
Il danse, le Milla !
10/01 07:09
Auteur du second but de la victoire d'Andrézieux contre l'OM dimanche dernier en Coupe de France, l'ancien Vert Florian Milla évoque le Sainté-Marseille du 16 janvier dans Le Progrès du jour.
"Je suis quelqu’un qui part du principe qu’il n’y a pas de hasard dans la vie. Je ne suis pas passé pro à Sainté mais ce n’est pas pour ça que je vais me plaindre ou que je vais dire que c’est de la faute de telle ou telle personne. On a notre part de responsabilités. Cela ne s’est pas fait. Je ne peux même pas dire si j’ai des regrets ou pas. Aujourd’hui, j’avance. L’ASSE est le club que j’ai dans mon cœur. Mercredi prochain, face à l’OM, j’espère que Dieu fera grâce aux Verts de vivre la même chose que nous. Comment faut-il jouer l’OM ? Je ne sais pas parce qu’on n’a pas les mêmes qualités que l’ASSE. Nous, on a préféré jouer à cinq derrière pour bien les bloquer, rester solides défensivement et évoluer en contres. Ils ont des joueurs comme Thauvin et Payet qui sont capables d’exploits. Il n’y a pas de formule pour battre Marseille. Ils vivent une période un peu difficile. Mais ils ont de l’expérience et sont capables de renverser la situation. Il va falloir que les Marseillais retrouvent une plus grande solidarité, une âme dans le groupe."
Perrin incertain
10/01 06:59

Comme nous l'avait révélé Thomi, Loïc Perrin avait dû quitter prématurément l'entraînement il y a trois jours. Selon la dernière édition du Progrès, le capitaine stéphanois souffre d’une contracture aux adducteurs droits. "Il a été laissé au repos mercredi et jeudi. En parallèle, il va recevoir des soins. Sauf évolution défavorable de la blessure, il est prévu qu’il retrouve le terrain vendredi, soit la veille du déplacement à Guingamp. Il sera réévalué à ce moment-là par le staff médical de l’ASSE."
Adil l'a dit
10/01 06:46

Selon la dernière édition de la Pravda, le staff de l'OM à invité mardi chaque joueur phocéen à vider son sac devant le groupe. "C'est une nouvelle saison qui commence, les éliminations en coupe sont un mal pour un bien, on va se focaliser sur le championnat" a déclaré Adil Rami. "On peut le faire, cette crise doit nous servir de leçon. On gagne contre Monaco et Saint-Etienne, et c'est reparti !"
L'EAG succède à Sainté
09/01 23:27

La lanterne rouge Guingamp, qui recevra les Verts samedi soir au Roudourou, s'est imposée 2-1 au Parc des Princes ce soir en Coupe de la Ligue. Du coup la 6e place ne sera pas européenne cette saison !
Le QSG était invaincu depuis 19 matches dans cette compétition. Leur dernier revers, au même tour (quart de finale), remontait en effet au 27 novembre 2012. Ce soir là, les Verts s'étaient qualifiés aux tirs au but dans le Chaudron à l'issue d'un héroïque match nul et vierge.
Les Verts surveillent les crocos
09/01 21:44
La minute sport du site Objectif Gard nous apprend que, samedi dernier, lors du match des 32e de finale de Coupe de France, perdu 3-0 par Nîmes sur la pelouse de Lyon-Duchère, un recruteur de l'ASSE était présent en tribunes. Ce dernier a demandé à un journaliste du site une feuille de match et lui a simplement notifié, "qu'il venait voir certains nîmois". On s'en doutait ! Une présence qui justifie certainement les rumeurs d'un intérêt des Verts pour Denis Bouanga.
Néry heureux pour Andrézieux
09/01 19:51

Nouveau coéquipier de Vagner, le latéral nancéien Loris Néry se réjouit dans L'Est Républicain de la victoire de son ancien club contre l'OM en Coupe de France.
"J’ai joué là-bas dans les catégories jeunes. J’ai commencé le foot à Saint-Etienne mais je suis passé par Andrézieux deux saisons avant de retourner chez les Verts. Je suis toujours resté proche du club d’Andrézieux. L’été dernier, pour travailler physiquement dans l’attente de retrouver un club pro, je me suis d’ailleurs préparé avec Andrézieux.
Je les ai supportés devant ma télé dimanche après-midi. Le fait de disputer ce match à Geoffroy-Guichard aurait dû avantager les Marseillais. Autant je pensais Andrézieux capable de poser des problèmes à l’OM dans son stade habituel, autant je ne voyais pas trop les amateurs faire l’exploit sur un terrain comme celui de Geoffroy-Guichard. Andrézieux a mérité sa qualification sur l’ensemble de la rencontre.
J’avais déjà pu mesurer la qualité de l’effectif durant la préparation alors que le recrutement n’était pas terminé. Andrézieux est depuis longtemps réputé pour son sérieux, c’est un club sympa, avec de bonnes installations. L’équipe a raté la montée en National de peu l’année dernière. C’est le deuxième club de la Loire derrière l’AS Saint-Etienne. Chaque année, des jeunes non-conservés par les Verts viennent continuer leur carrière à Andrézieux."
Un Dijon à l'heure de l'apéro
09/01 17:58

Vu la programmation du derby au 20 janvier, on savait déjà que le 16e de finale de Coupe de France des Verts aurait forcément lieu le mercredi 23 janvier. On connaît désormais l'horaire de la réception de Dijon : 18h30.
La rencontre sera à suivre en direct sur Eurosport 2 en multiplex avec Saint-Pryvé Saint-Hilaire (N2) - Stade Rennais (L1), Bergerac (N2) - Orléans LF (L2) et Marignane GFC (N) - Croix (N2).
Katranis sort de l'impasse
09/01 16:56
Alors que le club de Mouscron, où il était prêté depuis le début de saison, a fait savoir qu'il ne voulait plus de lui, Alexandros Katranis a très certainement trouvé un point de chute. Le site Sportime annonce en effet que le latéral est sur le point de s'engager avec le club Grec de l'Aris Salonique. Il reste encore quelques détails à régler, mais l'affaire devrait être bouclée dans les prochaines heures. Le site ne donne cependant pas de précisions concernant la durée du contrat, ni s'il s'agit d'un prêt ou d'un transfert définitif.
Une vraie performance, c'est Clerc !
09/01 13:37
Prochain adversaire (ce samedi soir à 20h00 au Roudourou), Guingamp va défier ce soir au Parc le QSG, invaincu depuis 44 matches dans les coupes nationales. Faisant partie de la dernière équipe à avoir éliminé Paris de la Coupe de la Ligue, l'ancien Vert François Clerc évoque dans Le Parisien ce match du 27 novembre 2012.
"Cela reste impressionnant. Ne pas perdre en coupe dans des épreuves où il y a souvent des surprises… Le petit bémol, c’est par rapport à cet effectif. Même quand ils font tourner, ils ont toujours une grande équipe. Mais arriver à gagner encore et encore, c’est quand même fort. Ils vont bien perdre un jour ou l’autre, mais je pense que ce sera plus contre une équipe de Ligue 1 chez elle.
Avec les Verts, nous les avions déjà battus un peu plus tôt en championnat. On avait une belle équipe, on était chez nous avec le public derrière. On savait qu’on devait être à 120 % et avoir un peu de réussite. On les a poussés en prolongation en tenant la dragée haute une bonne partie du match et Ruffier a fait les arrêts qu’il fallait. Avec le recul, c’était une vraie performance. Mais pour éliminer le PSG, il faut que les planètes soient alignées."
Khettab content à 80%
09/01 07:01

Sur le site actufoot, l'entraîneur starsbourgeois Mohamed Khettab revient sur la lourde défaite de ses protégés contre les Verts dimanche dernier en 32e de finale de Coupe de France.
"Je me remets tout doucement de cette défaite, et de cette belle aventure. Il reste beaucoup de belles images, le stade, l’équipe professionnelle. Monsieur Gasset n’a pas plaisanté, il a mis l’équipe type, sauf les retours de blessure. Il y a beaucoup de souvenirs très positifs. L’équipe de Saint-Etienne a eu un comportement très humain, par rapport à ce que renvoie le monde pro, où c’est distant, glacial. Je les ai trouvés très proches, ça m’a fait plaisir. Le négatif ? J’ai été un peu déçu par rapport à l’entame des deux mi-temps. Inconsciemment, mes joueurs avaient déjà gagné. Il y avait eu la reconnaissance, une belle aventure. J’ai l’impression que, ce match, ce n’était pas la peine d’essayer de le gagner, même s’ils étaient très forts. Cabella, Khazri ont joué très fort, comme une Ligue 1.
J’en veux à mes joueurs car ils sont allés voir les spectateurs avant le match et, à la mi-temps, ils sont allés demander le maillot. On a pensé à la fête, alors que j’aurais aimé qu’on soit plus consistant, qu’on ait moins de naïveté. Le troisième but nous a fait mal, car à 2-0, on pouvait avoir une occasion pour essayer de marquer et être dans le coup, même s’ils étaient supérieurs à nous dans tous les compartiments. Il y a 80 % de positif. Mais je suis un compétiteur, il n’y a que dans la gagne que je prends 100 % de plaisir. Il y avait de la justesse technique, tout le temps, on ne pouvait pas rivaliser, mais je voulais que l’on donne plus de fil à retordre. Financièrement ? Il va nous rester 70 000 euros, c’est magnifique. On n’en demandait pas tant. Maintenant, il va falloir rebondir."
Les Rouges montrent la voie aux Verts (2)
09/01 06:50

Cinq joueurs andréziens tombeurs de l'OM dimanche dernier en Coupe de France évoquent dans Le Progrès le match en retard de la 17e journée qui opposera Sainté à Marseille dans une semaine dans le Chaudron. Extraits.
Romain Barge : "Étant du coin, je suis l’ASSE. Si je peux, je viendrai au stade. Je pense que les Verts n’ont vraiment pas de conseils à recevoir de ma part. Ils ont un staff compétent. Les joueurs le sont aussi. Ils vont préparer leur match. L’analyse qu’on avait faite avant la rencontre, c’est que les Marseillais se trouvaient dans une phase compliquée. Je pense que c’était vraiment le meilleur moment pour les jouer."
Anthony Vacheron : "Les Marseillais sont moins bien mais cela arrive à tous les grands clubs. Je suis persuadé qu’ils vont rebondir. Je suis né ici, j’y ai passé toute mon enfance et j’ai même évolué au centre de formation de l’ASSE. Si j’ai des places pour mercredi, je viendrai. Le seul conseil que je pourrais leur donner c’est de gagner les duels."
Nicolas Markut : "Il y a une âme chez nous, on forme une famille, une vraie équipe. J’ai joué à l'ASSE, j'ai toujours vécu ici. Bien sûr que je suis pour les Verts. J’espère que les Marseillais ne rebondiront pas mercredi prochain."
Noé Cabezas : "Les Marseillais sont prenables si on fait vraiment des efforts très intensifs. On a beaucoup couru. L’OM reste une très belle équipe, elle se sert très bien de la largeur du terrain. Contre nous, ils avaient 80 % de possession du ballon. On avait plus de rage, plus de hargne que l’OM. Je pense également que les Verts ont plus de caractère que les Marseillais. C’est ce qui peut faire la différence."
Bryan Ngwabije : "Entre l’ASSE et l’OM, ça se jouera au mental. Ce ne sont pas les pieds qui manquent aux Marseillais, c’est la tête."
Un seul carton : le score !
08/01 21:23
Les Verts sont rentrés d'Alsace sans carton dans la besace. C'est la troisième fois de la saison qu'ils ont été irréprochables (après le nul à Montpellier et la victoire contre Monaco). Yann M'Vila et Timothée Kolodziejczak ont eu la bonne idée de ne pas manger une biscotte à la Meinau qui aurait été synonyme de suspension contre l'OM. Le défenseur prêté par les Tigres de Monterrey reste le seul joueur stéphanois sous la menace. Mais s'il prend un jaune à Guingamp, il ne sera suspendu que pour la réception de Dijon en Coupe de France, comme nous le rappelle ozzy dans son incontournable tableau des cartons.
.... le tableau complet des suspensions (depuis le début de saison) .... ici
quelques petites explications:
- en jaune avec un J, les cartons qui comptent toujours dans la période de 10 rencontres de compétition officielle pour une éventuelle suspension
- en jaune seulement, les cartons qui ne comptent plus
- en gris avec un S, la journée où le joueur purge sa suspension
- le S+ correspond à un match ferme assorti d'un match avec sursis
- en pointillé, les journées où le joueur est sous la menace d'une suspension en cas de carton jaune
- en gris, la journée où le joueur serait suspendu en cas de carton jaune lors du prochain match
- les joueurs libellés en rouge sont insuffisamment prêts ou indisponibles pour blessure
Aziz Soylu a compté les sous
08/01 21:18
Le dynamique et sympathique Président de l'Olympique de Strasbourg, Aziz Soylu, était, hier, de retour à la vie normale. Il se réjouissait que son club ait réussi à assurer l’organisation coûteuse d’un tel match, et il était rassuré par le bilan financier de ce match contre l'ASSE pour le compte des 32èmes de finale de la Coupe de France.
"On a atteint notre objectif financier premier : ne pas se casser la gueule sur ce match." avoue-t-il au site de 20 minutes. Malgré le soutien de l’adjoint aux sports de la ville et l’aide du Racing, Aziz Soylu a tant galéré (coût élevé, absence de parcage dans un autre stade…) qu’il avait un temps accepté d’évoluer à Geoffroy-Guichard. Avant que la Fédération n’intervienne. Au final, l’affiche à la Meinau a été confirmée le 21 décembre, et les billets reçus le 28 seulement.
"On a perdu deux semaines, estime Aziz Soylu. On aurait pu être mieux préparés." Avec les 2.000 places vendues le jour du match, l’Olympique Strasbourg a toutefois dépassé les 6.000 entrées payantes. La onzième affluence des 32es de finale a ainsi permis au club aux 200 licenciés et 40.000 euros de budget annuel de rentrer dans ses frais, sans inquiétude. Sans gagner beaucoup d’argent en plus, néanmoins. Si l’Eurométropole, propriétaire, a mis à disposition le stade, et la FFF pris en charge le coût des écrans géants, l’Olympique Strasbourg a payé 77.000 euros pour la sécurité, le traiteur, la sonorisation, l’assurance et la pelouse. Heureusement, le club de Cronenbourg a dégagé 83.000 euros avec la billetterie.
Son vrai bénéfice, l'Olympique de Strasbourg le tirera de la dotation de la FFF eu égard à son parcours : 52.500 euros. "Pour le futur du club", insiste Aziz Soylu qui a plein de projets. Après la création de trois équipes jeunes (U13, U15, U18), il veut désormais être présent auprès des plus petits.
Gourvennec a les Verts en tête (2)
08/01 21:00

C'était déjà le cas juste avant Noël, ça l'est évidemment à quatre jours du match qui opposera l'EAG à l'ASSE au Roudourou : Jocelyn Gourvennec a les Verts en tête. Mais l'entraîneur de l'actuelle lanterne rouge de L1 ne compte pas pour autant faire l'impasse sur le quart de finale de Coupe de France programmé demain au Parc des Princes, comme il l'explique aujourd'hui dans Le Télégramme.
"On a beaucoup travaillé pour se qualifier à Nice et on va jouer ce match avec beaucoup d’envie. Après, on sait qu’il y a des matchs importants qui arrivent derrière en championnat : Saint-Etienne puis Rennes, Paris et Reims. Mais c’est un match de coupe et ce genre de matchs, il faut les aborder avec beaucoup d’envie, en sachant que c’est Paris et que c’est toujours difficile. Ils sont très durs à jouer mais dans un coin de notre tête, il y aura l’ambition de les pousser le plus loin possible, de les embêter, de réussir à les gêner le plus longtemps possible. Le rapport de force est largement défavorable mais il faut que l’on fasse, nous, un bon match. Je veux que l’on respecte ce que l’on aura décidé avant, qu’on ne fasse pas de fautes bêtes qui, contre Paris, ont souvent des conséquences importantes.
On aura une équipe compétitive. Je suis évidemment obligé de tenir compte des échéances qui suivront mais pas dans l’esprit de faire tourner ou de relancer tel ou tel. Je le redis parce que la question va se poser avant les matchs suivants : moi, je ne donne pas de temps de jeu, ce sont les joueurs qui vont en chercher. Quand je vais faire une opposition le dimanche matin avec le staff pour les joueurs qui ont peu ou pas joué, des choses apparaissent. On voit que certains peuvent prétendre à du temps de jeu et que d’autres ont besoin d’en faire plus pour aller en chercher. In fine, il y a les choix du coach mais ces choix sont dictés par le comportement, l’investissement et la forme du moment des uns et des autres."
Dans le groupe guingampais retenu pour défier le QSG, on notera les absences de Jérémy Sorbon (touché aux quadriceps) Nicolas Benezet (pourtant remis de blessure), Guessouma Fofana (préservé pour affronter Sainté) ainsi que des recrues Papy Djilobodji et Didier Ndong (toujours pas qualifiés).
Le quadruplé de Bafé
08/01 19:33

Bafé Gomis a réalisé un quadruplé samedi soir lors de l'écrasante victoire (9-0) d'Al Hilal contre Al Drae lors de la Coupe des Champions. Une fois n'est pas coutume, l'ancien attaquant stéphanois n'a pas fait la panthère tant l'adversaire (D3 d'Arabie Saoudite) était faible.
Avec Beric et Subotic, petite alerte pour Loïc
08/01 18:13
Envoyé spécial à L'Etrat, le potonaute Thomas a assisté à l'entraînement du jour. Un grand merci à lui pour ce compte rendu !
Devant une très faible affluence (seulement 15 spectateurs), la séance a débuté à 15h sous un temps gris et faiblement pluvieux, avec 4 petit degrés au thermomètre.
Le groupe : Ruffier, Moulin, Bajic, Vermot, Cremillieux - Perrin, Subotic, Saliba, Gabriel Silva, Polomat Mbengue - M'Vila, Selnaes, Diousse, Camara, Benkhedim, Kenny - Salibur, Hamouma, Khazri, Gueye, Nordin, Beric.
Diony, Cabella et Monnet-Paquet ont fait un footing à part, Debuchy et Kolodziejczak étaient absents.
Échauffement :
Petit échauffement musculaire de 5 minutes. Petite course tranquille.
Puis deux groupes de 9 pour des toros bien engagés surtout pour le groupe : Selnaes, Beric, M'Vila, Perrin, Salibur, M'Bengue, Hamouma, Khazri, Subotic.
Printant anime et donne de la voix. Il balance quelques piques bien placées. Notamment à Cabella, Khazri et Selnaes.
Premier exercice :
Deux groupes de neuf (les mêmes que pour le toro). Chaque groupe sur un demi terrain. Même atelier pour les deux équipes.
Principe du jeu : Un ailier remet le ballon au milieu défensif qui lui-même remet à sa défense. La défenseur doit ressortir le ballon en écartant sur le côté et en cherchant la profondeur. Chaque situation doit se terminer par un centre devant le but.. Le jeu s'effectue en deux touches de balle maximum.
Printant est toujours chambreur notamment avec Dieu et son plat du pied trop mou qu'il compare à "un chou sans crème"
Les trois jeunes gardiens ont participé à cet atelier. Pendant ce temps, Ruffier et Moulin continuaient un échauffement intense sous la houlette de Fabrice Grange toujours très aboyeur.
Loïc Perrin est rentré au vestiaire à la fin de cet exercice. Le kiné lui a demandé s'il a arrêté. Dieu a acquiescé en montrant son adducteur. Simple principe de précaution me semble t'il. A noter que les terrains sont très gras.
Second exercice
Le principe est le suivant. Un tiers de terrain, quatre cages (deux de chaque côté). Deux équipes de huit. Les blancs (Silva, Nordin, Diousse, Camara, Saliba, Gueye et Benkhedim) et les Verts (les autres sauf Rocha qui joue avec une chasuble orange un rôle de jocker. Il peut aider chaque équipe.) Les gardiens Moulin, Cremillieux, Vermot et Bajic gardent chacun une cage. Ruffier poursuivra pendant 10 minutes un entraînement solitaire avec Grange. Puis il regagnera les vestiaires.
Le but du jeu est simple, jouer en triangle, se démarquer, trouver la profondeur. Pour l'anecdote, victoire des Verts (5/2). Romain Hamouma a inscrit un triplé et ses compères Robert Beric et Neven Subotic sur un magnifique raid solitaire ont également scoré pour les verts. Doublé coup sur coup du jeune Mahdi Camara pour les blancs.
Printant est le principal animateur des séances. Gasset est là pour superviser.
Il d'ailleurs eu une discussion avec l'Ange vert sur l'état de la pelouse Aimé Jacquet. Il est d'ailleurs aller l'inspecter pendant le dernière exercice de l'entraînement.
Initialement ouverte au public, la séance de demain se déroulera à huis clos.
La Ruff' espère la LdC
08/01 15:58
Ami de Manu Lonjon, Stéphane Ruffier, pourtant pas le plus loquace dans les médias, s'est livré pour le site Yahoo Sport. Extraits.
Sur sa fidélité aux deux clubs de sa carrière : "Il y a beaucoup de paramètres : le nombre d’années de contrat qu’il te reste, le montant de ton transfert, ton salaire et aussi la situation d’autres gardiens. Il y a trois parties à convaincre : le club vendeur, le club acheteur et le joueur. Par exemple, alors que j’étais devenu le gardien titulaire de Monaco depuis seulement un mois, j’ai reçu une offre de Lille. Ricardo, l’entraîneur, venait de me désigner titulaire et je trouvais que c’était trop tôt, que je devais faire une saison pleine, que ma place était à Monaco, dans mon club formateur. Lille avait pourtant un beau projet et l’offre était bonne. J’ai préféré rester. Évidemment que j’y ai repensé quand Lille a été champion de France (rires). On ne saura jamais ce qu’il se serait passé pour moi si j’avais signé. Autre exemple, il y a quelques années, j’ai été très proche de signer à l’AS Rome. Rudi Garcia, qui était déjà le coach quand Lille me voulait d’ailleurs, m’avait appelé. On avait échangé, j’étais intéressé. Je pensais vraiment signer là-bas, je m’étais renseigné mais finalement je crois que je coutais trop cher en transfert. Ça ne s’est pas fait. Et enfin, d’autres fois, je pouvais partir mais je ne voulais pas partir pour partir. J’ai eu pas mal d’offres pour signer dans le ventre mou du championnat Anglais mais quel intérêt ?
Le contrat, bien sûr, mais ce n’est pas un critère décisif pour moi car j’ai un bon contrat à Sainté. Je ne me plains surtout pas. Je suis dans le top 5 français, dans mon pays, ça ne m’intéresse pas d’aller jouer le milieu de tableau ailleurs même si c’est encore mieux payé. Je suis un compétiteur, ambitieux, donc mon critère principal est sportif. Beaucoup de gens pensent que l’argent est toujours le premier choix mais ce n’est pas mon cas. Je suis très heureux de ce que j’ai. Pour partir, il me fallait quelque chose de supérieur sportivement. Avec Saint-Étienne, j’ai dû jouer une quarantaine de matches de Coupe d’Europe (32, en fait, ndp²), on est réguliers dans le top 5/6 de Ligue 1. Le seul truc qu’il me manque ici, c’est d’avoir connu la Ligue des Champions. Mais je n’ai pas fini d’espérer ! C’est encore faisable. On ne sait jamais.
Sur le début de saison et l'équipe actuelle : "On est dans les temps. On a une trentaine de points, on aurait pu en avoir plus sans certaines décisions contraires. Le VAR ne nous a pas aidés. On monte en puissance, on joue mieux depuis quelques temps, si on continue cette progression dans le jeu, qu’on continue à être très difficile à battre chez nous, alors on peut espérer de belles choses.
Individuellement, c'est la meilleure équipe de Saint-Étienne que j'ai connu. J’ai connu de belles équipes à l’ASSE avec Faouzi (Ghoulam), Aubame (Aubameyang), Kurt (Zouma). On avait moins de qualités individuelles – car ils étaient en train de devenir des gros joueurs, d’emmagasiner de l’expérience mais pas encore ce qu’ils sont devenus – mais par contre, cette équipe a marqué son passage en gagnant un titre, en se qualifiant pour l’UEFA. Cette saison, nous avons des joueurs qui ont plus d’expérience. A cette équipe-là d’écrire sa propre histoire."
L'Olympique Strasbourg a imité Mandelieu
08/01 13:39


Comme nous le rappellent les potoanutes sam42 et Danish le Survivant, les Verts s'étaient déjà imposés 6-0 en Coupe de France. Le 10 mars 1991, les protégés de Christian Sarramagna avaient balayé sur ce score la modeste équipe de district de Mandelieu (Alpes-Maritimes) grâce à un doublé de Sylvain Kastendeuch et à des buts de Lubomir Moravcik, Thierry Laurey, Dominique Corroyer et Etienne Mendy.
Rémy et Wahbi les ont ravis
08/01 11:41
Comme l'atteste ce sympathique reportage diffusé hier sur la chaîne STRAS TV, Rémy Cabella et Wahbi Khazri ont communié à La Meinau avec les supporters de l'Olympique Strasbourg à l'issue du 32e de finale de Coupe de France. Classe !
Cap vers Nancy pour Vagner ! (3)
08/01 07:24

Dans la dernière édition de L'Est Républicain, l'attaquant stéphanois Vagner commente son arrivée en prêt (sans option d'achat) à l'ASNL.
"J'ai quitté mon Cap-Vert natal pour le Portugal, à l’essai pendant quatre mois au Benfica Lisbonne avant de devenir pro à Gil Vicente. Les soucis financiers de ce club et quelques problèmes familiaux m'avaient incité à rentrer au pays, en 2016. J’avais arrêté le football pendant cinq mois, j’étais un peu dégoûté. Le petit club suisse du FC Azzurri 90 m'a aidé à me remettre à niveau athlétiquement et ensuite j'ai signé chez les Verts.
Ça s’est tout de suite bien passé pour moi à Saint-Etienne. J’ai rapidement intégré le groupe des pro. J'ai fait quatre apparitions en L1 la saison passée. Cette saison, j'ai marqué cinq buts en douze matches de National 2. J’ai réussi une bonne première partie de saison mais ça n’a pas été suffisant pour gagner du temps de jeu en L1. Il y avait une forte concurrence. Alors, j’ai compris que c’était le moment pour moi d’être prêté pour continuer ma progression.
J’en ai parlé avec Arnaud Nordin qui a été prêté ici la saison dernière. Il m’a dit beaucoup de bien de l’ASNL. Je vais faire le maximum pour bien m’intégrer. Je veux aider l’équipe à se maintenir en L2. Je suis un joueur rapide et dribbleur. J’ai l’habitude d’être utilisé sur le côté, à droite ou à gauche peu importe même si je suis droitier. Je peux aussi évoluer dans l’axe, ça m’est arrivé cette saison avec la réserve de Saint-Etienne."
Un Paquet de remerciements pour Nanard et Roro
08/01 07:06

Sur France Bleu Saint-Etienne Loire, le DG de l'ASSE a tenu hier soir à rendre hommage à Nanard et Roro.
"On a fait une bonne première partie de saison. Ce n'est jamais simple dans ce championnat d'être dans les objectifs qu'on s'était fixés. Cela a été un combat, chaque match a été difficile. On a perdu à l'extérieur que contre des équipes qui sont devant nous et Bordeaux. On a été très performants à domicile. Je suis content même si on pourrait avoir quelques points de plus et être un petit peu plus haut. Des points qui nous ont été retirés par défaut. Ce qui est fait est fait. On peut être content du comportement de l'équipe. On doit reconnaître au coach et au staff la qualité qu'ils apportent à maintenir un groupe concentré, sérieux, qui ne lâche jamais rien et qui se défonce sur chaque match, qui a la capacité de se remettre en question. Il est aussi à mettre à l'actif de l'entraîneur le fait que dans ce groupe restreint choisi dès le début de saison, il n'a pas hésité à faire jouer des jeunes qui ont tenu leur rang.
Je rappelle que l'objectif est à la fois ambitieux et mesuré. Ambitieux car on souhaite être compétitif pour une place qualificative à l'Europe. Après, on n'a jamais donné de place car c'est un championnat qui est très compliqué et très serré. En trois matches, vous pouvez gagner trois places ou en perdre cinq. Après Paris, il y peu d'écart entre les cinq ou six équipes suivantes. On prend les matches les uns après les autres, on les joue, on les gagne si possible. On n'imagine pas à quel point la Ligue 1 est difficile. le match qu'on va avoir à Guingamp par exemple va être tout sauf facile. Je pense qu'il va être très difficile. Lorsqu'on se rapprochera de la fin de la saison, il sera temps de se fixer des objectifs un peu plus précis. Soyons sérieux, professionnels et efficaces et ça devrait bien se passer. L'objectif est de prendre le plus de points possible.
Le club a depuis longtemps un centre de formation qui est performant. La seule chose qui manquait peut-être ces dernières années, c'était de faire joueur un peu plus les jeunes pour qu'ils acquièrent de l'expérience. cela fait partie de l'ADN du club, on veut valoriser ça et on s'y emploie actuellement. Le coach joue parfaitement le jeu sur ce projet-là. L'ASSE a une aura, une notoriété, représente quelque chose de fort dans le football français. C'est un atout pour le club dans le recrutement. Il faut que le club plaise au joueur mais il faut aussi que le joueur plaise au club. Il est important pour nous de recruteur un bon joueur qui soit aussi une bonne personne, en accord avec les valeurs du club.
Piocher dans le vivier local est pour nous primordial. Il n'est pas concevable que les meilleurs jeunes du 42, du 43 voire d'un peu plus loin ne soient pas à l'ASSE. Il y a un travail qui est fait dans ce domaine, l'objectif est d'attirer les plus petits à fort potentiel dans le club, de grandir avec, et au fur et à mesure que l'âge passe, d'avoir une zone géographique un peu plus large.
Les deux actionnaires ont fait geste très fort cet été. De concert, ils ont pris de grands risques financiers, en tout cas ils ont fait de gros efforts, pour pouvoir construire une équipe qui soit solide et compétitive pour l'Europe. On est à un niveau important, je ne pense pas que les actionnaires désirent aller plus loin en termes d'investissement. Il faut être bien conscient de l'effort qui a été fait et remercier les actionnaires, qui ne sont pas aussi fortunés que ce qu'on peut trouver dans les clubs beaucoup plus riches. Ils prennent des risques personnels sur leur fortune personnelle, sur leurs biens à eux, ce n'est pas rien et c'est assez courageux ! Dans la construction capitalistique actuelle, on est au maximum de ce que peut être l'ASSE."
Chérot, lala !
08/01 06:57

Pisté par l'ASSE, le défenseur le plus prolifique des cinq grands championnats européens (3 buts et 6 passes décisives) Kenny Lala (27 ans) évoque son avenir dans la Pravda du jour.
Vous dites que le club aurait fixé ma valeur à 12 M€ ? Ça me surprend et ça m'a fait rire car je ne pensais pas valoir cette somme à dix-huit mois de la fin de mon contrat ! Mais c'est valorisant. Je suis entré dans une tranche d'âge où je dois atteindre le maximum de mon potentiel. Je suis en pleine force de l'âge. Dans ma carrière, je n'ai pas sauté d'étapes mais j'ai bien avancé. J'espère continuer à franchir les paliers pour aller encore plus haut.
Je ne me fixe aucune limite dans ma progression, tout comme je ne me fixe pas de moment pour partir. Je ne suis fermé à rien. Au regard de mon ambition, je sais que je peux partir à tout moment. Mais même une prolongation est envisageable. Je suis épanoui à Strasbourg, où j'ai passé un cap. Prolonger serait une récompense et cela ne m'empêcherait pas d'avoir certaines ambitions pour le prochain mercato d'été.
Il y a forcément des Championnats que je regarde plus que d'autres. Comme l'Angleterre ou l'Espagne, où des clubs font rêver. Mais en France aussi, des clubs permettent de rêver. Je ne suis fermé à aucun Championnat et j'irai dans un club qui peut m'aider à franchir des étapes supplémentaires. J'aimerais bien titiller le niveau international. Ce serait un honneur d'évoluer en bleu, aux côtés des champions du monde. Je m'en sens capable."
Le petit poucet a kiffé les plus forts
08/01 06:38

Dans Les Dernières Nouvelles d'Alsace, le défenseur central strasbourgeois Bakari N'Diaye revient sur la victoire des Verts en 32e de finale de Coupe de France.
"On savait qu’ils étaient largement au-dessus de nous. Khazri a fait la Coupe du monde quand même ! J’espèrais qu’ils seraient décontractés, qu’ils nous prendraient de haut. C’est un pur bonheur ! Le score, je n’y fais même pas attention, c’était un kif total. On a joué à notre niveau et on a fait plaisir aux supporters, c’est l’essentiel. Voir tous ces gens derrière nous dès l’échauffement, ça nous a vraiment fait chaud au cœur.
L’euphorie a fait qu’on a eu du mal au début. En arrivant, on voyait les Stéphanois les bras ballants, qui se disaient qu’ils allaient nous en mettre trois ou quatre. Nous, pendant ce temps, on sympathisait avec les supporters… Pendant le match, il y avait des gens qui criaient mon prénom, mais je n’y ai pas prêté attention. C’est des moments où il faut être sérieux, comme si j’étais au travail.
J’ai eu la chance de faire une interception face à Khazri, mais il était vraiment au-dessus du lot. Pour lui et Cabella, c’était vraiment un jeu d’enfants. C’est leur métier, on n’y peut rien. Après le match on a pu les voir au buffet, on a fait les groupies. Ils étaient vraiment sympas, modestes, on a fait des photos. Je les remercie, l’échange était parfait. C’est comme si on était allé dormir il y a trois semaines et qu’on se réveillait seulement maintenant après un long rêve. "
Paquet a découvert le peuple vert
07/01 23:34

Sur les ondes de France Bleu Saint-Etienne Loire, Frédéric Paquet a parlé ce soir des supporters stéphanois.
"J'ai découvert en venant ici que les supporters sont une part très importante autour de la vie de l'ASSE voire de la vie de l'ASSE. Moi je venais d'un autre club, on est à des années lumières en termes d'implication, de vie, de ce que représente le club pour les supporters, du nombre de supporters touchés par ce club-là. C'est vraiment un élément important à prendre en compte et il faut variment être sur place pour s'en rendre compte. Il y a des choses qui nous sont interdites par la loi, les fumigènes par exemple. Il est quasiment impossible pour qui ce soit d'empêcher de faire entrer des fumigènes dans un stade. On a essayé avec nos moyens, Paris aussi. Tous les clubs ont essayé, ce n'est pas possible. On rappelle à tout le monde qu'il y a un risque car les fumigènes peuvent brûler et ça peut être dangereux. On rappelle aussi que contrairement à ce qu'on peut laisser passer comme image, les supporters ne sont pas tous débiles et ne font pas n'importe quoi. Il y a malgré tout peu de risques, peu d'incidents sur l'utilisation des fumigènes. C'est une bataille qu'on mène en expliquant, en réexpliquant et en subissant parce qu'on n'a pas les moyens de la mener.
Pour empêcher les fumigènes, il faudrait faire des fouilles au corps de tout le monde, or ça ne peut être fait que par la police et il n'y a pas assez de forces de police. On est un peu entre le marteau et l'enclume. On se fait taper sur les doigts par la ligue et par le supporters qui disent qu'on n'en fait pas assez. C'est un peu compliqué. Il y a un autre sujet qui est vital et sur lequel on ne veut pas négocier : la violence. On veut que le football soit une fête, on ne peut pas tolérer que des personnes puissent se retrouver en danger en venant assister à un match de l'ASSE. On est intransigeant là-dessus. On est un club qui est fortement représenté dans toutes les commissions de la ligue, de la fédé par notre directeur des opérations et Stadium manager Samuel Rustem. On est très présent car on un des clubs emblématiques en France liés à ses supporters, il y en a très peu en France. On a la volonté de défendre nos supporters qui sont de vrais fans, certains faisant des centaines de kilomètres pour venir nous voir. Notre seule arme, c'est le dialogue. On a mis nos groupes de supporters en relation avec la fédé, avec la Ligue, avec les forces de police de manière à ce qu'il y ait un dialogue pour trouver un compromis."
Gasset derrière Galtier
07/01 23:19
Attribué par un grand jury composé par les précédents lauréats, le titre d'entraîneur français de l'année 2018 a été attribué au sélectionneur de l'équipe de France selon France Football à paraître demain. L'actuel coach des Verts est sixième, derrière deux autres entraîneurs stéphanois.
1. Didier Deschamps, 112 points
2. Zinédine Zidane, 84 pts
3. Bruno Genesio, 33pts.
4. Rudi Garcia, 20 pts
5. Christophe Galtier, 17pts
6. Jean-Louis Gasset, 13 pts
7. Reynald Pedros, 11pts
8. Bernard Blaquart, Thierry Laurey, 10pts
10. Michel Der Zakarian, 8 pts.
11. David Guion, 7 pts
12. Sylvain Ripoll, 4pts
13. Claude Puel et Arsène Wenger, 3pts
16. Sabri Lamouchi, Stéphane Moulin et Christophe Pelissier, 1pt.
Oublié par son ancien coéquipier montpelliérain Jacques Santini mais aussi par Elie Baup et Rudi Garcia, Jean-Louis Gasset a recueilli 3 points de Robert Herbin, 2 points de Laurent Blanc et 1 point de Henryk Kasperczak. Mais c'est un autre ancien entraîneur pailladin, en l'occurrence René Girard, qui lui attribue le plus de points (4). Selon ce dernier, seul Zinedine Zidane a été meilleur que JLG l'an dernier !
Saliba parti pour rester, Selnaes et Gasset pour prolonger ?
07/01 22:20

Sur France Bleu Saint-Etienne Loire, le DG de l'ASSE Frédéric Paquet a évoqué ce soir le mercato hivernal. Vous avez raté son intervention ? On vous l'a retranscrite !
"Vous me demandez si Saliba sera toujours stéphanois cet hiver ? Aujourd'hui, faire des déclarations définitives du style "jamais", "toujours"... Oui, jusqu'au jour où il y a un chiffre qui soit complètement démesuré. Si on reste dans la normalité, William sera là cet hiver sans aucun problème comme 99% de l'effectif. Hors proposition complètement irrefusable, si un jour quelqu'un a décidé de faire exploser le marché de façon à multiplier par deux, trois, quatre ou cinq la valeur... Il faut être réaliste, aujourd'hui ce n'est pas le cas.
La prolongation d'Ole Selnaes ? Il lui reste un an de contrat, on enclenche les discussions. On est en discussion avec les joueurs qui sont en fin de contrat ou pour lesquels il reste un an ou un an et demi de contrat. On discute. Ce que sera l'issue de ces discussions, je ne peux pas le dire. Il y a une volonté. Le fait qu'on discute montre que la volonté est là de part et d'autre. On a fait le choix d'avoir des gens qui ont des valeurs, qui sont structurés, qui ont un cerveau et qui savent s'en servir et qui sont bien entourés. Ce n'est pas une décision unilatérale.
Robert Beric est en fin de contrat, il joue un peu moins. S'il trouve un projet intéressant au mois de janvier et que tout le monde s'y retrouve, il pourra partir. Et et même temps, s'il reste, on sera ravi de le garder. On discute ensemble. Il fait partie des très rares joueurs qu'on n'empêchera pas de partir. Cheik Mbengue aussi, cela fait longtemps qu'il ne joue plus du tout. S'il trouve un projet qui lui va, on le laissera partir sans aucun problème. C'est acté depuis un bon moment.
Jean-Louis Gasset vous a dit qu'il resterait bien un an de plus ? Ça ne sera pas un problème pour nous. C'est quelqu'un avec qui il est facile de travailler parce que les choses sont claires, sont transparentes. S'il a envie et qu'on a envie, on va continuer. Cela se passe très bien et ce n'est pas qu'une question de résultats. Sauf catastrophe, sauf imprévu il n'y aura pas d'arrivée lors de ce mercato. On est plutôt dans cette logique où l'effectif restera stable pour garder cette pérennité."
Milla y a cru
07/01 21:40
Dans France Football, l'ancien Vert, Florian Milla, auteur du deuxième but d'Andrézieux contre l'OM, en 32èmes de la Coupe de France, revient sur la rencontre d'hier. Extraits.
"C'était un moment vraiment particulier de revenir ici, et de gagner contre Marseille, c'était super ! C'est aussi spécial de revenir de cette manière-là, de jouer dans ce stade où j'aurais aimé évoluer quand j'étais à Saint-Etienne. Y jouer avec un autre club, c'était assez bizarre. Mais ma plus grande joie, c'était de représenter Dieu grâce à mon tee-shirt."
"C'était quand même l'Olympique de Marseille, donc on sentait que techniquement c'était assez propre. Mais c'est vrai qu'il leur manquait quelque chose. Cette équipe-là, ce n'est pas comme si elle était un peu "morte" mais presque. On ne sentait pas une équipe unie, et je pense que c'est simplement ça qu'ils doivent bosser. Payet était un peu moins bon que d'habitude, mais je pense que c'est toute l'équipe, pas seulement un ou deux joueurs."
"Un coéquipier est bien lancé sur le côté gauche, il réussit une super prise de balle, et moi je suis un peu loin mais je me dis qu'il faut y aller. Et je commence tout de suite à partir au second poteau. Je vois Mandanda qui la retouche. Le ballon vient un peu vers moi, je dis à mon coéquipier de me la laisser, je la reprends comme elle vient et grâce à Dieu elle va au fond. On souffrait et si on prenait un but ça aurait été difficile pour nous. Mais le fait de mettre ce deuxième but, c'était une délivrance."
"Quand le coup de sifflet final arrive, c'est là que l'on se rend compte de l'exploit. Même quand il reste quelques minutes, on ne voit pas la fin. Dans le vestiaire, c'était un peu fou, on a fait des cris de guerre et j'ai personnellement mis des musiques religieuses, on a bien célébré la victoire."
Un chouette tirage
07/01 20:21

L'ASSE recevra le DFCO le mercredi 23 janvier 2019 en 16e de finale de Coupe de France. Si le club à la chouette n'a jamais battu les Verts en sept matches de championnat, il avait éliminé Sainté aux tirs au but en 32e de finale de Coupe de France à Gaston-Gérard lors de la belle saison 2003-2004. Après avoir mangé les sardines, Andrézieux (N2) accueillera de son côté Lyon Duchère (N1) lors d'un derby qui s'annonce équilibré, les banlieusards ayant balayé eux aussi une équipe sudiste de l'élite (Nîmes) ce week-end.
Un Brignolais au sifflet
07/01 19:28
Alors que Johan Hamel et Yohann Rouinsart visionneront les images dans le camion, Karim Abed sera au sifflet ce samedi soir au Roudourou pour le match de la 20e journée qui opposera la lanterne rouge aux Verts. Sainté n'a jamais connu la victoire lorsqu'il a croisé ce Brignolais de 30 ans, qui était l'un des assistants vidéo de Clément Turpin lors du dernier vol girondin. La première fois, les Stéphanois avaient arraché le nul à la 94e minute sur un penalty obtenu par Loïc Perrin et transformé... par l'actuel avant-centre guingampais Nolan Roux au grand dam d'un Cédric Varrault expulsé. Le Varois officiait également lorsque l'ASSE avait sombré trois mois plus tard en prolongation à l'Abbé Deschamps lors d'un 16e de finale de Coupe de France de sinistre mémoire. La saison passée, cet arbitre de la Ligue Méditerranée avait expulsé Vincent Pajot puis Enzo Crivelli lors de l'heureux match nul concédé à GG face à Angers.
6 mois et puis Cétout !
07/01 17:14
Arrivé l'été dernier en Israël à l'Hapoël Beer Sheva, Julien Cetout n'y aura pas fait de vieux os.
Il vient 6 mois plus tard, pour fêter son 30ème anniversaire de s'offrir un nouveau contrat, en s'engageant avec Béziers (promu et actuel 17ème en Ligue 2). Ce sera son troisième club de Ligue 2 après Tours (2008-2014) et Nancy (2014-2018).