Icaunais déjà l'heure
08/02 16:16
A défaut de savoir si nous aurons toujours quelque chose à espérer à l’entame de ce match, la Ligue de Football vient au moins de nous fixer la date et l’heure de la réception d’Auxerre.
Sans surprise, cette rencontre a été choisie par le diffuseur beIN Sports pour « ouvrir » la 28ème journée de championnat, avec un coup d’envoi fixé à 15 heures le samedi 9 Mars.
On rappellera qu’à l’aller les hommes de notre entraîneur de l’époque, Laurent Batlles, avaient sombré à l’Abbé-Deschamps, Etienne Green, le portier vert, s’inclinant à 5 reprises (score final 2-5).
Cette affiche nous rappelle également de tristes souvenirs, la dernière venue à Geoffroy-Guichard des Icaunais coïncidant avec notre descente en Ligue 2.
Lors de ce barrage retour de sinistre mémoire, les hommes de Pascal Dupraz, notre autre entraineur de l’époque, avaient concédé le nul (1-1) et perdu à la loterie des tirs au but, provoquant la colère des supporters et des débordements importants.
A l’issue de cette journée noire, notre direction à 2 têtes nous avait remonté le moral en annonçant, via un communiqué qui fera date, leur départ et la reprise du club pour de plus belles aventures…
Alors, à quoi faut-il s’attendre au soir du 9 mars prochain ?
Une victoire pour que ce soit nous cette fois qui puissions « espérer » retrouver la Ligue 1 ? Des nouvelles de nos actionnaires pour un nouveau communiqué dont ils ont le secret ? Réponse dans un mois.
Un Max de nostalgie
08/02 11:19
Parfois lire la Pravda est instructif, parfois lire la Prava est irritant. Parfois lire la Pravda nous tire la larme.
C'est le cas ce matin quand on se penche sur le compte-rendu par Hervé Penot de la demi-finale de la CAN remportée par la Côte d'Ivoire hier :
Ajoutons illico un mot sur Max-Alain Gradel (36 ans), le capitaine, qui n’avait pas la confiance de Jean-Louis Gasset, et qui a chassé en une soirée tous les doutes sur son âge. Il faut toujours se méfier des hommes de caractère, des leaders. Et des champions, le seul survivant avec Serge Aurier du titre de 2015. Gradel a été énorme dans l’investissement comme si sa vie en dépendait. Il y avait peut-être un peu de ça dans ce chaudron au taux d’humidité grimpant à 84%, un peu de vie ou de mort dans un pays qui attendait de vivre un moment de joie collective.
Homme de caractère ... Enorme dans l'investissement ... Comme si ça vie en dépendait. Depuis quand n'a-t-on pas pu écrirer ça au sujet de la prestation d'un de nos joueurs ??
El Colo régale El Loco
08/02 08:45
Moins d'une semaine après avoir transpercé Lanus, Ignacio Ramirez a marqué de la tête il y a 3 jours au stade Marcelo Bielsa devant 39 000 spectateurs l'unique but de la victoire du Newell's Old Boys contre Belgrano. Son équipe de Lépreux est avec Godoy Cruz la seule équipe du groupe B à avoir remporté ses 3 premiers matches du championnat argentin.
— PP Multimedia (@Ppvideos272637) February 5, 2024
Les Ponots à Geoffroy à la fin du mois ?
08/02 07:46
"Mon souhait pour le quart de finale ? Pour moi, ce serait d’affronter l’OL à Geoffroy-Guichard" déclare dans Le Progrès du jour Stéphane Dief, entraîneur du Puy qui vient d'éliminer Laval après avoir sorti Dunkerque. Comme le rapporte Ouest-France, l'ancien U15 de l'ASSE Jules Meyer, dont le doublé a fait valser les Tango hier à Massot, souhaite aussi jouer dans le plus beau stade du monde. "Un quart de finale de Coupe, ça représente tellement ! Il faudra en profiter à fond. Il ne reste que des gros, donc peu importe qui, mais pourquoi pas le PSG. Et puis pourquoi pas à Geoffroy-Guichard dans le chaudron vu que je suis de Sainté !"
En début de semaine, Le Progrès a rappelé que les Ponots ne pourront pas jouer leur quart de finale dans leur antre habituel.
"Selon les critères de la FFF, un quart de finale n'est pas possible à Massot. Il faudrait donc se tourner vers une délocalisation, à Clermont-Ferrand ou probablement à Geoffroy-Guichard. "La mise à disposition du stade coûte 80 000 euros, dévoile Jean-Luc Degraix, vice-président en chargé des grands équipements à Saint-Étienne Métropole, propriétaire du Chaudron. Il faut ajouter la gestion de la billetterie, de la sécurité, de l’espace buvette… Au total, on estime le coût d’activation en mode match entre 250 000 et 300 000 euros hors taxes." Tout cela à la charge du club recevant, qui devrait ainsi se lancer dans un long tour de table politique."
Pour rappel, les Ponots ont déjà joué un match de Coupe de France à Geoffroy-Guichard contre les Verts de Frédéric Antonetti le 13 décembre 2003. Lors de ce 8e tour, Sainté l'avait emporté 2-1 grâce à des buts de Mickaël Dogbé et Patrice Carteron.
11 896 spectateurs avaient assisté à cette rencontre. Le 23 août 1985, ils étaient 42 584 pour voir les deux clubs dans le même stade en D2. L'ASSE avait battu 2-0 Anto et ses coéquipiers ponots grâce à des pions de François Makita et Jean-François Daniel.
Meyer, t'es le meilleur !
07/02 23:46
Ancien U15 de l'ASSE (il a joué sous les ordres de Philippe Guillemet et Laurent Batlles), le natif de Saint-Priest-en-Jarez (Loire) Jules Meyer (23 ans) a marqué ce soir en 8e de finale de Coupe de France les deux buts de la victoire du Puy (2e de N2) contre Laval (4e de L2). Entré en jeu à la 85e minute du match remporté 3-1 par Strasbourg contre Le Havre, Saïdou Sow s'est aussi qualifié pour les quarts de finale.
Les autres anciens Verts ont été éliminés ce soir. Depuis le banc, Rémy Cabella a assisté à la défaite des Dogues en banlieur. Malgré la titularisation de Mahdi Camara, remplacé à l'heure de jeu, le Stade Brestois s'est incliné 3-1 au Parc. Privé d'Arnaud Nordin (à nouveau blessé) et de Falaye Sacko (revenu tout juste de la CAN), le MHSC de Wahbi Khazri (remplacé dès la mi-temps) s'est lourdement incliné à la Mosson contre Nice (1-4).
Batubinsika jouera contre les Bafana Bafana
07/02 22:57
La Côte d'Ivoire de Max Gradel (capitaine remplacé à la 90e), Jonathan Bamba (entré en jeu à la 80e) et Jean-Philippe Krasso (entré en jeu à la 90e) a battu la RDC de Dylan Batubinsika (encore resté sur le banc) ce soir en demi-finale de la Coupe d'Afrique des Nations.
Alors que les Eléphants défieront les Super Eagles en finale ce dimanche, les Léopards affronteront la veille les Bafana Bafana pour le match de la 3e place.
Sébastien Desabre profitera très probablement de cette petite finale pour donner du temps de jeu au défenseur central stéphanois, qui ratera bien sûr le match de clôture de la 24e journée qui opposera lundi Sainté à Troyes.
Jean-Mimi et les badabeux
07/02 19:55
Affligé de voir ce qu'est devenue l'ASSE, Jean-Michel Larqué s'est lâché dans Le Quotidien du Sport. Extraits.
"Le fait que j'ai été désigné pour porter la flamme olympique, Je prends ça comme un hommage à toute une équipe qui a fait un peu vibrer la France. C’était un moment spécial pour les Français, sevrés de football, qui ont suivi cette équipe, montée de bric et de broc et qui a fait des exploits en Coupe d’Europe.
Quand je suis arrivé à Saint-Etienne, je connaissais les anciens. Je suis allé vers eux et je les ai salué avec beaucoup de respect. Quand nous sommes allés à Saint-Etienne pour l’hommage fait à Salif Keita, puis ensuite à Georges Bereta, nous étions sur le bord de la pelouse au moment où l’équipe de Ligue 2 s’échauffait. Il y a un seul joueur qui est venu saluer Curkovic, Piazza, Rocheteau et compagnie, un joueur ! Tous les autres ne savent pas qui on est. Ils sont d’une inculture abyssale.
Je ne sais même pas si c’est du respect. A Saint-Etienne, on avait l’habitude d’appeler cela des "badabeux". Ils sont là… Pour ensuite faire un match minable contre Valenciennes. Tout cela me laisse à penser que leur culture football est à peu près proportionnelle à leur talent de footballeur. Je ne suis pas le seul que ça choqué, tout le monde m’en a parlé. Les autres étaient même en colère d’avoir été ignorés et j’ai dû les calmer, en leur disant que ce n’était pas de la mauvaise volonté. Et c’est encore plus grave.
J’ai été directeur général du club en 1993 et nous avions terminé 10ème. En Ligue 1 bien sûr, et avec dans l’équipe, des joueurs qui représentaient un actif, comme Grégory Coupet, Laurent Blanc, Lubomir Moravcik, Jean-Pierre Cyprien… C’est quelque chose qui les satisferait largement aujourd’hui. Certes, on était dixième, mais cette équipe avait de la valeur. Là, non seulement la situation sportive est mauvaise, mais il n’y a rien. C’est le néant complet !
C’est le néant ! Ils sont en milieu de tableau, avec déjà 5 défaites à domicile. 5 défaites à domicile ! Si cela me rend fou, alors que je fais partie de l'équipe qui a remporté 19 victoires en 19 matchs à domicile au cours de la même saison 1974-175 ? Comme dirait Thierry Roland entre cette époque et l’équipe d’aujourd’hui, c’est la ligne droite de Longchamp.
On a coutume de dire que la situation du club est due aux présidents Romeyer et Caïazzo qui ne veulent pas vendre ? Mais y a pas d’acheteur ! Peut-être aussi que les propriétaires mettent la barre trop haut pour vendre ? Il y a peut-être un peu de ça, mais surtout, aujourd’hui, le club est surdimensionné pour un club de Ligue 2. Rendez-vous compte : à Saint-Etienne, il y a 300 salaires à sortir chaque mois. A Brest, en Ligue 1, ils sont à 117. Les investisseurs, si c’est pour aller aux Prud’hommes pour 150 suppressions d’emplois, ça les refroidit."
Il faudra au moins 60 points ?
07/02 18:31
A moins d'un miracle qui paraît de plus en plus improbable, les Verts ne finiront pas aux 2 premières places synonymes d'accession directe en L1 (Angers et Auxerre ont respectivement 14 et 12 points d'avance à 15 journées de la fin).
Malgré ses trop nombreuses défaites (9), sa piètre 11e place et son faible nombre de points (31), l'ASSE reste malgré tout dans la course aux barrages, les protégés d'Olivier Dall'Oglio ne comptent que 3 longueurs de retard sur le 5e (Amiens).
Ce mercredi, le site Ma Ligue 2 a fait un petit rappel historique pour déterminer le nombre de points requis pour finir dans les 5 premiers. Extraits.
"Depuis la saison 1998-1999 (passage à la poule unique à 20 clubs), il faut 60 points pour accrocher le Top 5. Avec son rythme actuel, Amiens finirait avec 57 unités. Le plus bas total sur cette période a été atteint par Angers en 2010, avec « seulement » 55 points pour finir 5e. A l’inverse, Sochaux en 2022 a établi le record avec 68 points pour la 5e place finale !"
L’instauration des play-offs et des barrages en 2016 a clairement dynamisé la L2. Ainsi avant 2016, il fallait en moyenne 58 points pour finir 5e. Depuis 2016 (en enlevant la saison 2022-2023 sans play-off), il faut désormais une moyenne de 64 points ! Preuve que le rythme n’est clairement pas élevé pour le moment cette saison..."
Monconduit dangereusement
07/02 17:24
C'est en tout cas ce qu'estiment les arbitres qui ont cartonné notre milieu à Bordeaux et à Dunkerque.
Moralité, Monconduit est sous la menace d'une suspension, s'il venait à se prendre une 3ème biscotte lors de l'un des 4 prochains matchs.
Il est le seul Vert actuellement en sursis.
Un pénalty n'est pas toujours converti !
07/02 12:19
Le site officiel de la Ligue 2 s'est mélangé les pinceaux ce matin en indiquant que l'ASSE est l'équipe qui a converti le plus de pénaltys cette saison. Comme le rappelle notre fidèle potonaute civod42, Sainté est en réalité l'équipe qui en a obtenu le plus (7). Mais elle en a raté 2 (Charbo contre Grenoble et Sissoko à Annecy). Annecy, qui n'en a manqué aucun, est l'équipe qui a marqué le plus de penaltys (6) cette saison en L2.
On espère que l'avant-centre malien des Verts transformera le prochain. Pourquoi pas dès lundi contre Troyes pour fêter son retour dans le groupe ? Pour rappel, le numéro 9 de l'ASSE en a déjà mis 4 cette saison (le 5e a été transformé par Tardieu) et a marqué 4 autres buts. On aura noté qu'il a reculé à la 8e place ex aequo au classement des buteurs de la L2 derrière Mendy (15), Soumano (11), Diony et Ba (10), Hein, Hountondji et Sylla (10°.
Osez Beauvais !
07/02 09:55
Comme nous l'apprend aujourd'hui Le Courrier Picard, les deux présidents de l'ASBO ont annoncé leur démission, qui prendra effet au 30 juin. "On a voulu l’annoncer maintenant pour disposer de quelques mois afin de trouver un successeur qui sera ainsi en place à la reprise." Nanard et Roro, imitez Godin et Reghem ! Osez Beauvais !
Un intérêt pour Lorenzi ?
07/02 09:08
Il a réussi à vendre Lenny Pintor pour 5 M€ aux vilains en 2018 et le joueur vaut 10 fois moins aujourd'hui selon Transfertmarkt. Il a acheté Mahdi Camara pour 3 M€ (l'ancien capitaine stéphanois vaut le double aujourd'hui d'après le même site). Il a vendu Franck Honorat à Mönchengladbach pour un montant près de 2 fois plus élevé que son prix d'achat à l'ASSE. Le très bon directeur sportif du Stade Brestois Grégory Lorenzi intérésse Saint-Etienne selon la dernière édition du Télégramme. Extraits.
"En huit ans, Lorenzi, que l’on présente tenace et ferme dans les négociations, qu’elles soient salariales avec les joueurs ou contractuelles avec les autres clubs, a imposé ses idées. Passé maître dans l’art de la plus-value sur les transferts, Lorenzi a permis au Stade Brestois de maintenir ses finances à l’équilibre. Ses quelques échecs (Hérelle, Slimani, Uronen) ou paris sans suite sont supplantés par des ventes à prix fort (Pintor, Diallo, Perraud, Faivre, Honorat) qui ont rapporté près de 60 millions d’euros.
Il a d’ailleurs su flairer les bons filons avec les jeunes en devenir de l’AS Monaco, et maintenant ceux du Stade de Reims. « L’optimisation des moyens mis à sa disposition est indéniable et à terme, ce sera quelqu’un de « bankable » pour un beaucoup plus gros club, confie Bruno Satin, agent historique du football français. Il est la cheville ouvrière de la réussite actuelle du Stade Brestois et il jouit d’une liberté de manœuvre totale. Celui qui incarne Brest aujourd’hui, c’est Greg’», poursuit l’agent qui n’a pourtant jamais fait d’affaire avec lui.
Si son profil est convoité, Lorenzi se sent bien à Brest et ne se voit pas, dans l’immédiat, quitter le club finistérien pour un autre plus riche où il aurait de facto moins de pouvoir. C’est d’ailleurs la réflexion que Lorenzi avait eue en 2021 avec l’approche de l’Olympique Lyonnais. « Je ne sais pas dans quel club le directeur sportif a autant de liberté d’action », soutient Denis Le Saint, bien conscient de ce qu’il a à lui offrir et convaincu que « si demain, il a envie de partir, il m’en parlera au préalable et on aura le temps de préparer tous les deux son remplaçant ». En France, Saint-Etienne, Lens et Nice ont manifesté un intérêt pour celui qui ne se met pas en avant mais sait faire entendre sa voix, parfois pour recadrer."
Pour rappel, la Pravda avait déjà évoqué en décembre 2020 un intérêt de l'ASSE pour Grégory Lorenzi. En janvier 2021, le quotidien sportif avait ajouté que Roro l'appréciait et avait pensé à lui avant l'intronisation de Jean-François Soucasse.
RPG sur le point de rejoindre KTC
06/02 16:23
Devenu tricard au FC Nantes de Jocelyn Gourvennec, Ronaël Pierre-Gabriel (25 ans) est selon la Pravda sur le point de rejoindre le Dinamo Zagreb, où évolue depuis 5 ans et demi un autre ancien latéral droit passé par Sainté : Kévin Théophile-Catherine (34 ans).
Samuel Fuleki contre la France avec la Roumanie
06/02 14:15
Buteur avant-hier lors de la large victoire (4-0) des protégés de Jean-Philippe Primard sur le terrain de Bourg-Péronnas, l'attaquant stéphanois Samuel Fuleki a été convoqué en équipe de Roumanie U15 pour une double confrontation avec la France les 21 et 23 février à Clairefontaine.
La passe de Troyes ?
06/02 13:46
Les 2 derniers bourreaux des Verts (Amiens et Dunkerque) sont les 2 clubs qui ont pris le plus de points en 2024 (10 sur 12). Dans ce championnat de L2 presqu'aussi médiocre qu'il est homogène, les 3èmes ex aquo en ce début d'année n'ont pris que 7 points (c'est toujours 3 de plus que Sainté). Il s'agit de Caen et... Troyes, attendu dans le Chaudron lundi prochain en clôture de la 24e journée ! Reste à savoir si les protégés de David Guion infligeont aux Verts une 3e défaite consécutive...
Riera, des propos mal à Troyes
06/02 13:22
Albert Riera coache comme ODO l'un des deux historiques du foot français aujourd'hui en Ligue 2. Albert Riera déplore comme ODO la médiocrité des prestations de son équipe. Mais là où ODO reste digne et lucide sur les carences de son groupe en conférence de presse, le coach bordelais défait ce week-end par notre prochain adversaire (Troyes, lundi à 20h45) manque de la plus élémentaire décence : "Si on parle de manière générale, et j’espère que vous ne parlerez pas de manque de respect, on est une meilleure équipe que Troyes sur les deux matchs, et on perd six points. Dans le foot, tu ne gagnes pas toujours quand tu es le meilleur. Je vais faire court : je suis le responsable de la défaite. Je sais pourquoi, mais je ne peux pas le dire pour protéger les joueurs. On donne trois points à une équipe qui n’est pas meilleure que nous".
Forza Gadegbeku !
06/02 12:58
Deux semaines après avoir joué en équipe de France U17 un match (0-0) contre les U19 guingampais à Ploufragan, le milieu de terrain stéphanois Luan Gadegbeku a de nouveau été convoqué aujourd'hui en sélection par José Alcocer pour une double confrontation amicale avec l'Italie les 11 et 16 février au Centre Technique de Coverciano (Florence).
Dreyer n'est pas en vacances à Strasbourg
06/02 09:33
Ayant quitté Sainté pour sa ville natale le dernier jour du mercato hivernal, Matthieu Dreyer se confie aujourd'hui dans Les Dernières Nouvelles d'Alsace. Extraits.
"Je suis venu plusieurs fois à la Meinau, la dernière avec Lorient, mais jamais comme titulaire, Sinon, j’ai vu des matches dans les tribunes quand j’étais enfant. Je me souviens très bien de la victoire contre l’Inter de Ronaldo en Coupe d’Europe ! Je suis passé pro à Sochaux l'été 2007 comme doublure de Teddy Richert. Mon premier match de L1, je le dispute car Teddy se blesse à l'échauffement sur le dernier dégagement. J'ai joué sans m'être échauffé.
Cela préfigure un peu l'ensemble de ma carrière : je me suis toujours tenu prêt à pallier une blessure, une méforme, un souci du titulaire. J'ai joué 68 matches dans l'élite dans ma carrière. J'aurais certainement pu aspirer à mieux, d'autant que ça s'est souvent bien passé quand j'ai joué. Mais c'est comme ça... Le fait de paraître détaché m'a peut-être desservi, mais c'est aussi ma force.
Mon envie de rejoindre Strasbourg a toujours existé mais quand j'ai rallié Sainté et la L2 l'été 2022, cet objectif s'éloignait encore. On en a discuté avec mes parents ce week-end, je pensais alors que c'était mort. Mais l'histoire a pris une tournure totalement inattendue quand Matz Sels est parti à Nottingham et que le Racing s'est mis en quête d'un gardien d'expérience pour encadrer Alaa Bellaarouch.
Quand le Racing m'a appelé, je n'ai pas longtemps hésité. Même pas du tout ! (rires) Pourquoi ? Parce que c'est le Racing, c'est Strasbourg ! Pouvoir revenir dans ma région, retrouver la Ligue 1 à 34 ans... Tout concordait. Il a juste fallu que j'explique à mes amis que je ne suis pas là en vacances, comme d'habitude quand je rentre ! "
Puel évoque une déliquescence
06/02 08:32
Sans club depuis qu'il s'est fait virer de l'ASSE il y a 50 mois, Claude Puel (62 ans) s'est confié hier dans Monaco Info à son amie Geneviève Berti, directrice de la communication du gouvernement princier de la Principauté de Monaco. Extraits.
"Quand je suis arrivé à Lille, le club était en bas. On a joué le maintien les deux premières années. Sans argent, sans rien, on a pris des joueurs gratuits de deuxième division ou des étrangers qui ne coûtaient rien. On avait l’avant-dernier budget de première division. Je me suis dit « je vais partir avec des jeunes joueurs, je vais les former, je vais les amener et les faire rivaliser avec les meilleurs joueurs ». Les gens se disent « il est fou, lui ! ». On a joué deux ans le maintien puis on a fait 2e, puis 3e derrière Lyon. On a fait des Ligues des Champions, on a battu Manchester United au Stade de France car on n’avait pas encore de stade à Lille. On a gagné à San Siro contre le Milan AC qui a été après champion d’Europe cette même saison. On a fait des résultats extraordinaires. On a bâti. Aller se confronter avec des joueurs qui ne coûtent rien et défier les plus grands joueurs d’Europe et les plus grands entraîneurs, c’est ce qui me faisait saliver. C’est ma nature et je le revendique.
J’ai la particularité à partir de Lille d’avoir des responsabilités étendues. Je faisais entraîneur et j’avais aussi le rôle de directeur sportif. Je menais la politique sportive du club, je m’occupais du recrutement des joueurs, je faisais toutes les réunions, tout ce qu’il fallait pour diriger tous les aspects sportifs, du centre de formation jusqu’à l’équipe première. C’était énormément de travail mais je m’accomplissais là-dedans. Partout où je suis passé, même en Angleterre, j’ai tenu ce rôle-là. Maintenant c’est presqu’impossible de faire cela, c’est très compartimenté. Beaucoup de gens sont venus se servir et n’ont pas servi le club.
Maintenant, l’entraîneur est dans la précarité, il est sur un siège éjectable. Au bout d’un an ou même de quelques mois, il peut partir. Il va à l’essentiel et je le regrette parce que c’est un état de fait qui est dû par la gestion du club proprement dit. Je le regrette car ça ne permet pas d’avoir un travail de fond. Les entraîneurs hésitent maintenant à lancer des gamins parce qu’ils ne sont pas encore prêts, ils savent que ça risque de leur coûter des points mais « ils ne font pas le job » et tout ça je le regrette
C’est une question d’état d’esprit. Moi j’étais prêt à me faire virer mais pour moi c’était comme ça, on devait passer par ces étapes-là. J’avais des convictions et mon travail fait que ça a été sur la tangente plusieurs fois, mais finalement je suis resté en place parce que mon travail quelque part les rassurait aussi. Par exemple à Lille pendant deux ans on a joué le maintien, on était la majorité du temps dans les trois derniers. Ils ont dû hésiter pour savoir s’ils me gardaient. Mais en fait, comme je bossais, comme je développais les joueurs, ils ont tenu.
C’est ça qui est important, c’est d’avoir un aperçu sur ce qui est réalisé. Est-ce qu’on est sur le bon chemin, on peut continuer à lui faire confiance pour la suite. Surtout que c’était le seul chemin. Il y a des clubs qui dans des situations comme ça de mauvais classement, ils paniquent et de suite c’est du court terme. C’est de la gestion à court terme et en fait c’est la déliquescence du club. Il faut se détacher de toute la pression, il faut prendre un cap et le tenir parce qu’on pense que c’est le bon. Il faut tenir, rassurer ses dirigeants, prendre la communication du club à son compte, il faut tempérer les uns et les autres. On est très exposé mais je pense avoir été à chaque fois assez solide.
Ce que l’on peut me souhaiter maintenant ? Avoir la santé, profiter de mes enfants et de mes petits-enfants. Je reste un passionné de football mais pas n’importe où, pas n’importe comment… J’ai reçu beaucoup de propositions, même au niveau des sélections. Mais j’ai envie de rester en Europe et de disputer je l’espère un jour de nouveau la Coupe d’Europe, la Ligue des Champions, soit avec un club qui me permet d’y arriver par la compétition, soit qui y soit déjà. Je ne suis plus dans un projet où il faut repartir en bas, reconstruire pendant quatre ou cinq ans comme j’ai pu le faire à Lille, à Nice ou dans d’autres clubs. Je n’ai plus ce truc-là."
Cordonnier évoque le cas Sissoko
06/02 07:34
Ancien scout de l'ASSE (de février 2018 à mai 2021) et actuel directeur sportif de Sochaux (4e de National 1 qui s'apprête à recevoir Rennes en 8e de finale de Coupe de France), Julien Cordonnier se souvient dans la Pravda du jour des tractations délicates avec Ibrahim Sissoko et son agent, à qui le FCSM a dû verser 1,5 M€ pour qu'ils acceptent de rompre un contrat qui portait jusqu'en 2026 (avec un salaire de 80 000 € brut par mois).
"Il y a des décisions qui ont été prises, peut-être parfois un peu rapidement... Mais c'était compliqué d'attendre qu'Ibra parte de lui-même, vu l'urgence de la situation. Heureusement, d'autres joueurs, comme Moussa Doumbia ou Aldo Kalulu ont résilié leur contrat sans indemnité, alors qu'ils n'avaient pas encore trouvé de club où rebondir."
Selon Le Progrès, l'attaquant malien des Verts, éliminé samedi dernier par la Côte d'Ivoire, est attendu après-demain à L'Etrat après avoir joué seulement 67 minutes à la CAN. Il devrait donc faire son retour dans le groupe à l'occasion de la réception de Troyes qui clôturera lundi prochain la 24e journée de L2.
Sur une passe de son gardien Flekken, Maupay marque contre les Cityzens
05/02 23:07
Sur un dégagement de son gardien Mark Flekken, Neal Maupay (27 ans) a ouvert le score ce soir contre les Cityzens en clôture de la 23e journée de l'élite anglaise. Malgré le 32e pion claqué en Premier League par l'ancien attaquant stéphanois (son 5e de la saison), les Champions d'Europe et d'Angleterre en titre ont finalement renversé Brentford grâce à un triplé de Philip Foden.
Parfaitement exécuté, Neal Maupay et les Bees surprennent Manchester City en première période ! 🔴⚪️
— CANAL+ Foot (@CanalplusFoot) February 5, 2024
1️⃣ - 0️⃣ #BREMCI | #PremierLeague pic.twitter.com/v7My9LYAF2
Ce qu'en dit Pindi
05/02 22:15
Sur la chaîne twitch de La Voix des Sports, le DG de l'USLD Edwin Pindi est revenu ce soir sur la défaite des Verts avant-hier à Marcel-Tribut.
"Ce match contre Saint-Etienne, ça a été un beau match de Ligue 2, avec beaucoup d’intensité. On se dirigeait vers un match nul et c’est nous qui avons eu un petit coup du sort mais quelque part on l’a provoqué. Mais il ne faut pas fanfaronner, ça ne tient parfois qu’à un fil. Sur le terrain, l’équipe a été dans la continuité de ce qu’on fait depuis 2024, je n’ai pas senti d’atmosphère de Coupe de France mais une envie de briller, de montrer de quoi les joueurs étaient capables.
Mais en termes de club, la réception de l’ASSE a été un gros défi. Pour nous, c’était le plus gros match des 30 dernières années. On avait un gros défi en recevant les supporters stéphanois, on passait à la télé à 15h00 en match prime, le stade était plein à craquer, les places sont parties comme des petits pains. Il y avait des enjeux sécuritaires très importants autour du match dans une période en plus de carnaval.
Il y avait une ambiance vraiment particulière en tribune. Je pense que du point de vue de nos supporters c’était aussi important de pouvoir exister. On l’a vu, le kop stéphanois est très important. C’est rare pour nous de voir un kop aussi rempli, un kop qui chante autant. Il y a eu un vrai défi et il faut vraiment féliciter toutes les sphères du club. L’équipe professionnelle et le staff technique ont vraiment brillé, et en coulisses ça a été un rude défi qui a été réussi avec notamment pas moins de 450 VIP présentes au stade. Les voyants étaient vraiment au vert, excusez le jeu de mots (rires)."
Gambardella : en trépassant par la Lorraine (3)
05/02 19:37
Dans L'Est Républicain, Patrick Moreau revient sur l'élimination des Verts à Nancy, dont l'équipe de U18 évolue pourtant en Régional 1.
"On s'est créé trop peu d'occasions, on a manqué de justesse technique, face à une équipe de Nancy très solidaire. Plus le temps passait, plus je pensais que ça se jouerait aux tirs au but mais il y a eu ce corner pour l'ASNL qui a fait la différence. C'est le foot, il faut l'accepter. Je suis évidemment déçu mais j'ai aimé revenir en Forêt de Haye, j'ai revu beaucoup de monde que j'apprécie."
A commencer par Gaston Curbelo, qui a été son ancien coéquipier nancéien (on les voit torse nu sur la photo ci-dessus) avant de devenir son adjoint dans l'équipe des U19 de l'ASNL. Fils de Carlos Cubelo, le coach des jeunes chardons n'est pas mécontent d'avoir insufflé sa grinta uruguayenne à son équipe.
"On a réussi un vrai match de Coupe, avec beaucoup d'envie, beaucoup d'énergie. C'est l'histoire du foot. Quand tu fais preuve d'un tel état d'esprit, tout devient possible, même face à un adversaire de grande qualité comme Saint-Etienne. Je suis content pour les jeunes qui le méritent et je suis aussi très content pour le club. Cela fait du bien à tout le monde."
Souifi, penalty !
05/02 18:51
Venant de perdre à Dunkerque sur un corner qu'Ahmed Taleb n'aurait jamais dû donner, les Verts seront arbitrés par Azzedine Souifi (29 ans) lundi prochain dans le Chaudron pour la réception de Troyes qui clôturera la 24e journée de L2.
Oririginaire de Toulouse, cet ancien joueur à l'US Cugnaux a déjà arbitré 3 matches des Verts en pro.
Il avait remplacé à la mi-temps Amaury Delerue dans le Chaudron le 3 mars 2021 lors d'un match remporté 3-2 par les Sang et Or malgré la réduction de Bouanga à la 95e sur penalty. La saison passée, c'est lui qui officiait quand les Verts s'étaient imposés 4-2 à Charléty (ouverture du score de Wadji, doublé de Nkounkou et péno de Krasso).
Cette saison, il était au sifflet à Annecy en clôture de la 4e journée (1-1). Azzedine Souifi avait sifflé deux pénos lors de ce match nul (1-1) : le premier transformé par Caddy suite à une main de Batubinsika, le second raté par Sissoko (arrêté par Callens tout juste entré en jeu). Entretemps, il avait validé le but égalisateur de Dylan Chambost.
Camara est à sa place
05/02 13:45
Alors que son club formateur n'en finit plus de décevoir en Ligue 2, Mahdi Camara enchaîne les bonnes prestations avec la 3e meilleure équipe de l'élite. Il a encore rendu une belle copie ce week-end lors du choc de haut de tableau contre Nice. "Précieux à la conservation et la récupération du ballon, il a largement répondu au défi physique et tactique des Aiglons" souligne Le Télégramme. "L’ancien stéphanois a encore été très utile dans sa faculté à se projeter. Il récupère notamment un ballon haut sur une mauvaise relance de Bulka (14’). Sa tête a été trop croisée sur un bon centre de Del Castillo (58’). Après un gros retour (71’), il a été remplacé par Jonas Martin (77’)" ajoute Ouest-France.
S'il a mangé une biscotte qui le privera de la réception de l'OM de Jordan Veretout et Pierre-Emerick Aubameyang, l'ancien capitaine de l'ASSE est satisfait d'avoir tenu tête à l'OGC Nice de son ex-entraîneur Julien Sablé. "Je pense que ça reste un bon point, le compteur continue de tourner. On a tout fait pour empêcher les Niçois de relancer. Bulka a rendu beaucoup de ballons. On n’a volé aucun point depuis le début de saison, donc on est à notre place. On mérite notre classement. On va essayer de continuer comme ça. C’est bien ces deux résultats, on prend le 1er et le 2e en une semaine et on prend un point à chaque fois, c’est une bonne chose."
Espaly ne décolère pas
05/02 12:28
A l'instar de son entraîneur, le président d'Espaly Christian Perbet (à gauche sur la photo) déplore sur le site La Commère 43 que l'unique but de la victoire de la réserve de l'ASSE ait été accordé à tort hier.
"Tout le monde dans les tribunes et à la fin du match devant la vidéo ne peut que relever l'énorme erreur d'arbitrage. Le ballon n'est jamais rentré dans le but et l'arbitre de touche a signifié à celui du centre d'accorder l'ouverture du score."
Buteur et vainqueur contre Sainté, Sanganté va savourer
05/02 07:15
Capitaine de Dunkerque et auteur du but de la victoire de son équipe contre les Verts avant-hier, Opa Sanganté se confie aujourd'hui dans La Voix des Sports. Extraits.
"Ce troisième succès de rang, c'est une grosse satisfaction. Sur les derniers temps, ça tourne pour nous. On est bien, on met les ingrédients. Le fait d'être solidaires, d'être tous ensemble, c'est un facteur qui fait que ça peut basculer de notre côté. Là on va savourer, surtout parce qu'on bat une grosse équipe de Saint-Etienne, qui joue les premiers rôles.
La veille j'avais tout raté à l'entraînement. Tout le monde se moquait de moi, me disait de ne plus monter sur les coups de pied arrêté. Le coach m'avait dit : "Ne t'inquiète pas, je sais que t'as gardé ça pour le match." A cinq minutes près, j'allais sortir. Je ne savais pas si c'était une petite crampe ou ma lésion aux ischios que j'avais eu à la CAN qui se réveillait. C'était une crampe."
Gambardella : en trépassant par la Lorraine (2)
05/02 06:51
L'Est Républicain revient sur l'élimination des Verts par Nancy hier en Coupe Gambardella au Parc des Sports Michel Platini. Extraits.
"Dans le sillage de l'équipe fanion de l'ASNL qui n'arrête plus de gagner en National, les U18 du club ont créé une très jolie surprise en éliminant une grosse équipe stéphanoise. Un succès 1-0 arraché en fin de match sur un corner. Comme l'équipe fanion vendredi contre Cholet !
La venue des Verts en Forêt de Haye, ce dimanche après-midi, à l'occasion d'un 16e de finale de Coupe Gambardella, était un petit évènement pour les amateurs de ballon rond du coin. Et c'est pour ça que ce match a attiré pas mal de monde sur la butte gadouilleuse qui sert de gradins au terrain synthétique. Le public n'a pas eu à le regretter après avoir assisté à la victoire de l'ASNL aux dépens de Saint-Etienne.
C'est plus qu'une qualification, c'est un véritable petit exploit créé par les jeunes de Gaston Curbelo, assisté de Cédric Lécluse pour l'occasion. Pensionnaires de Régional 1 cette saison, les U18 ont sorti la "Gambar" d'un des plus gros centres de formation de France, considéré comme un candidat au succès final dans cette magnifique épreuve, la Coupe de France des jeunes.
Gaston Curbelo avait justement demandé à ses gamins de réaliser un vrai match de Coupe et c'est ce qu'ils ont fait de manière assez admirable, en mettant un maximum de grinta dans leur jeu, en ne ménageant jamais leurs efforts. Les petits chardons ont ainsi gommé la supériorité supposée des Verts sur le papier."
U16 : des soucis à Annecy
04/02 22:49
S'ils avaient battu le FC d'Annecy le 17 septembre dernier (2-1) à l'Etrat, les U16 de Kevin De Jesus savaient bien que ce déplacement en Haute-Savoie ne serait pas de tout repos. Pourtant, après une première période de belle facture qui les voyait mener 2 à 0, ils pouvaient espérer l'emporter, mais les Anneciens allaient réussir à renverser le sort du match pour l'emporter finalement par 3 à 2 et ainsi prendre la tête du classement.
Après donc, une excellente première période avec de belles sorties de balle, de la vitesse dans les attaques, les Verts avaient ouvert la marque, dès la 15ème minute sur un coup-franc de Maxime Lengué-Lenou. Ils doublaient la mise peu avant le repos, à la 37ème, par Loevan Charros, bien servi par Maysson Méité, auteur d'une belle sortie de balle.
Ils perdaient leur football après le repos, face à un adversaire plus agressif dans le pressing. Ils manquaient cependant une occasion qui aurait pu porter le score à 3-0 puis deux autres à 3-1. Kevin De Jesus pouvait également regretter le fait d'avoir concédé trois buts, mais corriger ce manque de rigueur sera un axe de travail des prochaines semaines.
La composition : Colombet - Mical, Mnemoi, N.Mouton, Lengué-Lenou - Aït-Amer, Charros (Verhoeven, 75ème), Yvars - Ploton (Teillol, 60ème), Bijot (N.Moulin, 60ème), Méité.
Les U15 en pleine bourre à Bourg
04/02 21:53
Les U15 de Jean-Philippe Primard entamaient aujourd'hui la phase retour de leur championnat. Ils se déplaçaient dans l'Ain pour affronter le FC Bourg-Peronnas, un adversaire qu'ils avaient largement battu (4-0) à l'aller. Ils ont réédité leur performance en s'imposant sans coup férir sur le score de 4 à 1.
Ce résultat n'est, à vrai dire, pas une surprise, les Burgiens n'ayant pas encore gagné un match, devant leurs quatre petits points à quatre matchs nuls, mais c'est une équipe en peine progression qui se présentait face aux Verts. La méfiance était donc de rigueur. Bourg présentait un bloc bas, avec une défense renforcée à cinq éléments, que les Verts n'allaient cependant pas tarder à transpercer : Mahé Royet alertait Samuel Fuleki sur l'intérieur. Ce dernier faisait une bonne prise de balle vers l'avant, éliminant son adversaire et marquait d'un tir enroulé au ras du poteau. (FCBP - ASSE : 0-1, 5ème).
Une vingtaine de minutes pluis tard, Lorik Castro trouvait, à l'entrée de la surface, côté gauche, Mathéis Piskor qui, après une bonne prise vers l'avant et une belle fixation, doublait la mise d'un tir au ras du poteau. (FCBP - ASSE : 0-2, 25ème).
Cinq minutes avant le repos, Mahé Royet lançait, à droite de la surface, Samuel Fuleki qui terminait d'une belle frappe croisée. (FCBP-ASSE : 0-3, 35ème).
Le deuxième acte allait être moins enlevé, les Verts manquaient plusieurs occasions d'alourdir le score et Bourg, sur une de ses rares contre-attaques obtenait un penalty qui lui permettait de réduire la marque. (FCBP - ASSE : 1-3, 60ème).
Les Verts continuaient leur domination et voyaient leurs efforts récompensés sur un coup-franc enroulé, au ras du poteau, à mi-hauteur, de Mahé Royet, plein axe à 25 mètres du but. (FCBP - ASSE : 1-4, 80ème).
Au classement, les Verts sont 2èmes à 2 points des vilains. Dimanche prochain, ils recevront Villefranche sur Saône. Entre-temps, mercredi, au Pouzins, ils vont se mesurer au Pôle Espoir d'Aix en Provence.
Quant aux U14 de Romain Marée, ils se sont eux aussi imposés, sur le score de 2 à 0.
La composition : Vial - Akil (Lengi, 57ème), Jolivet, Bagelli, Lengi (Marliac, 41ème) - N'Gindu (Lebrun, 41ème), Guechir (Thouilleux, 41ème), Royet (N'Gindu, 57ème) - Castro (Guechir, 57ème), S.Fuleki (Castro, 70ème), Piskor (Royet, 70ème)
La réaction de Jean-Philippe Primard : "Nous avons fait une bonne première mi-temps. Bourg a joué avec un bloc bas, à cinq joueurs derrière qui nous attendaient, et a essayé de nous contrer sur les phases de récupération en mettant de la vitesse devant. Leur replacement était efficace, ce dispositif n'était donc pas aisé à contourner, et la situation aurait pu être difficile à décanter. Nous avons su être patients, nous avons pris le temps de construire, de les déplacer pour arriver à conclure, ce que nous avons pu faire très rapidement à la suite d'attaques bien préparées et bien conclues. Nous avions un bel avantage à l'issue d'une bonne mi-temps où nous avons su mettre du rythme. J'aurais souhaité garder ce rythme après le repos, mais la deuxième période a été plus brouillonne, face à un adversaire qui n'avait pas changé de tactique. Notre victoire n'a cependant pas été pas remise en cause."