Elias a souri à Téléfoot

08/01 09:59

Le site de Téléfoot a publié hier un portrait d'Elias Achouri, jeune attaquant stéphanois qui s'illustre avec les U17, comme vous pouvez le voir dans les potins consacrés aux résultats de son équipe. On y apprend peu de choses, sinon que ces idoles sont Neymar et Eden Hazard, et qu'il rêve de jouer pour le Real ou le Milan AC. Pour les Verts aussi, on espère.

 

En revanche, voir en une un gamin qui n'a pas connu France 98 (Elias est né en 1999) : on grisonne, vieux mastres que nous sommes, on grisonne...

Bergougnoux, c'est vilain !

08/01 07:09

Toujours aussi vilain, l'attaquant tourangeau Bryan Bergougnoux évoque dans 20 Minutes le 16e de finale de Coupe de France qui opposera son équipe aux Verts au stade de la Vallée du Cher le mercredi 21 janvier à 19h00.

 

"C’est comme si j’allais remettre le maillot de l’OL pour ce match! Je sais que ça ferait plaisir à beaucoup de monde que j’arrive à éliminer les Verts. Derrière, j’aurai droit à un 8e de finale à Gerland... Je regarde presque tous les matchs de l’OL, ainsi que le Barça car ce club me fait rêver aussi. L’OL a le plus beau fonds de jeu de L1 et il doit croire au titre."

 

 

Magique Hellebuyck !

07/01 22:36

Entraîneur-adjoint des U19 de l'OGC Nice depuis un mois, David Hellebuyck (35 ans) est revenu avant-hier sur ses vertes années dans un entretien accordé à la webradio parsienne Oh Ville Lumière.

 

"Mon passé lyonnais n'a posé aucun souci quand je suis arrivé à Sainté.  Je ne suis pas Lyonnais d'origine, je viens de l'Ain. Et ouais, moi je suis de Bellegarde-sur-Valserine ! De toutes façons, je n'ai jamais trop prêté attention à cette rivalité, c'est pour ça que je suis venu sans problème à Saint-Etienne. A partir du moment où tu t'investis dans le club, que tu donnes le maximum, les gens le ressentent. Sportivement, mon expérience à Sainté n'a pas très bien commencé mais ensuite ça s'est bien passé. Ce qui est dommage, c'est que je n'ai pas réussi à gagner contre Lyon. Mais c'était la période où Lyon était intenable.

 

J'ai joué près de 200 matches sous le maillot vert, et notre titre de D2 reste un moment super. Même si ce n'est qu'en D2, être champion à Saint-Etienne, c'est vraiment magique !  En plus ça s'est fait lors du dernier match, on a marqué le but du titre dans les dix dernières minutes. C'était à domicile, c'était vraiment une super ambiance, un moment à vivre ! J'ai aimé Frédéric Antonetti mais aussi Elie Baup. Avec Sainté, je suis allé deux fois en demi-finale de coupe, on avait fait de beaux parcours mais on n'a pas réussi à aller au bout. Mais les Verts ont réussi depuis à gagner une coupe, je suis bien content !"

La Ruff' dans le goal gotha européen

07/01 17:33

Le twitter officiel du club relaie une infographie de Canal +, qui met en lumière l'excellente année 2014 de Stéphane Ruffier :
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Avec 76,8% de tirs arrêtés, la Ruff, en excellente compagnie, se classe 6è européen, 2è du championnat de France, et premier français.

Muet Charlie

07/01 17:27

La LFP annonce sur son site officiel qu'une minute de silence sera respectée avant Reims-ASSE, comme pour tous les autres matches du week-end, en mémoire des victimes de l'attentat perpétré aujourd'hui dans les locaux de Charlie Hebdo.

Un mercredi soir à Tours

07/01 15:34

La FFF a dévoilé le programme télé des seizièmes de finale de la Coupe de France - et donc, au passage, les horaires définitifs des matches.

 

Tours accueillera donc l'ASSE mercredi 21 janvier à 19h, sous les caméras d'Eurosport.

Le Mou y va fort

07/01 11:33

Après sa belle prestation en Cup face à Watford, Zouma a pu entendre son coach lui adresser un véritable dithyrambe :

"Kurt a livré une performance fantastique. Chaque fois que Zouma joue, il joue tellement bien. Il a fait des erreurs de positionnement lors de la pré-saison contre le Werder Brême et en Hongrie. Il se concentrait beaucoup sur son vis-à-vis mais pas suffisamment sur l'espace, les autres joueurs et le jeu de zone. Mais il a beaucoup et bien appris et sa condition physique est incroyable." (tiré du London Evening Standard, avec un relai de goal.com).

 

Notre p'tit Kurt en est à sa 7è titularisation en coupes nationales et européennes, mais attend toujours la première en championnat.

Guilavogui au frais mais pas frileux

07/01 07:22

Après avoir quitté Michaël Manuello pour Etienne Mendy et après s'être désengagé du fonds d'investissement Doyen Sports qui détenait les droits de propriétés sur lui, Josuha Guilavogui revit à Wolfsburg. L'ancien milieu de terrain stéphanois s'en explique dans la dernière édition de France Football.


"Mon transfert à l'Atletico Madrid n'aurait pas plus mal se passer. Quand on prépare un transfert, il faut réaliser un travail en amont, et pour moi, ce travail n'a pas été fait. Les nuits étaient courtes. Quand tu es jeune et que tu arrives en Espagne pour ton premier transfert à l'étranger, tout est différent. Lorsque j'ai débarqué à Madrid, le coach ne me parlait pas. Il ne me connaissait même pas. D'ailleurs, il n'était au courant ni de mon transfert, ni de mon arrivée. Ça, j'en suis certain, parce que lors des premiers entraînements, il m'appelait "Josué." J'aurais dû faire preuve de plus de fermeté quand j'insistais pour discuter avec lui. Mais cette expérience m'a beaucoup changé. Maintenant la page est tournée et je n'en veux à personne. Avec Simeone, il faut se mettre au diapason. C'est la grinta mélangée avec beaucoup de tactique. Lors des entraînements, tout le monde tacle, tout le monde sprinte, tout le monde crie. Moi, j'ai eu du mal à m'adapter à tout ça parce que je ne suis pas quelqu'un qui crie ou qui met des coups à l'entraînement. Maintenant, je sais faire aussi, grâce à Simeone.


J'ai expérimenté le côté le plus difficile du foot. Lorsqu'on t'enlève le terrain, ta vie s'effondre. Plus rien n'a alors d'importance. Tu te fous de tout, tu te fous de bien gagner ta vie, d'avoir une belle maison ou même d'être dans une belle ville. Tu te fous aussi de vivre au soleil… Aujourd'hui je suis à Wolfsburg, il fait très frais, la ville est beaucoup plus petite que Madrid, mais j'ai le sourire, je suis heureux. Et ça, ça n'a pas de prix. Certains ont pu s'étonner de mon choix, mais au vu de cette première partie de saison, les résultats montrent que je ne me suis pas trompé. Je suis fan de la Bundesliga. C'est très différent de la Ligue 1, plus frileuse. Chez nous, quand une équipe prend un point à l'extérieur, on considère que c'est un bon point de pris. En Allemagne, on ne raisonne pas comme ça. On joue toujours pour gagner. J'ai envie de m'inscrire dans la durée avec Wolfsburg. Maintenant, je vis au jour le jour. Lors de mes débuts avec Sainté, tout allait pour le mieux, j'ai gagné un titre, j'ai intégré l'équipe de France, je rêvais en grand. Après je pars à l'Atlético, et là, boum ! je commence à douter : "Est-ce qu'un jour je vais recommencer à enchaîner de bonnes performances ?" Six mois plus tard, je pousse un gros ouf de soulagement. Tout va si vite…"

Paga pas gai

06/01 22:17

Dur dur d'être un bébé du foot ! Laurent Paganelli se dévoile comme jamais dans un entretien paru aujourd'hui dans France Football. Extraits.

 

"J'ai été repéré à treize ans et demi, j'étais à la MJC Avignon. Je suis allé faire les sélections du Sud Est, lesquelles m'ont permis d'intégrer l'équipe de France qui disputait le Tournoi de Montaigu, dont la finale était retransmise à la télé. On a gagné 6-1 et j'ai marqué trois ou quatre buts. Dès le lendemain, un gars du PSG est venu à la maison pour faire une proposition à mes parents. Puis d'autres clubs le surlendemain. J'ai choisi Sainté plutôt que Nantes parce que c'était l'équipe du moment et que c'était plus proche de chez moi.

 

Je me souviens très bien de mon arrivée à Sainté. J'avais débarqué durant l'été 1978. Il y a eu une cascade de blessés dans l'équipe première et je me suis retrouvé aussitôt à l'entraînement avec les pros. C'est pour ça que j'ai joué tout de suite. Trois mois plus tôt, je collais les étiquettes Panini des mecs que j'avais en face de moi. Ça me dépassait totalement. Je n'étais pas du tout préparé à ce qui a suivi.

 

Je suis passé de deux entraînements par semaine à deux entraînements par jour. Le foot, pour moi, c'était un loisir. Je prenais mon ballon et j'allais taper contre un mur pendant trois heures. Je ne travaillais pas, ni techniquement, ni tactiquement. Je n'étais pas prêt non plus à quitter mon environnement, ni à me confronter avec de vrais pros. J'allais passer en classe de seconde, et j'ai arrêté mes études tout d'un coup pour me retrouver dans une chambre qui surplombait la tribune principale de Geoffroy-Guichard. J'ai vécu ça dans une insouciance totale.

 

Mon premier salaire, c'est l'équivalent de 200 euros par mois. Quand je suis champion de France l'année suivante à 17 ans, je touche 1 500 euros par mois. Il n'y avait pas de rapport à l'argent. Quand les clubs sont venus me voir, on n'a jamais parlé de ça. Tu venais pour zéro ! Et sur place, tu te démerdais. A Saint-Etienne, je resquillais pour prendre le tram.

 

Avec les pros qui avaient vécu une finale de Coupe d'Europe, c'était dur. J'étais le gamin qui devait fermer sa gueule. Les mecs avaient un vrai vécu et du caractère. Ils te bougeaient le cul. Tu étais dans la compétition tout le temps. Quand j'entends aujourd'hui qu'on parle de la rigueur de Bielsa avec ses gars… Nous on baignait là-dedans en permanence. Pour moi, ça a été un calvaire. Quand j'entre au Parc pour remplacer Rocheteau à la mi-temps, pour mon premier match, je suis en dessous de tout.

 

J'ai eu la pression tout de suite. Enorme. A l'époque, quand tu jouais, c'est que tu devais jouer. On ne calculait pas ta marge de progression et on se foutait de ton âge. On ne te protégeait pas. Quand Herbin m'a sorti contre Ipswich en Coupe d'Europe et m'a collé sur le banc pour le reste de la saison, ça a été un no man's land. Je n'ai pas compris, et il ne m'a jamais expliqué pourquoi. Herbin était un père pour moi. J'ai eu le sentiment d'avoir été abandonné. Toute mon insouciance s'est envolée, et je ne m'en suis jamais remis. Je n'avais pas la capacité mentale pour ça. Je n'étais pas préparé à monter aussi vite ni à descendre aussi vite.

 

Ma carrière a alors dérapé. Aux problèmes psychologiques, se sont bien sûr greffés des problèmes physiques. Avec le recul, et en regardant les jeunes de quinze ans aujourd'hui, je comprends pourquoi. A cet âge-là, même en étant doué, on n'est pas certain de réussir. Il y a trop de paramètres qu'on ne maîtrise pas. Moi, je n'ai pas eu le temps de grandir. C'est déstabilisant d'être starisé à quinze ans. J'étais devenu fier, arrogant. On ne peut réagir normalement quand on te monte si haut et qu'on te donne tous les surnoms de la terre. Je suis passé du "petit Mozart" à rien du tout. Etre le plus jeune joueur de l'histoire de la L1 ne m'a pas rendu service.

 

Le petit Allan Saint-Maximin me fait penser à moi. Je le vois débuter, mais je le sens déjà pressé de s'imposer. C'est souvent le cas à cet âge-là. On a des qualités, on est bon, on veut le montrer. Mais, de match en match, tu te rends compte qu'il y a encore de la distance. Le temps de la progression est toujours plus long que ce que tu crois. Chez un jeune joueur, les problèmes viennent de là. Quand tu veux faire vite, tu ne comprends pas qu'il y ait une résistance. Pourquoi je ne peux pas marquer ? Parce que tu as envie de t'imposer, tu dénatures ton jeu. Deux autres noms me viennent à l'esprit, ce sont ceux de Le Tallec et Sinama-Pongolle, dont on attendait tellement quand ils sont devenus champions du monde des U17. Mais il y a un cap à passer entre les attentes des autres et ce que tu peux vraiment donner. La maturité physique se travaille. Intellectuellement, il faut être dans la maîtrise et l'équilibre. A un moment, il faut être responsable. Mais c'est difficilement compatible avec la jeunesse.

 

Ce que j'ai vécu comme footballeur, je le traîne encore. J'avais un vrai équilibre quand je jouais. Quand on m'a tiré dessus, je n'ai pas compris. Et la cicatrice ne s'est jamais refermée. Encore aujourd'hui, mon comportement au quotidien est conditionné par cet échec.  Ça s'est joué à 19 ans. Ça fait donc 33 ans que je porte ça comme un boulet, que je traîne en moi cette absence de maîtrise. Je n'ai pas dénoué mon problème de non-réussite, parce que je n'ai jamais pu en parler avec personne. Je suis dans l'incompréhension totale. Comme un mec qui se fait larguer par sa nana sans savoir pourquoi…

 

Si j'avais vécu ça aujourd'hui, j'y aurais été mieux préparé. Désormais, on donne aux jeunes tous les atouts. On leur permet de s'acclimater, de manger sainement, de comprendre tactiquement, d'évoluer, d'aller doucement au contact des pros… Il y a des  gens qui t'entourent. On est dans la réflexion. Les éducateurs sont formés. Il y a presque un entraîneur par mec.  J'ambitionne d'être le plus vieux joueur de la L1 ! (rires) Je me suis renseigné auprès des dirigeants. Je veux faire ça avec Saint-Etienne, entrer trois minutes sur un match sans enjeu. Pour boucler la boucle. C'est peut-être le seul moyen de me délivrer du poids que je traîne."

The boy from Ipanema

06/01 21:22

Globo nous informe que José Aloisio a décidé de rechausser ses crampons deux mois et demi après avoir annoncé sa retraite. L'ancien attaquant stéphanois, qui fêtera ses 40 ans le 27 janvier, vient en effet de s'engager avec les Canaris d'Ipanema, petit club brésilien évoluant dans le championnat de l'Alagoas.

Isma et Max : Yes they CAN ? (2)

06/01 13:59

Si on en croit une brève parue sur le site officiel de la Fédération Ivoirienne de Football, Isma et Max devraient être aptes pour la CAN : "Il y a eu plus de peur que de mal pour Max-Alain Gradel et Ismaël Diomandé, blessés récemment en club. Les deux sociétaires de l’AS Saint-Etienne sont à Abu Dhabi et pourront être récupérés pour la CAN." Il nous semblait, à entendre Galette dimanche, qu'ils étaient pourtant entrés dans la lésion et seraient donc déclarés inaptes...

Un plaisir rare (2)

06/01 13:51

Comme nous l'avions déjà remarqué, ce n'est pas (plus) si souvent que l'ASSE passe le premier tour de la Coupe de France, la seule qui vaille.

 

Voir un but de Franck Tabanou se situe également assez haut, dans le classement des plaisirs rares du supporter stéphanois. Réputé à Toulouse pour ses minasses du gauche, le néo-latéral gauche n'a inscrit contre Nancy que son 5è but en Vert, mais surtout son premier de la saison.

La dernière fois que Francky avait les filets fait trembler, c'était le 23 mars 2014, face à Sochaux...d'un plat du pied droit à bout portant.

Faouzi veut effacer 2013

06/01 12:08

On se souvient qu'en 2013, la CAN n'avait pas été une grosse réussite pour Faouzi Ghoulam : éliminé au premier tour sans jouer, il avait au passage perdu sa place avec les Verts pour ne redevenir un titulaire régulier que fin avril à la faveur d'une blessure de Brison - et ajouté également une ligne à l'historique de ses relations complexes avec le club.

 

Autant dire que le Fennec attend avec impatience le rendez-vous de 2015, comme il le confie à El Watan. Extraits.

"En 2013, on a manqué de réussite alors qu’on avait pratiqué du bon football. J’ai eu des problèmes avec mon club en l’ayant quitté sans jouer de match dans cette compétition. J’espère donc prendre part à cette CAN, et surtout être à la hauteur des attentes. L’essentiel pour nous, c’est de donner le maximum pour passer ce premier tour. Nous devons être à la hauteur, imposer notre jeu résolument tourner vers l’offensive, tout en étant costauds derrière pour obtenir de bons résultats."

Le premier pour Jérémy

06/01 10:43

Face à Nancy, Jérémy Clément a inauguré les Cartons verts 2015. Champagne ! C'est également, si l'on se fie au site footballdatabase.eu, la 51è biscotte de la carrière de notre n°6, et la 14è sous le maillot vert. Propre, pour un milieu défensif.

 

Le tableau global, mis à jour par le méticuleux ozzy, nous rappelle que Tabanou n'a plus qu'un match à tenir pour être blanchi. A moins de "choisir" d'être suspendu à Tours...

 

 

Nouvelle version du tableau des suspensions après la réception de Nancy et avant le déplacement à Reims:

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.... le tableau complet des suspensions (depuis le début de saison) .... ici

quelques petites explications:
- en jaune avec un J, les cartons qui comptent toujours dans la période de 10 rencontres de compétition officielle pour une éventuelle suspension
- en jaune seulement, les cartons qui ne comptent plus
- en gris avec un S, la journée où le joueur purge sa suspension
- le S+ correspond à un match ferme assorti d'un match avec sursis
- en pointillé, les journées où le joueur est sous la menace d'une suspension en cas de carton jaune
- en gris, la journée où le joueur serait suspendu en cas de carton jaune lors du prochain match
- les joueurs libellés en rouge sont insuffisamment prêts ou indisponibles pour blessure

Le manque d'audace l'agace

06/01 08:04

Dans la dernière édition du Progrès, Robert Herbin revient sur la laborieuse qualification des Verts en 16e de finale de Coupe de France. Extraits.

 

"Nous avons bénéficié de plusieurs coups francs bien placés dont nous n’avons pas tiré profit. Il y a eu plusieurs joueurs différents pour les frapper. C’était trop. D’autre part, c’est agaçant de voir deux ou trois joueurs discuter devant le ballon avant de tirer. Je ne sais pas si c’est pour brouiller les cartes mais c’est ridicule. Je regrette aussi que les joueurs ne tentent pas plus souvent leur chance en dehors des 18 mètres, contrairement à ce qu’on peut voir dans le championnat anglais. Ils manquent d’audace. Il y en a pourtant quelques-uns qui disposent d’une bonne frappe mais ils n’y pensent pas ou alors choisissent une solution plus facile. C’est vrai que c’est une prise de risque, qu’il faut se décider rapidement mais parfois ça paye. J’en veux pour preuve le but de Tabanou." 

 

 

Chapeau Rocheteau !

06/01 07:51

Selon la Pravda du jour, Dominique Rocheteau a passé les fêtes de fin d'année au Panama où il a joué un match sous le maillot du Variétés Club de France avec ses trois fils (Romeo, Tom et Pablo).


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Dujeux enjoué

06/01 07:34

Ayant succédé à l'ancien Vert Olivier Pantaloni sur le banc du Tours FC, Alexandre Dujeux se réjouit de recevoir Sainté en 16e de finale de Coupe de France si l'on se fie à sa réaction parue aujourd'hui dans La Nouvelle République.

 

"On va accueillir un grand nom du football français. C'est une superbe affiche ! Pour nous en tout cas. Pour eux, je ne sais pas. On est vraiment content de les jouer, qui plus est à la maison.Ce club fédère toujours autant de supporters à travers la France. Saint-Étienne a une vraie identité. L'équipe a des certitudes avec de nombreuses individualités et tourne bien depuis des années. Ce sera un énorme challenge. Galtier fait du bon travail. Il a apporté de la stabilité au sein du club. Il arrive toujours à réaliser de bons résultats avec un effectif qui bouge. Cela prouve qu'il possède une vraie patte. Il a un réel savoir-faire."

 

 

A Tours au prochain tour !

05/01 20:54

Comme prévu, le tirage au sort des seizièmes de finales de la Coupe de France a été effectué ce soir à Montpellier. Alors que son club partenaire Andrézieux (CFA2) recevra les Nordistes de l'Iris Club de Croix (CFA), l'ASSE affrontera le Tours FC de Fousseni Diawara (antépénultième de L2) au stade de la Vallée du Cher le mercredi 21 janvier. 

 

Les deux clubs s'étaient déjà affrontés dans cette compétition lors de la saison 1984-1985. En 32e de finale, les Verts s'étaient imposés dans la douleur face à la bande à Guy Briet, qui avait titularisé Patrice Lestage et Omar Da Fonseca. L'unique but de la rencontre avait été marqué sur péno par Didier Gilles à la 89ème.

 

Le président tourangeau Jean-Marc Ettori annonce un exploit sur le site officiel de son club : "Nous allons recevoir un club historique, un des plus prestigieux de France. Le défi est de taille mais on peut gagner, on va gagner !"

 

En partance pour la CAN, Fousseni Diawara nous a confié sa réaction.

 

"Je suis content que les Verts jouent contre Tours mais hélas je ne serai pas là, je joue la CAN avec le Mali. Je suis très déçu de ne pas pouvoir jouer ce match de Coupe de France. J'aurais adoré retrouver l'ASSE pour la dernière fois de ma carrière peut-être... C'était une occasion inespérée de jouer contre les Verts. Mais je ne pourrai pas être là, on joue la veille contre le Cameroun notre premier match de poule. J'enverrai un message de soutien à mes coéquipiers. C'est vraiment dommage que je ne puisse pas prendre part à cet évènement. Depuis l'annonce du tirage au sort, je reçois plein de messages, sur twitter notamment. Plus j'en reçois, plus je suis dégoûté. Rien que d'en parler ça m'énerve. Mais c'est comme ça, je n'ai pas le choix !"

Tony, laisse tomber !

05/01 18:34

Dans un entretien accordé aujourd'hui à Sky Sports, Tony Cascarino milite pour la nomination de son ancien coéquipier marseillais Christophe Galtier à la tête des Magpies.

 

"Il a brillé en tant qu'entraîneur de Saint-Etienne. Il conviendrait parfaitement à Newcastle car les Magpies achètent beaucoup de joueurs français pour faire des profits à leur revente. S'ils continuent dans cette voie, Christophe Galtier aurait le profil requis pour entraîner le club. L'ASSE est actuellement quatrième en L1, les dirigeants stéphanois n'ont quasiment rien dépensé lors du dernier mercato, ils s'appuient sur leur centre de formation et se font prêter des joueurs avec succès."

Caillot rêve d'un chaudron !

05/01 17:55

Dans la dernière édition de L'Union de Reims, Jean-Pierre Caillot évoque la réception des Verts programmée ce samedi à 20h00. 

 

"Pensons déjà à engranger les points nécessaires, car, on le sait, c’est un nouveau championnat qui débute. Nous avons l’effectif pour pallier les absences des quatre joueurs majeurs partis à la CAN. Ceux qui piaffaient d’impatience, auront la chance de s’exprimer. Je répète souvent qu’ici, la star c’est l’équipe, pas une ou deux individualités. Ceci dit, je ne serais pas mécontent de retrouver mes internationaux le plus tôt possible…

 

Pour cette nouvelle année, je souhaite que le public partage davantage notre fierté pour nos joueurs et vienne, encore plus nombreux les soutenir. Je rêve de faire de Delaune une citadelle imprenable, un chaudron, un terrain compliqué pour nos adversaires. On encadre les matches à domicile de programmes festifs, l’équipe possède la cinquième attaque de Ligue 1 et pratique un beau jeu. On fait beaucoup pour séduire le public."

Oh my God ! (2)

05/01 12:50

Dieu ayant révélé des contacts avec Arsenal hier au sortir du match contre Nancy, Eurosport a recueilli aujourd'hui les propos de son agent David Venditelli.

 

"Aujourd'hui, il n'y a rien. Le dossier est simple : on nous a demandé des renseignements et ça s'est arrêté là. Je ne sais pas pourquoi il y a toutes ces spéculationsLoïc n'avait pas prévu de partir mais Arsenal fait partie des très grands clubs européens. Il ne se poserait pas la question avec un club moins huppé. D'autres formations anglaises sont d'ailleurs venues aux renseignements et nous n'avons pas donné suite. Le joueur, le staff, la direction : tout le monde serait très déçu de voir partir Loïc de Saint-Etienne mais tout le monde pourrait comprendre. On parle d'Arsenal…"

Consolat voit haut là !

05/01 10:42

Comme Cholet, Marseille Consolat espère rencontrer les Verts en 16e de finale de Coupe de France. "Avant le match, je sentais mes joueurs capables de gagner, je n'ai jamais stressé. Maintenant, je rêve d'affronter le PSG, Saint-Étienne ou Lyon. Ce serait magnifique !" a en effet déclaré à La Provence Jean-Luc Mingallon, président de ce club de National actuellement relégable.

 

Dans la Pravda, le patron de David Gigliotti (buteur hier contre Ajaccio) tacle l'OM, piteusement éliminé aux tirs au but par Grenoble (CFA), club partenaire de l'ASSE. "Que l'OM arrête de nous prendre pour des va-nu-pieds des quartiers nord et nous regarde autrement. Ils vont créer des centres de formation en Polynésie et en Afrique mais ils oublient que nous nous employons à former des jeunes. Aujourd'hui, ils doivent aller à Saint-Etienne ou à Nice pour s'épanouir, c'est dommage."

Un plaisir rare

05/01 10:40

Vainqueur 6 fois de la plus belle des Coupes nationales, Sainté est depuis trop longtemps fâché avec la Coupe de France.
Il ne faut donc pas minimiser la qualification pour les 1/16èmes de finale obtenue hier contre Nancy (1-0 a.p).

 

En effet, ce n'est que la 5ème fois sur les 15 dernières années que Sainté dépasse les 1/32èmes de finale.
5 fois dont 3 sous l'ère Galette, qui a déja conduit deux fois les Verts en quarts de finale pour une défaite à Lens en 2010 (1-3) et contre Lorient (1-2) en 2013.

 

Nos deux récents bourreaux étant passés à la trappe, comme 6 autres clubs de Ligue 1, il y a matière à fantasmer sur une nouvelle épopée, et sur une nouvelle ligne dans le Galette book of records. Début de réponse dès ce soir avec le tirage au sort.

Le pigeon n'est pas rancunier

05/01 09:52

Touché hier à la 82e minute sur une passe de Loïc Perrin à Kévin Théophile-Catherine, le pigeon a fait un retour fracassant en conférence de presse. La Pravda nous raconte en effet qu'un volatile a buté contre la vitre de la salle réservée aux médias après le match contre Nancy, entraînant cette réaction de Galette : "C'est peut-être le pigeon qui était sur le terrain. Il veut venir en conférence de presse. Il n'est pas rancunier."

 

Isma et Max, no they CAN'T ? (2)

05/01 09:41

En conférence de presse, Galette a évoqué hier le cas de ses deux Eléphants, blessés donc forfaits hier contre Nancy.

 

"Ismaël Diomandé s’est fait mal samedi. Il rejoint sa sélection. Il souffre d’une petite lésion musculaire, Max Gradel d’une grosse lésion musculaire. Tous les deux vont consulter le corps médical de leur sélection nationale. J’ai informé Hervé Renard de la blessure de ces deux joueurs. Il doit donner sa liste le 7 janvier. Il va discuter avec ses joueurs et son staff médical, qui échangé avec notre médecin, et prendra une décision à ce moment-là."

Hognon à la maison ! (3)

05/01 09:29

Ravi de retrouver le Chaudron hier après-midi en coupe de France, l'entraîneur adjoint de l'ASNL Vincent Hognon a livré une confidence sur Dieu à L'Est Républicain. "J’étais proche de Loïc Perrin, c’était un peu mon fiston !"

CFA : les Verts lanterne rouge

04/01 21:51

En match en retard de la 13e journée du groupe B de CFA, Fleury-Mérogis a écrasé la réserve du FC Metz 4-0. Les Floriacumois cèdent donc la lanterne rouge à l'équipe réserve de l'ASSE, devancée à la différence de buts par les Grenats, Sarre Union et Raon L'Etape (qui compte un match en moins). Mais les protégés de Thierry Oleksiak et Laurent Batlles ne sont qu'à sept points du podium dans ce championnat particulièrement serré !

Zouma trop fort pour Watford

04/01 19:45

D'un joli coup de tête, Kurt Zouma a marqué aujourd'hui le troisième but de la victoire de Chelsea contre Watford (L2 anglaise) lors du troisième tour de la Cup. 

 

 

Pour rappel, l'ancien défenseur central des Verts avait déjà marqué pour les Blues, en League Cup contre Bolton.

Que sera Sarra (2)

04/01 19:09

Pour le plus grand bonheur de son directeur sportif Christian Sarramagna, Cholet (CFA2) s'est qualifié aux tirs au but sur le terrain de Beauvais (CFA) cet après-midi en Coupe de France. Le mythique ailier gauche de l'épopée des Verts souhaite affronter son ancien club en 16e de finale, comme il l'a confié à son ex-capitaine Jean-Michel Larqué sur RMC.

 

"Ça a toujours un côté magique cette compétition. On s’est imposé dans des conditions très difficiles avec un scénario incroyable. Un de nos joueurs s’est fait expulser et on a joué pendant une heure en infériorité numérique. On avait deux tirs au but d’avance, Beauvais nous rejoint et on arrive à se qualifier, c’est un scénario incroyable. A Cholet, c’est compliqué d’exister par rapport au basket. Si on peut faire vivre le football dans cette région, ce serait un moment de joie. Il faut lutter tous les jours pour faire vivre cette discipline. Ce serait un coup de flash formidable si on affrontait Saint-Etienne dans cette ville. On a besoin de ça pour nous faire grandir."

Dabo il a marqué ?!

04/01 18:56

Mouhamadou Dabo a claqué aujourd'hui en Coupe de France le troisième pion de la victoire des banlieusards contre Lens à Calais. C'est la première fois que l'ancien défenseur des Verts trouve le chemin des filets sous le maillot des vilains. 

 

 

Pour rappel, l'ex-Sévillan peu sémillant n'avait jusqu'ici marqué que deux buts en pro, les deux pour Sainté : le premier contre Cluj le 24 juillet 2005, le second contre Paris le 21 septembre 2008.

 

 

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