Ched' jouera peut-être dimanche
21/05 10:01
Blessé à la cuisse et sorti juste avant la mi-temps à Montpellier samedi, le défenseur Lillois Aurélien Chedjou semblait condamné à rater la "finale" contre les Verts dimanche soir. Pas si sûr à en croire la Voix du Nord qui ce matin explique que le Camerounois "pourrait être présent." car s'il a "ressenti une douleur derrière la cuisse droite après une accélération" il "n'a pris aucun risque en sortant de suite. Sa contracture est légère et n'a pas nécessité d'examens complémentaires. Le défenseur sera aux soins cette semaine et fera le maximum pour ne pas manquer ses adieux." (ndp² : Chedjou devrait quitter Lille en juin).
Thomas, des Verts aux verres
21/05 08:14
Pogba veut replanter chez lez Nantais
21/05 07:45
Galette joue la prolongation (2)
20/05 20:31
Kayaci reste ici
20/05 17:27
Dès lors, le football français se trouve devant un paradoxe : il forme des joueurs mais les moyens juridiques sont insuffisants à protéger ses investissements dans la formation contre la convoitise des clubs étrangers.
La situation est telle qu'aujourd'hui, les clubs étrangers sont avantagés par rapport aux clubs français puisqu'un joueur ayant refusé de signer son premier contrat professionnel sera moins onéreux pour un club étranger que pour un club français."
Il se sauve avant le derby, Bibi !
20/05 16:04
C'est reparti pour Piatti !
20/05 12:53
Pedretti voit rouge
20/05 09:30
Blaise balaye Brest
20/05 09:01
Postigoooooooal !
20/05 08:40
Gonza & Bouba, deux flops au top
19/05 23:14
Herbin alors ?
19/05 22:14
U19: des Verts baths lattent Lattes.
19/05 20:48
Un nouveau trophée pour Galette !
19/05 20:45
Guillou ! Guillou ! Guillou !
19/05 19:43
Jouer à l'ASSE, c’était l’accomplissement d’un rêve. Connaître de l’intérieur cette ambiance, cette ferveur, ce poids de l’Histoire. Je mentirais si j’affirmais que je suivais tous ces exploits à la télévision, en 1976 j’avais 6 ans. Des amis français de Roanne vivant à Fribourg m’ont fait découvrir l’A.S.S.E. Nous allions voir les matchs à Sochaux, Metz, Strasbourg, Mulhouse. Quelques fois, nous allions à Geoffroy-Guichard. Un rêve de gamin adolescent se réalise.
Lors de la saison 97/98, l'ASSE lutte pour ne pas descendre. Je vis très mal la situation. D’autant plus qu’après des débuts intéressants, j’ai dû m’occuper de ma fille. Je suis allé voir le club en lui expliquant que ma priorité n’était plus le foot. J’ai disparu des écrans radars. Ma fille, ma femme avaient besoin de moi. J’ai demandé au club de me libérer de mes obligations professionnelles. Je pouvais venir aux entraînements quand je le souhaitais. Je ne jouais qu’uniquement en réserve. Les dirigeants et le coach ont été formidables. Je suis revenu vers la fin du championnat. Nous nous sommes sauvés en perdant à Lille mais Réginald Ray du Mans avait fait l’essentiel.
La saison suivante s'est achevée par la remontée en D1. Comme souvent, je n’étais pas un titulaire indiscutable au départ. Mais, je me sentais redevable. Je voulais faire partie de l’aventure, apporter ma modeste contribution au nouveau départ des Verts. Alain Bompard a compris mon mode de fonctionnement. Gérard Soler a été formidable avec moi. Le coach Nouzaret a relancé la machine. Un brin de nostalgie quand on évoque ce triumvirat à l’origine de la renaissance du Peuple vert.
Je garde de formidables souvenirs de cette période. Une belle histoire de potes, de briscards et d’autogestion encadrée. Nous n’étions pas forcément les meilleurs amis du monde mais nous avions un objectif commun : redonner à Saint-Etienne ses lettres de noblesse. Une superbe saison ponctuée par le titre honorifique de champion de Deuxième division… Nous sommes presque tous restés en contact.
Après être parti à Sochaux, je suis retourné à Saint-Etienne. J’ai eu l’opportunité de signer à Nancy. Lorsque j’en ai parlé à Monsieur Jean-Louis Desjoyaux, il m’a dit « donne moi la journée, j’appelle le Président Bompard ». Le lendemain, le 15 août 2001, je signais à Saint-Etienne. Encore un clin d’œil ! Le jour d’anniversaire de ma fille née à Saint-Etienne trois ans auparavant. Mes motivations ? A trente-et-un ans, je souhaitais jouer, reconnaître une montée et prendre du plaisir sur un terrain."
Europe, the final countdown (1)
19/05 18:02
On se lève tous pour nos U12 ! (3)
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La réserve n'a pas molli chez Mollo
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Fouss de joie
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Brandao pourrait dire ciao
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JPP veut claquer contre l'OM !
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Pogba toujours plus bas !
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JJ adorait le Ray
17/05 20:32
Mes coéquipiers me disaient "Jé t'es un fou !" Les nouveaux ne connaissaient pas forcément... Mais j'étais assez proche du staff médical et ils filmaient pour moi. D'ailleurs j'ai encore les vidéos. Le foot c'est un plaisir, un spectacle. Rien de tout ça ne m'a empêché de faire des prestations très correctes. Surtout que c'était spontané. Je n'ai que des bons souvenirs. Les derniers matches contre Saint-Etienne j'entendais "on veut Janot !"... C'est génial. Ma femme est à côté de moi, elle pourrait vous le confirmer, une fois nous étions à Disneyland, tranquille, en famille. On rentre dans un restaurant et là j'entends quelques gars qui entonnent "la mama di Janot..." ! Je me suis dis "Non ! Pas ici quand même !". C'était des Niçois et j'ai bu un petit verre avec eux.
Le Ray c'est un vrai stade de football. Le public est proche des joueurs c'est formidable. La rivalité avec les Stéphanois est forte et je n'ai pas la prétention de dire que j'ai conquis les Niçois mais il y a une certaine reconnaissance. C'est d'autant plus appréciable que les gardiens vous en avez toujours eu des très bons. Même si j'ai pu faire quelques boulettes j'ai toujours fait mes matches. Quand je venais ici c'était la soirée parfaite ! C'est vrai que ça fait un peu mal au coeur de ne plus voir l'OGC Nice au Stade du Ray. Mais même dans le grand stade la BSN sera toujours présente et l'esprit des supporters toujours là. De ne plus jouer au Ray c'est une petite frustration on va dire, rien que d'en parler et de me souvenir de tout ça je suis heureux.
C'est une chance d'avoir joué dans des équipes avec des supporters possédant une vraie culture ultra. On parle de violence mais comme dans tous les groupes il y a quelques brebis galeuses et tu ne peux rien y faire. En France on aime bien cataloguer. Ultra n'est pas forcément synonyme de violence. Il y en a, faut pas le nier mais d'un épi-phénomène on en fait des caisses. Nous sommes dans une société d'image et c'est malheureux. Il ne faut pas faire de généralités avec certains cons. Les Ultras font parfois 1000 km pour nous voir, dépensent des budgets importants, quand j'en vois pleurer à la fin d'un match... J'éprouve un profond respect pour eux."