Roustan tacle Duhamel

05/11 20:06

Dans sa rubrique vidéo mise en ligne ce soir sur le site de la Pravda, Didier Roustan revient sur la victoire des Verts au Parc. Le chroniqueur reproche à Laurent Duhamel de n'avoir fait jouer que 4 minutes 30 de temps additionnel alors qu'il aurait pu accorder le double.

Pogba fait débat

05/11 18:38

Alors que le trihebdomadaire algérien Le Buteur laisse entendre dans sa dernière édition que Faouzi Ghoulam pourrait rejoindre les Fennecs et jouer contre Max Gradel dès la CAN, la double nationalité de Florentin Pogba fait débat. Le site Guinée Foot nous explique pourquoi.

 

"Les excellentes performances de Florentin avec la réserve sedanaise et plus particulièrement ces premières pré-convocations et convocations par le sélectionneur Michel Dussuyer lui ont permis de signer son premier contrat professionnel et de changer de statut. Jamais appelé en équipe de France jeunes, le Sedanais a été convoqué par trois fois en sélection nationale de Guinée A : le 11 août 2010 à l'occasion d'une rencontre amicale contre les Aigles du Mali à Marseille (2-0), le 4 septembre 2010 en Éthiopie (4-1) pour un match éliminatoire de la CAN 2012 et une dernière fois, le 27 mars 2011 toujours pour une rencontre éliminatoire de la CAN, à Madagascar (1-1) : "J'ai remplacé un blessé dans le groupe. Je ne suis pas entré en jeu par le choix du coach. C'est plus difficile pour un défenseur d'entrer en cours de match". Des circonstances ont fait que Florentin Pogba n'a pas fêté sa première sélection avec le Syli National. S'il avait été lancé dans le grand bain, Flo aurait définitivement dit adieu au maillot de l'équipe de France espoir. "Je n'y ai pas pensé", avait-il dit.

 

Deux mois après son déplacement à Madagascar avec la Guinée, Florentin reçoit une convocation de l'équipe de France espoirs bis pour le tournoi de Toulon. En effet, il n'a pas joué avec la Guinée et les règlements de la FIFA autorisent les binationaux à changer de sélection tant qu'ils n'ont pas été sélectionnés chez les A en match officiel. La France avait-elle besoin de lui concrètement ? On peut répondre par la négative, car malgré ses saisons avec Sedan, Florentin n’est plus appelé avec les espoirs Français. Cette convocation de Pierre Mankowski - en pleine crise des quotas - a forcément un sens pour l'intéressé qui déclarait dans les médias: "Il est clair que si j'ai le choix, j'opterai pour l'équipe de France. Sur ce que j'ai pu voir, en Afrique, les conditions et notamment les terrains, ne permettent pas de s'exprimer au mieux. La FFF n’a-t-elle pas manqué de classe pour sélectionner un joueur déjà appelé 3 fois au frais et à la charge d’une autre fédération (même sans entrer en jeu), qui plus est le son pays de naissance? Sans cet appel, pour l’équipe B des espoirs au tournoi de Toulon, il est certain de dire que Florentin aurait pu compter de nos jours une dizaine de sélections avec le Syli national."

Gigliotti gigote encore !

05/11 13:26

Plus de trois ans après sa dernière apparition en L1 contre le VAFC de Renaud Cohade, David Gigliotti a participé hier à la défaite d'Ajaccio contre l'OM. Entré en jeu à la 56ème minute, l'ancien attaquant stéphanois s'est uniquement illustré en donnant un coup de coude synonyme de carton jaune.

Un départ en mode allegro...mais pas exceptionnel

05/11 12:21
3 victoires en une semaine, ça n'arrive pas souvent, mais ça ne fait pas si longtemps que ça : souvenez-vous, ce fameux automne 2010, et ce hold-up savoureux à Gerland, 3 jours après la victoire 2-0 contre Nice et 7 après la correction 3-0 infligée à Montpellier... qui avait été suivie d'une série noire de 10 non-victoires en 11 matches.

Certes, le jeu proposé est d'une qualité meilleure et le potentiel de cette équipe-là pourrait nous faire chavirer. Mais nous n'en sommes qu'à l'emploi du conditionnel - et restons-y pour le moment, car les chiffres bruts ne donnent pas l'impression d'un début de saison hors du commun.

En effet, la stat est amusante, depuis la remontée l'ASSE est une sorte de métronome à deux temps après les onze premières journées :
- en mode piano, les Verts obtiennent 9 ou 10 points, comme en 04/05, 08/09 et 09/10
- en mode allegro, les Verts obtiennent entre 16 et 18 points : c'est le cas des six autres saisons, avec une belle régularité à 17 points lors des 3 saisons consécutives 05/06, 06/07 et 07/08.

Le plus drôle, c’est que cette stat se vérifie aussi lors du (trop) court passage en L1 sous l’ère Bompard : 16 points en 99/00, et 10 points en 00/01 !

Si le millésime 12/13 est le meilleur depuis le début du millénaire (et de la période Galtier), il le doit à sa différence de buts, qui est certes impressionnante, avec la meilleure attaque de la période (1 but de plus que celle menée par Alex, Aloisio, Pédron et Guel en 99/00) et la deuxième meilleure défense (1 but d’écart avec le bloc Janot –Diawara, Hognon, Camara, Ilunga-Zokora).

On peut enfin remarquer que le mode allegro ne détermine pas du tout le classement final (à l'inverse du mode piano, qui à une exception près nous condamne à jouer le maintien), qui jusqu’à présent s’est échelonné de la 5è à la 13è place. Galette a une belle opportunité d’ajouter une nouvelle ligne à son Book of Records…

Lecomte est bon face au leader

05/11 12:01

Auteur de son quatrième pion de la saison, l'ancien capitaine des U19 stéphanois Raphaël Lecomte (24 ans) a marqué ce week-end le troisième but de la victoire de Visé contre le White Star Woluwé, leader de D2 jusqu'alors invaincu.

 

Egalement titulaires, nos autres ex évoluant Outre-Quiévrain se sont aussi imposés très facilement : Yohan Andreu (Mouscron) a explosé Eendracht Alost 4-0 tandis que Romain Reynaud (Courtrai) a écrasé Lierse 4-1.

Les Verts cartonnent peu

05/11 10:25
Tellement peu, d'ailleurs, que sauf expulsion, personne ne sera suspendu après la réception de Troyes - Fabien Lemoine ayant échappé à la patrouille une fois encore contre le PSG. Le tableau des suspensions d'ozzy en est presque immaculé !

Champagne pour le Sphinx !

05/11 09:47

Dans la dernière édition du Progrès, Robert Herbin revient sur la victoire des Verts au Parc.

 

"J’ai vécu une belle fin d’après-midi. J’étais avec des amis. On a ouvert une bouteille de champagne (...) Le résultat est logique, la victoire tout à fait normale. Cette rencontre doit être gardée en exemple. Les Verts étaient concentrés, ils ont fait beaucoup d’efforts et ont fait preuve d’une grande solidarité. À chaque fois qu’un joueur était en difficulté, il y avait toujours un de ses coéquipiers pour couvrir. C’est ce qui fait la force d’une équipe et ce n’est pas souvent que l’on voit ça. On a senti un véritable esprit collectif.

 

À Paris, le collectif est téléphoné. Les joueurs se considèrent comme des stars, ils sont tellement imbus d’eux-mêmes qu’ils font toujours « leur cirque » pour montrer qu’ils sont bons. Ça ralentit le jeu et ça n’apporte rien. Face à cette équipe, on ne s’est jamais affolé quand on récupérait le ballon. Il y avait de l’assurance. Une cohésion est née. Il faut conserver tout cela. L’ASSE a désormais un statut. Il ne faudrait pas que cette victoire réveille chez les joueurs la volonté de briller individuellement. Ils doivent conserver à tout prix cet esprit d’équipe."

Sanogo aime les poteaux

04/11 23:28
Bien aidé par les poteaux, Boubacar Sanogo a réalisé un doublé cet après-midi sur le terrain de Bochum, qui a arraché sur le fil le point du nul lors de la 12ème journée de D2 allemande. Après avoir ouvert le score d'un joli coup de tête, Bouba a mis le but du break en renard des surfaces. L'ancien attaquant stéphanois, qui a déjà claqué huit pions en onze matches de championnat cette saison (encore plus fort qu'Aubame !), occupe actuellement la 3ème place (barragiste) du classement avec l'Energie Cottbus.

Canal plus d'audience avec les Verts !

04/11 22:12
Comme l'a souligné aujourd'hui le site Toute la Télé, la victoire des Verts diffusée hier en direct sur Canal+ a pulvérisé tous les records d’audience. Ainsi, 1,15 million de téléspectateurs ont vu les Verts mettre la misère au QSG, soit 34.2% de part de marché auprès des abonnées à la chaîne cryptée.

La performance du 20 octobre dernier, réalisée par PSG / Reims, est battue (992 000 téléspectateurs).

Canal+ devance ainsi les différents programmes de France 2 (Hercule Poirot, Roumanoff et les garçons) et talonne ceux de M6 (Jamais sans mon chien et Accès privé).

Roro a la trique

04/11 21:34

"Ça fait toujours plaisir de gagner. Mais quand vous voyez un club qui a un budget six fois supérieur au vôtre et qui n'a que des grands joueurs, ça vous fait bander de le battre. Il n'y a pas beaucoup d'équipes qui gagneront au Parc des Princes et Paris sera champion cette année. C'est un match référence pour nous", a déclaré Roland Romeyer aujourd'hui à l'antenne de RMC.

Malbranque corse l'addition

04/11 21:16

Devancés par Sainté à la différence de buts avant d'affronter les Bastais, les vilains se sont imposés 5-2 face au promu corse en début de soirée. Dans le temps additionnel, Steed Malbranque a délivré une passe décisive avant de marquer sur penalty contre Sylvain Marchal (titulaire) et Julien Sablé (entré en jeu à la 85ème). C'est le premier pion claqué cette saison par l'éphémère ancien vert sous ses "nouvelles" couleurs. Son dernier but en L1 remontait au 27 janvier 2001.

Des Vertes et des plus mûres

04/11 17:05
L'équipe féminine a mieux résisté que d'habitude aux Vilaines cet après-midi, ne s'inclinant "que" 0-3 à Andrézieux-Bouthéon sous les caméras d'Eurosport en présence d'un Roro qui n'a pas tari déloges sur la gardienne stéphanoise Méline Gérard...

La vidéo des buts : Amazones 0 - Gorgones 3

Albi joie pour la CFA

04/11 16:59
Vous avez pu suivre le rencontre en direct sur notre forum grâce aux potonautes Hampden Park 1976 et Kevlevert, nos envoyés spéciaux à l'Etrat : l'équipe réserve de l'ASSE a enfin connu la joie de la victoire (3-1) en s'imposant 3-1 contre Albi cet après-midi.

Sur un coup franc rentrant très bien tiré par Danijel Aleksik côté droit, Maxence Chapuis a ouvert le score de la tête dès la 6ème minute de jeu avant de lancer en profondeur Kevin Mayi, qui a profité d'une mésentente entre le gardien albigeois et son défenseur pour mettre le but du break à la 26ème. Danijel Aleksic a failli tuer le match cinq minutes avant la pause mais le portier tarnais a arrêté la reprise de volée de l'attaquant serbe.
 
Les visiteurs ont réduit le score à la 65ème minute, l'attaquant remportant son duel avec Ben Karamoko avant de dribbler Jessy Moulin. Sur un cafouillage consécutif à un coup franc de  de Romain Spano côté gauche, Sidy Sagna a marqué avec rage le troisième but stéphanois à la 69ème d'une frappe puissante à mi-hauteur.

Les Verts profitent de ce premier succès pour sortir de la zone rouge et remonter à la 13ème place du classement.

La compo : Moulin - Aguilar, Chapuis, Karamoko, Nyemeck -  Chergui, Sagna, Milla - Spano, Aleksic (Tack, 61'), Mayi.

La réaction de Jean-Philippe Primard : "C'est notre première victoire, il était temps ! On a fait une bonne première période récompensée par deux buts. On aurait même pu se mettre à l'abri en mettant un troisième but avant la mi-temps. Dans le jeu on était bien, défensivement on était solide. On a eu du mal à redémarrer la seconde période, Albi n'a rien lâché et y croyait. Il a fallu être solidaire jusqu'au bout. C'est une belle victoire même si on a alterné les bonnes et les moins bonnes périodes pendant ce match. Notre victoire est méritée aussi bien sur ce match que sur l'ensemble des rencontres qu'on a disputées à domicile depuis le début de saison.On n'avait pas toujours été payé de nos efforts, cette fois on est récompensé et j'estime que c'est tout à fait logique. On est sur une série de cinq matches sans défaite. On est dans une dynamique et on a marqué des buts. On va essayer de progresser dans le jeu en s'efforçant d'être performant individuellement et collectivement. Cette première victoire est un soulagement mais ce n'est que justice. C'était injuste de ne pas avoir remporté le moindre match en neuf tentatives. Mais en même temps c'était parfois un peu de notre faute, on péchait par maladresse, parfois on a payé cash nos erreurs. Il nous manquait un petit quelque chose. Aujourd'hui on a su s'imposer, j'espère que cette victoire en appellera d'autres."

The Magnificent Seven

04/11 10:03

Invité ce soir au Canal Football Club, Aubame a marqué hier son septième pion de la saison en L1. A l'issue de la rencontre, le numéro 7 des Verts s'est confié au site Sport24. "Je ne savais pas si j’allais commencer ou pas. Le coach a fait son choix. J’étais un peu fâché (sourire). C’est normal, je suis un compétiteur. J’ai essayé de rester concentré et de donner le maximum quand le coach ferait appel à moi. Et ça c’est bien passé." Dès hier soir, Aubame a d'ailleurs rendu hommage à son entraîneur via son compte twitter : "Bien sûr un grand MERCI au coach Galtier qui me comprend et me connaît mieux que personne".

 

Le bourreau des Parisiens a également livré sa réaction au Progrès : "Sur le premier but, je veux centrer fort, le ballon est dévié sinon il ne rentre pas. Sur le second, je ne me suis pas précipité ce qui n’aurait sans doute pas été le cas il y a quelque temps. J’étais confiant lors de ce duel. Rattraper Ibra au classement des buteurs ? (Rires). Non, mon objectif est de faire mieux que la saison dernière."

 

Pour rappel, PEA avait claqué 16 pions et n'en avait "que" 4 à son compteur au même stade de la saison.

Néry repart du bon pied

04/11 09:53

Malgré son exploit au Parc, l'ASSE est désormais devancée au classement par le VAFC, qui a conforté son statut de meilleure attaque du championnat en collant à son tour trois pions aux Lionceaux. Eloigné des terrains pendant trois semaines à cause d'une déchirure au mollet, Loris Néry a été titularisé pour la première fois de la saison sur le côté droit de la défense alors qu'il avait joué à gauche les huit premières journées. L'ancien latéral stéphanois évoque ce repositionnement, sa blessure et ses ambitions dans un court entretien publié dans La Voix du Nord.

 

"Normalement, c'est plus facile pour moi à droite, même si j'aime bien aussi jouer à gauche. J'essaye d'apporter un maximum de centres, de me montrer sur le côté droit. Matthieu Dossevi joue plus dans la profondeur. Gaël Danic aime avoir le ballon et percuter balle au pied. On a moins d'automatismes, mais je sais comment Matthieu aime avoir les ballons. Et de ce côté-là, je suis sur mon bon pied. Ça me permet de jouer plus vite, en première intention. À gauche, l'adversaire s'attend à ce que je revienne sur mon pied droit. Ma blessure ? Ça a été un peu dur. J'étais bien, j'enchaînais les matchs, j'avais le rythme. Ça a été un vrai coup d'arrêt. Bon, ça m'a aussi permis de souffler un peu, mais j'aurais préféré être sur le terrain. On essaye de jouer au ballon, on produit du beau foot et on parvient à rester costauds défensivement. Ça confirme ce que j'avais vu avant de venir. Il y a un bon état d'esprit et un effectif travailleur. Il est trop tôt pour dire que nos ambitions sont revues à la hausse. L'objectif, c'est de gagner, et de rester dans la première partie de tableau. On veut se sauver le plus tôt possible. Après, bien sûr, il faudra être ambitieux."

Bauthéac prend son Pied au Ray

03/11 22:39

Comme il y a deux semaines contre les Verts, Eric Bauthéac a marqué ce soir au stade du Ray sur un centre côté droit du vilain Jérémy Pied. Mais cette fois-ci l'ancien pensionnaire de l'Etrat a donné la victoire à son équipe contre Nancy. C'est le quatrième pion claqué cette saison par l'ailier gauche des Aiglons.

Machado nouveau dieu de l'Olympe

03/11 21:36
L'Olympiakos a conforté sa place de leader du championnat grec en s'imposant ce soir 2-0 lors de la 9ème journée contre l'OFI Heraklion. Passeur décisif sur l'ouverture du score, Paulo Machado a ensuite inscrit son premier but sous ses nouvelles couleurs sur un joli coup franc excentré.

Bayal est plus fort que Zlatan

03/11 20:52

"J'avais des consignes pour énerver Zlatan et casser ses appels en profondeur, a déclaré Bayal Sall à Eurosport à l'issue de la retentissante victoire des Verts au Parc des Princes. "Je l'ai senti énervé. Il m'a mis des coups de coude. Il ne parle pas français. Il insulte et il dit tout ce qu'il veut" a ajouté le colosse stéphanois, dont la dernière titularisation avec les Verts en L1 remontait au 29 mai 2011 (contre... le PSG). 

Sainté gagne son Paris

03/11 19:12
Les Verts ont créé l'exploit en s'imposant 2-1 au Parc face à un QSG jusqu'alors invaincu cette saison en France. Entré en jeu à la 52ème minute à la place de Romain Hamouma, Aubame a une nouvelle fois été décisif. Auteur du centre sur le csc de Mamadou Sakho, il a doublé la mise sur une passe d'Alejandro Alonso après l'expulsion méritée d'un obscur karateka suédois. Guillaume Hoarau a réduit le score en fin de match.

La vidéo des buts : QSG 1 - ASSE 2

Brandao, un guerrier philosophe et poète

03/11 16:34

Avant d’affronter le QSG, Brandao s’est longuement confié dans la Pravda du jour. Un entretien trop puissant, beau comme du Paulo Coelho. Extraits.

"J’ai besoin de travailler pour ma famille. Que je sache, la vie n’est facile pour personne. Vous aussi, vous êtes un guerrier. Tous les gens qui sont en vie et en bonne santé sont des guerriers. Car chaque jour, tu dois lever la tête, suivre ton chemin et continuer à avancer. C’est le destin de l’homme de parvenir à surmonter la difficulté. Je l’ai encore vérifié lors de ma dernière histoire. Cette affaire a duré deux ans. Les gens m’ont critiqué sans savoir que, pendant ce temps-là, je souffrais. Mais je savais depuis le début que j’étais innocent. La justice l’a prouvé. Ça a été une expérience très amère à vivre. Aujourd’hui la vie à un goût de miel.

Je sais qu’on me reproche de ne pas être assez technique. Je fais mon travail et je dors tranquille, après avoir donné mon maximum. Parler, c’est facile. Ça ne m’a jamais préoccupé. Moi, je montre sur le terrain. Les gens se moquent trop des autres. Ils feraient mieux de parler moins et de travailler plus. Chacun a son talent et sa façon de se mettre en avant. Je ne veux être comparé à personne car je suis unique. Regardez mes doigts. Vos voyez mes empreintes digitales ? Personne ne possède les mêmes. Pourquoi ? Parce qu’elles sont uniques. Cela prouve que chaque homme l’est aussi.

Je suis resté en France pour prouver ce que je vaux. Pas aux autres, à moi. Pour continuer à avancer. Saint-Etienne a été le seul club à me tendre la main. C’est un grand club, dans lequel a évolué Michel Platini, très connu au Brésil, ainsi que des compatriotes comme Alex et Aloisio. J’ai consenti des efforts financiers pour les Verts. Nous avons trouvé un accord mutuel
[ndp2 : selon la Pravda, il touche 67.500 € bruts mensuels de salaire fixe, plus une part variable en fonction des résultats]. Ma fin de carrière rêvée, ce serait de gagner un titre avec Saint-Etienne. Peu importe lequel. Après, je retournerai au Brésil vivre auprès de ma famille. Du moins, je l’espère. Car la vie change toujours de direction. Elle est comme les nuages : un jour ici, un autre ailleurs."

Laurey grave

03/11 13:44

Croqué 4-1 par les Crocos hier soir aux Costières, Arles-Avignon a concédé sa sixième défaite d'affilée. "Il semble désormais ne faire guère de doute que l'entraîneur Thierry Laurey, sous contrat jusqu'en juin prochain, devrait être débarqué durant le week-end" peut-on lire aujourd'hui dans La Provence.

Un Ange passe dans le Figaro

03/11 11:24
Avant le choc QSG-ASSE, Dominique Rocheteau s'est confié au Figaro. Extraits.


"On débarque à Paris sereins et sans pression particulière. Nous avons 15 points, on s’est qualifié pour les quarts de finale de la Coupe de la Ligue. L’état d’esprit est très bon. La confiance est là. Maintenant, on sait qu’en face il y a une très grosse équipe. Notre début de saison est plutôt positif à plusieurs points de vue. On pratique un beau jeu en allant vers l’avant. On possède un potentiel offensif assez intéressant. Le travail de fond paye. On est la quatrième attaque et la deuxième défense de Ligue 1. Cela prouve une certaine constance et une certaine solidité. On a malheureusement laissé échapper quelques points à Geoffroy-Guichard. Je pense à cette défaite contre Sochaux à la dernière minute. Cela laisse d’autant plus de regrets quand on voit comment on a dominé cette équipe en Coupe de la Ligue (3-0).


L'objectif cette saison est d'atteindre le Top 5. Puis se stabiliser à ce niveau-là. On n’a pas les mêmes moyens que Marseille, Lyon ou Lille. Mais, avec notre politique qui mise sur la stabilité, on peut atteindre cet objectif. Christophe Galtier sait fédérer un groupe autour de lui, se faire respecter par celui-ci. C’est déjà un grand entraîneur. On travaille en confiance. C’est primordial pour moi. On développe avec Laurent Batlles et Thierry Oleksiak notre cellule de recrutement. On se doit de recruter malin. François Clerc et Renaud Cohade, par exemple, sont arrivés libres. On a su­ ­aussi attitrer Romain Hamouma, de Caen qui était sollicité par des grands clubs.


Le fait que le PSG attire des joueurs de classe mondiale est quelque chose de positif. J’aime cette équipe. C’est mon club de cœur avec Saint-Étienne. Mon club préféré est celui avec lequel je suis actuellement ! Je ne me voyais pas ailleurs qu’à Paris ou à Saint-Étienne. J’ai fait sept ans avec les Verts, huit ans avec Paris. L’image qui reste, pour les gens, c’est plus le Rocheteau de Saint-Étienne. Pourtant, j’ai aussi gagné des titres avec le PSG. J’ai vécu de grands moments pendant la présidence de Francis Borelli. J’ai côtoyé des très grands, comme Susic. J’ai failli ensuite aller à Paris à l’époque de Denisot. Cela ne s’est pas fait, puis j’ai eu l’opportunité il y a deux ans et demi de rejoindre les dirigeants de Saint-Étienne."

Surface à face

03/11 09:40

Le QSG/Sainté de cette fin d'après-midi sera l'occasion d'assister à un match dans le match entre Zlatan et Aubame. Selon une statistique d'Opta relayée aujourd'hui par Eurosport, le meilleur buteur des Verts est le joueur de Ligue 1 à avoir touché le plus grand nombre de ballons dans la surface de réparation adverse (63) devant le géant suédois (59).

Priorité au quart !

03/11 09:06

Dans la dernière édition du Parisien, Christophe Galtier évoque la double confrontation avec le QSG.

"J'espère gagner ces chocs contre Paris. On joue pour ça. Après, ce sera difficile, on y va avec humilité. Pour nous, la priorité, c’est ce quart de finale. En Coupe, tu ne peux pas rattraper, en championnat, si..."

Galette est toujours vert mais il a mûri ! (2)

03/11 08:55

La première tranche de Galette vous a plu ? On vous en ressert une autre ! Suite et fin des meilleurs extraits de son interview parue hier dans France Football.

 

"Je n’aime pas le sentiment de fierté. J’essaie juste de combattre cette image d’entraîneur défensif qu’on a voulu me donner à un certain moment. Parce que les chiffres prouvent le contraire. Et parce que j’essaie toujours, quand je prépare un match, de savoir quel problème je vais pouvoir poser à l’adversaire pour lui marquer des buts. Ça a été mon leitmotiv dès que j’ai pris l’équipe en décembre 2009, parce que je savais que, pour se sauver, on devrait gagner des matches et donc marquer des buts. J’ai alors rajouté un attaquant, Manu Rivière, pour évoluer en 4-4-2. Et c’est lui qui nous marque le but du maintien, à Boulogne.

Existe-t-il un style Galtier ? Je ne suis pas le mieux placé pour répondre. Ce qui est sûr, c’est que je m’adapte moins qu’auparavant à l’adversaire. Plus du tout, même. C’est le fruit de l’expérience. Plus tu fais de matches, plus tu prends confiance. J’aimerais rapporter un trophée ici. Mais c’est très difficile, parce que tout le monde veut ramener un titre. Et parce que le fait d’avoir failli descendre l’année où on a joué la Coupe d’Europe m’incite à la prudence. Or, quand on est très prudent, on est un peu moins dans l’ambition. Mais on grappille des points au fils des saisons. On a fini septièmes la saison dernière et on espère faire encore mieux cette saison. Y compris dans le jeu. On a fait un meilleur début de saison que l’an dernier. Dans le jeu, c’est sûr et certain. On se crée plus d’occasions. On joue. Quitte à prendre trop de risques. Cela ne nous a pas souri contre Sochaux ou Reims, mais c’est quelque chose que je ne veux plus perdre. C’est le résultat d’une remise en question totale opérée après le non-match à Toulouse. J’ai pris douze joueurs en tête à tête à l’Etrat, à l’extérieur de mon bureau, et je les ai écoutés. Parce que je pars du principe que, si un joueur important te dit qu’il est plus à l’aise à un poste précis ou dans une façon de jouer, tu dois lui donner satisfaction. Ça, je l’ai appris de mon passage pas loin d’ici. C’est comme ça, à travers ces entretiens, que j’ai su qu’on ne pouvait pas continuer en 4-2-3-1 parce que Renaud Cohade est plus à l’aise dans un triangle avec une base défensive. C’est pour ça que je suis passé en 4-3-3. J’en ai déduit aussi que Loïc Perrin serait plus à l’aise en défense centrale que sur le côté droit.

Mes enfants ont l’âge de mes joueurs. Je vois comment ils réagissent quand je leur dis que tel joueur a acheté une voiture ou telle sacoche Vuitton : « Mais papa, si j’avais leur argent, je me paierais les mêmes choses pour me faire plaisir ! » Là, t’es obligé d’en conclure que tes joueurs sont normaux. Ils profitent de ce qu’ils gagnent. Ils font aussi des conneries, c’est vrai, mais mes gosses en font aussi. Et mes joueurs ne devraient pas en faire parce qu’ils sont médiatisés ? Alors qu’ils sont dans la compétition depuis l’âge de quatorze ans et donc sujets au stress tous les jours ? Pas d’accord ! Mes joueurs, je les aime. Mais je ne suis pas naïf. S’ils enfreignent les règles de vie du groupe, ou s’ils persistent dans leurs conneries, je les sanctionne lourdement. Même si c’est le meilleur joueur !

J’adore préparer une saison. Refaire un vestiaire juste après la fin du championnat, pendant que les joueurs sont en vacances. Comme un puzzle à construire. Qui on va faire partir, qui on va garder, qui on va faire rentrer, etc. J’aime cette période. Elle m’excite. J’adore la mise en place d’une stratégie pour convaincre un joueur de venir, alors que tu as moins d’argent que les autres ou que tu ne veux pas sortir de la grille des salaires que tu as mise en place il y a deux ans. L’exemple, c’est Romain Hamouma. Quand je le rencontre avec les gens du directoire, je sais que je dois être convaincant parce qu’on n’est pas les seuls sur le coup. Je dois vendre mon projet sportif et l’état d’esprit des joueurs qui composeront l’effectif en me servant d’exemples récents, comme Matuidi ou Payet, qui sont devenus internationaux sous le maillot vert. Et ça, ça se prépare. Parce qu’il faut être bon. Et je trouve que je m’améliore.

Il y a deux choses que je déteste. La première, c’est que la presse a beaucoup changé. Aujourd’hui, tu ne sais plus à qui tu as affaire. Tu as parfois un mec de vingt-cinq ans qui te fracasse sans connaître les tenants et les aboutissants d’une décision que tu as prise. Ça, ça me gêne. Pas pour moi mais pour mes proches. La seconde, c’est que je suis devenu un homme public et que j’appartiens aux gens. Et là, il n’y a plus d’intimité. Aujourd’hui, avec le téléphone, on te filme pendant tes vacances et tu retrouves le soir même les images sur les réseaux sociaux avec un commentaire du style : « Tiens, Christophe Galtier est à tel endroit. » Et si je ne souhaite pas que mes dirigeants sachent où je suis ? Je l’ai vécu l’été dernier au Club Med. Je suis entraîneur de foot, quoi, pas une star !"

Un vendredi chez Fouss

02/11 21:46

Pour la 5ème fois de la saison (!), les Verts joueront un vendredi à 20h45 le 30 novembre à Ajaccio en match d'ouverture de la 15ème journée. Ils retrouveront à cette occasion Fousseni Diawara, complimenté par Carl Medjani comme par Jérémie Janot dans la dernière édition de France Football.

 

"C'est une très bonne année pour lui" analyse son coéquipier de la défense ajaccienne. "Fouss, je ne le vois pas comme les autres. On s'est connus à Saint-Etienne, il était pro alors que j'étais encore au centre de formation. Je me souviens que je prenais le bus pour aller l'encourager. Je suis fier de jouer avec lui. C'est un vrai défenseur, avec une grosse capacité à répéter les efforts. Mais pas seulement. Il est aussi un vrai renard des surfaces. Il a le sens du but. Vous pouvez être sûr qu'il n'est jamais bien loin des ballons qui retombent dans la surface. C'est inné, il attire la balle. Fouss nous apporte son calme, son expérience, ses buts, mais aussi sa musique. C'est le DJ de l'ACA." 

 

"C'était mon soldat chez les Verts" se souvient le gardien manceau. "Un mec sur lequel tu peux compter de la première à la trente-huitième journée et de la première à la quatre-vingt-dixième minute. Tu sais qu'il va défendre, qu'il va imposer un défi physique à son attaquant. Je me sentais rassuré quand il était sur le terrain, c'était un régal. En plus il marque des buts. Il est redoutable sur les coups de pied arrêtés." 

Un Ange passe sur RMC

02/11 18:09

Dans une interview accordée cet après-midi à RMC, Dominique Rocheteau a évoqué le match que les Verts joueront au Parc des Princes demain à 17h00. Extraits.

 

"Un plan anti-Ibrahimovic ? Quand on voit l’effectif du PSG, c’est impressionnant. Il faudrait faire un plan pour tous les joueurs. Donc je ne pense pas qu’il y en aura. Blaise Matuidi était l’un de nos meilleurs joueurs. Il a énormément de qualités. A la récupération, il est tout simplement énorme. Il a gagné en confiance. Quand on côtoie des grands joueurs, on progresse. Demain, pour nous, ce sera un match de Coupe d’Europe. De ce point de vu là, Brandao pourra nous apporter son expérience, sachant qu’il a joué au Chakhtar Donetsk et à l’OM. On arrive au bon moment au Parc, on reste sur une belle série. On va arriver là-bas libéré, sans pression. On ne regarde pas la 5e place. On est dans cet état d’esprit. La saison dernière, on a toujours perdu contre les gros. On aimerait ne pas être frustré à la fin du match. On est capable de faire un résultat, j’en suis certain."

Galette est toujours vert mais il a mûri !

02/11 17:46

Christophe Galtier va enchaîner demain son 109ème match de L1 en tant qu'entraîneur de l'ASSE. Depuis Robert Herbin (114 matches da'ffilée de 1987 à 1990), aucun entraîneur n'avait réalisé une série aussi longue à la tête de l'ASSE. Avant un déplacement au Parc qu'il qualifie d'"excitant", Galette a accordé à à France Football une longue interview dont nous vous proposons les meilleurs extraits.

 

"Le 15 décembre, ça fera trois ans que j’entraîne les Verts ? Encore faut-il que je tienne jusque là ! (rires) Ça signifiera que j’ai trois ans d’expérience dans cette fonction-là. Or ce n’est pas rien de rester autant de temps dans un club aussi exposé que l’ASSE. Je ne suis pas fier, c’est juste un plaisir. Je suis content d’être là et de progresser au fil des saisons. La plupart des entraîneurs estiment qu’on ne peut plus rester deux ou trois saisons dans un même club. On me le dit, ou plutôt on me le rappelle, parce qu’on ne m’apprend rien. Mais n’est-on pas plutôt entrain de se tourner vers ce qui se fait à l’étranger, notamment en Angleterre, où les entraîneurs restent très longtemps en place pour développer un réel projet ? On a de nombreux exemples en France avec Christian Gourcuff à Lorient, Jean Fernandez qui a fait cinq ans à Auxerre, Fred Antonetti qui en est à sa quatrième année à Rennes, Casanova à Toulouse… Peut-être que les clubs n’ont plus les moyens de virer un entraîneur avant la fin de son contrat, ça fait sans doute partie de la réflexion des dirigeants. Mais… Quand un chef d’entreprise dispose d’un bon élément qu’il a lui-même formé et qui donne entière satisfaction, il ne cherche pas à le remplacer sous prétexte qu’il est là depuis longtemps. Pourquoi ne raisonnerait-on pas pareil dans le football ? Je ne m’estime pas bientôt en fin de cycle (…) Comme joueur puis comme entraîneur adjoint, j’ai beaucoup bougé. J’ai beaucoup observé et écouté. Quand j’ai pris la succession d’Alain Perrin il y a trois ans, j’avais déjà eu ma dose d’expériences. Alors aujourd’hui, pourquoi bouger ? Si on est content de moi et si le projet du club me correspond parfaitement, pourquoi irais-je voir ailleurs ? Je rappelle que je suis à l’A .S. Saint-Etienne ? Pas n’importe où.

Pour renouveler mon discours au fil des saisons, j’échange beaucoup au téléphone avec Didier Deschamps, Alain Perrin, Gérard Gili et aussi Jean-Pierre Bernès, qui est très important pour moi. J’essaie aussi, depuis la saison dernière, d’aller voir ce qui se passe dans d’autres clubs. L’an dernier je me suis rendu à Liverpool dans le cadre de mon DEPF, et j’ai énormément échangé avec Steve Clarke, l’adjoint de Dalglish, qui était celui de Mourinho à Chelsea. Cette saison, je rêve de passer trois jours au Real pour observer Mourihno et dialoguer avec lui. C’est précieux pour mes causeries. Mais il n’y a pas que le discours. Il y a tout ce que tu peux amener au quotidien. Quand j’ai démarré, je faisais une semaine d’entraînement classique calquée sur ce que j’avais connu avec Gérard Gili et Alain Perrin. J’ai rompu ce classicisme en imposant une journée de repos après chaque match. Le décrassage, c’est désormais le lundi après-midi. Le dimanche, je veux que mes joueurs et mon staff soient en famille. En semaine, j’ai aussi demandé aux joueurs de venir prendre leur petit-déjeuner en commun de 8h30 à 9h00, avant chaque entraînement. Je n’ai rien inventé. C’est un moment de convivialité qui me laisse le temps, puisque l’entraînement ne commence qu’à 10h00, de réajuster ma séance de travail si je constate qu’un joueur est un peu malade ou fatigué. Du coup, comme on est ensemble tous les matins, je ne fais plus de mises au vert, sauf si le match est à 14h00 le dimanche.

Ibrahim Ba a déclaré « qui aurait cru que Christophe Galtier réussirait à Saint-Etienne ? » C’est normal. J’ai été adjoint pendant dix ans. Quand j’ai pris le poste, l’ASSE était 17ème avec 15 points. Alors, forcément, je trouve assez logique que les gens se soient interrogés sur le choix du club de confier la mission de sauver l’équipe à un adjoint. Je ne me suis jamais offusqué d’entendre ou de lire ce genre de truc. C’est sûr que, derrière, il y a aussi mon passé d’adjoint à Marseille et cette suspension de six mois écopée dans l’affaire Gallardo. Les gens se sont sans doute dit : « Tiens, c’est un bagarreur, un sanguin. » On me collait, et on me colle encore parfois une étiquette que je ne pense pas mériter. Dans cette histoire, j’ai été attaqué assez durement, alors que personne n’était au courant de ce qui s’est passé. C’est devenu ma source principale de motivation. Je me suis juré de montrer que je ne suis pas celui que l’on décrit. J’essaie de bien me faire comprendre. Je ne suis plus l’adjoint de 33 ans qui vient juste d’arrêter sa carrière. Treize ans ont passé depuis ce moment, pendant lesquels j’ai beaucoup mûri. Gérard Gili me disait toujours : « Avant de prendre une décision, pèse le pour et le contre et évalue toujours l’incidence qu’elle pourrait avoir. » Je me suis aperçu qu’à chaque fois que je sortais de mes gonds, que je régissais à chaud, j’étais nul. La dernière fois, c’est quand j’ai estimé qu’il n’y avait pas carton rouge sur le tacle de Brison sur le Sochalien Camara. Dans ces cas-là, il faudrait que quelqu’un m’empêche de sortir de la pièce."

Infirmerie pleine ? Pas de problème !

02/11 16:46
Ce qu'il y a de bien avec le PSG, c'est qu'il y a tellement de joueurs qu'on ne voit même pas les absents. Il manquera en effet demain Nene, Gameiro, Armand, Thiago Motta, Lavezzi et Lugano, ce qui n'est pas peu.

Néanmoins, le 11 parisien pourrait ressembler à ça :
Sirigu - Van der Wiel (ou Jallet), Thiago Silva, Alex (ou Sakho), Maxwell - Verratti, Matuidi, Sissoko (ou Chantôme) - Pastore, Menez, Ibrahimovic. Y a pas à dire, les pétrodollars, c'est pas inutile.

Le groupe complet :
Sirigu, Douchez - Alex, Sakho, Silva, Camara, Tiéné, Van der Wiel, Jallet, Maxwell, Sissoko, Verratti, Chantôme, Matuidi, Bodmer, Pastore - Hoareau, Ibrahimovic, Menez, Luyindula.

Aubame embarque pour le Parc

02/11 16:20

Remis de sa béquille, Aubame fait partie du groupe stéphanois qui affrontera le QSG demain à 17h00 au Parc des Princes.

 

Ruffier, Moulin - Clerc, Mignot, Perrin, Sall, Brison, Ghoulam - Clement, Cohade, Guilavogui, Lemoine, Alonso - Gradel, Brandao, Hamouma, Aubameyang.

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