Bamba buteur contre le Real à Madrid

17/01 06:24

Un quart d'heure après son entrée en jeu, Jonathan Bamba a réduit le score hier soir pour le Celta Vigo (12e de Liga) sur le terrain du Real à la 83e minute avant de provoquer le penalty égalisateur à l'entame du temps additionnel. Mais les Madrilènes ont finalement remporté 5-2 après prolongation ce 8e de finale de Coupe du Roi.

 

Supersub Makhtar Gueye strikes again !

16/01 21:07

Comme il l'avait fait il y a deux mois contre Sheffield Wesneday, l'ancien avant-centre sénégalais de l'ASSE Makhtar Gueye n'a mis que 5 minutes après son entrée en jeu pour marquer hier le 1er des 3 buts de la victoire de Blackburn contre Portsmouth en clôture de la 16e journée du Championship.

Ce championnat de L2 anglaise est dominé par le Leeds United de Josuha Guilavogui, titulaire samedi dernier lors de la laborieuse victoire en Cup de son équipe contre Harrogate Town (D4). Malgré la passe décisive d'Adil Aouchiche, Sunderland s'est fait éliminer après prolongation Stoke City.

L'apothéose du professeur Vaillant (2)

16/01 19:07

Excellents à l'image de leurs pistons formés à l'ASSE Gabay Allaigre et Mathis Mezaber, les épatants Espaviots ont fait trembler le QSG hier soir en Coupe de France. La Pravda a recueilli les propos de leur entraîneur Lionel Vaillant.

"C'est une énorme fierté, les joueurs ont repoussé leurs limites au maximum. On marque 2 buts au PSG, on a une balle de 3-2 avant eux... Il nous manque deux minutes pour rendre une copie parfaite. On a donné une belle image d'Espaly et même un peu plus loin, une belle image du foot amateur. J'ai été touché par la déclaration de Luis Enrique, qui a dit qu'il avait été en difficulté, qu'il avait eu du mal à trouver la solution. De cette aventure en Coupe de France, je ne retiens que du bonheur. On voulait jouer, rester sur ce qu'on est capables de faire, et je pense qu'on a rivalisé. J'avais dit aux joueurs avant le match que, vu le contexte, quoi qu'il arrive, on serait liés à vie après ce match. Oui, on va être liés à vie."

Avant ce 16e de finale de Coupe de France, L'Eveil de la Haute-Loire a rappelé les vertes années de Lionel Vaillant, qui va maintenant devoir se battre comme Razik Nedder pour maintenir son équipe en N3 (les Espaviots sont actuellement relégables avec un point de moins que la réserve stéphanoise). Extraits.

"Le nom de Lionel Vaillant avait été soufflé par Romain Revelli et Alain Blachon, qu’il avait connus lorsqu’il passait ses diplômes d’entraîneur, en Haute-Loire. "Je pense qu’ils avaient décelé chezmoi quelques compétences. Ensuite, Alain Blachon est devenu directeur du centre de formation, il a fait entrer Romain Revelli pour prendre les U17 et il m’a proposé de développer les U13. Avec Blach’, encore aujourd’hui, nous sommes proches, il est d’ailleurs venu manger chez moi récemment."

Pour que l’ASSE, puisse passer son centre de formation en catégorie A, Lionel Vaillant s’est d’abord chargé de créer une section sportive, en qualité de professeur d’EPS, en 2005. Quatre ans plus tard, le technicien a ensuite été engagé à mi-temps par le club du Forez pour entraîner les U13. Ses deux premières saisons étaient couronnées par deux titres de champion de France, avec les jeunes Stéphanois, nés en 1997 et 1998. Le premier sacre, en 2010, avait permis à son équipe de participer à la Danone Cup, en Afrique du Sud, dans la foulée de la Coupe du monde, pour représenter la France. "On perd en demi-finale contre l’Uruguay aux tirs au but, oavait joué dans des stades avec 40 000 personnes. J’avais pu échanger avec Zinédine Zidane à cette occasion, c’est un super souvenir. 

Ces bons résultats ont permis à l’Yssingelais de grimper dans la hiérarchie et de succéder à Romain Revelli (promu adjoint de Christophe Galtier) comme entraîneur des U17 de l’ASSE, en duo avec Gilles Rodriguez. Il a occupé ce poste durant 5 ans, entre 2011 et 2016. En 2013, Lionel Vaillant permettait encore au club du Forez de décrocher un titre de champion de France. Dans son groupe se trouvaient de futurs professionnels tels que Dylan Chambost, Léo Petrot, Allan Saint-Maximin ou encore Jonathan Bamba. L’année suivante, son nouveau groupe échouait en demi-finale face au FC Lorient de Mathéo Guendouzi. L’Yssingelais parvenait tout de même à regoûter aux joies d’une finale, avec la génération 1999, celle de Gabay Allaigre, en 2016. Malheureusement, les Foréziens étaient battus (4-2) par le PSG de Timothy Weah à Saint-Flour.

"J’étais en fin de contrat après cette finale perdue et mon aventure stéphanoise s’est terminée à ce moment-là », se souvient, amer, Lionel Vaillant. Une décision qui restait incomprise par beaucoup d’observateurs au vu des résultats obtenus. "Je n’ai pas eu d’explication, je pense que je ne faisais pas partie du bon giron. Christophe Galtier, qui s’occupait des pros, avait fait le forcing pour que je puisse rester, mais cela n’avait pas suffi."

Malgré cette injustice, l'ancien formateur des Verts garde en mémoire de bons souvenirs. "J’arrive encore à avoir des contacts avec certains des joueurs de cette époque, apprécie-t-il. Un jour, j’ai ouvert ma boîte aux lettres et j’ai découvert que Dylan Chambost m’avait offert son premier maillot professionnel porté avec Troyes, accompagné d’un message où il me remerciait de toutes les années passées ensemble. Il y a aussi Léo Petrot qui est de Monistrol et que j’ai vu débarquer en U17… Gagner des titres, ça crée des liens."

Garcia au pays de Stassin ?

16/01 16:15

Rudi Garcia a commencé sa carrière d'entraineur chez les Verts. Celui que Robert Nouzaret avait fait venir comme prépararteur physique en 1998 est ensuite devenu adjoint, puis co-entraineur avec Jean-Guy Wallemme lors de la saison 2000-2001 qui verra les Stéphanois retrouver la Ligue 2, après notamment "l'affaire des faux passeports".

14 ans plus tard, celui qui a notamment entrainé avec succès Lille ou l'OM, mais aussi la Roma et le Napoli serait en pôle position, selon la Pravda pour devenir sélectionneur des diables rouges (Belgique).

On ne sait pas qui de Garcia (on parle aussi de Thierry Henry) ou d'un autre deviendra l'heureux élu, mais on espère qu'il sera rapidement dans l'évidence d'offrir à notre jeune buteur belge, Lucas Stassin, actuellement chez les diablotins (espoirs belges) sa 1ère sélection en A. 

On a eu Zidane, on aura Zeidane ? (2)

16/01 14:32

Déja évoquée la semaine dernière par Le Progrès, l'info selon laquelle l'ASSE s'intéresse à l'ailier Zeidane Inoussa (qui joue à Häcken) est confirmée par le quotidien suédois Expressen. Selon ce dernier, le joueur de 22 ans, international espoir suédois pour qui Hull City aurait fait une offre à 7M€ cet été, est pisté par le Celtic et Sainté.

Inoussa sort d'une saison accomplie avec Häcken pour qui il a marqué 10 buts (6 en championnat, 1 en Coupe de Suède et 3 en Ligue Conférence) en 25 matchs joués.

La saison précédente, il avait claqué 5 buts en 10 matchs avec un autre club de D1 suédoise, Brommapojkarna (à vos souhaits !).

Postformé à Caen, le joueur avait été cédé pour 1,6M€ par Malherbe à Brommapojkarna.

Après avoir eu le neveu de Zizou en équipe réserve les Verts vont-ils débaucher son quasi homonyme suédois ?

On refait le mastre ce soir à 20h45

16/01 09:37

On Refait le Mastre, l'émission de radio de Poteaux Carrés revient ce soir pour débriefer la transformation spéctaculaire de notre équipe en 2025.

Lueur d'espoir ou feu de paille? 

Rejoignez-nous à 20h45 en direct sur la chaine Youtube du site pour en débattre. 

Saadi raccroche les crampons (2)

16/01 07:12

15 jours après avoir annoncé sur son compte Instagram qu'il avait raccroché les crampons, l'ancien avant-centre stéphanois Idriss Saadi se confie dans la dernière édition du Dauphiné Libéré.

"Cet été j’ai eu un staphylocoque doré, qui m’a vraiment mis mal. Je n’ai pas voulu prendre de risque. Cela fait déjà 2 ans que je prépare l’après car le foot, cela ne représente pas toute une vie.  Je pense à passer mes diplômes d’entraîneur. Je me laisse 6 mois pour voir. Ça sera la fin de la saison et de l’année scolaire. Je veux prendre le temps d’y réfléchir.

Depuis mes premiers croisés à 22 ans, je sais que cela peut se finir à tout moment, c’est pour cela que j’ai préparé l’après très tôt. Sans les blessures au genou, je pense que j’aurais pu viser plus haut. À Strasbourg, je suis dans une bonne forme avant de me faire opérer du tendon rotulien. Il faut avoir une force mentale pour revenir à chaque fois.

Quand je suis arrivé chez les pros, en tant que jeune, on devait ramasser les cages ou les ballons. Aujourd’hui, les jeunes arrivent et expliquent comment il faut jouer à des footballeurs qui ont 10 ou 15 ans de carrière. Avant, avoir un contrat pro, cela voulait dire quelque chose, que tu avais le potentiel pour faire une carrière en L1 ou L2. Aujourd’hui, tout le monde signe pro…"

Kombouaré veut arracher la victoire à Geoffroy-Guichard

16/01 06:52

Devant leur poste de télévision, les Verts ont vu leur prochains adversaires nantais s'incliner 2-1 à Brest hier en 16e de finale. "En l’absence de Jean-Charles Castelletto et d’Anthony Lopes, ménagés, Antoine Kombouaré a reconduit son onze type" souligne Ouest-France. Avant de se rendre dans le Chaudron dimanche après midi (coup d'envoi dès 15h00), l'entraîneur nantais a livré sa réaction dans la zone mixte du stade Francis Le Blé.

"Cette élimination de la Coupe de France est une grosse déception. C’est une énorme déception car je suis persuadé qu’il y avait la place pour faire quelque chose de bien. Mais on s’est loupé dans le dernier quart de la première mi-temps et derrière on est punis… On a fait une belle entame de match, on a privé les Brestois de ballon mais on n’a jamais fait mal. On les a fait beaucoup courir, on a créé des décalages mais on n’a pas fait de différence.

Leur premier but est scandaleux, il y a hors-jeu. Cette grosse erreur d’arbitrage nous coûte le match car derrière on a du mal et on prend le deuxième but très vite. On fait une deuxième mi-temps bien meilleure, on revient au score mais bien trop tard. Mais il y avait vraiment la place. Quand on voit le nombre d’occasions qu’on a eues… On a tiré 16 fois au but mais on n’a cadré qu’une fois. Eux ils ont tiré 8 fois, ont cadré 4 fois et ont mis 2 buts…

Moi, je travaille avec les joueurs que j’ai sous la main et je ne me plains pas. Aujourd’hui il y avait la place Avec cette équipe-là de passer contre Brest. Et on a les moyens avec cette équipe-là d’aller arracher la victoire à Saint-Étienne. C’est ce que j’attends de mon groupe. Moi, le recrutement, si je passe mon temps à attendre... J’attends toujours. Pour l’instant, le plus important, c’est l’effectif que j’ai là. Je bosse avec celui-là. S’il y a des renforts, je suis super content, s’il n’y en a pas, je fais avec et je suis super content aussi.

Si ça m’inquiète qu’on ait aucune recrue à mi-mercato ? Non parce que moi, je suis dans le présent. Et le présent, ce sont les matches qui arrivent, les entraînements où il faut soigner la tête des garçons, les mettre à l’endroit et surtout, aller jouer. Je ne pense pas qu’un renfort va arriver pour le match de dimanche à Saint-Etienne. Moi, mon travail, c’est de gagner des matchs pour qu’on remonte au classement. Et puis, le travail des dirigeants, c’est d’amener les joueurs. S’ils le font, je suis super content. S’ils ne le font pas, ce n’est pas grave. Nous, on a surtout à se concentrer sur le travail."

 

Bravo Joris et Kelian, chapeau les Espaviots !

15/01 23:42

Battu par la réserve de l'ASSE il y a un mois en N3, Bourgoin-Jallieu a éliminé les vilains de la Coupe de France. Deux joueurs formés à l'ASSE ont participé à cet exploit : Joris Mendy (photo), qui a (très bien) joué l'intégralité de la rencontre débutée juste après une sympathique accolade à son "grand frère" Bafé Gomis. Mais aussi Kelian Mersel, entré en jeu à la 73e minute.

Autre club évoluant dans le même groupe de N3 que la réserve stéphanoise, le FC Espaly (relégable actuellement en championnat) a failli créer l'exploit contre le QSG à Clermont-Ferrand. Les protégés de Lionel Vaillant ont ouvert le score, ont égalisé et se dirigeaient vers une séance de tirs au but avant de prendre 2 buts dans les dernières minutes. Trois joueurs formés à l'ASSE ont pris part à cette rencontre diffusée en prime time sur beIN Sports 1 : les pistons Gabay Allaigre et Mathis Mezaber, titulaires et excellents mais aussi Kaïs Bendriss, entré en jeu à la 77e minute sous les yeux d'un Hugo Di Piazza resté sur le banc.

Lui aussi pur produit du centre de formation de l'ASSE, Saïdou Sow, qui s'est marié pendant les vacances de Noël en Guinée et qui n'avait plus joué depuis un mois et demi, a disputé les 90 minutes de la rencontre remportée aux tirs au but par le Racing Club de Strasbourg à Epinal contre Thaon, antépénultième donc relégable dans son groupe de N3.

Devenu le meilleur milieu de terrain en activité formé chez les Verts l'increvable Mahdi Camara, 4 jours après avoir été le bourreau des vilains, était titulaire ce soir lors de la nouvelle victoire (2-1) des Ti-Zefs contre des Canaris attendus ce dimanche après-midi à Geoffroy-Guichard.

Tous nos prêtés sont éliminés !

15/01 22:06

Aucun joueur sous contrat avec l'ASSE ne participera aux 8èmes de finale de Coupe de France. Darling Bladi, actuellement 7e de National 1 avec Bourg-Péronnas, s'était fait sortir à domicile (1-2) dès le mois d'octobre à domicile par Rumilly-Vallières.

Karim Cissé s'est lui aussi fait éliminer ce soir par un club de N2 (Saint-Brieuc). Entré en jeu à la 74e, l'attaquant guinéen de 20 ans a mis sur la barre transversale le tir au but fatal au FC Annecy (5e de L2) au grand dam de Vincent Pajot.

En souffrance face aux attaquants angevins Esteban Lepaul, Bamba Dieng et Jim Allevinah (ils ont tous les 3 marqué), Beres Owusu a été remplacé ce mercredi à la 86e minute lors de l'honorable défaite à Diochon de QRM (8e en N1) contre le SCO (13e en L1).

Il s'est fait éclater mais il s'est éclaté !

15/01 19:45

Ancien gardien de Côte Chaude, Stéphane Méallier se remémore aujourd'hui dans Le Progrès le mythique 32e de finale de Coupe de France que ce club de quartier stéphanois a joué contre le PSG de Raï et Ginola devant près de 36 000 spectateurs dans le Chaudron le 22 janvier 1994.

"J’ai pris 10 buts, je me suis fait éclater de la 1e à la 90e, mais je me suis éclaté. Trois décennies après, on m’en parle encore. Il n’y avait pas de portable, ni de réseaux sociaux : j'ai appris qu'on tombait sur le PSG par la télévision. C’était inespéré et irréel. On a été ultra-sollicités par la presse écrite et télévisuelle (Téléfoot, Canal +, L’Équipe…).

À l’échauffement, il y avait à peine 15 000 personnes. Quand on est ressorti une demi-heure plus tard, le stade était plein comme un œuf. J’ai cru que les tribunes allaient nous tomber dessus : c’était un truc de fou, une ambiance indescriptible. Malgré la lourdeur du résultat, les supporters nous ont encouragés de la 1ʳᵉ à la dernière minute."

Les supporters nantais boycottent GG

15/01 16:20

Le préfet de la Loire leur ayant interdit de débarquer à plus de 400 à GG dans un arrêté pondu le 9 janvier, les supporters nantais ont décidé de boycotter ce match de la 18e journée de L1 programmé ce dimanche à 15h00. "Les supporters stéphanois avaient pu bénéficier d'un quota de 800 places. Il n'est pas envisageable pour nous de faire un tri parmi les supporters nantais" a indiqué ce mercredi le collectif d'associations de supporters du FC Nantes dans un communiqué relayé par France Bleu Loire Océan.

Deux Canaris préservés pour affronter Sainté

15/01 13:34

"Je ne fais pas de turn-over. Je fais jouer les meilleurs, ceux qui le méritent. Après je dois aussi tenir compte de l’état de santé de mes troupes" a déclaré avant-hier Antoine Kombouaré en conférence de presse. Comme le souligne aujourd'hui Presse-Océan, deux joueurs ne sont pas dans le groupe canari qui défiera ce soir à Francis Le Blé le Stade Brestois de Mahdi Camara mais devraient faire leur retour ce dimanche après-midi à Geoffroy-Guichard.

Il s'agit du vilain gardien Anthony Lopes (qui a reçu un coup de l'ex-futur avant-centre stéphanois Mustapha Mohamed hier à l'entraînement) et du défenseur central Jean-Charles Castelletto (qui avait offert aux Verts un pénalty égalisateur en donnant un coup de coude à Mickaël Nadé le 29 septembre à la Beaujoire).

 

Grange et Roro derrière les Espaviots

15/01 12:57

Selon la dernière édition du Progrès, deux anciens présidents de l'ASSE ayant des attaches en Haute-Loire assisteront ce soir à Clermont-Ferrand au 16e de finale de Coupe de France qui opposera Espaly (N3) au QSG : Henri Grange et Roland Romeyer, qui est resté proche du président espaviot Christian Perbet (dont l'entreprise ponote TNT a accompagné l'ASSE sur le terrain du web).

Entraîneur du dernier rescapé altiligérien suite à l'élimination du Puy hier sur le terrain de Dives-Cabourg, l'ancien coach des U17 stéphanois sacrés champions de France en 2013 Lionel Vaillant a livré ses impressions sur le site de la FFF.

"Avec ma famille, on a passé les fêtes de Noël à Barcelone. Mes enfants ont voulu visiter le musée du Barça et il y a tout une partie consacrée à Luis Enrique. J’ai découvert son parcours de vie. C’est un grand Monsieur. On essayera d’exploiter au maximum ce que l’on sait faire. Ce qui est important, c’est de jouer le match. Ce n’est pas un jubilé. Après, on n’est pas fous et on sait très bien que ce sera compliqué. Il faudra vivre intensément ce moment et kiffer !

Stassin vaut déjà plus qu'il n'a coûté !

15/01 08:23

Leader mondial dans l’évaluation scientifique des valeurs de transfert des joueurs professionnels, l'Observatoire du Football a présenté dans sa 486e lettre hebdomadaire les footballeurs actuellement les mieux valorisés au monde.

Cette instance du Centre International d'Etude du Sport, qui n'avait publié que le top 100 mondial (dominé par Jude Bellingham, 251 M€), a bien voulu nous divulguer le top 5 de l'ASSE. S'il n'a marqué que 2 buts en 722 minutes hors temps additionnel sous le maillot vert, notre Diablotin recruté pour 10 M€ est le joueur stéphanois le mieux valorisé.

1. Lucas Stassin : 11,4 M€
2. Zuriko Davitashvili : 10,6 M€
3. Pierre Ekwah : 4,89 M€
4. Ben Old : 3,42 M€
5. Igor Miladinovic : 3,24 M€

Encore un Sissoko expulsé en Coupe de France !

15/01 07:43

A l'instar d'Ibrahim, en train de payer très cher son coup de coude sur Leonardo Balardi, un autre Sissoko s'est fait expulser hier en Coupe de France : l'ancien latéral stéphanois Alpha, actuellement meilleur passeur de Ligue 2 (6 offrandes). Mais son club Guingamp s'est qualifié aux tirs au but aux dépens du FC Sochaux de Marie-Gaël Mukanya (entré en jeu), Nassim Ouammou (resté sur le banc) et Baptiste Valette (absent).

L'ASSE reste la dernière équipe française à avoir battu le LOSC, les Dogues de Rémy Cabella s'étant qualifiés au Vélodrome aux tirs au but au grand dam de Neal Maupay, dont le but marqué de la main a été logiquement refusé malgré son air ahuri. Le Mans FC (11e de N1) de Lucas Calodat (resté sur le banc) et Nathan Dekoké (absent) a éliminé aux tirs au buts le VAFC (12e de N2) de Vincent Hognon.

Ancien entraîneur de ce dernier (à Sainté puis à Nice), le directeur sportif du SC Bastia Frédéric Antonetti a vu les Corses s'incliner sur le plus petit des scores à Furiani face aux Aiglons. Maxence Rivera, qui aurait dû être titularisé hier avec Dunkerque à Haguenau n'a pas pu jouer, son match ayant été reporté en raison du terrain gelé de la commune du Bas-Rhin.

L'apothéose du professeur Vaillant

15/01 07:19

Prof d'EPS à Yssingeaux et entraîneur d'Espaly (N3), qui défie le QSG ce soir au stade Marcel-Michel de Clermont-Ferrand (à suivre sur beIN Sports 1 à 21h00), l'ancien formateur stéphanois Lionel Vaillant est mis à l'honneur aujourd'hui dans la Pravda. Extraits.

"Pour moi il y a un lien entre mes deux activités", explique l'ancien milieu défensif. "Souvent on ne voit pas les élèves de la même manière que les autres collègues, ils expriment en EPS d'autres compétences, d'autres attitudes. Et quand je retrouve mes élèves dans un club de sport, je me dis que j'ai fait mon boulot". 

Il est aujourd'hui prof à 80 % dans le groupe scolaire où, lycéen, il a rencontré sa compagne. "J'ai les pieds sur terre. Après la claque que j'ai prise à Saint-Étienne, je n'ai pas de rêve en tête", dit-il. La trempe verte, il l'a encaissée en 2016. Après sept années à la formation, son contrat n'est pas renouvelé. "Je suis reçu par Bernard David, le directeur du centre, et quand je lui demande des explications il me répond : "Je ne peux pas t'en donner"." Un souvenir douloureux pour celui qui s'imaginait reconnu, au-delà des résultats de ses équipes (champion de France U13 en 2010 et 2011, champion de France U17 en 2013).

Venu en voisin assister à un match amical sur le terrain de Monistrol-sur-Loire, jeudi dernier, Alain Blachon, l'homme qui l'avait fait entrer chez les Verts, assume son incompréhension : « "C'était un des meilleurs de l'académie, un mec sérieux, avec plein d'idées, qui accrochait super bien avec les jeunes." Après Saint-Étienne, Lionel Vaillant prendra l'équipe B d'Andrézieux puis celle du Puy, où la candidature de Stéphane Dief est préférée à la sienne quand il faut trouver un successeur à Roland Vieira pour diriger l'équipe première.

En 2023, son profil émerge chez le voisin d'Espaly. "Avec le président, ç'a matché tout de suite", témoigne ce technicien très méthodique. "Le plus travailleur des entraîneurs que j'ai pu avoir", tranche Christian Perbet, son président. "Un coach qui ne fait que dans l'intuition, ça ne me va qu'à moitié. Lui, ses analyses sont systémiques et je m'y suis tout de suite retrouvé. Il essaie de tout expliquer, en fait c'est un prof, c'est un pur."

 

Lubo lui a fait passer une sale soirée !

14/01 21:07

Formé au TFC où il a fait ses débuts en pro, l'actuel entraîneur lavallois Olivier Frapolli s'est confié à Ouest-France avant de retrouver les Violets demain en Coupe de France. Extraits.

"Normalement, le rêve de tout gamin qui évolue dans les Bouches-du-Rhône est de jouer à l’OM. Mais j’y voyais moins de possibilités d’y être pro. Toulouse était en avance sur le volet scolaire par rapport aux autres clubs. C’était la meilleure proposition pour continuer à allier les deux le plus longtemps possible. Ça m’a permis, après mon bac obtenu à 17 ans, de passer un BTS action commerciale par correspondance - comme Jean-François Soucasse, le président de Saint-Étienne qui était en chambre avec moi - et d’avoir le tronc commun du BEES 1er degré. Inconsciemment, je pense que c’était déjà un premier pas vers le rôle d’entraîneur (sourires).

Je suis arrivé au Tef à 17 ans, je suis devenu un homme là-bas. Petit à petit, j’ai réussi à être dans le groupe pro. Les moments forts que je garde de ces années-là ? Mon pire, c’est face à Saint-Etienne, je n’étais pas à mon poste et j’avais eu Lubomir Moravcik dans ma zone. Techniquement, il maniait le ballon de façon incroyable et j’ai vraiment passé une sale soirée ! Le meilleur, je dirais que c’est face à Strasbourg. En face, il y avait pourtant quelqu’un comme Frank Lebœuf, mais j’avais obtenu la meilleure note dans le journal L’Équipe, un 8 sur 10. Quand on est jeune, ça impacte, et pour un défenseur, c’était assez rare."

Irvin, il revient ? (3)

14/01 19:19

La Pravda évoque à nouveau ce soir le très probable retour d'Irvin Cardona. Extraits.

"Si l'Espanyol a accepté l'idée de son départ anticipé durant ce mercato d'hiver, ce n'est pas à n'importe quelle condition. Lorsqu'il a obtenu la venue de Cardona de la part des Allemands d'Augsbourg, ce fut sous la forme d'un prêt payant d'un an, assorti d'une option d'achat de 1,8 M€.  L'Espanyol voudrait que l'ASSE prenne en charge le restant dû de ce prêt, estimé autour de 500 000 €. Alors que le club de Catalogne a déjà trouvé un remplaçant à Cardona (Roberto Fernandez en provenance de Braga), les négociations tripartites coincent sur ce point.

Les dirigeants stéphanois ne désespèrent toutefois pas de parvenir à débloquer la situation. Mais cela prendra finalement un peu plus de temps que prévu. La possibilité de voir Cardona fêter son grand retour dans le Chaudron devant Nantes, ce dimanche, apparaît dès lors compromise. Pas son retour, d'ici à la fin du mois. Une fois cette histoire de prêt payant réglé, il restera aux Verts à se mettre d'accord avec Augsbourg sur le montant et la durée de l'option d'achat du Français, avec lequel il reste sous contrat jusqu'au 30 juin 2027."

Le SCO s'accroche (3)

14/01 19:09

A mi-championnat, les Verts sont les moins bons des trois promus. Non seulement ils comptent 6 points de moins que les Auxerrois d'Assane Diousse (pourtant incapables de gagner depuis près de 2 mois), mais ils sont également à 3 longueurs des Angevins de Jean-Eudes Aholou. Dans sa dernière édition, Le Courrier de l'Ouest souligne les progrès du SCO. Extraits.

"0 victoire en 8 journées, puis 5 sur les 9 suivantes. La trame de la saison angevine est une courbe ascendante, qui n’a pas tenu qu’au déclic du premier succès face à Saint-Etienne (4-2) le 26 octobre, aussi important fut-il. C’est le fruit d’une montée en puissance, patiente et méthodique. D’abord confronté à des soucis défensifs, le SCO est devenu plus dur à manœuvrer, en trouvant les hommes et l’animation, en 4-2-3-1, pour moins s’exposer.

"J’ai envie que les joueurs se rendent compte de la progression qui a été la leur, et aussi qu’ils en veuillent toujours plus ", pousse l’entraîneur Alexandre Dujeux. " Avec nos qualités et nos défauts, on doit aller toujours optimiser tout ce qu’on peut. J’attends cette responsabilité de leur part. On peut gagner en efficacité, en constance, et faire que la concurrence tire tout le monde vers le haut. Si on peut continuer à progresser, il ne faut pas s’en empêcher. "

La menace de la relégation reste d’actualité, avec une place de barragiste (16e, Saint-Etienne) qui n’est que trois points derrière. Mais les deux relégables, Montpellier et Le Havre, pointent désormais à 10 et 7 points ; l’opération réalisée dimanche est juteuse. C’est le fruit de la grande réussite angevine dans les confrontations directes. Le SCO a battu les trois derniers et obtenu le nul contre Nantes (15e), soit la moitié de ses points. 

"Dans les confrontations directes, les 3 points sont fondamentaux. Mais ce ne sont jamais des matchs faciles à aborder, ça peut vite basculer ", alerte Dujeux, avant les prochains duels qui arriveront vite : Le Havre (20e journée), Reims (22e), Saint-Etienne (23e), Montpellier (29e). Le SCO ne veut pas se relâcher. " Les garçons sont concentrés et professionnels. C’est une marque de ce groupe-là. Il faut se servir de la confiance accumulée pour travailler fort et ne surtout pas se relâcher. On est sur une pente ascendante."

 

Deux jeunes verts en sélection U16

14/01 18:51

Déjà présents pour le stage avenir de la sélection U16 début décembre, les deux jeunes stéphanois Mylan Toty et Nathan Kasia, font à nouveau partie du groupe retenu par le sélectionneur José Alcocer, pour affronter à 2 reprises le luxembourg les 21 et 23 Janvier prochains.

Ces deux jeunes footballeurs de la génération 2009, arrivés cet été au Centre de formation stéphanois, brillent depuis le début de saison avec l'équipe U17 coachée par David Le Moal qui caracole en tête de son groupe.

Nathan Kasia a joué 14 des 15 matchs disputés par les U17, tous comme titulaire alors que Mylan Toty qui a réalisé 2 doublés en 3 matchs avec les U16 de Kevin De Jesus a aussi scoré à 3 reprises en U17 (9 matchs).

Mission impossible pour Gasset

14/01 18:39

Lanterne rouge à 7 points de l'antépénultième et barragiste stéphanois à mi-saison, Jean-Louis Gasset (71 ans), encore battu (à la maison contre Angers), est abattu dans Midi Libre.

"Dans un match important comme ça, c'est très grave de refuser le jeu au lieu de tout donner. La mission était très difficile, aujourd'hui c'est mission impossible. Il y a encore beaucoup de points en jeu, mais on a perdu au Havre, on a perdu à Saint-Etienne, on perd chez nous contre Angers... Il va falloir un petit miracle pour se sauver !

J'ai dit aux joueurs : "Vous avez fait 8 matches avec un entraîneur, vous avez pris 4 points. On change d'entraîneur, on a pris 5 points en 9 matches. On est où on doit être". On a essayé de remettre certaines choses mais on n'y est pas arrivé. Donc j'ai dit, "il manque un demi-championnat, on est des professionnels, on va jouer les matches du mieux possible..."

Si j'avais réfléchi quand on m'a demandé, peut-être que je ne serais pas venu, parce que je voyais que le mal était quand même assez profond. Mais à bien y réfléchir, si aujourd'hui j'avais été devant ma télé, je me serais dit que je me suis dégonflé. Et vis-à-vis des gens qui sont partis, à qui je dois beaucoup, je préfère souffrir en étant avec eux que souffrir en étant à l'extérieur."

Les Nantais sont devenus des guerriers ?

14/01 11:40

Ayant pris 15 fois plus de points à la maison qu'à l'extérieur à mi-championnat et s'apprêtant à recevoir ce dimanche des Nantais qui auront 3 jours de récupération de moins du fait de leur délicat déplacement à Brest demain en Coupe de France, les Verts seront logiquement favoris ce dimanche après-midi. Mais la seule équipe à n'avoir pas réussi à battre les Stéphanois chez elle cette saison ne viendra pas en victime expiatoire à Geoffroy-Guichard. Si les Nantais n'arrivent toujours pas à gérer leur avantage, ils sont devenus plus agressifs ces dernières semaines, comme le souligne Johann Lepenant dans Presse-Océan.

"On a basculé au niveau de notre mentalité. On s’est mis en mode guerrier et je pense que c’est ça qui va nous faire gagner des points face à toutes les équipes. À chaque match, on souffre mais on doit être capable de tout donner sur le terrain, jusqu’à la fin. Et on sait qu’on y arrivera ensemble. Le déclic s’est produit au Parc des Princes, où on a su faire preuve d’une grande solidarité pour arracher un point. On s’est dit qu’on ne voulait pas faire de la figuration. On voulait être une vraie équipe, se battre les uns pour les autres.

Depuis ce match à Paris, on montre un visage de guerrier. Quand tout le monde est ensemble, quand les lignes sont resserrées, il n’y a pas beaucoup d’équipes qui peuvent nous prendre en défaut. Le PSG a eu le ballon mais n’a pas eu tant d’occasions que ça. Pareil pour Lille. La mentalité a changé. On s’est fait remonter les bretelles par le staff, la direction. Même à l’entraînement, on sent une différence, il y a plus d’engagement."

 

La passion selon Anto

14/01 11:31

Devenu Directeur Sportif de son Sporting Club de Bastia (actuellement 8è en L2), Frédéric Antonetti revient dans une instructive interview à la Pravda sur son rôle, et sur sa vision du football français en 2025 :

"L’année dernière, j’ai eu des propositions pour retrouver un banc, de deux clubs qui sont aujourd’hui en Ligue 1 (ndp² : dont Sainté avant qu'ODO soit nommé). Je n’avais pas envie de prendre une équipe en cours de saison. Le terrain me manque, mais je n’interviens jamais auprès de Benoît (ndp² : Tavenot, le coach bastiais). Il gère le présent et moi j’observe le présent pour préparer le futur. Mon profil n’existe pas en France chez les directeurs sportifs : ce sont soit d’anciens joueurs, soit des gens qui ont fait Limoges (ndp² : soit les deux comme Loïc Perrin !) : quelqu’un qui a passé trente ans sur les bancs de touche, il y en a zéro. C’est dommage parce que l’entraîneur a un regard. Pour moi c’est le mieux placé pour constituer un effectif. J’ai toujours aimé ça, mais quand tu es entraîneur, tu n’as pas le temps. Aujourd’hui il y a deux footballs : celui de la mondialisation avec des capitaux qui arrivent de l’étranger, des clubs qui ont perdu leur identité, et celui des clubs régionaux comme le nôtre (…) Si on avait un quart des moyens du Paris-Saint-Germain, on aurait déjà été champions d’Europe. En Ligue 1, il y a 8, 9 clubs qui sont intouchables. Ils se sont partagé le football français, il faut dire les choses comme ça : il n’y a qu’à voir le partage de l’argent de CVC. La répartition des revenus du football français est très injuste : c’est aux riches qu’on donne le plus. Aujourd’hui, le salaire d’un bon joueur de Nice couvre l’ensemble de la masse salariale du Sporting Club de Bastia, qui est de 250 000€ brut par mois. Pour exister, on doit appliquer une politique sportive en adéquation avec nos moyens. Et pourquoi on doit exister ? Parce qu’on a la passion. S’il n’y avait pas cette passion, je n’y serais pas allé. On n’existe que grâce à elle, sinon on serait rayé de la carte du football (…) La place du Sporting se situe entre la 10è et la 30è place du foot français. L’objectif, c’est d’être 10è de première division. Il nous faudra peut-être quinze, dix ou huit ans, je n’en sais rien. Mais on prépare ça. Petit à petit."

Promu, leader... mais viré !

14/01 08:52

Alors qu'il avait fait remonter Chartres en N3 et qu'il était toujours leader du groupe F malgré la défaite de son équipe à Vierzon, l'ancien milieu de terrain stéphanois Laurent Fournier (60 ans) s'est fait virer hier.

L'Ange Vert était fait pour jouer, pas pour manager

14/01 07:03

Fêtant aujourd'hui ses 70 ans deux jours après assisté à la défaite des Verts au Parc, Dominique Rocheteau s'est confié à la Pravda. Extraits.

"L'exigence ne m'a jamais fait avancer. Le plaisir de jouer, oui. Le matin, je me levais pour m'amuser au foot. À 16 ans, quand j'ai quitté mon pensionnat de Royan, situé à 200 mètres de la plage, pour Saint-Étienne, une ville noire de mineurs, cela a été un choc. Plus d'océan ni de douceur de vivre. Mais l'envie et le plaisir de jouer ont pris le dessus. À 9, 10 ans, je préférais marquer à dribbler ou passer, e comptais mes matches et mes buts sur un petit carnet.

Les datas, c'est l'exemple même du sport business. Un club achète un joueur pour le revendre un an après. Résultat : les joueurs changent de clubs comme de chemises et les supporters peuvent s'y perdre, même s'ils demeurent attachés à leur équipe. Je suis trop idéaliste, mais il faut penser aux gens. Prenez le cas de Seko Fofana : il devient actionnaire du RC Lens en partant en Arabie saoudite et il revient en signant à Rennes. Je comprends la réaction des supporters lensois. Sur le plan éthique, ce n'est pas terrible.

C'est à l'AS Saint-Étienne que l'on m'a inculqué que le football est un sport collectif. Quand j'arrête ma carrière, je ne sais d'ailleurs pas combien de buts j'ai inscrits en tout. Aujourd'hui, j'ai l'impression que les footballeurs jouent pour les stats. Cela me dérange un peu, car je reste persuadé que, même dans le football moderne, tu n'obtiens pas de résultats dans la durée sans cette notion de collectif. C'est ce qui s'est passé à Saint-Étienne, dans les années 1970.

Je demeure un passionné de football, mais je le suis avec moins d'assiduité. Je regarde rarement un match de foot en entier, désormais. Je me sens toujours supporter des Verts et du PSG, même si ce n'est plus le même club. Je suis partisan pour que le PSG reste au Parc. L'Emirates Stadium d'Arsenal n'a rien à voir avec Highbury. Anfield à Liverpool, le stade Bollaert à Lens ou Geoffroy-Guichard à Saint-Étienne restent des stades mythiques avec une âme. Comme le Parc.

Ce que je pense de la vente de l'ASSE au milliardaire canadien Larry Tannenbaum ? Les clubs anglais sont tous rachetés par des capitaux étrangers. Si Saint-Étienne veut revenir à un certain niveau, il est obligé d'en passer par là. Après, tout est une question de valeurs. Des étrangers peuvent garder celles des Verts, en étant conscients de leur histoire.

Depuis que je suis parti à la rencontre des gens à l'occasion de la sortie de mon dernier livre, je me rends compte que Saint-Étienne reste Saint-Étienne et que les Verts renferment toute une époque qui s'est transmise de génération en génération. Il n'y a qu'à voir le public jeune de Geoffroy-Guichard. Je ne m'attendais pas du tout à ce qu'autant de monde vienne me voir. C'est le côté sympa d'une carrière. Il y a beaucoup d'émotions et d'échanges.

Ce que je retiens de ma carrière, ce ne sont pas les titres. Non, ce qui me reste de mes 18 ans de carrière, ce sont les relations tissées avec le monde du football et le plaisir que l'on prend à se revoir, 50 après, avec les Verts de 1976. C'est particulier et c'est le plus beau. Cela vaut plus qu'une victoire en Ligue des champions. Mais bon, c'est comme si nous l'avions gagnée, cette finale de 1976. On a descendu les Champs-Élysées et on a été reçus à l'Élysée (sourires).

Finalement, j'ai le sentiment d'avoir fait ce que je voulais, avec une certaine liberté. Là où j'ai eu le moins de liberté, c'est au cours de mes 9 années de dirigeant à l'ASSE. C'était lourd et je me suis pas mal adapté. Je ne suis pas fait pour être un meneur d'hommes. Manager, ce n'est pas mon truc. Mais j'arrive à bien ressentir les gens. Me retrouver entre Bernard et Roland n'a pas été évident du tout, au départ. Mais je garde un bon souvenir de Roland."

 

On a eu Zouma, on aura Ouma ?

13/01 21:28

Selon le compte Nordisk Football, "l'AS Saint-Étienne est à la lutte avec le Slavia Prague pour Timothy Ouma. Les deux clubs auraient proposé une offre à peu près équivalente pour le milieu de terrain d'Elfsborg. Des discussions sont en cours. Le club suédois viserait une somme record pour le laisser partir. C'est-à-dire au moins 3,5 millions d'euros."

International kenyan âgé de 20 ans, ce milieu axial a joué 13 matches européens cette saison en Europa League pour l'ancien club de l'ex-flop stéphanois Lasse Nilsson : 5 lors des tours préliminaires, 2 en barrages et 6 en phase de Ligue où il occupe actuellement la 24e et dernière place de barragiste.

Où est Madhi ?

13/01 20:44

Madhi Camara s'est illustré samedi en battant, avec le Stade Brestois, nos vilains voisins et ....en chambrant discrètement leurs supporters. Il a été le meilleur joueur de cette rencontre. 

Madhi figure sur cette photo prise en 2011 au Tournoi U13 de Cahors, mais où est-il ? A cette époque, Madhi appartenait encore au FC Martigues mais savait déjà qu'il serait Vert deux ans plus tard. Pour s'imprégner de la culture verte, il participait avec ses futurs partenaires aux Tournois du printemps. Qui lui aurait prédit un tel avenir ? Peut-être le coach Lionel Vaillant, (ici debout à gauche, accompagné du dirigeant Bruno Viviani) qui officie désormais sur le banc d'Espaly FC, le futur adversaire du Paris SG en Coupe de France. 

De cette très valeureuse  équipe qui allait devenir Championne de France quelques semaines plus tard, Madhi est le seul à avoir eu un destin national et peut-être bientôt international. 

Quant aux autres, ils ont principalement fréquenté les clubs régionaux (des oublis sûrement) : 
Anthony Maisonnial : Sion, Paris FC, Bourg en Bresse, Andrézieux, Bastia
Rayan Souici : Entente SSG, Servette Genève, St Priest, Dijon
Anthony Vacheron : UT Pétange, Andrézieux, Romorantin, Hauts Lyonnais
Louis Berne : St Priest, La Fouillouse, L'Etrat, Dervaux, St Etienne FC
Lilian Desorme : St Christo Marcenod
Eliot Bon : L'Etrat
Augustin Bangoura : St Cyr MO, Lyon Sud
Yassine Benarab : Firminy, L'Etrat
Max Fourgnaud (désormais professeur des écoles) : Andrézieux, Feurs, L'Etrat
Anis Aguir : Bourg en Bresse, St Priest

Mais, au fait, où est Madhi sur cette photo ?

Les U15 ont retrouvé les terrains

13/01 20:15

Finies les vacances pour les U15 de Jean-Philippe Primard ! Depuis lundi dernier, ils ont retrouvé le collège Tezenas du Montcel et les terrains d'entraînement de l'Etrat. Après deux semaines de remise en forme, ils vont  reprendre les confrontations amicales.
Samedi 18 janvier, ils se déplaceront pour rencontrer le FC Lyon à 15h30. Le samedi suivant, le 25 janvier, ils se confronteront aux U16 de Roannais Foot42. Le samedi 1er février, ils joueront contre leurs homologues de l'AS Montferrand, le club d'où est issu Antoine Gauthier.

Ensuite, samedi 8 février, place au championnat avec le premier match retour, à Clermont, contre les leaders de Clermont Foot qui devancent les Verts d'un petit point au classement. Et avant les vacances, samedi 15 février, ce sera la réception de Grenoble Foot 38.    

On a eu Saïdou, on aura Sadibou ?

13/01 20:01

Après avoir tenté en vain de débaucher le latéral gauche et capitaine du FC Metz Matthieu Udol l'été dernier, l'ASSE s'intéresse à un autre défenseur des Grenats selon Le Progrès.

"Irvin Cardona est attendu pour combler "les manques dans la finition" pointés du doigt par Eirik Horneland (...) Les choses sont en bonne voie et il pourrait retrouver le Chaudron dès dimanche face à Nantes. Une arrivée qui devrait s’accompagner de celle d’un défenseur central. Ni Briançon, ni Abdelhamid n’apparaissent aux yeux du Norvégien comme des alternatives à la charnière Nadé-Batubinsika. Les recruteurs stéphanois lorgneraient du côté de Metz et de Sadibou Sané, titulaire avec les Grenats depuis la saison dernière. Rennes serait également sur les rangs du jeune Sénégalais. Et un latéral gauche en cas de départ de Cornud, qui n’a jamais convaincu, ne sera pas de trop."

Ayant joué intégralement les 2 matches de barrage contre Sainté le printemps dernier, Sadibou Sané est un défenseur central de 20 ans d'1m85 capable de dépanner en latéral droit ou d'évoluer au poste de milieu défensif. Actuellement sous contrat jusqu'en 2028 avec un club classé actuellement 4e de L2 à 3 points des coleaders (Lorient et le Paris) et 2 de Dunkerque, ce joueur a une valeur estimée à 1,5 M€ selon Transfermarkt.

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