Nanard se marre

31/12 17:25

Les rumeurs mercatiques dont se repaissent les sites et autres médias peinant à meubler la trêve hivernale font marrer Bernard Caïazzo sur Eurosport.

 

"Nous aurons trois recrues cet hiver, nos trois blessés de longue date : Clerc, Saint-Maximin et Erding. C'est tout. Notre groupe ne bougera pas sauf opportunité exceptionnelle. L'intérêt d'Arsenal pour Perrin et de la Roma pour Ruffier ? Ce sont les rumeurs habituelles, il faut bien vendre du papier. Ils ont signé un nouveau contrat avec nous en octobre. Vous croyez vraiment que Galtier au milieu d'une saison où il joue le podium partirait comme un voleur pour un club comme Newcastle ? Christophe n'est pas un homme d'argent. Il est là depuis des années et s'est engagé dans un projet. Les rumeurs le concernant, comme celles qui concernent Ruffier et Perrin : c'est du pipeau ! 

 

Nous ne sommes pas obligés de vendre cet hiver pour boucler notre budget. Nous avons anticipé et nous suivons notre chemin. Aujourd'hui, nous sommes quatrièmes et nous surperformons. Je rappelle que nous avons la moitié du budget de l'OM et de l'OL. Bafé Gomis reviendra un jour à Saint-Etienne, c'est évident. Il ne signera pas lors de ce mercato, c'est trop tôt. Mais il finira sa carrière ici et pas à 38 ans. Quant à Sanogo, il n'en a jamais été question. On ne veut pas empiler les postes. Nous ne sommes pas dans une démarche de recrutement, on privilégie l'interne, notre effectif qui est déjà fourni."

Un ancien Vert en Isère

31/12 15:17

Selon le site GF38 historique, Kamel Chergui (21 ans) est à l'essai depuis avant-hier à Grenoble, club partenaire de l'ASSE. Leaders du groupe C de CFA, les Isérois recevront l'OM en Coupe de France dimanche au Stade des Alpes. Pour rappel, l'ancien milieu de terrain stéphanois a joué cette saison en CFA 2 avec l'équipe réserve d'Auxerre.

Les Amazones : présentation de Morgane Courteille

31/12 12:51

Yoel Bardy via sa page Facebook ASSE-FEMININES a eu la bonne idée de présenter les joueuses de l'équipe féminine sous forme d'interviews filmées.
Aujourd'hui, présentation de Morgane Courteille, la capitaine des Amazones.

Age : 27 ans.
Poste : défenseuse.
Lieu de naissance : Pontoise.
Taille : 1.68 m.
Clubs précédents : PSG, CNFE, Montpellier, à Sainté depuis 2009.
Sélections : U21 (3), U20 (3), U19 (10).
Carrière en L1 : 173 matches (dont 88 avec l'ASSE), 12 buts (dont 4 avec l'ASSE).

Deux Verts dans le nid d'aigles

31/12 11:16

L'ex-Vert Henry Kasperczak a d'abord communiqué une première liste de 35 joueurs Maliens pour la CAN.

 

Puis il a réduit la liste à 23, et sans surprise, Fouss Diawara et Baky Sako y figurent.

 

En Guinée Equatoriale, nos deux ex-Verts croiseront la route de trois Verts actuels : le Mali affrontera en effet la Côte d'Ivoire (de Gradel et Diomandé) le 24 janvier puis la Guinée (de Pogba) le 28 janvier.

Carré compare Cartier à Galtier

31/12 09:19

Ancien adjoint de Jean Fernandez chez les Grenats, David Carré compare l'entraîneur du FC Metz à son homologue stéphanois dans les colonnes du Luxemburger Wort.

 

"Il faut absolument calmer les débats et se dire que les Messins ne sont qu'à trois points du onzième. J'ai lu certaines choses qui m'ont surpris, dont un "Cartier a chaud aux fesses", qui me déçoivent. Encourageons et soutenons Albert Cartier ! Je voudrais préciser que lors des deux dernières saisons, il a gagné près de cinquante matches officiels et qu'il n'y a que Christophe Galtier qui a fait jeu égal, même si ce dernier a réussi cette performance en L1. Albert est en train de chercher des solutions et franchement, je ne suis pas inquiet pour le FC Metz."

 

 

 

 

Loulou parle de Curko et Roro

31/12 09:04

Dans la Pravda du jour, Louis Nicollin parle du du mythique gardien de l'épopée des Verts et du président du directoire de l'ASSE.

 

"Avant sa mort, Roger Rocher m'a offert un tas d'objets légendaires, avec interdiction de les refourguer à l'ASSE. J'ai notamment le fameux rapport Curkovic. la moitié est tapée à la main, l'autre à la machine. C'est une sorte d'audit que Rocher avait demandé à Curko sur l'ASSE et son avenir, les joueurs à garder, à ne pas garder. Garonnaire, Herbin, etc. C'est bon, il y a des trucs.

 

Je suis un peu fâché avec le président de Saint-Etienne Roland Romeyer. [ndp2 : en juin 2013, Loulou a été condamné à verser 5 000 euros à Roro par le TGI de Sainté]. Mais si je le vois dans la rue, je lui dirai bonjour. Les gens savent que je pars facilement, mes conneries sont gentilles. Mon ami Michel Platini me conseille de surveiller mon langage, il a raison. Mes parents parlaient bien, et si je veux, je parle bien. C'est pas beau la vulgarité. j'essaie de la chasser mais elle revient connement."

 

 

Pogba, la force tranquille

30/12 14:06

Dans la dernière édition du Parisien, Galette parle de Florentin Pogba, qui vient d'être sélectionné aujourd'hui par Michel Dussuyer pour disputer la Coupe d'Afrique des Nations avec la Guinée.

 

"Au quotidien, Florentin existe par lui-même, et pas en tant que frère de, ce qui doit être difficile. Ses coéquipiers lui en parlent, mais il reste discret. A l'intérieur, il doit être admiratif, mais il est très protecteur de son frère. On sent bien que ce n'est pas lui le petit, qu'il est l'aîné. Pendant les mises au vert, on a regardé des matches de la Juve. Il râlait. "Il faut que je lui dise de ne pas faire ça !" Il y a des similitudes entre Paul et Florentin. Ils dégagent une certaine force tranquille, il faut faire atttention à ce que ce ne soit pas de l'excès d'assurance. Tous les deux aiment dominer physiquement et mentalement."

 

Révélation stéphanoise de cette première partie de saison, le défenseur central des Verts retrace la genèse de la "Pogfamily". "C'est la relation qui nous unit, mon jumeau Mathias, mon petit frère Paul et moi. C'est parti il y a longtemps de Roissy-en-Brie. Chacun a un surnom. Le Dos, c'est Mathias. Il a le dos large et gonflé. Moi, on m'appelle Ya'Flo. Cela signifie "le grand Flo" en lingala, une langue du Congo. La Pioche, le surnom de Paul, ça sort d'un DVD qu'on regardait souvent, un film où jouait l'acteur ivoirien Michel Gohou. Paul évolue dans un grand club, il côtoie de grands joueurs. Grâce à ça, il progresse plus vite que nous, mais il a aussi des choses à nous apprendre. Il faut que je sois dur avec lui. C'est mon rôle, je suis son grand frère." 

 

 

Montanier pas résigné

30/12 13:49

Restant sur 3 défaites consécutives en L1, le Stade Rennais de Gelson Fernandes, 8ème à la trêve 8 points de Sainté, ambitionne toujours de jouer le haut de tableau comme l'a déclaré hier Philippe Montanier dans le journal polonais Przeglad Sportowy. "On est bien classé mais on ne peut pas s'en satisfaire. On n'a pas tiré un trait sur une qualification en Coupe d'Europe. Cependant, ça va être difficile si Paris, Marseille, Lyon, Monaco et Saint-Etienne jouent bien."

Pour Bafétimbi, c'est bonnard sans Bony ?

30/12 10:02

"Bafétimibi Gomis reviendra. C’est sûr et certain. Mais quand, je ne sais pas. Cela ne dépend pas que de nous, ni que de lui. Mais je suis sûr qu’il participera à nous faire franchir encore une étape, à nous faire entrer dans le Top 3" avait déclaré hier Nanard dans But Sainté avant d'ajouter : "Ce sera dans un futur proche. Après, est-ce que ce sera dans un futur très proche ? Je le répète : cela ne dépend pas que de nous. On ne maîtrise pas tout."

 

Le retour de Bafé n'est sans doute pas pour tout de suite. Barré par Wilfried Bony, meilleur buteur de Premier League en 2014 avec 20 pions, il pourrait en effet profiter du départ de l'attaquant ivoirien à la CAN pour jouer davantage avec Swansea. Remplaçant pour la 16e fois de la saison hier à Liverpool, l'ancien attaquant stéphanois peut en tout cas compter sur le soutien de son entraîneur et de son capitaine. 

 

"Cela a été difficile pour Bafé. N'importe quel joueur, reconnu comme lui, veut jouer et je le comprends. Il attend son heure. En janvier il aura sa chance" déclare Gary Monk dans la Pravda du jour. "Cela a été un peu dur pour lui, mais avec Wilf si performant, vous devez être patient. Avec le départ de Bony à la CAN, Bafé sera notre attaquant principal" ajoute le milieu de terrain gallois Ashley Williams.

Le Platinico

29/12 23:56

A défaut de donner le coup d'envoi comme nous le suggérions le 8 décembre dernier, Michel Platini assistera dimanche à Geoffroy-Guichard au match de Coupe de France qui opposera l'ASSE à l'ASNL, ses deux anciens clubs. Comme l'a annoncé le maire de Sainté, Platoche visitera le lendemain les installations sportives et le dispositif prévu pour l'Euro 2016.

 

En attendant, revoyons ensemble un florilège de ses plus beaux buts nancéiens et stéphanois !

 

Les sauvageons vus par Goujon

29/12 23:32

Vice président de Saint-Etienne Métropole en charge des sports et des équipements sportifs, Roland Goujon a commenté ce soir sur les ondes de France Bleu les dégradations commises ce week-end dans le Chaudron.

 

"Vraisemblablement ce sont des gamins qui ont dû escalader les grilles de l'enceinte du stade. Une fois rentrés dans le stade, ils sont passés par la pelouse et là rentrer par le vomitoire qui jouxte le salon Platini. Ils ont circulé un petit peu dans le stade, ont forcé une oux deux serrures. Ils n'ont pas fait de dégâts dans les espaces réceptifs mais par contre après ils sont descendus dans les vestiaires. Ils ont cassé les plexiglas qui protègent les maillots. Ils n'ont laissé que quatre maillots, ceux de Clerc, Moulin, Baysse et Diomandé. Les autres, ils s'en sont emparés. C'est vrai qu'on est un petit peu déçu de voir que quelques gamins peuvent pénétrer dans l'enceinte du stade. On ne peut pas parler véritablement de vandalisme parce qu'ils n'ont pas ravagé le stade mais ils ont fait quelques dégâts dont on se serait bien passé".

 

Isma et Max, yes they CAN !

29/12 18:56

Sans surprise, Ismaël Diomandé et Max Gradel font partie comme Siaka Tiéné des 23 Eléphants retenus par Hervé Renard pour disputer la Coupe d'Afrique des Nations.

 

Ils affronteront la Guinée de Florentin Pogba le mardi 20 janvier à 17h00, le Mali de Fousseni Diawara et Baky Sako le 24 janvier à 17h00 et le Cameroun le mercredi 28 janvier à 19h00.

 

Toutes ces rencontres seront à suivre en direct sur Canal Plus Sport, qui comptera notamment sur deux anciens Verts pour couvrir cet évènement : Joseph-Antoine Bell et la pipe Luc Sonor.

Piquionne et Ilunga : parce que c'était lui, parce que c'était moi

29/12 14:35

Amis sur les terrains comme en dehors, Frédéric Piquionne et Hérita Ilunga sont inséparables : après avoir évolué ensemble à Rennes, Sainté, West Ham et Doncaster, ils font aujourd'hui les beaux jours de Créteil. Sur le site officiel du club cristollien, les deux hommes évoquent aujourd'hui leurs vertes années. Extraits.

 

Sa première année à Saint-Etienne, Ilunga la fait en Ligue 2 (Saint-Etienne sera champion de Ligue 2 cette saison-là). Hérita se souvient notamment du match à Créteil (victoire 1-0 des Béliers) : "C’était un match compliqué. On domine, mais Hernandez prend un rouge à la fin… Je sais qu’on les a rejoués après en coupe l’année suivante." Frédéric Piquionne arrive l’année suivante, pour le retour des Verts en Ligue 1 (2004). "On fait une belle saison" se souvient Frédéric Piquionne. "On finit sixième et on perd en demi-finale de la Coupe de la Ligue à Strasbourg." "Ça se passe super bien", confirme Hérita Ilunga. L’année suivante, "l’année de la confirmation" comme l’appelle le défenseur, "commence très bien et finit mal". Les Verts terminent 13ème, et l’entraineur Elie Baup, part en fin de saison.

 

La troisième saison en Ligue 1 de Saint-Etienne laisse de très bons souvenirs aux deux joueurs. "On repart super bien avec Ivan Hašek !" s’exclame Hérita Ilunga. Piquionne ajoute : "On perd le premier match à domicile contre Sochaux, et après c’était l’autoroute ! Tu venais au Chaudron : t’en prenais trois minimum ! Ça débarquait de partout ! Avec des joueurs comme Landrin, Dernis, c’était abusé ! Ce qui est dommage, c’est que je pars à Monaco à la mi-saison, quand on est troisième, mais ça a été six mois exceptionnels ! Ce qui est dommage, c’est qu’on n'a jamais rien gagné ensemble." Et Ilunga rajoute : "Pourtant, t’avais ce qu’il fallait pour remporter quelque chose ! Il y avait les joueurs, la mentalité, l’ambiance… Quand Fred est parti de Saint-Etienne, on était troisième ! Et franchement, si on avait été premier, personne n’aurait crié au scandale ! A ce moment-là, on marchait sur l’eau. Mais après, on arrivait à rien…" Frédéric Piquionne : "En tout cas je trouve qu’il y a un vestiaire super bien à Créteil, et ça me rappelle un peu les ambiances qu’on a connues à Saint-Etienne !"

 

Un Parent apparaît

29/12 13:35

Responsable pendant trois ans de la com’ de l’US Boulogne, Nicolas Parent a rebondi dans l’un des clubs les plus populaires de l’Hexagone : l’A.S. Saint-Étienne. Il s'est confié à La Voix du Nord. Extraits.

 

"J’ai eu vent du poste vacant par une connaissance qui gravitait dans le giron de l’ASSE. J’ai donc postulé. Je pense que ma polyvalence relationnel-rédaction a plu au président Romeyer. Je suis donc rattaché à Philippe Lyonnet, le dir com et j’occupe la fonction d’attaché de presse du groupe A. Bosser dans un club aussi prestigieux n’est pas forcément facile, mais c’est super excitant car Sainté a une cote d’amour exceptionnelle. Je m’en rends compte à chacun de mes déplacements. Pour le reste, c’est une tâche intense, notamment avec la Coupe d’Europe en plus. Nous sommes huit à la com’. Je m’occupe comme à Boulogne des points-presse, des demandes spécifiques pour certains joueurs. On doit aussi bosser pour le Musée des Verts. Il faut venir le visiter. C’est super.

 

Honnêtement, c’est le top niveau. Christophe Galtier est clair, très carré. Moi je propose, lui dispose, selon la période, la pression. C’est vraiment très intéressant de bosser avec un monsieur de cette trempe. Il y a un grand respect des joueurs envers lui. Personne n’arrive en retard. Il est là depuis longtemps et connaît tout des rouages du club. J’apprends tous les jours. Comme tout changement assez brutal, l’adaptation dans le Forez n’est pas évidente dans un premier temps, puis on s’adapte. Ma copine va venir vivre à Saint-Etienne en début d’année. J’ai passé neuf ans dans le Nord au total et là, je suis ici, dans le Forez."

Sainté sur son 31

29/12 10:17

Alors que l'ASNL reprend l'entraînement dès aujourd'hui pour préparer au mieux son 32e de finale de Coupe de France programmé ce dimanche dans le Chaudron à 14h15, les Verts ne réattaquent qu'après-demain selon L'Est Républicain. Comme le rappelle le quotidien, Galette a octroyé deux jours de congés supplémentaires à ses joueurs pour les récompenser de leur bonne première partie de saison.

Cétout à son honneur

29/12 09:20

Alors que son entraîneur et ses coéquipiers ont fait la moue en apprenant le tirage au sort des 32es de finale de Coupe de France, Julien Cétout est ravi de replonger dans le Chaudron. "Je garde un bon souvenir de mon passage chez les Verts même si je n’ai pas signé pro là-bas. Geoffroy-Guichard, c’est un stade fabuleux !" a déclaré le Nancéien dans L'Est Républicain. Pour rappel, l'ancien Tourangeau a passé quatre ans au centre de formation de l'ASSE, de 2004 à 2008. 

Mev lève toi !

29/12 09:09

Mevlut Erding a annoncé sur son compte Instagram qu'il reprenait aujourd'hui l'entraînement avec 48 heures d'avance sur ses coéquipiers. Auteur de 3 buts en 10 matches, l'international turc a vécu une première partie de saison perturbée par deux blessures à la cuisse, le 28 septembre contre Marseille et le 12 novembre contre le Brésil.

Tavla au Pana

28/12 20:36

L'ancien défenseur central des Verts Stathis Tavlaridis, qui fêtera ses 35 ans le 25 janvier, a signé un contrat de six mois plus un an en option avec le Panathinaikos selon le site officiel de l'Atromitos FC, dont il aura porté les couleurs pendant deux ans et demi. Pour rappel, Tavla avait claqué contre le Pana le 30 avril dernier.

Mirallas claque mais perd chez Rivière

28/12 20:12

Du pied droit, Kévin Mirallas a marqué en début de soirée son 7e but de la saison (le 5e en Premier League) sur le terrain de Newcastle, qui a remporté 3-2 ce match de la 19e journée. Entré au cours de la seconde période comme son ancien coéquipier stéphanois, Manu Rivière n'a toujours pas trouvé le chemin des filets dans le championnat anglais en dix apparitions avec les Magpies.

 

Rectifiez le tir ! (3)

28/12 14:37

Cinquième équipe de L1 au nombre de tirs (232) à la trêve derrière l'OM (308), les vilains (281), les Merlus (250) et le QSG (238), l'ASSE n'est que 17ème au classement des tirs cadrés (32,3%). Seuls le TFC (31,1%), le SM Caen (30%) et l'ETG (26,1%) sont plus maladroits que les Verts devant la cage.

Muratori te salutat

28/12 09:14

Vincent Muratori espère trouver enfin le chemin des filets dans une semaine à l'occasion de son 150e match en pro. "Que ce soit avec l’AS Monaco ou avec l’ASNL, je n’ai encore jamais eu la joie d’être buteur" explique le défenseur nancéien dans L'Est Républicain. "Je joue en pro depuis 2007. J’aimerais vraiment que ce premier but arrive en 2015. Pourquoi pas le 4 janvier à Saint-Etienne ?"

Le Tallec ne perd pas le Nord

28/12 08:55

Elu "Valenciennois de l'année 2014" par La Voix du Nord, l'ancien attaquant stéphanois Anthony Le Tallec (30 ans) s'est longuement confié au quotidien. Extraits.

 

"J'ai besoin de confiance pour donner le meilleur. Je suis un affectif. C’est malheureux à dire mais c’est sans doute pour ça qu’il y a des bas et des hauts dans ma carrière. Le coach ne me lâche pas. Tous les jours, il me répète que mon attitude est importante, que tout le monde me regarde, que je suis l’exemple. J’en attrape mal à la tête, il me saoule… Mais à force, ça rentre, c’est là. Et je donne tout. Avec Casoni, c’est comme ça. On se rentre dedans mais avec beaucoup de respect. Il a du caractère et j’aime ça.

 

Je fais quand même une belle carrière. Elle aurait pu être meilleure, c’est certain, je le sais. Mais je réalise mon rêve, je suis pro, je vis bien. J’ai joué en Angleterre, la coupe d’Europe. C’est vrai que je suis ambitieux de nature et qu’à un moment donné, j’aurais aimé toucher l’équipe de France A. J’ai été présélectionné trois fois. Au Mans, à Auxerre avec Laurent Blanc. À VA on en a parlé un peu quand j’ai fait mon super début de saison. Ce n’est pas passé si loin. Je suis pro depuis seize ans et j’avais du potentiel, je le sais, on me l’a dit. J’aurais pu et aimé aller voir au plus haut niveau. 

 

Remonter en L1 avec VA ce serait un vrai kif après tout ce qui s’est passé. Je ne cache pas non plus que l’étranger me tente encore. Surtout l’Angleterre. Une bonne D2 anglaise, ça me plairait. L’Angleterre, c’est un tout, une ambiance. Je connais et je me dis que je suis fait pour ce foot-là. Dans les vestiaires, il y avait de la musique, des mars, des kit-kat, c’était n’importe quoi, aucune pression. Mais dès le coup d’envoi, c’était parti. La bataille, à fond ! En France on se prend la tête à décortiquer l’adversaire. Là-bas, pas de ça. Il faut gagner tes duels. Les supporters aiment ça. Ils aiment les joueurs, ils applaudissent le pressing. Alors qu'ici, on aime surtout ceux qui marquent. Mais c’est la mentalité française.

 

J’ai un business au Havre, un Soccer Five. J’adore. J’ai trois terrains et je voudrais agrandir. Ça marche vraiment bien, on refuse du monde. J’ai embauché mes amis d’enfance. Deux étaient avec moi au centre de formation et n’ont pas percé. C’est très important de garder ses amis. J’aime avoir leurs avis. La famille et les amis, c’est tout ce qui compte, j’ai besoin d’être entouré. Et en avançant dans la carrière, je sais sur qui je peux compter. Avant j’étais enfermé dans ma bulle, déçu par le monde pro, les requins, les critiques. Maintenant je sais gérer l’environnement. C’est dommage qu’au centre de formation, on n’apprenne pas tout ça. La communication, l’argent, les médias, les caméras, tes nouveaux amis… ça tombe d’un coup sur toi, ce n’est pas évident."

Gomis, père et fils

27/12 17:34

Lors du Boxing day, vendredi, Bafé Gomis était une nouvelle fois sur le banc. Son fils était venu supporter son père en compagnie de son parrain, l'ex-stéphanois Mouhamadou Dabo. Hélas, alors que Swansea s'est imposé face à Aston Villa (1-0), Bafé n'est pas entré et a ensuite commenté une amusante photo postée sur son compte Instagram. "Dione voulait voir son papa jouer, mais à force d'attendre le sommeil l'a rattrapé. Ne t'en fais pas mon fils, tout vient à point à qui sait attendre."



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Ah, Correa crie !

27/12 14:44

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L'entraîneur de l'ASNL peste après la tirage au sort des 32èmes de finale dans L'Est Républicain.

 

"On va jouer à l’extérieur pour la dixième fois d’affilée dans cette compétition depuis 2011. Avant le tirage, quand j’ai vu les 64 équipes réparties en 4 groupes et quand j’ai constaté qu’il y avait Toulouse dans notre groupe, j’ai pensé : "Tiens, avec notre chance, on va aller à Toulouse !’’. Finalement, avec Saint-Etienne, on aura 300 kilomètres de moins à parcourir... Le défi sportif sera excitant, mais qu’on ne me dise pas que les groupes sont faits en tenant compte de critères géographiques ! On pouvait aussi affronter Bordeaux et Bastia… Faire quatre groupes comme ça, c’est juste pour éviter trop d’affiches entre L1. C’est une manière d’orienter le tirage alors que j’entends partout que la Coupe de France est la Coupe populaire ouverte à tout le monde."

Gradel au bon coin

27/12 11:08

Max Gradel est le joueur de L1 qui a tiré le plus de corners (58) depuis le début de saison devant le Toulousain Wissam Ben Yedder (57) et le Marseillais Florent Thauvin (55). Au nombre de coups de pied de coin, l'ASSE (119) est deuxième à la trêve derrière l'OM (122).

 

Le plus beau corner de la saison ? Incontestablement celui-là !

 

Pas de Diakhaté contre Sainté

27/12 10:59

Dans L'Est Républicain, Pablo Correa pointe les lacunes défensives de son équipe, qui affrontera Saint-Etienne dans le Chaudron le samedi 4 janvier à 14h15 en 32e de finale de Coupe de France. Mais l'entraîneur nancéien refuse d'enrôler un joueur qui avait fait un bien fou à l'ASSE lors de ses 5 mois sous le maillot vert...

 

"Pour le dernier match avant la trêve, on avait fait une séance vidéo avec Vincent Hognon pour dire que Clermont était dangereux sur les coups de pied arrêtés. Résultat, on a pris un premier but sur corner, puis un deuxième sur coup franc ! On a encaissé vingt buts en dix-huit matches de championnat. Avec de telles statistiques défensives, c’est impossible de prétendre à l’une des trois premières places du classement. Même ma mère peut le comprendre, pourtant elle ne connaît rien au football ! Pape Diakhaté s'entraîne avec la réserve en forêt de Haye depuis plusieurs semaines. Son expérience nous ferait du bien, c’est certain, mais sa signature n’est pas d’actualité. Il n'a pas joué en compétition depuis un moment et on ne peut pas vraiment savoir ce qu’il serait en mesure de nous apporter sur le terrain jusqu’à la fin de la saison."

 

Sainté, centre 2

27/12 10:44

A la belle vue des stats de la Ligue qu'on adule, on se rend compte qu'au nombre de centres, l'ASSE (506) est deuxième à la trêve derrière l'OM (517), les vilains (332) étant avant-derniers. 

Aubame est bien entouré

27/12 09:58

La CAF (Confédération Africaine de Football) a désigné hier les trois finalistes pour le titre de joueur Africain de l'année. Relégable avec Dortmund à la trêve, Aubame (5ème l'an dernier) en fait partie avec le Lillois Enyeama et Yaya Touré. L'international ivoirien, tenant du titre, est le grand favori et pourrait décrocher le titre pour la 4ème fois.

L'ASSE et ses fans

26/12 20:39

Le site de la Pravda a publié le classement Facebook des clubs de L1. L'ASSE n'apparaît qu'à la 7e place derrière Bordeaux avec un peu plus de 500K fans.

Le classement :

1/ QSG : 15 702 512
2/ OM : 3 963 942
3/ Monaco : 2 037 380 (+1)
4/ Vilains : 1 791 593 (-1)
5/ LOSC : 548 884
6/ Girondins de Bordeaux : 522 945
7/ Saint-Etienne : 506 432

Je rêvais d'un autre Monde

26/12 16:27

En ce jour de la Saint Etienne, Le Monde consacre un nouvel article à notre chère ville. Extraits.

 

"Retour en arrière. C’est un article plutôt ordinaire, publié en tête de page 11 de l’édition pas plus extraordinaire du 9 décembre, qui a mis le feu aux poudres. Intitulé « A Saint-Etienne, le centre-ville miné par la pauvreté », il pose la capitale du Forez comme l’illustration grandeur nature d’un phénomène mis en avant dans une étude de l’Insee et bien connu des géographes et urbanistes : celui des agglomérations où habitants aisés et classes moyennes font leurs valises pour s’installer en périphérie, de préférence dans des maisons individuelles, laissant le cœur des villes à leur dénuement. La journaliste Sylvia Zappi, qui s’est rendue sur place, décrit la décrépitude de certains quartiers, notamment ceux de Beaubrun et de Tarentaize, comme l’on tire une sonnette d’alarme. Elle narre en introduction des « immeubles délabrés qui donnent le bourdon », « des façades couvertes de suie », « des bâtisses qui tombent en ruine », et dépeint l’ancienne cité de Manufrance comme la « capitale des taudis ». La prose est subjective, comme peuvent parfois l’être des descriptions de reportages, et ne cherche pas à s’en cacher. Les mots sont stridents, ils ne se veulent pas blessants. Raté. Ils l’ont manifestement été.

 

Déluge de courriers, avalanche de réactions sur Twitter, pluie de réactions acides, courroucées ou désabusées sur le site Internet du Monde… Voilà bien longtemps qu’un article, dans une institution qui vient de fêter ses 70 ans, n’avait suscité pareille levée de boucliers. Une chronique du médiateur s’est emparée de cette affaire, donnant largement la parole aux mécontents. Mais elle n’a pas circonscrit le brasier. La polémique s’est invitée, samedi 21 décembre, jusque dans les travées du stade Geoffroy-Guichard, le temple de l’AS Saint-Etienne, dans cette ville où le foot tient une place centrale. De mémoire de journaliste du Monde, on n’avait jamais rien vu de semblable. Une gigantesque banderole, large comme le terrain, a été déployée par les supporteurs, avec cette apostrophe personnalisée : « Descend (sic) dans le taudis, on va t’apprendre à refaire Le Monde ». 

 


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Contesté sur la forme, l’article du Monde ne soulevait pas moins un sujet très sensible dans la ville, et que personne ne conteste : celui d’un centre qui se dévitalise. « Le problème existe, je ne le nie pas, mais on essaie de faire venir des investisseurs », assure M. Perdriau. « C’est sûr que, ces dernières années, de nombreuses familles de classe moyenne sont parties en périphérie, comme dans beaucoup d’autres villes », admet en écho M. Vincent. Et les différentes municipalités, les unes après les autres, n’ont pour l’heure pas trouvé la martingale qui permettrait de remédier à ce phénomène. Comment ce mouvement de fronde contre Le Monde a-t-il fini par s’exprimer jusque dans les tribunes du stade Geoffroy-Guichard ? Mystère. Les membres des Magic fans – le groupe de supporteurs qui a déployé la banderole – que nous avons contactés ne nous ont pas répondu. « L’expression des supporteurs est libre », assure Philippe Lyonnet, le directeur de la communication des Verts. Cet ancien journaliste de L’Equipe, qui connaît par cœur son anthropologie footballistique, note tout de même un particularisme bien local : « Ici, les gens ne défendent pas qu’un club, mais un territoire. » A Saint-Etienne, on ne dit pas aux joueurs de foot de « mouiller le maillot », pour les inciter à courir, mais d’« aller à la mine ».



Et si le nœud était-là ? Tel article aurait-il, ailleurs, suscité pareille indignation ? Rien n’est moins sûr. « Il y a ici une fierté particulière, héritée de l’histoire. La ville a beaucoup souffert il y a une quarantaine d’années, lorsque son industrie minière et métallurgique s’est effondrée. Il y a une solidarité, une chaleur », veut croire M. Perdriau. « On se bat ensemble depuis des décennies », appuie M. Pigeon. Ce cliché-là, personne ne le rejette. Tant pis s’il masque aussi, peut-être, une réalité un peu plus complexe. « Historiquement, Saint-Etienne est une double colonie industrielle, sous l’influence de Paris – de l’Etat – et de Lyon. C’est un territoire de gens venus d’ailleurs, pour des raisons économiques. C’est un territoire qui a connu une crise psychologique majeure, qui s’en est plutôt bien tiré, mais qui a parfois tendance à se voir mourir. Il y a ici, plus qu’ailleurs, une absence de sérénité face au passé et une difficulté à se trouver un chemin d’avenir, qui explique peut-être la virulence des réactions », estime Philippe Peyre, le directeur-conservateur du Musée de la mine."

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