Le retour de Fredy
22/03 13:22
Après avoir officié lors du match aller à GG (1-1), Fredy Fautrel sera au sifflet à la Mosson samedi soir à 19h00.
Contre Lyon dans l'Yonne
22/03 10:43
Entraînés par Philippe Durieu, les U14 de l'ASSE participeront du 6 au 8 avril à la 19 ème édition du Tournoi sans Frontières à Sens (Yonne). Dans le groupe D, les p'tits Verts affronteront les vilains, l'AJA et le Servette de Genève.
Saadi, c'est dit !
22/03 10:24
Dans la dernière édition de L'Union, Idriss Saadi revient sur son premier pion en pro claqué ce lundi au Mans.
"Pour un attaquant, il faut éviter de douter trop longtemps. Je m'en suis voulu après le raté de Châteauroux. Je glisse après avoir fait le plus dur en dribblant le gardien. Au Mans, le centre de Quentin n'est pas facile à reprendre, mais je le mets dedans. C'est le foot, c'est comme ça… Avec Quentin, on s'était dit que ce serait bien d'entrer à 0-0 et que nous fassions la différence et c'est ce qui est arrivé ! Je l'attendais ce premier but en pro, bien sûr, et il tardait à venir. Je suis content. Ces derniers temps, l'équipe était frustrée au niveau des résultats. Alors, il s'agit d'une délivrance personnelle et collective. Ça fait plaisir d'offrir la victoire au Stade de Reims. Il y a beaucoup d'attente autour du club qui rêve de retrouver l'élite. Cette saison, l'opportunité se présente et il faut la saisir. On doit rester concentrés et ne plus gâcher."
Bafé ne faiblit pas
21/03 22:10
Bafé Gomis a claqué ce soir sur penalty son 21ème but de la saison au grand dam de son ami Blaise Matuidi, éliminé de la Coupe de France.
Le retour du capitaine Perrin
21/03 21:59
Mené 2-0 par Orléans, Besançon a remporté 3-2 ce match en retard de la 19ème journée grâce à un doublé de son capitaine Julien Perrin, également décisif sur le troisième pion bisontin. L'ancien attaquant stéphanois a marqué huit buts depuis le début de la saison.
Meyrieu aime le vieux
21/03 21:06
Après avoir meublé les pages transfert de But Sainté quelques étés, Frédéric Meyrieu avait mis un terme à sa carrière de joueur en 2002. L'ancien milieu de terrain du RC Lens et du FC Metz dévoile son amour pour notre papy vert dans un entretien publié aujourd'hui sur le site mosellan La Semaine.
"Depuis que j'ai pris ma retraite, je suis assez déçu par l'évolution du football. Les joueurs n'ont plus la même qualité technique, l'intelligence de jeu qu'à une certaine époque. Des joueurs en activité auxquels je m'identifie ? J'aime bien Laurent Batlles de Saint-Etienne. Sinon, il n'y a plus beaucoup de meneur de jeu."
Allez Steph, ravis Raviot ! (5)
21/03 18:17
Pour la cinquième fois de la saison, Franck Raviot supervisera Stéphane Ruffier samedi soir à la Mosson.
* L'entraîneur des gardiens de l'équipe de France avait assisté à OM-ASSE (0-0), ASSE-VAFC (1-0), Vilains-ASSE (2-0), ASSE-Bordeaux (1-1 ap, 2-4 tab).
Les U19 accrochés par les Crocos
21/03 18:10
Vous avez pu suivre la rencontre en direct sur notre forum dimanche après-midi grâce à oswaldo : les U19 de l'ASSE ont été tenus en échec (0-0) par le Nîmes Olympique lors de la 21ème journée du championnat.
Très moyens en première mi-temps, les Verts se sont procurés de nombreuses occasions en seconde période mais les mistons ont tenu bon.
La compo : Vachoux – Kayaci, Karamoko, Nyemeck, Djeridi (Sigot 76’) – Milla, Elmoudane, Aouacheria, Diouara – Spano (Touati 41’), Tack (Nassuf 36').
Abdel Bouhazama revient sur ce match, évoque la Coupe Gambardella et tire un premier bilan de cette saison dans un entretien à écouter dans la potothèque.
En apprendre de Bell (2)
21/03 16:33
Avec sa légendaire humilité, Joseph-Antoine Bell a accordé une interview à la FIFA en cette Journée internationale des Nations Unies pour l'élimination de la discrimination raciale. Extraits.
"J'ai été confronté à la discrimination. Quand je jouais encore, ce n'était pas vraiment le cas parce que j'étais très fort et donc on avait besoin de moi. Mais les préjugés ont la vie dure et il y toujours des gens pour penser que vous ne serez pas capable de faire certaines choses pour telle ou telle raison. Quoi qu'il en soit, je ne pense pas avoir été victime de discrimination de la part des gens qui comptaient vraiment. Si la discrimination vient du public, on ne peut pas réellement lui en vouloir dans le sens où ce n'est pas en son pouvoir de changer les choses. Oui, j'en ai fait l'expérience, peut-être de la part de certains joueurs. Mais je pense que j'étais assez fort pour ne pas en souffrir, même lorsque j'en étais victime. Lorsque j'y ai été confronté, j'ai toujours pensé que ceux à qui j'avais affaire n'étaient de toute évidence pas très intelligents. Comment leur en vouloir ? On n'y peut rien si on a affaire à des imbéciles !
(...)
J'étais le premier gardien noir. Ça n'a pas été plus facile pour moi, mais ça l'a été pour ceux qui sont arrivés après moi. À l'époque, tout le monde pensait qu'un noir ne pouvait pas être assez sérieux ou assez intelligent pour être gardien de but. Les gens pensaient qu'on ne pouvait pas faire confiance à un noir à ce poste, qu'un gardien noir n'était pas fiable. Les gens ne s'attendaient pas à ce qu'un noir puisse être bon au poste de gardien, mais j'ai réussi à le prouver, et depuis le message est passé. C'est pourquoi j'affirme que c'est par le comportement que l'on peut faire changer les gens. Ceux qui pensaient que les noirs n'étaient pas assez sérieux pour être gardiens de but avaient raison à l'époque parce qu'ils n'avaient jamais vu de bon gardien noir. Une fois qu'ils en ont vu un, ils ont su qu'ils s'étaient trompés et c'est par des actes que j'ai fait évoluer leur opinion."
Jo joue la prolongation
21/03 15:34
Le site officiel a annoncé aujourd'hui que Josuha Guilavogui a prolongé son contrat avec l'ASSE jusqu'en 2016.
Un 4ème titre pour les 40 ans ?
21/03 13:50
Vainqueurs du tournoi à trois reprises (1997,1998 et 2009), les U17 de l'ASSE participeront du 6 au 9 avril à la 40ème édition du "Mondial Minimes" de Montaigu. Dans la poule 2, les protégés de Gilles Rodriguez et Lionel Vaillant affronteront Rennes (le 6 avril à Treize-Septiers), Nice (le 7 avril à Saint-Hilaire-le-Loulay) et Foot Solidaire Afrique (le 7 avril à la Guyonnière).
Banel se met au Saint-Joseph !
21/03 13:16
Comme l'an dernier, Sainté ne participera pas au tournoi international de Saint-Joseph (du 7 au 9 avril 2012), les protégés d'Abdel Bouhazama recevant Bastia ce week-end là en match en retard de la 17ème journée du championnat U19.
Mais l'ASSE sera quand même représentée à ce tournoi qu'elle a remporté à neuf reprises. Le portail d'informations ligériennes Zoomdici nous apprend en effet que Banel Nicolita et Romain Revelli seront les deux parrains de cette 33ème édition. "C'est un des plus beaux tournois de cette catégorie" précise l'entraîneur adjoint des Verts, sacré meilleur joueur en 1997.
Pour en finir avec l'alternance
21/03 09:58
Si le bilan des Verts à Montpellier en Ligue 1 est globalement très présentable (4 victoires pour 2 nuls et 6 défaites en 12 déplacements), la courbe récente des résultats dessine une forme d'alternance entre victoire et défaite inquiétante si on se souvient que pour notre dernier passage à la Mosson, Rivière s'était offert un doublé pour une victoire précieuse (2-1) qui nous ramenait à l'époque à la 5ème place.
Nos précédents déplacements s'étaient soldés par une défaite (1-2, but de Bergessio en 2009), une victoire en 1999 (1-0 sur une merveille de but d'Alex) et une défaite en 1996 (1-0).
Après ce si triste derby, il serait de bon ton d'interrompre cette série !
Dans le dur Alex
21/03 06:42
Alex Dias est à l'honneur aujourd'hui sur le site brésilien Terra. A bientôt 40 ans (il les fêtera le 26 mai prochain), l'ancien attaquant stéphanois explique pourquoi il s'est engagé il y a trois mois avec Aparecidense. "Je m'étais arrêté en 2010, mais j'ai rechaussé les crampons car le maire est un ami et voulait bâtir une équipe. J'ai dit "banco". Je ne suis pas toujours titulaire mais je suis là pour aider et encadrer les garçons. On a une bonne équipe, on va essayer de se qualifier pour les phases finales." Pour atteindre ce objectif, la panthère devra retrouver ses griffes. Dans le dur, Alex n'a pas claqué le moindre pion en huit matches. Son équipe est 6ème (sur 10 équipes) du Goiano.
Banel, oh la vache !
20/03 20:06
Sainté, son soleil, ses délicieux chocolats Weiss... Avant d'en profiter, Banel Nicolita a connu une enfance très pauvre. Dans un court reportage vidéo diffusé aujourd'hui par Gazeta Sporturilor, l'international roumain explique qu'il a passé beaucoup de temps à tater le cul des vaches dans les pâturages. "Je n'ai pas honte de ce que j'ai fait. J'étais un enfant amer, très amer" révèle le milieu de terrain stéphanois avant de nous narrer une anecdote. "A neuf ans, je me souviens que mon entraîneur m'avait dit de revenir avec deux photos d'identité. Je suis allé voir ma pauvre mère, mon père, ils n'avaient pas d'argent. Le lendemain, quand l'entraîneur m'a demandé si j'avais apporté les photos, je lui ai dit que j'allais voir ce que je pouvais faire. Je l'ai redit le troisième jour, jusqu'à ce que l'entraîneur se rende compte de ma situation et me donne de l'argent."
Jouan enjoué
20/03 18:35
Afin de défier l'OM ce soir à d'Ornano en quart de finale de Coupe de France, le milieu de terrain de Quevilly Matthias Jouan a évoqué dans Ouest-France sa très courte expérience de la Ligue 1 : 13 petites minutes lors d'une cuisante défaite de Caen à GG. "Ça reste un très grand souvenir, assure-t-il. Jouer à Saint-Étienne, c'est un sacré stade et il y avait une ambiance de fou."
Les mules du Pape
20/03 18:08
France Télévision nous apprend que Pape Diakhaté (Grenade) a été opéré aujourd'hui dans la banlieue d'une entorse grave à la cheville droite survenue lors de la CAN. Saison terminée pour l'ancien défenseur central stéphanois, contraint de porter des mules et d'oublier ses crampons.
Nanard tacle Aulas
20/03 14:24
Invité hier soir sur le plateau de la Pravda, Nanard soupçonne Aulas d'être le plus grand menteur de France. Il reprend ainsi une formule utilisée naguère par Pape Diouf.
Le derby vu par papy
20/03 13:03
Dans la dernière édition de France Football, Laurent Batlles encense Christophe Galtier avant de revenir sur le dernier derby.
"Pourquoi Saint-Etienne marche mieux que les années précédentes ? C'est d'abord, et surtout, le fait du coach qui a fait SON recrutement et qui tient son groupe de belle façon en essayant de lui inculquer beaucoup de valeurs, de cohérence et d'équilibre. Ça vient aussi du fait que, dans notre équipe, s'est créé un collectif bien rôdé. L'entraîneur est à la base du renouveau, c'est son rôle qui veut ça, mais après il faut encore une fois une grande cohérence et des joueurs de qualité. On peut même avoir des joueurs de moindre qualité, mais qui, dans un collectif, sont performants. Quand ça se passe bien entre tout un staff et les joueurs, tout le reste suit. Le coach est arrivé à prendre des joueurs qui l'écoutent, mais lui aussi il les écoute énormément. Il arrive à bien parler. Pour un entraîneur, il faut être bon dans tous les aspects, notamment mental. Il a su, aussi, rendre ses entraînements attrayants.
(...)
Je pense qu'aujourd'hui on est plus ou moins à notre place. Si le club veut progresser, il faudra prendre deux ou trois joueurs pour nous faire passer un palier l'été prochain. Mais des limites, il ne faut pas s'en donner, vu qu'on est encore bien placés ! On sait qu'on a des manques sur certains points. Passer à un autre niveau viendra match après match. Mêmes les défaites, certaines en tout cas, font grandir. Contre Lyon, on a peut-être manqué d'expérience. Mais ça paraît logique. Par rapport à Lyon, il nous manque des grands matches tous les ans. Lyon en dispute une quinzaine chaque année, alors que nous on est dans le rythme du chmapionnat. La dynamique européenne, c'est vraiment différent. Eux, dos au mur, ils arrivent à se transcender. Samedi, on a vu que les Lyonnais savaient bien gérer avec leur expérience, sans paniquer. Alors que nous, à la fin de la rencontre, on ne savait plus si on devait attaquer ou pas... Et on a pris un but exceptionnel. C'est tout ça qui fait la différence."
Un Saint Bernard dans la bible
20/03 12:38
Dans la dernière édition de l'autoproclamée "bible du football", Bernard Caïazzo débat de l'avenir du foot français avec Vincent Labrune (OM) et Jean-François Fortin (Caen). Voici un petit récap des propos de Nanard.
"Les présidents sont des entrepreneurs, locaux ou nationaux, appelés par les collectivités locales pour sauver un club en difficulté. Parfois ils sont en recherche d'image, mais bien souvent ce sont des passionnés de football avant tout. Président de football, c'est fabuleux quand tu gagnes tous les matches. On n'imagine pas ce qu'est le week-end d'un président quand son équipe a perdu, qu'elle joue le maintien. Les angoisses, les nuits sans dormir... La victoire est amplifiée, mais la défaite aussi. Dans une entreprise, quand tout va bien, ou inversement, avant que la tendance ne s'inverse, ça prend du temps. En football, non. Et sur le plan psychologique, c'est difficile. Regardez le drame lensois : un accident industriel dont le club a de grosses difficultés à s'en remettre. On pense tous à ça. La roche tarpéienne est proche du Capitole...
Un club français peut-il gagner la Ligue des Champions ? Ce serait embêtant de répondre non. Mais l'avoir remportée, c'est l'OM en 1993 ! Et depuis 2006, tant au niveau des équipes nationales que des clubs, le foot français n'a pas eu le moindre finaliste. Il faut remonter à avant 1976 pour trouver une situation semblable. Cette période de disette est inquiétante. Mais la France est aussi le deuxième pays exportateur de joueurs de Ligue des champions...
Faut-il plafonner les salaires ? Le football français a fait un gros effort de gestion, il n'y a plus de clubs dépensiers. La moitié des joueurs pros gagnent 25.000 €, le salaire moyen est de 45.000 € en L1. Taxer les les salaires au-dessus de 1 million d'euros annuels, ça profiterait à qui ? Ça tire vers le bas. Saint-Etienne aurait plus de chances d'être champion avec un tel système. Mais pour l'intérêt du foot français, c'est un non-sens total ! Si chacun est braqué sur son intérêt et ses avantages acquis, on ne pourra pas faire avancer notre football. si, au contraire, les uns et les autres réfléchissent dans l'intérêt général en ayant comme critère la compétitivité de notre football, on peut avancer.
Les nouvelles enceintes sauveront-elles le football français ? Ce qui est bien, c'est que l'on ne va pas faire comme en 1998 où on a tout concentré sur un seul stade. Pour Saint-Etienne, passer de 33.000 à 42.000 places va nous apporter des ressources supplémentaires. Si, demain, la France va en finale de l'Euro, ça va favoriser le remplissage des stades. Il est évident que les succès vont drainer un public comme en 1998.
Le PSG vat-il écraser le championnat ? Lyon a bien été sept fois champion. A l'époque, il avait un budget deux fois supérieur au deuxième. On ne peut pas, sous prétexte que vous êtes étranger ou français, avoir deux raisonnements différents. Mais gagner sept fois de suite le titre tout en étant les plus riches, ce n'est quand même pas facile. Je ne suis pas sûr que le PSG y arrivera parce qu'il y a l'incertitude du sport. Evidemment, ce serait mieux s'il y avait deux ou trois clubs aussi riches que le PSG."
Même amputé le Chaudron bout encore
20/03 09:02
Avec 26 210 spectateurs, Geoffroy Guichard a connu samedi sa plus belle affluence de la saison devant les 25 136 de la réception du PSG.
La moyenne depuis le début de saison monte à 21 366, la 4ème de France derrière celles du PSG, de Marseille et de Lyon, et devant Toulouse et Rennes.
Il reste cinq matchs à GG contre Nice, Brest, Dijon, Marseille et Bordeaux pour consolider notre place et nous rapprocher un peu de la moyenne de la saison dernière (25 096).
Aulas le guignol
20/03 08:36
Montrant des traces d'impact sur la carrosserie, le président des vilains a prétendu samedi soir que le car des banlieusards avait été caillassé par des supporters stéphanois. Le Parisien nous apprend aujourd'hui que le chauffeur dudit car a été entendu par la police. Ce dernier, sur procès-verbal, a dit que les impacts étaient anciens.
Dans la Pravda, le directeur départemental de la sécurité de la Loire remet également Aulas en place. "Le bus lyonnais n’a pas été endommagé. Il n’y a aucun enfoncement de carrosserie, ni vitre brisée. Le seul problème relevé, ce sont deux petites rayures, une de trois, l’autre de cinq centimètres, sur le film du bus, à hauteur d’une vitre. Je me réserve le droit de déposer plainte en diffamation contre M. Aulas. Plutôt que de mettre en cause les services de police, il ferait mieux de s’occuper de ceux de ses supporters qui sont des hooligans. Six passent en correctionnelle, mercredi, à la suite de dégradations sur une trentaine de véhicules et des bâtiments, avec des inscriptions et tags néonazis."
Le coup de la panne offensive
20/03 08:00
L'ASSE n'a tiré que quatre fois au but lors du derby. C'est le plus faible nombre de tentatives des Verts cette saison en L1 comme le rappelle l'agence d'informations sportives Opta.
Clément manquera Nice
20/03 07:49
Comme le rappelle papy ozzy dans son magistral tableau des cartons, Jérémy Clément ratera la réception de Nice pour avoir mangé contre les vilains sa troisième biscotte en huit matches. Sylvain Marchal, Jean-Pascal Mignot et Laurent Batlles devront se tenir à pascal carreau lors des deux prochains matches s'ils souhaitent jouer contre Fouss, Medjani et Ilan lors de la 31ème journée.
Quelques petites explications:
- en jaune avec une croix, les cartons qui ne comptent plus
- en gris avec un S, la journée où le joueur purge sa suspension
- le S+ correspond à un match ferme assorti d'un match avec sursis
- en hachuré, les journées où le joueur est sous la menace d'une suspension en cas de carton jaune
- en gris, la journée où le joueur serait suspendu en cas de carton jaune lors du prochain match
- en rouge, les joueurs insuffisamment prêts ou indisponibles pour blessure
Idriss la glisse enfin au fond !
19/03 21:34
Ayant remplacé Fauré (blessé) à l'heure de jeu en match décalé de la 28ème journée de L2, Idriss Saadi a marqué ce soir d'un joli coup de tête en pleine lucarne l'unique but de la victoire du Stade de Reims au Mans à la 85ème. Le jeune attaquant stéphanois aura attendu 790 minutes (dont 548 avec l'ASSE) pour claquer son premier pion en pro. Il permet à son équipe de grimper sur la deuxième place du podium, derrière Bastia mais devant le Clermont Foot d'un Jessy Moulin à nouveau cantonné au banc.
Un Sauget qui fâche
19/03 19:00
Avant de défier les vilains le week-end prochain avec les Lionceaux, l'ancien latéral stéphanois David Sauget s'est confié aujourd'hui sur So Foot. Extraits.
"J’apprécie beaucoup la famille Nicollin. J’aimerais bien par rapport à ce qu’ils représentent dans le football français qu’ils gagnent à la fin. Ca serait plus beau de voir Montpellier par rapport à l’investissement qu’ils font. Paris peut se payer qui ils veulent donc bon… Ils sont dans une autre catégorie. Par rapport au mérite, je préférerais Montpellier. (...) Un but m'a particulièrement plu ce week-end, celui de Bafé Gomis. Un peu vexé de ne pas débuter ce match à Geoffroy Guichard contre son ancien club, il rentre et il fait la différence. Surtout qu’il marque un beau but, le plus beau de la journée."
Il a les yeux verts Belhanda
19/03 18:31
Blessé à la cuisse lors d'un match amical remporté contre Germain Sanou, l'international marocain Younès Belhanda a raté les trois derniers matches de L1. Mais le joueur montpelliérain a annoncé aujourd'hui sur son compte facebook qu'il devrait être opérationnel contre l'ASSE samedi à la Mosson. "
Europe, the final countdown (10)
19/03 08:48
A dix journées de la fin du championnat, et malgré ce énième derby perdu, les Verts peuvent encore rêver d'Europe. Mais selon les savants calculs du chercheur Fabien Torre, Sainté n'a plus que 11, 30% de chance finir sur le podium et 28,40% de chance de terminer dans les quatre premiers. Les Verts ont néanmoins près d'une chance sur deux (49,45%) de finir à une cinquième place qui pourrait s'avérer qualificative en Europa League.
Herbin envie la cervelle des canuts
19/03 08:30
Dans Le Progrès du jour, Robert Herbin déplore le manque d'intelligence de l'ASSE lors du derby. Extraits.
"D’abord, il y a quelque chose qui m’a irrité. C’est ce public qui conspue Gomis. Il a répondu à sa façon et c’est la deuxième fois que ça se produit. C’est tout de même ridicule et ça m’exaspère (...) On n’a pas réellement de fond de jeu. Et le déchet technique est important. Il y a trop de bavures dans ce domaine. Il y a un travail de technique individuelle à faire. Je vais prendre l’exemple de Gomis. Il était brut de forge au départ. Mais c’est un gars qui a une cervelle et s’est mis à bosser. Et là, sans être Maradona, il a amélioré sa qualité technique. Il a grandi. Il y a pas mal de jeunes dans l’équipe et l’enjeu les a peut-être tétanisés, rendus nerveux. Chez nous, j’ai l’impression qu’on joue parfois sans cervelle. Plutôt à l’instinct. Ça peut-être tout feu tout flamme, mais souvent de petits détails font que rien n’aboutit. Le jeu que l’on produit est d’une certaine manière trop décousu. (...) On est en train de plafonner."
Juju, le requin avant le poisson
19/03 06:31
Avant de faire son retour dans le Chaudron le 1er avril, Julien Sablé s'est confié au site Sharkfoot. Extraits.
"J’ai eu deux saisons très prolifiques à Saint-Etienne, avec Elie Baup. Mais j’ai été formé dans un rôle juste devant la défense. J’ai explosé les compteurs à un moment mais ce n’était pas mon rôle. J’ai eu mon moment de gloire à Saint-Etienne, tout près de l’équipe de France. Je ne regrette pas du tout mon départ de Sainté. Quand je me remets dans le contexte de l’époque, j’étais arrivé, avec le club, à saturation. Avec le centre de formation, je suis passé par 12 saisons très pures et formidables, ça me marquera à vie. Saint-Etienne est imprégné en moi. La dernière saison a été très difficile, je pense qu’il fallait que je parte d’un point de vue personnel, pour ma vie d’homme. En tant que joueur, je pouvais rester, mais en tant qu’homme, je devais faire ça pour grandir.
Voir Sainté en haut de l'affiche, bien sûr ça fait plaisir ! Je suis surtout très fier de revoir les vraies valeurs, avec un groupe qui a l’air de bien vivre ensemble. Les joueur sont humbles et qui ont du caractère, pas des joueurs tape à l’œil comme Payet. C’est des joueurs qui restent à Saint-Etienne comme Marchal, Mignot, Clément, Lemoine… Je me retrouve en eux et c’est ce qui me rend fier de leur parcours car ce sont des joueurs de grande valeur humaine. Ils ont aussi des joueurs de grand talent, comme Aubameyang, et je retrouve un peu les grandes équipes que j’ai pu connaitre quand j’y étais.
L'affaire Payet ne m'a pas plu mais je n’ai pas toujours été exemplaire à certains moments. Je ne jetterai jamais la pierre à un joueur, j’en veux plus à l’entourage des joueurs qu’au footballeur lui-même. Quand on sort du centre de formation, on est très naïf et des gens font tout pour nous manipuler. Il y a beaucoup d’argent en jeu. Il avait envie d’autre chose, je peux comprendre ça car j’ai eu moi aussi des propos pas toujours très corrects. J’ai eu envie parfois donc avec l’expérience, je peux le comprendre.
Si je devais retenir une association au milieu de terrain dans ma carrière, ce serait laquelle ? Il y a deux milieux à trois qui me viennent à l’esprit. Le premier, c’est celui que j’ai eu avec Frédéric Antonetti où je jouais avec David Hellebuyck et Fabrice Jau lors de la remontée de Ligue 2 en Ligue 1. Puis l’année d’après avec David Hellebuyck et Didier Zokora, on avait trouvé une affinité énorme. Ces deux compositions ont été un grand plaisir pour moi. On était très complémentaire, on se complétait sur nos points faibles, c’était tellement énorme de jouer comme ça. Si je devais retenir un joueur dans macarrière ? Pascal Feindouno ! J’en ai connu comme des joueurs très forts comme Alex, Aloisio, Kader Ferhaoui, Loïc Rémy, Eric Carrière… Mais Pascal Feindouno c’est un artiste ! Si j’ai marqué autant de buts, c’est surtout grâce à lui, c’était un distilleur de passes décisives extraordinaires !
Si un grand investisseur étranger voulait racheter les Verts, je serais content, mais ces personnes devront garder les gens qui respectent les valeurs du club. De toute façon à Saint-Etienne, je sais très bien que les supporters, la mairie ou au club ne laisseront jamais des personnes qui n’ont pas des valeurs vertes prendre le club et en faire ce qu’ils veulent. La pression populaire se soulèverait. Je prendrai ça d’un bon côté pour l’aspect financier, mais pas touche aux valeurs stéphanoises ! De toute façon, les valeurs se transmettent toujours de génération en génération chez les Verts. Cette passion verte m’a impressionné et m’impressionne encore. Quand je vois des jeunes enfants être dingue du club… Ce club est formidable pour ça, c’est un peuple qui ne mourra jamais.
Rejouer pour Saint-Etienne avant la fin de carrière, je ne l'envisage pas. Non, la seule possibilité serait de voir le club en difficulté sportive après une mésaventure. Je serais venu donner un coup de main presque gratuitement. Mais pas de cette façon aujourd’hui, je pense que ça amènerait plus de problème que de solution. Revenir après ma carrière, oui j’aimerais ! Je passe mes diplômes d’entraîneur donc oui ça me plairait. D’ici là, j’ai encore beaucoup de temps à passer sur le terrain j’espère en allant jusqu’au bout et prendre du plaisir."