Erding ne voulait pas quitter Sainté
15/10 20:57
Dans un bref entretien accordé à 90 Football, Mevlut Erding (36 ans) est revenu aujourd'hui sur la fin de son aventure stéphanoise au coeur de l'été 2015.
"J’ai apprécié mes 2 saisons à Saint-Etienne. Je fais 50 matches et je dois marquer 25 buts [Mev a claqué en fait 21 pions en 65 matches, 40 en tant que titulaire, ndp2]. Je pars en transfert en Allemagne [à Hanovre, ndp2]. Je ne voulais pas partir parce que j’aimais beaucoup Saint-Etienne. J’aimais les supporters, j’aimais jouer dans le Chaudron. Je suis parti à contrecœur personnellement.
Pourquoi je suis parti alors ? C’est tout simple, on m’a offert un meilleur contrat en Allemagne. Hanovre a fait une offre de 4,5 millions d'euros à l'AS Saint-Etienne, qui n’a pas refusé. Tout devient logique ! Ce n’est pas une question d’argent pour moi mais c’est surtout le club de Saint-Etienne qui gagnait dans l’affaire. A cette époque-là, l’ASSE ne vendait pas beaucoup de joueurs à ce prix-là.
Moi j’ai joué au Parc des Princes, il y avait Boulogne et Auteuil, c’était extraordinaire. Quand tu joues un Saint-Etienne-Olympique Lyonnais, c’est extraordinaire aussi ! Les deux virages sont extraordinaires. A Saint-Etienne, il y a souvent de l’ambiance quand même. Même si le stade sur les côtés n’est pas rempli, tu sais que derrière les buts, ça envoie ! Le stade est rarement rempli car malheureusement, depuis deux ans, il n’y a pas de résultats aussi…"
Pajot garde la tête froide
15/10 19:15
Valeureux milieu de terrain d'une équipe annécienne classée actuellement 12e avec 7 points de retard sur les Verts mais 4 longueurs d'avance sur le premier relégable, l'ancien Vert Vincent Pajot (33 ans) s'est confié au Dauphiné Libéré. Extraits.
"La vraie commotion que j’ai eue, c’était à Bastia avec Saint-Etienne en 2017. J’avais eu un vrai choc. J’avais pris un pied dans la tête. Je n’avais repris mes esprits qu’à l’hôpital, deux heures plus tard. Je crois que j’étais un des premiers footballeurs à avoir un protocole commotion, avec six semaines d’arrêt et l’obligation d’aller voir un neurologue. Ça m’a provoqué une sensibilité qui fait que lorsque je reprends des chocs à la tête, j’ai des troubles visuels, un peu des vertiges, comme des pertes d’équilibre.
Là, je suis parti sur un traitement et de l’ophtalmologie pour éduquer mon œil et mon cerveau. Je touche du bois, ça se passe bien. Mais j’ai gardé une sensibilité au niveau de mon côté droit, il faut être vigilant. Je pense que ce coup à Bastia a été le déclencheur. Après, j’ai le souvenir que je prenais pas mal de coups à la tête quand j’étais plus petit, je suis assez rentre-dedans. J’allais beaucoup dans le jeu de tête et je prenais des coups de coude.
Cette année, j'ai à nouveau eu un choc en mai à Nîmes puis un autre en août contre Saint-Etienne. Le coach a été très bon. Quand je prends le coup à Nîmes, on joue Toulouse trois jours plus tard en demi-finale de la Coupe de France. Je me sens capable de jouer mais le coach n’a pas voulu prendre de risques et il a eu raison pour ma santé. C’est bien que le sujet soit pris au sérieux. Il ne faut pas faire n’importe quoi.
la LFP demande à ce qu’on consulte un neurologue, en visio, qui établit un diagnostic pour voir si on peut reprendre. Puis, il y a un protocole, pour une reprise évolutive. Ils prennent les choses au sérieux car avant on pouvait s’entraîner à nouveau dès le lendemain. Le coach m’a dit qu’après ma carrière, j’ai une vie à vivre. Il faut prendre du recul, ça ne reste que du foot. Il vaut mieux bien se soigner plutôt que tout faire à l’arrache pour jouer trois jours plus tard.
Quand ça m’est arrivé avec Saint-Etienne, j’ai été séché sec. C’était impressionnant. J’ai eu un trou noir du moment du choc jusqu’à me réveiller à l’hôpital. Ce qui est bizarre, c’est que le doc’me parlait, j’ai débloqué mon téléphone pour qu’il prévienne mes parents mais je n’ai aucun souvenir de tout ça. C’est un truc de malade. Je ne me souviens plus de l’échauffement, plus de mon début de match. J’ai eu quasiment trois heures de trou noir dont je ne me souviendrai jamais.
C’est dur quand tes parents sont devant la télé, que beaucoup d’informations circulent mais qu'on ne sait pas réellement ce qui se passe. Tu sors sur civière… Aujourd’hui, mes parents, ils sont contents quand je sors du match indemne. Bon, pas bon, victoire, défaite, ce n’est pas trop un souci. Ils sont assez stressés de base avec la santé mais c’est vrai que le foot devient de plus en plus physique. Il y a 15 ans, un Pogba, ça n’existait pas au milieu de terrain. Il y avait des Carrière, des Nivet… Les impacts ont pris de l’intensité.
Cet été contre Sainté j'ai pris un coup, puis j’ai eu une sorte de trou noir et quand on revient à nous, on se dit "c’est bizarre d’être là". Comme si on se pensait dans son lit et qu’on se retrouve sur un terrain de foot. Je sais très bien que quand ça arrive, tous les symptômes vont ressortir et il n’y a pas lieu que je continue à jouer car je vais pénaliser l’équipe comme ma santé. J’ai eu le protocole commotion fois et ainsi je ne pouvais pas jouer le match suivant. C’est très bien, c’est le cerveau, c’est tellement complexe."
Les U17 Verts font la misère à Lyon-Duchère
15/10 19:15
Dlylian N'Guessan, auteur d'un triplé face à Lyon-Duchère
Les Verts leaders du groupe D avec 16 points recevaient Lyon-Duchère, 7 points, cette après-midi à l’Etrat. Sans trembler, ils s’imposent 5-2 et confortent leur première place, bénéficiant des défaites des vilains (1-2) à Ajaccio et des Aiglons (1-2) à Monaco.
Supérieurs, les protégés de Frédéric Dugand vont ouvrir le score à la 11ème minute, Helmi Ben Tiba, profitant d’un magnifique enchaînement de Mehdy Lutin-Zidee pour tromper le gardien lyonnais Kelyan Ricignuolo, pensionnaire du centre de formation stéphanois l’an dernier (9 matchs en U16). (ASSE-Lyon-Duchère 1-0, 11ème).
Les jeunes Verts dominent et 5 minutes après l’ouverture du score doublent la mise, Djylian N’Guessan, de retour de sélection U16, reprenant victorieusement un centre de Farès Ben Rahem. (ASSE-Lyon-Duchère 2-0, 16ème).
Les occasions se poursuivent, avec une frappe sur la barre de Sonny Yvars, une frappe détournée de Djylian N’Guessan… Finalement, c’est à la toute fin de première période que les Verts trouvent à nouveau la faille, Djylian N’Guessan reprenant un ballon repoussée par le gardien adverse suite à une frappe de Medhy Lutin Zidee. (ASSE-Lyon-Duchère 3-0, 45ème).
En seconde période les coéquipiers de Matéo Houngbo-Civier, capitaine aujourd’hui en l’absence de Rayan Boukadida (ménagé en raison d’une gêne à la cheville), vont d’abord laisser Lyon-Duchère revenir au score à la 53ème minute, le portier vert étant lobé, suite à un contre adverse. (ASSE-Lyon-Duchère 3-1, 53ème). Vexés, les Verts réagissent de suite, Valentin Depalle, d’une frappe croisée à l’entrée de la surface, permet aux siens de reprendre leur distance. (ASSE-Lyon-Duchère 4-1, 55ème).
A cinq minutes du terme, les Stéphanois vont à nouveau céder, sur pénalty, avant de très vite répondre à nouveau. Quentin Prud’homme, entré en jeu à l’heure de jeu, va offrir sur un centre, un triplé à son avant-centre Djylian N’Guessan ! C’est le cinquième but de l’attaquant, buteur lors des trois derniers matchs avec cette catégorie. (ASSE-Lyon-Duchère 5-2, score final)
Avec 6 victoires, 1 nul et une seule défaite en 8 rencontres, les U17 réalisent un très beau début de championnat, qu’ils pourront bonifier samedi prochain lors du déplacement à Clermont.
La composition : Houngbo-Civier – Ben Rahem (Ruiz 46ème), Dodote, F.Camara, Grillot – Depalle (Prud’homme 60ème), Zerga, Yvars - Ben Tiba, N’Guessan, Lutin Zidee (Tatuszka 60ème)
Buteurs : Ben Tiba, N’Guessan (3), Depalle.
La réaction de Frédéric Dugand : "Le résultat est intéressant mais la petite frustration vient des 2 buts encaissés et par moments de la suffisance des joueurs. Les données GPS montrent que c’est le match où on a le plus couru. Cela montre que les joueurs sont concernés et à l’écoute, mais il faut aller chercher plus loin, être encore plus exigeants et professionnels. Quand on forme des joueurs de haut niveau, il faut qu’on soit plus constants. C’est parfois une suffisance technique, de placements… Cela me gêne qu’on prenne 2 buts, ça n’enlève rien au fait d’être content, mais c’est à méditer."
Bompastor râle
15/10 14:00
Coach des vilaines, Sonia Bompastor a déploré l'excès d'engagement des Vertes, écrasées hier 6-0 en banlieue en clôture de la 4e journée de D1.
"Lors du premier quart d'heure, on a manqué de justesse technique et nos choix n'ont pas toujours été judicieux. Ensuite on a su faire preuve d’efficacité. On a marqué rapidement pour ne pas laisser d’espoir aux Stéphanoises. Il y a eu des duels qui ont été très limites et qui ont surpris mes joueuses. Il y a quelques situations où ça arrivait un peu par derrière et qui n’ont pas été sanctionnées."
Si le club était racheté par des milliardaires...
15/10 11:03
Dominique Rocheteau s'est brièvement confié au Dauphiné Libéré ce week-end.
"L'AS Saint-Etienne bientôt de retour au plus haut niveau ? Oui, tout le monde le souhaite, mais le problème, c'est ça la difficulté de Saint-Etienne, c'est que tout le monde pense que Saint-Etienne peut retrouver le très haut niveau. Parce que c'est un club qui était au pinacle. Mais ce n'est pas possible, ce n'est plus possible, ça ! Il faut que les gens en soient conscients. Enfin, c'est plus possible... Si, ça serait possible si le club était racheté par des milliardaires. Mais ça ne sera pas forcément le cas. Et quand bien même, ce ne serait peut-être pas forcément une bonne chose parce qu'il faut que Saint-Etienne garde ses valeurs."
Mortel perd un match et deux joueuses
15/10 10:43
Lourdement défaites chez les Vilaines hier (0-6), les Amazones qui viennent de jouer contre Montpellier, le PSG et Lyon, vont désormais rentrer véritablement dans leur championnat, face à des concurrentes directes.
Ainsi, dès samedi prochain (15h) elles recevront Le Havre qui les précéde d'un point suite à leur nul (2-2) contre Lille ce week end.
Hier, Laurent Mortel a hélas confirmé que son équipe serait diminuée pour ce choc de bas de tableau : "Ce qui me dérange c'est la défaite, et je perds Solène Champagnac et Faustine Bataillard sur un rouge, c'est une soirée à oublier. Une défaite, deux joueuses en moins, je m'en serais bien passé. Solène, c'est la cheville qui a tourné, on attend les résultats médicaux en début de semaine, difficile de se projeter mais pour moi je perds deux joueuses la semaine prochaine."
José arrose ses retrouvailles avec Alex
15/10 09:37
L'ancien taureau de Nouzaret n'est pas prêt d'arrêter la binouze ! José Aloisio (48 ans) a évidemment fêté hier à la bière ses retrouvailles avec Alex (51 ans). "Nous avons joué ensemble 7 ans [à Goias, Sainté, Paris et Sao Paulo, ndp2], nous avons remporté des titres et réalisé des exploits. Je remercie Dieu pour cette amitié qu'il nous a donnée sur les terrains comme en dehors et maintenant nous buvons" a posté l'ex-numéro 12 de l'ASSE sur son compte Instagram.
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En mai dernier, le duo brésilien resté dans nos coeurs verts avait déjà affiché sa bonne humeur houblonnée.
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L'Ange est resté Vert
15/10 08:44
Présent ce week-end à la Fête du Livre de Saint-Etienne pour dédicacer son livre Foot sentimental à paraître le 19 octobre aux éditions Le Cherche Midi, Dominique Rocheteau a indiqué au Progrès qu'il continue de suivre l'ASSE. Extraits.
"Le foot est devenu une addition de destins individuels qui ne favorise pas l'expression commune d'une équipe. Les joueurs restent peu dans les clubs. Les agents font en sorte qu'il y ait beaucoup de mouvements parce que c'est là qu'ils gagnent beaucoup d'argent. Pour avoir des résultats, il faut que les joueurs aient le temps d'apprendre à jouer ensemble, qu'une entité et qu'une osmose se créent. A Saint-Etienne, le fait de bien se connaître, sans avoir de vedette pour autant, nous avait permis d'avoir des résultats.
J'ai vécu mes plus belles années à l'AS Saint-Etienne. Quand je suis arrivé chez les Verts, c'était le plus grand club français qui était en avance sur beaucoup de choses, sur l'entraînement, sur le visionnage des matches... C'était un club qui savait trouver les bons joueurs. Aujourd'hui, c'est plus facile pour un club... quand on peut payer. J'ai avez joué avec l’ASSE, le PSG et Toulouse. Quel club je supporte ? Je ne fais pas de différences entre les trois. Mais je ne rate aucun match de Saint-Etienne. Ça veut dire ce que ça veut dire (sourire)."
Koné a doublé
15/10 08:17
Auteur de 14 pions en 18 matches avec les U19 lors de son unique saison verte (2017-2018), Habib Koné (23 ans) a marqué hier lors du 5e tour de Coupe de France 2 des 4 buts victorieux d'Andrézieux contre la modeste équipe auvergante de Ceyrat (R2). Le coéquipier d'Idriss Saadi (buteur contre Toulon lors de la dernière journée de N2) avait déjà scoré deux fois en championnat (en août contre Aubagne et en septembre contre Thonon-Evian).
La pièce verte du Puzzle roustanien
15/10 08:01
Ayant démarré sa carrière de jouraliste sportif en 1976, Didier Roustan (66 ans) a bien sûr inséré une pièce verte dans Puzzle, son autobiographie parue le 20 septembre dernier aux éditions Marabout.
"Lors de mes débuts à TF1, j’étais ébloui par des joueurs certes bien moins prestigieux que mes idoles de jeunesse Pelé et Cruyff et reliés à une période où je n’étais, cela dit, plus vraiment un gamin. Par exemple un an après mon arrivée, on doit être vers septembre 1977, Jean Raynal est envoyé à Lens, qui accueille au stade Félix, pas le chat, mais Bollaert, Saint-Etienne, pour le journal de 13 heures du lendemain. Il m’emmène, on voit le match, puis on se rend aux vestiaires pour faire les interviews. Bon, celui de Lens, ça fait bien sûr plaisir, mais ensuite nous voilà chez les Verts. Et là, j’ai l’impression d’entrer dans le plus beau magasin de jouets du monde, car, ça ne rate pas, je retrouve mes yeux et mon cœur d’enfant, enfin plutôt d’adolescent…
Rendez vous compte ! Quinze mois auparavant, je les regardais chez moi, en direct à la télé, pour la finale de Coupe d’Europe contre le Bayern, avec forcément les yeux sérieusement embués au coup de sifflet final… Et surtout, comme tous les Français, j’avais suivi assidûment leurs épopées en 1974, 1975, et donc en 1976. J’avais alors 16, 17, 18 ans, plus un bébé Cadum, hein, et moins l’âge d’être fan. Pas trop mon truc, de toute manière. Mais bon, les Verts, c’était quelque chose, quelque chose qui vous remuait les tripes alors… J’étais même allé sur place, au stade Geoffroy-Guichard, le fameux Chaudron, suivre certains matchs européens grâce au grand frère d’un copain du foot qui avait une voiture.
Et nous voilà entassés dans son petit engin, mais bien plus encore, quelques heures plus tard, derrière un but, toujours le même, à droite de la tribune principale, à nous époumoner avec des « Allez les Verts ! », à n’en plus finir… Puis retour à Cannes et une petite poignée d’heures plus tard à l’école (les matches de cette compétition ayant lieu le mercredi et ça faisait quelques années que le jour de congé n’était plus le jeudi, misère…), autant vous dire que les bâillements, dignes de ceux des plus grands lions dans la savane, se multipliaient tout au long de la journée… Au grand dam de mes professeurs, me direz-vous ? Pas du tout, comme ils étaient tous atteints par la fièvre verte, ça passait crème…
Il faut considérer que notre football bascule à partir de 1976, avec l’épopée des Verts, ponctuée de la finale à Glasgow contre le Bayern Muncih. Surtout qu’en amont, il y aura eu quelques coups de tonnerre, et ce sur deux saisons, donc plus vraiment un hasard. Et, très intéressant, on trouvera sur le podium des exploits de nos chers Stéphanois des performances allant à l’opposé de nos points faibles, le physique et le mental. Ces matches étaient les suivants : Saint-Etienne-Split 5-1 (à l’aller défaite 4-1) le 6 novembre 1974 ; Saint-Etienne – Dynamo Kiev 3-0 (défaite 2-0 à l’aller) le 17 mars 1976. PSV Eindhoven – Saint-Etienne 0-0 (victoire 1-0 à l’aller) le 14 avril 1976.
Alors, mental et forcément physique, car devant la redoutable équipe yougoslave de Split, puisque tu avais encore trois buts de retard à l’heure de jeu, c’était cuit et archicuit pour une équipe française, et pourtant… La saison d’après, contre Kiev donc, c’est déjà plus ou moins cuit, avec deux buts de handica , car, en face, c’était indiscutablement et de très loin la meilleure équipe de club du monde. Toujours deux buts de retard à l’heure de jeu au retour, et pourtant… Pour la demi-finale retour, ensuite, contre le PSV, l’optimisme n’est pas de rigueur pour une qualification, le foot néerlandais avec ses quatre victoires dans la compétition sur les six dernières éditions (et n’oublions pas que les Pays-Bas ont fini vice-champions du monde, deux ans auparavant, en Allemagne, éblouissant de leur jeu la planète foot entière !) fait figure d’ogre, et notons bien que les exploits stéphanois se réalisaient toujours à domicile, dans le Chaudron. Et pourtant…"
Le retour de Tyrone Tormin
14/10 23:58
C'est, ce week-end, le 5ème tour de la Coupe de France et c'est passé de justesse pour les Chamois niortais qui avaient laissé Dylan Durivaux au repos pour le derby des Deux-Sèvres. Ils rencontraient ce soir un club de R1, le FC Bressuire. Pour son entrée en lice, l'actuel deuxième du championnat de National s'est retrouvé piégé avant le repos par les Bressuirais. Les hommes de Philippe Hinschberger ont su réagir et égaliser grâce à Sidi Cissé (56e). Puis, c'est Tyrone Tormin, l'ancien du centre de formation de l'ASSE, qui, après une belle combinaison côté gauche, est venu fusilier le gardien bressuirais d’une volée imparable et, ainsi, délivrer le club des Deux-Sèvres dans les derniers instants (86e, 1-2), avant qu'une échauffourée éclate et qu'un joueur de chaque côté soit expulsé. Les Chamois s'en sortent donc de justesse, au contraire donc d'un autre ancien club professionnel, l'AS Nancy Lorraine, battu par l'ES Thaon (N3).
U16 : Bourg n'a pas pesé lourd
14/10 23:36
Un doublé pour Noham Aïni
Décidément, plus rien n'arrête les U16 de Kevin De Jesus qui restent sur une excellente dynamique. Après leur prolifique succès de la semaine de la semaine dernière contre Andrézieux (5-7), ils revevaient, cet après-midi, sur le synthétique Georges Bereta, leurs homologues de Bourg en Bresse. Ils se sont largement imposés sur le score de 4 à 0 et, profitant de la lourde défaite du FC Lyon à Saint-Priest, ils s'emparent de la 1ère place, mais c'est anecdotique pour Kevin De Jesus, une première place que, peut-être, ils partageront demain avec La Duchère qui recevra Villefranche Beaujolais.
A la mi-temps, les Verts menaient déjà par 3 à 0, réalisant de belles sorties de balle, suivies d'un jeu dans le dos de la défense adverse. Noham Aïni réalisait un doublé (29ème et 34ème), les deux fois servi par Rayan Aït-Amer, avant que Brandon Nativoha n'inscrive le 3ème but, juste avant le repos (42ème) suite à une passe décisive de Paul Eymard, lequel allait sceller définitivement le sort de cette rencontre, à la 63ème minute, en profitant d'un service de Tom Teillol.
La composition : Massé - Teillol, N.Mouton, Mnemoi, Lengue Lenou - Aït-Amer (Verhoeven, 63ème), Eymard, N.Moulin (Charros, 60ème) - Aïni (Ploton, 55ème), Poble, Nativoha.
La réaction de Kevin De Jesus : "Nous avons fait un bon match, notamment en première mi-temps, avec une maîtrise collective intéressante qui nous a permis d'arriver au repos avec 3 buts d'avance. Nous avons été présents et efficaces à la récupération, réalisé de belles sorties de balle et mis de la verticalité dans notre jeu. Nous avons été moins dominateurs après le repos même si nous sommes créés de bonnes situations. Nous nous sommes parfois mis en danger. Ce seront des choses à travailler et à rectifier dans les prochaines semaines. Mais l'ensemble de notre production est satisfaisant."
Un bien vilain derby
14/10 23:26
Ce soir il n'y a pas eu de miracle pour nos Vertes en déplacement en banlieue. Après avoir tenu un quart d'heure, elles ont pris 4 buts en 11 minutes, dont 3 de la tête. 4-0, le score n'a plus bougé jusqu'à la mi-temps.
En seconde période, les Vertes ont perdu leur milieu, Solène Champagnac, blessée, en larmes, et sortie sur une civière et leur défenseure Faustine Bataillard, expulsée en fin de match. Les vilaines ont alourdi le score en claquant deux fois dans les 10 dernières minutes.
Comme lors de leur dernière saison en d1, les Amazones reviennent du derby avec la valise bien pleine (6-0). Elles sont désormais 12èmes et dernières de la d1 à cause de leur différence de but inférieure à celle de Dijon et Guingamp.
A l'issue du match le coach Laurent Mortel a regretté ces terribles 10 minutes et rappelé qu'il fallait désormais prendre des points : "on est passé à côté de notre première mi-temps. On déjoue, on ne peut rien espérer. On a un problème de gestion des émotions, comme souvent dans le foot féminin. On les a laissé centrer. On n'était pas en place ce soir. On va digérer ce début de championnat. On va plutôt retenir ce qu'on a fait contre Montpellier et Paris. Mais dès la réception du Havre il va falloir s'atteler à prendre des points."
Bamba décisif contre le Maroc
14/10 21:50
Titularisé par Jean-Louis Gasset tandis que Max Gradel et Jean-Philippe Krasso sont restés sur le banc, l'ailier des Eléphants ivoiriens Jonathan Bamba a permis à Sébastien Haller d'ouvrir le score ce soir à Abidjan contre les Lions de l'Atlas, qui ont égalisé à la fin de ce match amical.
Revivez le but d’HALLER face au Maroc #CIVMAR pic.twitter.com/pN7WcZJOsW
— La Côte d’Ivoire Est Chic (@Cotedivoireoff_) October 14, 2023
Les U15 ont frémi contre Chambéry
14/10 19:50
Mathéis Piskor, passeur et buteur aujourd'hui !
Les U15 de Jean-Philippe Primard recevaient cet après-midi, sur le synthétique Georges Bereta, la lanterne rouge, Chambéry Savoie Football. Continuant sur leur belle dynamique, ils se sont imposés par 3 à 1, mais ce ne fut pas sans mal, et il aura fallu attendre la toute fin de match pour les voir prendre le dessus sur une équipe savoyarde pleine d'allant.
Après une entame timide et approximative des Verts, les Savoyards ouvraient le score sur un contre : un ballon par-dessus la défense, un débordement, un centre repris au point de penalty qui se terminait au fond des filets stéphanois, bref le contre parfait. (ASSE-Chambéry : 1-0, 6ème).
Les Verts n'arrivaient à reproduire les prestations précédentes et déjouaient au point d'être menés sur ce score de 0-1 au repos.
Au retour des vestiaires, les Verts vont prendre le dessus mais ils ont dû se montrer patients pour enfin égaliser. A 30 mètres dans l'axe, Mathéis Piskor décalait Samuel Fuleki, côté droit. Malgré une prise de balle un peu manquée qui l'excentrait, ce dernier réussissait à placer une frappe croisée, au sol, qui terminait sa course dans le petit filet. (ASSE-Chambéry : 1-1, 72ème).
Les Verts ne s'arrêtaient pas là, et poussaient au point d'obtenir un penalty pour une faute sur Samuel Fuleki. Melvin Bijot s'empressait de le transformer. (ASSE-Chambéry : 2-1, 80ème).
Enfin dans le temps additionnel, les Chambériens se découvraient pour égaliser et se faisaient prendre en contre. Lorick Castro alertait Mathéis Piskor, seul dans l'axe, qui contrôlait et marquait dans le petit filet, assurant ainsi la victoire des Verts. (ASSE-Chambéry : 3-1, 90ème +3). Cette victoire avait tardé à se dessiner mais elle témoigne de belles vertus et de la résilience des jeunes de Jean-Philippe Primard.
Au classement, les Verts restent à la 1ère place qu'ils partagent avec les vilains, larges vainqueurs de Clermont. Quant aux U14 de Romain Marée, après leur déconvenue de la semaine dernière, ils ont retrouvé le goût de la victoire en s'imposant 9-1 contre Chambéry.
La composition : R.Fuleki - Akil (Marliac, 68ème), Lengi, Jolivet, Marliac (Bagelli, 40ème) - Lebrun (S.Fuleki, 60ème), Shabani-Pont (Thouilleux, 40ème), Ngindu - Piskor, Bijot, S.Fuleki (Castro, 40ème).
La réaction de Jean-Philippe Primard : "Nous n'avons pas pris le match par le bon bout. Nous avons péché en première mi-temps par un positionnement défensif aléatoire, un mauvais quadrillage du terrain, des erreurs techniques. Nous sommes tombés sur une équipe surprenante avec un vrai bloc défensif solide, des joueurs rapides qui jouaient bien les contres, une équipe qui valait sûrement mieux que son classement et qui a ouvert très rapidement le score. Tout était à revoir à la mi-temps. Heureusement nous n'avons pas lâché et retrouvé l'intensité en deuxième mi-temps, en nous créant de belles situations, même si c'était difficile de contourner le bloc adverse. Nous avons su être patients, mais il nous a manqué parfois un peu de justesse technique pour terminer nos actions au point que nous avons renversé le score seulement en fin de match et remporté une victoire sur un adversaire motivé qui vaut mieux que son classement. C'est la troisième fois que nous gagnons le match en fin de rencontre, contre Andrézieux, Valence. Faire une mi-temps sur deux pourra parfois ne pas suffire. C'est un point de vigilance pour nous."
Stéphane le magicien, nouvel homme fort des Olympiens
14/10 10:19
Promu il y a 3 jours DG de l'OM et ayant récupéré les prérogatives sportives de Javier Ribalta (ex-directeur du football au sein du directoire olympien), l'ancien directeur général de l'ASSE Stéphane Tessier est aujourd'hui mis à l'honneur par La Provence. Extraits.
"Il est compétent, sait ce qu'il veut et il connaît le foot" esquisse un salarié de l'OM. "C'est aussi un tueur qui est arrivé dans une logique d'économie. Quand il a quelque chose à dire, il ne passe pas par quatre chemins. En interne, tout le monde se dit qu'il deviendra président en cas de départ de Pablo en fin de saison" confie notre source.
"C'est un mec discret, qui ne se met pas en avant. Un gars qui fuit la lumière et qui met les mains dans le cambouis, un vrai bosseur qui connaît les rouages d'un club de foot. Gérer un club, il sait faire. Au départ, comme tous les directeurs financiers, il n'était pas le plus aimé. Quand tu connais l'opulence et que le mec arrive pour fermer les vannes, ça ne fait pas que des heureux" ajoute un autre membre de l'institution marseillaise. Recruté par un cabinet de chasseurs de têtes pour remplacer Baptiste Viprey et appliquer une politique drastique de réduction des coûts, Stéphane Tessier n'avait pourtant pas prévu de revenir dans le monde du ballon rond après ses expériences à Lorient, où il a aidé Loïc Féry à finaliser la reprise des Merlus avant d'en devenir vice-président, et à Saint-Etienne, surtout.
Forézien de naissance, supporter stéphanois dans l'âme, il a occupé les fonctions de directeur général de l'ASSE de 2010 à 2015, constituant un duo inébranlable avec Christophe Galtier. " Ils avaient un lien très fort" se souvient un confrère. "Tessier n'était pas convivial, plutôt politique, et très ambitieux aussi... Il s'occupait beaucoup des tractations avec les agents. On sentait qu'il aspirait à autre chose, à voir plus haut, et qu'il n'avait pas vocation à rester. Mais il fait partie des gens qui ont laissé une bonne image chez les Verts car son passage correspond à une bonne période". Un autre journaliste résume : "C'est un mec de l'ombre. Il a bâti le Sainté de Galtier. C'était un peu "Nous deux contre le reste du monde", une alliance stratégique. D'ailleurs les ennuis de Galette à l'ASSE commencent quand Tessier s'en va..."
Titulaire de deux DESS (en gestion financière et en gestion d'entreprise) et homme d'affaires aux multiples sociétés (notamment dans l'immobilier et la finance, mais aussi dans l'événementiel), ex-président du Racing Club de Saint-Etienne, également consultant extérieur sur des missions avec l'équipe cycliste AG2R ou le club de rugby de Bourgoin-Jallieu, Stéphane Tessier "a eu 15 vies" selon la formule d'un proche. "Il n'a pas besoin de l'OM pour vivre" précise le même interlocuteur. "Pablo et lui ont matché direct, c'était un coup de foudre. Il a su faire l'unanimité. Stéphane ne se cache pas, c'est lui qui participe à toutes les réunions avec les supporters" rappelle un employé de l'OM alors que Tessier est surnommé "Stéphane le Magicien" à l'intérieur du club pour sa capacité à jongler avec les chiffres.
Sur les hauteurs de la Commanderie, certains persiflent toutefois sur l'influence de ce qu'ils appellent, à tort ou à raison, "le clan des Stéphanois". Proche de David Friio (directeur sportif), qu'il a connu à Sant-Etienne et dont l'avenir à Marseille est en suspens, et de l'avocat de Olivier Martin, qui gère depuis des dossiers pour Longoria et la direction de l'OM, il aurait poussé pour le recrutement de Pierre-Emerick Aubameyang et faisait partie des partisans de la piste Galtier pour succéder à Igor Tudor. Selon ses détracteurs, il aurait aussi oeuvré pour l'arrivée de plusieurs nouvelles têtes passées par l'ASSE : le directeur commercial Grégory Lamela, le directeur de la communication Franck Tourdre et le responsable du scouting pour le centre de formation Ludovic Paradinas."
Hinschberger félicite Durivaux
14/10 09:12
Lancé par Laurent Batlles dans le football séniors à l'âge de 17 ans l'été 2018 lors d'un éclatant succès de la réserve à Nîmes, le latéral droit des Chamois Dylan Durivaux a encore droit aux éloges de son entraîneur niortais Philippe Hinschberger dans la dernière édition du Courrier de l'Ouest.
"Dylan est un garçon à l'écoute, je suis très content qu'il ait marqué le but de notre victoire contre Versailles. On a un jeu qui a tendance à pencher à gauche avec des garçons comme Kyllian Gasnier, Moataz Zemzemi et Quentin Bernard. Dylan nous apporte cet équilibre à l’intérieur de l’autre côté. Il a joué tous les matches cette saison, il va pouvoir souffler samedi en Coupe de France et en profiter pour passer un petit week-end sympa à Celles avec sa fiancée à l’hôtel où nous étions avant le match. C’est bien, il l’a bien mérité."
Devenu le taulier d'un club classé actuellement deuxième de National, l'ancien pensionnaire du centre de formation de l'ASSE (de 2012 à 2020) s'amuse des propos de son coach dans le même quotidien régional.
"Je ne sais pas pourquoi il vous a dit ça, c’est marrant. C’est bien le coach ça, en tout cas ! Je m’éclate dans ce groupe, je ne regrette pas du tout d’être resté, quitte à descendre d’un niveau. La saison dernière a été compliquée, on ne va pas se mentir. Cette fois, c’est différent pour moi, j’en profite."
Le choc au sommet des U19 est reporté
14/10 08:06
Sortant d'un match houleux (contre Air Bel) dont le résultat (2-1 pour les Verts) n'a pas été entériné par les instances, les U19 devaient affronter une autre équipe phocéenne demain après-midi pour le match au sommet de la 8e journé. Cette rencontre a été reportée, l'OM ayant invoqué des soucis de terrain et des problèmes électriques dans son Campus.
Mathis a mangé les petits Suisses
13/10 22:07
L'équipe de France U18 a mangé la Suisse 3-0 ce soir au Rankhof Stadion de Bâle. Titulaire, Mathis Amougou a rayonné dans l'entrejeu avant de céder sa place à la 74e minute au Monégasque Aladji Bamba. La seconde manche de cette confrontation franco-helvétique se déroulera dans le même stade lundi en début d'après-midi.
Salif Keita, à la poursuite du Diamant vert
13/10 21:31
Six semaines après la disparition de Salif Keita, les potonautes Danish et Yvanmamamia ont publié ce vendredi sur leur chaîne ASSE Memories une magnifique vidéo de sept minutes compilant les plus belles actions de la Panthère sous le maillot vert. L'ASSE lui rendra hommage à l'occasion de la réception d'Angers programmée le lundi 30 octobre.
Les Tango ont battu les Canaris
13/10 20:46
Faute d'avoir trouvé un adversaire pour meubler cette trêve internationale, les Verts se sont contentés d'une opposition interne ce vendredi. Les réservistes de Razik Nedder, dont le match amical prévu à Montpelier a été annulé, ont donc servi de sparring-partners aux hommes de Laurent Batlles.
De son côté, le Stade Lavallois s'est imposé contre le FC Nantes à Marcel-Saupin à la lavalloise (1-0) grâce à deux joueurs très peu utilisés par Olivier Frapolli (tête de Kévin Tapoko sur un corner d'Antonin Bobichon).
Ouest-France revient ce soir sur cette rencontre qui a permis aux Mayennais d'entretenir leur bonne dynamique avant leur réception des Verts programmée le lundi 23 octobre en clôture de la 11e journée de L2.
"Sur le front de l’attaque tango, seuls Kadile et Labeau-Lascary ont été des figures récurrentes en Ligue 2 jusqu’à présent. En défense, Baudry a été repositionné en libero, alors que Seidou, de retour de blessure, a connu ses premières minutes de jeu de la saison sur son poste habituel de piston gauche. Malgré tout ces changements, dont un milieu de terrain inédit avec Bobichon, Thomas et Benard, les Tango n’ont pas été perturbés outre mesure.
"Ce match est dans la lignée de ce qu’on fait depuis le début de saison, avec beaucoup de rigueur de discipline, d’ investissement" a réagi Olivier Frapolli. "Il y avait beaucoup de vent, donc en première mi-temps, on a joué bas. Et en deuxième, on a joué très haut. Je suis très satisfait du match, du comportement de l’équipe malgré tous les changements. On a bien fait le travail."
On aura noté que plusieurs joueurs cadres n'ont pas pris part à ce match, notamment le buteur Malik Tchokounté, élu hier meilleur joueur de septembre en L2.
La compo de Laval contre Nantes : Hautbois - Lomami (Leonardi, 80’), Baldé, Baudry (Beaudoin, 70’), Ouaneh, Seidou (Cherni, 46’) - Bobichon (Martins, 80’), Thomas (Benard, 60’), Benard (Tapoko, 46’) - Tell (Mupemba, 80’), Kadile (Labeau-Lascary, 46’).
Batubinsika accroché par la Nouvelle-Zélande
13/10 20:13
Une nouvelle fois titularisé dans la charnière centrale des Léopards aux côtés du Phocéen Chancel Mbemba, Dylan Batubinsika a été tenu en échec par la Nouvelle-Zélande ce soir à Murcie (Espagne), les All Whites ayant égalisé sur penalty à la 90e. Pour rappel, l'équipe de la RDC affrontera l'Angola mardi à Lisbonne.
Karim Cissé décisif avec le Syli !
13/10 19:54
Vous avez pu suivre la rencontre en direct sur Fut 245 TV : la Guinée a battu la Guinée-Bissau 1-0 en amical à Setubal (Portugal) grâce un but de Morgan Guilavogui sur une passe décisive du néo-international Karim Cissé, entré en jeu côté droit juste après la mi-temps et vite mis en confiance par un Saïdou Sow titulaire et capitaine malgré son absence de temps de jeu à Strasbourg. Pour rappel, ce très vert Syli National jouera mardi à Algarve contre le Gabon.
🎥 La passe de Karim Cissé pour l'ouverture du score guinéenne 😍pic.twitter.com/EALNkSHmFA
— La Mise Au Vert (@LaMiseAuVert) October 13, 2023
Comme on s'retrouve !
13/10 15:59
S’ils n’ont pas été appelés avec les A marocains, Benjamin Bouchouari et Aïmen Moueffek, convoqués avec l’équipe olympique du Maroc, espèrent probablement faire partie du groupe qui disputera la prochaine CAN, prévue du 13 janvier au 11 février 2024. Si c’est le cas, ils auront droit à un duel fratricide puisque le Maroc sera dans la même poule que le Congo de Dylan Batubinsika.
Quant à la Guinée de Karim Cissé, elle a hérité hier lors du tirage au sort d’un groupe compliqué avec notamment le Cameroun et le Sénégal.
Nico a imité Lolo
13/10 13:15
Ayant eu son BEPF dans la même promo que Laurent Batlles et Manu Da Costa, Nicolas Usaï explique aujourd'hui dans La République des Pyrénées pourquoi il a changé de schéma au cours de ce premier quart de saison.
"J'ai pris la décision de changer d'organisation en passant à une défense à quatre. Je ne suis pas bloqué sur une organisation mais avec l'effectif et les joueurs qu'on a, il faut tendre à faire du jeu. Le bilan comptable est pas trop mal : on a 15 points en 10 journées alors que notre objectif est le maintien. Laval et Rodez certes marchent très bien mais d'autres équipes sont en déficit de points. On joue toujours le maintien, ce n'est pas dévalorisant. Quand on se compare aux autres équipes, au-delà des qualités individuelles des joueurs, il y a les infrastructures. Notre terrain d'entraînement n'est pas en bon état. Avoir un seul terrain, c'est très rare à ce niveau-là.
Je me suis rendu compte qu'être fixé sur un système de jeu, ça pouvait etre dangereux. A Orléans, j'avais changé de système et puis je me suis aperçu au bout de quelques matches qu'il nous manquait de la solidité, de la vitesse. Pour aller chercher le maintien, il fallait jouer à 3. On l'a fait dans une organisation et un plan de jeu dans lesquels je ne me reconnaissais pas. J'étais conscient que si je me bornais, on allait droit dans le mur. Il y a ce que l'on a envie de faire dans l'idéal et puis il y a le pragmatisme.
Avec Pau, notre victoire contre Bordeaux a été un leurre. Battre les Girondins 3-0 a conforté les joueurs dans ce système à 3. Puis on s'est aperçu qu'on était déficients dans l'animation offensive et la maîtrise. Avec nos profils, le passage à 4 s'est fait naturellement. Et je suis obligé de mettre en avant l'impact de Henri Saivet. Notre lourde défaite à domicile contre Annecy m'a réveillé. On a parlé de système, ça a été la bascule pour aller là où j'avais envie d'aller. Ce qui est intéressant sur les postes offensifs quand on joue en 4-2-3-1, c'est da'voir au moins 5 joueurs pour 4 postes."
Pour rappel, l'ASSE accueillera le Pau FC lors de la 15e journée le week-end du 25 novembre. D'après l'accord conclu entre les deux clubs, Louis Mouton ne devrait pas jouer cette rencontre.
Durivaux, ce bon gamin très accrocheur
13/10 10:40
Alors que Tyrone Tormin n'a pas été convoqué dans le groupe pro des Chamois depuis le début de saison mais a marqué 2 buts en 3 matches de N3, Dylan Durivaux est l'un des cadres de l'équipe première niortaise, actuellement 2e de National à 5 points du Red Star. La Nouvelle République met aujourd'hui à l'honneur le latéral droit, auteur du but de la victoire de son équipe avant-hier contre Versailles.
"Lancé dans les joutes de la Ligue 2 l’an dernier avec le destin que l’on sait, l’ancien de Saint-Étienne et de Guingamp est de ceux qui sont restés au moment de la relégation. Et de ceux, aussi, qui semblent parfaitement relever ce défi du National pour l’instant, comme en témoigne son but vainqueur inscrit avant la demi-heure de jeu. "C’est vrai que ça fait un an et demi que je n’avais pas marqué. Ceci dit, je suis défenseur donc ça n’arrive pas tous les jours", glisse-t-il plutôt timidement.
A 22 ans, il possède encore une belle marge de progression. "Cette année, je suis repositionné un peu plus haut en phase offensive. Défensivement, il faut toujours être là car je suis latéral avant tout. Offensivement, je dois prendre le couloir quand je peux, car je n’ai personne devant moi, pour apporter sur les centres et aussi être au second poteau ou en retrait", évoque celui qui a remporté la Gambardella en 2019. "Il est à l’écoute, c’est ça qui est bien, et je suis content qu’il ait marqué. Depuis le temps qu’on lui dit qu’il doit fermer ce deuxième poteau ! Cela récompense ce bon gamin très accrocheur", renchérit son coach.
"Il y a beaucoup de joie dans le vestiaire, beaucoup d’ondes positives. Sur le terrain, je pense que ça se voit. On joue tous ensemble. Ceux qui sont restés ont su relever la tête avec le coach, le staff. Et tous les nouveaux se sont bien adaptés. Il y a de la bonne humeur la semaine, avec les trois anciens qui sont là pour nous recadrer des fois", apprécie Durivaux, qui a démarré toutes les rencontres de championnat depuis le début de la saison. "Dans le jeu, on joue plus, on est plus justes techniquement. Défensivement, on concède moins de buts même si c’est une division inférieure. On a tous progressé. En début d’année, on prenait beaucoup de buts. Mais sur les six derniers matchs, on a su se régler défensivement. Maintenant, il faut que ça continue."
Frapolli fera tourner aujourd'hui
13/10 07:01
Avant d'accueillir les Verts le lundi 23 octobre en clôture de la prochaine journée de L2, les Tango vont affronter les Canaris cet après-midi à huis clos au stade Marcel-Saupin. L'entraîneur des leaders lavallois Olivier Frapolli évoque ces deux rencontres dans la dernière édition du quotidien Ouest-France. Extraits.
"On ne fera pas la saison avec 13 ou 14 joueurs. Il va aussi y avoir la Coupe de France, on va entrer dans la période hivernale. On a besoin d’avoir un maximum de joueurs compétitifs. Et pour être compétitif, il faut jouer. On a des garçons, dans le groupe ou autour, qui accumulent des semaines sans beaucoup jouer. Ce genre de match, c’est toujours stimulant, c’est pour eux. Ils auront l’occasion de se montrer.
Confiance, plaisir, condition athlétique seront les trois piliers de ce match à Nantes. Les joueurs pourront intégrer les principes et ancrer certaines connexions. Quand ceux qui sont toujours dans le groupe ne font que des entrées, ça peut être physiquement contre-productif. Il faut qu’ils aient la possibilité de jouer 90 minutes ou grande partie du match pour rester performants. Je suis assez impatient de voir ce que ça va donner. Je pense qu’il y aura des choses intéressantes.
Cette semaine on était sur de l'aménagement athlétique. Dès lundi, le programme changera, on va rentrer dans la préparation du match contre Saint-Etienne, sur des thèmes offensifs et défensifs. On travaille toujours sur ces deux aspects : le match qui arrive et celui qui vient de se passer."
Si l'ASSE n'a pas programmé de match de préparation, on rappellera que plusieurs internationaux stéphanois joueront ce vendredi : Dylan Batubinsika avec les Léopards contre la Nouvelle-Zélande, Karim Cissé avec le Syi National contre la Guinée Bissau, Mathis Amougou avec l'équipe de France U18 contre la Suisse.
André Perrin choisit ses derbys
13/10 06:43
Ancien attaquant des vilains et ex-entraîneur de Roger Milla (la saison 1989-1990) à la Saint-Pierroise (La Réunion), André Perrin choisit ses derbys dans la dernière édition rhodanienne du Progrès. Extraits.
"En 1967, on a sorti l'ASSE en Coupe à Annecy. On s'est cogné avec Bosquier et on s'est fait expulser tous les deux. Et avec Larqué depuis, on ne s'est plus jamais parlé. Sainté hou ! Quand on y allait, nos femmes avaient toujours les pneus de la voiture crevés. On a aussi éliminé les Verts de la Coupe en 1971. On avait gagné 3-0 à Gerland après avoir perdu 2-0 à l'aller à Geoffroy-Guichard. C'était merveilleux."
Le natif d'Absie (Deux-Sèvres) passe étonnamment sous silence ses nombreux derbys perdus, notamment celui que les Verts avaient remporté 7-1 à Gerland 4 jours après avoir éliminé le Bayern de Munich. C'est d'ailleurs André Perrin qui avait marqué l'unique but des vilains à la 88e...
Le Maroc de Moueffek craque face à l'Irak
12/10 22:54
Vous avez pu suivre cette rencontre amicale U23 en live video sur fanzone : le Maroc a été défait (0-1) par l'Irak ce soir à Casablanca. Sous les yeux de Benjamin Bouchouari (resté sur le banc), Aïmen Moueffek a été titularisé à l'occasion de sa première apparition en sélection nationale marocaine. Auteur d'une prestation correcte, il a été remplacé à la 77e minute. Les Lionceaux de l'Atlas tenteront de se rattraper dans le même stade lundi contre la République Dominicaine.
Un samedi soir à l'Abbé-Deschamps
12/10 22:17
Sans surprise, beIN Sports a choisi de diffuser le samedi 11 novembre à 19h00 le choc de la 14e journée de L2 qui opposera l'AJA à l'ASSE, deux des grands favoris pour la montée. Sainté retrouvera à cette occasion Assane Diousse, qui a pris part à 9 matches cette saison.
Les Verts tenteront de s'imposer dans un stade de l'Abbé-Deschamps qui ne leur réussit guère : 21 défaites, 7 nuls et seulement 3 victoires, la dernière datant de mars 2008 (3-1, csc de Benalouane et buts de Landrin, Ilan et Feindouno).