Le temps Bresse

16/11 18:13

Ancien club de François Clerc et du recruteur stéphanois Eric Perrin, Bourg-Péronnas (National) a annoncé sur son site officiel qu'il avait divorcé avec les vilains pour se marier avec l'ASSE. Roro, l'Ange Vert, Jojo de Montreynaud et Bernard David officialiseront leur union avec le club bressan le vendredi 29 novembre à Péronnas avant d'assister au match opposant leur nouveau partenaire au RC Strasbourg de Julien Perrin.

Mevlut claque contre les Verts !

16/11 17:39

Ce vendredi soir en amical, la Turquie a battu les Verts d'Irlande du Nord 1-0 grâce à Mevlut Erding, buteur dans le temps additionnel de la première période.

 

Et Sall, il est suivi ?

16/11 12:42

A quelques heures du match retour Sénégal-Côte d'Ivoire déterminant pour la qualification à la Coupe du monde, Alain Giresse, sélectionneur des Lions battus 1-3 à l'aller est revenu sur son mode de sélection pour la Pravda : "Je n’avais pas de raison valable de changer trop de choses. J’ai suivi mes joueurs depuis le match aller, et en club, ils ont montré des choses.". A propos des absents, et en particulier de Demba Ba l'attaquant de Chelsea il a précisé : "Comme d’autres joueurs, il continue à être suivi. La porte de la sélection reste ouverte...". 

Si Sall verra donc tout cela sur petit écran (20h ce soir), Gradel et Diomandé espèrent bien fouler la pelouse ce soir. Compte tenu des suspensions au milieu et de l'incertitude portant sur la forme de Gervinho, ils peuvent espérer avoir du temps de jeu.

Non aux matchs décalés pour Reims, Rennes et Evian !

15/11 18:09

La LFP vient devoiler le calendrier de la 15ème, 16ème et 17ème journée de Ligue 1. Aucun match décalé pour Sainté, qui jouera :

- L'Historico à domicile, le 30 novembre à 20h. (la grève a été suspendue).

- A Rennes, le 4 décembre à 19h.

- A domicile contre Evian, le 7 décembre à 20h.


Tous ces matchs seront diffusés par Beinsport Max.

L'ASSE voulait Grzegorz Krychowiak

15/11 15:29

Le milieu de terrain polonais Grzegorz Krychowiak revient sur le dernier mercato dans le colonnes du 10 Sport et admet que « Oui, c’est vrai, l’OL et l’ASSE me voulaient l’été dernier ».

« Au début du mercato, j’avais envie de partir. On a discuté avec le président (Jean-Pierre Caillot, ndlr). Il m’a expliqué son point de vue. Je l’ai compris, je le respecte. J’ai alors décidé de rester un an de plus. Mais il m’a donné sa parole que si j’avais des offres l’été prochain, il me laissera partir… ».


Une situation qui rappelle étrangement l'affaire Khazri... esperons que ça se finisse mieux !

Plus le choix dans la date

15/11 15:28

La Ligue qu'on adule et la FFF ont publié le calendrier des compétitions pour la saison 2014/2015 (y compris coupes d'Europe et équipe de France), auscultable en intégralité ici-même.

 

On notera que :

- les plus courageux commenceront leur saison avant la fin de la coupe du Monde

- la Ligue 1 reprendra le 9 août

- les vacances de Noël auront lieu du 21 décembre au 3 janvier non inclus

- Janvier et février s'annoncent chauds avec un potentiel de 4 semaines à trois jours en deux mois

- l'on aura peut-être l'opportunité de jouer la finale de la coupe de France trois jours après celle de la C3

- le Trophée des champions se cantonne à la légende

Aulas Hooligan !

15/11 11:16

On vous en parlait hier, les incidents du Derby ont été mis en instruction. Mais on apprend ce matin de nouveaux éléments concernant les vilains après la rencontre.

 

En effet, c'est peut-être à force de porter la vilaine écharpe des Bad Gones que le présidents des quenelles aurait menacé le policier, Antoine Boutonnet, en charge de la lutte contre le hooliganisme. Selon le rapport du délégué du Derby de dimanche (que Le Parisien s'est procuré), une plainte a été déposé.

« Je ne vous félicite pas pour ce que vous avez fait (…) On se reverra », lui aurait ainsi lancé Aulas.

Gradel prêt à bouffer du Lion

15/11 07:47

A défaut d'avoir su battre Lyon, Max Gradel espère bouffer les Lions de la Teranga demain à Casablanca pour composter son billet pour la Coupe du monde au Brésil. Avant ce barrage retour, le petit poulet d'Abidjan s'est confié au Progrès.

 

"Le coach Sabri Lamouchi m’a montré la confiance qu’il avait envers moi. Ce n’était pas facile pour lui de faire ce geste. Ça montre à quel point il tient à moi et j’ai envie de lui rendre cette confiance en retour. Je suis content pour Isma. Je sais ce que c’est d’être appelé la première fois pour représenter son pays. Je me rappelle ma première sélection, c’était contre le Bénin à Accra, au Ghana. C’était une telle joie, je n’arrivais pas à dormir. Ismaël est super content. Je ne joue pas les papas, je lui ai juste dit comment il fallait se comporter. Après, c’est sur le terrain que ça se passe. Il a bien travaillé, il est récompensé, il doit continuer" 

 

C’est une finale avant l’heure. Il faut qu’on se qualifie, il n’y a rien à faire. Il faut qu’on gagne, qu’on donne tout. Je ne m’y vois pas déjà. Je suis spécial dans ma tête. Je fais les choses pas à pas. Je ne me dis même pas qu’on a gagné 3-1 à l’aller. Dans ma tête, il n’y a pas eu de match aller. J’attends ce match au Maroc pour parler du Brésil. Si on gagne, il y aura beaucoup d’excitation. Je serai dans les rêves. Mais il ne faut pas rêver avant. Il y aura beaucoup de pression mais ça m’aide. Quand tu as joué des finales de Coupe d’Afrique, tu n’as peur de rien. C’est autre chose qu’un derby." 

 

Les anciens Verts Lamine Diatta et Alassane N'Dour ont fait le voyage à Casablanca pour soutenir leurs compatriotes sénégalais. "Nous sommes venus, en tant que grand-frères et anciens membres de la sélection, apporter notre soutien. Notre soutien ne sera pas suffisant, puisque ça se passe sur le terrain", a-t-il fait remarquer. Il y a un match à jouer et à gagner, samedi" a déclaré le premier à l'agence de presse du Sénégal. "Il s’agira d’être présent dans les premières minutes et de montrer à l’adversaire qu’il n’a pas envie plus que vous d'aller à la Coupe du monde" a ajouté le second.

La taxe le rend furax (14)

15/11 00:22

Il y avait longtemps que Bernard Caïazzo n'avait pas parlé de la taxe à 75% ! Après son intervention d'hier sur Sport 365 TV, Nanard en a remis une couche ce soir sur RTL.

 

"Il n'y aura finalement pas de journée blanche fin novembre. On discute avec le médiateur Jean Glavany. C'est quelqu'un de bien, il nous a fait bonne impression. Il aime le football et a envie de le faire avancer. La journée blanche, on l'avait prévue contraints et forcés parce qu'il y avait un blocage et que le situation était très difficile. Beaucoup de gens ignorent que cette taxe n'est pas payée par ceux qui perçoivent les hauts revenus et qu'elle est payée par les entreprises. C'est d'ailleurs un véritable cadeau aux plus riches car lorsque vous payez une partie des impôts des gens qui gagnent plus d'un million d'euros, c'est un avantage par rapport aux autres qui gagnent moins d'un million d'euros. A RTL, je suppose que personne n'a une partie de ses augmentations d'impôts payée par l'entreprise ! Cette taxe est assez surprenante. Même les hommes politiques disent que c'est une taxe qui cible les entreprises alors qu'elle devrait toucher les joueurs. Ce ne sont pas les Zlatan, Gourcuff et autres Falcao qui vont payer mais leur club. Or les clubs sont en difficulté financière. Jean Glavany a compris que l'économie et la situation du foot français comparées à nos voisins sont en déclin. L'idée c'est de travailler pour revitaliser, régénérer notre football.

 

On veut déjà avoir un étalement des paiements dans le temps. C'est important car des clubs sont absolument incapables de la payer, cette taxe n'a pas été prévue. C'est comme une taxe rétroactive, elle est payée sur des sommes sur l'année passée. C'est dans aucun budget, dans aucun bilan. Des aménagements sont essentiels. On discute d'autres aménagements techniques. Mais ce qui compte le plus, au-delà de cette taxe, c'est la prise de conscience d'un certain nombre de membres du gouvernement que notre football est en difficulté, en déclin. Le PSG et Monaco sont les arbres qui cachent la forêt. Mais sur le plan économique, on voit bien par rapport aux Allemands, aux Italiens, aux Espagnols et aux Anglais qu'on est le football le plus taxé d'Europe. Il y a deux possibilités, on est à un carrefour : soit on dit "continuons comme ça", et on verra notre football péricliter. Personne n'a envie de ça ! Soit on a la chance d'avoir de l'écoute, un médiateur et les gens autour qui ont envie que le foot français retrouve un certain éclat. On attend avec impatience les deux matches contre l'Ukraine, on est tous derrière l'équipe de France parce que ça part de là. Mais surtout les clubs d'en-bas, les clubs moyens doivent pouvoir retrouver une économie meilleure.

 

On demande l'étalement des paiements de la taxe sur quatre ans. Il y a des pistes aujourd'hui. On aura à nouveau la semaine prochaine une réunion avec Jean Glavany. On va continuer à travailler. Aujourd'hui, il y a de nombreux membres du gouvernement qui aiment le football, ils ont envie de trouver des solutions et ont conscience que depuis trois ans on nous taxe. Il faut le dire, le gouvernement d'avant avait déjà sérieusement taxé notre football, peut-être même plus. Le gouvernement actuel a peut-être envie de trouver des pistes pour faire en sorte qu'on ne soit pas le dindon de la farce. Notre participation n'est pas la même que celle des entreprises du CAC 40. Ce sont des entreprises qui font 10, 20, 30 milliards d'euros de chiffre d'affaires. Cela n'a rien à voir par rapport à des clubs de foot qui font 50, 100 ou 150 millions d'euros de chiffre d'affaires ! On est dans une dimension complètement différente ! C'est pour ça d'ailleurs que l'on continue de penser que cette taxe est absurde.

 

Les Français n'ayant pas bien vu que ce n'est pas la taxe des millionnaires, il y a une sorte d'élan populaire qui dit qu'il faut appliquer cette taxe. Acceptons-le si c'est ça. C'est une taxe de solidarité, mais une solidarité qui consiste à faire un cadeau aux plus riches... Qu'on m'explique où est la solidarité ! Cette couleuvre là, on l'a avalée. Maintenant il s'agit d'essayer de travailler à trouver des solutions. Est-ce que oui ou non on a tous envie d'avoir un football français régénéré, un grand football français ? On sait très bien que l'économie est un élément du classement, un élément déterminant. Si nos voisins on plus d'avantages fiscaux, sociaux et économiques, c'est très difficile de les concurrencer, sauf si on s'appelle PSG ou Monaco et qu'on a la chance d'avoir des mécènes extrêmement fortunés qui viennent alimenter les finances d'un club."

La grosse commission se retient

14/11 22:05

Si la commission de discipline de la Ligue qu'on adule a décidé ce soir de mettre les incidents du derby en instruction, elle n'a pas (encore ?) sanctionné l'ASSE pour le craquage des fumis intervenus dans le kop sud lors du match contre Bastia.

La chasse (sur Rhône) est ouverte ! (3)

14/11 19:00

Partenaire de l'ASSE depuis l'été 2012, Chasse-sur-Rhône prêtera son terrain aux Vertes ce dimanche après-midi pour le match de la 9ème journée de championnat contre Rodez. Dans Le Progrès, le président du club chassère voit la vie en vert. 

 

"On est situé en Isère mais on joue dans le district du Rhône. Quand nos adversaires découvrent l’inscription "Chasse est fier d’être partenaire de l’ASSE", on a des petites remarques, mais c’est gentil. Avant, entre Chasse et l’ASSE, seules les couleurs étaient les mêmes. Tout a changé quand Casino a racheté notre terrain en bas pour s’y implanter et que Chasse a pu édifier un complexe sportif sur des terres agricoles. Un jour, Roland Romeyer m’a expliqué que la rudesse de l’hiver à Saint-Etienne l’incitait à rechercher un terrain de repli. Je lui ai proposé Chasse. Il y a eu une opportunité avec l’OL, mais c’est vrai que l’ASSE a flashé et nos liens sont très forts. Il y a deux ans, on avait un peu plus de sympathisants de l’OL que de l’ASSE, maintenant ça s’équilibre."

Une grosse perf sous perf ?

14/11 18:00

Dans le livre "Les mystères résolus du football" que l'auteur néerlandais Guido Nerksen vient de publier aux Pays-Bas, Johnny Rep raconte que tous les joueurs de l'ASSE étaient sous perfusion avant leur écrasant succès 6-0 contre le PSV Eindhoven en 1979. L'ancien attaquant stéphanois avait déjà fait allusion au dopage de ses vertes années il y a trois ans dans la biographie que Mick Shots lui avait consacré.

Encore un jeudi noir ?

14/11 16:59

Alors que la grosse commission doit rendre tout à l'heure son verdict quant au craquage intensif de fumis fêtant la réouverture du Kop Sud (après avoir sorti la sulfateuse contre Zouma la semaine dernière), le classement des tribunes nous apprend que la Ligue qu'on adule nous a bien dans le pif. Les évènements d'avant-match de dimanche coûtent 10 points de malus aux stéphanois.

 

Vous me direz, on s'en fout. Pas totalement : la Ligue considère visiblement que les conséquences de l'écharpe à cet ongulé de Bats sont plus graves que l'attaque du parcage nantais par les rennais intervenu Route de Lorient il y a quelques semaines (8 points de malus seulement)...et donc plus grave que l'affaire des fumis (8 points itou).

 

On a pas fini de trembler les jeudis soir.

Dis quand reviendras-tu ?

14/11 10:44

A l'issue du derby dont il a donné le coup d'envoi, Aubame a pondu un tweet magnifique, à faire fantasmer les nostalgiques : "Un grand merci au Peuple Vert pour cette ovation c'était le top je suis dégoûté pour le résultat j'espère revenir un jour gagner ce Derby". Un jour, c'est quand ?

Les jeunes défient les pros

14/11 00:01

Trêve internationale et Coupe de France obligent, l'équipe une et la réserve de l'ASSE ne joueront pas de match officiel ce week-end. Pour garder le ryhme, les deux formations s'opposeront vendredi matin à l'Etrat.

Pejcinovic n'est plus novice

13/11 21:36

Sélectionné en équipe de Serbie plus de cinq ans après son unique cape internationale, le défenseur central niçois Nemanja Pejcinovic évoque la réception de Saint-Etienne dans la dernière édition de Nice-Matin.

 

"Les jeunes sont plus nombreux que l’an dernier. On se doit donc de les aider, de les accompagner afin qu’ils progressent. On ne peut pas attendre immédiatement de grandes choses de leur part. Mais ils doivent prendre conscience qu’on joue chaque match pour les gagner. On reste sur trois défaites consécutives, c'est une mauvaise passe. C’est la première fois depuis longtemps qu’on connaît un tel passage à vide. 

 

Contre l'ASSE, on ne va pas se mentir, ce sont trois points obligatoires. On ne doit pas baisser la tête. On sait déjà qu’on devra se passer de cinq joueurs  (Ospina, Bodmer, Mendy, Bauthéac, Cvitanich) contre Saint-Etienne. Ça ne facilite pas nos affaires mais on a des joueurs capables de les remplacer. Les Verts, eux, n’auront pas Brandao."

Retour aux sources pour Bafé ?

13/11 21:10

Dans un entretien accordé le mois dernier à son équipementier Puma, Bafé Gomis a évoqué une possible reconversion à l'ASSE. 

 

"J’aimerais bien rester dans le foot en essayant d’apporter aux enfants ce que le foot m’a donné, pourquoi pas au sein d’une académie, à Lyon ou à Saint-Etienne, là où tout a commencé pour moi… Je ne sais pas encore. Ce n'est pas une question que je me pose à l'heure actuelle mais c’est dans un petit coin de ma tête. Pour le moment je me donne les moyens de réussir une belle carrière et elle est loin d’être terminée."

La taxe le rend furax (13)

13/11 18:54

Bernard Caïazzo a poursuivi hier sur Sport365 TV son interminable croisade contre la taxe à 75%.

 

"Le mot "grève" n’a jamais été utilisé. Je sais ce qui se passe dans les instances, et n’importe qui connaissant le dossier comme nous le connaissons ne peut pas accepter cette situation. Cette taxe, c’est un cadeau fait aux riches, parce que l’augmentation d’impôt des hauts revenus ne s’applique qu’aux entreprises et non aux particuliers. Aucun patron du CAC 40 n’a fait de déclaration négative sur cette taxe. L’année dernière sur l’ancienne formule, les particuliers étaient visés et les patrons du CAC 40 n’étaient pas d’accord. C’est une proposition absolument absurde, car elle va à l’encontre des promesses du candidat François Hollande.

 

On a envie de jouer, nous les patrons de club. On va essayer de trouver des solutions avec le médiateur Jean Glavany. J’ai bon espoir d’y arrive. Je pense qu’il faut être intelligent. Il faut suspendre ce mouvement et reporter de trois mois la décision pour se concerter avec des gens qui ont envie d’aider le football. Le président de la République a pris conscience que le football français était en péril et il cherche une manière de le régénérer. Tout le monde souhaite que l’on joue à la fin du mois. Je suis favorable au fait de suspendre le mouvement et de discuter. L’objectif, c’est de donner du bonheur aux gens, et, pour cela, il faut éviter à tout prix une perte de compétitivité."

Bauthéac, ça re-craque !

13/11 18:06

Victime d'une rupture partielle du ligament interne du genou droit à Nantes le 28 septembre, Eric Bauthéac avait rejoué contre Bordeaux il y a 10 jours. Mais il a rechuté, et devrait être absent les 3 prochaines semaines. Son nom devrait s'ajouter à la déja longue liste d'Aiglons absents contre Sainté dans 10 jours (Ospina et Bodmer blessés, Cvitanich et Mendy suspendus).  Que des joueurs de base du onze de Puel. 

Hamouma a musclé son jeu (2)

13/11 07:51

Impliqué dans 50% des buts stéphanois grâce à ses 6 pions et ses 3 passes décisives, Romain Hamouma commente son bon début de saison dans la dernière édition de France Football

 

"En ce début de saison, j’ai senti une plus grande attente du coach. Il me reprochait auparavant mon intermittence sur le terrain, le fait que je n’arrive pas souvent à tenir un match en entier. Avant, je sortais trop facilement d’une rencontre dès que je manquais un geste ou deux. J’avais un jeu stéréotypé, celui d’un ailier à l’ancienne, qui évoluait sur des rails sur le côté droit pour déborder, mais qui devenait finalement trop prévisible pour les défenseurs adverses. Et quand on devient trop prévisible à mon poste, on n’est plus dangereux ! Il fallait que je me rapproche du ballon, pour le toucher davantage et plus participer au jeu. Tout en gardant un cadre dans l'organisation, le coach m'a laissé plus de liberté. Avec le départ de Pierre-Emerick Aubameyang, il m’a aussi fait comprendre que j’aurais plus d’importance et de responsabilités."

 

Adjoint de Christophe Galtier, Alain Blachon se réjouit des progrès accomplis par numéro 21 de l'ASSE.

 

"A tous les niveaux, Romain a amélioré son efficacité. C'était son point faible, car il manquait de confiance aussi bien dans les statistiques sur la durée que dans l'effort. Aujourd'hui, il est plus complet. Il a progressé dans sa discipline de jeu. Il sait mieux défendre, se replacer, fermer les angles de passes tout en ayant bonifié son jeu offensif. Romain est généreux, il a une conduite de balle propre, rapide et une belle qualité de passe. Il est appliqué, attentif et surtout aime provoquer et percuter. Il a fallu le dégrossir un peu, avec un travail individualisé à l'entraînement pour qu'il puisse davantage résister aux charge, prendre plus de masse et de volume afin d'être plus présent dans les duels. Il est resté lui-même dans ses points forts et a bien progressé dans ses points faibles. Sa polyvalence est un véritable atout. Il est capable d'évoluer sur tous le front de l'attaque. Quand on a eu besoin de lui comme avant-centre, il a répondu présent. Et quand il passe à gauche, il peut rentrer intérieur pour apporter le danger, un peu comme Ribéry."

Luiz Alberto sans pitié pour Sao Paulo

13/11 07:43

L'Atlético Paranaense a consolidé dimanche sa deuxième place au classement de la Série A (D1 brésilienne) grâce à sa victoire 3-0 contre Sao Paulo. Evoluant désormais en défense centrale, l'ancien milieu défensif stéphanois Luiz Alberto (35 ans) a marqué de la tête le deuxième but de la rencontre. 

N'Daw claque contre Marin

12/11 22:11

Deux anciens Verts s'affrontaient hier lors d'une rencontre de milieu de tableau du championnat grec opposant l'Asteras Tripolis de Guirane N'Daw au Xanthi de Nicolas Marin. Le premier s'est illustré en ouvrant le score sur corner d'un plat du pied gauche. Peu en vue, le second a pris une biscotte avant de prendre place sur le banc après la mi-temps.

Nanard sort groggy du derby

12/11 21:43

Invité ce soir sur Sport365 TV, Bernard Caïazzo est revenu sur le derby. Extraits. 

 

"Après cette défaite, je suis très fatigué. C’est comme encaisser des coups de boxeurs. On ressort sonné, mais il faut savoir remettre le collier. L’objectif est de terminer devant l’OL à la trêve ou à la fin de la saison (...) Le budget de l’OL est encore deux fois supérieur à celui de Saint-Etienne. Quand on gagne dans ce cas-là, on ne doit pas humilier l’adversaire. Pour moi, le plus gros défaut est d’humilier les autres. (...) A Saint-Etienne, il y a ce côté ouvrier où les gens rendent service aux autres. Face à une démarche d’humiliation, les Stéphanois ne savent pas réagir car cela n’est pas leurs valeurs (...) Jean-Michel Aulas gère bien les derbies car il sort du cadre du sportif. On peut le voir avec les garçons qu’il a humiliés cet été et qui ont fait un match de très haut niveau dimanche. Mais est-ce que ce sont les valeurs du sport ? Je ne suis pas sûr. Si nous on fait la même chose, on arrive à quel niveau de violence ? Un jour, on va se retrouver comme dans certaines villes avec des morts. 

 

Je pense simplement que Saint-Etienne a été victime de deux maux. En première période, on a connu une certaine peur comme face à Esbjerg. J’ai du mal à l’expliquer. C’est à partir du moment où on a encaissé ce but qu’on a dominé le match. Il fallait se relâcher, d’autant que Lyon jouait avec un gardien peu expérimenté. Le deuxième mal est un fléau d’égo. Nos remplaçants n’ont peut-être pas bien joué leur rôle et certains veulent se montrer plus. Ce n’est pas en faisant des actions seul que l’on marque des buts. Il y a un petit problème à Saint-Etienne de sécurité défensive qui n’existait pas la saison dernière. Josuha Guilavogui, à la même époque, était encore remplaçant et, quand il entrait en jeu, c’était la sécurité. Il nous manque un joueur pour fermer. Le coach décidera cet hiver si l’on a besoin d’un renfort à ce poste." 

 

Piatti sans pitié pour les Lépreux

12/11 21:09

Le match au sommet de la 15ème journée du championnat argentin entre le leader (Newell's Old Boys) et son dauphin (San Lorenzo) s'est achevé dimanche sur un score nul. Alors que le vieux garçon David Trezeguet (36 ans) a ouvert le score pour les Lépreux d'une tête plongeante, Ignacio Piatti (28 ans) a égalisé d'une puissante demi-volée du droit. C'est le cinquième pion claqué depuis le début de saison par l'ancien milieu de terrain de l'ASSE.

Bodmer parrain de "Plug Foot"

12/11 18:32

L'éphémère milieu de terrain de l'ASSE Mathieu Bodmer, qui relance actuellement sa carrière sous les couleurs de Nice, est le parrain du dispositif "Plug Foot". Dans le magazine SoFoot, il explique en quoi consiste ce projet : "C’est une collection de clés numériques, disponibles chez le buraliste, que l’on peut regarder via un port USB pour accéder à un contenu enrichi. Au lieu de les coller dans un album, tu te connectes pour mettre à jour ta collection. Il y a également des lots à gagner : entre autres, des places pour un match de Ligue 1, voire pour la Coupe du monde au Brésil, des maillots, et une rencontre avec un joueur en tête-à-tête".

L'écharpe au musée ? Roro amusé !

12/11 17:50

Lors d'une séquence de plus de trois minutes à (re)voir ici, Roland Romeyer est revenu hier sur Canal Plus dans J+1 sur les incidents qui ont émaillé le dernier derby. Stéphane Guy lui a demandé si la vilaine écharpe de Joël Bats allait finir au musée de l'ASSE. La réponse de Roro : "Il vaut mieux finir sur une note sympathique. Je ne sais pas, peut-être ! Nous on ne fait pas de différences, et cette écharpe sera peut-être un souvenir pour ceux qui iront au musée. Y'a pas de souci."

 

 

Haj Hassen entre en scène

12/11 16:34

L'ASSE met à l'essai à compter d'aujourd'hui le prometteur Hazem Haj Hassen, avant-centre de l'Etoile du Sahel né le 15 février 1996. Après avoir claqué deux pions lors de la CAN U17, ce jeune international tunisien a scoré contre l'Argentine lors de la récente coupe du monde U17. Assez athlétique (1m82, 68 kgs), ce pur numéro 9 est vif, adroit et se signale par ses très bons déplacements. 

Aurillac ne messied pas à Messaoudi

12/11 10:57

Auteur d'une apparition avec les pros le 20 décembre 2008 contre Auxerre,  Mehdi Messaoudi (24 ans) nous informe qu'il s'est engagé il y a deux semaines avec Aurillac en CFA2. "Beau challenge en perspective" nous a confié l'ancien défenseur central stéphanois. Bourreau de l'ASSE en Coupe de France (en 1996 et en 2002), le club auvergnat a vu défiler pas mal d'anciens Verts au fil des années : Thierry Oleksiak, Stéphane Hernandez, Fabien Boudarène, Quentin Lendresse, Benjamin Lardon et plus récemment Malick Faye.

On sera toujours là

12/11 10:24

Si on vous dit série, longue série, série d'une vingtaine d'années... Aussitôt vous soupirez, la lassitude vous gagne ? Oui, mais non. Il s'agit de l'affluence à Geoffroy Guichard. Avec 37 587 spectateurs, le match de dimanche constitue la meilleure affluence du siècle dans le Chaudron ! Il faut remonter à 19 ans, au 5 février 1994 lors d'un Saint-Etienne - Marseille pour retrouver une plus grosse affluence à GG (40 017 spectateurs ce soir là).
Désormais la moyenne de spectateurs présents à GG cette saison s'établit à 30 401, la meilleure de l'histoire de l'ASSE.

Ruffier tacle Aulas (2)

12/11 10:08

Après s'être exprimé hier dans Le Parisien, Stéphane Ruffier adresse un nouveau tacle à Jean-Michel Aulas dans la Pravda du jour. Extraits.

 

"Comme chaque année après les matches contre les Lyonnais, il y a eu une réflexion d'un membre de leur staff. A partir de là, une échauffourrée a commencé sans moi. Au moment où j'arrive dans le couloir, je vois Fabrice Grange poussé par pas mal de monde autour de lui. Je me retrouve alors pratiquement à ses côtés. Et là, Monsieur Aulas arrive pour faire son shérif. Comme d'habitude. Je l'ai tout simplement repoussé d'une main, comme peut-être une dizaine de joueurs se sont repoussés dans le couloir. Ni plus, ni moins. Aucun n'est d'ailleurs allé faire des déclarations dans la foulée devant une caméra de télévision. 

 

Vous croyez sincèrement que si j'avais frappé Monsieur Aulas dans le dos, il serait allé faire une interview en direct dans le Canal Football Club trois minutes après ? Je ne le pense pas. A aucun moment je ne lui ai porté un coup de poing, encore moins par derrière. Je l'ai juste repoussé, ça oui. Mais c'est du Jean-Michel Aulas tout craché. Christophe Galtier a très bien parlé après le match quand il a dit que "s'il y a en France un président qui a l'art de retourner les évènements en sa faveur, c'est bien Jean-Michel Aulas." Ce n'est pas la première fois. Sauf que là, Monsieur Aulas est allé trop loin. Ses propos sont très déplacés, honteux et scandaleux. Monsieur Aulas est un menteur.

 

Contrairement à ce que beaucoup de gens peuvent penser, je suis quelqu'un de calme et de très respectueux. Je n'ai jamais eu aucun geste déplacé envers un joueur ou un dirigeant adverse. Cela ne m'a jamais traversé l'esprit d'aller frapper un adversaire. Cela n'entre pas dans mon éducation. Et là, j'aurais tapé un homme de soixante ans, qui plus est président, et de Lyon ? Cela n'a pas de sens ! Croyez-moi, j'ai la tête sur les épaules. Je suis très très serein avec cette histoire. Je l'affirme et le répète haut et fort : les déclarations de Monsieur Aulas sont fausses. Chacun s'est repoussé en disant "on se calme." Il y a des témoins pour corroborer mes propos. J'espère qu'on retrouvera également des images, elles parleront d'elles-mêmes. et vous verrez alors que Monsieur Aulas a menti !"

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