Laurey venu de changer de promu

31/05 19:34


Image

 

L'ancien joueur et recruteur stéphanois Thierry Laurey, qui entraînait le Gazelec Ajaccio depuis février 2013, s'est engagé aujourd'hui pour deux saisons avec le RC Strasbourg, promu en L2.

Bangoura tacle Pogba

31/05 13:48


Image

 

Florentin Pogba, qui a refusé de rejoindre le Syli National après avoir tenté d'imposer le retour de son frère jumeau Mathias, s'attire les foudres de son nouveau sélectionneur Lappé Bangoura, interrogé par RFI.

 

"C’est à la fédération guinéenne de football de sévir et de répondre à cette question. Mais qu’il sache désormais que ça sera très difficile de l’utiliser dans le groupe prochainement. A moins que la fédération ne me le demande avec des arguments et des preuves précis. Si quelqu’un refuse de venir honorer le maillot national, et que l’équipe se qualifie sans lui, c’est qu’on pourra se passer de lui dans l’avenir."

Matuidi a tout dit (12)

31/05 13:15


Image

 

Dans son autobiographie "Au bout de mes rêves" parue le 19 mai aux éditions Solar, Blaise Matuidi revient longuement sur son expérience stéphanoise. Douzième extrait.

 

"Dès les premiers entraînements avec Christophe, nous avons senti le groupe plus à l'aise, plus apaisé. Fini, la crainte des embrouilles avec le coach. Tout le monde retrouvait le sourire. Et ça changeait tout, d'autant qu'il prenait bien soin d'instaurer un dialogue avec chacun des joueurs. Il nous connaissait déjà, ce qui simplifiait son intronisation. Mais pour tout dire, nous avons mis un peu de temps pour l'appeler coach, car jusqu'alors, il n'y avait jamais de distance entre lui et nous.

 

Sur le plan footballistique, il avait ses idées à lui, différentes de son prédécesseur. Lors des mises en place tactiques, il ne s'énervait pas. A chaque fois, il prenait le temps de nous expliquer ce qu'il souhaitait et nous comprenions ses attentes. Enfin, nous pouvions échanger et poser des questions sans risquer que ça ne dégénère. L'équipe type, en revanche, n'enregistrait pas d'énormes modifications. La plus notable, sans doute, c'était que Manu Rivière s'exprimerait davantage lors de la seconde partie de saison, au détriment de Boubacar Sanogo.

 

Pour ma part, j'ai eu une discussion avec lui à propos du capitanat. Il m'a dit tout le bien qu'il pensait de moi, tout en me rappelant que la capitaine naturel du groupe était Loïc et qu'il ne fallait surtout pas que je me mette trop de pression par rapport au brassard. Cette charge, j'étais encore un peu jeune pour l'assumer pleinement et il souhaitait m'en libérer dès le retour de Loïc. Sur le coup, j'ai été un peu déçu qu'il m'ait confirmé que j'étais un capitaine par défaut. Mais en réalité, ça m'a fait du bien de me l'entendre dire, car je pouvais dès lors me concentrer sur mes performances et celles de l'équipe sans trop me soucier de mon statut au sein du groupe.

 

Avec Christophe, l'équipe a retrouvé un peu d'allant dans son jeu. Nous étions irréguliers mais nous parvenions à glaner quelques succès en championnat ici ou là, à l'image d'une nette victoire contre Monaco durant laquelle j'ai rapidement ouvert le score. Nous avons ensuite alterné le bon et le moins bon, ce qui ne nous a pas empêchés de prendre le large sur les places de rélégables. Nous sommes parvenus à nous maintenir au forceps. Objectivement, c'était dû aussi à l'extrême faiblesse des trois clubs relégués, Le Mans, Boulogne et Grenoble. On a assuré notre maintien au soir de la 36e journée après un succès acquis sur la pelouse de Boulogne-sur-Mer grâce à un but de Manu Rivière, l'homme en forme de notre fin de saison.

 

Lors du match suivant, malgré le soulagement de nous savoir sauvés, Dimitri et moi nous sommes accrochés. Entré en jeu deux minutes avant que Gignac ne marque le seul but du match, il n'a pas accepté que je lui demande de se bouger pour aider l'équipe. Ça a complètement dérapé. Il m'a mis un coup de tête et il a fallu nous séparer. Agir ainsi devant notre public et les caméras de télévision, c'était vraiment n'importe quoi. Mais ça symbolisait aussi le ras-de-bol qui régnait dans le groupe, après une nouvelle saison galère.

 

Alors que l'on s'entendait bien et que l'on avait régulièrement passé du bon temps ensemble avec les Espoirs, on avait perdu les pédales ce soir-là. On peut parler d'erreur de jeunesse. Plus pour lui que pour moi, d'ailleurs, car sa réaction était vraiment déplacée. Je pense avoir eu aussi ma part de responsabilité. Je n'aurais peut-être pas dû lui faire des reproches alors qu'il était très frustré d'être entré en jeu tardivement dans le match. En même temps, j'étais capitaine… Bref, nous avons donné une mauvaise image de nous, et, en tant que professionnels, ça n'aurait pas dû arriver.

 

Convoqué par la direction le lendemain, Dimitri s'est excusé devant tout le monde aux vestiaires, avant d'être logiquement sanctionné. Forcément, cela a jeté un froid entre nous pendant un petit moment. Je lui en voulais d'avoir été si loin. La violence, c'est quelque chose que j'ai toujours beaucoup de mal à comprendre et encore plus à accepter. Cependant, je ne suis pas quelqu'un de rancunier. C'est pourquoi j'ai préféré lui pardonner afin de repartir sur des bases plus saines. Depuis, tout est rentré dans l'ordre et cette histoire 'nest plus qu'une anecdote parmi d'autres."

Stat qui pleure (1)

31/05 08:34

Bonne ou mauvaise ? Les avis divergent sur notre saison de Ligue 1. Profitons de la trêve pour partager quelques chiffres qui alimenteront encore le débat.


Au rayon « stat qui pleure », le classement des attaques. 42 est un joli chiffre, un chiffre symbolique qui colle à la peau des Ligériens. Mais qui ne représente que le 13ème total de Ligue 1, derrière Reims, relégué.


Les Verts ont donc peu marqué, et pas que les esprits.
Si la solidité défensive des Verts ne se dément pas depuis plusieurs années, cette stérilité offensive est assez nouvelle, puisque notre 13ème place fait suite respectivement à une 5ème place (2015), 3ème place (2014) et encore 3ème place (2013).

Sliti suivi

31/05 07:33


Image

 

Selon la Pravda du jour, l'ASSE et le MHSC s'intéressent au milieu offensif tunisien du Red Sar Naim Sliti (23 ans), un temps convoité par le LOSC et le Gym. Des club portugais et autrichiens sont également venus aux renseignements mais le coéquipier de Pierrick Cros aurait une préférence pour la L1. Les dirigeants audoniens ne devraient pas le lâcher à moins de 2,5 M€ selon le quotidien sportif.

Piazza défend les Verts

31/05 07:16


Image

 

Dans la dernière édition du Progrès, Oswaldo Piazza prend la défense des Verts. Extraits.

 

"Les gens parlent encore de la finale de Glasgow. Cela fait au chaud au cœur. Mais d’un autre côté, on se dit : "il ne s’est rien passé en 40 ans ?" C’est grave. Je crois qu’il faut défendre les joueurs actuels et le coach. Ils nous ont fait plaisir en gagnant la Coupe de la Ligue et en participant régulièrement à la Coupe d’Europe. Mais je pense qu’ils sont capables de faire encore mieux. Ils ont des qualités énormes. On doit travailler dans le centre de formation pour remplacer cet argent que l’on n’a pas. Après, bien sûr, il faut pouvoir garder ses joueurs le plus longtemps possible."

 

 

Voilà Pogba !

31/05 07:08


Image

 

S'il figure dans l'équipe pipe de France Football, Florentin Pogba estime qu'il a fait une bonne saison dans un entretien publié hier par Star Africa.

 

"Le bilan de ma saison avec l'ASSE ? J'ai fait le travail qu'il fallait. Après, le coach a fait ses choix. Mais je pense qu'à partir du moment où il a compté sur moi, voilà j'ai répondu présent, donc voilà je suis assez satisfait de ma saison. J'ai la confiance du coach, je dois la lui rendre sur le terrain. J'essaye de faire le maximum. Donc voilà, je suis prêt pour l'année prochaine. S'il doit compter sur moi, voilà il peut compter sur moi."

Blaise et Dim ont dompté les Lions !

30/05 23:04


Image

 

Les Bleus ont battu 3-2 les Lions Indomptables du Cameroun ce soir en match amical à Nantes. Alors que Blaise Matuidi a ouvert le score d'une reprise du gauche, Dimitri Payet a marqué le but de la victoire d'un nouveau coup franc magistral.

 

Robert titulaire !

30/05 21:57


Image

 

Robert Beric, qui n'avait plus été titularisé depuis le vilain derby du 8 novembre dernier, a joué la première heure du match nul de la Slovénie contre la Suède ce soir à Malmö. Trop court pour ouvrir le score sur corner à la demi-heure de jeu, l'avant-centre des Verts a failli réaliser une passe décisive à la 35e d'une déviation de la tête mais Roman Bezjak a perdu son duel avec le portier suédois Andres Isaksson.

 

Lopes bat Selnaes

30/05 19:46


Image

 

Pourtant privé de nombreux cadres, le Portugal du vilain Anthony Lopes (titulaire) a battu la Norvège 3-0 hier soir à Porto. Alors qu'Alexander Soderlund n'a pas été convoqué pour ce match amical, Ole Selnaes est entré en jeu à la 73e minute après le 3e pion portugais claqué par le Dogue Eder, récent bourreau des Verts.

 

Un Ange passe sur So Foot

30/05 17:15
Image

 

Le site de So Foot a publié aujourd'hui une longue interview de Dominique Rocheteau. Extraits.

 

"Jean-Pierre Frimbois, le rédacteur en chef de Onze, m’avait surnommé l’Ange Vert, et puis c’est resté. J’étais un peu rebelle. Ange, je n’aimais pas ! J’avais un côté rebelle, un peu anarchiste, je vivais tranquille, en solitaire dans mon chalet. J’étais assez engagé politiquement, donc « Ange  » ça ne me plaisait pas du tout, mais c’est resté. Et même l’image d’ange sur les terrains ce n’était pas évident. Lorsqu’on allait à certains endroits, quand on tombait sur certains joueurs assez expérimentés… j’ai réussi à me faire respecter au fur et à mesure. Mais aujourd’hui je prends ce surnom du bon côté, c’est une reconnaissance.

 

J’ai toujours des passions. Quand j’étais footballeur je disais, moi ce que j’aime c’est jouer et puis, après, j’arrêterai parce que le reste ne m’intéresse pas. Finalement je suis resté dans le football parce que j’aime ça, j’aime le foot. J’ai passé des diplômes pour être manager à Limoges pendant deux ans. Je me suis retrouvé à Saint-Étienne finalement comme dirigeant, ça fait cinq ou six ans. Je me sens vraiment bien dans ce que je fais. Je m’éclate avec des gens que j’aime bien. Je suis revenu dans mon club, mes racines, même s’il y a eu le PSG un club qui m’a beaucoup marqué, que j’aime beaucoup, mais Saint-Étienne, c’est mes racines."

Stat qui rit (1)

30/05 15:16

Bonne ou mauvaise ? Les avis divergent sur notre saison de Ligue 1.

 

Profitons de la trêve pour partager quelques chiffres qui alimenteront encore le débat.

 

Au rayon « stat qui rit », le classement des défenses. Avec 37 buts encaissés, et malgré des blessures ayant touché toute son arrière garde, Sainté se classe 3ème derrière le PSG et Lille.
Sainté est donc resté cette saison au niveau de ses standards habituels. En effet, les 3 saisons précédentes les Verts se sont classés respectivement 2è (2015), 4è (2014) et  2è (2013) défense.

Matuidi a tout dit (11)

30/05 07:29


Image

 

Dans son autobiographie "Au bout de mes rêves" parue le 19 mai aux éditions Solar, Blaise Matuidi revient longuement sur son expérience stéphanoise. Onzième extrait.

 

"Sans en parler directement, nous souhaitions tous que quelque chose bouge rapidement. Le seul changement qui pouvait servir d'électrochoc, c'était l'éviction du coach. Pour autant, nous avons essayé de réagir, tandis qu'Alain Perrin nous rabâchait que son approche était la bonne et que ça allait finir par payer. Entre fin septembre et début octobre, il y a eu un léger sursaut. Après avoir vaincu Nice en Coupe de la Ligue, nous avons enchaîné deux succès de rang en championnat contre Monaco et Bordeaux. La rechute jusqu'à la trêve hivernale n'en a été que plus douloureuse, avec une seule victoire en onze journées, pour sept défaites et trois nuls.

 

Notre derby à domicile a été désastreux. Remplaçant au coup d'envoi, Bafé a inscrit le seul but du match. Après l'avoir conspué lorsqu'il était entré en jeu, le Chaudron était fou de rage. Moi, j'assistais à tout ça depuis le banc, car mon ischio avait sifflé dès le premier quart d'heure, m'obligeant à quitter le jeu. En toute franchise, même si j'étais hyper déçu d'être encore battu par les Lyonnais, j'étais aussi très heureux pour mon ami. Lui qui ne méritait pas l'acharnement du public stéphanois prenait une belle revanche en répondant uniquement sur le terrain. Le lendemain, je l'ai d'ailleurs appelé pour le lui dire. N'en déplaise aux supporters, avant d'être des joueurs de foot, nous sommes d'abord des hommes. Et si certains n'arrivent pas à comprendre que nous ne sommes pas des robots privés de toute émotion, tant pis pour eux !

 

Trois jours après s'être fait étriller 4-0 à Lille, nous nous sommes déplacés au Parc. Nous avons eu du mal à nous adapter au 3-5-2 inédit choisi par le coach, un système que nous n'avions jamais travaillé. Par ailleurs, il avait demandé à tout le monde de faire un marquage individuel, ce qui a créé un sacré bordel dans notre organisation. Visiblement, il ne savait plus quoi faire. Après quarante minutes de jeu, nous avions déjà encaissé trois buts et le score était scellé. Nous glissions inévitablement dans la zone de relégation. Cette fois, la messe était dite pour Alain Perrin. Deux jours plus tard, il a  été prié de faire ses valises. Dans le groupe, personne n'a regretté cette décision. Sa méthode n'avait jamais été acceptée et il était temps de passer à autre chose.

 

Dans la foulée, nous avons appris que Christophe Galtier prenait sa succession, sans savoir pour combien de temps. Nous étions un peu surpris, car nous pensions qu'en tant qu'adjoint, Galtier suivrait Perrin vers la sortie. Pour sa première intervention au sein du vestiaire, il nous a tenu un discours plein de franchise et d'honnêteté, en insistant sur le fait que c'était grâce à Aalin Perrin qu'il était là. Il nous a précisé qu'avant d'accepter le poste, il l'avait appelé afin d'avoir son aval. Et comme il l'avait obtenu, avec des mots forts et remplis d'affection, il pouvait se présenter devant nous la conscience tranquille. Ce jour-là, j'ai définitivement compris que, malgré ses défauts, Perrin avait vraiment un bon fond. Certes, sa gestion des joueurs l'avait tué, mais c'était tout de même un homme de valeur."

Payet proche des vilains

30/05 07:17


Image

 

Dans une interview parue aujourd'hui dans la Pravda, le mythique buteur du 100e derby de l'histoire affiche sa proximité avec les vilains internationaux.

 

"Mon intégration dans le groupe France ? Je suis plutôt avec la team OL, Lacazette et Umtiti. Les Lyonnais vivent plutôt bien leur statut de réservistes. Ils sont contents d'être là et cela récompense leur saison en club." [ndp2: entretien réalisé avant la promotion du vilain défenseur dans les 23].

 

Dimitri Payet reçoit les éloges d'Elie Baup dans le quotidien sportif.

 

"Par sa mobilité, sa créativité, il va apporter davantage de lien avec l'attaquant. Avec Payet, par exemple, le latéral gauche a davantage de possibilité de dédoubler. Je trouve qu'il a franchi un cap. Avant, face aux Valbuena, Ayew, Almafitano, il était souvent dans l'affirmation de son leadership technique. Aujourd'hui, je le trouve davantage au service de l'équipe. Je ne dirais pas que c'est un autre joueur mais presque. Didier Deschamps peut démarrer avec Payet. Avec lui, il y aura davantage un jeu en possession, il aura cette garantie-là."

Balèze Bez selon Tournebise

30/05 06:59

Auteur-réalisateur du documentaire "Claude Bez le 13ème homme", Laurent Tournebise fait référence aux Verts dans un entretien paru hier sur webgirondins.

 

"C’est important de connaître l’histoire du club. J’aimerais que l’on s’inspire de Saint-Etienne où il y a notamment un musée. En tant que fan des Girondins j’aimerais que l’on sache d’où le club vient. Il y a eu des époques hors-normes comme celle de Claude Bez à l’instar de celles de Bernard Tapie ou de Roger Rocher à Saint-Etienne. C’est important d’avoir la connaissance de ces épisodes du club bordelais avec ce qu’il y a de bon et de moins bon. Les supporters doivent savoir que Bordeaux était le porte drapeau du football français dans ces années-là et que Claude Bez a beaucoup fait pour les Girondins, certes, mais pour le football en général."

U17R : en beauté contre Seyssinet

30/05 00:31

Etienne Green, le gardien

 

C'est sur la pelouse du stade Aimé Jacquet que les U17 régionaux de Mickaël Pontal ont clôturé leur saison et ils l'ont fait en beauté contre Seyssinet puisqu'ils se sont imposés largement sur le score de 5 à 1.

 

C'est Kellian Mersel qui a ouvert la marque à la 15ème minute. La mi-temps était atteinte sur ce score de 1 à 0. Les Verts ont corsé l'addition en seconde période avec des réalisations de Stanislas Grange (48ème), Thibault Blanchard à 2 reprises (60ème et 80ème), et enfin Morad Touit (90ème). Entre-temps, Seyssinet avait réduit le score à la 52ème.

Il reste maintenant à consulter le règlement et à calculer pour savoir si nos jeunes terminent meilleurs seconds des 3 poules et accèdent ainsi à la Ligue Honneur.

 

La composition : Green - Blanchard, Aljic (Yazid 50ème), Roudon, Touit - Pires, Hammouche - S.Grange, Mersel, Mezaber - Ménétrieux (Bariol 80ème)

U15 : avec brio contre les Sanpriods

29/05 23:54

Clément Roubat, auteur d'un hat-trick

 

Pour les U15, c'était l'ultime match de la saison, et il aurait fallu un miracle, à savoir des défaites conjuguées des vilains et du FC Lyon, pour que les protégés de Philippe Guillemet conquièrent le titre régional. Ils ont, malgré tout, fait leur travail jusqu'au bout en s'imposant largement à Saint-Priest, club partenaire, sur le score de 6 à 1.

 

Ce match, disputé sur la pelouse naturelle du stade Jacques Joly, avait mal commencé pour les Sanpriods qui perdaient leur gardien lors de l'échauffement. Un joueur de champ le remplaçait au pied levé. Il fut mis à contribution dès la 4ème minute par un tir de Samy Messili, bien alerté par Yoan Greco dans l'intervalle, mais sa frappe s'écrasait sur la barre. Ce même Samy Messili ne lui laissait aucune chance sur un coup-franc bien tiré au sol, au ras du poteau. (0-1, 7ème).

Quelques instants plus tard, Yvann Bonnemain, débordait côté droit et centrait pour Yoan Greco, qui, après un contrôle adressait un tir qui trouvait le poteau avant de pénétrer dans le but. (0-2, 11ème).

Mais Saint-Priest ne s'avouait pas battu et, suite à un contrôle approximatif de Rémi Chaigneau réduisait le score. (1-2, 26ème)

Peu avant le repos, Yoan Greco était crocheté dans la surface, et Clément Roubat convertissait le pénalty. (1-3, 38ème). C'était le score à la mi-temps.

Durant le second acte, les Stéphanois allaient se ressentir des efforts faits dans la semaine à l'occasion du Championnat UNSS, et ils balbutiaient un peu leur football, préférant trop souvent les tentatives individuelles aux solutions collectives. Mais ils s'assuraient néanmoins une large domination et aggravaient la marque par Clément Roubat, qui, de la tête, coupait la trajectoire d'un coup-franc de Victor Petit. (1-4, 45ème).

Deux minutes plus tard, ils corsaient encore l'addition, toujours par une tête de Clément Roubat sur un corner tiré de la droite par le gaucher Victor Petit. (1-5, 47ème).

Décidément en verve, Victor Petit, un quart d'heure plus tard, adressait, du côté gauche,  une merveille de centre piqué, qui lobait le gardien et que Azdine Bellakhdar prolongeait de la tête dans le but. (1-6, 62ème).

 

Les Verts terminent donc ce Championnat U15 Elite à la 3ème place, à 2 points des vilains et 1 point du FC Lyon. Mais ils ont dominé ces 2 équipes dans les confrontations directes

 

La composition : Bajic - Leleux, Chaigneau, Roubat, Gueton (Bardel 52ème) - Mouton, Petit, Messili (Greco 62ème) - Bellakhdar (Messili 71ème, Bellakhdar 78ème), Greco (Ledoux 52ème), Bonnemain.

Bamba à terre face à l'Angleterre

29/05 22:05


Image

 

L'Angleterre a battu la France 2-1 ce soir au Parc des Sports d'Avignon en finale du Festival Espoirs de Toulon. Titulaire, Jonathan Bamba a raté une balle d'égalisation à la 26e avant de céder sa place à la 48e.

U19 : Paris était trop fort

29/05 19:22


Image

 

Vous avez pu suivre cette demi-finale du championnat des U19 nationaux en direct sur la chaîne dailymotion de la FFF : finaliste de la Youth League, le QSG a surclassé l'ASSE 4-0 au stade Pestourie de Brive-la-Gaillarde (Corrèze).

 

Privés de leurs meilleurs éléments (Maisonnial, Pierre-Gabriel, Pinheiro, Souici, Nordin, Ghezali, Aulagnier), les Stéphanois ont été logiquement dominés par l'invincible armada des Doucouré, Georgen, Nkunku, Edouard et autres Augustin.

 

Le QSG a ouvert le score à la 16e minute sur une action plein axe avant de doubler la mise deux minutes plus tard sur un contre rondement mené. Hugo Roussey, sur un coup franc de Dylan Chambost, s'est procuré la première occase stéphanoise à la 24e mais sa tête a été arrêtée par le portier parigot. L'avant-centre des Verts a trouvé le chemin deux minutes avant la mi-temps mais son but a été refusé pour un hors jeu discutable.

 

Lancé par Dylan Chambost à la 53e, le fils de Lolo a eu une nouvelle oppurtunité de réduire le score mais le gardien parisien s'est interposé in extremis. Le QSG a tué le match en marquant un troisième but à Théo Vermot à la 64e minute. Ilyès Rahmani a tenté de sauver l'honneur à la 68e mais le latéral stéphanois a complètement dévissé sa frappe. Paris a corsé l'addition à la 85e sur une aile de pigeon.

 

La compo : Vermot - Mendy, Gomis, Nadrani, Rahmani - Camara, Martin-Pichon, Chambost - Virksas (Hachani, 71'), Roussey, Bangoura (Vogel, 78').

 

La réaction de Jean-Philippe Primard : "On est déçu du score mais forcément il n'y a pas de regret par rapport au résultat. Y'avait pas photo entre les deux équipes même si je trouve qu'on a fait le match qu'on devait faire. On a tout essayé, on est resté bien en bloc, on a essayé de contrer. On aurait aimé tenir plus longtemps et leur mettre le doute. On a eu plusieurs situations pour marquer en seconde période. En face il y avait clairement une équipe qui nous était supérieure. Il faut dire que Paris avait une équipe au complet. J'ai eu Laurent Huard, l'entraîneur de l'équipe réserve du PSG. Il m'a dit que c'était son équipe, celle qui joue habituellement en CFA. Il y avait beaucoup de qualités en face. On s'est battu avec nos armes. J'avais une équipe incomplète, même si c'est l'équipe que j'ai eue ces derniers temps. Je suis content que les garçons se soient accrochés jusqu'au bout, ils n'ont rien lâché. Aucune équipe n'aurait résisté à ce PSG-là. Je n'avais franchement pas l'impression de jouer contre une équipe U19. Cette lourde défaite ne doit pas faire oublier la belle saison qu'on a faite. On a tiré notre épingle du jeu en terminant à la première place d'un groupe sud très relevé, en finissant en devançant des clubs comme Monaco, Nice, Marseille, Montpellier et Toulouse. Aujourd'hui, la marche était trop haute."

Galtier parti pour rester (4)

29/05 11:30


Image

 

Sur le plateau de Téléfoot, Galette a confirmé ce matin qu'il continuera d'entraîner les Verts la saison prochaine.

 

"Il n'y a aucune raison pour que je ne sois pas l'entraîneur de Saint-Etienne à la reprise. J'ai beaucoup de respect pour les dirigeants, pour l'institution. Si aujourd'hui je suis sur le plateau, c'est que j'ai des dirigeants qui ont cru en moi. Il n'y a aucune raison pour que je ne sois plus là. Pourquoi rester ? Des clubs ont voulu échanger avec moi, je ne l'ai pas souhaité tant que la saison était en cours car il y avait des objectifs importants pour le club. C'est l'institution qui prime. Derrière cela, il n'y a eu aucune décision avec personne. Je serai encore l'entraîneur de l'ASSE. A partir du moment où vous posez la question, vous savez comment ça fonctionne dans le football. Il n'y a aucune raison que je ne sois plus l'entraîneur de l'ASSE. Je suis heureux dans ce club-là, je suis heureux de travailler avec les gens avec qui je travaille. J'espère qu'on vivra encore une saison pleine d'émotions."

Matuidi a tout dit (10)

29/05 09:30
Image

 

Dans son autobiographie "Au bout de mes rêves" parue le 19 mai aux éditions Solar, Blaise Matuidi revient longuement sur son expérience stéphanoise. Dixième extrait.

 

"L'intersaison en 2009 a été l'occasion pour mon agent d'engager de nouvelles négociations avec les dirigeants stéphanois qui ont abouti au mois d'octobre sur la prolongation de mon contrat jusqu'en 2013, soit deux années supplémentaires. Pour le club, cela permettait d'accroître ma valeur marchande. Quant à moi, je me voyais offrir une belle revalorisation salariale, puisque mes émoluments mensuels devaient être multipliés par deux. Je devenais ainsi l'un des joueurs les mieux payés de l'ASSE et j'avais bien l'intention de prouver sur le terrain que je méritais une telle considération.

 

Parfaitement rétabli physiquement, j'ai effectué une bonne reprise avec les Verts durant l'été 2009. Loïc Perrin étant toujours amoindri à cause d'une accumulation de blessures, le coach a décidé de me reconduire comme capitaine. Cette fois encore, il n'a pas pris le temps d'en discuter avec moi, alors que j'aurais aimé en savoir davantage sur ses plans pour relancer une machine collective en souffrance depuis un an. Le dialogue n'était décidément pas sa qualité première. Sa vision du jeu, il nous la présentait uniquement sur le terrain.

 

Disons-le, Alain Perrin est quelqu'un d'assez spécial, difficile à cerner. Avant d'être entraineur, il a été professeur d'EPS et on le ressentait. Avec lui, c'était comme ça et pas autrement. Point barre. La discussion et le partage ne faisaient pas partie de sa méthode. Il faut toujours établir des liens entre le staff technique et l'effectif. C'est ce qu'il faisait. Pour ma part, je n'avais pas trop de rasions de me plaindre du traitement du coach. S'il me confirmait comme capitaine, c'est qu'il avait de l'estime pour mon travail et une grande confiance en ma capacité à assumer mes responsabilités. Rien que pour ça, je lui en suis reconnaissant.

 

Le problème, c'est que sa manière de faire ne fonctionnait pas à Saint-Etienne et que l'entame de la saison nous en a apporté une nouvelle preuve. D'abord, il a fallu encaisser le départ de Bafé chez "l'ennemi" lyonnais. Son transfert a fait beaucoup de bruit. Sans surprise, les supporters le considéraient comme un traître. Pour autant, après une année terriblement éprouvante durant laquelle il en avait pris plein la tête, je comprenais parfaitement son choix. Même si l'ASSE lui avait permis d'éclore, il devait penser à la suite de sa carrière, et l'OL lui offrait clairement la possibilité  d'évoluer au plus haut niveau. Dans le groupe, personne ne lui en a voulu.

 

La direction du club devait être satisfaite, puisque son départ lui a permis de récupérer un joli chèque d'environ 15 millions d'euros. Pour autant, les fans des Verts en ont voulu uniquement à Bafé, ce qui m'a dérangé, car si les dirigeants avaient refusé qu'il parte à Lyon, son transfert n'aurait jamais eu lieu. Bref, j'étais content de le voir franchir un cap. Nous sommes ensuite restés en contact. Peu importait la haine qu'on lui vouait à Sainté, où il était devenu "wanted" durant pas mal de temps, il demeurait l'un de mes grands frères dans le milieu du foot et il n'était pas question que ça change.

 

Plus que les remous occasionnés par le transfert de Bafé, j'ai surtout été interloqué par le recrutement estival du club. Alors que nous avions manqué cruellement de joueurs suffisamment expérimentés en L1 pour mieux gérer nos moments faibles la saison précédente, l'ASSE a surtout investi en recrutant des joueurs étrangers comme Gelson, Sanogo, Bergessio et Augusto. Sako, N'Daw et Planté nous ont certes rejoints mais ils n'avaient pas le profil de vieux baroudeurs du championnat. Je pense que Sainté a commis une erreur, d'autant plus que le groupe, déjà jeune, l'était encore plus avec l'intégration de Rivière, Andreu et Guilavogui.

 

Après trois journées de championnat, nous comptabilisons zéro point. Après avoir perdu face à Nice et à Toulouse, on a chuté de nouveau à la maison face au promu Boulogne-sur-Mer. Un match durant lequel le terrain a été envahi par certains de nos supporters, très remontés contre nous. Nous avons dû cavaler pour aller nous réfugier dans le vestiaire en attendant que la tension tombe. Voir tous ces gars excédés et prêts à nous frapper, ça nous a fracassé le moral  d'entrée, après seulement deux semaines de compétition."

Chapeau Douline !

29/05 09:03


Image

 

Le milieu de terrain ponot David Douline n'a pas manqué son retour à Chasselay hier lors de l'avant-dernière journée de CFA ! L'ancien buteur stéphanois de la finale de la Coupe Gambardella 2011 a réalisé un hat-trick qui permet au club partenaire de l'ASSE de s'extirper de la zone rouge.

U19 : regardez nos gaillards à Brive !

29/05 08:38


Image

 

La demi-finale du championnat des U19 nationaux qui opposera l'ASSE au QSG ce dimanche à Brive-la-Gaillarde sera retransmise en direct à 17h30 sur la chaîne dailymotion de la FFF après la match qui opposera les vilains aux Chamois.

 

So Foot tacle Augusto

29/05 08:28


Image

 

"En 2010, l’Argentin jouait à Saint-Étienne avec Emmanuel Rivière, Cédric Varrault et Christophe Landrin. Là, il débutait une finale de Ligue des champions. Le saut qualitatif étant sans doute trop violent, sa durée de vie n’a pas excédé les 45 minutes" écrit So Foot pour commenter la note de 3/10 attribuée hier soir à Augusto Fernandez, remplacé après la pause par un très bon Carrasco.

La réserve allongée par Selongey

28/05 21:07


Image

Benjamin Aulagnier, auteur de la réduction du score

 

Battue 1-3 par Selongey en début de soirée à l'Etrat, la réserve jouera son maintien en CFA2 à Cournon samedi prochain lors de la dernière journée.

 

Les visiteurs ont ouvert le score dès la 4e minute sur corner avant de doubler la mise au quart d'heure de jeu. Du plat du pied, Benjamin Aulagnier a réduit le score à la 38e suite à un beau mouvement entre Driss Zidane et Eliott Gattier. Mais les visiteurs ont refait un break définitif d'une Madjer à la 69e suite à un coup franc repoussé par Anthony Maisonnial. Son homologue selongéen s'est montré impérial après la pause sur les tentatives d'Erin Pinheiro et Benjamin Aulagnier.

 

La compo : Maisonnial - Mellot, Karamoko, Cabaton (Ghezali, 70'), Pierre-Gabriel - Zidane, Suljic, Pinheiro (Assaf, 80')- Nordin, Aulagnier, Gattier.

 

La réaction de Bernard David : "On a payé cash notre mauvaise entame. On a quand même eu le mérite de réduire le score avant la pause. Mais on est ensuite tombé sur un gardien exceptionnel. En ayant gagné chez nous, Selongey postule au maintien. Lors de la dernière journée, ils reçoivent Pontarlier qui ne joue rien. Et puis surtout, ce n'était pas prévu, Cournon a gagné à Thiers. En cas de match nul entre ces deux équipes, on était sauvés. Maintenant, c'est eux ou nous. C'est simple. On a encore une semaine de grosse mobilisation. On va travailler."

Les U17 en finale !

28/05 18:55


Image

Jordan Halaimia, auteur de l'unique but victorieux (photo Marlène)

 

Vous avez suivi la rencontre en direct sur notre forum grâce au potonaute seb0769, envoyé spécial à Feyzin, et au periscope d'EVECT : l'ASSE a battu Rennes 1-0 vet après-midi en demi-finale du championnat des U17 nationaux.

 

Timidement entrés dans le match et sauvés par la barre à la 10e minute, les Verts ont réagi sur une tête non cadrée de Wesley Fofana au quart d'heure de jeu. Après avoir tenté sa chance à la 22e, Clément Etchebar s'est procuré une grosse occase à la 35e mais le portier rennais a détourné son tir en corner. Sur un coup franc d'Antoine Baumel, le défenseur central Jordan Halaimia a ouvert le score à la 42e minute d'une reprise acrobatique avec l'aide du poteau. Idéalement servi par Kenny Rocha Santos, Charles Abi a raté de la tête une balle de break juste avant la mi-temps.

 

Kenny Rocha Santos a également eu l'occasion de doubler la mise à la 55e mais le très prometteur milieu offensif capverdien n'a pas réussi à régler la mire. Dix minutes plus tard, le gardien breton a arrêté un tir de l'avant-centre franco-guinéen Gérard Bangoura. Dominés en fin de match malgré les encouragements des 150 ultras qui ont fait le court déplacement dans la banlieue de la banlieue, les Stéphanois ont réussi à conserver leur court mais précieux avantage avec un peu de réussite, Ryan Bouallak ayant été sauvé par sa barre à la 80e et par son poteau à la 83e.

 

La compo : Bouallak - Allaigre, Halaimia, Nadé, Etchebar - Baumel, Fleury (Valbon, 60'), Fofana - Rocha-Santos (Moueffek, 80'), Bangoura, Abi (Djouahra, 75').

 

 

 

L'ASSE jouera la finale le samedi 4 juin à 16h00 Saint-Flour (Cantal) contre le QSG, qui a battu l'ESTAC 2-1.

 

La réaction de Lionel Vaillant, co-entraîneur avec Gilles Rodriguez : "Seule la qualificatione est belle. Avec Gilles on est content car on avait bien bossé sur cette équipe de Rennes. On a mis en place un plan de jeu qui a fonctionné. On a eu une organisation défensive différente en densifiant le milieu de terrain. Les garçons ont été rigoureux mais on a eu du mal dans l'utilisation du ballon. Mais on a su rester solide défensivement. Il faut féliciter les joueurs mais aussi les supporters qui nous ont encore suivis et se sont déplacés en nombre. Bien qu'on soit en terre lyonnaise, ils se sont bien tenus. Les ges du district du Rhône et de Feyzin ont félicité nos supporters pour leur état d'esprit. C'est important de le souligner. C'est peut-être aussi grâce aux supporters qu'on a pu tenir lors des cinq dernières minutes quand on était en souffrance. Cela fait trois matches que les supporters sont derrière nous, ça te donne du baume au coeur et l'envie de te défoncer. Je pense qu'ils seront là pour la finale à Saint-Flour, qui est une terre verte, là-bas le président est content de recevoir Saint-Etienne. Il voulait qu'il y ait l'ASSE, peu importe le club en face. Paris, c'est costaud. On va se donner à fond pour remporter cette finale. on ne partira pas favori, c'est bien. Je ne suis pas sûr d'être sur le banc pour la finale car je suis en fin de contrat, Bernard David ne souhaite pas me conserver."

Matuidi a tout dit (9)

28/05 14:28
Image

 

Dans son autobiographie "Au bout de mes rêves" parue le 19 mai aux éditions Solar, Blaise Matuidi revient longuement sur son expérience stéphanoise. Neuvième extrait.

 

"Lors de notre huitième de finale aller de la Coupe UEFA contre le Werder, j'ai senti  le muscle ischio-jambier de l'une de mes cuisses me lâcher à cinq minutes de la fin. Dans les vestiaires, j'étais dépité. Le doc venait de m'apprendre que j'en aurais pour au moins quatre semaines d'indisponibilité, ce qui ne m'était encore jamais arrivé. De retour à L'Etrat, alors que je discutais avec le staff médical et que je me préparais à aller aux soins, Alain Perrin m'est tombé dessus : "J'en ai rien à foutre de ton IRM ! Tu vas enfiler tes chaussures et tu fonces immédiatement sur le terrain ! Tant que je n'aurais pas vu de mes yeux que tu ne peux pas jouer, tu travailleras comme les autres !"

 

Incroyable, mais vrai ! Alors que j'étais blessé, il m'a obligé à mettre mes crampons et à participer à la séance d'entraînement. Et moi, comme un grand dadais qui manquait encore de caractère, je me suis exécuté. Bien sûr, une fois sur le terrain, impossible de courir. J'étais incapable de quoi que ce soit mais il m'a laissé là, comme un con. Au bout d'un moment, c'est son adjoint Christophe Galtier qui a fini par arrêter le massacre en me disant de rentrer. Assis dans le vestiaire, je me suis pris la tête entre les mains en me répétant qu'il fallait être complètement fou pour me faire subir un truc pareil.

 

Pour autant, et ça va sans doute vous paraître tout aussi dingue, je me suis surpris à apprécier l'attitude atypique de notre coach durant la seconde partie de saison. A force de nous piquer au vif, il nous a obligés à réagir. D'une certaine  manière, ça a permis de redynamiser le groupe. Un jour, durant une opposition à l'entraînement, il a réprimandé Bayal Sall, et ce dernier lui a répondu. Aussitôt, le coach a vu rouge : "Quoi, tu veux te battre ? Allez, viens, on va régler ça tout de suite, entre hommes !" Je n'en croyais pas mes yeux, d'autant que Mouss était une montagne à côté d'Alain Perrin.

 

Bref, on était souvent sur le fil du rasoir avec lui, car il pouvait péter les plombs sans qu'on le sente venir. Son truc, c'était de nous pousser dans nos derniers retranchements afin d'aller puiser le meilleur de chacun au plus profond. Mais le groupe traversait une trop mauvaise passe pour que ça fonctionne. Trop peu de joueurs étaient expérimentés dans les opérations de maintien et les mauvais résultats s'enchaînaient. Nous avons ressenti de la peur à tous les niveaux, y compris en provenance des supporters.

 

De retour sur le terrain à Rennes après un mois d'absence, j'ai rechuté dès la journée suivante lors d'une victoire à domicile contre Lille. Déterminé à revenir au plus vite afin d'aider mes coéquipiers, je pensais être prêt. Mais c'était une erreur et je l'ai payée cash, puisque j'ai été contraint de suivre toute la fin de saison depuis les tribunes. Mentalement, c'était horrible ! Je me sentais complètement impuissant alors que l'équipe était au bord du précipite. Envahi par le stress, je faisais tout pour cacher mon anxiété et soutenir le club, qui ne parvenait pas à relever la tête.

 

On a concédé notre 20e défaite de la saison en championnat à Auxerre lors de l'avant-dernière journée. Sainté était alors 18e de L1 et n'avait plus son destin entre les mains. Pour être sauvé, il fallait absolument gagner à domicile contre Valenciennes lors de l'ultime journée et espérer en même temps un faux pas de l'un de nos concurrents directs. On a fait le boulot contre le VAFC et le soulagement a été intense quand on a appris que dans le même temps Caen s'était incliné contre Bordeaux. Le calvaire était terminé et l'issue fatale était évitée. Je n'avais dès lors qu'une idée en tête : partir au plus vite en vacances pour évacuer tout ça au maximum."

Priorité à la réserve !

28/05 10:29


Image

 

Comme il l'avait annoncé sur le plateau de TL7, Bernard David a décidé de donner la priorité au maintien en CFA2 alors que les U17 (contre Rennes à Feyzin aujourd'hui à 17h00) et les U19 (contre le QSG à Brive demain à 17h30) jouent ce week en demi-finale.

 

Anthony Maisonnial, Ronaël Pierre-Gabriel, Lamine Ghezali, Arnaud Nordin et Benjamin Aulagnier ont ainsi été mis à disposition de la réserve, qui accueillera Selongey aujourd'hui à 18h00. Remis de sa blessure, Hugo Roussey sera quant à lui du voyage en Corrèze, contrairement à Rayan Souici, suspendu et déjà en vacances.

Selnaes positive

28/05 09:15


Image

 

Dans un entretien accordé à la chaîne norvégienne TV2, Ole Selnaes évoque son expérience stéphanoise. Extraits.

 

"Mon premier semestre à Saint-Etienne a été bon, conforme à mes attentes. J'évolue dans un grand club, dans un bon championnat. Il y a plein de choses nouvelles pour moi. J'apprends tous les jours. Je n'ai joué que trois matches de Ligue 1, bien plus relevée que la Tippeliga. C'était planifié, j'ai un entraîneur qui sait ce qu'il fait. Mes premiers mois ici étant une période d'apprentissage, il m'a dit que je ne pouvais pas espérer obtenir rapidement beaucoup de temps de jeu. J'ai découvert un autre football, il y a eu une période d'adaptation. Mais je vais jouer rapidement dès le début de la prochaine saison. C'est ça le plan, on me l'a assuré. C'est la dernière chose qu'on m'a dite avant que je parte en vacances. C'est une grande opportunité, à moi de la saisir."

Galette à Téléfoot

28/05 08:44
Image

 

Le site de TF1 annonce que Galette sera l'invité de Téléfoot ce dimanche à 11h00. 

Partager