Sainté a vendangé contre Angers

11/12 23:08
Image
 

Malgré plusieurs occasions franches de Ryad Boudebouz, Denis Bouanga, Harold Moukoudi, Timothée Kolodziejczak et Yvan Neyou, les Verts ont encore concédé un match nul et vierge ce soir contre le SCO en ouverture de la 14e journée de L1. Auteur de belles parades, Jessy Moulin a réalisé sa 5e clean sheet de la saison face à des Angevins qui ont mal négocié plusieurs contres très dangereux. L'ASSE, qui reste sur onze matches sans succès (7 défaites et 4 nuls), tentera de profiter de ses deux jours de récupération en plus que Bordeaux (qui joue à Lille après-demain) pour renouer enfin avec la victoire mercredi soir au Matmut Atlantique.

Chambost kiffe son nouveau poste

11/12 18:33
Image
 

Auteur du très joli premier but de la victoire contre le Paris FC qui a permis à l'Estac de prendre la tête de la L2, l'ancien capitaine de l'équipe réserve de l'ASSE Dylan Chambost s'éclate sous les ordres de Laurent Batlles, comme il l'explique dans la dernière édition de L'Est-Eclair. Extraits.

"L'équipe se sent très bien dans cette nouvelle tactique. On prend beaucoup de plaisir et j'ai la chance d'être placé plus haut, plus proche du but. Moi-même, je prends beaucoup de plaisir, j'ai beaucoup de liberté. Cela me permet de faire la dernière passe, de décrocher... Je suis très content de ce poste. On travaille beaucoup notre positionnement offensif et défensif depuis quelques semaines.

Dans ce dispositif en losange, on peut me considérer comme un numéro 10 à l'ancienne. C'est une tactique peu utilisée, très offensive. Et elle nous permet d'avoir des résultats. C'est un poste que je connaissais un peu, mais pendant ma formation, on n'avait pas de tactique avec un vrai 10. On était plutôt en 4-3-3, j'avais un poste de relayeur. Je suis content du rôle que j'ai actuellement.

Laurent Batlles prend des risques en alignant ce dispositif chaque week-end. C'est aussi parce qu'il a confiance en nous. De toute façon, il a toujours eu une vision offensive du foot. Il n'avait pas utilisé ce dispositif offensif avec la réserve de Saint-Etienne mais son jeu a toujours été basé sur la possession, sur un jeu vers l'avant. Le coach insiste aussi sur l'humilité, le fait de continuer à travailler.

J'avais un gros travail à faire sur le volume de jeu, sur la puissance, l'intensité, l'agressivité défensive. Petit à petit, je me suis mis au niveau de la Ligue 2. Pendant ma formation, j'avais besoin d'avancer sans brûler les étapes. Aujourd'hui encore, j'ai besoin de plus de temps que certains qui sont prêts plus tôt physiquement. Mais j'arriverai en haut. Je suis très heureux à Troyes, cette année encore plus."

Puel est le mentor d'Obraniak

11/12 13:27
Image
 

Prenant systématiquement la défense de Claude Puel sur la chaîne de la Pravda, Ludovic Obraniak évoque à nouveau son ancien entraîneur lillois dans la dernière édition de Sud-Ouest. Extraits.

"Le joueur le plus méchant avec qui j'ai joué dans ma carrière ? Je dirais Tavlaridis à Lille. Il ne rigolait pas. Il en a déboîté quelques uns ! L'entraîneur qui m'a le plus influencé ? Claude Puel, à Lille, m’a fait venir de Metz, donc c’est une sorte de mentor pour moi. Il m’a fait découvrir l’exigence que réclamait le haut niveau. Arriver avec lui sur le banc quand tu as 22 ans, c’est du bonheur. Il m’a donné toutes les bases et tous les principes du bon professionnel, ça m’a accompagné toute ma carrière."

Nordin titulaire ?

11/12 07:50
Image
 

La Pravda et Le Progrès annoncent que le numéro 18 des Verts sera titulaire ce soir pour la 6e fois de la saison (la dernière datait du 3 octobre lors de la défaite à Bollaert). Pour rappel, il est le dernier joueur stéphanois à avoir scoré contre le SCO. C'est lui qui avait ouvert le score à Angers le 22 septembre dernier avant que son équipe ne s'écroule (défaite 4-1).

Le onze de départ probable : Moulin - Debuchy, Moukoudi, Kolodziejczak, Trauco - Nordin, Neyou, Camara, Bouanga - Hamouma, Khazri.

N'Daw victime de racisme

11/12 07:17
Image
 

Sur la chaîne sénégalaise DTV, Guirane N'Daw a affirmé qu'il avait été victime de racisme à Furiani. "On m’a lancé des bananes, c’était à Bastia. Parfois les supporters urinent sur les bouteilles et vous les versent" a déclaré l'ancien milieu de terrain des Verts, qui a salué le geste de son compatriote sénégalais Demba Ba au Parc des Princes.

 

Pascual et les Verts

11/12 07:02
Image
 

Encarté chez les Magic Fans, les Associés et l'USS, le PDG du groupe Afflelou Didier Pascual parle de sa passion pour les Verts dans la dernière édition de la Pravda Mag. Extraits.

"Le crève-coeur, c'est de ne plus être dans le kop nord, le poumon du Chaudron. Je préfère une merguez-bière dans les kops au champagne-foie gras dans les loges. Quand j'avais 12 ans, une action m'a marqué lors de notre victoire contre les Glasgow Rangers du 6 novembre 1975. Seul devant le gardien, Dominique Rocheteau peut le dribbler et marquer. Il préfère donner le ballon à Hervé Revelli... On aborde là le sujet de l'offrande. Cette passion, tu ne l'expliques pas. Tu la vis. J'ai  70 maillots et les 80 ouvrages sur les Verts. Je les ai même en double, de peur d'en perdre un.

Je suis un passionné, avant d'être un ultra. Ce mot nuit d'ailleurs au mouvement. Les gens disent : "Didier, il va avec les hooligans." Il existe une sacrée nuance tout de même. C'est dommage que cette passion ne soit pas mieux prise en compte comme une composante du football. Un vrai ultra pose des congés pour aller voir un match en bus et fait des centaines ou des milliers de kilomètres. Respect. Moi, je suis un privilégié. Je suis allé à Manchester en avion, il y a trois ans. Si j'avais eu 20 ans, j'aurais fait le déplacement avec eux. Mais il y a un âge pour tout.

Si on gagne, je garde le maillot vert que j'ai enfilé pour le match. Sinon, j'en change. Je ne suis pourtant pas superstitieux. C'est fou à quel point ce club est rentré dans ma tête. Une fois, alors que les Stéphanois étaient interdits de déplacement, je suis allé tout seul à Metz, anonyme, sous la pluie et le froid. On a pris une branlée et je suis retourné à pied à la gare. Une fois chez moi, je me suis dit : "Qu'est-ce que je suis fou !" Quinze jours plus tard, je suis reparti voir jouer les Verts.

En sortant d'un match aux Costières avec des copains, des Nîmois nous ont demandé d'ouvrir nos blousons. Quand ils ont vu nos maillots, l'un d'entre nous a pris un coup de poing. Si les policiers n'étaient pas intervenus, on se faisait massacrer. C'est la seule fois où j'ai vraiment eu peur en voyant qu'ils attaquaient même la police. J'ai fini ma soirée avec un Kit Kat et un Coca dans ma chambre d'hôtel. Je ne sais pas si je retournerai un jour à Nîmes...

Alors que c'est assez courant en Angleterre, il n'entre pas dans la culture française de voir des chefs d'entreprise s'afficher de la sorte. C'est dommage. J'exerce une activité professionnelle rationnelle mais on a tous besoin d'un sas de décom­pression. Au stade, je suis un autre. Je me bats contre ceux qui veulent des stades cimetières. Sans ultras, ni fumigènes, c'est un opéra. J'ai assigné la Ligue devant le tribunal adminsitratif de Paris pour contester le match à huis clos du 12 janvier dernier.

Pour travailler dans le foot, il ne faut pas être passionné, dit cet expert-comptable. Ta passion te conduit à perdre ta lucidité et à faire des bêtises. Donc, je reste à l'écart. Mon bonheur, ce ne serait pas de m'acheter un yacht à Saint-Tropez mais un appart à Sainté".

Pas de supersub à Sainté

11/12 00:21
Image
 

La Pravda de ce vendredi pointe l'inefficacité des entrants stéphanois depuis le début de saison. Extraits.

"À part à Marseille, où Nordin, entré à la pause, a délivré sa troisième passe décisive de la saison à Bouanga (2-0, le 17 septembre), aucun des 59 autres entrants ne s'est révélé décisif. Seul Dijon fait pire en la matière. Avec 11 joueurs décisifs (buts ou passes décisives), Rennes détient le record des remplaçants qui se sont montrés décisifs cette saison en L1. Suivent Bordeaux (9) et Monaco (7), devant Angers et le PSG (6). Saint-Étienne, Metz, Reims (1) et Dijon (0) sont les moins performants dans ce domaine.

Puel est pourtant passé maître dans l'art d'utiliser l'amendement temporaire aux Lois du Jeu. Il autorise désormais une équipe à utiliser cinq remplaçants, « avec au maximum trois opportunités d'y procéder pendant le match » (Loi 3). Puel, l'entraîneur qui a utilisé le plus de joueurs cette saison (33), s'est déjà servi de cette subtilité du règlement à onze reprises.

Les dix derniers matches - trois nuls et sept défaites - se sont pourtant soldés sur un constat identique : aucun entrant n'a permis de renverser le score. Pis, avant d'entamer cette série, les Verts ont même vu le gain d'une quatrième victoire d'affilée leur filer entre les pieds après les entrées en jeu, ratées, de Hamouma et Monnet-Paquet, et celles des trop inexpérimentés Gourna, Rivera et Sidibé, pour la dernière demi-heure à Nantes (2-0 à la pause, 2-2 au coup de sifflet final, le 20 septembre)."

Ruffier et les procéduriers (6)

10/12 23:40
Image
 

La Pravda rapporte ce soir que l'ASSE compte licencier Stéphane Ruffier pour faute grave. Extraits.

"C'est le sens du courrier que vient d'envoyer le club à la commission juridique de la LFP pour la saisir en vertu de l'article 265 de la charte du football professionnel. Il porte sur la "résiliation unilatérale" du contrat de travail du joueur. Cette démarche fait suite à la seconde mise à pied à titre conservatoire de Ruffier survenue le 19 novembre pour "acte d'insubordination". Cette fois, il lui est reproché d'avoir adopté "une attitude méprisante en quittant prématurément et sans la moindre autorisation l'entraînement.

Fatigué, Ruffier a effectivement écourté une séance individuelle avec André Biancarelli, entraîneur des gardiens, le 11 novembre. Fait suffisamment grave, aux yeux de ses dirigeants, pour le convoquer de nouveau à un entretien préalable à une éventuelle sanction disciplinaire. Ruffier s'y est rendu le 2 décembre, accompagné de Mathieu Debuchy, son nouveau capitaine et représentant des joueurs. L'entrevue avec Xavier Thuilot, directeur général des services de l'ASSE, et François-Xavier Luce, directeur administratif et financier, aurait été très brève. Ruffier reste mis à pied, avec interdiction de se rendre au centre sportif Robert-Herbin de l'Etrat.

Les deux parties vont tout de même se revoir sous peu. Saisie par l'ASSE afin de lui demander de trouver une date "pour une tentative de conciliation sur cette éventuelle rupture anticipée du contrat de travail pour faute grave", la commission juridique de la LFP l'a arrêtée au mardi 15 décembre. Etant donné le conflit ouvert entre les deux parties depuis près de dix mois, il semble toutefois peu probable que cette conciliation trouve une issue positive. L'ASSE a besoin d'alléger, même momentanément, sa masse salariale avant l'ouverture d'un mercato d'hiver au cours duquel il souhaite obtenir le renfort de trois joueurs."

Abi in, Moueffek out

10/12 20:30
Image Image
 

Pour la réception du SCO programmée ce vendredi soir à Geoffroy-Guichard, Claude Puel a reconduit le groupe qui a concédé un tristounet match nul et vierge chez la lanterne rouge dijonnaise à une exception près : Charles Abi fait son retour et Aimen Moueffek disparaît.

Moulin, Bajic, Green - Debuchy, Sissoko, Moukoudi, Kolodziejczak, Sow, Trauco - Camara, Gourna, Youssouf, Neyou, Aouchiche, Boudebouz - Abi, Hamouma, Nordin, Khazri, Rivera, Bouanga.

Gasset agacé

10/12 18:57
Image
 

Dans sa dernière édition, Sud-Ouest évoque les matches que les Verts joueront à Bordeaux mercredi prochain. Extraits.

"Le calendrier de cette fin d'année étant surchargé, Jean-Louis Gasset est agacé par l’iniquité entre les temps de récupération pour son équipe et pour Saint-Etienne. Les Verts, qui jouent dès ce vendredi soir contre Angers, auront deux jours de plus que les Girondins, qui se déplacement ce dimanche à Lille. "Beaucoup de joueurs sont capables d’enchaîner mais on est à une période où il y a de la fatigue, le froid. On est un peu sur le fil du rasoir" dit le staff bordelais.

Au cœur de la question : Hatem Ben Arfa. Arrivé en octobre après avoir suivi une préparation individuelle depuis août, il a déjà disputé plus de matchs (5 contre 7) et quatre fois plus de minutes en deux mois que sur toute la saison dernière. La tendance est à une gestion au match par match : Ben Arfa débutera à Lille et, si tout va bien, contre Saint-Etienne. Les scénarios diront la possibilité de le faire souffler ou non avant la fin. Et un point sera fait avant Strasbourg."

Diony veut voir les Verts relever très vite la pente

10/12 18:14
Image
 

L'ancien flop offensif stéphanois Loïs Diony (9 pions en 65 matches lors de ses 2 ans et demi sous le maillot vert) s'est confié à France Bleu avant de retrouver le Chaudron demain soir en ouverture de la 14e journée de L1.

"Ça se passe très bien à Angers, je me suis bien adapté, on a des résultats donc je suis content. On fait notre petit bonhomme de chemin sans qu’on parle trop de nous et ça marche. Je prends le temps de jeu que l’on me donne. Je suis de nouveau dans la lumière, je rejoue en Ligue 1. Je suis en concurrence avec de très bons attaquants notamment Steph Bahoken qui marque donc je comprends que le coach continue de lui donner sa confiance.

Quand tu quittes un gros club comme l’ASSE pour revenir dans un club plus familial, ça peut te paraître comme un échec ou un départ à zéro. Mais ça a très bien pris, la situation au classement est favorable pour nous. J’ai besoin qu’on me donne de la confiance et de l’amour, ce n’est pas ce que j’ai ressenti à mon arrivée à Saint-Etienne. Ça a joué en ma défaveur, ça n’a jamais pu marcher, c’est dommage. J’ai tourné la page Saint-Etienne car il faut avancer.

Il n’y a pas de regret mais j’aurais bien aimé que ça marche. Une belle atmosphère comme les supporters peuvent mettre au match... Être un grand buteur de l’ASSE ça aurait été un plaisir mais il a été fait autrement, tant pis ! C’est passé. Je pense que j’aurais pu être utile cette saison à cet effectif stéphanois, le coach m’avait utilisé en fin d’année passée. Je pense que j’avais fait de bonnes prestations et que j’aurais pu continuer à donner mon coup de pouce.

J’ai connu des années très compliquées aussi à Saint-Etienne auparavant. Je sais que ce n’est pas facile, j’espère que les Verts vont relever très  vite la pente (sic). Je suis toujours en contacts avec des anciens coéquipiers. Quand vous faites trois ans dans un club… Saint-Etienne, ce n’est pas la ville la plus kiffante de France mais bon, quand même, vous avez vos petites habitudes et restez attachés à ces petites habitudes qu’on a.

J’avais créé de très gros liens avec certains joueurs, ça n’a pas été facile à partir que ce soit avec certaines personnes dans le staff ou autres, le staff médical. Mais bon, il fallait prendre cette décision. Vendredi je serai plus revanchard pour moi-même, je veux montrer qui est le vrai Loïs car je ne pense pas qu’on l’ait réellement connu à Saint-Etienne. Après, pfff, je ne suis pas là pour tirailler sur Saint-Etienne (sic).

J’ai souffert les années passées mais ça me fait plaisir de retrouver Geoffroy-Guichard et de jouer contre mes potes. Revanchard ? Pas plus que ça. Ça va faire bizarre de jouer dans un Chaudron à huis clos. Je pense que le public doit manquer aux joueurs. C’est un grand coup de pouce pour les Stéphanois quand on joue à domicile. Je pense que ça leur manque surtout dans leur période de crise qui est déjà compliquée à gérer sur le terrain. Quand tu perds 1-0 et qu’il n’y a personne pour te pousser derrière, ça doit être dur."

Moulin force le trait ...

10/12 17:12

... en disant qu'on force le respect.

C'est en effet ce qu'il a déclaré cet après-midi en conférence de presse : "L'ASSE a récemment accroché un nul contre Lille, ça force le respect. C'est une équipe qui va mieux et qui ne mérite pas de se retrouver en bas du classement.
On est au tiers du championnat. Pour le moment, on est encore au stade des tendances, il n'y a pas de norme.
Cette saison, il n'y a pas de domicile-extérieur. Pas de ferveur populaire, de pression sur le corps arbitral. Je préfère presque jouer à l'extérieur cette saison. On ressent beaucoup moins ce manque en déplacement que lorsque l'on joue à Kopa".

Fulgini, faut le gêner !

10/12 16:40
Image
 

Convoité par l'ASSE au printemps dernier, le meneur de jeu angevin Angelo Fulgini, auteur de 3 buts et 2 passes décisives cette saison, s'est confié à l'AFP avant de défier les Verts demain soir à Geoffroy-Guichard. Extraits.

"Avant on jouait avec deux milieux relayeurs et une sentinelle. Là on a changé, je suis au poste de nº10, je suis plus proche des attaquants et du but. Je me sens encore plus libre parce que je sais que derrière j'ai encore deux milieux récupérateurs. Cela me permet d'aller sur tous les fronts en attaque. L'année dernière, j'ai eu beaucoup d'occasions et je n'en ai mis qu'une ou deux. J'ai travaillé dessus, j'essaie de gagner en lucidité. Marquer un but, ce n'est pas facile. Il faut vraiment être tueur. C'est ce que je me dis depuis le début de saison. J'en ai déjà trois mais je sais que j'ai les capacités d'en mettre plus.

J'ai subi 51 fautes cette saison, bien plus que n'importe quel joueur des cinq grands championnats européens ? Cela fait partie de mon jeu. Je prends des risques. Les adversaires ont vu qu'à la récupération les autres essaient de me trouver directement pour lancer les contre-attaques donc ils essaient de les couper au plus vite. C'est surtout des fautes tactiques. À moi de faire attention ! Je n'ai pas un week-end où je reviens à la maison sans avoir une douleur quelque part.

On a réussi à progresser dans notre jeu, on arrive à garder plus le ballon. Après il faut qu'on arrive à gagner en régularité pour essayer de passer un palier. Chaque fois on arrive à faire un bon match ou deux, et après on retombe dans des travers. Je suis resté parce que c'est la saison qu'il me faut pour vraiment partir avec le sac rempli, si je dois partir. Je suis un compétiteur, je veux jouer au plus haut niveau, en Coupe d'Europe. Après, pourquoi pas avec Angers, on ne sait jamais !

Cette saison j'ai marqué contre Brest, Rennes et Lorient ? C'est une coïncidence, je ne choisis pas mes matches. Je vais essayer de marquer ce week-end à Saint-Étienne, au moins les Bretons ne pourront pas dire que je marque seulement contre eux !"

Pour Platini, ça suffit !

10/12 14:50

Après la mort de son ancien coéquipier à la Juve Paolo Rossi à l'âge de 64 ans, Michel Platini a exprimé son ras-le-bol de l'année 2020 dans la Pravda :

"Michel Hidalgo, Robert Herbin, Maradona, maintenant Paolo Rossi, ça suffit, 2020, c'est bon... Paolo était un grand joueur, un grand buteur, tout le monde se souvient de sa Coupe du monde 1982. On a joué trois saisons ensemble à la Juventus, de 1982 à 1985, et on a tout gagné. En 1982, il venait d'être le héros de la Coupe du monde, mais il avait du recul sur tout cela, il n'en jouait pas. Et Turin, ce n'était pas Naples.

[...] C'était un joueur vif et qui allait vite, et qui comprenait le jeu. Je l'avais revu il y a deux ans, on avait déjeuné ensemble, il était en train de tourner un film sur sa vie. C'était vraiment un gars gentil, Paolo."

Siroux, si vert

10/12 13:50
Image
 

Cofondateur des Magic Fans, Jean-Philippe Siroux fait partie des ultras mis à l'honneur par la Pravda. Extraits.

"Puisqu'il faut bien, tout de même, mettre un peu d'ambiance, Brassens puis Brel, surtout, chantent à tue-tête. Nous sommes dans une boulangerie de la Loire, à Saint-Chamond, à 13 km à l'est de Saint-Étienne. Comme les restaurants et les bars sont fermés, on y retrouve Jean-Philippe Siroux, 51 ans, qui travaille dans les environs. Informaticien, il est l'un des fondateurs du groupe d'ultras stéphanois les Magic Fans, qu'il a créé, avec quelques copains (ironie du sort dans le département du Rhône, où il étudiait alors) en 1991.

La chair est triste, hélas ! Et pas qu'elle. Siroux n'a plus assisté à un match de foot depuis un ASSE-Bordeaux (1-1) le 8 mars juste avant le début du premier confinement. « Je n'ai pas revu le stade depuis, même si j'y pense tout le temps. Mais je ne veux pas le voir, le manque est trop fort, je veux me protéger du foot », assure-t-il. Avant, il se demandait comment faisaient ses copains interdits de stade. « Maintenant, c'est nous tous qui le sommes. Ce n'est pas vraiment un deuil, car un décès, c'est définitif. Mais c'est quand même un monde qui s'effondre. Je n'aurais jamais imaginé ça. »

Quand on est ultra, la vie personnelle, familiale, amicale, professionnelle est d'abord conçue en fonction du match du week-end, à domicile comme à l'extérieur, mais là, tout s'arrête, sans que l'on sache quand on pourra retourner au stade. "Ma vie, je l'ai toujours vue comme ça, reprend Jean-Philippe Siroux. Je n'ai jamais assisté à un mariage ou un baptême les week-ends de derby. L'école ou le boulot pouvaient être pénibles, ce n'était pas grave tant qu'il y avait un match en fin de semaine. » A 13 ans, sa mère lui disait : « ça te passera. » Elle avait tort.

Le protocole est réglé à la perfection au fil des ans les jours de match. Ce rituel que décrit Jean-Philippe Siroux : « Mettre ta tenue, tes chaussures, l'écharpe autour du cou, le drapeau, aller saluer les copains au local, se garer au stade, dire bonjour aux stadiers. Même l'odeur des merguez et des frites me manque. Je n'ai pas mangé de frites depuis le mois de mars. » Plus que le jeu en lui-même, c'est la camaraderie, la vie sociale, les habitudes qui manquent. Les rendez-vous collectifs ratés, comme l'impossible adieu à Robert Herbin à Saint-Étienne.

Les mois passent. Jean-Philippe Siroux n'a pas regardé un seul match des Verts depuis mars, « un match, ça se vit au stade, pas devant sa télé ». Jean-Philippe Siroux assure qu'il ne remettra les pieds à Geoffroy-Guichard « que le jour où les tribunes populaires rouvriront normalement ». Lui aussi use de la métaphore religieuse pour parler de sa passion. « Oui, aller au stade pour moi, c'est comme un rituel religieux. Pas d'âge, pas de classes sociales, pas de politique, tout ceci disparaît alors que la société dans laquelle nous vivons ne réclame que cela, que des différences nous séparent. »

Tous unis dans la même foi, et qu'importe que le club, ses dirigeants, ses joueurs déçoivent et accumulent les mauvais résultats, la foi demeure. Même s'il avoue que le confinement les a aussi empêchés d'autre chose : aller au centre d'entraînement ou au siège du club pour gueuler après les défaites en série des Verts à l'automne. Comme d'autres dirigeants ou entraîneurs, Claude Puel et les présidents de l'ASSE peuvent dire merci au confinement."

Armand a encensé Gasset

10/12 13:34
Image
 

Officiant actuellement comme consultant sur la chaîne Téléfoot à l'instar de Loïc Perrin, Mathieu Bodmer et Alain Perrin, l'ancien vainqueur stéphanois de la Coupe Gambardella 1998 Sylvain Armand a encensé sur le site Girondins4ever Jean-Louis Gasset, qui retrouvera les Verts mercredi prochain au Matmut Atlantique.

"Je l'aime beaucoup, que ce soit en tant qu’homme ou en tant qu’entraîneur. Il a une aura et je pense qu’ils font un vieux bon duo avec Ghislain Printant. Ils ont le même caractère. Jean-Louis est quelqu’un qui aime ses joueurs, qui est dur et qui fait avancer ses joueurs. Quand il a quelque chose en tête, il ne va pas en démordre et sait mettre la pression à ses joueurs et aux jeunes. Il va savoir faire avancer son équipe et lui parle dans les moments où il faut calmer les choses.

C’est quelqu’un qui est peut-être un vieux de la vieille mais qui pour moi est important. Je l’ai toujours aimé en adjoint avec les gens avec qui il était, mais surtout quand je l’ai vu passer à Saint-Etienne, c’est quelqu’un qui m’a beaucoup marqué. Si tous les joueurs de Saint-Etienne l’ont aimé quand il est parti, c’est parce que Jean-Louis a une aura sur ses joueurs, il les aime et les joueurs savent le reconnaître aussi.

Tout commence à devenir positif aux Girondins avec Jean-Louis, Ghislain, avec l’arrivée d’Hatem… On voit un club qui commence à reprendre un petit peu des couleurs. Il faut malgré tout un petit peu de temps pour restabiliser, restructurer certaines choses. Mais aujourd’hui, il y a une équipe qui a été bien menée par Jean-Louis. On a vu une équipe que je n’avais pas vue depuis longtemps comme ça, avec du cœur."

Bahoken enchaîne les bons week-ends

10/12 09:52
Image
 

Pisté par l'ASSE l'été 2019, le meilleur buteur angevin Stéphane Bahoken (5 pions claqués en 11 matches donc 9 comme titulaire) s'est confié à Ouest-France avant de défier les Verts demain soir à Geoffroy-Guichard.

"Ce début de saison est positif, je me sens bien. Je continue de progresser. Mes soucis extra-sportifs ? [ndp2 : il a été condamné fin octobre pour un refus d’obtempérer aggravé et violences conjugales]. Comme tout être humain, ça me touche, mais j’ai su faire la part des choses pour que ça n’impacte pas le sportif. Je n’entends plus faire parler de moi en dehors des terrains et c’est ce que je m’emploie à faire.

Avant chaque entraînement, j’ai entamé un programme de pré-échauffement à base de course sur tapis, de vélo, de gainage. Je me prépare mieux, je suis plus attentif au moindre pépin que mon corps peut avoir au quotidien pour être plus performant sur le terrain.

Je me sens plus complet, plus intelligent, j’arrive à mieux garder le ballon, à me faire trouver dans la profondeur, à me déplacer dos au jeu et face au but. Le fait d’avoir plus de joueurs autour de moi a un impact sur mon influence sur le jeu. C’est aussi ce qui fait que je progresse. Dans ce système en 4-2-3-1, on a un peu moins de tâches défensives à faire, donc on est plus frais au moment d’attaquer. Et avec Angelo Fulgini, on commence à être de plus en plus complémentaire. On combine beaucoup."

Sainté vainc avec Poudevigne

10/12 08:13
Image
 

Ancien arbitre assistant, l'ex-cheminot ponot Jacques Poudevigne a notamment officié dans le Chaudron lors du mythique 5-1 des Verts contre l'OM le 12 décembre 1999, comme il l'a rappelé hier dans Le Progrès.

"On sentait bien la nervosité des deux équipes mais la fessée administrée par les Verts a vite calmé l’animosité. Les Marseillais n’ont pas vu le jour. J’étais aux premières loges, le long de la touche où s’échauffent les remplaçants. J’étais du bon côté, j'ai savouré la prestation du Brésilien Alex, sur un nuage ce soir-là. Il réalise le geste de la panthère. On m’a demandé si sa manifestation de joie était appropriée. Je n’allais quand même pas lui coller un carton pour cette jubilation!"

Patrick Revelli trop fort pour Francfort

10/12 07:38
Image
 

Il y a 40 ans pile poil, le FC Sochaux éliminait l'Eintracht Francfort de la Coupe UEFA sur la neige de Bonal grâce à un doublé de Patrick Revelli alors que les tenants du titre s'étaient imposés 4-2 au match aller. Le Gaulois revient sur cet exploit dans la dernière édition de L'Est Républicain.

"Après l'épopée des Verts, je ne m’attendais pas à revivre une aventure aussi belle et magnifique que celle vécue à Sochaux. Pour moi, le vrai fait du match, ce sont les crampons. Nous avions des crampons en cuir. On a passé une bonne partie de notre temps à les limer, à mettre de la bougie dessus.On a tenu sur la neige alors que les Allemands ont vraiment connu des problèmes. Ils ont changé plusieurs fois de chaussures, ils ne tenaient pas. Pour moi, ces crampons ont été déterminants. Ça faisait partie du métier, de l’expérience. J’avais emmené ça de Saint-Étienne et ça a très bien fonctionné. Avec Sainté, comme à Chorzow en Pologne, on était habitués à jouer sur la neige.

À l’aller, j’avais été en dessous de ce qu’on pouvait espérer d’un joueur qui avait joué la coupe d’Europe, une finale avec Saint-Étienne. Pendant quinze jours, ce fut difficile pour ma femme. A la maison, je n’ai presque pas parlé. J’ai ruminé ce match retour. Alors, j’ai tout lâché le jour du match. Je devais une revanche. À l’équipe, aux joueurs, au club, aux supporters, bien sûr. Avec Sochaux comme avec les Verts, il y a des ingrédients qui se sont mis en marche automatiquement. Des gens qui se sont retrouvés autour d’un ballon, avec la même philosophie de jeu, la même envie d’aller loin ensemble, de se dépasser pour une seule cause : le football et un parcours d’amitié."

Diony fera tout pour marquer

10/12 07:12
Image
 

Ayant marqué 1 but en 11 matches dont 2 en tant que titulaire cette saison dans l'attaque du SCO, Loïs Diony s'est confié au Progrès avant de faire son retour à Geoffroy-Guichard demain soir. Extraits.

"Ça va à Angers, on gagne ! J’aimerais avoir un peu plus de temps de jeu mais je suis déjà content de jouer. Ça fait plaisir de transpirer tous les week-ends, ça m'avait manqué. Je retrouve mes cannes, ma puissance, ma vitesse, mon endurance. Je pense que mon départ de l'ASSE était inéluctable. Quand ça ne marche, ça ne marche pas. Quand le chargeur est vide, il ne faut pas chercher à le charger, à rebrancher. C’est ce qu’on avait fait, Sainté et moi. On a voulu forcer.

Sur les trois ans, à chaque fois c’est moi qui fais les démarches pour partir. Quand je signe, au bout d’un mois sous Oscar Garcia, je voulais déjà partir. Ça n’a pas marché comme on voulait, je suis déçu. La première moitié de saison en 2017-2018, l’équipe, c’était un carnage. Tout le monde jouait pour sa peau. Les penalties que je provoque, personne ne prend le ballon et me le donne. À Angers, contre Nîmes, il y a un penalty. Deux joueurs prennent le ballon et me le donnent.

On disait que j’étais nul même si je faisais un bon match et que je ne marquais pas. Après, je me suis toujours défoncé pour l’équipe. J’ai toujours mouillé le maillot et ça, personne ne pourra me l’enlever. J’aurais pu laisser tomber. J’en suis fier. Je ne suis pas en revanchard. Je suis très heureux de revenir mais je ferai tout pour marquer. J’ai surtout envie qu’ils sortent de la merde dans laquelle ils sont. Mais s’ils peuvent le faire après vendredi…"

Nos Camerounais verront-ils le Rocher ?

09/12 21:22
Image
 

Averti à Dijon, Harold Moukoudi est à l'instar de son compatriote Yvan Neyou sous la menace d'une suspension, comme le rappelle notre fidéèle potonaute ozzy dans son incontournable tableau des cartons.

Image
http://www.poteaux-carres.com/

Boudjellal et les Verts (7)

09/12 21:11
Image
 

Dans un entretien paru ce soir sur le site Actufoot, Mourad Boudjellal parle à nouveau des Verts.

"Adolescent dans les années 70, je n'ai certainement pas échappé au phénomène des Verts. Je me rappelle un but de Jean-Michel Larqué en finale de la Coupe de France qui était extraordinaire [contre Lens en 1975, ndp2]. Comme tout le monde j’ai vécu l’épopée des Verts avec passion.

Les matchs légendaires contre Split ou Kiev, la finale de Glasgow en 1976… Je peux vous citer presque toute l’équipe qui a joué la finale : Curkovic, Janvion, Repellini, Piazza, Lopez, Santini, Larqué, Revelli, Rocheteau… "Qui c’est les plus forts, évidement c’est les Verts", on ne pouvait pas y échapper ! J’ai été marqué par les poteaux carrés, par le but de Bathenay contre Liverpool, où l’on croit qu’ils vont se qualifier avant de se faire reprendre… Saint-Etienne, c’est la première fois qu’un club français gagnait en Europe. 

J’ai aussi un grand souvenir d’un Sanary – Saint-Etienne en Coupe de France au début des années 80. J’étais allé voir ce match, c’était l’équipe avec Michel Platini quand même. Platini, je l’avais d’ailleurs vu jouer en D2 quelques années auparavant contre Toulon. Je me souviens du speaker annonçant l’entrée du numéro 12, Platini Michel. On connaît la suite, mais ça se voyait qu’il était pas mal."

On Refait le Mastre... à 20h45

09/12 20:19

Cette fois-ci, c'est la bonne!

Venez nous rejoindre et refaire le mastre à partir de 20h45 sur la chaine Youtube du site.

Si vous ne pouvez pas ce soir, ce n'est pas grave, On Refait le Mastre est disponible sur les principales plateformes de podcast.

 

A Bordeaux, fémoral à zéro

09/12 20:13
Image
 

Selon la dernière édition du quotidien Sud-Ouest, deux joueurs girondins sont très incertains pour la réception des Verts programmée mercredi prochain lors de la 15e journée de L1.

"Laurent Koscielny souffre d’une lésion grade 2 du biceps fémoral droit et Samuel Kalu d’une lésion grade 2 du droit fé-moral de la cuisse droite."

Promu capitaine de son équipe cette saison, le premier a joué 10 matches en 13 journées. S'il n'a joué que 7 matches dont 4 en tant que titulaire, le second est le meilleur buteur bordelais (deux petits pions) ex aequo avec son compatriote nigérian Josh Maja, Toma Basic, Hatem Ben Arfa et Rémi Oudin.

Occupant actuellement la 10e place du classement, les protégés de Jean-Louis Gasset et Ghislain Printant comptent 7 points d'avance sur les Verts.

C'est comme aller à la mer sans la plage

09/12 19:13
Image
 

Sur France Bleu, l'ancien défenseur Alain Merchadier a souligné ce soir la force du peuple vert avant de saluer le travail de Claude Puel.

"Pour se sortir d’une telle spirale négative, la première qualité, c’est le mental. C’est la volonté. C’est aussi avoir le respect du peuple vert. L’apport des supporters stéphanois dans les tribunes, c’est cinq, six ou sept points de plus à la fin de la saison. Ça a forcément une incidence sur la façon de s’imprégner du match et de l’attaquer de la meilleure des manières et ça aussi une incidence sur l’adversaire. Les stades vides, c’est gênant. C’est comme aller à la mer sans la plage, il n’y a aucune saveur. C’est frustrant car les gens qui prennent le trolley, qui arrivent à Sainté dans les bus, dans les voitures, juste avant de rentrer dans le stade, il y a un état d’esprit, une ambiance. Il y a des fumis, des chansons, il se passe quelque chose. Là, il ne se passe rien dans les tribunes.

Je connais bien Claude Puel, on a travaillé ensemble à Lille et en plus il est de la région de Toulouse car il est du Tarn. Claude est un formateur qui a un costume d’entraîneur de première division. C’est un préparateur de F1. Il met les mains dans le moteur, il connaît les pièces et leur fonctionnement. C’est un très grand professionnel qui s’appuie sur le travail quotidien. Il est l’homme de la situation. Mais il ne faut pas oublier que les gens qui sont dépositaires des résultats, ce sont les joueurs. Ce sont les joueurs qui prennent des buts, ce sont les joueurs qui en marquent. L’entraîneur y contribue aussi mais les joueurs se doivent d’avoir un état d’esprit et faire honneur au maillot.

J’ai eu Claude au téléphone deux ou trois fois depuis le début de saison. C’est quelqu’un qui a une projection très précise sur l’avenir non pas de l’équipe mais du club. Auteur de lui il y a Xavier Thuilot et Jean-Luc Busine au recrutement, j’avais d’ailleurs travaillé avec lui. Claude a une vision avec deux ou trois coups d’avance. C’est pour ça que c’est très intéressant d’être un jeune joueur à Saint-Etienne."

Nanard encense Galette (2)

09/12 18:22
Image
 

Si l'interminable série d'insuccès stéphanois le laisse coi, Bernard Caïazzo retrouve la parole quand on l'interroge sur Christophe Galtier. Après avoir encensé l'actuel entraîneur des Dogues il y a deux semaines dans 20 Minutes, Nanard en remet une couche dans la dernière édition de France Football.

"Tu te dis que la vie vaut d'être vécue quand tu rencontres des gens comme lui. Christophe Galtier est hyper respectueux de l’institution. Sa com n’est pas une com de séduction. C’est un mec vrai, un homme de parole. S’il n’a pas fait d’études supérieures, il aurait néanmoins parfaitement réussi dans d’autres domaines car, quand quelque chose l’intéresse, il se donne à fond. Et comme il est intelligent et humble... En 2013, je me souviens qu’il avait été désigné “entraîneur de l’année”, à égalité avec Ancelotti. Sept ans après, le Christophe Galtier de 2020 vaut trois Galtier de 2013 ! Son humilité est telle qu’il peut se laisser impressionner par des gens qui donnent le sentiment d’être plus forts que lui alors que ça n’est pas vrai. Il peut aussi se laisser manœuvrer par des gens qui ont l’ascendant sur lui. Il peut être parfois utilisé mais ce sera de moins en moins le cas."

Retrouver une confiance pas perdue !

09/12 15:40

En conférence de presse ce midi, Denis Bouanga a maladroitement rappelé que solidité défensive et confiance étaient les clés du redressement :

"On a réussi à stopper l’hémorragie. Il nous manque maintenant cette efficacité devant le but. Il faut travailler plus. Se donner les moyens de marquer.
Il y a beaucoup d’efforts défensifs à faire. On est moins présent offensivement. On a tous le même objectif c’est d’être solide défensivement. La chose qu’on veut en ce moment c’est ne pas perdre. On veut redevenir une équipe difficile à manœuvrer. On ne veut pas descendre. On veut tout bien faire. Parfois cela se joue à des détails.
Ça me trotte dans la tête de ne pas être efficace offensivement. Bien sûr que chacun de nous a envie de marquer et d’être décisif. Mais dans notre situation, il faut savoir se mettre au service du collectif. On est soudés. Mon cas personnel passe après. Quand le but va arriver, que ce soit moi ou un autre cela ramènera de la confiance. Mais je n’ai pas perdu la confiance."

Sans Boufal, bouffez-les ! (2)

09/12 13:39
Image
 

Ouest-France fait le point sur l'infirmerie angevine à deux jours du match qui opposera l'ASSE au SCO.

"On sait d’ores et déjà que l’absence de Sofiane Boufal sera "assez longue, six semaines minimum" explique Sébastien Larcier, le directeur sportif angevin. Autre joueur sorti sur blessure contre Lorient, le milieu défensif Ibrahim Amadou ne souffre que d’une élongation de stade 1. S’il devrait être un peu court pour le déplacement à Saint-Etienne, son retour est espéré pour la réception de Strasbourg, mercredi 16 décembre. Enfin, Sada Thioub, blessé au genou et absent contre les Merlus, revient peu à peu. Ce mercredi matin, il a travaillé en marge du groupe. Un point sera fait demain pour déterminer s’il peut intégrer le groupe pour le déplacement à Saint-Etienne."

Retsos et Silva toujours pas là !

09/12 13:25
Image
 

En conférence de presse, Claude Puel a indiqué à la mi-journée que Panagiotis Retsos et Gabriel Silva seraient encore indisponibles pour la réception du SCO d'Angers. Charles Abi et Kévin Monnet-Paquet devraient être opérationnels pour ce match d'ouverture de la 14e journée programmé ce vendredi soir à 21h00.

Gare au Miguelgorry !

09/12 13:16
Image
 

Né dix jours après la finale des Verts à Hampden Park, Jérôme Miguelgorry sera au sifflet ce vendredi soir à Geoffroy-Guichard pour le Sainté-Angers qui ouvrira la 14e journée de L1. Sainté n'a remporté qu'un seul match dirigé par ce Basque de 44 ans, le 19 mars 2016 dans le Chaudron (victoire 3-0 contre Montpellier, buts de Roux, Tannane et Eysseric). Quand ils ont recroisé sa route, les Verts ont concédé le nul à domicile contre Metz (2-2 le 12 mars 2017), contre Rennes (2-2 le 24 septembre 2017) avant de perdre à Lille (3-1, 6 octobre 2018) et plus récemment à la maison contre Montpellier (0-1 le 1er novembre dernier). Lors de ce dernier match, il avait averti Romain Hamouma, Wahbi Khazri et Adil Aouchiche.

Partager