jusqu'en 2021, le milieu défensif a effectué une partie de la saison dernière en prêt au sein de ce club de National. Il n'entrait pas dans les plans du staff stéphanois, effectuant la préparation d'avant-saison avec la réserve.

Non, Poteaux Carrés ne s'est pas recyclé dans l'info météo. C'est plutôt du départ de Jonathan Brison dont il s'agit. Celui-ci qui quitte en effet les Chamois Niortais, son contrat ayant été rompu d'un commun accord. Auteur de 90 matchs avec les Verts, Paprika aura été moins en réussite à Niort où il n'aura été aligné que 28 fois en 2 saisons, la faute, notamment, à une longue blessure.

Si le pédigrée de Guingamp n'inspire pas immédiatement d'inquiétude, il faudra se méfier des hommes de Kombouaré appelés à venir faire l'ouverture dans le Chaudron dans 5 jours.

En effet, Guingamp a misé sur la stabilité cet été. Seuls départs marquants, ceux des ex-vilains Briand et Grenier, l'un ayant été remplacé par Nolan Roux, l'autre ne l'étant pour l'instant pas.
La composition du dernier match amical remporté samedi (1-0) contre Nîmes en atteste : 10 des 11 titulaires appartenaient au groupe la saison dernière. Tabanou et Roux ont débuté ce dernier match et devraient en faire de même samedi.

Avant de bouffer du Croco, les troupes de Kombouaré avaient notamment étripé Caen (3-1) et sablé le champagne contre Reims (4-1), Roux et Salibur étant les meilleurs buteurs bretons de la préparation avec chacun 3 pions.

Non conservé par l'ASSE après deux années passés sous le maillot vert, Luan Sabayo (18 ans) va poursuivre son aventure en métropole. Apparu seulement à trois reprises la saison dernière en championnat des U19 nationaux, l'attaquant guyanais s'est en effet engagé avec le Stade Poitevin (National 3). La Nouvelle République nous apprend qu'il était titulaire hier lors de la victoire de sa nouvelle équipe contre Bourges.

La dernière édition du Progrès nous donne des nouvelles des joueurs qui se sont blessés avant-hier lors du dernier match de préparation des Verts remporté 3-0 contre la bande à Allan Saint-Maximin.

"Pour Gabriel Silva, le docteur de l'ASSE Tarak Bouzaabia rassure : "C’est une contusion à la jambe gauche avec sidération du nerf. Il va beaucoup mieux. Robert Beric souffre d’une lésion probable à l’ischiojambier droit et Mathieu Debuchy a une entorse de la cheville droite".  Si la radio passée par Debuchy n’a pas montré de fracture, d’autres examens sont programmés. "Je vais demander lundi des IRM pour Mathieu et Robert". Jean-Louis Gasset devra sans doute se passer des deux joueurs au moins pour le premier match de la saison."

La Pravda du jour fait le point sur le cas bella. Extraits.

"Un rendez-vous est programmé aujourd’hui entre le président marseillais, Jacques-Henri Eyraud, et ses homologues stéphanois pour discuter d’un transfert définitif de l’attaquant sous contrat jusqu’en 2020 à Marseille. Déjà prêté à l’ASSE la saison passée (27 matches, 7 buts et 6 passes décisives toutes compétitions confondues), Cabella est une priorité de Jean-Louis Gasset, dont les demandes ont été en partie satisfaites avec la signature de Wahbi Khazri. Mais, jusqu’à présent, les positions des deux clubs étaient très éloignées, vu le prix initial réclamé par l’OM (12 M€) pour céder son joueur, pourtant promis au banc de touche. La situation était même crispée entre les parties et l’ancien Montpelliérain semblait plutôt se diriger vers l’étranger – il avait des touches en Turquie et en Russie, notamment – malgré un intérêt prononcé de Nice. Mais la priorité de l’international est bien de rejoindre définitivement les Verts, où il se sent à l’aise et possède de vrais liens avec certains joueurs.

Le contact entre les deux clubs a donc été rétabli récemment. À quel prix ? Ce sera l’un des enjeux de la réunion du jour, alors que Saint-Étienne serait prêt à formuler une offre d’environ 6 M€. Les dirigeants marseillais, qui se montrent plus raisonnables sur l’indemnité de transfert, semblent ouverts à la négociation, conscients des tarifs du marché. Si un dénouement favorable peut intervenir rapidement, il n’est pas certain que Cabella puisse rejoindre Saint-Étienne dès cette semaine. En l’absence de Florian Thauvin, de retour à l’entraînement aujourd’hui, et de Lucas Ocampos, en phase de reprise après une entorse de la cheville contractée le 13 juillet en amical contre… Saint-Étienne, Rudi Garcia n’a pas beaucoup de solutions pour animer les ailes de son attaque. L’entraîneur pourrait donc demander à disposer de Cabella pour un match encore, face à Toulouse, vendredi, pour l’ouverture de la saison de Ligue 1."

Réaffirmée dernièrement par Frédéric Paquet, la volonté de faire de la place aux jeunes de la réserve n'est pas nouvelle mais ne s'est pas toujours concrétisée. Au-delà d'un effectif pour le moment plutôt restreint qui pourrait, si les choses restaient en l'état, donner la possibilité à certains d'entre eux de se montrer au cours de la saison, cherchons à savoir ce qu'a dit la préparation des chances de chacun.

C'est pas moins de 16 jeunes joueurs peu habitués à côtoyer les pros qui ont foulé les pelouses de cette préparation. Parmi eux, on en pointera 6 qui n'ont joué que lors de la première rencontre facilement gagnée contre Andrézieux (N2, comme la réserve stéphanoise) : les gardiens Vermot et Bajic, les défenseurs Sagun, Fofana et Mezaber ainsi que l'attaquant Baghdadi.

Parmi les 10 joueurs restant, 5 ont eu du mal à passer le cap du stage au Touquet. A partir de ce match, les pros confirmés ont commencé à avoir massivement un temps de jeu conséquent. Cela s'est concrétisé par la disparition de Chambost du groupe pro, mais également par un temps de jeu famélique pour Abi (24', il est par ailleurs le seul joueur à avoir joué plus d'un match de préparation à compter, sur l'ensemble des six matchs, un temps de jeu inférieur à 90'), Gueye (26'), Pétrot (33') et Benkhedim (40').

Parmi les 5 joueurs restants, certains n'ont toutefois pas eu un temps de jeu beaucoup plus important. Mais Martin-Pichon, qui a moins joué qu'un certains nombre des garçons précédemment cités, a la particularité d'avoir évolué lors de tous les matchs. C'est également le cas de Kenny et Saliba, auteurs respectivement de 2 et 4 mi-temps complètes.

Enfin, les 2 joueurs qui se sont le plus intégrés aux compositions ont été Panos, qui a finalement joué plus que Debuchy, et Camara, bénéficiant d'un temps de jeu supérieur à n'importe quel milieu. Ce sont par ailleurs les seuls jeunes à avoir pu s'exprimer lors d'un match sur une durée supérieure à une mi-temps.

Attention tout de même, blessures et absences diverses ne sont pas pour rien dans ce temps de jeu, et l'on rappellera également la sortie précipitée de Camara contre Amiens. Il va désormais s'agir de confirmer me potentiel entrevu, peut-être dès samedi, contre Guingamp, en ouverture du championnat.

Amiens, chef lieu de la Somme, en a demandé une trop grosse pour lâcher Moussa Konaté à Sainté. Selon la dernière édition du Courrier Picard, l'ASSE a refusé de mettre les 15 M€ exigés par le club de Mathieu Bodmer.

Deux semaines après avoir repris l'entraînement, les U17 nationaux ont remporté hier leur premier match de préparation contre Montferrand (3-1).

Après avoir concédé l'ouverture du jeu sur corner contre le cours de jeu, les protégés de Christophe Chaintreuil (photo) ont logiquement concrétisé leur domination. Mathys Saban a égalisé de l'intérieur du pied suite à joli débordement d'Yvann Bonnemain. Marie-Gaël Mukanya sous le cagnard près de Vulcania a donné l'avantage aux Stéphanois en prenant à contrepied le portier bougnat sur un tir de Lucas Gourna. En seconde période, Yanis Lhéry a assuré un break définitif sur exploit personnel ponctué d'une frappe pied gauche premier poteau.

Dans Le Journal du Dimanche, Bernard Caïazzo regrette que les clubs pros français soient plombés par des charges bien plus importantes que leurs concurrents européens.

"Ceux qui estiment que le football français est devenu riche à la suite du récent appel d’offres sur les droits TV nationaux devraient étudier le sujet de plus près et bien intégrer le fait que le montant annoncé le 29 mai (1,15 milliard d’euros annuel) correspond au cycle 2020-2024, qui débutera donc dans deux ans. La photographie de la période 2016-2020 dit tout de la place qu’occupe actuellement la France en Europe. La Premier League anglaise culmine à près de 2 Mds€ de droits TV domestiques, suivie par la Bundesliga  allemande (1,4 Md€), la Serie A italienne (1,1 Md€), la Liga espagnole (1 Md€) et la Ligue 1, qui, avec 738 M€, ferme la marche. De plus, les montants des droits TV internationaux accentuent les écarts entre les ligues : l’Angleterre perçoit plus de 1 Md€, l’Espagne flirte avec les 700 M€, l’Allemagne et l’Italie sont à 300 M€ et la France à… 70 M€ ! Notre pays accuse un tel retard dans la vente et la diffusion de ses images à l’étranger qu’il lui faudra au moins cinq ou six ans, dans le meilleur des cas, avant d’espérer revenir dans la course malgré sa victoire en Coupe du monde.

Tout observateur devrait d’ailleurs s’interroger sur la distorsion de résultats entre notre sélection nationale et nos meilleurs clubs : si, depuis vingt ans, l’équipe de France a disputé cinq finales sur onze possibles dans les grandes compétitions (Coupe du monde, Euro), les clubs, eux, n’en ont joué que quatre sur quarante-deux, sans succès. Alors qu’ils forment des joueurs de dimension mondiale, ils se révèlent incapables de les conserver en raison des carcans et des boulets qui les freinent. Nos clubs se débattent avec très grande difficulté dans une compétition sportive et économique sans merci où règnent les quatre autres championnats européens majeurs. Cette bataille ne se livre pas que sur la pelouse. Il s’agit d’une concurrence impitoyable dont nos entreprises connaissent parfaitement les ressorts. Or le constat est sévère : quatre clubs français, seulement, figurent dans le classement des 50 clubs les plus riches du continent européen. À cela s’ajoute un écart considérable de charges patronales. Ainsi, des clubs comme Saint-Étienne ou Nice en paient-ils davantage que les 18 clubs de Bundesliga réunis.

Alors, direz-vous, tout changera à partir de 2020 lorsque le nouveau cycle sera effectif. Erreur. Pour mieux apprécier les droits que nous recevrons, il faut mettre en regard les montants nets perçus par les clubs plutôt que les montants bruts versés par les diffuseurs. Avec ce mode de calcul, la Ligue 1 se situera en réalité au-dessous du milliard (955 M€) alors que l’Angleterre atteindra plus de 2,5 Mds€, l’Allemagne 1,2 Md€, l’Espagne 1,1 Md€. Pourquoi la Ligue 1 percevra- t-elle 200 M€ de moins que la somme déclarée lors de l’appel d’offres ? C’est simple : ils serviront à financer en partie le sport amateur par le biais de la taxe Buffet, à accorder une aide directe à la Fédération française de football et à soutenir la Ligue 2. À l’étranger, les ligues professionnelles n’ont pas une telle obligation de partage dans des proportions aussi élevées.

Les clubs de l’élite acceptent volontiers cette redistribution qui vise à traduire leur solidarité et à assurer le développement de notre sport. En revanche, ils ne supportent pas ce discours funeste selon lequel le football français, qui tente de rattraper son retard, devrait se voir infliger de nouvelles taxes. Dans notre bataille incessante face à la puissance de nos adversaires, un appel d’offres réussi ne suffit pas à renverser les positions établies depuis si longtemps. Notre football, grand vecteur d’emplois et facteur de cohésion sociale, comme on l’a vu cet été avec le titre de champion du monde, possède un potentiel indéniable. Évitons d’entraver sa progression qui profite à des dizaines de millions de passionnés."

Dans un long entretien paru hier sur le site Foot d'Avant, Ilan est revenu ses vertes années. Extraits.

"Quand je suis arrivé à Sainté, je vivais dans un hôtel en banlieue et j’ai eu une mauvaise impression. Je me suis dit : « oulala qu’est-ce que je fais ici ». Mais les premières impressions peuvent être trompeuses car au club, ça se passait très, très bien. Le centre d’entraînement était superbe, l’équipe était vraiment de qualité. Je m’entendais tellement bien sur le terrain avec Fréderic Piquionne. Avec lui, c’était vraiment facile de se trouver. Je ne me suis jamais aussi bien entendu avec un autre attaquant. Il y avait aussi Blaise Matuidi, Dimitri Payet, Jérémie Janot. Avec cette très belle équipe, on aurait pu faire beaucoup mieux. C’est rageant qu'on n'ait pas réussi à accrocher une place sur le podium. Saint-Étienne avait tout ce qu’il fallait pour viser très haut. Mais à l’époque, le championnat de France n’était pas d’un bon niveau technique avec des équipes très défensives comme Nancy par exemple. Quand tu avais besoin de gagner en produisant du jeu, c’était très, très compliqué. A Saint-Étienne, j’ai retrouvé la même ferveur qu’au Brésil. Le public est très chaud. Mais contrairement au Brésil, les supporters stéphanois sont plus respectueux. Même quand ils venaient nous voir au centre d’entraînement pour exprimer leur mécontentement, ça restait toujours cordial. Sinon, j’ai aimé jouer au Stade Geoffroy-Guichard car le public ne lâche jamais son équipe. Je me suis toujours bien senti dans ce stade.

Mon retourné acrobatique au Parc des Princes, en fait, c’était un pari que j’avais fait avec mon agent Mathias Pires. Je lui avais dit : « tu vas voir, je vais marquer un but d’une bicyclette dans la lunette cette saison ». J’en avais déjà marqués plusieurs comme ça au Brésil. A la fin des entraînements, on s’amusait un peu et je tentais pas mal de retournés. Et lors de ce match à Paris, ce geste est venu vraiment naturellement. Le ballon est arrivé côté gauche. Pascal Feindouno centre, Bafé Gomis me la remet et c’était écrit dans ma tête. J’étais dans une position bizarre, de travers, un peu en diagonale et je me suis dit : « je vais la lever et faire un ciseau, peut-être que le gardien va être surpris ». C’est ce qui est arrivé. Après ce but, à chaque fois que j’allais à Paris, des supporters parisiens me disaient : « viens jouer au PSG ! ». Même à Lyon, ça s’est toujours bien passé pour moi. J’y allais souvent le lundi car c’était le jour de congés. Je ne me suis jamais fait insulter là-bas.

Je me rappelle très bien mon but contre Rosenborg. Geoffrey Dernis me donne un ballon un peu en arrière et je fais un enroulé à la Thierry Henry. Ce but était important pour Saint-Étienne car il nous assurait la qualification pour le tour suivant. En plus, je revenais d’une opération des sinus et j’avais perdu beaucoup de poids. J’ai adoré jouer la Ligue Europa. En plus, ça faisait plus de vingt ans que Saint-Étienne ne jouait plus la Coupe d’Europe. Contre Valence, j’ai aussi inscrit un doublé alors que le terrain était enneigé. Sans oublier mon but contre l’Olympiakos. Pour moi, ce parcours en Coupe d’Europe avec Saint-Étienne est l’un des meilleurs moments de ma carrière. Quand tu joues cette compétition, le monde entier te voit. Même mes parents me regardaient à la télé au Brésil. C’est dans ce genre de compétition que tu savoures ton métier de footballeur.

Malheureusement cette saison-là, Saint-Étienne était très mal classé en championnat et le club a préféré mette de côté la Coupe d’Europe alors que vous faisiez un superbe parcours. s’est fait éliminer par le Werder Brême. Alain Perrin ne m’a pas laissé jouer ni là-bas, ni à Geoffroy-Guichard. J’étais fou de rage de ne pas jouer ces deux matchs de Coupe d’Europe. Il y avait un tel contraste entre l’équipe du championnat de France et celle de la Ligue Europa. J’avais l’impression que l’équipe était lassée du championnat. Mais dès qu’on jouait la Coupe d’Europe, il y avait d’autres joueurs sur le terrain. Au final, Saint-Étienne a été éliminé de la Ligue Europa par le finaliste de la compétition. Heureusement, j’ai participé au maintien de Saint-Étienne en Ligue 1 lors du dernier match de la saison contre Valenciennes. Je me souviens de la mise au vert d’avant-match, je voyais Roland Romeyer préoccupé. J’étais le capitaine des Verts à cette époque. Je lui ai mis la main sur l’épaule et je lui ai dit : "Comptez sur nous, on va gagner largement le match de demain et on ne va pas tomber en Ligue 2"

J’ai ressenti une rage immense quand j’ai ouvert le score. Je voulais que toute l’équipe s’imprègne de cette rage. Avant mon passage à Saint-Étienne, je ne m’étais jamais battu à l’entraînement. Mais la semaine qui a précédé ce match face à Valenciennes, j’ai eu une altercation avec Yohan Benalouane. Il me tacle avec les deux pieds décollés. Alain Perrin n’arrête pas la séance. Je dis à Yohan Benalouane : « mais t’es malade, on a besoin de gagner demain ». Quelques secondes plus tard, c’est moi qui le tacle. On se relève et on se bagarre. Je me suis excusé dans le vestiaire et j’ai dit au groupe : « il faut qu’on se bagarre comme ça demain contre Valenciennes. Il faut qu’on les mange dès les premières minutes ». D’entrée de jeu, Valenciennes n’a pas respiré et c’est pour ça que j’ai marqué très tôt. Quand je trouve le chemin des filets, les images de l’entraînement de la veille me reviennent en tête. Ensuite, on marque le deuxième, le troisième et le quatrième but. A la fin du match, Christophe Galtier a dit dans le vestiaire : « c’est bon Ilan, tu nous as bien aidés, tu n’as pas besoin de venir au décrassage demain, tu as mérité de repartir en vacances au Brésil dès ce soir ». Je suis parti de Saint-Etienne parce que j’en avais un peu marre. J’avais fait un peu le tour. L’ambiance dans le vestiaire n’était pas super bonne. Je ne comprenais pas pourquoi Sainté n’avait pas l’ambition de jouer les cinq premières places."