Un Cheick barré
01/05 20:32
Les U19 calent à Caluire
01/05 18:34
Sanogo, numéro 14 !
01/05 15:34
Saint-Etienne dans un fauteuil
01/05 10:33
Un Ange passe à Grenoble
01/05 10:16
Les Vertes mûres pour défier Paris !
01/05 09:22
Roro ferme
30/04 22:38
Perrin a bouffé du Lyon
30/04 18:03
Quand Luis cuisine Schmid
30/04 14:58
Auteur de belles actions qui lui ont permis de claquer 8 buts et délivrer 4 passes décisives cette saison avec Fribourg (6ème de Bundesliga), l'ailier droit Jonathan Schmid (22 ans) était hier l'invité de Luis Fernandez sur RMC. Extrait.
Jouer en France, ça pourrait te plaire ? Le Paris-Saint-Germain, Monaco qui remonte en Ligue 1...
Moi franchement, j'aimerais bien une fois essayer de jouer en France.
Dans quel club ? C'est quoi le club qui te branche ?
Saint-Etienne, j'aimerais bien.
Pourquoi Saint-Etienne ?
Parce que ça me fait un peu penser à Fribourg. C'est un plus gros club mais niveau tactique, niveau discipline, ils font une énorme saison cette année. Je pense que ce club me plairait bien.
Barthe, la star bulgare
30/04 10:10
Ex-capitaine de l'équipe de France U18 et ancien réserviste de l'ASSE, Alexandre Barthe (27 ans) est une star en Bulgarie. Surnommé "Beckenbauer", le défenseur central est devenu l'étranger le plus titré au pays de Dimitrov et Slavkov. En quatre saisons, il a soulevé 7 trophées (3 titres de champion, 2 coupes et 2 supercoupes) et pourrait même en décrocher un 8ème puisqu'il est toujours en course pour le titre avec son club de Ludogorets Razgrad. Resté très pote avec son ancien coéquipier stéphanois Eric Bauthéac, le natif d'Avignon se confie aujourd'hui dans l'autoproclamée "bible du football."
"Lors de ma première année à Ragrad, on a tout raflé. C'était pourtant la première fois que le club était en première division. En fait, j'ai toujours été dans la bonne équipe au bon moment. Quand je suis arrivé à Litex Lovech en 2008, je ne pensais pas rester aussi longtemps en Bulgarie. Je me suis dit : "Dans un an, je ne suis plus là." Et j'y suis toujours. Alors, c'est vrai que j'aimerais revenir dans un pays plus médiatisé et plus proche de la France, mais je ne ferai pas n'importe quoi, surtout que tout se passe bien ici.
Je suis en passe d'obtenir mon passeport bulgare. A la fin de la saison, je pourrai postuler en sélection normalement. D'ailleurs, le sélectionneur est mon ancien entraîneur du Litex. Je le connais très bien. On a été un peu en conflit à son arrivée car je souhaitais retourner en France, Arles-Avignon me voulait. S'il a besoin de moi, je ne pense pas qu'il se rappellera de tout ça, il privilégiera le sportif. Si j'ai l'occasion de porter le maillot de la Bulgarie, je sauterai dessus. Je ne connais pas trop l'hymne mais je parle couramment la langue, donc ça devrait aller.
J'ai la chance d'avoir une grande maison, qui me coûte quasiment rien. Elle fait 180 m2 avec un jardin immense. Le loyer n'est que de 300 euros ! Je ne paie ni l'électricité, ni l'eau et le club me fournit une voiture. Je me suis fait aussi installer une parabole pour avoir les chaînes françaises. On dirait un truc de la NASA tellement c'est gros. J'ai de la chance. La vie n'est pas chère. La dernière fois, pour moi anniversaire, j'ai payé pour tout le monde. On était vingt. En voyant l'addition, j'ai demandé au serveur de recompter, ça ne me paraissait vraiment pas normal. En France, ça m'aurait coûté dix fois plus.
J'avais un gros a priori sur la météo, je croyais que c'était comme la Russie. La Bulgarie est en fait juste au-dessus de la Grèce et de la Turquie, donc j'ai quasiment le même climat qu'à Avignon, à trois quarts d'heure de la mer. Je peux peaufiner mon bronzage. Cette saison j'ai mis trois buts, deux de la tête et un du gauche. Je crois que mon meilleur pied, c'est ma tête !"
Hervé le bras cassé
30/04 09:10
Patron du bar Le P'tit Vert au coeur de Lyon, Hervé Revelli n'est jamais à court d'anecdotes pour ses clients... et pour France Football, qui en relaye certaines dans sa dernière édition.
"On n'est pas fatigué lorsqu'on gagne. En 69, on joue le Bayern en 8ème de finale de Coupe d'europe et ici, à Gerland. on perd 2-0 là-bas. On gagne le retour 3-0, on se qualifie et le dimanche suivant on joue l'OL, ici, à Gerland. Ils nous avaient dit qu'ils nous mettraient une trempe, on leur en a filé sept, j'en ai mis deux. Quand tu es sur une lancée positive, la fatigue n'y est plus.
Lors de la saison 74-75, je joue contre Nice, mon ancien club, et je me casse le bras. Deux semaines plus tard, je marque quand même d'une tête plongeante le but de la victoire lors du derby. Je me souviens d'un coup franc où je me place dans le mur. Un joueur lyonnais dit "tapez lui sur le bras !" Mon ami, le Lyonnais Baeza a dit à son coéquipier : "Ne fais jamais ça, sinon tu auras affaire à moi ! Cela m'est resté.
Le Saint-Etienne d'aujourd'hui me rappelle le mien. C'est un groupe uni où quelques pesonnalités se fondent dans le moule. C'est une équipe qui mouille le maillot. Elle a cravaché en finale de la Coupe de la Ligue, mais ces joueurs gardent la niaque, même quand ils sont laborieux."
Perquis à la casse
30/04 08:43
Damien Perquis s'est sévèrement blessé à la cheville hier soir contre le Deportivo La Corogne lors du dernier match de la 33ème journée de Liga. Victime d'une déchirure à la cuisse en sélection le 14 novembre dernier, l'international polonais n'aura joué que 10 matches de championnat cette saison avec le Betis Seville. Il rejoint à l'infirmerie son coéquipier Paulao, qui a claqué 2 pions en 19 matches.
Roby revient sur le derby
30/04 08:14
Dans Le Progrès du jour, Robert Herbin livre son analyse du derby. Extraits.
"S'il y a une équipe qui méritait de s’imposer, c’est bien l'ASSE !Aubameyang nous avait habitués à autre chose au niveau de l’efficacité mais on ne peut le blâmer car il a été généreux dans l’effort. Avec un peu plus de maîtrise dans les phases finales, les Verts auraient fait la différence d’autant qu’ils ont ouvert la marque rapidement, sur un joli but. Il n’y avait pas photo entre le comportement des deux équipes. On les mangeait !
(...)
Les occasions les plus franches furent stéphanoises. C’est d’ailleurs une des forces de l’ASSE de pouvoir enchaîner des contres, souvent meurtriers, même s’ils ne l’ont pas été à Gerland. Elle peut réagir dans n’importe quelle situation. On peut toujours avoir des regrets sur l’issue de ce derby mais on doit surtout souligner que les Verts sont en train de réaliser une grosse performance depuis la trêve. C’est remarquable. Leur jeu est spontané, rapide, percutant. Alors, avoir glané un point me paraît intéressant."
Cotte et matches
30/04 07:56
Si les Verts arrivent à rester performants malgré la succession des matches (six en trois semaines), ils le doivent en partie à leur préparateur Thierry Cotte, qui se confie aujourd'hui dans France Football.
"On ne peut rien faire d'autre que jouer puisqu'il y a répétition de matches et qu'ils sont très importants. Il y a ceux à énorme décharge émotionnelle, comme en coupe de France contre Lorient et surtout en finale de la Coupe de la Ligue, et ceux en L1, où il y a une carte à jouer. Tous ces matches coûtent très cher aux organismes.
Notre début de match contre Ajaccio ? C'est très fréquent qu'après un match très important, les dix premières minutes du match suivant soient laborieuses. On voit alors l'écart entre l'équipe qui a joué et celle qui n'a pas joué. Mais Christophe Galtier a su leur demander de se faire violence et, après, on a bien réagi.
Le coach responsabilise les joueurs. Il leur fait confiance. Il leur dit : "Je vous laisse tranquille, mais ce n'est pas pour aller à Lyon. C'est pour faire la sieste, se reposer." Les mecs ne sont pas que des machines. Christophe insiste beaucoup sur la nécessaire fraîcheur mentale et je suis totalement raccord avec lui. Avec ce groupe, c'est un pari gagnant.
La cryothérapie (thérapie par le froid), est systématique après un match à l'extérieur. En temps normal, il ne faut pas en abuser, c'est même mieux quand les corps ne sont pas habitués. On fait aussi de la pressothérapie. Il s'agit d'un drainage mécanique et pneumatique qui opère un massage par compression et décompression d'accessoires. Les joueurs qui ont disputé le derby ont porté des bas de contention dans le vestiaire après le coup de sifflet final.
Loïc Perrin a ressenti une douleur aux ischio-jambiers durant l'ultime échauffement d'avant derby. C'est la période durant laquelle ça pète en championnat. Mais il n'y avait pas de signes avant-coureur".
Selon la dernière édition du Progrès, la capitaine stéphanois a passé hier une échographie et une IRM pour définir la gravité du mal. "Personne dans l’entourage du club ne semble inquiet sur la gravité de la blessure (...) Le duo Sall-Zouma sera donc vraisemblablement reconduit face aux Girondins. Perrin pourra ainsi tranquillement se soigner et envisager son retour le dimanche 12 mai à Lorient."
La nalyse à Nanard
29/04 22:32
Pogba freine Monaco
29/04 21:38
La Coupe est pleine !
29/04 20:08
A Sainté l'extérieur nuit peu
29/04 11:57
The Galette Book of Records continue de s'enrichir
29/04 11:22
Côté défense, l'équipe à Galette possède encore 6 buts de marge par rapport à la performance de celles à Roussey en 07/08 et Baup en 04/05. Mais c'est déjà raté pour faire mieux que lors de la saison 92-93, où l'ASSE n'avait encaissé que 26 buts !
Il reste enfin deux records à viser :
- celui du nombre de points : ayant égalé la saison 07/08 ce week-end, il manque 3 points pour faire mieux que lors de la saison 87/88 (si la victoire eût été à 3 points, l'ASSE aurait terminé à 60 unités) qui est la dernière saison réussie nous séparant de l'âge d'or
- celui du meilleur classement : se comparer à 07/08 (5è) ou 87/88 (4è), voire obtenir le premier podium depuis 1981/82 et la première qualif en C1 depuis 1981 ?
* Y compris en extrapolant ce qu'aurait donné la saison 99/00 sur 38 matches.
Les Verts à la fête dans l'Huma
29/04 10:39
"Aimer Geoffroy-Guichard, ça se mérite" écrit Jean-Emmanuel Ducoin dans un joli papier paru hier dans L'Humanité. Extraits.
"Toute passion dévorante ressemble à un masque éphémère durable. «Le monde, écrivait Valéry, vaut par les extrêmes, et dure par les moyens.» Valoir par les élans, durer par les attaches : il n’y a pas d’errance sans arrachement, pas de conquête sans bases solides… Voilà pourquoi le pays du football reste un pays d’hommes, arpenté par des âmes aux lueurs de complicité dans la nuit des solitudes. En ce pays-là, il n’est question ni d’optimisme ni de pessimisme – juste d’esprit commun et de fidélité qui dépassent les seuls individus. On appelle ça «le collectif» ; on se serre les coudes ; on chante ; on aime l’histoire et l’ici-maintenant ; on loue ce qui nous constitue ; on glorifie l’être-ensemble ; on se solidarise. Dès lors, le passé qui nous porte et nous importe n’est pas l’alibi d’un conservatisme chauvin mais, au contraire, l’affirmation d’un renouvellement permanent... Tout à leur bonheur depuis une semaine, les supporters de Saint-Étienne le savent mieux que personne : la «métaphore du stade» (à la manière de Roland Barthes) n’est pas uniquement soumise à la nécessité épique de l’épreuve, à son incertitude, au vertige de ces sportifs égoïstes et trop payés se disputant jusqu’à la sueur une parcelle de terrain réglementée ; la métaphore du stade a aussi à voir avec ce qui ne s’y trouve pas en apparence mais qui y est omniprésent : l’environnement social.
(...)
Il faut aller à Geoffroy-Guichard de temps en temps les soirs de match pour comprendre la beauté intérieure d’un lieu qui résonne hors les années. Le bloc-noteur ne cachera pas, ici, son amour irraisonné pour ce théâtre populaire mythifié par une génération de footeux hors du commun. Vous êtes prévenus : inutile de s’en étonner ou de s’en indigner. Être de manière binaire «pour» ou «contre» le football, c’est parfois oublier que l’intelligence nous recommande d’aimer si nous aimons, d’apprendre à aimer si ça en vaut la peine, mais en toute connaissance de cause ! Geoffroy-Guichard est un panthéon du peuple où se mêlent les grandes et les nouvelles heures, les titres comme les épopées. Une scène de l’impossible où se côtoient grands-parents, enfants et petits-enfants, tous tendus vers un unique objectif: une certaine idée du bonheur et des valeurs. Ceux qui ne connaissent pas Geoffroy-Guichard peuvent penser : c’est un autre temps. Mais c’est toujours le Chaudron. C’était il y a longtemps mais c’est encore aujourd’hui. Croyez-nous. Chacune de nos apparitions dans ces tribunes – en ce moment, les travaux en vue de l’Euro 2016 gâchent quelque peu le plaisir – se solde par une remontée de souvenirs et d’émotions irrépressibles. "
Eysseric pense à son "ami" Jérémy
29/04 09:51
Dans un entretien paru samedi dans Nice-Matin, Valentin Eysseric parle de sa victime Jérémy Clément.
"J'ai été rassuré avec la victoire de Saint-Etienne en Coupe de la Ligue, c’est sûr. J’étais vraiment content pour Jérémy. Il le méritait après tout ce qu’il a vécu. En plus, ça nous arrange aussi. On a plus de chances de jouer l’Europe l’an prochain. Je l'ai félicité, je lui ai envoyé un texto. Il m’a répondu le lendemain en me demandant si ce n’était pas trop dur pour moi d’être sur la touche. Ce tacle, j'y pense souvent. C’est une erreur. J’espérais vraiment que Saint-Etienne gagne pour Jérémy. C’est de ma faute s’il n’a pas joué cette finale. Avec Jérémy, On a un lien amical, c’est sûr. J’ai tenté d’être le plus présent possible. Je suis allé le voir à la clinique. C’était la moindre des choses. Jérémy a accepté mes excuses, il m’a accepté... Quoi qu’on dise, quoi qu’on fasse, je fais partie de sa vie jusqu’à la fin de sa carrière."
Baky's back
29/04 08:53
Elu "joueur de la saison" vendredi dernier par les supporters des Wolves, Bakary Sako (10 pions en 38 matches) a fait son retour sur les terrains ce week-end après 6 semaines d'indisponibilité dues à une blessure à la cuisse. Las, malgré l'entrée en jeu de Baky en deuxième mi-temps, Wolverhampton s'est incliné 2-1 à domicile face à Burnley lors de l'avant-dernière journée du Championship.
Seul un miracle permettrait aux Wolves (avant-derniers) d'échapper à la relégation en League One (D3) lors de la dernière journée : non seulement ils devront gagner sur le terrain de Brighton (4ème), mais il faudra que Barnsley perde à Huddersfield (déjà sauvé) et que Peterborough s'incline à Crystal Palace.
De son côté, Guirane N'Daw (titulaire) a profité d'une victoire 3-1 contre son ancien club Birmingham City pour se hisser dans la première moitié de tableau.
De l'importance de bien commencer le mois (3)
29/04 08:40
On pourra certes faire la fine bouche en rappelant ce quart de finale de Coupe de France perdu contre Lorient, cette occasion ratée de gagner un derby pourtant dominé, ainsi que les blessures de Brison et Perrin. Mais quand même, fêter le premier titre majeur depuis 32 ans et afficher une moyenne de 2 points par match en championnat pour continuer de rêver au podium...on aurait signé pour moins que ça au début de saison.
Allez les Verts, et faites de mai l'apothéose de cette saison exceptionnelle !
Les supporters des vilains fêtent Galtier
29/04 08:25
Le Progrès du jour narre une scène surréaliste qui s'est déroulée une heure avant le derby square Galtier, près du stade de Gerland.
"Au pays de Guignol, les supporters lyonnais ont joué les vilains Gnafrons, en se donnant des coups de bâton sans humour évidemment. Deux groupes aux virages opposés avaient décidé d'en découdre, sur fond de rivalités nébuleuses. Ils étaient plus de deux cents (...) L'affrontement a gravement dégénéré, avec jets de pierres, de canettes, de barrières, utilisation de tessons de bouteilles. Les policiers ont été contraints d'utiliser des grenades lacrymogènes pour disperser cette foule belliqueuse."
Europe, the final countdown (4)
29/04 07:51
Suite à son match nul chez les vilains et à la victoire de l'OM à Lorient, l'ASSE n'a plus que 3% de chances de finir dans les deux premiers. Mais les Verts conservent 23% de chances de finir le championnat dans les trois premiers à quatre journées de la fin du championnat. Selon les savants calculs du chercheur Fabien Torre, les Verts ont plus d'une chance sur deux (55%) de terminer dans le big four cher à Jérôme. Dans ce dernier cas, les Stéphanois commenceraient l'Europa League seulement au quatrième tour qualificatif qui se jouera les 22 et 29 août. Sinon, ils devront jouer le 3ème tour qualificatif qui se jouera les 1er et 8 août, sachant que le championnat démarre dès le 3...
Bergessio, numéro 9 !
28/04 21:52
Gonzalo Bergessio a redonné l'avantage à son équipe ce soir sur le terrain du Milan AC d'un tir lobé du gauche. Mais malgré le 9ème pion de la saison du numéro 9 de Catane, les Rossoneri l'ont emporté 4-2 dans ce match de la 34ème journée de série A.
Nilsson enterre Oster
28/04 21:15
Elfsborg s'est imposé 3-1 ce soir sur le terrain d'Oster grâce à un doublé de Lasse Nilsson. L'ancien attaquant stéphanois avait déjà trouvé le chemin des filets lors des deux précédentes journées du championnat suédois.
Les U19 perdent le derby
28/04 20:34
Les U19 de l'ASSE se sont inclinés 2-1 sur le terrain d'Andrézieux ce dimanche à la mi-journée.
Les protégés de Mickaël Pontal se sont procurés la première occasion de la rencontre à la 10ème minute mais l'ancien U17 stéphanois Fardy Siradjidine a tergiversé au moment de défier Axel Kacou. Auteurs d'une bonne première mi-temps, les Verts ont logiquement ouvert le score à la 35ème. Sur un bon débordement de Selim Kayaci, Nabil Ejenavi a intelligemment remisé sur Adrien Valente qui a marqué de la poitrine. Ce dernier a ensuite raté de peu une balle de break juste avant la pause.
En début de seconde période, Allan Saint-Maximin a tenté sa chance sans succès à trois reprises. Alors qu'Adrien Valente aurait sans doute dû bénéficier d'un penalty à l'heure de jeu, les locaux ont égalisé de la tête sur coup franc à la 62ème minute avant d'arracher la victoire à la 83ème sur une nouvelle tête consécutive à un corner.
La compo : Kacou - Kayaci, Dieng, Belkorchia, Boumali - Goncalves, Aktas, Saint-Maximin (Micoud, 60') - Bamba (Ez Zahouany, 60'), Valente, Ejenavi (Duchemann, 75').
A trois journées de la fin du championnat, les Verts restent sur la troisième marche du podium mais ne comptent plus qu'un petit point d'avance sur les vilains quatrièmes...
La réaction d'Abdel Bouhazama : "C'est notre troisième défaite consécutive. Mais je suis moins déçu qu'après nos deux derniers matches contre Arles et Montpellier. Avec Allan Saint-Maximin et Jonathan Bamba, on avait une équipe plus cohérente, avec plus de teneur dans le jeu. Quand ils sont sortis, ça a été plus difficile mais j'avais décidé de faire jouer tout le monde en cette fin de saison. Qu'on finisse 2ème ou 5ème, ça ne change pas grand chose. Je tiens à féliciter notre club partenaire Andrézieux, qui a fait un bon match et est allé chercher un succès important dans l'optique de son maintien."